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Droit des contrats administratifs

Exposée d’une demi-heure.

Introduction :

Le droit de contrats administratifs a connu une évolution importante, ces évolutions ont plusieurs
causes, la premier c’est l’importance dans la vie économique du pays, l’autre source important c’est
le droit de l’union européenne, ces dernières années le droit d l’UE a apportés des sous catégories,
marches publics et concession de service public, l’autre source d’évolution c’est la jurisprudence ; par
exemple, la reconnaissance du pouvoir d’annulation de contrat publics par le juge, on a remis en
cause le plans du contentieux, les tiers peuvent saisir le juge pour un contrat, le recours de reprise de
relations contractuelles, on peut parler aussi d’un bouleversement.

1. Questions du vocabulaire : On peut parler de droit du contrats publics ou droit de, la notion
de contrat administratif est la plus approprié, une categorie des contrats sont conclus par les
personnes publics et sont soumis au droit administratif et relèvent de la competence du juge
administratif, ce régime s’intéresse a la formation du contrat, le c a s’oppose au contrazts de
droit privé, c’est une notion qui es effective, qui ne pose pas de problème et utilisé par le
juge. Par contre, la notion de contrat public a une utilisation par la doctrine, cette notion
renvoie a tous les contrats qui peuvent conclure les personnes publics, elle a une base sur le
critère organique, la notion de contrat public n’st pas totalement ineffective, il y a des règles
qui découlent de la seule présence d’une personne public, lorsque une personne public
conclue un contrat il y a des règles de compétence quant a la formation qu’il faut respecter,
la prescription quatriennal, insaisabilité de la personne public, il y a des auteurs qui ont une
conception plus restrictive, la satisfaction de l’intérêt général, il n’y a pas de régime juridique
homogène, la notion de contrat public englobe la notion de contrat administratif, une thèse
de 2010, l’unité de contrat public, pour l’instant il n’y a pas de théorie générale du contrat
public. On parle parfois de contrats publics d’affaire, il font reference aux contrats public qui
on été conclus avec un opérateur économique mais pas de régime juridique particulier. La
notion de commande publique, on le retrouve dans des articles donctrinaux mais aussi dans
la jurisprudence du conseil constitutionnel et le conseil d’Etat, une ilustration d’un avis du CE,
Avis de 29 JUILLET 2002 Société MAG, Principes généreaux de la commande publique, dans
un rapport public de 2008 le Conseil d’Etat a fait aussi référence a cette notion, Il y a une
discussion aussi, une conception strictice de la notion, il y a commande publique quand la
personne publique a accomplie des actes d’achat, une conception plus large, qui est imposé
par le droit de l’UE, selon cette conception la commande publique englobe l’ensemble des
contrats conclus par les personnes publics en tant que adjudicateur, on peut introduire les
contrats de concession dans le groupe des contrats de la commande publique. L’ordonnance
de 13 fevrier 2009, il est venu a déterminer, confirmer que la notion de commande publique
transcende la distinction entre contrats publics et contrats privés, il faut ajouter aussi que
certains contrats publics ne peuvent pas entrer dans la categorie de la commande publiqeu,
le contrat d’occupation d’un bien public, les contrats de recrutement du personnel sont
exclues, la notion de commande publique reagroupe certains contrats pour donner un
régime commun. L’exécution des travaux, et puis délégation de service publique, elle conduit
a dépasser la classification marchés publics et contrat de délégation de service public, les
contrats de la commande publique sont définis par deux critères, le critère de l’objet et puis
un critère économique – le versement d’un prix- cette définition est purement énumérative.
L’élaboration du code a été laborieuse.

2. Les rapports entre le droit des contrats administratifs et le droit des obligations.

Le droit civil ne connait que deux sources d’obligation, les obligations contractuelles et les obligation
qui sont nées de la mise en jeu de la responsabilité, selon cette conception, l’acte unilatérale -
notamment la loi- ne crée pas des obligations, même s’ils créent des devoirs, parce qu’il n’y a pas un
lien personnel -créancier débiteur- cette presentation elle semble remise en cause par l’ordonnance
du février 2016, une définition plus large, la loi est une source possible et particulier des obligations,
ce texte est relancé le débat, les obligations ont fait l’objet de npombeurses études dans le droit civil,
mais ce n’est pas le cas en droit administratif, un acte administratif unilteral peut être une source ?
les auteurs dissent que non, un ouvrage, DROIT ADMINISTRATIF DES OBLIGATIONS, 2018, il été
coecrit par ???, certains auteurs, considèrent que le contrat administratifs peuvent faire naitre des
liens susceptibles de faire naitre des obligations, la notion d’obligation est une lien de droit par lequel
un ou plusieurs personnes sont tenues d’une prestation -tres générale- or, le ca remplit ces
conditions-là, malgré tout, en droit administratif les choses se présentent d’une façon particulier, le
contrat administratif est conclu toujours dans un but particulier, l’interet générale, en raison de ce
but, le contrat a un caractere unilatéral, mais il peut avoir un impact sur les tiers, cette dimension
unilateral fait que le contrat administratif reste un contrat particulier, spécificité irréductible.

3. Théorie générale de contrat administratif et contrats spéciaux

Historiquement parlant, le droit de contrat administratif, on peut remonter au droit romain, seule la
loi pouvait donner un juridique a un contrat, les contrats nommés ou spéciaux, le droit du contrat, le
code civil, la generaltisation a conduit a une !! de contrats spéciaux, les contrats somumis au
formalisme spécifique, le legisltaeur a voulu donner un encadrement plus particulier, le XXeme
siecle, le legisltaeur a voulu encadrer la liberté contractuel en construisant un nouveau statut
contractuel, en droit de contrats administratifs, on est passé d’un droit special a un droit général, la
question de l’eventuel pertinence de mise en place d’un théorie special du contrat administratif.

A. Théorie générale du contrat administratif ou droit commun des contrats administratifs

Cette idée d’une theorie générale du contrat administratif, est une création jurisprudentielle, l’ancien
droit reconnait déjà des marchés et des concessions, travaux publis ou gérer des services publics, en
etudiant ces différentes contrats, ont peut dégager certaines règles spéciales et après généralisés,
certains contrats de personnes publiques étaient considerés comme contrats publics et en
consequence de la compétence du juge administratif, néanmoins, ce qu’on peut ajouter, lorsque ils
sont étudiés par la doctrine, ils sont étudiés par leur diversité, en tant que modes d’actions des
personnes publiques, notamment modes de gestion, il faudra attendre la premier moiitie de XX siecle
avec Gaston Jeze, ouvrage, Les contrats adminsitrtatifs de l’Etat0… un premier synthèse de la
jurisprudence concernant les contrats publics, va permettre d’initier, une étude séparé, sectorielle, il
va de cette etude tirer des règles qui sont relatifs a la formation exceution et responsabilité
contractuelle, il va soutenir quil existe un régime juridique special pour les contrats et qui constitute
un ensemble cohérent, le contrat administratif est different au contrat privé parce qu’il est destiné a
garantir le bon fonctionnement du service public, de la même façon il dit qu’il y aune déséquilibre au
profit de la personne publique, le Conseil Const. Dans une décision QPC a consideré que le contrat
administratif a un CC octobre 2020 Societe Batiment MAYENNAIS, le contrat adminsitatif et le contrat
de droit prive répondent a une finalité et un régime diffèrent, cette théorie, a été contesté parce qu’il
repose entièrement sur le service public ce qui fait que cette theorie peut rendre compte des
contrats de services publics mais du coup ce théorie et moins adapté aux autres contrats de droit
administratif, l’innegalité peut être explique par d’autres raisons que le service public, par exemple,
la nécessité de satisfaire l’intérêt général. Il a joué un rôle important parce qu’il est venu a
systématiser les règles de la jurisprudence, il a aussi ordonné les règles selon l’etat du contrat, la
formation, l’exécution. En 1945 un autre auteur, PEQUIGNOT, a presenté une thèse relative a la
théorie générale du contrat administratif, il a voulu aller plus loin que JEZE, il a fait un travail avec
une dimension plus large, les contrats nommés ou inédites, dans sa thèse, il va insister sur
l’exorbitance du contrat administratif, on a lui reproché d’avoir trop construit la théorie générale par
opposition au contrat privé, on aussi lui reproché un analyse un pue fragile dans la mesure il a été
largement déductive au moment ou il a elaboré sa thèse il a fait une généralisation des règles alors
qu’a l’epoque il n’avait pas de jurisprudence pour donner base a cette généralisation.

A partir des annés 50, on va commencer a trouver dans les Manuels des chapitres consacrés au
contrats administratifs, l’ouvre de PEQUIGNOT va finaliser par LAUBARDERE, Traité theorique et
pratique du contrat administratif, il a donne une vision plus complète, vision générale théorique et
puis ensuite un analyse un peu sectorielle, cette réflexion doctrinale, il sont justifiés par deux
motivations, deux objectifs différents, ils ont voulu justifier l’existence du droit administratifs de
contrats, tout d’abord par l’originalité de ce droit par rapport au droit civil, l’existence du ce droit,
pour clarifier, monter l’unité

La fin de XXeme siecle, on a vu un retour a la speciliasiation du droit de contrat administratif, le


pouvoir public a mis en place de politiques sectorielles, a fait naitre des contrats spéciales,
partenariat, sans chercher un véritable cohérence, insécurité juridique, cette situation, problème de
qualification juridique, certains contractants ont profité de cette situation pour se soumemttre au
regieme juridique le moins contraignant, la doctirne a noueveau se poser la question sur l’unité d’un
régime générale de contrats, aujourd’hui, l’existence d’un régime générale, ce droit commun fait
reference a d’autres sources, alors ces sources, sont jurisprudentielles, il n’ya pas de définition
unique de ce qu’il veut dire théorie générale des contrats administratifs.

On peut constater que le reigme juridique du contrat administratif peut être approché au régime du
droit privé, l’exorbitance a été remise en cause, on n’utilise pas ce terme plus, il faut la relativiser,
l’unilateralisme, on peut le rencontrer en droit privé, cet element n’est pas exclu en droit privé,
l’impact du droit de l’union européenne, la présence d’un organisme du droit public, on peut parler
des personnes publics mais aussi personnes privés gestionnaires de service public, rapprochement
des régimes, on peut parler d’un droit specifique, mais il faut nuancer. Multiplication de contrats
particuliers, la pertinence d’elaborer un théorie special de contrats
2. Spécialisation de contrats administratifs et théorie spécial de contrat administratif

Cette théorie permettrait d’identifier des règles qui serazint communes a tous les contrats
administratifs et aussi aux certains catégories de contrats administratifs, cette théorie ne substitue
pas la théorie général, il vient a compléter cette dernière théorie, a la base des règles applicables aux
tous les contrats administratifs et au dessous les règles applicables a certains types de contrats
administratifs et dans la cima de la pyramide les règles spéciales et spécifiques

Un Code contrats administratifs, -éventuel-

Les sources du droit de contrat administratif :

Il est en lien avec la spécificité, si on peut démontrer qu’il y a des sources autonomes de ce droit on
porrait parler d’une théorie générale.

Ces sources ont été a l’origine jurisprudentielle, puis textuelle, le droit de l’UE constitue aussi un
source important, la jurisprudence a posé les principales règles, le juge dans plusieurs arrêts fait
reference aux règles generales applicables au contrats publics, ce régime n’est pas homogène, il sera
somuis aussi aux règles qui découlent du droit privé, justement le juge administratif a appliqué des
règles du code civil aux contrats administratif, de façon variable, le juge se contente parfois
d’applique telle quelle une disposition du Code Civil, mais parfois, il prefere appliquer la règle posé
par le Code Civil en pretendant que cette règle est plus générale, le CE lorsque il applique les règles
de la garantie décennale, c’est une garantie que s’inspire dans les articles -adapter aux particularisme
du contrats administratifs- la15 avril 2015 Commune d.

Deux categorie, sources internes et externes, sources externes : Ils occupent une place de plus en
plus important, le contrat, mesures protectionnistes, certain nombre de msesures, en rvanche, le
droit communautaire, depuis quelques années, l’impact qu’il peut avoir sur le droit national, il s’est
tro tot interessé dans la passation des marchés publics pour assurer la transparence et la non
discrimination des operateurs économiques, en générale, ces directives ont été perçus comme
contraignants, elles sont developpés la mise en place de la mise en concurrence des candidats aux
marchés, la voie de recours en cas de non respect des règles de mise en concurrence, -référé
contractuelle- adoptés, Modification en 2014, 4 vagues de directives, directives 70s des règles de
passation de marches publics, ensuite, on a adopté 1993 1995 une autre directive, véritable
ouverture a la concurrecne en distingant le secteur classique -travaux, forniture, services- et secteur
exclus, elles ont mise en place de voie de recours pour sanctionner les manquement aux règles de
passation, troisième etapa 30 mars 2004 Directive, simplifier les règles de passation de marchés
publics, les directives de 26 fevier 2014 ils ont venu remplacer la directive de 2004, une autre
directive du même jour, une troisième directive pour les contrats de concession. Cette directive
montre que l’UE veut protéger, des objectifs en matière sociale et environnementale, Ordonnances
2015 Marchés publics 2016 Concessions, il n’a pas impacté seulement la procedure de passation mais
aussi l’exécution, les catégories contractuelles, l’article 1 sur le protocole aditionnel a la convention
de droits de l’homme, protection des biens, dans le contentieux de l’exécution du contrat quand
l’administration ne paie pas les prestation a la contrapertie on peut mettre en cause le droits aux
biens, le droit a un procès equitable, lorsque la constitution est sollicité, il y a des domaines exclus du
contrat public, des activités regaliennes notamment- le CE tout d’abord dans un Avis C 1986, la garde
a vue des personnes incarcérés ne peut pas être géré par des personnes privés, la constitution n’est
qu’un source mineur, mais le Conseil Constitutionnel, a recoonu la liberté contractuelle des
personnes publiques, la doctrine a répondu non parce que les personnes publiques n’ont pas des
droits et libertés individuelles, CC a estimé que cette liberté découlait de l’article 4 de la Declaration
de droits de l’homme et du citoyen, le droit a la liberté, Considérant 9 CC. Les principes
fondamentaux de la commande publique, on peut citer 26 juin 2003 conrcernait une loi habilitant au
gouvernement a simplifier le droit, le CC a consideré que l’article 1 du code de marchs publiques qui
reocnnait le principe de liberté d’acces aux marchés publiques et egalité de traitement et de
transpraence de procedure, cet article ne faisait quexprimer des principes plus généraux qui sont
dans les articles 6 et 14 de la DDHDC.

Le pouvoir reglementaire est competent pour les contrats, deux décisions, CC 13 août 2015 -
collectivités territoriales- par obligation civile ou commerciale,

Les sources se sont diversifiés,

4. Droit en perpétuelle évolution :

Cela s’explique parce que le pratique évolue, il faut bien que le droit s’adapte alors, on a vue que les
contrats administratifs représentent des sommes importantes, ces contrats peuvent donner lieu aux
mécanismes de corruption, évolution même pour le droit de l’UE, le droit s’est adapté aux exigences
communautaires, la jurisprudence a aussi consenti des évolutions qui ont impacté les différents
aspects de contrats administratifs,

PREMIER CHAPITRE Contrat et droit administrativs

Il y a deux idées qui peuvent inciter a faire une relation entre les deux choses, la mise en avance de
contrats administratis spécifiques, est-ce que le contrat administratif special est un véritable
contrat ?

A. La définition du contrat en droit administratif :

Le contrat est un accord de volonté conclu entre deux personnes et qui découlent des obligations,
l’article 1101 du CC dispose que le contrat en accord des volontés destinées a créer modifier
transmettre des obligations, cette définition souleve des doutes

1. La distinction entre contrat administratif et acte administratif unilatéral

Dans la pratique on peut constater qu’on est en face de, subsituter la tecnique contractuelle parce
que l’administration a consideré que la tecnhique contractuelle a plus d’acceptation envers les
administrés que s’ils sont imposé autoritairement, on a vu apparaitre des actes dont on peut nous
demander s’ils sont des actes juridiques et s’ils sont contractuelles ou s’ils sont des actes unilatéraux.
Un acte juridique est un acte qui ocnstitue un acte de manifestation de volonté qui a pour objet de
produire des effets de droit, 1100-1 CCivil, tous les actes de l’administration ne sont pas des AJ parce
qu’il n’y a pas de manifestation de volonté, et puis parfois ces agissements de l’administration ne
produissent pas des effets juridiques, dans la pratique, l’administration et ses operateurs
économiques peuvent faire des déclaration de, tous ces instruments vont fixés des objectifes a
atteindre, mais ils n’ont pas de force obligatoire, tous ces instruments-là on ne sait pas aujourd’hui
comment le qualifier, pour les rest les AU et les C sont des actes différentes, parce que le régime
juridique est different, concernant les règles d’adoption ou d’exécution, la distanction n’est pas
forecement facile de qualifier un acte, pour essayer de detricher un peu la piste, on peut commencer
par exclure certains éléments, le nombre d’auteurs ne determine pas s’il s’agit d’un acte ou d’un
contrat, EINSENMANN avait proposé de substituer ce critère de nombre d’auteurs pour un citere plus
qualitatif a savoir que pour determiner la nature d’un acte juridique si lacte a été imposé ou s’il a été
consenti.

Chapitre I – Contrat et droit administratif.


I– La définition du contrat en droit administratif
A – Acte unilatéral et contrat

1 – Distinction

Avis 29 mai 2009 Société Royal Cinema, sur les conventions qui sont conclus entre une personne
publique et une personne privée, l’octroi d’une subvention, les condition d’attribution de la
subvention et les modalités de versement sont déterminés unilatéralement par l’administration, ce
droits qui sont reconnus ne seront maintenus que si l’autre personne accepte les conditions, le juge
de l’excès du pouvoir est le compètent. Face a la multiplicité des situations, le juge a identifiés des
actes unilatéraux conditionnels, qui ont attribué unilatéralement un avantage, mêmes si les actes
sont consentis, le juge le considère comme un acte unilatéral, la condition résolutoire de ne pas
respecter les conditions, il peut être aussi un acte sous condition suspensif de respecter qqch

L’acte de nomination d’un fonctionnaire peut poser des problèmes aussi, le juge voit ici un acte
unilatéral, condition résolutoire de non acceptation du poste, arret 5 juillet 1957, l’acte de
nomination d’un fonctionnaire c’est un acte unilatéral conditionné. La question s’est posé sur les
contrats d’adhesion, il s’impose a quelqu’un, on doit le prendre tel quel on ne peut pas discuter les
conditions, leur contenu est totalement déterminé par l’administration, Duguit ou Hauriou, retenu
un analyse qui sont des actes unilatéraux, le caractère unilatéral, confère une supériorité a la
personne publique sous le cocontractant tout au long de l’exécution du contrat, ce n’est pas un
véritable contrat, tout contrat administratif était un contrat d’adhésion – PEGUIGNOT-, les formes
dans lesquels l’acte a été élaboré, la forme écrite ou verbale peut importe, le CE a déterminé que le
contrat d’occupation de domaine public un écrit est exigé même si aucun texte le dit 19 juin 2015
Société Imm du Port de Boulogne, la procedure d’adoption de l’acte n’impacte l’acte, la présence
d’une negociation ne garantit pas qu’on puisse parler d’un contrat.

Aujourd’hui il y a des associations publics, mais dans ce cas la, la qualification de l’acte ne se voit pas
affecté.

D’autres éléments sont déterminants, le premier élément, c’est un accord de volontés, des effets
juridiques est aussi exigé. Concernant l’accord, c’est la raison pour laquelle, on ne peut pas évoquer
le contrat d’adhésion en tant que contrat, tout accord de volonté ne serait pas un contrat, le contrat
ne produit des effets a l’égard de ses auteurs, le principe des effets relatif du contrat, mais le contrat
a aussi un principe de force exécutoire, l’acte unilatéral ne produit des effets juridiques, mais il
produit des effets juridiques à l’égard de tiers, un contrat peut être unilatéral, le code civil 1106
reconnait l’existence de ce type de contrat, un contrat en prince c’est synallagmatique, une seule de
parties qui s’engage, il y aura une partie qui sera débitrice et l’autre partie sera créancier, un offre de
contribution a la réalisation des travaux publics, si la personne publique accepte il y aura un contrat,
a l’inverse, il y a d’autres engagements unilatéraux qui ne sont pas de contrats sinon de actes
unilatéraux, une partie s’engage unilatéralement mais l’autre partie n’est pas contraint,
l’administration pourra exiger que la partie exécute son engagement, et si la partie ne le fait pas
l’administration pourra demander une réparation, par exception, l’administration fait un promesse
de contracter, si en defintiive elle refuse de conclure le contrat qu’elle a promis, elle engage la
responsabilité extracontractuelle n’ayant pas respecté sa promesse,

L’acte unilatéral et le contrat sont différents, l’acte unilatéral ne crée pas des obligations alors que le
contrat oui, dans le contrat il y a un lien personnel, il crée un contraint entre un débiteur et un
créancier, l’acte unilatéral crée un lien impersonnel et général alors que le contrat un lien subjectif, le
même obstacle s’impose pour les actes unilatéral individuel, autre point, certains domaines sont
réserves a l’acte unilatéral, l’administration ne pourra pas conclure de contrats, si la loi a prévu que
dans tel domaine c’est un acte unilatéral qui doit intervenir par exemple, le pouvoir réglementaire
c’est un pouvoir régalien, une prérrogative régalienne, la personne publique ne pourra pas transiger,
il y a eu de la jurisprudence sur ce point, le CC a rappélé que la personne publique ne pourra pas 9
juin 2015 Football club de Bordeaux, modification le reglement d’un championnat, de la même façon,
l’organisation du service public doit être effectué par le biais de l’acte unilatéral, le recours au contrat
est indeteit quned il existe des statuts réglementaires, l’usager d’un service public est dans une
situation légal et réglementaire, les agents publics sont aussi dans la même situation. En matiere de
police administrative on ne peut pas conclure des contrats. De la même façon, les missions de
l’enseignement public.

Le régime juridique du contrat et de l’acte unilatéral sont différents, un contrat est toujours attributif
de droit alors qu’un acte réglementaire non, l’acte unilatéral ne comporte pas des termes précis,
c’est l’admiinistration de façon discrétionnaire qui le déterminera, alors que le contrat est toujours
conclu pour un durée déterminé ou un objet déterminé, les règles contentieux, le contentieux de
l’acte unilatéral, le contentieux de l’annulation réléve du juge de l’excèes du pouvoir, alors que le
contrat releve du juge de plein contentieux.

2 – Confusion

L’existence de ces faux contrats, rapport de 2008, modes de production de normes, le juge
administratif n’a jamais été lié par la qualification que l’administration donne aux actes, il peut le
requalifier, comment le juge va procéder, le juge va notamment vérifier ou regarder si
l’administiratio n aunilaterlament défini les obligations qui s’imposent au destinataire, si oui, ca sera
un acte unilatéral, par exemple, pour donner une illustration, 19 juin 1994 Syndcat français de
biologistes, protocole d’accord qui liait la sécurité sociale et une organisation represetantif du
laboratoire d’analyse, fixait le montant de frais dexement au laboraitre qui était pris en charge par le
régime de maladie assurance, le CE accepté le recours d’excès du pouvoir, alors ce n’était pas un
contrat mais un acte unilatéral, de la même façon, les documents qualifiés comme contrats type, ils
s’imposent aux parties, la parties doit respecter les prescriptions, donc pas de documents
contractuels. Les usagers de SPA, sont dans une situation légale et réglementaire, même si le service
a fait signer a l’usager un contrat, c’est dans un arret du CC 5 juillet 2007, prestation pris en charge
d’un service d’aide a domicile par des établissements d’action sociale, les usagers eteaint invités a
signer un contrat, le CE a considéré que malgré l’existence d’un contrat de prise en charge, les
usagers sont dans une situation légale et réglementaire. Arret 4 decembre 2019, Contrat de ??, les
bénéficiaires de RSA sont dans une situation légale, Arret CE 22 juillet 2020 Ville de Paris, contrat de
Jeune majeur, l’aide sociale a l’infance, ils ne sont pas dans une situation contractuelle. Le contenu
des actes unilatéraux sont negociés, avec les personnes a lesquelles l’acte doit être appliqué, en
matière de règlementation professionnelle, de ce point vu le développement de la participation
porsuit le même objectif que la contractualisation, une volonté de transparence ou de consensus,
chercher proximité avec les destinataires de l’acte, est assez proche de la logique contractuelle, mais
même si l’élaboration de ces actes est négociée, la nature juridique des ces actes restera unilatéral,
ce qui fait qu’il ne faut pas confondre le processus de formation de l’acte et la nature juridique de
l’acte, dans le cadre d’un procédure contractuelle le contenu de la discussion va être inclus dans le
contrat, alors que dans le processus participative, le contenu de la négociation n’est pas obligatoire,
c’est l’administration qui décide. L’image du contrat est exagérée ? on trouve des contrats qui sont
imposés par des contrats types, les parties ne pourront pas tout négocier, cela limite la marge de
manœuvre, les contrats de la commande publique ne sont susceptibles d’être négociés.

3 – Complémentarité

Le recours a l’acte unilatérale est parfois nécessaire parce qu’il y a des domaines qui sont exclus des
actes contractuels, mais dans certains cas les deux actes peuvent se substituer, en matière
d’occupation de domaine public, actes unilatéraux d’autorisation d’occupation de domaine public
mais il existe aussi des contrats, idem pour les subventions, ils peuvent être octroyés sur la base d’un
AU ou d’un contrat, c’est valable aussi pour le recrutement d’un agent public. Le plus souvent,
l’administration doit procéder dans un seul sens parce qu’un text impose le recours a un seul type
d’acte. L’administration a recouru a un acte different a celui que le texte a prévu, deux exemples, sur
matière fiscale, l’adminsitration doit agir par voie unilatéral, -domaine de souveraineté- pourtant on
peut se demander s’il n’y a pas de place pour les contrats, surtout quand il s’agit de réduction
d’impôts, en échange d’un engagement réciproque, le CE a déterminé qu’on est en présence d’un
acte unilatérale sous condition résolutoire, on connait aussi les transactions fiscales, l’autre exemple
est en matière de police, le pouvoir de police ne peut être exercé par un contrat, la police est un
service public, arrêts, CE 1932 impossibilité de déléguer le pouvoir de police, le juge va assouplir sa
position, il a admis certains délégation de police, le juge a admis que le maire d’un commune peut
déléguer faire excecuter gestion de stationnement payant, la tache materiel , en matière de
surveillance de voie publique ne peut être délégué, CE 29 decembre 1997 Commune de
OSTRICOURT, CCons 18 mars 2011 19 considerent, le mission cde surveilleance générale de la voie
publique constitue ou releve de la compétence de la police adminsitrative générale inhérent

Domaines exclus, répartition des compétences de l’ordre publique, par exemple entre collectivités
territoriales. En matière d’autorisation d’utilisation de la fréquence de télévision, c’est une façon
d’association entre les parties et l’administration. La vie de contrat peut être régi par des actes
unilatéraux, surtout dans la phase de préparation, l’exécution ou la finalisation. La décision de
conclure un contrat ou d’approuver un contrat, le cas par exemple, des travaux de grand ampleur, -
projet d’infrastructure de la SNCF- lede sécurité sociale, ils doivent être aprrouvés par l’Etat, dans ce
cas lacette convention passés, , conventions entre les caisses, la théorie des actes détachables, les
tiers exlus du contrat, 10 aout 1950 Arret Martin, l’administration peut imposer la resiliation du
contrat, elle peut aussi prononcer une sanction,

Une autre façon de combiner, certains contrats a des effets attachés a des actes reglementaires
parce qu’ils ont approuvés par l’Etat, ils sont des conventions, comme ils ont approuvé par l’Etat, le
contenu est obligatoire pour tous les professionnels, l’interet de faire cette distinction, les contrats
de concession de travaux publics, i ’exploitation d’un service public, parfois dans ce contrats les
clauses sont contractuelles, décidés par les parties, c’est le cas du durée du contrat et les avantages
financières, les règles de modalités de rapport entre les concessionnaires et les usagers ? son
déterminés de manière réglementaire, les conditions dans lesquelles le concessionnaire va exercer
leurs missions, toutes ces clauses ils ne sont traités comme clauses contractuelles, c’est pour ca que
les tiers peuvent se prévaloir de ces clauses pour exercer un recours pour excès de pouvoir CE 19 ??
TIVOLI, CE 1996 CAYZEELE, le juge a dmis qu’un tiers puisse exercer un REP contre un clause
réglementaire, DUGUIT considérait que l’usager n’est pas dans une situation contractuelle, sinon
dans une situation légale, ce n’est pas une règle appliqué a la relation entre l’usager et un SPIC, dans
un premier temps, la conception docntrinale qui prevalait que les concessions de service public
étaient des contrats, elle va être critiqué, les auteurs vont montrer qu’en fixant les conditions
d’organisation et fonctionnement du service ils se présentent comme un véritable règlement, en
conséquence le contrat de concession se présent comme un acte règlementaire, Arret CE 1906, la
théorie de

Clause règlementaire, dans un arret 9 février 2018 Communauté de V d’Europe Agglomération,


clauses qui ont pour objet l’organisation ou fonctionnement d’un service public, dans certains arrêts
le CE semble poser une deuxième condition, les clauses doivent présenter un caractère
règlementaire -avoir des effets sur les tiers- CE 29 décembre 1999 Commune de ??, l’existence de ces
clauses on donné un débat, d’autres auteurs ont contesté l’existence de ces clauses, il n’y a pas de
source contractuelle, mais un acte règlementaire.

Contrats dont le contenu est totalement règlementaire, la question s’est posé par exemple, pour le
GIP Groupement d’Intérêt Public, Personnes publics inclassables, assoaciation de partenariat public
et privés, il faut le créer sur la base d’un contrat, ce contrat ne contient que des clauses déterminés
par les textes, malgré tout, le CE a eu l’occasion de se prononcer, que ce contrat conclu por la
création de GIp ont le caractère de convention CE 14 janvier 1998 Syndicat National de ??, donc ils ne
sont pas un acte administratif unilatéral, le CE s’est déclaré incompétent pour se prononcer en
premier et dernier ressort.

Le juge adm a admis qu’un tiers puisse exercer un REP contrat un contrat de recrutement 30 octobre
1998 Ville de Lisieux, et cela puisque le contenu est déterminé totalement pour les textes, il y a
d’autres contrats a lesquels ont appliqué la même solution. 9 février 2011 Syndicat National sur rech.
Le CE a jugé irrecevable le recours contrat un contrat d’objectif conclu entre l’Etat et le ?? parce que
la stipulation de ce contrat ne présent pas un caractère règlementaire.

Certains considère que le contrat de recrutement est un faux contrat, le contenu n’est pas négocié
sinon prédéterminé par les textes, d’autres auteurs, parlent d’actes conditions, accord condition,
pqrce que c’est un accord de volonté mais qui va permettre accomplir la condition qui est fixé par le
texte. Le contrat de responsabilité parental, il et envisage pour réagir a certain problème poses pour
l’absentisme scolaire, carence de l’exercice de l’autorité parentale, le Conseil departamental peuvent
proposer aux parent un contrat de responsabilité parental, pour un simple objet de rappeler les
obligations a l’égard des enfants, ce contrat ne fait grande-chose, en théorie la loi prévoyait que si les
obligations ne sont pas exécutés il est possible de suspendre les allocations familiales.

B – Spécificité du contrat administratif

Le CA est un contrat particulier,


1 – Contrats administratifs et autres actes plurilatéraux

Les conventions qui sont conclus par l’administration avec d’autres personnes publiques sans
personnalité morale, ces conventions ne peuvent pas être considerés comme contrats, c’est la même
personne, -entre plusieurs services sans personnalité morale- le CE parfois conclu que le contrats
d’objectifs ne devrait être pas contrats, des administrations centrales peuvent signer parfois passer
avec les services deconcentrés ce qu’on appelle de contrats de services, de lq même façon les
services deconcentrés peuvent passer ces contrats entre elles-mêmes, c’est toujours la même
personne qui est représenté, ces contrats son considerés aujourd’hui comme des faux contrats, sont
des actes juridiques particuliers, ils sont difficiles a les classer, un auther a propposé d’encadrer ces
convention au sein de la même personnes entre services qui n’ont pas la personnalité juridique.

Certains instruments plurilatéraux ne comportent des droits et d’obligations, le contrat au sens


juridique du terme doit être distingué de l’accord, la différence est que l’accord ne fait pas naitre des
obligations, ces accords peuvent avoir de nomination très diverses – convention,, contrat, convention
d’objectifs, protocole d’accord- des simples déclaration d’intention sans portée juridique. On peut
considérer gentelement agreements qui ne sont pas des véritables conventions internationales, tous
ces instruments supposent une négociation.

Le CE s’est prononcé sur plusieurs instruments conventionnels entre les régions, l’Etat et la SNCF
pour mettre en place un réseau ferroviaire, la question c’etat de savoir si ces engagements étaient
obligatoires, 21 décembre 2016 Région Limousin, convention cadre entre l’Etat et la SNCF, l’objet
était de financer et réaliser un liaison ferroviaire, une convention relative a la resalition d’un étude
d’avant-projet, une convention relative aau financement au contrôle externe sur le projet -4
instruments conventionnels- le CE va considérer que le protocole d’accord ne faisait que fixer un
objctif, ensuite il doit être concretisé par des conventions éventuelles, n’est qu’un simple déclaration
sans portée juridique, les trois autres conventions pouvait être considéré comme des conventions
avec portée juridique,

CE 1 octobre 2013, ?? dans cette affaire il était un protocole d’accord entre les organisations
syndicales et un ministère, mais le CE concernant ce protocole ne représente que la constitution d’un
exposée des intentions du gouvernement, il est dépourvu de portée juridique.

Un contrat peut tout a fait prévoir la possibilité de conclure des contrats ultérieurs, mais il faut
determiner le contenu, une volonté de s’engager peut être identifié, la doctrine a distingué la notion
de convention et de contrat, sur ce point la doctrine s’est prononcé, leon DUGUIT 1927 avait suggéré
déjà de distinguer les deux, le contrat n’est qu’une catégorie particulier des convetnions, selon lui la
difference entre accord et la convention, la convention produit des effets de droit, mais ces effets de
droit son produits hors de toute relation créancier-débiteur-pas d’obligation au sans civil-. Il faut qu’il
ait une relation subjective, la convention met sous un régime légal et réglementaire les parties.
CONVENTION A EFFETS REGLEMENTAIRE, c’est le cas de la convention collective de travail, la
concession service public, -n’est pas totalement négocié, il y a toute une partie qui est déjà
déterminé par la loi- on peut citer aussi le cas de contrat de recrutement d’agent public, le fait de
signer simplement place l’agent dans une situation largement réglementaire. Certains auteurs
dissent que le droit souple peut avoir des effets juridiques. La distanction semble parfois être
reconnue par le CE, par exemple dans son rapport de 2008, Modes d’action publique et de
production de normes, le CE faisit bien la distinction, la convention sur un plan juridique engage loin
que le contrat. Dans la jurisprudence 14 février 2017 Grand Port Maritime de Bordeaux, une
convention de terminale par laquelle il s’agissait d’exploiter une terminale portière, la société s’est
engagé sur plusieurs points, en contrapertie des ces engagement, le Gran Prot lui verserait une
redevance, le CE estimait que la Convention en question, compte tenu des engagements réciproques
de parties, ne peut être considéré comme une convention d’occupation de domaine public, mais
comme un contrat administratif conclur pour répondre aux besoisn de Gran port Maritime de
Bordeaux, la CE a qualifié cette convention en tant que convention de service public. Il faut retenri
tout un ensemble d’instruments utilisés par l’administration qui ne sont pas qualifiés de contrats.

Dans la pratique, ces accords ont une tendance a acquérir une importence réelle, un processus de
contractualisation de l’action publique en France, bc de ces accords fixent des objestifs, programmes
d’actions, des prévisions, ces conventions on le trouve dans très nombreux secteurs, le contrat de
plan avec les entreprises publiques et l’Etat, en matière d’action sociale, en matière de droit
d’environnement, en matière de la fonction publique avec le protocole d’accord, en matière de
sécurité publique, le contrat est exclu du domaine de la police traditionnellement, mais dans le cadre
de la loi contre le terrorisme, il est possible de conclure des contrats de partenariat entre les
partenariat et l’Etat. Ce ne sont pas de véritables contrats, puisque il n’y a d’obligation au sens
habituelle de la loi commercial.

L’encadrement juridique, tous ces actes qui ne sont pas de contrats, et qui n’ont pas de valeur
jurdique, posent des problèmes, parce qu’on ne sait pas ou les encadrer, dans quelle catégorie les
placer, les conventions elles.

En cas de resiliation d’un contrat de plain, il y aura place dans un contentieux, CE Ass 8 janvier 1988,
Communauté Urbaine de Strasbourg. Aucun conséquence directe quant à la réalisation directe 25
octobre 1996. Il semble que les parties ont des engagements politiques ou moreaux, ils doivent être
concretisés par d’autres actes pour qu’il soient effectives. Le CE semble avoir considéré l’hypothse, la
stiuplation d’un contrat plan suffisamment précis, peut avoir des consequences, CE 19 novembre
1999 Federation syndicaliste de ??, contrat conclu entre l’Etat et la Poste, la requerant, demandait
l’annulation de conclure de ce contrat plan, le CE va considérer que le stipulation de ce contrat : Ne
sont pas eu égard a leur objet et a son terme généraux dans lequels ils sont rédigé ne peut leser les
intérêts de la société » , si le stipulation avait été plus précis ca pourrait constituer un engagement
susceptible de léser les intérêts de la société.

Certains auteurs ont proposé de créer une nouvelle catégorie, c’est la thèse Sebastian HOURSON,
thèse publié en 2014, consacré aux Conventions d’Administration, il serait intermidaire entre l’acte
unilatéral et le contrat administratif, cette catégorie nouvelle serait la convention d’administration, il
faut utiliser le terme du contrat quand il résulte d’un accord de volonté, avec de caractère de
recirpocité et produit des droit et des obligations, le contrat a un caractère impérative, les
covnentions d’administration sont des actes qui ont l’apparance d’un contrat, mais le stipulation ne
sont que directive, ils ne sont pas impératives, autrement dit comme le droit souple, il s’agit d’inciter
d’agir dans tel ou tel sens. Ces conventions ne sont pas considérés comme des actes juridiques, la
capacité pour conclure un contrat, il faut avoir la capacité juridique.

Le fait de consacrer ce type des convention permettre de les soumettre au contrôle, CE 21 MARS
2013 FAIRVESTA, les actes unilaterux de droit souple, soit qu’ils présentent un caractère i,perative,
soit parce qu’ils influent sur le comportement économique des individus, ils peuvent être considérés
comme de droit. Ils orientent les politiques publiques et l’action des individus, même si les
conventions ne sont pas soumises a un contrôle rigoureux, il faut les contrôler quand même. Il y a un
contraste.
2 – Les contrats administratifs : de véritables contrats ?

On pourrait recapituler toutes les réflexions, on a vu même que lorsque tous les actes unilatéraux ne
sont pas des contrats, le contrat administratif n’a pas des origines contractuelles, GAUDENET, c’est le
resultat de l’adhésion d’une partie à un acte, le titulaire d’une marché de convention n’était
considéré que comme un subordonée, la situation ressemblait presque a un agent de
l’administration, il faut remarque qu’à l’epoque on ne utilisait pas le terme de contrat, c’était plutôt
un acte unilatérale, l’administration ne signait pas un contrat que dans le cas se soumettait aux
disposition du Code Civil et aux contraints de droit privé, jusqu’à la décision BLANCO, va abandonner
la distinction entre actes de gestion et actes d’administration, les contrats étaient considérés comme
des actes de gestion, en raison de modalité dans laquelle le contrat s’est formé, lorsque le contrat
dispose de dispositions de pouvoir exorbitant, il reconnait de règles particuliers, HAUROIU,
considérait que cette inégalité entre l’administration y la partie faisait obstacle a la reconnaissance
comme contrat, en 1945, la theroie de la mutabilité, elle permet a l’administration unilatéralement
de modifier le contrat, en effet, PEQUIGNOT, a partir du moment que l’administration pouvait
modifier uilateralment le contrat on peut pas parler du contrat, si le contrat est un acte volontaire, le
contrat administratif ne serait pas l’expression de la volonté des parties – situation statutaire et
situation contactuelle au sens du droit privé- on va s’interroger sur le caractère du CA L’HUILLIER est
un véritable contrat, si l’administration a le pouvoir de modification unilatéral, il faut déduire que le
contrat n’est pas une loi pour l’administration l’affirmation de le contrat est la loi pour les parties, ne
vaut pas pour l’administration. Ce pouvoir de modification unilatéral n’existe pas, donc il affirme que
la force obligatoire applique, la jurisprudence va lui démentir.

Ces principes existent, souvent en droit privé que ce principe découle de l’autonomie de la volonté,
le contrat traduit ou exprime un accord de volonté, si le contrat a force obligatoire c’est pour
l’autonomie de la volonté, ce principe explique que le contrat puisse produire des obligation qui
s’i,possent aux parties, parce qu’ils sont issus de la volonté de parties. Certains auteurs on remis en
doute, l’origine de la force obligatoire dans l’autonomie de la volonté, si on peut démontrer cela, on
pourrait dire que … un projet de loi de 1916, sur le litige opposant les concessions de services
publiques dans la pratique le juge judiciaire contestait la compétence du juge administratif,

CE Ass 29 avril 1981, CE 5 mars 2003 Ordre des avocats Cour d’appel de Paris, ni l’article 34 de la
Constitution ni aucun règle de valeur c exige que la passation de marchés publiques soit défini par la
loi, cela releve du pouvoir règlementaire, confirmé par le Conseil Constitutionnel de 22 aout 2002. Or
la dificulté de cette prise de position peut susciter des doutes sur la nature du contrat administratif,
le législateur est competente piur definirs les obligations civiles et commerciales, la position du juge
peut donner une interpretation, mais aujourd’hui, soit la formule de l’article 34 doit être interprété,
ce qui permettrait d’exclure le contrat adminitratif.

Le contrat administratif n’est pas un vrai contrat, ce n’est qu’une simple procédure, le problème c’est
que cette interpretation, il ne corresponde pas a la réalité, la doctrine a dénoncé cette position de
rattacher le contrat administratif a l’article 34, cette jurisprudence ne concerne que le marchés de
l’Etat, alors en ce qui concerne les contrats de collectivité territoriale, le CE a retenu un raisonnement
plus diffèrent, le CE dans l’arret a considéré que les contrat de CT relevait aussi de la compétence du
pouvoir règlementaire parce que ce pouvoir résulte d’une loi d’habilitation adopté dans 4eme
république sur la matière, donc l’article 34 n’a pas remis en cause cette loi d’habilitation. En revanche
le Conseil Cons 30 aout 2015 il a estimé que pour le contrats de collectivité territorialle il faut se
référer dans un autre disposition de l’article 34, il faut ici se reporter qui precise que la loi determine
le principes fondamentaux de la libre administration de collectivités territoriale, cette particularité.
Même si le contrat administratif n’est pas toujours intégralement un contrat, généralement, le
contrat administratif est considéré comme véritable contrat et la doctrine a considéré que le contrat
adm a un caractère contractuel.

II– La place du contrat dans l’action administrative.

A – Une place grandissante

Le procédé contractuel a une place de plus en plus important dans l’action administrative, l’acte
unilatéral est presenté comme un acte avec carence démocratique donc l’acte conventionnel a été
recuperé, la volonté d’externaliser la volonté de l’Etat de s’associer avec une expérience exterieur,
une compétence particulier, ce mouvement de délégation on le trouve très tôt, on peut même
penser que le juge administratif qui considère que le procédure contractuelle c’est celui qui doit être
utilisé, Arret 2007 Commune d’Aix Provence, le développement de procédure contractuelle peut
s’expliquer aussi par une banalisation de l’action de l’Etat, le contrat est percu comme un tecnique
qui assure la discussion entre les parties et l’Etat, on associe les parties a l’élaboration de la regle,

B – La réalisation des buts d’intérêt général de l’administration

Les contrats relatifs a l’oganisation d’un service public : il ne veut pas même la réalisation de l’interet
générale, mais permettent de mettre en place les moyens par lequels il est possible de réaliser
l’interet général, les contrats entre l’etat et la région, les contrats de plans

La deuxième catégorie, contrats moyens : le contrat de recruement d’agent, CE CONTRAT conclu


entre l’administration et les usagers, ne concerne pas les SPIIC, mais concernant les services
publiques administratives, les usagers sont dans une situation légale et règlementaire, pour cette
présentation,

Chapitre II – L’identification du contrat administratif

Introduction : Contrat administratif et contrat des personnes publiques. Les contrats


privés des personnes publiques.
Tous les contrats de personnes publiques ne sont pas de droit public, tous les contrats administratifs
ne sont pas soumises aux même régime juridique, un certain nombre de contrats de l’administration
sont soumis par disposition de la loi et la jurisprudence a la compétence du juge judiciaire et
l’application de droit privé, ce type de contrats nous n’interense pas, ces contrats adm eteaint des
actes de gestion et donc ils deveiant relever de la compétence du juge judiciaire, c’est pour cette
raison qu’on a du créer un droit special pour chaque contrat, le cas de la Loi de ,, Conseil de
prefectures competente pour se prononcés sur les marchés de cone, après l’arret Blanco il a fallu se
demander si les contrats releveaint de la nature des actes de gestion ou des actes de
l’administration, lorsque dans la conclussion du contrat l’administration ne se comporte que comme
un contractant privé il faut la traiter comme telle. Conclusions de l’arret Terrier, Conclusions de
l’arret Société Porphyroïdes des Voges, ces contrats de droit privé sont très nombreux, on peut
s’interroger sur la pertinence de ce dualisme

Le premier vise les cas des contrats qui sont conclus par l’administtration et que le legislqteur a
donné la compétence au juge judiciare pour trancher les contentieux, c’est un contrat privé ou
administratif ? si la question était que le législateur a donné une qualification implicite d’administratif
on doit appliquer les règles de droit public, si le juge judiciaire applique le droit administratif ce n’est
pas utile de donner compétence au juge judiciaire plutôt qu’au juge administratif, on appliquerait la
règle du fond suit la compétence, un arret d’exemple, le texte ancien avait donné compétence au
juge judiciaire en cas de compétence, le législateur n’a donné pas une qualification a ce contrat
d’attributation de droit de places… pour le juge judiciaire, ce contrat était un contrat administratif C
Cass 5 mars 2015.

Le pouvoir de l’administration dans le cadre des contrats de droit privé, on doit estimer qu’ils sont
soumis au régime de droit privé, l’administration doit se comporter comme un contractant ordinaire,
donc pas de possibilité d’utiliser le pouvoir exorbitants – resiliation unilatérale, modification
uniliterale- on peut également que ce sprerrogqtives sont propres a l’administration, elles sont liés a
l’administration pour poursuivre un but d’interet général, si on utilise cette logique on peut affirmer
que l’administration peut utiliser ces prérogatives, mais on remet en cause l’affirmation que ces
contrats sont de vrais contrats de droit privé, on peut donner ici comme exemple, la gestion du
domaine privé, en principe, les contrats dans ce domaine, sont des contrats de droit privé, mais le
juge administratif a estimé que lorsqu’on se trouve face a une clause -exorbitant- le contrat sera
qualifié de contrat administratif et pourtant le contrat portant sur le domaine de la gestion privé sont
de nature de droit privé. TC 6 juin 2016 Commune d’Aragnouet c / Vignec, vente d’un bien du
domaine privé, il faut reserve rici le cas dont le législateur a créé un bloque de compétence -SPIC
Usagers et SPIC Agents- ils sont toujours de contrats de droit privé.

- Les contrats dont le législateur a voulu donner une compétence du juge judiciaire ou seront de droit
privé : Contrats d’avenir, contrats de solidarité, contrats d’AIDE ? le législateur a donné une
qualification, les bénéficiaires de ce contrat ne peuvent pas intenter une integration dans la fonction
publique ou l’administration. Il y a u,ne tendance de préserver le critère organique, il y a des cas dans
lesquelles le législateur neutralise les critères jurisprudentiels. Les contrats qui ne répondent pas aux
critères jurisprudentiels sont de contrats privés même si sont conclus par une personne publique, le
principe pour les contrats conclus par le personne publique sont de droit privé, pour qu’il soit
administratif il faut qu’un critère jurisprudentiel soit présent, pour les actes unilatéraux c’est le
contraire, tous les actes unilatéraux sont des actes administratifs.

Les contrats que n’ont pas que de rapports de droit privé, lorsque la loi qualifié d’EPIC un
etablissement, le contrat 6 octobre 2006 Casise Centrale de Reassurance, application plus généerale
par lr TC 29 décembre 200 BLANCKEMANN,

I– La mise à l’écart des critères jurisprudentiels.

C’est l’hypothèse dans lequel le législateur a donné une qualification au contrat, ce sont de contrats
administratifs par détermination de la loi.
- Contrats portant sur l’exécution de travaux publics : Lo du 28 pluvoise an VIII, le critère
organique n’était pas totalement neutralisé, abrogé par une ordonnance, mais la
jurisprudence a maintenu la solution classique, le critère de travaux publics est un de plus
anciens, on peut a cet égard, TC 19 décembre 2019 Société DUCOUNNAU, contrat particulier,
contrat de transport de matériaux nécessaire pour la réalisation d’un chantier de travaux
publics, il était question de determiner la nature de ce contrat, le TC va conclure pour la
compétence du juge judiciaire, donc pas de contrat administratif, le TC va passer en revue les
critères jurisprudentielles, ne constitue un service public, absence de clause exorbitant, le
transpoteur ne participe pas dans une operation de travaux publics, en conséquence le
contrat n’est pas un contrat administratif. De toute façon on peut ajouter que lorsqu’on est
en face d’un marché public de travaux la qualification donné par la loi c’est de contrat
administratif.
- Contrats portant occupation de domaine public : le texte c’est un decret loi, ce texte visait le
contrat conclu par l’etat, les communes, le départements, les établissements publics ou leurs
concessionnaires, mais le TC a donné une interpretation restrctive, s’agissant de
concessionnaires, le TC a estimé qu’il ne vaudrait que pour les concessionnaires de service
public, Jurisprudence STEEPLE CHASES DE France,
- TC 14 Mai 2012 Mme G, un contrat qui relevait de la compétence du juge judiciaire, parce
que l’occupant n’était pas délégataire de service public.
- Les marchés publics : Dans un premier temps avant que la loi, le juge a qualifié ce type de
contrats en utilisant les critères jurisprudentielles, avant de la création d’une procédure de
passation, Avis 29 juillet 2002, société MAJ Blanc.
- Article L6 du Code de la Commande Publique
- Les marchés de partenariat
- Les contrats de concession : Ordonnance de 29 janvier 2016, ce sont de contrats
administratifs qualifiés par l’ordonnace, il faut quand même la présence au moins d’une
personne publique,
- Contrats d’achat d’Energie :

II– L’application des critères jurisprudentiels.


Les critères ont parfois une difficile application, le législateur a intervenu pour régulariser et
permettre une simple application, la qualification legislative peut susciter deux positions : On peut
penser que c’est positive parce qu’il simplifie l’application des critères, il y aura de sécurité juridique,
la qualification legislative elimine toute problème d’interpretation de critères, mais il peut présenter
un certain nombre de problèmes, il peut être favorable a la notion de contrat administratif, ca pose
problème a l’identité du contrat, parce qu’il risque de rendre pas nécessaire un analyse sur le critères
organique ni matériel, c’est le cas par exemple le marchés de fourniture, la qualification legislative
peut entrainer une hypertrophie de la notion de contrat administratif.

Il n’est pas évident de justifier l’existence de ces contrats qui sont soumis a un régime especial alors
qu’il ne se distinguent pas des contrats ordinaires.
A– L’importance du critère organique.
1 – Principe
2 – Exceptions

B – Le critère matériel “alternatif” des contrats conclus entre une personne publique
et une personne privée

1 – Le contrat ayant pour objet l’exécution d’un SP


Arret 4 mars 1910, le CE identifie ici une activité de service public, période 1910-1956 décline du
critère de service public, le critère de la clause exorbitant ne sera remis en cause par les arret Bertin
et .., la jurisprudence.

L’arret Bertin insiste sur le fait que le contrat doit avoir pour objet l’exécution même d’un service
public, d’ailleurs a la même époque, dans un arret Societe Françaises de transports GONDRAND,
1956, a reconnu un caractère de contrat administratif parce que l’administration portait sur
l’exécution même d’un service, alors une difference entre le contrat qui sont conclus pour les besoins
d’un sp, ces contrats qui sont conclus pour le besoin d’un service public ce sont tous les marchés
conclus pour les personnes publiques -marché de fourniture etc- ils ne sont pas forcement
administratifs.

En jurisprudence, l’application du critère de -subjectivité de la part du juge pour determiner la nature


du contrat-. Les contrats qui ont pour objet de confier l’exécution d’un service public a un
cocontractant, les contrats qui sont conclus por l’administration pour l’accomplissement d’un service
public mais qui seront exécutés par elle-même, décision du TC 8 octobre Société …, dans cet affaire il
était question un contrat qui avait pour objet la location d’un batiment pour le logement aux
étudiants, fallait determiner la nature du contrat entre la société et l’administration, application du
critère de l’exécution même du SP, autre exemple, ce sont les contrats qui sont conclus entre une
personne privé et les usagers d’un service public, c’est l’hypothese de la jurisprudence Consort G.
Remarques : cette jurisprudence ne peut pas concerner de SPIC, puisque ce type de contrats sont
toujours de droit privé, il faut donc qu’il s’agit d’un SPA, le juge a estimé a plusieurs reprises que les
usagers d’un SPA sont toujours dans une situation légale et réglementaire. Le CE a estimé qu’un
contrat conclu entre une commune et un entreprise a fin que l’entreprise s’installe dans le territoire
de la commune est un contrat administratif parce qu’il constitue un modalité d’exécution du service
public de l’aménagement du territoire, CE Société …26 juin 19, TC décembre 2000 Prefet de ..,
contrat conclu par une université et un employeur, et l’université s’engageait a la formation continue
de cet employé, donc c’est un contrat administratif.

Les contrats qui entrainent une participation du cocontractant dans le SP, ce critère a concerné tout
d’abord aux contrats de recrutement des agents, il faut qui’il existe un lien très étroit entre le service
public et l’objet du contrat, les consequences de cette jurisprudence, c’est qu’un même agent peut
être considéré comme un agent public -soumis au droit public- mais aussi soumis au droit privé, -cela
dépendra des missions exercés par l’agent-, TC 2 novembre 19 Mme MAZERAND, la jurisprudence
appliqué aujourd’hui c’est 1986 Berkani, quelque soit la mission exercé par les agents, tous les agents
affectés a un service public, le contrat sera de droit administratif. Assouplissement du critère du
service public.
Sin on considère que la jurisprudence E. Bertin et C. G, permet de qualifier un contrat en raison de
sont objet, on peut inclure les contrats qui portent sur l’exécution de travaux publics.

2 – Le contrat comportant “une clause impliquant la soumission au régime des


contrats administratifs”
On peut rappeler que ce critère a été consacré en 1912 par une jurisprudence Société de Granits
porphyroïdes des voges, dans cet arret reponde au critère de , la notion de clause exorbitant va
apparaitre en 1923, la jurisprudence de 1912 c’est un arret a contrario, le conclussions donnés par le
commissaire du g. sont des conclusions ambiguës, dans cet arret il s’aggissait de qualifier un contrat
conclu entre .. une ville et la société pour assurer le .. de la voie publique, -contrat de fourniture- le
juge va considérer que c’est un contrat de droit privé, parce que n’avait rien original par rapport aux
contrats conclus par les personnes privés, il n’avait pas des particularités, on peut considérer cet
arret comme l’acte de naissance de ce critère, d’autant plus que le critère de SP était solide. On
trouve dans les conclusions l’affirmation du SP mais aussi une considération de la volonté de
l’administration a travers des clauses du contrat. Cet arret va marquer les partisans du critère du
service public, on va appliquer ce critère de la clause mais en lien avec le SP, la jurisprudence va
considérer que ces deux conditions soient cumulatives, la clause exorbitant ne peut pas se justifier
que par le nécessité d’un service public, cette idée on va la trouver dans les conclusions d’un CG
RIVET sur l’arret 1921 Société Générale de … - il faut que la clause exorbitant aie un lien avec le
service public-.

A partir de 1923 on va trouver des arrêts qui font référence explicite au critère de la clause
exorbitant. La logique sur laquelle repose ce critère est antérieure a 1912, c’est une idée qu’on
trouve dans la recherche du comportement de la personne publique – s’il se comporte comme une
personne privé ou public- c’est une logique ancienne. CAP Nantes, contrat conclu par un centre
hospitaliers et avec .. pour assurer la formation continue des .. -en vertu du code de travail- ce
contrat a les mêmes conditions d’un contrat de formation conclu par une personne privé.

Comment determiner la clause exorbitant, i lfaut reconnaitre que le juge n’a jamais defini la clause
exorbitant, le CE a précisé qu’un clause exorbitant a pour objet de –obligations étrangeres a ceux qui
sont susceptibles d’etre consenti dans le cadre de lois civils et commerciales, Société française de
construction mécanique, c’est pas une définition, mais une présentation négative, la clause
exorbitant n’est pas seulement une clause impossible dans le droit privé, mais aussi une clause
inhabituelle.

Exemples :

- Une clause qui octroie une exonération fiscale au cocontractant de l’administration


- Une clause par laquelle la personne publique se reconnait un pouvoir de contrôle sur le ..
financier de son cocontractant
- Une clause par laquelle va donner des instructions a son cocontractant
- Une clause par laquelle la personne publique se reconnait le droit de résilier unilatéralement
un contrat

En géneral, les clauses qui ont été reconnu comme de clauses exorbitants, sont de clauses qui
dérogent le principe d’egalité, ils permettent de différencier la supériorité entre les parties, ils
peuvent porter atteint aussi au principe de l’effet relatif du contrat ou a la force obligatoire du
contrat.
Le problème c’est que la présentation a été négative ; il est apparu que cette présentation ne
corresponde pas a la réalité, parce que la clause exorbitant elle va s’identifier par rapport au droit
privé, il a toujours une comparaison, certains clauses qualifiés comme clauses exorbitant on peut les
trouver en droit privé, -l’unilateralisme n’est pas une expression exclusive du droit public-

On peut ajouter que le critère a un fondement subjectif, les parties chosient la nature du contrat a
travers des clauses, faut nuancer, parce que les parties n’ont pas toujours conscience si la clause est
exorbitant o non, cela dépendra de l’appréciation du juge. TC 17 octobre 2011 Mme SCHWARTZ-
DIDIER, il s’agissait d’un contrat de bail par lequel un immeuble était mis a disposition a un centre
hospitalier, il y a eu un litige, il fallait determiner la nature juridique, une clause qui permettait a
l’etablissement public locataire de résilier le contrat avec une justification, le TC va determiner que
cette clause n’est pas une clause exorbitant parce qu’elle n’est pas étrangère aux obligations
consentis en droit privé. Le juge va apprécier la clause en elle-meme mais en faisant référence au
droit privé, s’il confère un pouvoir particulier a la personne publique. Une seule clause exorbitante
peut suffire pour qualifier un contrat en tant qu’administratif, mais la qualification ext complexe. La
clause qui renvoie au cahier de charges, c’est exorbitant seulement si le cahier contient des
dispositions exorbitantes, cette démarche était difficile.

La doctrine a critiqué ce critère parce qu’il permet a l’administration de donner une nature au
contrat, l’administration peut choisir le juge qui va trancher les litiges éventuels, cela peut poser
atteint au principe de répartition de compétences juridictionnelles, la définition de la clause
exorbitant était déconnecté de la réalité parce que le juge administratif -relativisme-.

Le critère n’est pas secondaire, le TC 1980 Société d’exploitation touristique de la Haute, le TC n’a pas
utilisé le critère de façon subsidiaire, -ce n’est pas une décision significative-

3 – Le contrat soumis à un régime exorbitant du droit privé : critère


opérationnel ?
CE 1913 Société d’exploitation électrique de la rivière de SANT, le juge avait eu l’occasion de
s’appuyer sur le régime exorbitant du droit privé, on va determiner le régime juridique. Le CE était
soumis par la loi a un régime particulier, et le juge administratif va determiner que c’était un régime
exorbitant, en cas de litige, les parties devaient saisir le ministre compètent avant de saisir le juge, et
donc le j a a estimé que cet élément temoignait d’un régime exorbitant. Ce critère est très proche au
critère vu, les auteurs ont traité ces deux critères dans un même paragraphe, ils répondent a la
même logique, mais la difference c’est que la clause exorbitant exige que le juge etudie le contrat,
alors que le régime exorbitant est externe au contrat, on est pas très loin des hypothèses dans
lesquelles le contrat est administratif par determination de la loi, pourtant, il y a une difference, le
juge doit interpréter le régime et determiner l’exorbitance, la loi prédétermine la nature du contrat.
Arret 1 juilliet 2010 société BIOENERG, dans lequel le CE

Ce critère est subsidiaire, si les relations SPIC usagers SPIC agents relevent du droit privé c’est par
l’absence d’une régime exorbitant, on pourrait se demander si ce critère a connu une
reinterpretation a travers de la nouvelle définition de la clause exorbitant, ce critère s’apprécie
toujours par rapport au droit privé.

4 – La théorie de l’accessoire.
Le juge régulièrement affirme qu’un contrat est administratif lorsqu’il est accessoire a un contrat
principal. Un contrat qui il lui-même ne reponde pas aux critères, mais il est accesoire ou annexe a un
contrqt qui remplir les critères établis, il n’est pas qualifie au regar de sa nature propre de son objet
mais par rapport a l’objet du contrat principal, application du principe de l’accessoire suit le principe.

Illustration : TC éé mars 2013, Société .. TELECOM, le tribunal accepte de qualifier de contrat


administratif, les contrats annexes au contrat cadre, -lien technique-. Il est essentiellement appliqué
pour les contrats de garanties financiers, constitution de suretés, contrat de cautionnement -13
octobre 19** Société Anonyme Crédit du Nord.

Tc 8 avril 2019 Société de M portuaire,

C – Le cas des contrats administratifs conclus entre deux personnes publiques.

Chapitre III – Le régime juridique des contrats administratifs : règles


générales

Introduction : l’originalité du régime juridique du contrat administratif

Ce régime est un mélange de droit écrit et des règles jurisprudentielles, le contrat ad repose sur un
régime particulier, dans la majorité de systèmes juridiques etrangeres, lorsque l’administration
conclu un contrat il le fait en tant qu’une personne privé. Le régime particulier en France va
s’appliquer indepedemment de la volonté des parties, ce régime est conçu pour satisfaire l’interet
générale et la plus part de ce régime est justifié par l’interet générale. En France le régime de CA est
général et complet, il est general parce qu’il est applicable a tous les contrats administratifs
n’importe la qualification spéciale,

I– La formation du contrat administratif.


A – L’accord de volontés
1 – L’identification de la rencontre des volontés
2 – La validité de l’accord de volontés
B – La validité du contrat
1 – La validité du contenu du contrat
2 – Le respect de règles formelles
II – L’exécution du contrat administratif
Introduction : existence du contrat et caractère exécutoire du contrat
A – Le respect de la chose convenue au contrat
1 – Interprétation de la chose convenue
2 – Les obligations incombant aux parties
B – Les prérogatives des parties
1 – Les prérogatives de l’administration
a – Le pouvoir de contrôle et de direction
b – Le pouvoir de modification unilatérale du contrat
c – Le pouvoir de sanction unilatérale
d – Le pouvoir de résiliation unilatérale du contrat dans l’intérêt général
2 – Les droits financiers du cocontractant
a – L’indemnisation pour travaux indispensables
b – La théorie des sujétions imprévues
c – La théorie de l’imprévision
d – La théorie du fait du prince
C – Les modifications apportées au contrat
1 – Les avenants
2 – Les modifications liées à un changement de circonstances

III – La fin du contrat administratif


A – Les différentes formes d’extinction du contrat
1 – L’extinction à terme du contrat
a – Principe
b – Atténuations
2 – L’extinction anticipée du contrat
B – Les suites de l’extinction du contrat
1 – Les conséquences de l’extinction
2 – Le maintien de certains effets du contrat

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