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Cours de Gestion des Entreprises

Introduction
Gérer, c’est optimiser, atteindre les objectifs en minimisant les moyens mis en œuvre. Le mot
« gestion » couvre un large éventail de situations. Dans certains cas, gérer, peut s’entendre au
sens de « diriger », mais il s’emploie surtout au sens de « faire fonctionner » l’organisation ou
une partie de celle-ci dans le cadre des objectifs définis. La notion de « gestion » évoque une
utilisation efficace de moyens, qu’ils soient matériels ou humains.

Le concept de management est plus ouvert que celui de gestion. Il intègre une dimension
stratégique, la négociation des moyens et des objectifs. Il correspond à un comportement, un
état d’esprit alors que la notion de gestion renvoie plutôt à des techniques. Le management
inclut la gestion des ressources, mais en cherchant à créer une dynamique, en particulier par la
prise en compte du facteur humain.

Selon Soutenain (2008), le management est l’ensemble des méthodes employées pour diriger,
gérer une organisation ou un projet en vue de la réalisation d’un objectif et en optimisant
l’utilisation des ressources matérielles et humaines.

Il s’applique à tout type d’organisations et à différents niveaux au sein des organisations. Dès
l’instant où il y a un groupe de personnes et un ensemble de moyens clairement délimités, il y
a management.

Soutenain J.F. (2008), Management, LMD Fiches et QCM, Éditions Foucher, Vanves.
CHAPITRE I- Gestion de projet
Section 1. Généralités
1. Définitions
Un projet est un ensemble d’activités interdépendantes, mobilisant les ressources de
l’entreprise sur une période de temps étendue et généralement exécuté une seule fois. C’est
« un ensemble d’actions à accomplir pour satisfaire un besoin prédéfini. Et ce dans le cadre
d’une mission précise et limitée dans le temps (c.à.d. temporaire où on spécifie une date de
début et une date de fin de mission) ».

Selon l’AFNOR (Association Française de Normalisation), le projet est « une démarche


spécifique qui permet de structurer méthodiquement et progressivement une réalité à venir.
Un projet est défini et mis en œuvre pour élaborer une réponse au besoin d’un utilisateur,
client ou d’une clientèle et il implique un objectif et des actions à entreprendre avec des
ressources données ».

Ainsi un projet étant une action temporaire avec un début et une fin, mobilisant des ressources
identifiées (humaines, financières et matérielles) durant sa réalisation, celui-ci possède
également un coût et fait donc l’objet d’une budgétisation de moyens et d’un bilan
indépendant de celui de l’entreprise. On appelle « livrables » les résultats attendus du projet.

Le « livrable » est tout résultat, document mesurable, tangible ou vérifiable qui résulte de
l’achèvement d’une partie du projet ou du projet. Exemple : cahier de charges

Remarque :

- Toute activité routinière n’est pas considérée comme un projet


Exemple : prendre le bus tous les matins pour aller au travail n’est pas un projet mais
une action routinière, alors que l’organisation d’un voyage est considérée comme
projet.

- Un projet est temporaire, il diffère ainsi de toute mission permanente


(Mission permanente est une tâche ou ensemble de tâches qui durent pendant une
période longue et indéterminée).

Les exemples concrets de projets sont multiples :

 De construction : construction de bâtiments ou de sites industriels (la liste des activités


peut inclure, au-delà de la construction proprement dite, la conception des plans et des
maquettes, la passation de contrats d’embauche, d’approvisionnement et de sous-
traitance, etc.) ; de navires, les ouvrages d’art, etc.

N.B. Un ouvrage d’art est soit une construction de grande importance entrainée par
l’établissement d’une voie de communication routière, ferroviaire ou fluviale (ponts, tunnels,
canal, …), soit un dispositif de protection contre l’action de la terre ou de l’eau (brise lame,
gabion, etc.), soit enfin un dispositif de retenue des eaux (murs, digue, barrage). L’ouvrage
d’art peut être qualifié selon le milieu dans lequel il est construit, on rencontre ainsi des
ouvrages d’art terrestres, maritimes ou de montagne. De tels ouvrages sont qualifiés « d’art »
parce que leur conception et leur réalisation font intervenir des connaissances où l’expérience
joue un rôle aussi important que la théorie. Cet ensemble de connaissances constitue d’ailleurs
ce que l’on appelle l’art de l’ingénieur.

 Les projets techniques de grande envergure, comme les projets spatiaux


 Le lancement d’un nouveau produit
 La conception et la fabrication de produits uniques sur commande (production
unitaire, engineering sur commande)
 La maintenance d’installations industrielles lourdes (nucléaire, sidérurgie), etc.
 Informatique :
- Conception et réalisation d’un site web ;
- Migration des bases de données, applications, (exemple : migration des
applications d’une entreprise vers un environnement UNIX), serveurs, etc.
- Câblage ;
- Développement d’un logiciel spécifique de gestion des informations sur les clients,
- Implantation d’un réseau informatique,
- La recherche et la mise en œuvre d’un système ERP ((« Enterprise Resource
Planning » : système de planification des ressources de l’entreprise) ou PGI
(Progiciel de Gestion Intégré : c’est un progiciel qui permet « de gérer l’ensemble
des processus opérationnels d’une entreprise en intégrant l’ensemble de ses
fonctions, dont la gestion des ressources humaines (GRH), la gestion comptable et
financière, l’aide à la décision, la production, mais aussi la vente, la distribution,
l’approvisionnement et le commerce électronique ») dans une entreprise. ERP/PGI
ce sont des applications dont le but est de coordonner l’ensemble des activités
d’une entreprise autour d’un même système d’information c.à.d. une même base
de données commune et unique.
- Virtualisation (en informatique, elle correspond à l’ensemble des techniques
matérielles et/ou logicielles qui permettent de faire fonctionner sur une seule
machine plusieurs systèmes d’exploitation et/ou plusieurs applications, séparément
les uns des autres, comme s’ils fonctionnaient sur des machines physiques
distinctes).

Dans les projets informatiques, les résultats attendus sont obtenus par la conception, la
réalisation et la mise en œuvre d’un système d’information automatisé.
La gestion de projet consiste en un ensemble de méthodes, techniques et processus qui
servent à la conduite et au développement du projet, de sa mise en route à son
aboutissement. C’est une démarche visant à organiser de bout en bout le bon déroulement
d’un projet. C’est tout l’opérationnel et le tactique qui fait qu’un projet aboutit dans un
triangle représentant l’équilibre Qualité-Coût-Délai (QCD). Le management de projet
assume le pilotage stratégique du projet.

Triangle de la triple contrainte

Qualité

Délai Coût

2. Les étapes de la gestion de projet


La production de nombreuses entreprises concerne exclusivement ou principalement la
réalisation de projets. Des approches de gestion spécifiques à ce contexte particulier ont donc
été développées au fil du temps.

Le processus de gestion de projet comprend les phases suivantes :

1. Démarrage ou lancement du projet

 Un nom au projet : pour lui donner une vie et permettre une communication
facile sur son avancement. Aussi pour motiver l’équipe de projet en renforçant
chez eux le sentiment d’appartenance en se déclarant membre d’un projet X
ou Y.
 La note de lancement : c’est le premier document émis par le chef de projet et
qui permet aux décideurs de décider en toute connaissance de cause. Elle a
plusieurs avantages comme par exemple elle légitime le chef du projet et
l’autorise à demander des ressources, elle engage les décideurs sur les
orientations prises, les coûts et les délais et finalement elle sert de référentiel
pour mesurer à terme le succès d’un projet.
 La constitution de l’équipe du projet
 La réunion de lancement
2. Planification et ordonnancement

 La planification du projet comprend le recensement et la définition des


activités élémentaires à exécuter, la clarification des relations d’antériorité à
respecter entre ces activités, l’estimation de la durée des activités et des
ressources requises pour leur exécution (main d’œuvre, financement, …). Il
s’agit là d’une phase bien plus délicate (la plus exigeante de la gestion de
projet) qu’il n’y paraît (particulièrement lorsqu’un projet est le premier de son
espèce, et implique plusieurs groupes d’acteurs pour la réalisation d’un très
grand nombre d’activités). Sa bonne conduite est déterminante pour le succès
ou l’échec d’un projet.
Le résultat de la planification sera raffiné au fur et à mesure que les données
se précisent. La planification est une tâche continue qui est exécutée durant
tout le projet.

 L’ordonnancement du projet consiste en l’élaboration d’un calendrier pour son


exécution. C’est-à-dire la programmation des dates de début et de fin pour
chaque activité. Comme d’habitude en ordonnancement, on y recherche un
compromis entre plusieurs objectifs conflictuels : achèvement du projet dans
les délais les plus courts, au moindre coût et en optimisant l’utilisation des
ressources.

3. Exécution ou réalisation du projet


A cette phase, on doit toujours contrôler. Le contrôle du projet a pour but de vérifier
la correspondance entre les plans établis et leur exécution, et de prendre les recours
éventuellement nécessaires en cas de déviation trop importante. Ceci implique des
retours fréquents à la phase d’ordonnancement, afin de réactualiser les calendriers en
fonction de l’évolution réelle du projet.

4. Clôture du projet

Section 2. Les méthodes de gestion de projet


Il existe plusieurs outils et techniques (méthodes classiques / nouvelles) de gestion de projets.

I- Méthodes de chemins critiques


Les principaux outils mathématiques classiques utilisés pour la gestion de projets sont les
méthodes PERT (Project (ou Program) Evaluation and Review Technique) et CPM (Critical
Path Method) et le diagramme GANTT.
Les méthodes PERT et CPM permettent de répondre à différentes questions
(ordonnancement, probabilité de terminer dans les délais, …) en modélisant le projet à l’aide
d’un même graphe appelé réseau d’activités. Au vu de cette similitude, on identifie très
souvent les deux méthodes sous l’appellation PERT/CPM, ou méthodes de chemins
critiques. Ces méthodes constituent principalement des outils d’ordonnancement et de
contrôle, mais contribuent également à systématiser la phase de planification.

Heureusement, vous pouvez utiliser bon nombre de logiciels pour établir votre calendrier,
tracer des diagrammes de Gantt et des organigrammes, et déterminer et évaluer le chemin
critique.

Toutefois, il est important de vous familiariser avec les principes de base de


l’ordonnancement de projet afin que vous puissiez adapter le calendrier informatisé aux
priorités de votre projet.

1. La méthode P.E.R.T
C’est une méthode technique d’élaboration, d’évaluation et de contrôle des programmes.

Cette technique a été mise au point par la marine des Etats-Unis dans les années cinquante.
Elle consiste à optimiser sous contraintes une action qui comporte plusieurs étapes dans un
ordre précis avec des spécificités de durée ou de coûts. L’objectif est de déterminer le temps
(ou le coût) total minimum nécessaire pour que toutes les phases soient réalisées selon leur
antériorité.

 Principes de la méthode :
Elle se base sur l’établissement d’un graphique pour chaque projet. Ce dernier est
représenté sous forme d’un réseau traduisant l’ensemble des tâches à accomplir, leur
durée et leurs liens. Il décrit l’enchaînement logique des diverses opérations à
accomplir et précise les temps d’exécution correspondants :
- Les tâches sont représentées par des flèches et symbolisées par une lettre suivie
d’un chiffre exprimant sa durée dans l’unité de temps choisie (heure, jour,
semaine, etc.).
- Les étapes représentées par des cercles correspondent au début ou à la fin d’une
tâche. Chaque étape est numérotée de telle sorte qu’en suivant le sens des flèches
les numéros des étapes successives, soient croissants.
- Il faut respecter la succession des tâches qui sont traduites par l’ordre de
succession des flèches

 Succession et simultanéité :
- Les tâches sont successives lorsqu’elles se déroulent les unes après les autres.
Exemple : la tâche B succède la tâche A signifie que la tâche B ne peut
commencer qu’une fois la tâche A est achevée. Cette succession est représentée
ainsi :
A B
1 2 3

- Les tâches sont simultanées lorsqu’elles peuvent commencer en même temps en


partant de la même étape. Exemple : la tâche A et la tâche C sont simultanées :

A 2

1
C 3

 Détermination des temps de réalisation au plus tôt et temps au plus tard :

Pour chaque étape, il y a un temps de réalisation au plus tôt et un temps de réalisation


au plus tard :
- Le temps de réalisation au plus tôt : c’est le temps minimum au bout du quel une
étape peut être atteinte, il sera noté 𝐓𝐜 . On l’appelle aussi temps court (s’il y a
plusieurs chemins qui conduisent de l’étape initiale à celle considérée, on choisit le
chemin le plus long, en termes de valeur (la valeur la plus élevée)).
- Le temps de réalisation au plus tard : c’est le temps maximum au bout duquel une
étape doit être atteinte sans que la date d’arrivée à l’étape finale du projet ne soit
modifiée. Il sera désigné par 𝐓𝐥 . Il se calcule en commençant par la dernière étape
et en remontant le réseau en sens inverse, on prend le chemin le plus court. Il
correspond au temps de réalisation du projet diminué de la durée de réalisation des
tâches qui suivent cette étape.

 Calcul des marges et détermination du chemin critique :

La marge totale M est le temps de retard possible d’une étape. Elle est obtenue en
calculant pour chaque étape la différence entre le temps de réalisation au plus tard et le
temps de réalisation au plus tôt :
M (i) = Tl(i) – Tc(i)
Avec i = 1, 2, ………, N (nombre d’étapes)

Le chemin critique (Critical Path) est le chemin qui passe par les étapes pour
lesquelles la marge est égale à zéro. C’est le chemin qui nous fournit les étapes qu’il
faut surveiller de près et pour lesquelles il ne peut y avoir ni avance ni retard. Il est
caractérisé par une marge nulle.
Selon le rapport publié dans la plateforme de gestion du travail Asana (2022), « Le chemin
critique est la plus longue séquence de tâches qui doivent être réalisées pour achever un
projet ».

2. Le graphique ou le diagramme de GANTT


Également appelé ligne temporelle ou graphique des étapes critiques, le diagramme de Gantt
est le diagramme le plus fréquemment utilisé. Inventé par l’ingénieur industriel et pionnier de
la gestion de projet Henry L. Gantt au début des années 1900, le diagramme de Gantt est le
préféré des gestionnaires de projet.

C’est une méthode classique d’ordonnancement, elle permet de présenter un plan de travail et
d’en contrôler la réalisation au jour le jour. Elle est présentée en général sous forme d’un
graphique qui comprend en ordonnée les différents postes de travail et en abscisse le temps,
généralement exprimé en journées. Les opérations sont ordonnées les une après les autres en
fonction du temps standard prévu. Les diagrammes de Gantt sont des diagrammes à barres
horizontales cartographiant les activités (tâches) de projet, que vous pouvez suivre sur une
chronologie.

Son intérêt (son utilité) réside dans le fait qu’il est à la fois un outil de prévision et de
contrôle. En effet, suite à la réalisation des différentes tâches, il est possible de comparer les
prévisions aux résultats et d’envisager, en cas de retard, des moyens supplémentaires (par
exemple, des heures supplémentaires) pour respecter le planning initial.

Le diagramme de Gantt est un outil de gestion de projet qui illustre le travail réalisé sur une
période donnée par rapport au temps prévu. Il peut également inclure les dates de début et de
fin des tâches, les étapes importantes, les dépendances entre les tâches et les responsables, et
bien plus encore.

Aujourd’hui, les diagrammes de Gantt comptent encore parmi les outils de gestion de projet
les plus utilisés.

 Avantages des graphiques de Gantt

Il y a deux raisons principales pour lesquelles les diagrammes de Gantt sont appréciés dans le
monde de la gestion de projet :

 Ils facilitent la création de plans complexes, en particulier ceux qui impliquent


plusieurs équipes et des échéances changeantes. Ces diagrammes aident les équipes à
planifier les tâches dans le respect des échéances à répartir correctement les
ressources.
 Les planificateurs de projets utilisent également les diagrammes de Gantt pour garder
une vue d’ensemble des projets. Ils décrivent, entre autres, la relation entre les dates de
début et de fin des tâches, des étapes importantes et des tâches dépendantes.
Les programmes modernes de diagrammes de Gantt tels que Jira Software avec
Roadmaps et Advanced Roadmaps synthétisent les informations et illustrent
l’impact des choix sur les échéances.

 Inconvénients

Le diagramme de Gantt présente certains inconvénients. Il est surtout utile pour les petits
projets comportant très peu d’activités. Dans le cas des projets complexes, les rapports de
priorité ne sont pas facilement perceptibles. Il vaut mieux alors utiliser un diagramme de
planification de projet ou un réseau PERT / CPM (méthode du chemin critique).

II- Méthode agile de gestion de projet


L’agilité est souvent perçue comme une méthode de travail réservée à un certain type
d’activité. Pourtant, elle est utilisée dans le cadre de projets dits « non logiciels » : conception
de produits – simples ou complexes -, nouveaux modes d’organisation, changements de
processus … .

La méthode Agile est une méthode de gestion de projet. L’idée, lorsque l’on utilise cette
approche, est d’apporter souplesse et performance à la gestion de projet. Centrée sur l’humain
et la communication, elle permet aux clients de participer au développement d’un produit tout
au long de l’avancement du projet.

Différences entre un projet (ou méthode) Agile et un projet (méthode) classique :

- L’adaptation vs contrôle : les méthodes Agiles permettent une adaptation continue


aux changements, tandis que la gestion de projet classique se concentre sur le
contrôle et la gestion des risques.
- Les méthodes Agiles et la gestion de projet classique offrent des approches
différentes pour gérer des projets informatiques.
- Quand vous travaillez en mode Agile, vous travaillez en de petits cycles courts que
l’on appelle Sprints ou itérations qui durent généralement entre une semaine et un
mois. On est donc bien loin des méthodes traditionnelles du type diagramme de
Gantt ou des méthodes en cascade qui consistent à définir des plans de projet sur
12 ou 24 mois.

Dans le langage des start-up et de la transformation digitale, utiliser les méthodes agiles est
souvent perçu comme une solution à tous les problèmes. Rien n’est si simple, rappellent les
spécialistes d’Agile Partner. Depuis 2001, L’Agilité a son « Manifeste » qui clarifie les
valeurs et principes communs à une multitude de méthodes, frameworks et pratiques (dont
Scrum). Ce Manifeste (un document qui a été écrit pour codifier la méthode Agile) est axé
autour de 4 valeurs : c’est l’ordre de priorité que les équipes de développement agile de
logiciels devraient suivre :

 Les individus et leurs interactions plus que les processus et les outils
 Les logiciels opérationnels plus qu’une documentation exhaustive
 La collaboration avec les clients plus que la négociation contractuelle
 L’adaptation au changement plus que le suivi d’un plan

De nos jours, la méthode agile est à la base de nombreux workflows numériques. Le cloud
computing, avec son infrastructure informatique flexible et évolutive, s’est développé
parallèlement aux attentes en matière de développement logiciel agile.

Cette méthode s’est beaucoup popularisée au cours de ces dernières années. Et pour cause,
elle permet de s’adapter rapidement aux changements, ce qui est indispensable dans un monde
qui va très vite.

Aujourd’hui beaucoup d’entreprises travaillent en mode Agile notamment Apple, IBM,


Microsoft ou encore Gamble & Procter …

Avantages et inconvénients de la méthode Agile

 Avantages :

 Flexibilité
 Feedback : à la fin de chaque sprint, vous livrez votre travail et récupérez les
feedbacks de vos clients ou de vos utilisateurs qui vous les incorporez dans le sprint
suivant ce qui permet de coller au plus près à leurs besoins
 Compétitivité
 Qualité

 Inconvénients :
 Manque de documentation
 Gestion des demandes
 Manque de prévisibilité : quand vous travaillez en mode Agile, vous ne savez pas
toujours à quoi ressemblera le résultat final. Difficile donc de prévoir le coût, le temps
et les ressources nécessaires.

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