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Pharmacologie moléculaire
- Définition
- Constitution
- Mode d’action
- Pharmacodynamiques
- Pharmacocinétique : devenir du médicaments dans l’organisme (une approche) et pourquoi faut
faire attention a certaine itérations entre médicaments.
I. Définition du médicaments
La définition du médicaments est donnée par le code de la santé publique (Art L 51)
Les molécules chimiques ont pour but d’établir une action curative (pour soigner) ou préventive.
Mais aussi en prévention de la maladie, pour empêcher l’apparition d’un symptôme lié à un état.
Médicaments pas de distinction entre humain et animal.
Les molécules pharmaco était commune entre humain et animal (pas le même nom).
Depuis 1990 les préparations médicamenteuses humaines spécifique à l’humain tout comme les
animaux. Évite les réactions croisées, une maladie résistante chez l’animal l’empêche d’être
résistante chez l’humain.
Exemple de l’AZT :
L’AZT principal médicament des symptômes du sida. Principale molécule qui pas permis de faire
survivre des malades du sida. SIDA maladie mortelle sans traitement.
Sans AZT aucune espérance de survie a moyen terme pour cette infection virale.
Faire survivre des malades au-delà d’une dizaine d’année, on dit alors que le médicament est
indispensable pour cette pathologie.
II. La constitution
Médicaments composé d’un principe actif, la dénomination :
- DCI : dénomination commune internationale : exemple molécule de PARACETAMOL
Sur les médicaments européen et le reste du monde sauf au USA la DCI fonctionne. Au
USA : TYLENOL dénomination américaine de Paracétamol.
- nom différent : même molécule, même principe actif et même dosage sauf le pacadgyne - le
générique pas de nom commerciale uniquement le DCI
Puisque les différentes forment commerciales ont le même principe actif, ils ont donc le même
effet.
Mais les médicaments sont aussi composés d’excipient donnant la forme galénique du
médicaments.
EXCIPIENTS : substances inertes faisant partie de la formulation galénique d’un médicament soit
pour faciliter sa préparation, soit pour le véhiculer et le rendre absorbable par l’organisme.
- les diluants : comprimé qui possède une forme et une texture. Molécule de liaison des principes
actifs. Mais aussi un rôle de remplissage au niveau des sirops
- Agglutinants : uniquement pour les gélules
- Lubrifiants : protège le corps suite à l’administration d’un médicament (tube digestif)
- Délitants : action de désintégration de la forme galénique au niveau des fluides corporelle =
meilleur libération du principe actif
- Adjuvants divers : les mouillants pour les molécules hydrophobes, l’excipient corrige cette
fonction. Substances tampons ajoutés pour protéger les principes actifs.
Ils ne rentrent pas dans l’action du principes actif juste une action dans l’optimisation.
LES GÉNÉRIQUES :
Une générique est exactement le même principe actif que le médicament, la même molécule de
même formulation. Un générique est réalise lorsque un système légale ou brevet tombe dans le
domaine public.
Plus besoin de payer un laboratoire, le nom doit être différent de l’origine.
Il possède la même composition qualitative et quantitatif en principe actif. Il
doit avoir une bio équivalent = un effet biologique équivalent.
On a pas dit exactement identique, mais équivalent (dans les écart types). Effet un peu moins ou
plus important par rapport a la molécule de référence.
L’excipient quand à lui peu être différent, il permet d’avoir des effets identiques avec des intensités
différentes.
Un générique ne nécessite pas d’essai clinique déjà réaliser lors du pré étage du principe actif.
Au bilan : même effet, mais particularité physiologique certaine personne réponde moins bien au
générique.
Écart positif observé entre le résultat thérapeutique et l’effet thérapeutique prévisible uniquement
sur la base des résultats pharmacologiques attendus.
Un effet placebo, ce qui est nécessaire pour susciter chez nous un effet placebo :
- la préparation colorée (rouge car dans le cerveau le rouge indique le toxique
☠)
- Comprimé gros peu facile à avaler (gros et rugueux) - Forme non
anatomique
Médicaments renforce l’effet placebo du le 🧠 .
EFFET NOCEBO
Mais aussi un effet nocébo
Un effet négatif c’est de la farine psychologique, écart négatif ou contraire du placebo. —>
On se dit que : « ce médicament n’a pas d’action »
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III. La pharmaco-dynamique
Le médicament a besoin d’avoir une site d’action = cible récepteur cellulaire, système enzymatique,
activité au niveau réparation de l’ADN ...
Indispensable d’avoir l’action pharmaco qui va précéder l’action thérapeutique. Une
chronologie des enveniment immuable
Parfois on peut observé un effet thérapeutique avant d’avoir un effet pharmacologique : je suis dans
le cadre d’un placebo. Parfois influence du psychisme sur la guérison.
Liaison spécifique, le médicament tourne ça cible, il se fixe spécifique à une cible donné (le drug
design) on constitue la forme du médicament selon le récepteur (on étude la forme).
LA NOTION DE KD
Concentration du ligand donnant une occupation de la moitié des récepteurs.
Il rend compte de l’affinité que possède une molécule pour ça cible. Représente la quantité de
molécule qui va permettre d’avoir une occupation de 50% des sites.
Plus le KD est faible plus l’affinité entre les molécules est grande.
L’intubation, les cordes vocales (décontractant pour relâcher) le curare (toxine) il possède un KD
pour les récepteurs de l’acétyl-colline. Le curare reste sur la cible car le KD a une énorme affinité
avec les molécules des cordes vocale donc le cutané ne se décolle plus des sites.
NOTION DE RÉCEPTEUR :
Certains nombres de critères à remplir
- Saturabilité : liaison spécifique d’un ligand donné est saturable car elle correspond à un nombre
de récepteurs définis, par opposition, la liaison non spécifique n’est pas saturable
- l’affinité (KD) du médicament pour son site d’action doit être en rapport avec le KD du liant
naturel, évite que l’action deviennent quasi irréversible échappe.
- Les effets pharmaco : dose en relation avec le KD (KD à hauteur d’une micro mol, 100 mili mol
pour un effet c’est donc 100 fois supérieur) Quantité utilise en rapport avec cible.
Les critères de réversibilité s’explique parce que l’interaction médicament cite s’effectue par Les
liaison ionique. La plupart des médiateurs physiologiques et des médicaments agissent de façon
réversible. Les forces e liaison qui interviennent entre le ligant et le récepteur sont constituées par
des liaison de Van der Waals, des liaisons hydrogènes (pont hydrogène) et des liaisons ioniques.
Des liaison de plus grande énergie s’opposeraient à la réversibilité de la liaison.
- Liaison réversible (pharmaco et l a plupart des ligands physiologiques)
- Liaison quasi-irréversible (Expérimentale) : venim
- Liaison irréversible (étude structurale chimie) description interaction médicament cite de liaison,
cadre de compréhension.
3 notions :
- le seuil : la plus petite concentration de médicament à parti de laquelle je constate un effet. Cette
notion est a affiner car cruciale
- Seuil maximal : dose de médicaments utilisé au delà de laquelle on a pas d’effet supplémentaire
au dessus un plateau.
= nous donne la fenêtre pharmacologique
- DE (dose efficace) 50 : quantité de médicaments qui donne 50% de l’effet maximal. Courbe
effet dose qui dépasse 100%.
Notion de puissance plus la DE50 est faible et plus un médicament est puissant. Il va donc falloir
distingué l’intensité sur l’effet observé. A partir de quelle concentration j’ai eu 50% de mon effet.
Effet je que je regarde axe des ordonnées.
La puissance 50% de l’effet maximal observé.
Effet d’agoniste c’est une molécule médicamenteuse qui va minuter l’effet d’une molécule
endogène. Utilisation d’un médicament pour mimer l’action endogène du ligant.
3 molécules A, B et C représenter sur des courbes effets doses. Est ce que l’effet et l’intensité
maximal est identique.
Ils sont le même effet et la m^me intensité, il arrive tout a 100 soit sont des antagonistes plein.
Même effet maximum même intensité mais la plus puissante est la À car DE50 plus faible.
L’agoniste plein est une molécule qui aura le même effet et efficacité, intensité de l’effet observé
sera similaire a ceux lui de l’effet endogène avec une puissance différente variable.
On peut déterminer la notion d’agonie plein et partiel
Molécule qui mime l’action de la molécule endogène mais l’effet sera inférieur à ceux lui observé
par la molécule endogène.
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Toujours en essayant analyser courbe effet dose on peut déterminer au niveau des agoniste partiel
une puissance différente. Puissance importante mais effet moins important que molécule endogène.
Ce décalage puissance effet permet d’avoir la maitrise de l’action médicamenteuse. On n’ira pas
vers un potentiel effet indésirable.
L’effet physiologique d’un antagoniste se révélé son action en présence du ligant naturel.
Antagoniste empêche l’action d’un ligant naturel.
Les canaux ionique ; pas d’antagoniste d’un ion, antagoniste c’est une action qui est empêcher.
Un ion pas d’action propre il traverse une membrane. Un
inhibiteur : bloque une activité
Un antagoniste : bloque les récepteur et empêche l’activation par des ligants naturels.
2 types d’antagoniste :
- compétitif : molécule qui se fixe au même endroits que le ligant naturel, compétition pour la
fixation entre le ligant naturel et l’antagoniste. Mode d’action simple : plus il y a d’antagoniste
moins le ligant pourra se fixé. On se reporte à la notion de KD, le KD le plus faible remporte la
bataille = aura le plus d’affinité
- Non compétitif : Renseigne sur le faite que l’antagoniste ne se fixe pas au même endroits que le
ligant naturel sur le site d’action. L’antagoniste se fixe sur son site d’action, entraine un
changement de forme du site d’action, ce changement empêche le ligant naturel de venir se fixer.
Il est donc incapable de reconnaître le ligant naturel.
Changement de conformation, modification de la forme : changement conformationnel.
Compétitif : une courbe dose effet vers la droite, plus on met d’antagoniste plus il sera difficile pour
le ligant naturel d’effectuer son effet.
Concentration de molécule endogène de plus en plus importante.
Ligant naturel en présence du récepteur entraine une activité plus importante que la basale.
En présence de l’agoniste inverse, extinction diminution de l’activité de base.
Le récepteur alors qu’il n’ai pas stimulé, il produit une activité, soit une activation basale des voies
de signalisation sous jacente.
L’antagoniste inverse, fermeture canal ....
Courbe effet dose avec une allure différente selon l’agoniste, notion de puissance à discuter.
L’antagoniste n’a pas d’effet propre.
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IV. La pharmacocinétique
La pharmacocinétique a pour but d’étudier le devenir du médicament dans l’organisme. Elle
détordit le devenir du médicament dans l’organisme par des représentations mathématiques basées
sur des modèles
Intestin : épithélium lâche, les cellules ne sont pas relier entre elle par des jonctions serré il est
possible d’avoir des passages inter cellulaire. Il est envisageable pour des petites molécules (faibles
volumes).
Une autre voies possible : le passage trans cellulaire : molécule médicamenteuse traverse une
cellule pour se retrouver dans un compartiment sanguin. Traverse 2 membranes, apicale et basale,
évite la métabolisation dans la cellule.
Une molécule chimique peut-elle traversé 2 couches de phospho ?
Pour imaginer des passage trans cellulaire, médicament toute petite molécule (tri atomique) sans
charge (neutre). Comparativement ou elle va essayé de traversé la cellule pas chargé
électriquement.
Cela dit qu’il va falloir connaître la forme du médicament en fonction des compartiments dans
laquelle elle doit être présente.
Médicament à but neurologie, gagné le cerveau : injection direct au niveau cérébral (intra rachidien)
ou injection sanguine.
Dans la vie, une étape de grossesse aucun médicament possible. Pas de médication car le placenta
est une passoire, tout y passe. Toutes les substances se retrouve au niveau fetal. Accessibilité au site
de liaison.
- PRINCIEPS DE BASES
NOTION de flux, le flux net est la résultante de la multiplication du coefficient de perméabilité
multiplié par la surface et par concentration du compartiment 2 moins le 1.
Le médoc traverse bicouche lipidique, médoc lipophiles pour être capable de travers la bicouche.
Hydrophile -> pas de traversé
- DIFFUSION NON-IONIQUE
Une autre paramétrer de la perméabilité c’est la charge, une molécule neutre non chargé. Plus la
surface d’échange est importante plus de proba d’absorption.
Le gradient chimique, plus il est important plus la molécule peut transité du compartiment le plus
concentré au moins concentré.
La charge est déterminer par son pKa, une molécule médicamenteuse possède un comportement de
type acide ou basique.
L’aspirine : acide salicylique se comporte comme un acide avec un pKa faible.
L’absorption ne s’effectue que pur des molécules neutres, faiblement polarisé, pas de charge et de
petites tailles.
C = Q / Vd
Vd = Q / C
C(t) = c0 - k.t
E = k.t
La cinétique d’ordre 0 est un cas rare, peu fréquent et nécessite un travail en saturation.
ORDRE 1
Élimination d’une fraction constante d’un pourcentage de médicament éliminer par unité de temps
contenu dans l’organisme.
représentation de l’évolution de la consternation du médicament dans l’organisme ne représente
plus une droite.
C(t) = c0* exp(-k) e^t
Le C0 déterminer graphiquement => NON
Plus on se rapproche de 0, on se rapproche mais on arrive pas à la valeur d’origine.
Il faut linéarisé une exponentielle décroissance, on cherche à exprimé les log népérien de cette
concentration du médoc au cours du temps = TRANSFORMATION. Cela nous donne une droite.
La contraction à l’origine déterminer à partir de la droite.
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Si valeur supérieur à 2 jusqu’à des valeurs énormes (fictive) le médoc se stocke, il c’est bio
accumulé quelque part. Mais où ? Étude chez l’animal
Morphine : gros volume de distribution -> elle se fixe spécifiquement sur certain tissu, c’est un
antalgique.
Le shoot morphinique, plus de corps reste que l’esprit, seule une présence à l’état psychique.
Dé-complexation physique et psychique. Sous gros shoot morphinique le cœur ne bât plus.
Exemple : morphine, propanolol (dodo direct), Imiprane
E. Effet de l’administration de médicaments
Le mode d’administration :
- voie orale : l’allure de bosse, rentre dans le corps, absorption équilibre et élimination
- Voie sanguin : intra veineuse, absorption et élimination
La fréquence d’administration est inférieur au temps de demi vie.
Supérieur à 4 ou 5 demi vie, la concentration est stable on a atteint l’équilibre d’environ 94 à 97%.
F. Notion biodisponibilité
Les médicaments par voie orale on un petit handicap, il ne sera efficace que si il est dispo dans
l’organisme, la bio disponibilité, elle est dite totale par voie intraveineuse. L’injection en grande
quantité ce trouve présente puis au court du temps cinétique d’ordre 1 pour élimination.
Pour pénétrer dans le compartiment centrale, traverse des cellules, phase d’absorptions
dépendant des différents paramètre avec un maximum a moment donné. Le max représente un
équilibre entre le phénomène d’absorption et le phénomène d’élimination. On arrive a une point
d’équilibre ou phénomène absorption = élimination.
Pour comparer médoc entre eu on parle de bio disponibilité. Si il est meilleur par voie orale ou
intraveineuse il faut comparer leur bio dispo.
Si elles sot comparable alors l’administration par voie orale sera privilégié.
La bio dispo est calculé en considérant l’air sous al caroube de la concentration plasmatique au
cours du temps. Calcul de la zone de l’aire sous la courbe, pour la voie intra et voie orale.
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Exemple :
Un doliprane pour une blessure -> calme la douleur, dans 10
jours le doliprane sera moins efficace car la quantité de
doliprane sera moins importante dans le sang. Le corps
métabolise bcp plus, La dose augmente mais l’efficacité diminue.
G. Métabolisme du médicament
RÉACTION DE PHASE 1 :
La phase de fonctionnarisation : elle repose sur une transformation de la molécules
médicamenteuses par l’intermédiaire de réaction chimique, généralement étape d’oxydation ou de
réduction. Sur des éléments réactif pour l’oxydation, variable selon structure de la molécule
médicamenteuse. Étape d’hydrolyse (casser molécule) pour la rendre fonctionnelle et sensible à la
deuxième étape. JE REND LA MOLÉCULE FONCTIONNELLE.
RÉACTION DE PHASE 2 :
La seconde étape consiste à une liaison de la molécule médicamenteuse avec d’autre composé
pour rendre hydrophile la molécule médicamenteuse : c’est une conjugaison de la molécule
médicamenteuse avec un certain nombre de composé réactif pour la rendre hydrophile.
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Les inductions les plus rapides sont de l’ordre de 6 à 7 heures, apparition des modifications de
l’expression. Pleines puissance au bout de 24 à 48 heures. On limite dans le temps, réalisation du
cure. L’expression des CYP450 reviennent à la normale.
Conséquences de l’induction :
Une accélération considérable de la vitesse d’élimination de toutes les substances métabolisées par
le système induit (demi-vie diminuée), médicaments mais aussi hormones endogènes ou formation
accélérée de métabolites toxiques ou carcinogènes.
Exemple :
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Une inhibition spécifique, la quinidine est un médicament inhibiteur d’un cytochrome de type 2, il
ne faut donc pas associé médicament jouant sur site 2.
Compétition de deux substrats pour un même CYP = inhibition compétitive inhibition et induction
peuvent coexister c’est l’exemple de l’éthanol dans l’alcool.
L’éthanol peut être inducteur mais également un inhibiteur cela s'observé lors d’une alcoolisation
aiguë.
Molécule qui en fonction de sa concentration va utilisé son cytochrome spécifique P450, lors
d’alcoolisation aiguë disparue, métabolisation par l’ensemble des CYP450. Si on est sous traitement
d’un doliprane, l’éthanol devient prioritaire dans la métabolisation, le médicament n’est ainsi plus
dégradé, il va alors stagner sous la forme toxique (risque effet indésirable du médoc). Même effet
sur une induction.
Les anti dépresseur : les barbituriques, métabolisées et élimées sous forme métabolique. Plusieurs
variables externes.
PA R A C É TA M O L + A L C C O L =
AUGMENTATION DES RISQUES
Stimuler la métabolisation du médicaments, basé sur une métabolite curatif. Dans la production d’anti
cancéreux, administration d’un composé non miscible sans effet propre. Elle est métabolisé dans le
5Fu. Administrer pas par voie orale, la drogue produite au niveau des cellules cancéreuses
majoritairement.
Le 5FU bloque transcription, la traduction c’est un anti nicotique puissant : pro drogue.
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H. Élimination du médicament
Il faut la penser au niveau de l’organisme. Il en existe une au niveau cellulaire. Au niveau organique
l’organe des reins, élimination optimale avec une fonction rénale.
- reins : l’organisme urinaires des substances hydrosolubles (ou rendues hydrosolubles par le
métabolisme hépatique
- Foie : principale voie de métabolisation, élimination de la forme active hydrosoluble élimination
rénale sinon lipophile incorporation dans la voie fécale (selle biliaire)
- Poumon : gaz anesthésique
- Peau, phanères (poils, cheveux) : organe de stockage qui permet d’éliminer les molécules
pharmaco (élimination dite passive)
Texas : interdiction d’être enterrée car pollution du sol lié aux molécules stocké dans les organes.
Une fréquence des cancer moins importante à la préhistoire (Espérance de vie 25 ans). Maladie
dégénérative, avec une dizaine d’année entre stade laissions cancéreuse et détection clinique.
2800 av JC des textes parlant de cancer, mais aussi état de gérison de cancer mais peu de détail.
Très tôt on sait qu’il était possible de retirer cette tumeur cancéreuse, sur les momies ont retrouve
des trous.
Le mot cancer vient de crabe, car l’hypocrate parle de cancer, maladie formant des courbures et des
propagations dans le tissu en forme de pâte de crabe.
Marqueur différent pour les ciblés et ainsi lutter contre ces cellules.
Une différence d’expression, d’activité, mais peu de manière qualitative.
Adopter un traitement anti cancéreux va avoir un effet sur le patient (voir le bénéfice sur risque),
objectif une survie.
- Certaine molécule thérapeutique porte le nom de poison, toxique pour engendrer des effets
indésirable dont la qualité de vie du patient.
-évasion
apoptotique : moins sensible au signaux apoptotique, possèdent une durée de vie plus longue.
Capable d’avoir un pouvoir réplication très important (plus de mitose). Le cycle cellulaire d’une
cellule cancéreuse est plus cours, mitose moins longue. Si altération génomique, plus de production
de cellule cancéreuse.
- Pour ce multiplier tous cellules ont besoin d’inducteur, ce son des facteurs de croissance : la
cellule elle croit elle grossit pour préparer la mitose. Facteur mitogène : induit la mitose. Les
cellules cancéreuses capables de préparer la mitose sans signal, puis libère un facteur mitogène
dans le milieu : autoclinie. Indépendance totale avec le milieu
- invasion métastatique, elles restent rarement au sein du même tissu, possède des caractéristiques
de dégradation de l’environnement = propagation.
- nourriture, capacité à détrôner la micro circulation locale, pour avoir propre respiration et
nutrition, détournement de vaisseau à son profit. SI on empêche la propagation des vaisseaux la
tumeur meurt.
Pour éradiquer le plus grand nombre de cellule, il faut une bonne connaissance de la biologie.
Le but viser est d’éradiquer le maximum de cellules, utilisation de produit le plus adapté à la tumeur
et à son stade (diagnostic, connaissance des médicaments)
Il faut utiliser une concentration de médicaments la plus élever possible, avec des effets indésirables
toujours plus importante.
Le traitement est effectué par cure, application de forte dose, massive sur un temps court pour ne
pas laisser les cellules s’adapter au traitement. (Éviter l’induction de résistance)
La monothérapie est rare, utilisation le plus souvent de plusieurs stratégies, des traitements
différentes, anti mytotique et anti misogénique (on combat sur 2 fronts).
Un seul agent permet rarement d’obtenir des rémissions prolongées et/ou des guérisons. Il n’y pas
plus de traitement standardisé, on réalise une biopsye pour regarder les marqueurs de la tumeur et
ainsi administrer une bi ou tri thérapie au patient.
Chaque agent possède un mode d’action et un mécanisme distincts, les agents ne doivent pas
avoir une toxicité semblable à celé d’un autre agent inclus dans la combinaisons Thérapie
adjuvante ou associative pour essayer de combattre.
Le principe est d’avoir des axes différents d’actions, une autre voie de signalisation pour des cibles
différentes pour une réponse globale à la thérapie. Ce calcul est réalisé avec l’air sous la courbe.
LA RÉSISTANCE CANCÉREUSE :
Le problème majeur des thérapies anti-tumorales est l’apparition rapide de résistances aux
traitements conduisant le plus souvent à une rechute de la maladie :
- Résistance acquise : le pancréas (6 mois) folforinox chimiothérapie tue le patient avant le cancer,
les poumons (fumeur ou non fumeur) 18 mois, taux de survie de 15%. 95% de mort après 5 ans.
La cellule possède une stratégie anticancéreuse
très rapidement.
Drogue pour inhabité une protéine muté à l’intérieur d’une cellule. Inhibition complémentarité de
forme (ligand/récepteurs).
La résistance d’une tumeur peut passer par l’explication que la tumeur est un ensemble hétérogène,
formé de plusieurs clone tumoraux. L’application du traitement peut sélectionner un clone résistant
(5 à 6 clone tumoraux résistants).
Mais certains traitement possède la capacité d’activé les clones. Un acteur mitogène ou de
croissance, lié à l’altération génétique.
- Les anti métaboliques (base azoté et réplication) empêche le métabolite des bases azotés pour
bloqué les voies de synthèse des bases azotés constituant l’ADN
- Les antibiotiques interaction avec le matériel génétique.
Pour mitose il faut qu’il y est disposition, formation des fuseaux de l’ADN, possibilité de bloqué les
microtubules, soit poison mitotique.
Nouveaux agents (voies de signalisation cellulaire) en amont de la mitose, récepteur et réponse
cellulaire.
HORMONOTHÉRAPIE
Stratégie hormonale, transformation d’une hormone en une autre. (Aromatase)
Les voies liées aux voies de signalisation intracellulaire. Des anti-métabolites, les topoisomérases,
enzyme capable de déroulé les brins l’ADN et à l’origine de la synthèse. Si ils sont bloqués pas de
réplication.
Le pamplemousse inhibiteur de l’absorption.
Une action directe sur le génome et ou des constituants essentiel au développement de la cellule
tétragénicité, carcinogénicité.
- Pharmacologie cellulaire
Cellulaire supporter par les pompes à efflux. Composé d’un grands
nombres de molécules qui fonctionne selon le mode transport actif
pour faire sortir les molécules pharmacologique du cytoplasme. Ils
sont spécifiques au famille pharmaco.
Inductive avec des mécanisme de régulation présent au niveau des
pompes.
Deux grands mécanismes, la glycoprotéine P, et MDR (mutiple drag
resistance), augmentation de l’expression du système qui est capable de prendre en charge la
drogue.
Cette pharmaco cellulaire permet d’expliquer la résistance organique (organe) mais aussi au niveau
de l’organisme.
UNE NOUVELLE APPROCHE : LA PHARMACOGÉNOMIE
Les mutations somatiques des tumeurs sont des événements caractéristiques des cancers. Il ne faut
pas confondre cette notion avec celle des polymorphisme génétique.
Le génome tumoral est profondément remanié et présente par rapport au génome constitutionnel
dont ils dérivent des centaines de mutations.
Elle se base sur : pour produire une cellule cancéreuse, une cellule normale vers cancéreuse suite à
l’apparition de mutation, altération génomique (avantage stratégique de prolifération dans son
milieu = théorie monoclonale). Le génome tumorale est remanier, il existe un polymorphisme
génétique entre les cancers (pharmacogénomique).
De La Génétique Vers L’épigéntique
Épigénétique : deux génome identique mais l’expression des gènes est sous la dominante de
l’environnement. On est acteur de notre génome.
Lorsque l’on réalise une action on modifie la capacité de
l’expression du génome sur des gènes spécifique, on
modifie le taux d’expression de certaine protéine,
modification de certaines caractéristiques
physiologiques.
Exemples :
- Première expérience sur les souris, clones avec
plusieurs individus avec matériel génétique identique
(mais problème pas les mêmes caractéristiques).
- Un cas dans ‘espèce humaine, américain, grossesse jumulaire de personne noir, un enfant blanc et
un enfant noir mais vrai jumeaux avec même ADN.
Dans le cancer elle est fondamentale, le génome est pareil, le degré d’expression diffère selon
l’environnement cellulaire.
Le cancer possèdent comme base la mutation, on peu également altérer l’expression des gènes en
fonction de l’environnement (erreur dans le gène), épigénétique, acteur supresseurs de tumeurs
présent mais mit sous silence par des facteurs d’environnement.
Modification des degré de méthylation des gènes de l’ADN pour avoir un retour des supresseurs de
tumeurs.
Une approche psychologique face au cancer est indéniable, modification de l’axe épigénétique pour
une meilleure chance de survie face au cancer.
Notion de pharmacogénomie
Des manipulations une souche bactériennes, un milieu par stérile, un champignon est apparu sur les
boite de génoise. La ou il y a le champignon pas de bactérie. La pénicilline est produit par le
champignon, c’est l’un des plus grand médicament.
Dans le monde macroscopique dès microorganisme qui sont capable de se défendre entre eux. Les
grands progrès apporté par des grandes guerre.
Le concept à évoluer :
- antibiotique : substance d’origine naturel pour lutter contre les bactéries, toutes substances
produit par un micro organisme pour lutter, tuer un micro-organisme. Un principe actif.
- Le corps humain habité par des bactéries, la destruction peu être à l’organe de la prise
d’antibiotique.
- L’anti-infectieux : molécule naturel ou non qui a pour but de tuer tout agent pathogène. Le
bénéfice sur risque, il est souhaitable que les agents n’altère pas les cellules normales. Mais
néanmoins des spécificité entre les agents pathogènes et les anti-infectieuse (antivirale,
antiparasite, chimiothérapie)
Chimiothérapie antivirale :
empêche la réplication du virus, une nécessité de cellule haute, la chimio rendre dans les cellules
haute et empêche la réplication du virus.
Une chimiothérapie est dure à mettre en place, l’objectif est de rentrer sans toucher le métabolisme
des cellules.
Exemple le virus du SIDA, aucun traitement permettant de guérir la maladie (l’AZT)
La chimiothérapie antiparasitère :
Touche les pays en voie de développement
Elle est présente de façon confiner à certain pays riche.
Elle possède bcp d’effet secondaire, médicament à heure fixe. Le paludisme.
Dans le monde médical la sélection de bactéries (clone) résistant pas une multitude, les souches
bactériennes hyper résistant.
Les doses d’attaque dépendante des paramètres pharmaco cinétiques, âge (métabolisme hépatiques,
poids, la fonction rénale (excrétion et élimination des molécules pharmacologique) on adapte la
dose. Pour tout traitement on étude les paramètres.
Pour les femmes, la grossesse pas de médication pharmacologique et antibiotique, le fœtus est un
organe réservoir, ou tissu réservoir des antibiotiques. L’enfant est en développement, interaction
entre développement fœtal et l’antibiotique.
Critères pharmococinétique :
Les constantes délimitation et temps de demi vie, détermination des fréquences d’administration
pour éviter les effets indésirables. (Fenêtre pharmacologique)
Gram moins : double bicouche lipidique, membrane externe et interne. ZEN externe des protéines
membranaire associés à des porcines (structure canalaire qui réalise des échanges avec le milieu
pour apporter la nécessiter à la bactérie)
La membrane externe délimite un périplasme dans laquelle on retrouve des peptidoglycane. Une
paroi rigide.
Gram positif : une membrane entouré de peptidoglycane assurant une rigidité, des protéines
membranaires et transmembranaires pour les échanges avec le milieu extérieur. Directement en
contact avec le milieu environnant.
- Détruire la membrane cytoplasmique (la plus interne), il faut que la molécule est accès à la
membrane interne
- Bloquer l’acide folique qui est anti-métabolique, empêche la production des base azoté nécessaire
à la duplication de l’ADN
- Inhibition de la synthèse de l’ADN, on agit sur les enzymes nécessaire à la duplication duplicase
et topoisomérase.
- Réaction enzymatique réaliser par des protéines, interférence avec les productions métaboliques
Il faut avoir accès à la bactérie pour accéder au site, interaction.
Des porcines au niveau du périplasme, seul voie d’entrer des moélcules anti bactérienne, l’effciacité
dépendante des porines. Unique voie d’entrer, un axe stratégique majeur de la lutte. SI on
administre un traitement, les bactéries capablent de s’adapter en modifiant l’isophorme des potine
au niveau de la membrane externe : une résistance acquise.
Capacité de passé au niveau des porines et hydropores, spécifique à certain antibio. La population
bactéire avec la transportation de certain isophorme de porine. Une résistance dite acquise.
Dés résistance inés : l’isophorme de porine présente est pas celle attendu. Lors d’analyse pas la
bonne isophorme attendu, pas de réponse au traitement, car molécule anti bactérienne pas capable
de rentrer dans la bactérie. Une porine modifier imperméable à la molécule antibiotique. Un
biomodification rendant la souche insensible au traitement standard.
La porine permet de faire rentrer la molécule au niveau de la membrane externe, elle se retrouve
dans le périplasme. La bactérie au court du traitement peu produit un activité ß lactamate, qui
détruit la molécule avant d’avoir atteint le site d’action.
Idem au niveau des gram positif, stratégie commune.
La porine spécifique au gram négatif.
Plus le traitement dure longtemps plus on génère une capacité aux bactéries de se défendre.
C) Multirésistance
Même avec un mono thérapie, la bactérie développe une résistance face aux molécules destiner à
modifier la membrane, défense face à un mode d’action pour toutes les molécules. La prise de
plusieurs antibiotiques, les bactéries apprennent à ce défendre face aux molécules
médicamenteuses.
Dans le monde de l’élevage de volait, un max d’animaux au mètre carrée. Une vaccination
systématique pour éviter des contaminations. Les antibiotiques à doubles fonction -
propagation des maladies, évite la prolifération
- Anabolisant : grossie vite
Apparition de souche résistance.
- Joué sur l’ergostérol pour joué sur la cohésion de la membrane plasmique pour interagir avec.
- Joué avec la formation des acide nucléiques, bloque le développement et la multiplication du
champignon en touchant à la réplication de l’ADN
- Joué avec la formation des glycanes
La plus développé est l’ergosétrol, spécifique au molécule fongique. Un cible différente de celle des
cellules animales, pas la même voie de synthèse.
Le cholestérol et l’ergostérol même moélcule avec des positions spatiales qui change. L’ergostérol
dans la membrane plasmique assure la cohésion. Il existe les molécules qui sont capables interagir
avec l’ergostérol : amphotericin B, elle encadre l’ergostérol. Grande molécule qui permet la
formation d’une molécule transmembranaire, canal impliqué dans les flux d’eau et ionique. Cela
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permet de modifié pression osmotique (paramètre vital clé pour toutes cellules vivantes) et
oncotique.
Au niveau des particules fongiques ont observe des mutation qui modifie la forme des molécules.
Le R11 modifié non fixation, diminution de l’affinité. Mutation invalidante pour le traitement mais
pas pour la production de l’ergostérol.
La caspofungine est l’une des molécules qui empêche la multiplication des glycanes car pas de
complexe qui peut se former.
Troisième stratégie :
Une interaction avec la voie métabolique, soit au niveau de la synthèse des acides nucléique,
protéique pour empêcher le développement dû champignons, altération de son fonctionnement.
Exemple : 5-fluorocytosine même stratégie, ressemble à la molécule anti-cancéreuse car même voie
et stratégie
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Parmaco2
IV Pharmacocinétique
La pharmacocinétique a pour but d’étudier le devenir du médicament dans l’organisme, Elle
décrit le devenir du médicament dans l’organisme par des représentations mathématiques
basées sur des modèles.
Absorption dépend :
A) Passage à travers les membranes
Etc h2o grand max et les gaz, sans charge car sinon hydrosoluble, glucose ne rentre pas trop
gros Seule molécule neutre peut être absorber sinon reste dans le compartiment
Plus VD grand plus molécule se fixera sur un tissu spécifiquement et s’accumulera et donc
attention à la surdose
Cinétique d’ordre 0 toujours même quantité qui est dégrader
Cinétique d’ordre 1 une fraction mettre logarithme pour faire une
droite 1% a disparu de l’organisme donc effet de sevrage
F. Notion de Biodisponibilité
Vitesse de transite
Metabo intest : degrad ds cytoplasm ;
Hépathiq : efficace ds degrad des cell exogen
Effet de premier passage
G. Métabolisation du médicament
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Pro drogue inactif a la base , besoin d’être métabolisé pour devenir active
Pharmacodynamique : -
absorption effet
-
cheminement de la substance, le principe actif du médicament selon les différentes voies
d’administration
I. Pharmacocinétique
Cinétique de la concentration d’une substance dans le plasma (taux de plasmatique) fonction de la
voie d’administration.
La bonne voie d’administration est nécessaire, veineuse, sous cutané…
La voie d’accès entre une administration différente, la veineuse est la plus rapide. L’injection d’un
substance entre un pic de concertation de la substance dans l’organisme.
La substance peut atteindre le cerveau, les possibilités d’accès au cerveau sont possibles mais très
contrôlé et difficile.
Il est protégé par la BHE, composé d’astrocyte accolé au vaisseau sanguin qui forme une barrière
quasi impénétrable avec des jonctions sérées. Protection du cerveau, des corps étrangers, un
substance adapté au BHE ou alors injection intracérébrale nécessaire pour atteindre le cerveau.
Dans les ventricules injections, mais la meilleure pénétration de la substance de façon précise est
l’intra-cérébrale, méthode qui nécessite de trépané l’individu.
La distribution de la substance, il faut faire attention que la substance soit libre, possibilité de ce lié
a de nombre acteurs.
- protéines plasmiques (albumine)
- muscles
- tissus adipeux (barbiturique accumulation dans les tissus graisseux)
Attention la concentration sanguine ne reflète pas la concertation en produit dans le corps.
En terme d’élimination on a des cinétique différente en fonction des substances, de type 0 lorsque la
substance est en trop grosse quantité, les enzymes de dégradations sont saturées
(l’alcool)
II. Pharmacodynamique
1) Définition
Étude du fonctionnement de la substance dans l’organisme. La plupart des substance utilisés en
laboratoire de recherche ou les médicaments agissent sur des cibles moléculaires, ou sont des
substitues à des molécules naturelles (exemple : insuline) C’est l’étude des cibles et de l’action sur
les cibles.
Les substances peuvent se fixer sur la cible et avoir différents types d’actions (interaction avec la
cible cellulaire).
- l’efficacité : mesure de la capacité d’une substance à produire son effet. une quantification de
l’effet par rapport à l’indice mesuré sur l’indice de référence.
- agonistes compétitifs : se lie au même site que la substance (l’agoniste) endogène.
Il y a deux sites sur le récepteurs GABA, il viennent captés GABA et donc GABA va se fixer et il va
y avoir un canal qui va s’ouvrir une fois fixé entraînant l’entrée du chlore modifiant la capacité du
récepteurs à s’ouvrir.
-> effet sédatif des benzodyazépine augmente la perméabilité du récepteurs GABA. L’alcool
augmente l’ouverture des récepteurs.
DE50 : dose efficace médiane (la dose qui produit 50% de la réponse max) est un indice de la
puissance de l’agoniste.
La dose minimal active, la DE50 et la réponse maximale (DE100) entrée du plateau, (100% de ma
réponse maximal);
- souvent exprimée en % de la réponse maximale pour comparer des individus différents selon les
effets
- permet de déterminer des doses clés dose efficace, DE50 et 100.
- pour une substance, comparer les courbes dose-réponse de ces différentes effets permet d’évaluer
le rapport bénéfice/risque pour cette substance : l’index thérapeutique (IT)
- courbe dose - réponse est établie pour une substance peut-être modifiée en présence d’un
antagoniste.
- courbe dose réponse avec un antagoniste compétitif, un décalage vers la droite signe un effet de
compétition.
- décalage vers la droite, mais plus 100% donc antagoniste non-compétitif : substance antagoniste
non compétitif, décale la DE50 et le 100%.
La réponse à une substance peut-être modifiée par son utilisation répétée : Une
réponse au médicament modifié.
1) la tolérance / habituation
- diminution de la réponse à la substance
2) Sensibilisation / potentiation
- augmentation de la réponse à la substance
Le type de réponse est en fonction de la substance, sa dose, sa fréquence d’utilisation, du contexte
d’utilisation, des mécanismes cérébraux mis en place. dépend du type de circuit neuronale.
Tous les effets d’une même substances ne sont pas affectés pareil au cours des répétitions d’usage
(BZD chronique : effet thérapeutiques diminuent et effets toxiques augmentent).
- tolérance aiguë : dès la première prise de substance (exemple : alcool) Pas toutes les substances.
résultat la distance parcouru en fonction des injections. Un plateau atteint, avec un maximum, une
réponse qui augment au fur et a mesure des répétions d’injection. 7 jours tranquille puis le 8 ème une
présentation de la dose pour atteindre le maximum de l’expression.
Changement dans le cerveau qui reste ne place, et capable de s’adapté : neuro adaptation. Comment
se traduit cette état neuro maximal ?
Récepteur nicotiniques :
composé de 17 sous unité différents avec plus de 10 combinaisons. Différentes molécules neuronales,
ganglions, mixte, SNC. Adaptation à l’environnement on dit que « ça bouge ». Au niveau musculaire
1 seul récepteur plaque motrice.
Schéma d’un neurone et d’un synapse. Les sites d’action principaux différents.
Synapse :
- excitatrice possède des neurotransmetteur : glutamate, noradréanline, acétylcholine du système
nerveux central.
- Mécanisme : ouverture des canaux perméables aux cations (Na+, CA2+) - un effet d’excitation
SYNAPSE EXCITATRICE :
A) les récepteurs au glutamate : NT le plus important du CNS
Glutamate dérivé d’acide aminé naturel, petit. On le retrouve dans le monosodium glutamate, le
glutamate est un neurotransmetteur.
Neurochimie peu complexe, on part de l’acide glutamique, intervention de l’enzyme glutamate
synthase pour obtenir la glutamine puis glutamate.
Le glutamate se promène et utiliser dans les astrocytes. Peu être recapré par les cellules gliales,
importante pour assurer un stocke suffisant de glutamine pour les neurone près synaptique.
PPSE rapide : typiquement entrée de charges positives (NA+, Ca2+, pas de K+) au travers d’un
canal ionotropique). Rapide à se développer et court.
PPSE lent : fermeture de canaux K+ via une protéine G et l’AMPc. Ces potentiels sont lents à se
développer et durent pls longtemps.
Site de régulation :
- co agoniste
- modulateur le zinc (circulant) la magnésium est voltage dépendant
La glycine est un co agoniste, glutamate en présence de glucide pour s’ouvrir le
taux de glutamate régule l’affinité du récepteur pour son ligant
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Familles de récepteurs, avec un grands nombre de combinaison que l’on peut avoir Glu I,
II et III -> connaitre pour imaginer effet.
Rôle R mGlu
MGlu1 et mGlu5 post synaptique régule
- régulation de la transmission son
- impliqué dans apprentissage moteur
- impliqué dans maladies neurodégénératives
Groupes II Glu 2 et 3 : pré synaptique
- inhibe la libération de glutamate (autorécépteur autocontrôle pour inhibé la
propose libération)
- ont des effets neuro protecteurs
Goupe 3 (4, 6, 7 et 8)
- inhibe la libération de glutamate ou de GABA
exemple de la mémantine et des ampakines
mélanine bloque récepteur R-NMDA
faible affinité blocage voltage
dépendent
En état physiologique un repos de la synapse, activation faible avec fuite de glutamate, la libération
de glutamate dans les circuits de l’apprentissage entraine une activation de la synapse.
En situation pathologie de Alzheimer, plus de fuite, changement d’affinité avec des pseudos
transmission plus augmenté le bruit de fond augmente plus que la normale.
Une fois le bruit de fond trop grand, perte de mémoire et difficulté d’apprentissage : une détection
post-synaptique imposible.
Contrecarrer le bruit de fond trop important, utilisation de la mémantine pour réduire le bruit de
fond.
La mélanine bloque le R-NMDA
la fuite de glutamate a donc moins de conséquences, le but de fond à diminué lors d
»u apprentissage, l’activation massive du réseau va faire sauter la mélanine ainsi le
signal d’apprentissage va maintenant sortir du bruit de fond plus faible.
L’utilisation d’un antagoniste avec une affinité importante mais pas trop est très utilisé avec du
calcium fait un bloc.
Pas de grande voie inter-structure, mais des taches interneurones, avec quelque grandes voies
gabanergique mais essentiellement interneurone
interneurone, un neurone entre deux neurone, donc l’axone ne quitte pas le soma. Fonction de ne
pas laisser s’emballer le système exitateur. Une information régulé qui arrête les transmissions
exemple typique la substance gabanergique.
Le site de fixation de BZD, entre gama et alpha elle se fixe entre les soluté avec des interactions
spécifique et sélective.
La sensibilité des répéteurs sont fonctions des sous unités, Elle diminue en fonction de la
composition des sous unité, absence de gama pas de sensibilité.
Les BDZ déplace la courbe dose réponse au GABA vers la gauche, favorise l’activité GABA.
- métabotropiques GABA-B et C
Gaba - B1 : longue chaine AA extra cellulaire fixation des lisants
GABA - B2 : interaction / protéine G
- activité modifiée par modulateur allostériques (partie intra cellulaire)
- modifie l’ouverture, l’affinité des lignas pour GABA-B1
L’organisation des récepteurs GABA-B
- pré synaptique (corps dendrites) :
- GABA-B1 et 2
- neuronesGABA (auto-R) non GABA (hétéro-R)
Post synaptique
- GABA B1b et B2
- neurones non GABA
Auto R et hétéro R :
bloque la libération de NT en fermant des canaux Ca2+ (Glut, …)
EN post synaptique hyperpolarisaiton le neurone en bloquant des canaux K+
BACLOFÈNE :
L’agoniste le plus connu : le Baclofène
- active GABA-B1
- effets myorelaxant, antidouleur, anticraving (lien avec les addictions, besoins d’y retourné,
comportementale), anxiolytique
- faible pénétration cérébrale -> forte dose
- mais durée d’action courte, tolérance, faible marge thérapeutique, nausée, vertiges et confusion
…
le baclofène polémique, car un médecin alcool dépendant c’est soigné avec ça. Intérêt communauté
scientifique pour une généralité, mais manque de moyen. Dose importante avec une balance
bénéfice sur risque trop important.
Il existe des modulateur allostérique du récepteur GABA-B sur les sous unité
GABA-B2 avec un changement de puissance et d’efficacité
localisation
- voie sympathique
- voie parasympathiques l’acétylcholine se trouve dans les ganglions qui active les
récepteurs nicotinique. Deux neurones à l’acétalcholine pour para, la sympathique libère
de la noradrénaline.
- Varanicline (champix@)
- agoniste partie des R-Nic alpha4beta2 - dépendance
Les grandes voies centre à l’acétylcholine
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AD et NA produites par les glandes surrénaliennes. Agissent comme des hormones peptidiques ->
R-sécifique transmembranaires
DA et Na produit dans le SNC et nerfs synaptiques post ganglionnaires agissant comme NT et
neuromodulateur NM.
Les monoamines :
- indolamines : sérotonine - 5HT = sérotoninergiques
- catécholamines : dopamine (DA), Norépinéphrine NE et Epinéphrine E = Adrénergique
Distribution cellulaire
Neuradréaline périphérique + centrale
Adrénaline est importante Médullosurrénale et centrale DA
est SNC et SNP
Connaitre ou ce trouve les cites de synthèse de la région cérébrale. Le noyau dans lequel l’ensemble
de cellule produise le NT.
DIFFUS :
- chaque système = petit nombre de neurones (quelque milliers)
- Noyaux localisés dans le tronc cérébral
- Chaque neurone est connecté : 1 axone en contact avec plus de 100 000 neurones postsynaptiques
- neurones a fonction de régulation module, renforce ou diminue ce qui existe déjà
- modulent l’activité des grandes populations de neurones (dans le cortex, le thalamus, la moelle
épinière
- affectés par de nombreux drogues psychotropes dont ils sont la cible. (l’alcool)
- rôle dans le contrôle de nombreuses fonction différentes, moteur, mémoire, humeur, motivation,
métabolisme cérébral
- agissent dans plusieurs sous-réseaux de neurones en disposent de R spécifique sur leur cibles -
selon le R activés ou inhibé, le NT déclenche des effets différents.
D) La synapse dipaminergique
MAO = monamines oxydase (A et B)
COMT = catéchol-o-métyl-transférase
DOPAC = Dopacétate
HVA = homovanillate
VIOES DOPAMINERGIQUES
Récepteurs a la dopamine DA
- RCPG 7TM -> couplé à une protéines G
Les récepteurs a la dopamine module l’adénylate cyclase
D3 selon la thèse : effet antagoniste sur la bâillement et effet antagoniste sur thermorégulatrice
- D1 : pré synaptique
- D2 : post synaptique et pré synaptique
Beaucoup de substances qui agissent sur les récepteurs, les protéines G.
Les antagonistes dopaminergiques, les neuroleptiques pour soigner les maladies mentales
(schizophrénie)
E) La synapse Sérotoninergique
le procureur est le tryptophane qui vient de la nourriture. Hydroxylase
puis décarboxylase
Des sous catégories, ce sont des récepteurs métabotropes sauf le 5-HT3 seul ionotrope fait rentré du
calcium.
Les autres sont essentiellement à l’origine de l’inactivation de la protéine kinase pas
déphosphorylation du canal calcique.
Sérotonine ( 5 hydroxytyptoamine)
- pas une CA - périphérique : 98 % dans le sang et les muscles lisses
- rôles : humeur, relaxation, sommeil, bien-être et calme - Faibles taux de
Voies adrénergiques
- du bulbes rachidien jusqu’au thalamus et hypothalamus (sensorielle, comportement et réaction
comportementale)
- rôle dans le SNC peu étudié
- rôle dans le SNP « fight or flirt » réponse au stress via le système nerveux sympathique.
Adrénaline-Noradrénaline
-Métabolisme : inactivation par la MAO et COMT
- Récepteurs :
- récepteurs adrénergique alpha
- Beta
- les récepteurs beta sont situées au niveau du sytème nerveux périphérique : Beta 1 se situe
essentiellement dans le coeur et les beta 2 sans le poumon
AD et NA = ligands des récepteurs alpha AD et beta AD. NA a une affinité inférieur pour tous
les types de répéteurs. Forte dose, NA possède un effet beta. Faible dose de …
Récepteurs adrénergiques :
- RCPG 7TM : lignais endogènes = catécholamine
- permettant la traduction cellulaire et tissulaire de l’activation du système nerveux synaptique
- cibles de médicaments traitant divers maladies (hypertension artérielle, insuffisance cardiaque
glaucome, migraine…)
3 types de transductions
Autre rôle :
- régulent le métabolisme des carbohydrates et des lipides (stimulent la dégradation des
triglycérides et du glycogène) production de sucre.
- augmentent la pression artérielle
Les effets sur le coeur a connaître.
Récepteurs Beta :
- l’activation des Beta1 au niveau cardiaque a pour conséquence :
- augmentation de la force de concertation du myocarde : effet inotrope + …
Conclusion :
- R GABA et glutamate
- antagoniste GABA et Glut le rest non
- voie de second messager D1 et D2
- adrénaline neuroadrénaline
- exemple le schizophrène, neuroleptique
- agoniste transmission cérébrale
Schéma synapse ou récepteurs