Marika Barrette

(300168894)

Examen Final 2020

Travail soumis au professeur

Jean Baptiste Mario Samedy

Dans le cadre du cours

Élément de sociologie (Soc 1501 C00)

Université d’Ottawa

Le jeudi 17 décembre 2020

 La socialisation est le processus par et dans lequel les individus, depuis l’enfance en

passant par l'adolescence et l’âge adulte et la vieillesse donc durant toute leur vie, s'approprient

activement et intériorisent des comportements, des valeurs, des croyances, des normes, des rôles,

des rites, des coutumes des représentations particulier à leur milieu socioculturel. Le processus

de socialisation se développe en 5 moments : intégration, apprentissage, critique, innovation,

changement.

Une classe sociale est un groupe d’individus propriétaire des moyens de production, d’échange et

de consommation de biens matériels et services sociaux rares (marchandises) ou propriétaires de

leur force de travail manuel et intellectuel (niveau économique), qui partage les mêmes

représentations de la nature et de la société (niveau idéologique) et qui exerce une certaine

influence ou action sur la structure sociale (niveau politique et/ou juridique). Nous retenons 6

critères de définition des classes dont la création provient de l’émergence du capitalisme

moderne (du XVIe siècle à 1980) et du capitalisme avancé ou néolibéral (de 1980 à nos jours).

La conscience sociale est l’ensemble contradictoire des sentiments, des idées, des

représentations, des théories et/ou des doctrines des différents groupes en interaction

permanente, pacifique ou conflictuelle. Cette conscience sociale ainsi définie est la vision qu’il

faut mettre en œuvre pour donner naissance aux rapports entre les individus, les groupes et les

institutions qui forment la structure sociale, pour la transformer dans une modalité concrète

d’organisation de la vie. Dans notre exemple historique du changement nous observons la mise

en action de la conscience sociale capitaliste pour opérer la transition du féodalisme au

capitalisme en Europe, du 16e siècle au 21e siècle, aux niveaux économiques (la part matérielle

des rapports), idéologique, scientifico-technique et politique (la part idéelle des rapports).
Le conflit social est que nous distinguons trois types de conflits à savoir : le conflit économique,

le conflit idéologique et politique. Nous le considérons comme la lutte entre deux ou plusieurs

groupes sociaux, groupes éthiques, entre groupe religieux, entre les groupes d’âge, entre les

groupes sexuels, entre les genres, entre les classes sociales, les partis politiques, état et

communauté citoyenne, états centraux, semi-périphériques et périphérique, dont les intérêts

idéels et matériels sont contradictoires ou antagoniques. Cette lutte économique, politique,

ethniques, sexuelle, religieuse, des genres peut aboutir à un affrontement verbal, physique ou

armé jusqu’à parfois l’anéantissement physique de l’adversaire dans le cas de la lutte armée.

Le changement social c’est le processus historique de remplacement d’un groupe par un autre ou

de transformation d’un groupe en autre, d’une société en une autre en spécifiant leur différence

de nature ou de forme.

Un événement historique qui peut expliquer les rapports entre les cinq concepts et la

Seconde Guerre Mondiale. La socialisation est les normes de la société, donc ce qu’un être

pouvait faire et ne pas faire afin d’être accepté dans la société. La manière que les individus

vivaient avant est très différente à aujourd’hui. Par exemple, ils n’étaient pas libre d’expression

et leur comportement ne reflétaient pas leur croyance. Les valeurs étaient transmises par le

gouvernements Nazi, donc les allemands agissaient de manière à respecter cette idéologie forcée.

Le processus de socialisation se développe en 5 moments. L’apprentissage était décidé par le

gouvernement, par exemple, en Allemagne Adolf Hitler contrôlait entièrement ce qui se passait

dans son pays. De plus, l’intégration des individus dépend de chaque pays, car au Canada les

humains peuvent participer à toutes les activités sociales mais à cette époque en Allemagne

c’était quelque chose qui était difficile à atteindre. Pour suivre, la critique est la remise en
question par les individus, donc par exemple, lorsque les Allemands voulaient remettre en

question l’éducation familiale et leur scolarité, ils devaient simplement écouter leur chef. Par

contre, un autre exemple, au Canada c’est le moment où qu’un individu devient lui-même,

autonome et prend en considération ce qu’il choisit de croire et de non croire. De plus,

l’innovation est la capacité à créer de nouvelle représentation et de nouvelles pratiques, alors, les

allemands pouvaient seulement faire des nouvelles pratiques après que leur gouvernement

change d’idéologie, c’est-à-dire, lorsqu’Hitler n’est plus au pouvoir.

Pour suivre, les classes sociales jouent un rôle important. Le premier critère est le plus

fondamentale parce qu’il se situe dans la classe de la base matérielle et reproduction de la vie

dans les rapports économiques. Les propriétaires de production et d’échanges sont les capitalistes

et bourgeois. Par exemple, les allemands ont été des travailleurs forcés et ceux-ci ont été utiliser

dans l’économie à l’intérieur de l’Allemagne nazie pendant toute la guerre. Un autre critère se

rapporte à la lutte des classes. Cette lutte se déploie au niveau idéologique. Par exemple, les juifs

étaient perçus comme un individu faible alors ils essayaient de se démarquer afin de pouvoir être

égal aux autres humains allemands. De plus, la vision marchande est partagée par les capitalistes

et les salariés. Les capitalistes recherchent un profit maximum et les salariés recherchent le

salaire maximum. Par exemple, Hitler se faisait beaucoup plus d’argent comparer à ses citoyens.

Le rapport politique joue un rôle important dans les classes sociales. Par exemple, Hitler était un

dictateur et un nazi qui contrôlaient tout le monde. Les deux classes sociales étaient très clair et

les individus sont pleinement conscientes de leur situation historique.

La conscience sociale, comme tout le rapport social comporte deux parties, l’une

matérielle (pratiques) et l’autre idéelle (représentations). C’est de leur interrelation continue qui

résulte, qui se produit ce rapport historiquement déterminé. Par exemple, le changement

historique du changement est observé lorsque Hitler devient un dictateur. Les citoyens allemands

ne savaient pas qu’il allait faire des décisions affreuses. Ceci dit, avec les rapports juridiques,

Adolf a été à l’ensemble contradictoire des sentiments, des idées, des représentations, des

théories et des doctrines des différents groupes car il tuait les juifs sans aucun sentiment de

remord. De plus, aux niveaux économiques (la part matérielle des rapports) l’Allemagne est

touchée lors de la transmission du féodalisme au capitalisme. Par exemple, l’économie en

Allemagne est tombée dans une période privation et des destructifs par les bombardements. De

plus, un autre exemple, le Canada faisait de la bonne économie à cause des industries qui

faisaient les armes. Pour suivre, la fausse conscience est une représentation qui ne correspond

pas à la situation et aux intérêts matériels ou idéels des classes sociales, elle est erronée. Par

exemple, certains capitalistes pensent rendre service aux salariés pour accomplir un devoir

patriotique en les embauchant pour un salaire. Pour suivre, la conscience sociale de Hitler était

qu’il voulait la supériorité de la race blanche et la plupart des allemands avaient une conscience

sociale qui était totalement différentes. Ceci dit, le tout cause un conflit social.

Le conflit social est divisé en trois types de conflits : le conflit économique, le conflit

idéologique et le conflit politique. Le conflit économique signifie un conflit d’intérêt qui critique

un ou des aspects, non seulement de la divison technique du travail. En ce qui concerne la

division technique du travail, par exemple les salariés remettent en question la répartition des

tâches au niveau d’une surcharge de travail non payée. Ceci dit, pendant la Seconde Guerre

Mondiale, les citoyens allemands devaient travailler pour lui sans se faire payer. Adolf Hitler

faisait des profits de plus grâce aux gens qui travaillaient dans les usines. De plus, le conflit

idéologique, il est une critique forte représentations, des théories, des doctrines, des valeurs, des

images, des croyances et des symboles de certains groupe sociaux par d’autres. Par exemple,
l’affrontement idéologique majeur qui s’est produit en Allemagne. Ceci dit, l’affrontement entre

les juifs et les nazis étaient un des critères horribles durant la Seconde Guerre Mondiale. Par

contre, Adolf Hitler était tellement contre l’idéologie des juifs qu’il décide de les mettre dans des

camps de concentration. Pour continuer, le conflit politique est considéré comme le combat qui

se livre entre divers groupes sociaux (partis politique, confession religieuse, groupe rebelles ou

des gouvernants nationaux) pour la prise ou maintien du pouvoir de l’État. Par exemple,

l’Allemagne était en désaccord avec plusieurs pays. La population le craignait en général à cause

de ses mesures extrêmes.

Pour ajouter, le changement social contient trois sphères, le secteur primaire, le secteur

secondaire et le secteur tertiaire. Premièrement, un exemple est qu’après la Seconde Guerre

Mondiale, l’Allemagne était dévastée. Par contre, ce pays est devenu producteur d’uranium et

d’autres aspects agricoles qui ont fait bouger l’économie. De plus, un autre exemple important

est la transition du féodalisme au capitalisme en Europe qui touche les quatre niveaux

économique, idéologique, politique et juridique. Pour suivre, le changement social est aussi un

exemple de lorsque la Seconde Guerre Mondiale a terminé. Les rapports idéologiques et

politiques sont présents car l’Allemagne change de mentalité en voulant s’accorder avec les juifs

et créer un pays sécuritaire. De plus, les rapports politiques sont par exemple la lutte entre les

membres des ordres et ceux des classes, entre les strates des gouvernant et gouvernés. Ceci dit,

l’Allemagne, surtout les juifs, ont lutté afin de pouvoir avoir leur propre liberté entre les

membres des ordres et ceux des classes. Un autre exemple est que les nazi (Hitler) a pris le

pouvoir et nationaliste les biens des riches et le tout abouti à une révolution économique et

révolution idéologique. Les rapports juridiques impliqués sont qu’il était un dictateur et il ne

permettait pas aux êtres humains de résoudre des problèmes de justice.

 L’intelligence est un aspect rare, encore plus rare que la raison. Ceci dit,

l’intelligence est l’outil qui fait avancer le monde afin que celui-ci devient meilleur et

plus efficace pour les individus. La recherche scientifique est celle qui vise à

l’augmentation du stock de connaissances ainsi qu’à la production et développement de la

technologie. En effet, la recherche se penche sur des sujets très intéressant que les pays

les plus en pointe évaluent mystérieusement. Les domaines particuliers sont des

nanotechnologies, biotechnologies, technologie de l’information, des sciences cognitives,

ceci dit, le développement du cerveau et des organes. Le dernier exemple mentionné est

aujourd’hui l’extrême sujet des recherches.

L’aventure mondiale de la recherche scientifique se développent habituellement

dans les laboratoires des universités, ceux des grands centres de recherche et de quelques

grandes entreprises. Le tout repose sur une volonté politique et implique évidemment des

moyens. Elle s’inscrit sur une tradition et s’appuie sur des organisations. Ces trois

préalables créer des exigences telles que certains pays qui peuvent espérer conduire avec

succès une politique de recherche. En effet, la volonté politique est nécessaire lorsqu’il

faut soutenir financier la recherche dans le domaine précis. Effectivement, il faut un

esprit visionnaire pour faire cet échange de l’intelligence pour l’intelligence. Ceci dit, les

chercheurs scientifiques qui travaillent dans un laboratoire pour le gouvernement. Pierre

Dac, un humoriste mentionne que des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des

chercheurs qui trouvent on en cherche. Ceci dit, les gens se moquent des chercheurs qui

se perdent dans leur pensée. Par contre, ce que Pierre Dac ne dit pas c’est que le

chercheur qui cherche sans rien trouver rend parfois d’éminents services à la science. Et

bien, qu’un chercheur qui trouve quelque chose peut évidemment démontrer qu’il ne s’est
pas donné la peine de cherche plus loin dans sa recherche demandée. En effet, tous les

recherches qui ont échoué ont leurs vertus. Un des conseillers du président de Stanford

dit qu’ils essayent de créer un climat qui permet une liberté, une grande exigence et une

approche constructive de l’échec. Un chercheur qui n’échoue pas beaucoup montre que

celui-ci ne rejoint pas son maximum.

Le chercheur de qualité est rarement un être simple. Celui-ci a souvent du mal à

s’intégrer au sein d’une collectivité et à respecter une autre discipline que la sienne. Le

président d’Harvard entre 1933 et 1953 mentionne que pour faire progresser la science, il

faut trouver un homme de génie, lui donner l’argent et le laisser tranquille. Dans un autre

pays, la France dit que lorsqu’il embauche un chercheur il s’intéresse seulement à

comment le scientiste pose des questions et quel est l’échec dont il est le plus fier.

Pour suivre, pour un développeur un produit raté est une perte tandis que pour un

chercheur, un produit raté est une piste. Plusieurs se demandent : Pourquoi chercher? À

cette question précise, il n’existe qu’une seule réponse : sans la science fondamentale, il

n’y aurait pas de science appliquée, car il n’y aurait tout simplement pas de science à

appliquer. De plus, l’intelligence n’est pas seulement à savoir tous mais de comprendre

avant de savoir. C’est le fait de décider ce que l’on va faire quand on ne sait pas quoi

faire. En effet, une autre question intrigante : Comment chercher? Le « discours de la

méthode » sur lequel repose la recherche presque partout dans le monde depuis la

Seconde Guerre mondiale. Ce rapport dit les vérités simples comme les découvertes en

sciences fondamentales qui sont la base de tous les développements technologiques, les

défis économiques de la recherche se font souvent attendre des décennies. Et finalement,

les applications possibles ne sont pas toutes imaginaires au départ. Ceci dit, quand le laser

à été inventer, personne n’a cru que celui-ci serait utilisé dans les chirurgies oculaires.

Pour continuer, le grand débat qui n’a jamais été réglé est que les industriels

souhaitent innover puis fabriquer, et les « cerveaux » qui veulent penser, chercher et

publier. Pour la recherche fondamentale, le dilemme car le temps long est indispensable

lorsque les chercheurs veulent chercher loin. Bref, ce sont les gouvernements qui doivent

intervenir.

Vannevar Bush est un personnage important dans la nature du soutien que le

gouvernement américain devra apporter à la recherche scientifique. Il y a trois principes

qui sont toujours visé : le gouvernement fédéral assume la responsabilité de financier la

recherche fondamentale ; ensuite, ce sont les universités plutôt que les laboratoires

gouvernementaux, puisque le gouvernement détermine le montant total des fonds donnés

aux différents domaines de la science, les projets et programmes scientifiques sont

évaluée ainsi que l’évaluation par les chercheurs eux-mêmes. Par contre, la politique et

commercial ne doivent pas influencer le mérite scientifique. Ce système a connu du

succès presque partout dans le monde. Il a même l’avantage d’exposer tous les étudiants

aux techniques les plus spécifique de la recherche.

Pour suivre, plus un marché est compétitif, plus il est vulnérable à la fraude. Le

Web of Science est une base de données qui contient un 38 millions de citations. Le WoS

inclut l’analyse de 8700 journaux en sciences compliqués. La couverture de domaine plus

proches des cadres comme l’ingénierie n’est pas aussi bonne que pour ceux de la

recherche fondamentale. Le WoS ne représente qu’une faible partie de la littérature

scientifique mondiale.
 Le WoS est une base utiliser partout dans le monde, celui-ci est souvent accusé

d’un penchant proaméricain et pro-anglo-saxon. Ceci dit, il contient 98,74% d’articles en

anglais, 0,234% d’articles en français, 0,205% en chinois et 0,09155%. De plus, une

action qui commence à se propager consiste à demander aux auteurs d’articles acceptés

dans un journal d’inclure des références d’articles dans ce même journal (autocitation).

L’autocitation est un moyen d’influencer le JIF (journal impact factor). Lorsqu’un auteur

fait référence à ses propres articles, celui-ci paraît bien mais si un groupe de chercheurs

décident de citer les uns les autres le plus souvent possible, il s’agit d’une manipulation.

La question posée par plusieurs est de savoir si l’obligation de publier à outrance

ne finit pas par nuire à la qualité de recherche. En analysant, une étude montre que

l’establishment de la recherche est plus probable de soutenir une hypothèse par des

auteurs originaires de régions académiques. L’establishment a tendance à vouloir des

résultats positifs et non des résultats négatifs. Cette discrimination pourrait nuire à

l’intégrité de la recherche. Il existe des indicateurs qui évaluent des recherches pour

inciter les jeunes chercheurs à s’orienter vers des domaines où il est possible d’obtenir de

bons résultats. Les indicateurs peuvent constituer un frein à l’innovation. Le milieu de la

publication scientifique est unique. Tous les auteurs sont égaux mais c’est sûr que

certains le sont plus que d’autres. Un auteur dont le nom est connu sera plus facilement

publié. Ceci dit, l’auteur populaire connaît les obstacles à éviter et les réseaux qu’il faut

actionner.

Pour conclure, souvent les chercheurs membres de comité sont accompagnés par

leur pairs. Il est toujours bon d’avoir des gens bien introduit dans son comité de lecture
afin de défendre une revue. La ruée vers l’intelligences est en développement par les

chercheurs.
 Bibliographie

J.B Mario Samedy, note de cours automne 2 novembre 2020

J.B Mario Samedy, note de cours automne 9 novembre 2020

J.B Mario Samedy, note de cours automne 16 novembre 2020

J.B Mario Samedy, note de cours automne 23 novembre 2020

J.B Mario Samedy, note de cours automne 14 septembre 2020

J.B Mario Samedy, note de cours automne 7 décembre 2020

J.B Mario Samedy, note de cours automne 9 décembre 2020

J.B Mario Samedy, (Stéphane Marchand), La ruée vers l’intelligence, enquête sur les nouvelles

puissances du savoir. P.171-188