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ECONOMIE INTERNATIONALE

Chapitre 1 : La dynamique de la mondialisation


Section 1 : Les temps et les espaces de la mondialisation

Les prémisses (préhistoire, 14ème siècle)


La logique de commercé avec le reste du monde est là depuis très longtemps. C’est l’idée d’aller
chercher les ressources manquantes.
Les origines : dépassements de territoires ; dotations manquantes : il nous manquait certains produits
donc on allait les chercher loin
Exemples :
- Les routes (obsidiennes, ambre, soie) cela montre la volonté de commercé, la question se pose
avec quelle monnaie on échange ? puisque pas la même monnaie pas la même valeur en
fonction du pays
- Les économies mondes (centre vs périphérie) : liées à la naissance des civilisations qui ont
organisé des éco internationales avec un centre qui concentre la richesse et une périphérie qui
la produit (égyptiens, incas, aztèques = posséder immense territoire et la richesse était
ramener dans le centre).
- Les grandes foires : apparues au moyen Age, traduit la volonté à l’international d’échanger
Naissance du CI à la renaissance : métaux et épices surtout

L’essor : le décollage de la mondialisation était fin 15ème siècle


- Grandes découvertes (Zheng he, Colomb, De Gama, Cabral, Magellan (vont démontrer par des
faits qu’on peut faire le tour de la terre), El Cano….)
- Mouvements de « colonialisme/impérialisme » (Organisation centre périphérique à grande
échelle), On va avoir un effet de dominant avec des personnes qui vont mettre des panneaux
et dire que les terres sont a eu. BG, Hollande, France, péninsule ibérique. Logique de pompe à
richesse (on retire la richesse du monde pour la mettre chez nous)
o Concentration de la richesse (RI)
o Déplacement centre de gravité du CI

La maturité
Les mondialisations : il y a eu 2 grandes phases :
Première mondialisation 1870-1914 : première vague pour les mondes industrialisés entre la seconde
moitié du XIXème siècle et 1914
« Quel épisode extraordinaire dans le progrès économique de l’homme qu’à été cette époque qui a
pris fin en août 1914 ! Un habitant de Londres pouvait commander par téléphone… »
John Keynes
- Développement des transports
- Développement des moyens de communication :
- Industrialisation de l’exploitation des colonies : comment quelques pays vont chercher à
exploiter la richesse, les matières premières afin d’avoir un avantage de cette colonisation.
- Industrialisation du Nord, désindustrialisation du Sud : on a des divergences entre les pays éco
on en a qui vont se spécialiser et d’autre qui vont être contraint à la désindustrialisation. On
va organiser un sens unique du commerce avec des pays qui vont être spécialisé dans la
fabrication de MP et d’autre dans la production de MP.

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- Mouvements de capitalisation internationaux à LT. On a fait des grands emprunts


internationaux pour des grands projets d’emménagement etc.
- SMI basé sur l’étalon or : on a système de conversion intégrale des billets chaque billet ont une
contrepartie métallique. Il n’y a pas de de divergence entre :
o Valeur faciale : c’est ce qui a décrit le billet est de 500€
o Valeur intrinsèque : c’est la vraie valeur de la monnaie aujourd’hui la contrepartie des
billets émis sont des en-cours de crédit.
- Spécialisation des pays développé
- Commerce asymétrique
- Existence d’une finance internationale
-

Quelques pays se partagent le CI (les grands pays européens dominants), poids extrêmement fort dans
les exportations mondiales. Les Britanniques sont en train de se reconcentrer chez eux et se
désintéresse du reste

De retour au protectionnisme : ordre établie


Rupture multiple dans les mondialisations
- Première guerre mondiale (1914-1918) : ordre établie à voler en éclats c’est la fin du
mercantilisme. C’était un enjeu de pouvoir et domination. C’est la dernière grande guerre de
domination où on se tape dessus pour prendre les richesses des voisins. Il n’y a plus d’échange
financier donc plus de système d’échange financier, chacun se concentre sur son économie
- Révolution russe (octobre 1917) : elle dit pousse je joue plus, elle ne veut plus commercer si
elle veut de nouveaux échanger il faudra que les monnaies soit équilibré. Elle veut s’extraire
des échanges.
- Crise des années 30 : on a eu un crack qui est un épie qui est un phénomène conjoncturel,
c’est juste à un moment un marché qui s’effondre. Une crise elle s’installe sur la durée. Il faut
différencier krach et crise. La cause de la crise des années 30 : les Américains ne veulent plus
consommer puisqu’ils ont déjà tous cependant l’état va faire diminuer les taux d’intérêt pour
qu’ils soient tentés à consommer par exemple pour avoir une deuxième voiture ou salle de
bain. C’est alors qu’en 29 ils sont surendetter, c’est la faillite de la loi de l’offre et la demande.
On peut avoir Krach sans crise.
- Seconde guerre mondiale : pareil que la 1ère première guerre
- Partition pays de l’est, on ralentit artificiellement la dynamique du commerce
- Guerre froide, entretient le climat :
- Passage du global au discontinu
- Protection tarifaire : avec la crispation de la période, on assite à un relèvement substantiel qui
participe encore du ralentissement du commerce international. Démondialisation qui a des
effets collatéraux, on a une réduction de la mondialisation

Seconde mondialisation (1980 à aujourd’hui) :


Reprise du mouvement, C’est la fin de la démondialisation,
:
- Fin de l’isolement chinois (1978), en un peu plus d’une décennie tout le monde est de nouveau
au rdv
- Chute du mur de berlin (1989)
- Effondrement de « l’empire soviétique »
- Nouveau développement dans les transports

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- Nouveaux acteurs (FMN) :


- Industrialisation d’une partie du Sud (vagues de NPI), les tigres, les dragons, jusqu’aux BRICS.
Émergence de nouveaux pays (TIGRE, DRAGON…) ce sont des pays par vagues qui sont
développer à très grandes vitesses qui intensifie le commerce international
- Explosion des mouvements de capitaux inter (4D) → déréglementation, décloisonnement,
désintermédiation, désinflation. On va avoir des réformes qui vise libéraliser, décloisonner
(=organiser le monde de la concurrence sur le marché) on va avoir des nouvelles conquêtes de
l’ouest car tout est à faire là-bas, ce décloisonnement va participer à ses mouvements de
capitaux accélérer.
- Mouvements de régionalisation : la régionalisation année 60 où on lance le mouvement on
essaye de lancer le mouvement mais il ne marche pas. On lance un 2ème mouvement dans les
années 80 et lui il fonctionne.
- Taux de change flottants : comment on peut se servir de taux de change flottant pour se
donner un avantage dans un échange, on va avoir une course à celui qui sera le ???

Section 2 : Les moteurs de la mondialisation

Évolution des mentalités, mouvement des ID


Comment on a eu des idées très arcboutés sur le fait d’adhérer ou non à l’EI. C’est connecter l’histoire
de la pensée avec les évolutions du commerce international. Et connecter l’influence des acteurs
dominants sur le commerce. Aristote dit qu’il y a une éco qui vaut le coût (l’éco moral) et une autre
non (une éco immoral). Celle qui vaut le coût c’est l’éco des métiers l’autre c’est l’éco du commerce.

- Poids de la morale (philosophie, religion) : tout est étudié à l’ombre de la morale


principalement religieuse

- La renaissance (diffusions d’idées nouvelles) : les religieux passent à la trappe on ne les suit
plus. Avec la renaissance on se remet à penser, d’avoir une réflexion, on a plus un
comportement normé on a le droit de penser. Cela devient une course à l’enrichissement On
a un changement du point : avant ce n’était pas bien l’enrichissement mais maintenant on
peut. On aura des dominants ceux qui s’enrichisse et les dominé ceux qui ne le sont pas.

- Le mercantilisme 1450-1750 c’est la vision décomplexée de l’enrichissement, au niveau micro


(pour soi-même) comme macro (au niveau de l’Etat). C’est la période de comment gagner du
fric par ses propres moyens ou en pillant les autres. Il est caractérisé par 3 grands siècles :
o Bullionisme espagnol : ne veut pas du tt partager sa richesse avec le reste du monde
o Colbertisme français, pré-industrie :
o Commercialisme britannique

- Les lumières (Montesquieu, Hume) : pour Montesquieu le protectionnisme n’est pas


forcément bénéfique ➔ passer au libéralisme
- Ecole classique et post classique

Le PIB mondial augmente 3%, le commerce international augmente de 6%. → Causalité ? corrélation ?
Les taux d’ouverture sont positifs et croissants pour la plupart des économies, quelques soient les
groupes de pays considérés. Il existe aussi de grandes disparités dans de mêmes groupes avec des très
peu ouvert et des très très ouverts.

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La tendance des pays a relâché le protectionnisme, en 2005 on a cherché à réduire le protectionnisme.


On voit que le niveau des pays qui s’ouvrent augmentent. Jusqu’en 2005/2008 dans le CI on a cru à
l’intérêt mutuel. Les niveaux d’ouverture sont très différents d’un pays à l’autre L’Allemagne est le
champion dans échanges en Europe (aujourd’hui embêtant car très dépendant de la Russie donc ça va
bloquer car locomotive du commerce européen). La France aujourd’hui on est à 33%. Il y a les pays pas
très ouverts : le japon et les USA. Les USA ont beaucoup à dire sur les restrictions à l’échange mais ils
sont les moins ouverte c’est la vision de faite ce que je dis mais pas ce que je fais car je ne vais pas y
gagner.

Dynamique commerciale
De plus en plus de pays se développent, émergent, acquièrent une demande solvable et sont aptes à
tirer el commerce international
Aujourd’hui se concentrent plus sur eux-mêmes (ex de la Chine avec un niveau de vie moyen cool et
seront bientôt indépendants complètement)

Dynamique démographique et migratoire : c’est le faîte que nous soyons de plus en plus sur terre,
que nous soyons de plus en plus des acteurs. Nous sommes des grands artisans du commerce
international.
- L’évolution démographique :
- L’intégration de milliards de personnes à l’espace économique mondial :

Intégration spatiale :
Ouverture des espaces
➔ Mondialisation sans précédent de l’économie mondiale depuis ces 25 dernières années
Passage du monde entier à l’économie de marché
Réintégration des PECO
Intégrations régionales (démantèlement des barrières et frontières)
➔ Passage du discontinue au global
Bien souvent on appelle mondialisation ce qui n’est en réalité qu’une régionalisation. La France
commerce avec Espagne, l’Allemagne on parle de mondialisation. Cependant les premiers pays qui
échangent avec la France c’est d’abord et avant tout la partie régionale de la mondialisation.

Ce qui faut voir avec les nouveaux pays industrialisés on a de plus en plus de pays qui accèdent au
développement des pays riches et qui son apte de consommer à l’échelle mondial et de tirer le
commerce international. L’intensité de l’échange va être différent par rapport au nombre d’acteurs de
cet échange.

Dynamique des transports et de la communication


Densification des échanges grâce à des innovations dans les infrastructures de transports. En vrai
l’aérien c’est marginal, ce qui est top c’est le maritime. Il vaut mieux avoir une surface maritime
aujourd’hui.

Dynamique technologique
Innovation dans les technologies de communication
Densification
Loi tendancielle à l’annulation des profits chez Ricardo reprise par Marx. On tend vers l’Etat
stationnaire sauf quand on innove, qu’il y a un progrès technique ça relance la machine
- Contexte des RI (loi des débouchés)

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- Typologie du produit (durable)


- Sauf si progrès technique (PT)
o Révolution
o Ouverture de nouveaux débouchés
- Théorie des cycles Schumpeter :
o Théorie des cycles de Kitchin ➔ Japonais qui a mis en place le cycle à CT sur 4 ans,
production agricole
o Théorie des cycles de Juglar ➔ cycle des affaires/ commerciale, 8 ans
o Théorie des cycles Kondratieff ➔ cycle de 30-40 ans lié au progrès technique et
grandes innovations (invention, électricité, machine à vapeur, internet…)
Les cycles aujourd’hui n’existent plus. Ce qu’on fait depuis les années 40 c’est de la linéarisation du
cycle plutôt que de laisse le cycle se développer on va contrarier systématiquement le cycle. Cela
engendre la croissance molle.

Le rythme de l’innovation est de nature à alimenter le CI.

Innovations et PT
- Crise des années 30 (fin de la loi des débouchés) : La crise des année 30 c’est la fin de la loi de
say. C’est une crise de surproduction où la production ne trouve plus de débouché. Donc la
grille de lecture de l’économie est perturbée, elle est mise à mal par les faits. Il faut revenir
sur la crise des années 30 pour comprendre. La crise des année 30 née en 24 elle se déclenche
avec le jeudi noir de 1929 après elle ne cesse de grandir car les gens consomment de plus en
plus. Mais à cette époque-là les produits sont solides et durable, une durée vie très long. On
vend des produits a des consommateurs que l’on ne revoit pas après car ce sont des très bons
produits. Donc consommateurs ne consomment plus. On passe à une économie de pénurie à
une économie de surconsommation. La crise des années 30 c’est le passage d’une économie
de pénurie à une économie de surproduction.

- Problème des produits parfaits vs produits imparfaits


o Ampoule de Livermore (1901 en GB) ou OSRAM (1981 en R.D.A)
o Press purée (1932, machine à laver (Vedette)

- Durée de vie des produits : évolution vers des produits à durée de vie de + en + courte, notion
d’obsolescence programmée
- Logique de destruction créatrice de Schumpeter (ex : marché de la téléphonique fixe
remplacer par marché du téléphone portable)
- Moteur de la croissance économique

Gestion du Progrès Technique :


- Mais les relais de croissance (innovation) peuvent se faire attendre…
- Gestion systématique de l’innovation et séquençage du PT
- Séquençage du PT : délais entre l’invention et la diffusion, amélioration à la marge
o Ex : écran plasma (invention US en 1964 mise au point au Japon en 79 diffusions à la
fin des 90)
o Voiture hydrogène (60’s) autonome ou volante
- Amélioration à la marge
- Exception : rupture hérétique
Les « leaders »

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- « Moteur occidental »
o XIXe siècle : ascension du RU
o Fin XIX début XXe siècle : essor des USA de l’Allemagne du japon
o 2/3 XXe fin XXe siècle : domination américaine (« pax americana)
- Paradoxe de Triffin :

Dynamique des communications


La « révolution de la communication et de l’information » n’en est qu’à ses débuts
Confusion de plus en plus grande entre communication et transport
- Imprimante 3D : on va pouvoir appuyer en 1 clique et avoir une maison, l’information devient
le lien

Baisse des couts de l’échange : mtn avec la baisse de coût de transport ect.. , Nous permet de mettre
de plus en plus des produits de l’autre bout du monde avec des produits international pour une baisse
des coûts
- Baisse généralisée des coûts de transports
- Baisse du coût de collecte et de diffusion de l’information (désormais quais nul)
Logique : moins il y d’obstacle commerciaux plus l’échange est favorisé…
- Baisse tendancielle des obstacles commerciaux :
o Baisse des barrières commerciales
o Baisse des droits de douane
- Résultante de choix politiques :
o Accord d’intégration régionaux
o Accords globaux (GATT, OMC)
- Baisse des coûts commerciaux
o Réduction des obstacles à l’échange

Les « leaders »
« Moteurs occidental »
- XIX : ascension du RU
- Fin XIX-début XX : essor des USA, de l’Allemagne, du Japon
- Après : USA
Paradoxe de Triffin : les USA importent autant qu’ils exportent et c’est récurrent dans le temps.
L’émission du dollar en est la cause. En réalité ils dominent le monde car ils possèdent la monnaie de
facturation internationale et s’achètent tout grâce à ça. Puisse ou soit obligé d’avoir des balances
déficitaires.Les pays ont des balances globalement équilibrées. Le grand pays au niveau des
exportations c’est l’Allemagne. Il y a une anomalie celle des USA on a une très grosse importation
contrairement aux importations mais les USA peuvent ce le permettre. Le dollar émettent une
monnaie de facturation international. Quand on émet la monnaie de facturation international. Les usa
par la facturation d’une monnaie international ils ont un pouvoir d’achat illimité sur le monde, ils ont
une capacité d’achat illimité puisque les autres pays veulent du dollar.

Renouvellement des « leaders »


- « Moteur oriental »
o Depuis 1970 : avènement de l’asie (Japon, 4 dragons dans les années 80’s, 5 tigres
dans les 90’s Puis les BRICS dans les 2000’s)
o Plus la moitié de l’humanité habite l’Est et le Sud de l’Asie

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o En 2014, selon le FMI (World Economic Outlook Databases), La Chine serait devenue
le premier PIB mondial (en PPA)
Conclusion : fin de la domination des Européens et de leurs anciennes colonies
o Ascension de l’Asie
Commenté [BU1]: ICI ON REPREND

Section 3 : Les mesures du commerce international

Quels sont les grands animateurs du commerce international ?

1. La mesure de la mondialisation

a. Acteurs des échanges


- Évolution de la part des différentes régions dans les échanges mondiaux. Le poids de
l’Europe unie, sur le plan des exportations c’est plutôt bien, et celui des importations est à peu
près équivalant.
Modifications des rapports imports/exports des USA avec notamment avec la perte à exporter mais
*voir partie juste au-dessus, tout ce qui se passe juste après la déclaration du dollar comme monnaie
internationale à Bretton Woods*.
La part de l’Asie a pratiquement doublée sur une cinquantaine d’années.
En creux il y a les acteurs perdants : l’Amérique du Sud et centrale. Tout le monde pensait qu’ils
pourraient à terme s’insérer facilement grâce à la constitution dans les 70’s d’une zone régionale de
commerce, de politiques, etc. Finalement, cela n’a pas fonctionné et ils voient à présent leur part
réduire.
Même chose pour l’Europe de l’Est et l’Afrique. Cela est due à leur difficulté à s’industrialiser, à innover,
etc. Encore plus dur de s’y mettre maintenant puisqu’ils n’ont pas les moyens de rattraper les autres.
Ont donc du mal à se dépêtrer de leur statut de producteurs de produits non transformés et matières
premières.
Moyen orient particulier car il y a eu les chocs pétroliers.

b. Localisation des échanges :


- Part de marché Évolution du rapport entre ces zones. : part des échanges est relativement
faible va changer fin 20 début 21ème, la part du commerce des pays du nord va baisser et le
commerce mondial va se réoxygénée avec le commerce nord et sud ➔ l’échange
s’internationalise donc on a de plus en plus de facteurs qui y participent. Sur une très longue
période, la part des échanges nord-nord tend à décroitre. Pour le rapport nord-sud : maintien
quand même. Les rapports sud-nord et sud-sud, qui montre la capacité des pays qui n’étaient
pas des acteurs dominants à s’insérer dans ce qui fait l’échange internationale, tendent
pourtant à s’accroitre grandement. Il y a de nombreux abus de langages : « Nords » « Suds »
→ ex : Australie au nord alors que c’est au sud.
Rapports de forces entre dominés et dominants et comment certains s’en sortent
Les niveaux de croissance sont très différenciés : plus grandes diff des pays développés à
entretenir le taux de croissance de leur exportation et d’autres qui en profitent pour s’insérer
dans l’échange.
Un pic de croissance de la Chine correspond à un pic de creux des USA et inversement.

c. Effet de rattrapage :

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d. Acteurs principaux : FMN


Pour comprendre le commerce international il faut comprendre la place du FMN dans le commerce
national. Une grande part du commerce d’un pays est relié, est dépendant des multinationales qui
sont sur so territoire. Ici 36% des exportations américaines sont liée à des échanges de firmes
Quand Peugeot importe ses moteurs de Pologne, sa carrosserie de Slovaquie on va regarder la
compta national x milliard mais c’est x milliards d’exportation sont liée à la politique. Une grande
partie du commerce international est déterminé par la logique des FMN. FMN sont un acteurs
majeurs du commerce international qui déterminent les équilibres d’un pays.

Le commerce intra firme détermine fortement le commerce des pays. Pour la France, 40% du
commerce est déterminé par du commerce intra firme. 53% pour la Belgique. Il y a eu de très
nombreux IDE qui amènent que le commerce ne soit plus pavillon mais de firme.

1.1 Asymétrie d’information :

En Allemagne 1% des firmes allemandes font 59% du commerce extérieur allemand. En Allemagne
5% des firmes allemandes font 81% du commerce extérieur allemand.
La part pris par le MN dans les EI
Asymétrie des acteurs du CI : on regroupe souvent toutes FMN des firmes dont les objectifs
divergent souvent. Par exemple en Allemagne : 1% des firmes font 59% du CI. Pour la Hongrie c’est
77%.

Quelle est la location des échanges ? existe-t-il des inégalités territoriales ?

1. Localisation des échanges

a. Commerce de proximité :
➔ Poids croissant des échanges intrarégionaux
Pas la même réalité quand on parle de CI européen ou américain. En Europe, on commerce
principalement entre nous et on n’a pas les mêmes attentes/exigences. L’Asie commerçait
beaucoup avec l’extérieur il y a qq années, mais aujourd’hui ça s’est rééquilibré et bientôt ça fera
comme l’Europe en intra asiatique. En Amérique latine c’est galère, on cherche surtout des sous
pour l’instant.
Très grande stabilité des parts de marché mondial. La part de l’Europe n’a pas bougé, pareil pour
l’Afrique. Seule la part de l’Amérique diminue en faveur de celle de l’Asie qui commence à dépasser.
La montée du régionalisme. La Mongolie, la Syrie sont les exceptions à ne pas être dans des groupes.
Aujourd’hui le monde entier est passé sous pavillon régionale → tous sous une logique régionale
avec montée en puissance d’accord unilatéraux et bilatéraux. On a 23 organisations régionales dans
le monde à part la Mongolie et la Groenland
Pourquoi la régionalisation ? il y a eu le temps des années 60’s et des années 80’s
Le commerce régional a un impact dopant sur les échanges. Le fait de s’intégrer régionalement fait
qu’on abandonne les taxes, droits de douanes etc. → baisse des prix → et dans le cas de l’Europe,
enlève tous les problèmes du change et ce qui en est associé car on a tous la même monnaie.

Il y a eu une théorie dominante des 60’s aux 00’s. ces modèles de gravité reposent sur le modèle
de newton.
- Polarisation

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- Asymétrie
- Régionalisation

b. Modèle de gravité
- I. Newton (1687) « la force d’attraction est proportionnelle au produit du volume des massa
et inversement proportionnelle à la distance. »
- J. Tibergen (1962) pour le CI « la force d’attraction du commerce entre pays est
proportionnelle au produit des PIB et inversement proportionnel à la distance »
- Modèle de gravite « empiristes » (1960’s début 2000’s)
- Limites des modèles de gravité « empiristes »
o Absence de réalisme
o Pas de prise en compte de :
▪ Coût de transaction (DD, transport, change…)
▪ Des effets frontières (administration, langue…)
▪ Des effets d’appartenance à une union économique
- Modèle de gravité « augmenté » : R. Feenstra 2003, J.E Anderson E. Van Wincoop 2004
- Intégration de nouvelles variables :
o PIB « tête »
o Surface maritime
o Langue commune, relation coloniale
o Union économique, monnaie commune

Quelle est la structure des échanges ? qui échange quoi ?


1. La nature des échanges

a. Le commerce de marchandises :

Le commerce de marchandise :
Le Ci évolue deux fois plus vite tendanciellement que le PIB : le Ci tire le change, les productions, les
PIB mondiaux.

20% de services et 80% de biens. Concernant la part des biens, tendanciellement, la part de l’industrie
augmente tandis que la part des produits primaires diminuent. Donc c’est cool pour les pays bien
industrialisés mais pour ceux qui sont dans les produits primaires, ils jouent sur un marché en
contraction = baisse des prix = renforce l’incapacité de ces pays à se renforcer dans les échanges pour
changer de marché. Compenser pour certains pays par les trucs genre pétrole qui sont des produits
primaires hyper importants. La plupart des pays se désengagent des produits primaires. On le constate
sur toutes les latitudes.

La capacité des pays à s’insérer dans l’échange. Si on a la mauvaise spécialisation, on aura plus de mal.
Compte tenu de ces différences, aujourd’hui les pays en développement cherchent à monter en
gamme.
Effet de rattrapage ?

b. Modification de la nature de commerce :

Aujourd’hui ce qui fait l’essentiel du commerce international c’est les produits manufacturés.

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c. Acteurs des échanges de produits primaires :

Certains pays moins développés se sont spécialisés dans des produits agricoles, les grands pays
développés sortent des produits agricoles mais attention ils peuvent devenir dépendant de ces
produits agricoles produits pas d’autres pays.

d. Échanges de bien manufacturés

e. Spécialisation des acteurs :

On a la pondération de la zone industrielle par pays. Les zones régionales on est des avantages. On
a une très grande spécialisation des pays. Cette spécialisation de ces pays détermine leur capacité
à s’insérer dans les commerces internationaux ou pas

f. Le commerce de services :
Si on cherche à comprendre ce qu’il se passe derrière les services. On différentes formes de services.
Les compositions de services :
- Services aux industries :
- Services au secteur primaire
- Les « vrais » services : vrai service ne dépend pas d’un autre service
Tertiarisation de l’économie (externalisation) :
Tient compte des années 80-90 : externalisation des services. Avoir des ressources sur tous les besoins
de la firme ce n’est pas toujours ce qu’il y a de mieux. Il y a donc un grand mouvement d’externalisation
de services. On commence à diviser encore les processus de division et externaliser ce qui n’est pas
essentiel. Montée en puissance des services pour industrie et primaire mais aussi avec le
développement des grandes firmes internationales de services.
Le tourisme : augmentation de la part de certains pays. EN France on a une part du tourisme plus
modeste que d’autres pays. Le tourisme pourrait être un relai de croissance du commerce mondial et
bah ça n’est pas vrai. Les voyages et transport baisse se sont les autres services qui augmentent qu’il
va falloir augmenter. Les grands secteurs qui soutiennent les services c’est l’ingénierie, la R&D et le
conseil.
Accord Général sur le commerce de service (AGCS) à l’OMC
Définition de 4 modalités de libéralisation d’échanges de service :
On peut distinguer 4 modes :
- Le service passe la frontière (prestation de service à distance grâce aux TIC) : on va pouvoir
gérer à distances les besoins des individus
- Le consommateur passe la frontière (touristes) :
- La FMN passe la frontière (IDE dans hôtellerie, banques, assurance…) : elle va investir à
l’extérieur par exemple l’hôtellerie une grande chaine
- Les travailleurs passent la frontière : ce qui travaillent en frontalier ex : celui qui travaille en
suisse
On va mettre que la part la plus important de la mondialisation des services est la modalité 3.
Quand on s’intéresse à cette mondialisation et l’origine on va mettre la faite que ce sont des
firmes qui sont délocalisé.
Ce sont les IDE qui gagnent donc option 3.

g. Acteurs des services

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Spécialisation : à l’inverse les pays à bas niveau de vie ont une grande difficulté à être présent et
concurrentiel.

2. La nature des flux de capitaux :


Explosion de la finance internationale :
Explosion des IDE
Diffusion des risques de crises

a. Dynamique des flux de capitaux


Origine des flux
Relier à l’explosion de la finance internationale, des IDE, et des risques de cette diffusion.
4 grandes sources :
- Opération de règlement des échanges
- Financement de transferts d’immobilisation de LT (IDE)
- Investissement de portefeuille
- Transactions à visées spéculatives sur les marchés financiers
o Marché de taux (change, devises, taux …)
o Marchés de matières premières (à terme, d’option…)
Distinguer le marché primaire du marché gris. Le premier jour où on émet une action/ obligation, le
jour de l’émission on a échangé un bout de papier vs des milliers d’euros, l’entreprise empoche pour
faire des investissements. Il y a une connexion entre le bout de papier et sa contrepartie financière par
rapport à ce titre. Après cela, on a une déconnexion, on a surestimé la valeur des entreprises. On
nomme cela le marché primaire il se passe quelque chose dès le premier jour. Le jour où elles sont
revendues obligation/action c’est le marché gris.

➢ Une action est une part de l’entreprise on est copropriétaire. Cette part nous donne un droit
de vote AG et on peut toucher des dividendes.
➢ Une obligation est un emprunt titrisé

+ APE (on abandonne nos créances sur des pays qui sont dans la mouise) et crédits bancaires
internationaux (SWAP) ➔ les grandes banques du monde se font crédit donc on a des capitaux qui
flottent entre les différentes banques.

Déconnexion du réel et du financier.


Les deux devraient croitre ensemble de manière identique mais ce n’est pas le cas. La finance ne sert
plus le réel. Une part de la finance ne s’explique plus par le réel. Elle a trouvé des moyens pour se
développer en dehors de l’économie réelle. Aujourd’hui, la fiance ne sert plus uniquement les intérêts
de l’économie réel mais poursuit des intérêts qui lui sont propres.

Opération de règlement des échanges :


Déconnexion entre les volumes des échanges de devises et le volume des échanges de biens et services
(premier motif d’inquiétude). On fait du change lorsqu’on a besoin d’échange des biens et des services,
quand on part à l’étranger. Or ce qu’on constate on voit qu’il n’y a plus de connexion entre le change
et le volume du change.

Différence IDE-Investissement de portefeuille :


La ligne de fracture c’est la part du capital gris

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ECONOMIE INTERNATIONALE

Selon l’OCDE « un IDE corresponds à une activité par laquelle un investisseur résidant dans un pays
obtient un intérêt durable et une influence significative dans la gestion d’une entité résidant dans un
autre pays »
- Si le contrôle > 10% = IDE
- Si le contrôle < 10% = investissement portefeuille
Depuis les 90’s :
- IDE x 6
- Investissement de portefeuille x 7

La distinction IDE/investissement de portefeuille est arbitraire. On a décidé d’un seuil à partir duquel
on passe de portefeuille à IDE (hauteur de 10%). Mais ce n’est que le principe général. Il y a encore un
grand décalage entre l’évolution des deux mais aussi avec ce qui se passe sur le territoire national.
C’est sans commune mesure avec les investissements domestiques. Il y a une tendance à ce que les
IDE soient plus dynamique que les investissements à la maison.
5 pays reçoivent plus de la moitié des IDE → grande asymétrie.
La France fait partie de ces pays mais aussi un des plus grands acteurs d’investissements à l’étranger.

Des investisseurs productifs ne résonnent plus dans l’angle national mais plutôt en rentabilité,
compétitivité et des avantages concurrentielle.
Quand on parle IDE, on pourrait penser que tous les pays on leur chance de faire un investissement à
l’étranger. Seuls les pays riches peuvent (pas trop vrai). Il y a seulement 3 grandes zones IDE Amérique
du nord, Europe et l’Asie en développement

Localisation des IDE :


Flux de capitaux :
Dès qu’il y a des crises économiques les investisseurs reprennent leurs capitaux pour les ramener dans
leur pays d’origine.

Intégration financière internationale :


Cette mondialisation n’est pas uniforme, la relation des pays émergents à la mondialisation financière
est limitée c’est la caractéristique des pays riches.

b. Flux de capitaux :
Les Investisseurs globaux :
➢ 1er : Les flux de pensions : permet de garantir des rémunérations a leur
➢ 2ème Hedge fonds : ce sont des fonds spéculatifs, ils sont tous animés par le requin de la finance
international, vont vampiriser les entreprises qui fonctionnent bien. Ils sont là pour faire du
chiffre ➔ c’est des pompes à frics
➢ 3ème : BC et Fds Souverains : c’est fonds d’états ce sont mis à réalisé des investissement dans
des secteurs d’activité stratégique

Section 3 : les mesures de la mondialisation


1. Jsp

La mondialisation financière est principalement le fait des pays développés et au-delà de la


responsabilité de ces pays on peut aussi pointer les grands acteurs financiers.
Diffusion de risques monétaro-financiers :

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ECONOMIE INTERNATIONALE

- Typologie :
o Spéculation et krachs boursiers
o Crises sur les marchés de la dette
▪ Dettes privées
▪ Dettes publiques
o Crises monétaires
o Crises bancaires
- Conclusion : crises systémiques = crise de tous les segments de la finance
Le monde de la finance est interconnecté et change en temps réel avec des possibilités d’ajustement
majeures.

a. Nouvelles pratiques : shadow banking :

C’est l’idée d’échapper à une règlementation par une banque centrales, elles sont contraintes et
limitée dans leur développement. Les banques de 2rangs on la tentation de développer leur activité
en-dehors de tout contrôle. Elles échappent aux autorités nationales. Les banques prennent de plus
en plus de risques pour plus de profits, on a donc une activité sans contrainte permet le profit mais
plus risqué. C’est un phénomène important et en grande accélération, on accroît de plus en plus les
risque (sans commune mesure).

b. Diffusion des risques monétaro -financiers

La diffusion de la crise peut devenir plus systémique, ces crises d’origines bancaire se diffusent au plan
boursier, financier, monétaire où on un système généraliser de crise. On peut faire mention de la crise
Asiatique ou les banques asiatique on fait faillit, l’état est devenu surendetter incapable de rembourser
ses dettes, la monnaie c’est effondrer donc la dette à augmenter. C’est un cercle vicieux de crise. On
aussi la crise des Subprimes avec les endettements immobiliers des établissements bancaire qu’ils
veulent prêter pour faire des profits, prêter à ceux qui n’ont pas de revenu, pas d’actif et pas de job

c. La mobilité de la main-d’œuvre :

Il faut en saisir l’importance avec la mesure du temps. Une personne sur 32 font partie de la migration
Différence entre les migrations : fin du XIXème et les migrations actuelles :
- Aux UDA, 8,8M d’immigration entre 1901 et 1910(10%)
- Vs. 9,1M entre 1991 et 2000 (3,4%)
Car différence de population
Il y a aussi un changement de sens de migration, de l’origine et des destinations : migration du sud
vers le nord et pas juste nord-nord ou nord-sud. On aussi de l’immigration moins permanente
(relativement plus temporaire ?)
Modification des caractéristiques des migrants

Immigration aussi plus temporaire


Modification des caractéristiques :
- Féminisation des migrants
- Augmentation de migrants qualifiés
- Stabilité de la fuite des cerveaux en terme relatifs

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ECONOMIE INTERNATIONALE

Échanges entre la terre d’origine et d’accueil. Notamment transferts de capitaux et de biens. Capitaux :
participent à travers le transfert à l’élévation du PIB/habitant. Donc migration = échange et échange =
migration
La migration de fin de siècle correspond à une modification des flux des pays pauvres/ moins
développé qui cherchent à rejoindre les pays riches (flux Sud-Nord)

La permanence des migrations : ponctuelle ou permanente ? Les migrations ont tendance à devenir
plus définitif que par le passer On s’aperçoit que les migrants ont tendance à avoir un diplôme
supérieur à leur pays. Ces migrations correspondent à la fuite des cerveaux pour avoir des
rémunérations qui soit à la hauteur de leur capital humain. Cela n’est pas faut mais n’est pas vrai non
plus, on s’aperçoit que pour les pays riches on a aussi la fuite des cerveaux. Les migrants des pays
riches leurs caractéristiques sont la partie la plus aiguillé du pays c’est une caractéristique de migration
tous cours et pas de la fuite de cerveau.

Source d’échange entre terre d’origine et terre d’accueil


- De biens
- De capitaux

d. Migration et répartition

C’est échange participent à la mondialisation économique. On peut également dire ses transferts sont
d’autant plus important pour les pays pauvres. On se rend compte que les transferts en pourcentages
des pays pauvres sont importants contrairement au pays d’un niveau de vie moyen.

e. Effet de répartition du CI

Graphique : répartition entre pays lors de la première


Graphique : répartition entre pays lors de la seconde mondialisation
Ceux qui perdent de la richesse c’est ceux qui ont le plus de mal à s’insérer dans le marché pour des
motifs différents. Les flux de répartition de richesse se sont modifiés également avec la mondialisation.
La mondialisation est une machine qui répartie la richesse à l’échelle mondiale.

f. Échange d’information et de connaissance :

Répartition des internautes (2013) :


Aujourd’hui l’information circule
- Accélération du rythme de production d’informations et de connaissance, d’obsolescence de
l’information et de la connaissance
- Augmentation des moyens de désinformations : fakes news (comment aujourd’hui on cherche
à déstabiliser des États ou des firmes avec : exemples de Perrier, Shell, Mattel…), informations
frauduleuses
- Augmentation des risques liés aux données : hacking, dark web
- Développement de nouveaux besoins : moyen de protection de l’information et de la
connaissance, moyens de sécurisation de l’information (il faut la différencier avec la mauvaise)
et de la connaissance
- Contrôle de l’information et de la connaissance

g. Sécurisation de l’information

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ECONOMIE INTERNATIONALE

- Multiplication de la notion
Agence de notation foncière = organisme chargé d’évaluer le risque de non-remboursement
• D’un État
• D’une entreprise
• Ou d’une collectivité locale
Rémunérée par le demandeur de notation, elle produit à titre indicatif, des outils qui estiment les
risques.
- Limitation des risques
- Coface = assurance-crédit pour protéger les entreprises contre le risque de défaillance
financière de leurs clients
- Analyse des risques par pays, secteurs et sociétés pour aider les organisations à évaluer et
prévenir au mieux les risques…

h. Dynamique de la globalisation

Graphique : accélération du processus de la globalisation

Existe -t-il des effets de « répartition » ?

Des pays riches qui s’enrichissaient et des pays pauvres qui s’appauvrissaient. Les effets de répartition
et les acteurs ne sont aujourd’hui plus les mêmes. Les pays qui s’insèrent favorablement gagnent en
richesse et des pays qui ont du mal à s’insérer ont des effets de répartition négatif mais en vrai ceux
qui le sont déjà un peu aussi.

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