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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET
DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE (MESRS)
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UNIVERSITE D’ABOMEY-CALAVI (UAC)
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INSTITUT NATIONAL DE L’EAU (INE)
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DEPARTEMENT DE GENIE DE L’EAU ET DE L’ASSAINISSEMENT (DGEA)
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OPTION : SCIENCE ET TECHNIQUE DE L’EAU (STE)
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FILIERE : HYDRAULIQUE ET ASSAINISSEMENT (HYASS)
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RAPPORT
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d'essai a un FIN DE FORMATION
achetez pour obtenir POUR L’OBTENTION
la version complète ! DU DIPLOME DE
LICENCE PROFESSIONNELLE
Avantages: *******
DANS
2. Aucun filigrane surLE CADRE
les documents de sortie.DE L’EXECUTION DU LOT 2 DU PROJET
CERTIFICATION
Nous soussignés
Président du jury
Date : .............../.............../...............
Signature :
Examinateur Rapporteur
Date : .............../.............../............... Date : .............../.............../...............
Signature : Signature :
AVANT-PROPOS
Créé en octobre 2013, l’Institut National de l’Eau (INE) est une institution de formation
professionnalisée, de perfectionnement, de recherche et d’appui au développement dans
le secteur de l’eau, de l’assainissement et des changements climatiques. L'Institut
National de l'Eau (INE) a pour missions :
- D'assurer la formation (présentielle et à distance) en Licence, Master et Doctorat
dans les domaines de l'Eau et de l'Assainissement afin de fournir aux structures
de développement et de recherche des professionnels de haut niveau d’une part
et d’assurer le perfectionnement et le recyclage des professionnels d’autre part ;
- De faciliter ou d'assurer la publication des résultats des travaux réalisés par les
enseignants chercheurs de l’INE ;
- De concevoir et d'exécuter les programmes de recherche dans les domaines du
changement climatique, de l'eau et de l'assainissement en rapport avec les
politiques de développement au Bénin ;
- De créer un cadre approprié pour la valorisation de nouvelles technologies et la
facilitation de l'innovation ;
- D'apporter son assistance technique aux décideurs et organismes publics et
privés dans le domaine de l'Eau et de l'Assainissement ;
- D'assurer diverses prestations pour des tiers à travers des contrats de recherches,
des consultations, des expertises, des analyses de laboratoire etc. ;
- D'assurer une plateforme de gestion intégrée des données relatives au climat, à
l'eau et l'assainissement.
Pour accomplir sa toute première mission qui est la formation, l’Institut National de
l’Eau (INE), aujourd’hui Centre d’Excellence d’Afrique pour l’Eau et l’Assainissement
(C2EA) dispose de trois (03) départements qui forment en licence et en master dans les
mentions et spécialités suivantes :
- Sciences et Techniques de l’Eau (STE) : Hydraulique et Assainissement ; Eau,
Hygiène et Assainissement (EHA) ;
- Hydrologie et Gestion des Ressources en Eau (HGRE) : Hydrologie
quantitative ; Eco-hydrologie et Géo-hydrologie ;
- Eau pour l’Agriculture et la Société (EAS) : Génie Rural et Maîtrise de l’Eau ;
Gestion des Crises et Risques liés à l’Eau et au Climat.
A l’Institut National de l’Eau, les formations sont appuyées par des stages pratiques
(première et deuxième année) et un stage de fin de formation (troisième année). Les
stages de première et de deuxième année qui durent en général un (01) mois permettent
à chaque étudiant de découvrir le monde du travail et de l’entreprise, de découvrir ou
consolider son projet d’orientation et de mettre en pratique les connaissances théoriques
acquises en classe. Le stage de fin de formation qui dure trois (03) mois et sanctionné
par un rapport, fait l’objet d’une soutenance publique en vue de l’obtention du diplôme
de la Licence Professionnelle. C’est dans ce cadre que le présent rapport est rédigé.
DEDICACES
REMERCIEMENTS
Nos vifs remerciements vont à l’endroit de notre Seigneur, le Détenteur des plus beaux
noms et des plus beaux attributs ; à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à notre
formation et nous ont aidé à parfaire ce travail en général. Nous tenons particulièrement
à remercier :
RESUME
Le présent rapport porte sur le : « Suivi des travaux d’assainissement pluvial des rues
d’Agla : préfabrication et pose des caniveaux dans le cadre de l’exécution du lot 2
du Projet d’Assainissement Pluvial de Cotonou (bassin XX) ».
Le stage de trois (03) mois que nous avons effectué dans l’entreprise SOGEA SATOM
nous a permis de comprendre le projet et de :
ABSTRACT
This report is about: "Follow-up of the rainwater sanitation works in the streets of
Agla : prefabrication and installation of gutters within the framework of the
execution of batch 2 of the Cotonou Rainwater Sanitation Project (basin XX)".
To ensure the rapid, economical and qualitative execution of the works related to the
sanitation of the streets of Agla, the company proceeded to the organization of the
construction site. The detailed pre-project studies having been carried out since 2019,
the company in collaboration with its partners also proceeded to complementary
hydrological, hydraulic and geotechnical studies.
The three (03) months internship that we carried out within the company SOGEA
SATOM allowed us to :
- Summarize the organization of the site and the additional studies carried out ;
- Describe the procedure of prefabrication and installation of the gutters ;
- Follow-up geotechnical tests;
- Estimate the quantities of materials (cement, sand, crushed stone, sikalatex,
flintkote...).
SIGLES ET ABREVIATIONS
DEDICACES ................................................................................................................. iv
REMERCIEMENTS ....................................................................................................... v
RESUME ....................................................................................................................... vi
CONCLUSION GENERALE....................................................................................... 60
ANNEXES .................................................................................................................... 63
Pour remédier à cette situation, plusieurs projets ont été initiés par les gouvernements
successifs. L’actualisation du PDA qui préconise des axes d’interventions immédiate
(phase d’urgence), à moyen et long terme a permis d’identifier 50 bassins versants dans
Cotonou. Afin d’accélérer la mise en œuvre du PDA et de consolider les actions
entreprises pour aménager le cadre de vie, le gouvernement du Bénin a initié et introduit
dans son PAG le Projet d’Assainissement Pluvial de Cotonou (PAPC).
PAPC est un projet subdivisé en une série de dix (10) lots. Le lot 2 objet de notre stage
est d’une durée contractuelle de quinze (15) mois et intitulé « travaux de construction
de collecteurs d’assainissement pluvial et d’aménagement de voies connexes dans le
bassin XX ». Financé par l’Agence Française de Développement (AFD), les travaux du
lot 2 visent à assainir les quartiers d’Agla et de Mènontin. C’est dans ce cadre que notre
travail est intitulé « Suivi des travaux d’assainissement pluvial des rues d’Agla :
préfabrication et pose des caniveaux dans le cadre de l’exécution du lot 2 du Projet
d’Assainissement Pluvial de Cotonou (Bassin XX) »
Rédigé par KEGNIDE A. Faustus Pièro LP3 STE/Hydraulique et Assainissement
1
SUIVI DES TRAVAUX D’ASSAINISSEMNT PLUVIAL DES RUES D’AGLA : PREFABRICATION ET POSE DE CANIVEAUX
DANS LE CADRE DE L’EXECUTION DU LOT 2 DU PROJET D’ASSAINISSEMNT PLUVIAL DE COTONOU (BASSIN XX)
L’objectif général de notre stage est de découvrir les réalités de la vie professionnelle,
d’acquérir la culture du travail en entreprise et d’appliquer nos connaissances théoriques
dans le domaine d’hydraulique routière. Plus spécifiquement, il s’agit pour nous de :
Pour atteindre les objectifs suscités, le présent mémoire s’articule autour de quatre (04)
chapitres à savoir :
Chapitre I : Généralités ;
Chapitre II : Présentation du projet, du matériel et des méthodes ;
Chapitre III : Etudes réalisées et organisation du chantier ;
Chapitre IV : Activités menées au cours du stage.
CHAPITRE I : GENERALITES
Ce chapitre est consacré à la présentation de la structure d’accueil, de la zone du projet
et à la définition de quelques concepts clés.
15%
Génie Civil et
bâtiments
60% 25% Hydraulique et
environnement
Routes et
terrassements
l’horizon 2045. Il est situé dans la partie occidentale de la ville et draine les quartiers
Agla et Mènontin.
1.2.2. Hydrographie
La ville de Cotonou est dotée d’un réseau hydrographique dense constitué de lac, lagune,
marécages et océan. Les principaux tributaires du lac Nokoué sont les fleuves Ouémé,
Sô et la lagune Djonou. Le lac Nokoué communique avec la mer par le chenal de
Cotonou qui sépare les étendues Est et Ouest de la ville. Un des phénomènes les plus
importants du point de vue hydrométrique ces dernières années fut enregistré à la fin de
septembre 2010 où le niveau du lac a atteint un niveau de 2,05 m IGN. En absence de
relevés pluviométriques sur une longue période, il convient de dire que cet événement
correspond à une période de retour supérieure à 100 ans. (PAPCO 2019)
1.2.3. Climat
Le climat est de type subéquatorial avec une alternance de deux saisons pluvieuses
(Avril à Juillet et Septembre à Novembre) et de deux saisons sèches (Décembre à Mars
et Août). La pluviosité annuelle varie entre 1000 et 1400 mm avec environ 100 jours de
pluies. Le régime pluviométrique est bimodal, avec les pics observés sur les mois de
juin et octobre respectivement pour les deux saisons de pluies.
La température moyenne est de 27°C, variant de 24° à 30°C en saison des pluies et de
23 à 33°C en saisons sèches. L'humidité relative est élevée atteignant parfois 95 % en
raison de la proximité de l'océan Atlantique.
Cotonou est sous l'influence de vents dominants soufflant dans le sens Sud-Ouest/Nord-
Est. Environ 60% des vents ont des vitesses comprises entre 2 et 4m/s. Le vent au sol
est plus fort en bordure de la mer qu'à l'intérieur de la ville. (PDA, 2019)
1.2.4. Hydrogéologie
La nappe phréatique est peu profonde (moins d’un mètre par endroits), et se trouve de
ce fait très influencée par les eaux de pluies et des lixiviats entraînant une contamination
des eaux souterraines par des polluants de toute sorte. Les zones de très basses altitudes
correspondent à des marécages constituant des axes de convergence des eaux de surface,
des écoulements hypodermiques et des nappes phréatiques. (PDA, 2019)
1.2.5. Géologie et Pédologie
La ville de Cotonou est localisée sur le bassin sédimentaire côtier et précisément dans
la plaine littorale qui est située en bordure de l’océan Atlantique. Selon Volkoff et
Williame (1976) on y distingue : (i) les sols peu évolués, localisés sur le cordon actuel,
appelés sols minéraux bruts, constitués de sables fins, pauvres en matière organique et
très perméables et bien drainés ; et (ii) les sols hydromorphes moyennement organiques,
humiques à gley, non ou peu salins, développés dans les zones marécageuses. Ces
différents types de sol constituent un facteur aggravant les inondations dans la ville en
raison de leur faible pouvoir de rétention d’eau et leur pauvreté en argiles. (PDA, 2019)
1.2.6. Relief
La ville de Cotonou est bâtie dans le bassin sédimentaire côtier du Bénin, dans le
domaine margino-littoral et présente une morphologie qui repose essentiellement sur
une grande composante de plaine côtière dont la partie basse, sableuse, souvent
marécageuse est inférieur à 10 m d’altitude. Les côtes oscillent entre 1,02 et 6,52 m par
rapport au zéro géographique. La côte moyenne de toute cette partie est de 3,52 m. Ce
relief n’est donc pas favorable à l’écoulement des eaux pluviales. Il est plutôt la source
de la stagnation et de l’infiltration. (PAPCO, 2019)
Fouille en rigole : encore appelée fouille en fendue, elle est une tranchée dont la largeur
minimum est de 40m, destinée à recevoir les maçonneries, les fondations, les
canalisations.
Implantation : l’implantation consiste à matérialiser sur un terrain tous les tracés
géométriques prévus par le dossier des travaux indispensables pour la construction d’un
ouvrage.
Nappe phréatique : nappe d'eau souterraine que l'on rencontre à faible profondeur.
Prédalle : dalle fabriquée en béton armé (...), de faible épaisseur, entrant dans la
composition d'un plancher composite et servant de coffrage au béton coulé en place.
Préfabrication : système de construction permettant de réaliser des ouvrages au moyen
d'éléments standardisés, ou composants, fabriqués d'avance et que l'on assemble suivant
un plan préétabli.
Rabat-nappe : le rabattement de la nappe est une technique d’assèchement de fouille
avec une stabilité des parois dans les terrains pulvérulents gorgés d’eau.
Ruissellement : écoulement instantané et temporaire des eaux de pluie sur une surface
(chaussée, toiture, terrasse, jardin, …), à la suite d’une averse.
Conclusion partielle
Au terme de ce chapitre, nous avons une bonne connaissance de l’entreprise SOGEA
SATOM. Nous avons également défini quelques concepts contextuels. Nous retenons
que la zone du projet est essentiellement caractérisée par une nappe phréatique située à
faible profondeur, un relief défavorable à l’écoulement des eaux pluviales et une
géologie constituée de sables fins et marins.
(bassins de rétention) ;
la construction de 137ml de collecteur (4*2,5*2,5) et 121ml de (2*4*2,4) ;
Pour la pose des caniveaux, en dehors de l’encadrement nous avons également les relais
HSE, les chauffeurs, les conducteurs d’engins, les manœuvres, les ouvriers spécialisés
et signaleurs, l’équipe topo et celle géotechnique.
Essai Matériels
Une série de tamis normalisés d'ouverture de mailles
allant de 0,063 à 125mm (D=31,5cm)
Une Bal. élect. de précision portée 15Kg ou 30Kg
(06) Gamelles de prélèvement
Analyse granulométrique
(02) Truelles
par lavage et tamisage
(01) Brosse plastique
(02) Brosses métalliques rigides
(02) Brosses métalliques souples
(02) Louches
Essai Matériels
(03) Pinceaux
Une Bouteille de Gaz ORYX 12Kg+Foyer
Un Agitateur VBS
Valeur au bleu (VBS) (05) Doseurs de bleu de méthylène 10g
Un Bécher en plastique de 2000 ml pour VBS
(18) Moule cylindrique 16/32 pour béton
Une Presse à béton de capacité minimale 2000kN
(02) Aiguilles Vibrantes
Résistance mécanique du
Un Appareil à surfacer pour éprouvettes φ16x32
béton
(02) Brouette
(03) Truelles
Un Souffre de 500g
Conclusion partielle
Au terme de ce chapitre, nous connaissons suffisamment le projet, les différents acteurs
du projet et les moyens mis en œuvre. Nous avons également défini notre démarche
méthodologique ainsi que le matériel dont nous avons besoin pour atteindre les objectifs
de notre stage. Le chapitre suivant sera consacré à la présentation des études
complémentaires réalisées par SOGEA SATOM et partenaires, de même que de
l’organisation du chantier.
L’étude hydraulique ;
L’étude géotechnique.
D’après les résultats de l’étude hydrologique réalisée, l’exutoire de l’ensemble des eaux
pluviales à collecter au niveau des rues d’Agla est le collecteur primaire issue du
Programme d’Adaptation des Villes au Changement Climatique (PAVIC). C’est un
collecteur trapézoïdal de dimensions B (largeur en gueule) = 5,00m ; b (largeur en
miroir) = 3.5m ; h (hauteur hydraulique) = 0,8m. Il longe la rue 13260.
Le débit de projet des différents tronçons a été estimé avec la formule rationnelle :
𝟏
𝑸 𝑻 𝑪 𝒊 𝒕𝒄, 𝑻 𝑨 𝟏
𝟑𝟔𝟎
Q (m3/s) : débit drainé par le tronçon ;
C : coefficient de ruissellement de la surface drainée par le tronçon ;
A (ha) : surface drainée par le tronçon ;
i (mm/h) : intensité de pluie ;
Rédigé par KEGNIDE A. Faustus Pièro LP3 STE/Hydraulique et Assainissement
19
SUIVI DES TRAVAUX D’ASSAINISSEMNT PLUVIAL DES RUES D’AGLA : PREFABRICATION ET POSE DE CANIVEAUX
DANS LE CADRE DE L’EXECUTION DU LOT 2 DU PROJET D’ASSAINISSEMNT PLUVIAL DE COTONOU (BASSIN XX)
Les résultats de l’étude hydraulique réalisée par SOGEA SATOM et la Mdc sont
récapitulés dans le tableau 2.
Pente
(m/m)
Sous - Surface Long Débits Débits Hauteur Sections
Pente (admise Vitesse Froude Hauteur Revanche
Rues Profils Bassins interceptée Hydraulique Partiels Cumulés Base (m) normale retenues Ecoulement Observations
(m/m) entre V(m/s) (Fr) Yc (m) (m)
versants (km²) (m) (m3/s) (m3/s) Yn (m) (cm x cm)
0,0015 et
0,005)
RNIE à la Uniforme
0,027 261,94 0,97 0,739 0,739 0,7 0,005 0,59 2,43 0,75 0,48 70x70 0,11
Rue 13.280 fluvial
RUE
Rue
13.275 Uniforme
13.280 à 0,013 142,22 0,97 0,426 1,165 0,8 0,005 0,72 2 0,75 0,6 80x80 0,08
fluvial
l'exutoire
Rue 13.275
à la Rue 0,0056 98,77 0,97 0,202 0,202 Ecoulement Superficiel (USAGE DES T2CS2)
13.280
Rue 13.280
RUE Uniforme
à la rue 0,067 397,72 0,97 1,64 1,842 1 0,005 0,81 2,27 0,8 0,81 100x90 0,09
13.273 fluvial
13.272
Rue 13.272
Uniforme
à la rue 0,046 300,08 0,97 1,222 3,064 1,5 0,005 0,78 2,61 0,94 0,75 150x90 0,12
fluvial
13.260
RUES
Uniforme
13.280; RNIE à la
0,026 195,77 0,97 0,782 0,782 0,005 0,61 1,82 0,74 0,61 70x70 0,09 fluvial
13.276 ET rue 13.273
(pente faible)
13. 272
RUES BV RUES
Assainissement superficiel (USAGE DES T2CS2)
13.283 AGGLA
RUE
Assainissement superficiel (USAGE DES T2CS2)
13.270
RUE
Assainissement superficiel (USAGE DES T2CS2)
13.267
RUE
De la Rue
13.276.
13.275 à la Assainissement superficiel (USAGE DES T2CS2)
13.280 ET
Rue 13.273
13.274
Reprise des eaux
Rue 13.280
pluviales superficielles
Rue 13.285 à la rue 60x60
des rues 13.283 et
13.260
13.270
Can(90 x 90) au lieu de
EXUTOIR OUEST (VOIR RUE 13.275 : Section allant de Rue 13.280 à la Rue 13.260) 90x90
can(80 x 80)
E (RUE
Uniforme
13.260) EST 0,04 421,28 0,97 0,946 0,946 0,8 0,005 0,61 1,92 0,78 0,52 80x80 0,18
fluvial
EMISSAIR Uniforme
0,22 492,1 0,97 5,2 5,2 2,2 0,005 0,8 2,96 1,07 0,83 2(110x90) 0,1
E torrentiel
A l’issue des sondages à la pelle mécanique, il a été constaté que sur la quasi-totalité des
rues, il existe des ordures enfouies donc du mauvais matériau. Afin donc d’éviter une
instabilité ultérieure de l’ouvrage (éventuel tassement sous l’effet de la charge qu’elle
supporte), il a été décidé de procéder avant le démarrage des travaux d’assainissement,
à la purge et à la substitution du mauvais matériau. De plus, la mission de contrôle devra
faire la réception géotechnique des fonds de fouille avant le coulage du béton de propreté
pour s’assurer qu’il n’y a pas d’ordures ou du mauvais matériau.
Les résultats de l’identification complète des matériaux prélevés lorsque le bon sol a été
atteint a permis de déduire qu’il s’agit des sables alluvionnaires propres, sables de dunes
… (D1). Il s’agit des matériaux insensibles à l’eau (GTR NF 11300). Ainsi et vu que le
fond de fouille est proche de la nappe phréatique et que celle-ci est affleurante, il a été
décider de ne plus exécuter le compactage à 95% de l’OPM comme prévu dans le
marché. Il est plutôt procédé au prélèvement et à l’analyse des matériaux du fond de
fouille chaque 100m afin de s’assurer que les matériaux sont toujours de la classe D1.
Le tableau synoptique de la classification GTR des sols est présenté en annexe 7.
Pour respecter ces directives, l’organisation générale de notre chantier a pris en compte
plusieurs étapes dont :
La préparation du chantier ;
L’élaboration du planning des travaux ;
Le choix du mode de coffrage ;
Le choix de la mécanisation ;
L’établissement du plan d’installation de chantier ;
L’élaboration du plan d’assurance qualité ;
L’élaboration du plan hygiène, sécurité et environnement ;
Le budget de chantier ;
Le suivi des travaux, de la main d’œuvre, des matériaux et matériels.
Les caniveaux et éléments constitutifs étant préfabriqués sur un autre site (usine de
production située à Agonsoudja) et vendus dans le cadre du projet, l’organisation du
chantier que nous présentons est essentiellement spécifique aux travaux de pose.
𝒀 𝑩𝑭𝑪 𝒂𝒙 𝒃 𝟑
Le cout du BPE est obtenu après négociation des frais ‘a’ représentant le prix de l’unité
du mètre cube de béton prêt à l’emploi. Sa relation est :
𝒀 𝑩𝑷𝑬 𝒂𝒙 𝟒
x représente le volume en m3 de béton à fabriquer et y son prix de revient.
Pour rechercher le seuil de rentabilité entre BFC et BPE, on trace deux droites, le point
d’intersection représente ce seuil.
Pour la confection du béton, l’entreprise a opté pour la confection à l’auto bétonnière
(BFC).
des travaux, il doit recevoir le visa sans observation de la Mission de contrôle (Mdc)
avant application.
Le PAQ de notre chantier est composé de quatre (04) chapitres. Le premier chapitre
traite de l’objectif et des domaines d’application ; le deuxième, des documents de
référence et terminologie ; le troisième, de l’engagement de l’entreprise et le dernier,
de la note d’organisation générale du chantier.
- La fiche de paie ;
- La fiche d’affectation ;
- La fiche de rendement de la main d’œuvre…
3.2.9.3. Le suivi des matériaux et matériels
Le suivi des matériaux est fait par les bons de commande, les bons de livraison, les
factures d’achat. Sur la base de ces documents plusieurs fiches sont établies dont celle
d’état des entrées, celle de la gestion des stocks, celle des affectations de la
consommation et enfin celle du bilan.
La gestion du matériel exige l’utilisation des carnets de bord et d’entretien pour chaque
engin. Il y est inscrit toutes les informations (kilométrage, charges, pannes, horaires,
conduction, consommation d’énergie…). Sur la base de ces informations, les fiches
d’affectation et de rendement sont établis.
Conclusion partielle
Les résultats des études réalisées nous permettent de comprendre les différents choix
faits par l’entreprise pour exécuter les travaux. De même, nous avons à présent une
bonne connaissance de l’organisation de notre chantier.
Après l’attachement, la cage d’armature est réceptionnée par la Mdc qui vérifie entre
autres l’horizontalité, la verticalité, le diamètre et le nombre d’armatures, l’espacement
entre les armatures conformément au plan de ferraillage afin d’autoriser l’utilisation de
ces cages.
- L’application à juste mesure du décoffrant sur les parois. Cette activité est réalisée
au moyen d’une roulette à peinture ;
- La pose de la cage de ferraillage dans la moule après l’emploie sur celle-ci des cales
ou biscuits de dimensions définit par l’enrobage (3cm*3cm pour les caniveaux).
Ces cales sont fabriquées au moyen du mortier dosé à un minimum de 350kg/m3 ;
- Le montage et le serrage des autres éléments métalliques de la moule.
Lorsque les éléments préfabriqués présentent des anomalies récurrentes dues au
coffrage, une ou des pièces constituants le coffrage sont remplacées.
CANIVEAUX
N° DE
RUES PK LINEAIRES
PK FIN POSITIONS SECTIONS
DEBUT (ml)
0+025,00 0+275,00 CG 70×70 250
13275
0+275,00 0+457,95 CG 80×80 182,95
0+102,00 0+225,00 CD 100×90 123
13273
0+225,00 0+348,63 CD 2× (80×90) 123,63
0+025,00 0+235,88 CD 70×70 210,88
13280
0+410,00 0+563,06 CD 60×60 153,06
13276 0+025,00 0+328,70 CD 70×70 303,7
13274 0+025,00 0+328,70 CD 70×70 250
0+025,00 0+120,50 CG 70×70 95,5
13272
0+150,00 0+387,10 CG 70×70 237,1
0+000,00 0+221,54 CG 80×80 221,54
13260
0+221,54 0+647,46 CG 90×90 425,92
13285 0+062,50 0+132,45 CG 60×60 69,95
13265 0+000,00 0+136,49 CG 70×70 136,49
Total (ml) 2783,72
Avant le démarrage des travaux, il est remis au Chef Chantier le dossier d’exécution, la
procédure d’exécution de même que les profils en long et en travers de chaque rue.
Les dispositions générales pour la pose des éléments sont :
- il y a un abaissement de 10cm au niveau de l’entrée principale des maisons (portes
cochères) ;
- il est prévu un abaissement de 15cm au niveau des traversés, ce qui provoque un
changement de la section hydraulique ;
- la continuité des éléments préfabriqués posés au niveau des portes cochères et des
traversés est assuré par les éléments variables (coulés sur place) ;
- les caniveaux avaloirs sont posés à chaque demi-profil (12,5m) ;
- les activités sont exécutées de manière à permettre aux riverains d’avoir accès à
leurs maisons et boutiques.
De plus, le bureau d’étude et des méthodes envoie au chef topo des informations
topographiques (en altimétrie et en planimétrie) nécessaires à l’implantation des
différentes parties de l’ouvrage. Il s’agit notamment des coordonnées cartésiennes
tridimensionnelles (x ; y ; z) des points appartenant à l’axe des caniveaux (situés à
chaque 6,25m en partant du PK0+000) et au fil d’eau. Des calculs sont faits sur le terrain
pour déduire :
- la côte du fond de fouille (en descendant de 25cm de la côte fil d’eau) ;
- la profondeur de fouille (en faisant la différence entre la côte TN et celle du fond
de fouille) ;
- la côte du béton de propreté (en descendant de 20cm de la côte fil d’eau) ;
- la largeur de la fouille (en augmentant 30cm de part et d’autre à la largeur total du
caniveau).
Nous pouvons décomposer les travaux de pose ainsi qu’il suit :
Réglage du fond fouille : l’équipe topo implante au moyen de la station totale des
piquets puis les règle à la côte du fond de fouille au moyen du niveau. On règle
ensuite le fond de fouille au niveau de ces piquets au moyen d’une pelle manuelle et
d’une truelle.
Réception du fond de fouille : l’ingénieur géotechnicien de la Mdc passe à la
réception du fond de fouille qui consiste à vérifier l’absence de mauvais matériaux.
L’opération de pose des caniveaux s’achève par la pose des dallettes, des prédalles et le
coulage de la dalle de compression.
%𝑷 𝟏𝟎𝟎 %𝑹𝒄 𝟗
Rc(g) : masse de refus cumulés sur le tamis considéré ;
Ps(g) : masse sèche totale de l’échantillon analysé.
Le résultat de l’essai réalisé sur le matériau de fond de fouille de la rue 13275 entre le
PK0+025 et le PK0+125 est présenté dans le tableau 9. La courbe granulométrique de
l’essai est présentée en annexe 6.
𝑴𝒉
𝑴𝒔 𝒘 𝟏𝟎
𝟏
𝟏𝟎𝟎
La masse de bleu m introduite en grammes est calculé par :
𝒎 𝑪 𝑽 𝟏𝟏
La valeur au bleu VBS en g de bleu par 100g de matériau sec est calculée par la
formule :
𝒎
𝑽𝑩𝑺 𝜶 𝟏𝟎𝟎 𝟏𝟐
𝑴𝒔
Mh (g) : masse de la prise d’essai ;
Ms (g) : masse sèche correspondante à la prise d’essai ;
w (%) : teneur en eau du matériau analysé ;
C (g/ml) : concentration de la solution de bleu de méthylène. Dans notre cas
C=10g/l=0,01g/ml
V (ml) : volume de solution de bleu lu sur la burette après apparition de l’auréole ;
m (g) : masse de bleu introduite ;
α : proportion de la fraction 0/5. α = 1 si Dmax<5mm ;
VBS : masse de bleu introduite par 100g de matériau sec.
Le résultat de l’essai réalisé sur le matériau de fond de fouille de la rue 13275 entre le
PK0+025 et le PK0+125 est présenté dans le tableau ci-contre :
DOSAGE MATERIAUX
N° OE Concassé Concassé
Ciment Sable Sikalatex FlintKote
5/15 15/25
NOMBRE n ELEMENT
PK PK LINEAIRE TYPE
D'ELEMENTS VARIABLE
DEBUT FINAL (ml) D'ELEMENTS
(UNITE) (ml)
0+151,66 0+181,24 29,58 13 (70×70) Can Trott +Avaloir 3,32
0+181,24 0+185,28 4,04 2 (70×70) Porte cochère 0
0+185,28 0+221,52 36,24 17 (70×70) Can Trott +Avaloir 1,9
0+221,52 0+235,66 14,14 7 (90×55) Can Traversée 0
0+235,66 0+237,07 1,41 0 (70×70) Can Trott +Avaloir 1,41
0+237,07 0+241,11 4,04 2 (70×70) Porte cochère 0
0+241,11 0+264,98 23,87 10 (70×70) Can Trott +Avaloir 3,67
0+264,98 0+280,78 15,80 5 (90×55) Can Traversée 5,7
0+280,78 0+329,26 48,48 24 (80×80) Can Trott +Avaloir 0
0+329,26 0+351,57 22,31 11 (100×65) Can Traversée 0
0+351,57 0+368,80 17,23 8 (80×80) Can Trott +Avaloir 1,07
0+368,80 0+372,84 4,04 2 (80×80) Porte cochère 0
0+372,84 0+411,50 38,66 18 (80×80) Can Trott +Avaloir 2,3
0+411,50 0+424,62 13,12 6 (100×65) Can Traversée 1
0+424,62 0+432,70 8,08 4 (80×80) Can Trott +Avaloir 0
0+432,70 0+438,76 6,06 3 (80×80) Porte cochère 0
0+438,76 0+457,95 19,19 9 (80×80) Can Trott +Avaloir 1,01
TOTAL(ml) 432,95 201 ---------------------- 26,84
Source : Pièro KEGNIDE, 2022.
a : épaisseur de la prédalle ;
k : épaisseur de la dalle de
compression ;
d : épaisseur de la dallette ;
h : hauteur hydraulique ;
r : épaisseur radier ;
c : épaisseur du piédroit ou de la
voile ;
b : largeur hydraulique ;
g : épaisseur de la lèvre de
feuillure ;
f : redent de la feuillure ;
e : portée de la dallette, de la
prédalle et de la dalle de
compression.
Après lectures des dossiers d’exécution, les caractéristiques des caniveaux sont
récapitulées dans le tableau ci-après :
Tableau 13 : Caractéristiques des caniveaux de la rue 13275.
Section PK PK (b+2c+0,1) Vi
li (ml) b (m) c (m)
b*h DEBUT FINAL (m) (m3)
70×70 0+025,00 0+050,21 25,21 0,7 0,2 1,2 1,513
90×55 0+050,21 0+062,33 12,12 0,9 0,25 1,5 0,909
70×70 0+062,33 0+099,40 37,07 0,7 0,2 1,2 2,224
90×55 0+099,40 0+112,52 13,12 0,9 0,25 1,5 0,984
70×70 0+112,52 0+221,52 109 0,7 0,2 1,2 6,540
90×55 0+221,52 0+235,66 14,14 0,9 0,25 1,5 1,060
70×70 0+235,66 0+264,98 29,32 0,7 0,2 1,2 1,759
90×55 0+264,98 0+280,78 15,8 0,9 0,25 1,5 1,185
80×80 0+280,78 0+329,26 48,48 0,8 0,2 1,3 3,151
100×65 0+329,26 0+351,57 22,31 1 0,25 1,6 1,784
80×80 0+351,57 0+411,50 59,93 0,8 0,2 1,3 3,895
100×65 0+411,50 0+424,62 13,12 1 0,25 1,6 1,050
80×80 0+424,62 0+457,95 33,33 0,8 0,2 1,3 2,167
Total (m) 432,95 VBP (m3) 28,222
Le volume total de béton de propreté réalisé sur la rue 13275 est estimé à 28,222 m3.
Résultats :
Tableau 15 : Détermination du volume de mortier de jointoiement et de la surface de
flintkote
SECTION PK PK
n (unité) SiF (m2) SiMJ (m2) ViMJ (m3)
(b×h) DEBUT FINAL
70×70 0+025,00 0+050,21 12 0,99 0,54 0,119
90×55 0+050,21 0+062,33 6 0,4 0,661 0,066
70×70 0+062,33 0+077,30 7 0,54 0,54 0,065
70×70 0+077,30 0+081,34 2 0,09 0,54 0,011
70×70 0+081,34 0+099,40 8 0,63 0,54 0,076
90×55 0+099,40 0+112,52 6 0,4 0,661 0,066
70×70 0+112,52 0+130,85 9 0,72 0,54 0,086
70×70 0+130,85 0+134,89 2 0,09 0,54 0,011
70×70 0+134,89 0+147,62 6 0,45 0,54 0,054
SECTION PK PK
n (unité) SiF (m2) SiMJ (m2) ViMJ (m3)
(b×h) DEBUT FINAL
70×70 0+147,62 0+151,66 2 0,09 0,54 0,011
70×70 0+151,66 0+181,24 13 1,08 0,54 0,13
70×70 0+181,24 0+185,28 2 0,09 0,54 0,011
70×70 0+185,28 0+221,52 17 1,44 0,54 0,173
90×55 0+221,52 0+235,66 7 0,48 0,661 0,079
70×70 0+235,66 0+237,07 0 0 0,54 0
70×70 0+237,07 0+241,11 2 0,09 0,54 0,011
70×70 0+241,11 0+264,98 10 0,81 0,54 0,097
90×55 0+264,98 0+280,78 5 0,32 0,661 0,053
80×80 0+280,78 0+329,26 24 2,3 0,6 0,276
100×65 0+329,26 0+351,57 11 0,9 0,736 0,147
80×80 0+351,57 0+368,80 8 0,7 0,6 0,084
80×80 0+368,80 0+372,84 2 0,1 0,6 0,012
80×80 0+372,84 0+411,50 18 1,7 0,6 0,204
100×65 0+411,50 0+424,62 6 0,45 0,736 0,074
80×80 0+424,62 0+432,70 4 0,3 0,6 0,036
80×80 0+432,70 0+438,76 3 0,2 0,6 0,024
80×80 0+438,76 0+457,95 9 0,8 0,6 0,096
TOTAL 201 16,16 ---------- 2,07
𝑸 𝒒 𝒅 𝟏𝟕
d : dosage du matériau.
Les résultats sont présentés dans le tableau ci-après :
Tableau 16 : Quantités de matériaux mises en œuvre pour la réalisation du BP et des
joints.
N° 1 2
Ouvrages Elémentaires BP Jointoiement Quantités mises
Unité m3 m3 m2 en œuvre
quantité q OE 28,222 2,070 16,16
d (kg/m3) 150 400 0
Ciment
Q (kg) 4233,3 828,16 0 5061,460
d(l/m3) 494 80
Sable
Q(l) 13941,668 165,632 0 14107,300
Concassé d(l/m3) 279,22 0
5/15 Q(l) 7880,1468 0 0 7880,147
Concassé d(l/m3) 647,1 0
15/25 Q(l) 18262,456 0 0 18262,456
d(l/m3) 0 0,8
Sikalatex
Q (l) 0 1,65632 0 1,656
d(kg/m2) 0 0 0,9
FlintKote
Q(kg) 0 0 14,544 14,544
Les quantités de matériaux totales utilisées sont présentées dans le tableau 17.
Au total, nous avons 5327.85kg de ciment soit 63 paquets ;14.85m3 de sable ; 8.28m3
de concassé 5/15 ; 19.22m3 de concassé 15/25 ; 1.75l de sikalatex et 15.31kg de flintkote
pour la réalisation du BP et des joints des caniveaux posés.
Conclusion partielle
Au terme de ce chapitre, nous avons fait la synthèse des différentes étapes de la
préfabrication et de la pose des caniveaux adoptés par SOGEA SATOM. De l’analyse
des résultats des essais suivis, nous retenons que les travaux sont exécutés dans le respect
des spécifications techniques du marché. Pour la réalisation du BP et des joints des
caniveaux posés dans la rue 13275, nous avons estimé les quantités de ciment, de sable,
de concassé 5/15, de concassé 15/25, de sikalatex et de flintkote à 5.33t, 14.85m3,
8.29m3, 19.22m3, 1.75l et 15.31kg respectivement.
CONCLUSION GENERALE
Au prime abord, à l’issue de ce stage, il est indispensable pour nous de faire le point de
nos acquis, des difficultés rencontrées puis de faire des suggestions.
Synthèse des acquis :
Au cours de notre stage, nous avons été confrontés à un certain nombre de difficultés
dont notamment :
- La définition de la nature du document de fin de formation ;
- La présentation de la structure d’accueil ;
- Le paiement des forfaits internet au quotidien ;
- Les pluies répétitives.
Des suggestions
Somme toute, le stage de trois (03) mois que nous avons effectué a été une expérience
particulière et inoubliable. Il nous a permis de découvrir le monde du travail et de
pratiquer des notions dans plusieurs disciplines notamment le métré et étude de prix, la
mécanique des sols, la collecte et l’évacuation des eaux pluviales, la technologie de
construction…
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Ouvrages et articles :
1. IGIP AFRIQUE « Plan Directeur d’Assainissement Pluvial de la ville de
Cotonou », 134p.
2. LADOUANI Abdelkrim « Organisation de chantier et Gestion de Projet », 97p.
3. Jean-Pierre NKOGHE « Gestion de chantier EIER-ETSHER, Avril 2005 »,
81p.
4. Inspecteur Jean Pierre BIO YARA « Guide de Cours de Projet d’Exploitation,
Aout 2015 » 150p.
5. Norme NF P 11 300 et GTR « Classification des sols », 12p.
6. Urbain AGNICHOLA, « Rapport de fin de formation pour l’obtention du
diplôme de la licence professionnelle, INE 2020 », 67p.
Acquis (ressources INE) :
1. Professeur François de Paule CODO et Ing GBAGUIDI T. Brice « Cours de
Collecte et évacuation des eaux usées et pluviales, INE 2020 », 130p.
2. Prof ADJOVI Edmond et Ing Y. Daniel AGOSSOU « Cours de Technologie de
construction, INE 2020 », 51p.
3. Ing Y. Daniel AGOSSOU « Cours de métré et étude de prix, INE 2022 », 63p.
4. Ing Idrissou MAMA « Cours d’hydraulique routière, INE 2022 », 195p.
ANNEXES
Annexe 1 : Organigramme du chantier
NIVELEUSE TRACTOPELLE
COMPACTEUR