Université Chouaib Doukkali

Faculté des Sciences Juridiques, Économiques et Sociales

El Jadida

MICROÉCONOMIE
1ère Partie : Consommateur
(S1/SEG)

Pr. EL KANDILI

Année Universitaire 2020/2021

 Microéconomie S1
Chapitre Introductif

PLAN DU COURS

Chapitre Introductif

Premier Chapitre
Étude du Comportement du Consommateur

Deuxième Chapitre
Étude de la Demande du Consommateur

Chapitre Conclusif

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Chapitre Introductif

Chapitre Introductif

Plan du Chapitre Introductif

Section 1. Microéconomie : de quoi s’agit-il ?

Section 2. Principes de la Microéconomie

Section 3. Types d’analyses Microéconomiques

Section 4. Intérêt et Objectifs de la Microéconomie S1

Section 5. Plan du Cours

Section 6. Outils et Méthode de Travail

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 Microéconomie S1
Chapitre Introductif

Section 1. Microéconomie : de quoi s’agit-il ?

1.1 Définition
La microéconomie est une discipline de la science économique. Cette discipline est rattachée
au courant néoclassique. Elle s’intéresse aux comportements des individus, comportements
desquels, en procédant par déduction, elle construit des équilibres du marché et l’équilibre au
niveau de l’économie dans son ensemble.

Définition : la microéconomie

« Étude du comportement des agents économiques dans un cadre d’échanges

marchand d’un produit économique»

Étude du Comportement : Il s’agit d’effectuer des recherches et des analyses sur les
interactions entre agents économiques dans une relation d’échange marchand et surtout les
actions et leurs modalités des choix de consommation sur un bien ou un service.

Agents économiques : sont l’ensemble des acteurs intervenants dans le circuit économique et
jouant un rôle important sur l’équilibre économique d’un pays. Un agent économique peut
être un individu (ex : Un consommateur/producteur) comme il peut être un groupe d’individus
(ex : les consommateurs/producteurs) ou une entité ou organisme morale (ex : une entreprise,
administration). L’analyse économique définit les agents par leurs fonctions économiques et
par un ensemble de caractéristiques.

Types d’agents économiques

1. Ménages Il s’agit des ménages consommateurs dont la fonction
essentielle concerne la consommation (Famille, Etudiant
(e), Enfant, Retraité, …) . Ils peuvent toutefois être
détenteurs et donc fournisseurs de biens et de services
producteurs (ménages producteurs : Détaillants,
Dentiste, Boulangère, …)
2. Entreprises Il s’agit des organisations à but lucratif (profit) dont la
fonction principale est la production et la transformation.
Ils peuvent être classés en deux catégories : entreprises
non financières (entreprise agricole, entreprise de
production de véhicule, entreprise d’exploitation
minière,…) et entreprise financière (banque, assurance,
société d’investissement,…)
3. Administration publique Il s’agit des organisations de l’Etat. L’administration
publique dont la fonction principale est la répartition des
ressources peut également produire et consommer certains
biens ou services. Il existe l’administration centrale,
régionale, communale, urbaine et rurale.
4. Institution sans but Il s’agit des organisations non lucratives (qui ne
lucratif recherchent pas du profit) comme les associations, les
clubs, les fondations,…

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Chapitre Introductif

Il existe un autre agent mais pas proprement dit, il s’agit des agents économiques non résident
appelés Reste du Monde (RDM).

Échanges marchand : il s’agit d’une action réalisée par deux agents économiques en vue de
l’utilisation d’un produit en contrepartie monétaire. Ce cadre de relation s’effectue dans un
Marché. Le marché est un cadre institutionnel des échanges. Par marché, nous désignons un
lieu (physique ou virtuel) d’échange et de rencontre entre les offreurs et les demandeurs et où
se détermine un prix. Nous considérons que suite à ce prix déterminé sur le marché, les agents
participants à l’échange tirent un avantage réciproque. C’est cet avantage mutuel qui fonde
l’efficacité de l’échange marchand, par opposition à d’autres types de relations comme le don
de charité ou les bourses des étudiants par exemple.

Produit économique : est soit un bien ou un service qui a pour but de satisfaire un besoin.
Ces biens et services sont procurés et échangés dans un marché. Ils sont également utilisés
pour produire d’autres biens. Il peut s’agir des produits d’équipements, des produits
intermédiaires ou des produits de consommation. Un produit économique est un bien utile et
rare.

Figure. Microéconomie et Échange Marchand

1.2 Gestion de la Rareté des Ressources

En économie, la rareté, qu’il ne faut pas confondre avec la pénurie (manque absolu de
produits de consommation), a pour fondement la difficulté de production pour satisfaire des
besoins humains illimités.

« L’économie a pour objet de rechercher comment satisfaire aux mieux les besoins
pratiquement illimitées qui sont les leurs, et de définir les institutions dans le cadre desquelles
cet objectif peut être atteint » (Maurice ALLAIS, 1988).

L’analyse microéconomique étudie donc ces problèmes au niveau individuel des agents
économiques. Elle analyse le comportement individualisé des consommateurs et des
producteurs ainsi que leur comportement sur les marchés. Dans la théorie néoclassique, la
rareté est une donnée ou une contrainte impliquant la nécessité de choix efficaces. Aussi, la
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Chapitre Introductif

science économique devient-elle une branche du savoir qui a pour objet la gestion de la rareté.
La microéconomie prend en considération trois éléments fondamentaux : les ressources rares,
les agents économiques et les marchés.

1.3 Microéconomie, Mésoéconomie et Macroéconomie

L’économie comprend trois disciplines important : la Microéconomie, la Macroéconomie et la

Mésoéconomie. Ils sont représentés comme les niveaux de l’analyse économique. Le cadre ou
le champ d’étude de tous phénomènes ou situations économiques. Il faut donner une
distinction sur les deux autres niveaux pour comprendre le niveau de la microéconomie.

Niveau de l’analyse économique

Niveau 1 : Macroéconomie
Niveau 2 : Mésoéconomie
Niveau 3 : Microéconomie
Il s’agit d’étudier le comportement de la nation ou d’un
pays. Le cadre d’étude est l’ensemble des grandeurs
agrégées et des activités faisons le fonctionnement de
l’économie d’un pays : Investissement, Exportation,
Importation, Consommation, PIB, RNBD, …
Il s’agit d’étudier le comportement des branches
d’activités, Secteurs d’activités et Marchés. La
Mésoéconomie prend une partie du cadre
Macroéconomique et une partie Microéconomique.
Il s’agit d’étudier le comportement des agents
économiques généralement, consommateur et producteur.

Branche d’activité : regroupe des unités de production (entreprises) homogène qui fabriquent
un produit destiné à plusieurs secteurs d’activités.

Classification par branche : Branche agricole, Branche industrielle, Branche commerciale

Secteur d’activité : regroupe des entreprises de fabrication, de commerce ou de service qui

ont le même activité principale. L’activité d’un secteur n’est donc pas tout à fait homogène et
comprend des productions ou services secondaires. Un secteur d’activité peut posséder
plusieurs segment d’activité et donc de multiples branches d’activités.

Classification par secteur : Secteur primaire, Secteur secondaire, Secteur tertiaire

Figure. Marché de l’Automobile (Secteur et branche)

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Section 2. Principes de la Microéconomie

2.1 Premier principe : La rationalité économique

Il s’agit en premier lieu du principe de rationalité qui postule que les agents économiques ont
des préférences et des objectifs, qu’ils visent à réaliser tout en respectant les contraintes qui
limitent leurs choix. Ainsi, le principe de rationalité suppose donc que chaque agent
économique ait des objectifs biens déterminés de maximisation du profit et de minimisation
du cout que la démarche microéconomique prend comme point de départ. La microéconomie
ne s’interroge pas sur ce qui a déterminé ces objectifs, mais elle analyse comment les
individus ou les organisations agissent pour les atteindre le mieux possible.

Homo-œconomicus : est une représentation théorique du comportement de l’être humain,

qui est à la base du modèle néoclassique en économie : il est rationnel et cherche à atteindre
des objectifs de la meilleure façon possible en fonction des contraintes qu’il possède.

De manière générale, un comportement est rationnel lorsqu’il existe une compatibilité entre
moyens utilisés et objectifs recherchés. La rationalité économique est un état d’esprit
permettant d’évaluer une situation économique par un raisonnement logique en vue de
prendre une décision. La théorie néoclassique considère la rationalité des agents économiques
comme un axiome (un principe de base) de la microéconomie.

2.3 Deuxième Principe : Échange Marchand ou Économique

Le second principe il s’agit de l’échange marchand. En effet, la théorie microéconomique
s’intéresse à la manière dont les agents économiques réalisent leurs objectifs à travers
l’échange marchand. L'entreprise est la seule entité qui n'existe que pour la pratique
d'échanges marchands. Ainsi, qualifions de marchand tout échange dont l'un des termes est un
service rendu ou une propriété autre qu'une quantité de monnaie et l'autre terme, en
contrepartie, une quantité de monnaie ou une autre propriété ou un service rendu. L’échange
marchand est généralement représentatif d’échange social. L’échange marchand réalise
l’apparition de l’offre et de la demande dans un marché par la fixation d’un prix sur les biens
et services.

Il s’en suit que la notion de marché est la clef de voute de l’analyse microéconomique. La
microéconomie fait du marché de concurrence pur et parfaite le cadre de référence de
l’échange marchand.

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Chapitre Introductif

Section 3. Types d’analyses Microéconomiques

La microéconomie comprend deux branches, par ailleurs complémentaires : une analyse
microéconomique selon une approche positive ou selon une approche normative.

3.1 Premier Type : Analyse Microéconomique Positive

La microéconomie selon une analyse positive (aspect factuel), permet de faire une étude du
comportement rationnel des agents économiques, c’est-à-dire, analyser comment les décisions
des agents économiques en matière d’affectation des ressources rares sont prises. La
microéconomie positive rassemble les explications objectives ou scientifiques du
fonctionnement du comportement des agents économiques. C’est étudier les conséquences
économiques d’une décision d’un agent économique sur un produit économique.

3.2 Deuxième Type : Analyse Microéconomique Normative

La microéconomie selon une analyse normative (aspect moral), permet de faire une étude sur
les critères de la meilleure affectation des ressources et analyse donc comment les décisions
économiques devraient être prises. La microéconomie normative fournit des prescriptions ou
recommandations fondées sur des jugements et perceptions de valeur. Ce sont les valeurs
qu’un agent économique associe à sa décision pour produire ou consommer un produit
économique.

Science Positive et Science Normative

« En tant que science positive, c’est-à-dire, explicative, l’économie doit donc analyser les
comportements d’agents jouissant d’une certaine liberté, mais soumis à des contraintes
que la nature et les institutions leur imposent. Elle doit étudier les conséquences qu’ont
ces comportements individuels sur l’état qui se réalisera dans la collectivité ». (Edmond
MALINVAUD, 1977)

En tant que science normative, c’est-à-dire, interprétative, l’économie doit s’interroger

sur la meilleure manière d’organiser la production, la distribution et la consommation.
Elle doit nous fournir les moyens conceptuels permettant un jugement sur les avantages
comparés des diverses formes d’organisation ». (Edmond MALINVAUD, 1977)

Leçon de théorie microéconomique, Paris, Dunod, 1977 p2.

3.3 Microéconomie comme Théorie de la Décision

Pour étudier le comportement d’un agent économique sur la consommation par exemple, nous
devons s’efforcer de comprendre pourquoi un individu est d’accord pour acheter un produit à
un prix donné. Pour ce faire, il faut réunir des informations portant sur les goûts de l’individu
concernant ce produit et les autres (préférences), ses ressources (revenu disponible), le prix du
produit et aussi celui des autres produits. Il faut comparer la satisfaction qu’il retirera de sa
consommation à celle à laquelle il renonce et ce, en utilisant son revenu. Chaque décision a en
effet un coût d’opportunité (la perte des biens auxquels on renonce lorsqu'on procède à un
choix) qui n’est rien d’autre que le constat suivant : choisir c’est exclure. Il s’agit d’étudier la
décision optimale sur la consommation d’un bien ou d’un service.

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Chapitre Introductif

Cout d’opportunité : le coût d’opportunité est la renonciation de gain d’une situation

économique lorsque l’individu procède à prendre un choix par rapport à d’autres situations
économiques alternatives.

La microéconomie fait partie des théories de la décision.

Théorie de la décision : est une théorie de mathématiques appliquées ayant pour objet la
prise de décision par une entité unique morale ou physique.

Ainsi, à chaque agent économique correspond un centre de décision autonome.

3.4 Modélisation et Utilisation Mathématique en Microéconomie

La microéconomie s’appuie sur une démarche déductive ou axiomatique et recourt à
l’abstraction. Cette abstraction est derrière la construction de modèles et se base sur une
présentation simplifiée de la réalité. Aussi est-il important d’identifier et de comprendre les
hypothèses (ou les principes de base) qui sont à la base de chaque théorie microéconomique et
du modèle qui en découle. La construction de modèle en microéconomie est importante et
nécessaire pour étudier le comportement d’agents économiques.

Un modèle : il s’agit d’une représentation structurelle qui fera l’objet d’imitation ou de

ressemblance d’utilisation universelle et standard d’action dans la réalité. Il s’agit de
représenter une réalité sous forme d’application structurelle basée sur la définition de
concept.

L’étude de la microéconomie est basée sur une construction de modèle d’équilibre

économique des agents économiques selon une approche déductive.

Démarche déductive et Démarche Inductive

Démarche déductive en économie : est une méthode d’étude et d’analyse de phénomène

ou situation économique qui commence du général au particulier, du principe à la
conséquence. On part de l’énoncé, de concept, de théorie et de connaissance pour aller à la
vérification par des exemples empiriques.

Démarche inductive en économie : est une méthode d’étude et d’analyse de phénomène

ou situation économique qui commence par des observations et d’exemples empiriques
pour conclure par des perspectives générales. C’est faire le passage du particulier au plus
général.

La microéconomie analyse des modèles d’équilibre. Il existe trois types d’équilibre, par
ailleurs méthodologiquement articulés, constituent les phases de l’analyse microéconomique :

1) L’équilibre élémentaire : il s’intéresse à un agent consommateur ou producteur.

L’agent est en situation d’équilibre (situation optimale) lorsqu’il réalise le maximum
de satisfaction en utilisant les moyens dont il dispose.

2) L’équilibre partiel : est associé à la situation sur un marché isolé. Un marché est un
équilibre lorsque l’offre et la demande s’y égalisent.

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3) L’équilibre économique général : il concerne l’ensemble de l’économie. L’équilibre

économique général se réalise lorsqu’un système de prix unique et stable égalise
l’offre et la demande sur chaque marché.

Exemple Applicatif de modélisation économique :

Dans cet exemple nous montrons comment une situation de comportement d’un agent
économique consommateur peut être transposée en une application ou fonction mathématique
pour étudier la résolution de problème décisionnel.

Situation de comportement Consommateur

Un banquier à décider de dépenser 4 900 DH pour sa consommation habituelle et

d’épargner 2100 DH par mois. Il obtient une rémunération salariale de 7000
DH/mois. (Dans le cas où il n’a pas de salaire, sa consommation est de 500 DH).

Fonction Mathématique

La consommation finale (C) dépend du revenu (R) soit C = f(R). Plus revenu
augmente plus la consommation augmente donc la dérivée de R augmente avec
f’(R) > 0

La fonction de consommation est :

C = cR + C0

Avec C (Consommation finale), c (Propension Marginale à Consommer), R

(Revenu) et C0 (Consommation incompressible, la consommation lorsque le revenu
est nulle R =0)

Il s’agit d’une fonction affine : y = f(x)

y = ax + b

C’est une fonction continue d’un ensemble réel de valeur.

Application : 5400 = 0,7 (7000) + 500 avec c = C/R soit 4900/7000 = 0,7

L’utilisation des outils mathématiques est importante en Microéconomie.

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De la modélisation économique à une modélisation mathématique :

En microéconomie, la construction de modèle est importante. Il s’agit de construire une

représentation simplifiée de la réalité économique ou d’une partie de celle-ci. Comme dans les
disciplines scientifiques (Mathématique, Physique, Biologie, Chimie,…), les modèles
économiques utilisent le formalisme mathématique qui permet de représenter le modèle sous
forme d’équations ou de diagramme. Ces modèles simplistes admettent des solutions
compréhensibles et partielles aux études des phénomènes économiques et permettent des
simulations informatiques ou des calculs analytiques qui peuvent être comparées aux données
mesurées.

Section 4. Intérêt et Objectifs de la Microéconomie S1

Le cours de microéconomie est important pour les étudiants de première année du premier
semestre (S1) Spécialité Economie et Gestion (SEG). Ce module « Microéconomie » va se
concentrer uniquement sur la partie du Consommateur. La deuxième partie en microéconomie
concernant le producteur fera l’objet du deuxième semestre (S2).

Nous avons quatre principaux objectifs à atteindre courant ce premier semestre :

Objectif n°1
Étudier et comprendre le comportement du consommateur

Objectif n°2
Savoir analyser le choix et la décision optimale du consommateur

Objectif n°3
Mesurer et calculer le comportement du consommateur

Objectif n°4
Savoir analyser et interpréter les phénomènes de comportement du
consommateur et de sa demande.

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Chapitre Introductif

Section 5. Plan du Cours

Le plan du cours permet de savoir la démarche à suivre pour appréhender le sujet de ce que
nous voulons étudier. Le plan du cours « Microéconomie S1» comprend uniquement deux
fondamentaux. Un chapitre introductif est nécessaire et il est présenté à l’avance pour
l’initiation au sujet et pour ensuite mieux débuter le sujet dans sa profondeur.

PLAN DU COURS
MICROECONOMIE S1

Chapitre Introductif

Premier Chapitre
Étude du comportement du consommateur

Deuxième Chapitre
Étude de la demande du consommateur

Chapitre Conclusif

Section 6. Outils et Méthodes de Travail

Le cours dispose de travaux à effectuer et d’outils à utiliser pour atteindre les objectifs
prescrits précédemment.

Outils et Travaux de la matière

1. Support de cours
2. Travaux dirigés d’exercices
3. Travaux d’interprétation et d’analyse
4. Support de Rédaction obligatoire (Registre, Cahier, etc)
5. Calculatrice
6. Plateforme numérique
7. Outils de représentation graphique
(Crayon à papier, Règle, Gomme, etc)

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Chapitre Introductif

Références Bibliographiques
Il faut comprendre que la liste des références n’est pas exhaustive. L’étudiant n’est pas
demandé à lire et à étudier spécifiquement et uniquement ces ouvrages. Il est amené à
l’étudiant de faire des recherches sur d’autres ouvrages pour enrichir ses connaissances et
améliorer sa réflexion. Toutes ouvrages ou références relevant de la Microéconomie S1 sont
recommandés.

Références bibliographiques

GAYANT J.P. « Microéconomie », 2e éd. DUNOD, 2019

KRUGMAN, P. et WELLS , R. « Microéconomie » 2e éd., DE BOEK

2013.

THEODORE C. BERGSTROM, HAL R. VARIAN. « Exercices de

Microéconomie-Volume 1 », DE BOEK, 2007

HAL R. VARIAN. « Introduction à la Microéconomie » 6e éd. DE BOEK,

2006

SAMUELSON, P.A. et NORDHAUS,W.D « Microéconomie» édition

d’Organisation 1995;

EL KETTANI, O. « Analyse économique », Badr 1992;

LIPSEY, PURVIS et STEINER, « Microéconomique » Gaëtan Morin 1992;

FERICELLI, A.M, Principes de Microéconomie, PUF 1991

GAUTHIER, G. et LEROUX, F « Microéconomie, théorie et application,»

Gaëtan Morin 1988;

LECAILLON, J. « Annale microéconomique », Cujas 1977;

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