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Le microdosage de la psilocybine
L'idée d'une micro-dose de psilocybine est d'explorer ce genre de voies inconsciemment, sans être
réellement sous influence. Il n'est pas nécessaire de grimper à un arbre pendant un orage pour
apprendre à penser différemment. Nous avons déjà écrit une série de blogs détaillés sur le
microdosage. Vous trouverez ces informations ci-dessous :
Microdosage Partie 1 : Truffes Hallucinogènes
Microdosage Partie 2: Le microdosage de l'Ayahuasca, est-ce possible?
micro
Microdosage Partie 4 – Graines de LSA, du LSD naturel ?
THÉRAPEUTIQUE PAR LES PSYCHOTROPES PSYCHÉDÉLIQUES (thèse 2015):
chrome-extension://efaidnbmnnnibpcajpcglclefindmkaj/https://hal.univ-lorraine.fr/hal-
01733191/document
https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/cqfd/12611058-les-therapies-psychedeliques-
aux-hopitaux-universitaires-de-geneve-16-11-2021.html?mediaShare=1 (témoignage
patient chez qui ça a marché à la 2eme séance/expérience psychédélique assisté/accompagné par
une méditation guidée pour se détendre et accepté ce qui venait et à réussi à faire un « bad trip » ou
un voyage formidable, a réussi à entrer en elle avec bcp de symboles et une détente immense.
Psylocybine :
Etudes : - https://www.psychologytoday.com/us/blog/the-athletes-way/202204/psilocybin-appears-
make-depressed-brains-more-flexible-and-fluid
Tel un ordinateur bloqué, le cerveau des personnes souffrant de dépression chronique irait-il
mieux après un redémarrage ? C'est ce que suggère le Dr Robin Carhart-Harris dans des travaux
explorant les effets bénéfiques de la psilocybine, la molécule psychoactive qui confère aux
champignons hallucinogènes leurs propriétés psychédéliques. Dans une étude
publiée par Scientific Report (groupe Nature) l'équipe du neuropsychologue de l'Imperial College of
London décrit d'abord une amélioration significative des symptômes des 19 patients inclus dans
cet essai clinique, tous atteints de dépression résistante aux traitements. Un bénéfice qui s'est
poursuivi jusqu'à cinq semaines après l'administration de deux doses de psilocybine à une
semaine d'écart (10 mg et 25 mg).
Voir : Psychiatre Olivier Chambon et ses livres, Paul Stamets, Vincent Verroust (Président et
co-fondateur de la Société psychédélique française et Chercheur associé à l’Institut des
humanités en médecine (Lausanne), Michael Pollan (livre) Stéphanie Chayet (livre
Phantastica, ces substances interdites qui guérissent)
L’ayahuasca
LSD
Dose pleine LSD : 100 microgrammes (max 200 mcg) Microdosing : 10 microgrammes (commencé à 5mg
pour voir)
https://www.vice.com/fr/article/wjyw5z/lsd-recherche-maladies-mentales?
utm_source=vicetwitterfr
1943 : le jour où le chimiste Albert Hofmann expérimente le premier trip au LSD
https://www.youtube.com/watch?v=avzqPJiX-QI
Les sujets de l'étude, des volontaires, ont reçu 75 microgrammes de LSD. Une dose
"modérée" d'après Carhart-Harris, mais une dose capable de plonger "dans un état
de conscience profond".
A l’HUG en suisse, on donne 100 microgrammes par session avec Federico Seragnoli.
Retraite 5-MeO-DMT
Permet la dissolution de l’ego. Plus concentré que la DMT apparemment
MDMA :
Bon pour traiter Stress post-traumatique
Respiration holotropique
Fouiller sur compte twitterr : ecrire en MP pour savoir si études en France, besoin en
volontaires patient-témoin (comme Zoé Dubus)
https://twitter.com/michaelpollan
https://www.facebook.com/synthesisinstitute
https://twitter.com/Graham__Hancock
https://twitter.com/SeraFeder
https://twitter.com/sopsyfra
https://twitter.com/Drug_Science
https://twitter.com/Drug_Researcher
https://www.journaldemontreal.com/2022/08/09/plaidoyer-pour-la-therapie-psychedelique
Le BDNF agit sur certains neurones du système nerveux central et du système nerveux périphérique.
Ils sont impliqués dans la survie des neurones existants. Ils encouragent la croissance et la
différenciation de nouveaux neurones et des synapses4,5. Dans le cerveau, il est actif dans
l'hippocampe, dans le cortex, le prosencéphale basal. Ce sont des aires vitales pour l’apprentissage,
la mémoire et d'autres fonctions cognitives6. Le BDNF lui-même est important dans la mémoire à
long terme7. Le BDNF fut le second facteur neurotrophique qui fut caractérisé après le facteur de
croissance des nerfs (Nerve Growth Factor) NGF.
Bien que la grande majorité des neurones dans le cerveau des mammifères soient formés avant la
naissance, des parties du cerveau adulte retiennent la capacité de faire grandir de nouveaux
neurones à partir des cellules souches neurales dans un processus appelé neurogenèse. Les
neurotrophines sont des molécules qui aident à stimuler et à contrôler la neurogenèse. Le BDNF
étant l'une des plus actives 8,9,10. Des souris nées sans la capacité de fabriquer du BDNF souffrent de
troubles du développement du cerveau et du système nerveux sensoriel et meurent souvent
rapidement après leur naissance. Ceci suggère que le BDNF joue un rôle important dans le
développement neuronal11.
Le BDNF se fixe à au moins deux récepteurs à la surface des cellules, TrkB (prononcez Track B) et le
LNGFR (pour low affinity nerve growth factor receptor- récepteur à faible affinité pour le facteur de
croissance des nerfs, aussi connu sous le nom p75)14. Il peut aussi moduler l'activité de nombreux
récepteurs à neurotransmetteurs, notamment l'alpha-7 nicotinic receptor (récepteur alpha
7 nicotinique)15. Le TrkB est un récepteur tyrosine kinase (ce qui signifie que ces actions sont médiées
via l'addition de molécules de phosphates sur certaines tyrosines de la cellule, ce qui active
la signalisation cellulaire). Il y a aussi d'autres Trk récepteurs associés, TrkA et TrkC. Il y a d'autres
facteurs neutrophiques proches du BDNF : le NGF (pour facteur de croissance nerveux), le NT-3 (pour
neurotrophine-3) et NT-4 (pour neutrotrophine-4). Alors que le TrkB est le récepteur primaire pour le
BDNF et le NT-4, le TrkA est un récepteur pour le NGF et le TrkC est un récepteur primaire pour le NT-
3. Le NT-3 se fixe au TrkA et au TrkB aussi, mais avec moins d'affinité14.
L'autre récepteur BDNF, le p75, remplit une fonction un peu moins claire. Quelques chercheurs ont
montré que le p75NTR se fixe et sert de « lavabo » pour les neurotrophines. Les cellules qui
expriment à la fois les récepteurs p75NTR et les récepteurs Trk peuvent, par conséquent, avoir une
plus grande activité, puisqu'elles ont une plus grande microconcentration de la
neurotrophine[réf. nécessaire]16,17[pas clair]. Il a aussi été montré, cependant, que le p75NTR peut signaler à
une cellule de mourir par apoptose. Ainsi, les cellules qui expriment le p75NTR en l'absence de
récepteurs Trk peuvent mourir plutôt que vivre en présence d'une neurotrophine
- L'exercice physique augmente la sécrétion de BDNF au niveau de l'ARNm et de
la protéine dans l'hippocampe des rongeurs. Il existerait une augmentation possible de
cette neurotrophine après l'exercice physique chez les humains21,22.
- La caféine améliore la mémoire de reconnaissance et cet effet pourrait être causé par
l'augmentation du BDNF et du TrkB dans l'hippocampe23.
- Les interventions basées sur la pleine conscience peuvent augmenter le BDNF24.
De nombreuses études ont montré un possible lien entre le BDNF et des pathologies comme
la dépression31,32, la schizophrénie33, les troubles obsessionnels compulsifs34, la maladie
d'Alzheimer35, la maladie de Huntington36, le syndrome de Rett37, la démence38, l'anorexie
mentale39 ou la boulimie40. Dans le cas de la maladie de Huntington, c'est le transport vésiculaire
axonal du BDNF du cortex vers le striatum qui serait impliqué41.
Dépression :
L'exposition au stress et à l'hormone du stress, la corticostérone, a montré qu'elle diminuait
l'expression de BDNF chez les rats, et si l'exposition est persistante, ceci entraîne une éventuelle
atrophie de l'hippocampe. On a trouvé une atrophie de l'hippocampe et des autres structures
limbiques chez les patients atteints de dépression chronique. Par ailleurs, les rats élevés pour
être hétérozygotes pour le BDNF, qui, par conséquent, diminuent leur expression, ont aussi une
atrophie de l'hippocampe. Ceci suggère un lien causal entre le développement d'une dépression
et l'existence du BDNF. De même, le neurotransmetteur excitateur glutamate, l'exercice physique
et les traitements antidépresseurs augmentent l'expression de transcrits de BDNF spécifiques
dans l'hippocampe du rat et de nombreux traitements pour la dépression (comme les
antidépresseurs et l'électroconvulsivothérapie) augmentent l'expression de BDNF dans le
cerveau et une restauration possible bénéfique de l'application clinique de
l'électroconvulsivothérapie. On a montré que cela pouvait protéger ou inverser cette atrophie.
Des diminutions du BDNF dans l'hypothalamus ont été impliquées dans le développement de la
dépression et dans l'hyperphagie qui peut entraîner une obésité.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8033605/ ( Low Doses of LSD Acutely Increase
BDNF Blood Plasma Levels in Healthy Volunteers)
https://www.optimallivingdynamics.com/blog/21-proven-ways-to-increase-your-brains-growth-
hormone
Tout comme certaines personnes sont capables de perdre des kilos en trop et de ne jamais les
reprendre, vous pouvez vous débarrasser de votre dépression chronique, de votre anxiété et de vos
troubles cognitifs et ne plus jamais en souffrir.
L'un des moyens d'y parvenir est d'augmenter le facteur neurotrophique dérivé du cerveau,
également connu sous le nom de BDNF.
Le BDNF est une protéine naturellement présente dans le cerveau qui améliore les fonctions
cérébrales et réduit le risque de maladie mentale.
Le BDNF protège et répare vos cellules cérébrales, augmente la croissance de nouvelles cellules
cérébrales et améliore l'apprentissage, la mémoire et l'humeur. En fait, de nombreux chercheurs le
considèrent comme un antidépresseur naturel (12-17, 66).
Les recherches suggèrent que si vous luttez contre une maladie mentale ou un mauvais
fonctionnement du cerveau, vous avez probablement des niveaux réduits de BDNF. Mais
heureusement, il existe des moyens de le stimuler. Et en faisant cela, vous pouvez inverser la
dépression et vous protéger de la maladie d'Alzheimer (46-50, 31, 64-65, 67).
Après avoir subi deux commotions cérébrales, vécu dans une maison moisie et sombré dans une
profonde dépression en 2010, j'ai commencé à chercher partout des moyens de stimuler le BDNF et
de guérir mon cerveau endommagé.
Vous trouverez ci-dessous 31 méthodes qui m'ont aidé de manière significative, et qui vous aideront
probablement aussi.
https://www.santelog.com/actualites/depression-la-voie-epigenetique-pour-reparer-tres-vite-la-
neuroplasticite
S-Kétamine (Spravato)
- https://www.reddit.com/r/TherapeuticKetamine/comments/pg247c/
long_term_success_report_part_2/ (top-la bible)
- https://www.reddit.com/r/TherapeuticKetamine/comments/spgskf/
anyone_get_worse_during_ketamine_treatment/
- https://illumma.com/why-you-may-feel-worse-during-your-ketamine-series/
http://shabbygoat.com/food-health/niacin-depression-cure/
https://www.foodmatters.com/article/how-to-take-niacin-vitamin-b3-for-depression-and-anxiety
Lorsque vous rougissez, vous pouvez littéralement voir et sentir que vous avez pris suffisamment de
niacine. L'idée est de prendre initialement juste assez de niacine pour avoir un léger flush. Cela
signifie un rose sur les joues, les oreilles, le cou, les avant-bras et peut-être ailleurs. Un léger
rougissement dû à la niacine devrait disparaître au bout d'une dizaine de minutes. Si vous prenez
trop de niacine, le rougissement peut être plus prononcé et durer plus longtemps. Si vous rougissez
pendant une demi-heure et que vous vous sentez bizarre, c'est que vous en avez trop pris. Et il est
certain que de fortes doses de niacine sur un estomac vide provoquent de profondes bouffées de
chaleur.
Le Dr Hoffer écrit : "Avec des doses initiales plus importantes, les bouffées vasomotrices sont plus
prononcées et durent plus longtemps", dit le Dr Hoffer. "Mais avec chaque dose supplémentaire,
l'intensité des bouffées vasomotrices diminue et devient, chez la plupart des patients, une nuisance
mineure plutôt qu'une irritation. La niacine doit toujours être prise immédiatement après avoir
terminé un repas". (ON PEUT MEDITER PDT CE TEMPS LA et ressentir les effets).
PROTOCOLE : J'ai découvert que la meilleure façon pour moi de contrôler avec précision la sensation
de bouffée de chaleur est de commencer avec de très petites quantités de niacine et d'augmenter
progressivement jusqu'à ce que la première bouffée de chaleur soit remarquée. Une méthode
consiste à commencer par une simple quantité de 25 milligrammes (25 mg) trois fois par jour, disons
à chaque repas. Le lendemain, essayez 50 mg au petit déjeuner, 25 mg au déjeuner et 25 mg au
souper. Le jour suivant, on peut essayer 50 mg au petit déjeuner, 50 mg au déjeuner et 25 mg au
souper. Et, le jour suivant, 50 mg à chacun des trois repas. Le jour suivant, 75 mg, 50 mg et 50 mg.
Puis, 75. 75 et 50, et ainsi de suite. De cette façon, vous avez augmenté à la vitesse facile de
seulement 25 mg par jour. Il faut continuer à augmenter la dose de 25 mg par jour jusqu'à ce que le
flush se produise. (on peut aller jusqu’à 3000 mg)
Il est difficile de prédire un niveau de saturation pour la niacine car chaque personne est différente.
En règle générale, plus on en prend, plus on en a besoin. Si vous avez des bouffées de chaleur tôt,
vous n'avez pas besoin de beaucoup de niacine. Si les bouffées de chaleur ne se produisent qu'à un
niveau élevé, il est évident que votre corps utilise la plus grande quantité de vitamine.
Maintenant que vous avez eu votre première bouffée de niacine, quelle est la prochaine étape ?
Puisqu'un flush indique une saturation en niacine, il est souhaitable de continuer à répéter le flush,
juste très légèrement, pour poursuivre la saturation. Cela peut être fait trois fois par jour ou plus.
Pour s'endormir plus rapidement le soir, on peut également prendre de la niacine à saturation au
moment du coucher. Vous serez peut-être endormi avant même d'avoir remarqué les bouffées de
chaleur.
J'ai commencé par 100 mcg de niacine et j'ai progressivement augmenté la dose par incréments de
25 mcg chaque jour. Je n'utilise que la niacine ordinaire, pas la niacine à libération retardée ni la
niacine sans rinçage. Depuis que j'ai commencé à prendre la niacine et la vitamine C en plus, je
trouve que ma dépression a diminué de façon significative. Je ne souffre plus de ce puits sans fond de
sentiments dépressifs qui m'accompagnait depuis l'automne dernier. J'ai arrêté de prendre le
Trintellix il y a 3 semaines et ma dépression a continué à s'atténuer."
http://shabbygoat.com/food-health/niacin-depression-cure/