Sujet 1 : A l’instar des autres pays le Mali occupe une place négligeable dans les échanges

internationales.
Explique cette situation et proposé une piste de solution.
Introduction
Actuellement, les échanges internationaux ont décuplé pour atteindre le développement du commerce
mondial.
Les échanges internationaux considéré comme l’ensemble des transactions réelles qui ont lieu sur les
marchés internationaux, c’est-à-dire les transactions physiques de biens et de services.
Un tel sujet est intéressant dans la mesure où il nous permet d’analyser de façon approfondie la place du
Mali dans les relations économiques internationales.
Pourquoi la place du Mali a une place négligeable dans les échanges internationaux ?
Dans la première partie nous allons montrer les phénomènes d’évolution des échanges internationales et
place du Mali puis en seconde partie les pistes de solutions pour une place considérable.

Développement :
Première partie : les phénomènes d’évolution des échanges internationales
Le commerce extérieur fait partie des principaux leviers sur lesquels les pays en voie de développement
comptent s’appuyer pour un développement économique et social durable.
Les débats portant sur le pourquoi des échanges de produits entre résidents et non-résidents, nationaux et
étranger ne cessent d’évoluer en fonction des mutations que connaissent les échanges internationaux.
Dans un contexte de mondialisation, il apparait que l’activité économique internationale s’articule
rapidement autour des concepts libre-échange même si un certain nombre de restrictions doivent être
apportées.
Au sein de l’économie mondiale, aucune nation n’est autosuffisante en matière de produits et techniques
de production.
Les différents pays sont impliqués à divers degrés dans le processus d’échange afin de se procurer les
produits et les services dont ils sont déficitaires et leur sont nécessaires pour développer leurs secteurs
économiques. C’est pour cela et en raison de la psychologie du gain et d’amélioration des conditions
socioéconomique, les échanges internationaux s’accroissent de plus en plus en termes de volume et de
valeur.
L’ouverture économique et la libéralisation impliquent une importante croissance des échanges.
Cela se fait par le biais de plusieurs modes de transport, aérien, ferroviaire, terrestre et maritime, ce
dernier est le plus répondu.
L’espace maritime est défini comme un système géographique dont la finalité consiste à relier les
espaces continentaux.

Deuxième partie : Les pistes de solutions

L’économie malienne doit connaitre un changement dans le monde du commerce, pour que notre pays
puisse prendre place dans l’économie mondiale.
Des changements économiques doivent être opérer pour que le Mali entame une évolution dans tous les
secteurs économiques notamment dans le domaine portuaire ou fluviale.
Le Mali est fortement dominé par la voie maritime et aérienne pour l’acheminement de son commerce
extérieur.
En effet, la quasi-totalité de ses échanges extérieurs est assurée par d’autres pays voisin du fait de son
enclavement.
Le Mali doit mettre en œuvre des infrastructures fluviales permettant l’acheminements de son commerce
extérieur par l’intermédiaires des autres pays voisins tels que sur le fleuve Sénégal par le Sénégal et le
fleuve Niger par la Guinée Conakry ou la rénovation du chemin de fer qui reliait les trois pays.
Il y a aussi des moyens d’expansion des infrastructures routières vers la Mauritanie et d’autres pays qui
n’est pas membre de la CEDEAO pour éviter les effets de la pénurie des sanctions économiques.

Conclusion :
Aujourd’hui les pistes douanières par les voies routières ne sont plus le tiroir-caisse de l’État
uniquement, mais ils contribuent au développement du commerce extérieur, par voie de conséquence à la
création d’entreprises et l’emploi et à la valorisation des ressources du pays, ils constituent une véritable
richesse.
Le Mali conscient de son enclavement doit multiplier les pistes par des moyens de transports et apporter
ce qui nécessite l’adaptation de ces derniers aux normes internationales, en matière d’infrastructures,
superstructures et la qualité de services qui sont déterminants et indicateurs de son évolution.