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IFSI Avicenne – Jean Verdier

Evaluation de l’unité d’enseignement 6.1 semestre 1


« Méthodes de travail et TIC »
Fiche de lecture
2 ECTS
Compétence 8

1ère Session

Date de restitution :

NOM Prénom : BAALI Karim

Promotion : 2023-2026
SOMMAIRE :

I. Introduction……………………………………………………..……....P1

II. Synthèse de l’ouvrage ………………………………………..………..P1-2

III. Réflexion personnelle…………………………………..……………..P3-4

IV. Conclusion………………………………………………….……….…P4

V. Bibliographie/webographie…………………………………..………P5

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Mots clés : soignant, les soins, prendre soins, l’humain, le soin

I. Introduction.

L’ouvrage que l’on va travailler sont les 20 premières pages du livre dont l’auteur de l’extrait
qui nous intéresse est WALTER Hesbeen (infirmier et docteur en santé publique de
l'Université catholique de Louvain (UCL) ) issue de < Les soignants. L’écriture, la
recherche, la formation< Éditions Seli Arslan parure en 2012 et qui compte au totale 172
pages. A travers cette extraits diverses notions sont traitées mais qui relève toute des mêmes
problématiques qui sont les suivantes :
-Comment est compris le terme de soignants ? Quel est la place de l’humain dans le soin ?

Pour y répondre je vais dans un premier temps me pencher sur le terme de soignants puis sur
l’importance de l’intention de prendre en compte l’humain lors des soins en tant que soignant
et pour finir voir en quoi l’écriture et la lecture permet d’acquérir des connaissances
indispensables à la pratique du métier de soignant.

II. Synthèse de l’ouvrage


Le terme de soignant peut paraitre au premier abord plutôt simple puisqu’il désigne toute
personne qui soigne, mais pourtant il n’est pas compris de la même manière par tout le monde
en effet comme on peut le lire dans cette extrait « sa compréhension reste
Approximative, tiraillée entre un statut professionnel pour les uns,
Une situation, voire une attitude ou une intention pour les autres(P1) ».
Ce qui le plus souvent entraine des malentendus autant au seins du groupe des soignants eux
même qui peut être vu comme une « appellation dégradante(P1) ».
Pour tenter d’éviter le plus possible ce genre de malentendu l’auteur à tenter d’expliquer ce
terme en quelque mots « le soin n’est pas à confondre avec les
soins et l’excellence de la pratique des soins, pour nécessaire
qu’elle soit, n’indique en rien la pertinence du soin porté à la personne à qui se destinent ces
mêmes soins(P2 ».L’auteur ajoute que ces malentendus entres les termes peuvent avoir des
répercussion sur la compréhension de ceux-ci et donc entrainer une mauvaise qualité de soin.
Ceux qui peut parfois même mener à faire des soins sans pour autant prendre soins de la
personne , il faut donc bien faire la distinction entre le soin et prendre soin car on peut

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administrer des actes de soins de qualité sans se soucier véritable-
ment et sincèrement de la personne à qui ces soins sont prodigués ce qui va à l’encontre même
des valeurs humaines.

Ce qui nous amène au point suivant qui est la prise en considération de la personne soigner
qui est un humain et donc qui ne s’arrête pas que aux soins a lui administré mais également à
ce qui fais de lui sa personne.
Donc prendre soins passe tout d’abord par la prise en compte du vivant, de la vie et que
l’individu pris en soins est d’abord humain avant d’être un malade ;De plus l’intention est
primordiale dans le soins comme on peut le lire « une intention qui se traduit en particulier ici
par l’importance accordée à la finition, à l’esthétique, à la
volonté d’aller un peu plus loin que ce qui est juste nécessaire, ce
qui pourrait être qualifié de « détails » en regard de certaines
conceptions(P6) » lorsque l’auteur met en parallèle le soins et l’hygiène pour bien comprendre
que sans une intention de vouloir soigner et d’aller plus loin que l’action de soigner l’individu
en face de nous il est impossible d’affirmer prendre soins de celui-ci puisque notre intention
n’est pas dans cette volonté du détail mais simplement dans le soin d’un malade et non d’un
individu à part entière.
Par-dessus tout cela la question la relation à l’humaine entre en jeux dans le choix d’exercer
un métier de soignants puisque comme citer « Ces soignants professionnels interviennent
précisément lorsque la fragilité de la vie est fragilisée
par une maladie, un événement ou une caractéristique pathologiques aux effets parfois
éphémères, parfois durables, ou encore
définitifs voire irrécupérables(P8) » puisque ces situations requièrent une relation de
confiance en vers l’homme ou la femme dont ils seront confronter régulièrement pour pouvoir
les soigner.
C’est pour cela que ces soignants sont designer comme tel « C’est parce qu’il en fait son
métier que le soignant professionnel est appelé, plus que « Monsieur et Madame Tout le
Monde (P9) »,cela permet de clarifier encore une fois ce termes de soignant et de la prise en
considération de chacun autant les soignant que le soigné en tant qu’individu à part entière
avec ces caractéristiques qui vont permettre au final de pouvoir réfléchir à eux
valeurs fondamentale qui sont cité dans le texte « le respect et la dignité.(P11) » .

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Enfin comme nous l’avons vu précédemment la pratique de du métier de soignant nécessite
connaissances et techniques indispensable pour pouvoir prodigués les soins or au-delà de ces
connaissances le soin en tant que tel nécessite d’autres ressources qui relève d « une
intelligence du singulier (P18) » qui désigne « une intelligence qui
conduit les professionnels à essayer de détecter, de décoder ce qui
est important pour le patient et son entourage en une situation
singulière en vue d’en tenir compte dans leur action (P18) ».Cette intelligence peut s’acquérir
par la lecture (en particulier de roman) car elle permet de partager la réflexion humain et de
pouvoir avoir une approche moins restreinte lors de la pratique de soins ainsi qu’une réflexion
professionnelle indispensable pour pratiquer le métier de soignant

III. Réflexion personnel.

Du point de vu des différents malentendus qu’il peut exister je trouve qu’il est légitime de
donner des mots voir des illustrations plus concrètes et explicite des diffèrent termes qui
posent problème afin de faire face à tous les problèmes générer par cette compréhension très
approximative des termes de soignant, prendre soin et la différence entre le soin et les soins
ou autres. De plus cette mauvaise compréhension mène le plus souvent à une considération
faible voire inexistant du soigner ce qui est en totale contradiction avec les valeurs
fondamentales de respect et de dignité, je pense qu’il est donc inconcevable de vouloir
prendre soins de quelqu’un sans la considérer d’abord comme un humain ayant une vie et des
caractéristique propre.
De ce fait il faut d’abord se préoccuper de la vie de la personne car sans cela je pense qu’on
ne peut pas dire que l’on s’occupe d’une personne mais seulement de sa maladie.
L’intention joue également un rôle clé puisqu’il permet de savoir si le soignant souhaite
réellement la guérison du soigner ou s’arrête seulement à sa pathologie.
Cependant avec des termes dont nous avons chacun notre interprétation je trouve normal que
certains soignant soit on contradiction avec ces principes car il est parfois difficile de savoir
ou commence et ou se termine le respect et la dignité d’autrui de la même que l’on à chacun
des valeurs et principes propre qui peuvent être on contradiction avec les autres.

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Enfin pour devenir soignant d’après moi il faut certes des connaissances à la fois théoriques
mais surtout pratique et le savoir de comment l’homme agis face à une situation donner et ce
qu’il ressent à ce moment pour pouvoir s’occuper à la fois de lui et de sa pathologie. Si on ne
s’occupe que d’un seul de ces deux aspects je ne pense pas que l’on puisse designer cela
comme une prise en soins totale.

IV. Conclusion.
J’en conclue donc que le terme de soignant et beaucoup plus complexe que ce que l’on pense,
mais qu’il regroupe à la fois la personne et les actes qu’ils pratiquent. Le soignant doit à la
fois avoir des connaissances théoriques qu’il acquérir durant sa formation, pratique pendant
qu’il fait des soins mais surtout avoir une réflexion professionnelle pour considérer le soigner
comme un humain à part entière vivant pour pouvoir lui prodiguer des soins à la fois de
qualité et totale à la fois en prenant en compte sa pathologie et sa vie.

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BIBLIOGRAPHIE :

WALTER Hesbeen, < Les soignants. L’écriture, la recherche, la formation< Éditions Seli
Arslan,2012, 20 pages (sur172)

WEBOGRAPHIE

[consulté le 14 /10/2023] Disponible à


l’adresse :https://www.vuibert.fr/ouvrage/9782842761820-les-soignants-l-ecriture-la-
recherche-la-formation

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