Description et analyse du système d’information :

Chapitre 1 : Le rôle du SI dans une organisation

Chapitre 1.2. : Notion de base de données

Konan Marcellin BROU

marcellin.brou@inphb.ci

2021-2022

Sommaire
 Introduction
 Le concept de BD
 Le concept de SGBD
 Architecture d’un SGBD
 Bibliographie

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 2

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 Sommaire
 Objectifs :
 Comprendre la structure d’une BD
 Adapter un schéma relationnel à
un besoin dévolution d’une BD
 Vérifier la structure d’une BD

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I. Introduction
 1.1. Présentation  Exemple 1 : une chaudière (SO)
 transforme par combustion du
 Système charbon (donnée d’entrée) en
 Ensemble d’éléments matériels ou chaleur (donnée de sortie).
immatériels (homme, machine,
méthode…) en interaction Charbon Chaudière Chaleur
transformant par un processus
des éléments (données d’entrées)  Exemple 2 : commande des clients
en d’autres éléments (données de
sortie).
Rejet
 Un tel système est appelé système Bon de Entreprise
physique ou système opérant commande Livraison +
facture
(SO).

Entrée Système Sortie

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 I. Introduction
 Organisation  Exemple : Société de vente de
 Entreprise, administration ou tout produits agricoles
groupe social organisé exerçant  Achat de produits à des
une activité. fournisseurs
 Peut être modélisé comme  Vente des produits à des clients
comportant trois sous systèmes :
 Système de pilotage (celui qui
réfléchit, décide, oriente). suivi achat
 Système d'information
(données). Directeur
Fournisseur
 Système opérant (celui qui
produit, transforme, agit).

vente

Client

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I. Introduction
 Différentes activités :  Données brutes
 Achat de produits à un fournisseur  Collection d’éléments de valeur
 Vente de produit à un client, brute ou de faits servant à
calculer, raisonner et mesurer ;
 Suivi de l'évolution des stocks
 Peuvent être collectées, stockées
 Informations ou données
ou traitées;
 Identification des produits : prix
 Ne possèdent pas de contexte ni
de vente, d'achat et quantités.
de sens.
 Coordonnées des fournisseurs et
 Exemples :
des clients, etc.
 !
 ...- - -...

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 I. Introduction
 Information = donnée + sens  Connaissance = information +
attaché à la donnée : mode d’emploi pour entreprendre
 Proviennent de l’organisation des une action
données, mettent en valeur les
 Ce que l'on a appris par l'étude ou
relations entre les différents
éléments de ces données ; la pratique.
 Fournissent un contexte et un  Vient de la compréhension de
sens aux données. l’information dans son contexte ;
 Exemples :  Utile au processus de décision.
 ! : point d’exclamation  Exemples :
 ...- - -... : SOS (Save Our Soals)  Ecrire un "!" pour marquer une
exclamation en fin de phrase,
 Si le signal "...- - -..." est reçu
alors déclencher l’alerte et
envoyer des secours.

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I. Introduction
 Système d’Information (SI) Système de pilotage
 Constitué de moyens humains, (réfléchit, décide,
oriente)
matériels et des méthodes
permettant de collecter, Décision
Management Informations traitée
mémoriser, traiter distribuer,
consulter les informations dont
Système
l’entreprise a besoin pour ses d’information
différents domaines d’activité. (mémorise, traite)
 Moyens humains : toutes les
personnes touchées par le SI ;
Sortie :
 Moyen matériel : machines, Entrée : Système opérant Evénement
Evénement (produit, transforme,
ordinateurs, supports Matériaux
Matériaux
agit) Information
d’information (disque, CD…) ; Information
 Méthode : algorithme,
programme, modèle
mathématique, plan comptable…

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 I. Introduction
 Un SI comporte deux parties :  Le SI possède deux aspects :
 SI Organisationnel (SIO) : partie  Aspect statique (ou aspect
visible, basée essentiellement sur données) :
des ressources humaines, de  Base d’information,
l'activité organisée ;  Modèle (ou structure) de
données.
 SI Informatisé (SII) : contenu
informatisé du SI (logiciel, BD).  Aspect dynamique (ou aspect
traitement) :
 Circulation de l’information
entre les différents acteurs.
 Evolution chronologique des
opérations provoquées par des
évènements.

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I. Introduction
 Base de Données (BD)  Plusieurs sortes de BD :
 Une BD permet de mettre des  Hiérarchiques
données à la disposition des  Réseau
utilisateurs pour une consultation,  Relationnel
une saisie ou une mise à jour.
 Objet
 Elle devient nécessaire car les
données sont de plus en plus  Objet-Relationnel
nombreuses et volumineuses.  Questions ?
 Elle est au centre des dispositifs  Qu'est-ce donc qu'une BD ?
informatiques de collecte, mise en
 Que peut-on attendre d'un SGBD ?
forme, stockage et utilisation
d'informations.  Ce cours essaie d'apporter des
 Elle occupe une place importante réponses à ces préoccupation.
dans les Systèmes d’Information
(SI) des entreprises.

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 II. Le concept de BD
 2.1. Qu’est-ce qu’un fichier ?  Fichiers liés aux données et aux
supports de stockage :
 Collection d’informations (ou
 Bande et disque magnétique Tous
données) regroupées en
enregistrements et mémorisées système d’exploitation
sur un support. contient un SGF spécifique :
 Fichiers gérés par un SGF  Windows, UNIX, LINUX…
 Traitements élémentaires : lire,  Fichier bien adapté à la gestion
écrire, supprimer… des données homogènes et
 Traitements globaux (au niveau importantes en volume.
du fichier) : lister, trier, dupliquer,  Exemples :
fusionner, scinder…  Fichier des abonnés d’une revue ;
 Le fichier est l’unité logique de  Fichier du personnel d’une
base d’un SGF. entreprise.

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II. Le concept de BD
 2.2. Qu’est-ce qu’une BD ?  On envisage l’automatisation des
trois sous-systèmes suivants du
 Soit une grande école telle que SI de cette école :
l’INP-HB.  Service Scolarité : gère les
 Les tâches administratives sont inscriptions des étudiants
assurées par des enseignants ou
 Service Bourse : gère les
des étudiants.
attributions de bourses
Service  Service Comptabilité : gère le
Bourse paiement de salaire aux
étudiant/enseignants assurant
Service Comptable des fonctions ; administratives.
Directeur Comptable
des bourses  Trois approches de solution :
Service
Scolarité  Fichiers dédiés ;
 Fichiers intégrés ;
 Base de données.

Directeur de
la scolarité
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 II. Le concept de BD
 2.3. Approche fichiers dédiés  Problèmes :
 Chaque Programmes  Pas d’unicité de la saisie
d’application (PA) gère ses  Redondance d’information
proches fichiers.  Conséquence : Incohérence du SI
 Solution :
 Partage de l’information
Service Service Service
PA Scolarité Bourse Comptabilité

SGF

Fichiers F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 F8
dédiés
Toto Toto Toto

 L’étudiant Toto est géré par tous

les services (F2, F4, F7).
 Source de problèmes potentiels.
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II. Le concept de BD
 2.4. Approche fichiers intégrés  Problèmes :
 Programmes d’application  Modification des structures des
fichiers.
partagent des fichiers.
 Conséquence : Modification des
PA rend les fichiers existants
Service Service Service
inutilisables.
PA
Scolarité Bourse Comptabilité  Pas d’indépendance entre PA et
fichier.
SGF
 Illustration :
Fichiers F1 F2 F3 F4 F5 F6  Ajoute d’un nouveau service :
intégrés "Conseil Etudiant".
Toto

 L’étudiant Toto est géré par tous

les services (F4).
 Fichier F4 est partagé

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 II. Le concept de BD
 Ce service peut faire appel :  Ce service peut nécessiter :
 à des données qui sont dans le SI  La création de nouveaux fichiers.
 Nom de l’étudiant, classe, cycle… :  ou la modification de la structure
fichier F4 de fichiers existants.
 ou nécessité la création de
nouvelles données
 NomConseiller... : fichier F7.

PA Service Service Service Service Conseil

Scolarité Bourse Comptabilité Etudiant

SGF

Fichiers
F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7
intégrés

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II. Le concept de BD
 Modification de la structure d’un  Solution :
fichier :  Rendre les PA indépendants des
 Ajouter de nouvelles rubriques caractéristiques telles que
l’organisation des fichiers et la
Etudiant
Etudiant
Nom structure des enregistrements.
Nom
Prénom
Prénom  Les PA ne manipulent plus
Classe
Classe
NomConseiller
directement des fichiers.
 Les PA manipulent des entités
 Modification peut entraîner : logiques liées aux fichiers par
 Changement de l’organisation : l’intermédiaire d’une table de
séquentielle, adressée correspondance.
 Modification des PA

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 II. Le concept de BD
 2.5. Approche BD Rôle du SGBD :


1. Assure la correspondance entre

 Les PA sont indépendants des les entités logiques et les
fichiers. fichiers.
Service Service Service
2. Intercepte chaque requête
PA Scolarité Bourse Comptabilité SGBD
manipulant les entités logiques
3. Analyse la requête en se référant
Vues à la table de correspondance
V1 V2 V3 Table de
logiques correspondance 4. Traduit la requête en ordres
Fichiers
pouvant opérer sur les fichiers
SGF
intégrés F1 F2 F3 F4 F5 F6 5. Transmet ces ordres au SGF

 Les PA ne manipulent plus les

fichiers directement.
 Les PA manipulent des vues
logiques.

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II. Le concept de BD
 Ajout du Service Conseil  On parle d’indépendance physique
"Etudiant" : entre données et traitements.

Service Service Service Service

PA Scolarité Bourse Comptabilité Conseil
Etudiant SGBD

Vues V1 V2 V4
V3
logiques
Table de
correspondance
Fichiers
intégrés F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 SGF

 Modification d’un fichier ?

 Se répercute maintenant sur la
description des correspondances
entre entités logiques et fichiers.
 L’immunité des PA aux
changements physiques dans la
BD est assurée.
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 II. Le concept de BD
 Vues logiques partielles  Schéma connu sous le nom
 = vues partielles de l’ensemble d'architecture ANSI/SPARC
des fichiers intégrés.  Divisée en trois niveaux : niveau
externes, niveau conceptuel et
 Vue logique globale niveau interne.
 = ensemble des vues logiques
partielles.

PA

Vues logiques SGBD

partielles
(vues externes) Correspondance
Externe/Global
Vues logiques
globales
Correspondance
Global/Interne
Fichiers
intégrés
(niveau interne)

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II. Le concept de BD
 ANSI : American National  L'architecture ANSI/SPARC est
Standards Institute une architecture fondamentale
sur laquelle reposent les SGBD
 Institut national de normalisation
modernes
américain
 Elle est divisée en trois niveaux :
 SPARC : Scalable Processor
 Schémas externes.
ARChitecture
 Schéma conceptuel.
 Architecture de microprocesseur  Schéma interne.
32 et 64 bits de Sun Microsystems
qui repose sur un traitement
informatique à jeu d'instructions
réduit (RISC, Reduced Instruction
Set).

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20
 II. Le concept de BD
 Définition d’une BD
 Ensemble structuré et cohérent de
données fiables stockées une
seule fois et de façon sûre,
représentant fidèlement un
domaine de l’organisation ou
commun à plusieurs
organisations. Ces données sont
disponibles dans le respect de la
confidentialité et utilisables, sans
risque de destruction ou
altération inopinée, pour
différents programmes qui ne
doivent pas remettre en cause la
structure des données et par
différents utilisateurs.
 Résumé :
 Une BD est donc un ensemble de
données reliées agissant comme
support des besoins d’une
organisation et dont les
caractéristiques sont :
 L’indépendance de la structure des
données par rapport à la structure
des traitements ;
 La possibilité de prendre en
compte les relations des
différentes données entre elles ;
 La non-redondance des données ;
 Le partage des données entre les
programmes d’application et les
interrogations de la base.

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21

II. Le concept de BD
 2.6. Historique des BD

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BD

22
 II. Le concept de BD
 BD hiérarchique (1960)  Séparation de la description des
 Proche des systèmes de gestion données des programmes
de fichiers. d’application
 Les données sont classées  Langages d’accès navigationnels
hiérarchiquement. (déplacement dans des structures
de type graphe pour accéder à
 Modèle le plus anciens une information).
 Particulièrement adapté aux  Impossible d’interroger une BD
organisations à structure sans savoir où était l'information
arborescente. recherchée (on "naviguait") et
 Risques d'anomalies lors sans écrire de programmes.
d'opérations de stockage, en
raison de sa structure
relativement rigide :
 la suppression d’un nœud
engendre la suppression des
données descendantes.

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BD

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III. Le concept de SGBD

 Exemple :
278
BROU
Enseignant Konan
Yakro

Cours
UV21 UV12
Algo BD
Etudiant 3 4

1 2
TOTO FROTO
Ali Mankou
Yakro Abidjan

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BD

24
 III. Le concept de SGBD
 BD réseau (1960)  Exemple :
 CODASYL (Conference on Data
Systems Languages)
Etudiant Enseignant
 Conférence sur les langages de
systèmes de traitement de
données.
Cours
 À la différence du modèle
hiérarchique, la structure n'est
pas forcément arborescence dans
le sens descendant, rendant
possible la relation plusieurs à
plusieurs.

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 25

BD

25

III. Le concept de SGBD

 BD relationnelle ou SQL (1970)  Langages assertionnels basés sur
 Basé sur la théorie des relations. la logique des prédicats
permettant de manipuler les
 Organise les données sous forme données sans dire comment les
de tables. accéder (par opposition aux
 Modèle le plus utilisé aujourd’hui langage navigationnel).
 Relativement facile à gérer et
mettre en œuvre
 Assure une faible redondance et
une cohérence élevée des
données.
 Enrichir le SGBD externe afin de
faciliter l’accès aux données

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BD

26
 III. Le concept de SGBD
 Exemple :

Etudiant Professeur
numEt nomEt adresseEt numPr nomPr adressePr
1 TOTO Yakro 1 BROU Yakro
2 FROTO Abidjan 2 GOORE Abidjan
3 Mankou Yakro

Suit Cours
numEt NumCo note numCo libellé numPr
1 UV1 15 UV1 BD 1
1 UV2 12 UV2 Réseau

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 27

BD

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III. Le concept de SGBD

 BD orientée objet (1986)  BD orientée document
 Issue des langages de  Une BD orienté document classe
programmation orientés objet les données en tables avec des
 Un objet regroupe en une seule documents permettant
entité données et fonctions de d'enregistrer les informations.
traitement de ces données.  Modèle approprié pour des
 Bénéficie à la fois de la puissance donnés semi-structurées, c'est-à-
de modélisation des modèles dire ne suivant pas une structure
objets et de stockage d'un SGBD fixe (XML).
pour gérer des structures de
données complexes.

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 28

BD

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 III. Le concept de SGBD
 BD noSQL (not only SQL) :  Caractéristiques
 NoSQL = Not Only SQL  Pas de relations, schéma Flexible
 Proposé par Carl Strozzi en 1998.  Pas de schéma physique ou
 Pourquoi NoSQL ? dynamiques
 Besoin de performance  Notion de "collections"
 Car les SGBDR ne peuvent pas  Données complexes
traiter efficacement les volumes  Imbrication, tableaux
de données supérieurs à 1 To.  Distribution de données (milliers
 Nouvelles approches de stockage de serveurs)
et de gestion des données :  Réplication des données
 Permet une gestion d’objets  Haute disponibilité
complexes et hétérogènes sans  Cohérence relâchée (pas de
avoir à déclarer au préalable transactions, pas de propriétés
l’ensemble des champs ACID).
représentant un objet.
 Pas de langage déclaratif mais
 NoSQL, ne se substituant pas aux plus de programmation
BD Relationnels mais les complète
en comblant leurs faiblesses.
INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 29
BD

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III. Le concept de SGBD

 3.1. Définition Utilisateur
 Un SGBD est un logiciel qui
permet à l’utilisateur d’interagir
avec une BD. Il permet SGBD
d’organiser les données sur les
périphériques et fournit les
procédures de sélection et de BD
recherche de ces mêmes
données.
 UN SGBD est donc une interface
entre l’utilisateur et les données
stockée sur le support de
mémorisation.

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 30

30
 III. Le concept de SGBD
 3.2. Les différentes couches Programme Programme
d’un SGBD d’application
Visual Basic
d’application
C
Programme Programmeurs
 Le SGF est au cœur des SGBD d’application
Java SGBD Externe
SGBD interne
SGF

MS

Comptable Utilisateurs
Directeur directs
Analyste Commercial
Financier

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 31

31

III. Le concept de SGBD

 3.3. Les objectifs d’un SGBD  Cela nécessite une transformation
entre niveau externe et
 Indépendance logique des conceptuel.
données  Table de correspondance
 But : permettre à l'utilisateur du Externe/Global
niveau externe (programmeurs  Avantages :
d'application ou utilisateurs
 Les PA du niveau externe n'ont
finaux) d'ignorer la structure du
pas à avoir la vision globale de
niveau logique.
toute l'entreprise. Ils agissent à
PA partir des vues.
Vues logiques SGBD  En cas d'une modification du
partielles
(vues externes)
schéma au niveau logique (ex.
Correspondance
Externe/Global nouvelle rubrique), n’entraîne pas
Vues logiques de modification dans les PA non
globales
concernés.
Fichiers
intégrés
(niveau interne)
INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 32

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 III. Le concept de SGBD
 Indépendance physique des  Cela nécessite une transformation
données entre niveau logique et physique.
 But : permettre à l'utilisateur du  Table de correspondance
niveau logique d'ignorer la Global/Interne
structure du niveau physique.  Avantages :
 Disque, bande, organisation….  Les PA sont plus simples à écrire,
du fait de ne pas avoir à
manipuler des entités complexes
PA (structures d'enregistrement,
SGBD
méthodes d'accès…) ;
Vues logiques
partielles  Dans le cas d'une modification des
(vues externes) Correspondance caractéristiques du niveau
Externe/Global
Vues logiques
physique, les PA n'ont pas à être
globales
Correspondance
modifiées.
Global/Interne
Fichiers
intégrés
(niveau interne)

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 33

33

III. Le concept de SGBD

 Manipulations des données par  Développeurs d'applications :
des non informaticiens écrivent, à partir du niveau
conceptuel ou des niveaux
 But : offrir aux différents types
externes, des PA pour eux-mêmes
d'utilisateurs des moyens d'accès
ou pour les utilisateurs finaux.
à la BD adaptés à leurs besoins et
à leurs connaissances.  Utilisateurs finaux : utilisent un
langage simple (si possible proche
 Plusieurs types d’utilisateurs : du langage naturel) pour
 Administrateurs de la BD : manipuler les données
gèrent les données aux niveaux simplement (interrogation et mise
physique (administrateur de BD et à jour) et de manière interactive
ingénieur système) et conceptuel ou à partir de programmes
(administrateur de BD et d'application.
concepteur).

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 34

34
 III. Le concept de SGBD
 Efficacité des accès aux données
 But : permettre aux utilisateurs
d'ignorer les structures physiques
et les chemins d'accès à
l'information.
 Le SGBD prend à sa charge un
lourd travail d'optimisation.
 Il utilise les meilleurs chemins
d'accès, mais aussi le parallélisme
ou des algorithmes de recherche
sophistiqués.
 Il permet de minimiser le volume
des données accédées et le temps
d'exécution des requêtes.
INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD
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III. Le concept de SGBD
 Cohérence des données
 L'intégrité logique de
l'information est souvent vérifiée
par les PA dans les organisations
traditionnelles à bases de fichiers.
 Dans une approche BD, elle fait
partie de la description de la
réalité conceptuelle du SI.
 La vérification de l'intégrité est
une composante du modèle de
données et une tâche du SGBD qui
la met en œuvre.
 L'intégrité sémantique correspond
à des règles explicitant des
contraintes du monde réel.
INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD
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 Sécurité des données
 But : protéger les données contre
les pannes et à refuser les accès
aux personnes non autorisées.
 Le système doit présenter un
mécanisme de vérification des
droits d'accès aux objets de la
base.
 Il doit garantir des reprises après
panne en restaurant la BD dans le
dernier état cohérent avant la
panne.
35
 Respect des propriétés ACID :
 Atomicité : Tout ou rien, une
transaction exécute toutes ses
actions ou aucune.
 Cohérence : Intégrité des
données, passage d’un état
cohérent de la BD à un autre état
cohérent de la BD.
 Isolation : Pas d’interférence
entre transactions, résultats d’une
transaction visibles par les autres
transactions qu’après validation.
 Durabilité : Journalisation des
mises à jour, modifications
effectuées garanties même en cas
de panne.
36
 III. Le concept de SGBD
 Exemple de contraintes d’intégrité
(CI) :
 Un étudiant doit avoir moins de 23
ans en 1ère année ;
 Il faut avoir au moins 12 de
moyenne pour passer en classe
supérieure
 Toute requête de MAJ (insertion,
modification, suppression) ne
respectant pas l'ensemble des CI
est rejetée par le SGBD.
 Non redondance des données
 La suppression de la redondance
des données, vise à garantir la
cohérence de l'information et à
simplifier les MAJ.
 Cependant, la redondance est
parfois nécessaire pour garantir la
fiabilité et les performances, ou
pour la répartition des données.
 La redondance anarchique des
données doit être éliminée
 La redondance voulue doit être
contrôlée en propageant la mise à
jour d'une donnée redondante.

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 37

37

III. Le concept de SGBD

 Partageabilité des données  Problème complexe quand il s'agit
de modifications dans un contexte
 But : permettre à plusieurs multi-utilisateurs. Pouvoir :
utilisateurs d'accéder aux mêmes
données au même moment.  Permettre à deux (ou plus)
utilisateurs de modifier la même
 Problème simple à résoudre donnée "en même temps" ;
quand il s'agit uniquement
d'interrogations dans un contexte  Assurer un résultat d'interrogation
mono-utilisateur cohérent pour un utilisateur
consultant une table pendant
qu'un autre la modifie.

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 38

38
 IV. Architecture d’un SGBD
 4.1. Présentation
 Un SGBD doit fournir les services de
base d’un système opératoire :
 Gestion des données physiques en
mémoire centrale (persistance) ;
 Gestion de la sécurité des
données avec contrôle de
synchronisation ;
 Gestion de plusieurs processus
concurrents ;
 Gestion des reprises sur panne
(transactionnel) via les journaux
(LOG).
 Gestion des données tabulaire
vues par l’utilisateur (schéma) et
la correspondance entre données
logiques et physiques.
 L’utilisateur a une interface non
procédurale d’accès aux données
via SQL .
 Le SGBD doit traduire chaque
requête en l’optimisant, en
procédure d’accès aux données
physiques.

INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 39

39

IV. Architecture d’un SGBD

 Architecture Gestionnaire logique de la BD

Interpréteur
de requêtes SQL Gestionnaire
du schéma
Optimiseur
Syntaxique
Gestionnaire
sémantique
de la BD
Sécurité/intégrité
et transaction

Gestionnaire physique de la BD

Mémoire cache et Mémoire cache

mémoire centrale centrale

Gestion fichier Gestion physique

journal LOG de la BD

BD BD
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 IV. Architecture d’un SGBD
 4.2. Gestion de la mémoire
physique
 Gestion virtuelle de la mémoire :
 Mémoire secondaire et mémoire
centrale (MC) sont découpées en
pages (mémoire paginée).
 Taille d’une page est un multiple
d’un bloc d’E/S (512 octets) :
 SQL Server : 2 Ko
 Oracle : 4 Ko.
 Principe de mémoire paginée :
 Uniformiser l’espace mémoire
 Donner l’impression à un
processus de s’exécuter dans une
mémoire illimitée.
 Algorithme des gestions des
pages est le LRU
 Least Recently Used
 Permet de remplacer les pages
non utilisées en MC par des pages
situées en mémoire secondaire
(lorsque la pile des pages situées
en MC est pleine).

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IV. Architecture d’un SGBD

 Mémoire cache  LRU permet d’éliminer la page la
 Zone tampon de MC contenant les moins récemment utilisée de la
pages actives. MC lorsqu’un défaut de page se
produit.
 Se comporte, pour le processus
utilisateur comme un cache-  Méthode standard d’implantation
disque. d’un index dans un SGBDR
 Deux mémoires caches :  Utilise les arbres B en mémoire
 une pour les données de la BD paginée.
 une pour les données de  La racine étant dans le cache.
sauvegarde.
 Taille des mémoires caches :
 Importante pour des besoins de
performance.
 Augmenter la chance de la
présence en MC des pages utiles
et évite le défaut de page.
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 IV. Architecture d’un SGBD
 4.3. Gestion des processus  Lors de chaque suspension de
processus, une zone de contexte
utilisateurs de données est sauvegardée.
 La gestion des processus  Ce mécanisme n’est pas efficace
concerne l’allocation en MC des lorsque le nombre d’utilisateurs
processus SGBD associés aux est important (déperdition de
différentes applications. stockage pour les contextes) .
 Chaque application génère un  Le processus SGBD est un
véritable système opératoire
processus utilisateur contrôlé par
autonome qui gère un ensemble
le SGBD avec deux approches
de (sous-) processus utilisateurs :
principales : le gain de temps est significatif.
 Un processus SGBD est alloué à  Cette technique porte le nom de
chaque processus utilisateur avec multisession ou multifiletage
un SGBD réentrant. (multi-threadind) et utilisée par
les serveurs SQL actuel.

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IV. Architecture d’un SGBD

 4.4. Gestion des requêtes et  Représentation interne des
optimisation requêtes
 Se présente sous forme d'un arbre
 Tout SGBD relationnel a un algébrique ;
optimiseur de requêtes.
 Les nœuds feuilles représentent
 Il transforme la requête les relations sur lesquelles porte
utilisateur en une requête la commande ;
équivalente optimale pour le
 Les nœuds non feuilles
système.
représentent les opérateurs
algébriques qui s'appliquent sur
ces relations.

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 IV. Architecture d’un SGBD
 Exemple :  Solution
 Soit le schéma relationnel :  Schéma Entité/Association
 Cinema(codeC, adresse, gerant) Cinema
0,n Salle
 Salle(numS, capacite, #codeC) codeC possede 1,1
numS
 Hypothèses : adresse capacite
gerant
 300 tuplets dans Cinema,
occupant 30 pages.
 Requête
 1200 tuples dans Salle, occupant
120 pages. SELECT adresse
 Sélectivité : 5% de salles de plus FROM Cinema c, Salle s
WHERE capacite > 150 AND
de 150 place.
c.codeC = s.codeC
 Requête SQL :
 Quelles sont les adresses des
cinémas ayant des salles de plus
de 150 places.

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IV. Architecture d’un SGBD

 Deux arbres algébrique :  πadresse(Cinema ⋈ σCapacite>150(Salle))
 πadresse(σCapacite>150(Cinema ⋈ Salle))
Résultat
Résultat
adresse
adresse T2
T2 codeC codeC
=
capacite >150
T1
= Cinema
T1 capacite >150
codeC codeC
=

Salle Salle
Cinema
Arbre 2
Arbre 1

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 IV. Architecture d’un SGBD
 Calcul du coût

T1 Sélection 2 : 1200, on retient 60

T1 jointure de Cinema et Salle 1 : 300x1200 T2 jointure : 300x60, on retient 60
T2 Sélection : 300x1200, on retient 60 Résultat Projection : 300x60
Résultat Projection : 60 Coût : 1200 + 300x60 + 60 = 19 200
Coût : 300x1200 + 300x1200 + 60 = 720 060
 Meilleur arbre : arbre 2
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IV. Architecture d’un SGBD

 Critères d’optimisation d’une
requête sont :
 Syntaxiques ;
 statistiques ;
 sémantiques.

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 IV. Architecture d’un SGBD
 Critères syntaxiques  Critères statistiques
 Mettent en jeu les propriétés  Mettent en jeu la cardinalité des
formelles des opérateurs relations, l’existence d’index, le
relationnels : commutativité, degré de sélectivité d’un filtre lié
associativité… à une utilisation réelle de la BD et
 Permettent de réduire au à un état de la BD (ces données
maximum le degré et la sont stockées dans des tables
cardinalité des relations à joindre. systèmes).
 Par descente des opérateurs  Les plans d’exécution d’une
unaires de sélection/projection requête sont construit par le
dans l’arbre. système et accessible à
l’administrateur par des
commandes SQL.

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IV. Architecture d’un SGBD

 Critères sémantiques
 Peuvent être envisagés dans un
SGBDR qui intègre un véritable
langage de règles permettant la
transformation d’une requête, par
ajout de conditions logiques, en
une requête sémantiquement
équivalente qui permettrait
l’utilisation d’accélérateurs
(index).

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 V. Exercices
 Q1 : Qu'est ce qu'une BD ?  Q3 : Quelles sont les sécurités
a) C'est un ensemble offertes par un SGBD ?
d’enregistrements. a) L’accès aux données par
b) C'est un logiciel. authentification des utilisateurs.
c) C'est une collection d'informations b) Des mécanismes de résistance aux
structurées. pannes.
 Q2 : Quels sont les avantages liés à c) Des mécanismes de haute
l'utilisation des SGBD disponibilité.
a) L'utilisation d'un langage de requête  Q4 C’est quoi une contrainte
déclaratif. d'intégrité ?
b) Une plus grande indépendance par a) C'est ce qui permet de vérifier qu'un
rapport au système d'exploitation. utilisateur de la BD est intègre.
c) Une description unique et globale b) C'est une propriété qui doit être
des données manipulées. respectée par les données pour que
la BD soit cohérente.
d) La gestion de données très
volumineuses. c) C’est une règle que les données
doivent respectées.
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V. Exercices
 Q5 : que signifie l'acronyme ACID ?  Q7 : Quels sont les différents
a) Atomicité, Cohérence, Intégrité, modèles de données ?
Durabilité. a) Relationnel
b) Atomicity, Consistency, Isolation, b) Entité/Relation
Durability. c) Structuré
c) Atomicité, Cohérence, Isolation, d) Objet
Durabilité  Q8 : L'architecture ANSI/SPARC
 Q6 : Qu'est qu'une transaction ?
a) Architecture 3 niveaux pour les
a) Echange entre deux personnes qui schémas de BD.
se conclu par un accord.
b) Architecture des BD relationnelles.
b) Unité d'exécution d'un SGBD.
c) Architecture 4 niveaux pour les
c) Programme qui fait des lectures schémas de BD.
et/ou écritures sur une BD en
respectant les propriétés ACID.

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 V. Exercices
 Q9 : Qu'est-ce qu'un SGBD ?  Q12 : Le stockage des données dans
a) Logiciel permettant de gérer des BD un fichier
b) Logiciel permettant de gérer des a) Lie les données et les traitements.
fichiers b) Facilite la gestion des données
c) Système de gestion des fichiers de hétérogènes.
données c) Peut poser des problèmes de
 Q10 : Où le SGBD stocke-il les redondances, donc d'incohérences.
données ?
a) Dans des fichiers ?
b) Dans des tables
c) Dans des enregistrements
 Q11 : Un programme utilisateur
interagit directement avec la BD.
a) Vrai
b) Faux

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V. Exercices
 Q13 : Quels sont les objectifs de
l'architecture ANSI/SPARC ?
a) Assurer une indépendance entre le
schéma conceptuel et les
programmes d'applications.
b) Assurer une indépendance du SGBD
par rapport au système
d'exploitation.
c) Assurer une indépendance de
l'utilisateur par rapport au SGBD
utilisé.
d) Assurer une indépendance entre le
schéma conceptuel des données et
les structures de stockage.

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 Bibliographie
 Livres "Base de données, les systèmes
 "Modélisation dans la conception et leurs langages", G. GARDARIN,
des systèmes d’information", Edition Eyrolles
Edition Masson.  "Système d’information et base
 "Les fichiers et organisation des de données", GALACSI, Bordas
données", C. JOUFFROY, Informatique
C.LEITANG, Bordas Informatique  "Acquisition et exploitation de
 "Base de données et systèmes bases de données", support de
relationnels", C. DELOBEL, M. cours J. N’sondé
ADIBA, Dunod Informatique  Client-Serveur, moteur SQL,
 "Les bases de données middleware et architectures
relationnelles", Serge MIRANDA, parallèles, par Serge MIRANDA et
José Maria BUSTA Anne RUOLS, Editions Eyrolles.
 Introduction aux bases de
données, 8e édition, Chis J. DATE,
INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Vuibert
Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD 55

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Bibliographie
 Support de cours Web
 Cours de
Yolaine.Bourda@supelec.fr
 Cours de Mme Silber
cours@www-aius.u-strasbg.fr

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 Bibliographie
 Livre
 [LECLERCQ-VANDELANNOITTE A.
(2009), « Un regard critique sur
l'approche structurationniste en SI :
une comparaison avec l'approche
foucaldienne », AIM 2009.
 LECLERCQ-VANDELANNOITTE A. et
ISAAC H. (2013), « Technologies de
l'information, contrôle et panoptique :
pour une approche deleuzienne »,
SIM, vol. 18, no 2, p. 9-36.
 EIX R. (2004), Systèmes
d'information et management des
organisations, Vuibert, 5ème édition.
 REIX R. et ROWE F. (2002), « La
recherche en systèmes d'information
ide l'histoire au concept », Editions F.
INP-HB/DFRMI/K. M. BROU Rôle du SI dans une organisation : Ch1.2 BD
 Rowe. ln Faire de la recherche en
systèmes d'information, Editions
Vuibert, Collection Fnege, p. 1-17.
RODHAIN F., FALLERY B., GIRARD A.
et DESQ S. (2010), « Une histoire de
la recherche en Systèmes d'
Information à travers 30 ans de
publications », Entreprises et
Histoire, vol.3, p. 323-339.
 ROWE F. (2009), « Les approches
critiques en Systèmes d'Information
: de la sociologie de la domination à
l'éthique de l'émancipation », AIM
2009.
57

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Bibliographie
 Webographie
 Christine PORQUET : ENSICAEN -
1ère année – 2nd semestre –
Algorithmique avancée :
Poly_Algo_avancee_debut.pdf
 http://brassens.upmf-
grenoble.fr/IMSS/limass/algopro
g/algocours.html
 http://dept-
info.labri.fr/ENSEIGNEMENT/arch
i/cours/archi.pdf

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