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Droit civil

droit matière politique


avoir un code civil
droit n’est pas une vérité absolue
le droit nécessite un apprentissage pour le langage, pensée et la logique
apprentissage de la totalité du code civil à la fin du semestre
2 parties, 2 sous parties pour les examens pour l’écriture de la dissert
galop d’essai (sur 3 h fin octobre)
06/09/2021

Droit objectif : ensemble des règles de conduites qui gouvernent les rapports des h dans la société et
dont le respect est assurée dans l’autorité publique : norme qui structure la société a un moment donné,
qui évolue avec les mœurs, habitudes et donc le temps.

Droit subjectif : pouvoir accordée a une personne d’usé une chose ou d’exiger d’un autre individu
l’exécution d’une prestation : droit particulier attribuée a une personne. Raisonnement personnelle

PARTIE I : Droit objectif

Titre 1 : Définition du droit objectif : définition large et unique, regroupant plusieurs réalités
différentes

Chapitre 1 Le droit O comme norme : rôle et fonction du droit/ inspiration du droit / def de règle
de droit / fondement des règles de droits

Le rôle du DO entend comme norme juridique.


Le DO est un idéal, un objectif a atteindre mais qui est impossible a atteindre (def trad idéal), le droit
est idéal, c’est un moyen de s’adapter constamment et qui permet de s’améliorer pour atteindre
l’objectif.
Le droit a comme objectif le vivre ensemble, c’est aussi une norme régulant les individus. Le droit
n’existe que si il ya des relations sociales et donc des personnes. Toutes règles de droit gouverne les
rapports entre personne.
Le vivre ensemble passe par la paix, et l’ordre social.
Le droit organise la société sur le plan politique, et ensuite sur le plan économique et social. Permet de
dire ce que l’on doit faire et ne pas faire.
Le droit : norme comportemental, c’est-à-dire la règle qui édicte la façon de se comporter
Le droit vient du latin directum qui signifie la ligne droite.
Un groupement est large + l’organisation prend de l’ampleur, les premières sociétés ont vu le droit
naître, ce qui a inspirer nos société d’ajd (société grecque et romaine)

Pour mettre en place le droit, un Régime politique est nécessaire : ce qui nécessite une puissance
publique, et des modalités de fonctionnements de la société . Tous les droits ne sont pas identiques
(monarchie, démocratie) selon les sociétés.
C’est Le droit constitutionnel qui à la charge de fixer les règles d’exercice du pouvoir et définit les
règles de fonctionnement de la puissance publique ce qui permet de sanctionner, maintenir l’ordre et la
paix social (inatteignables selon Rousseau, sans cadre et sans régime politique). L’h sans cadre, sans
régime ne peut pas se comporter correctement, d
Malaurie (juriste français) explique que si le droit n’existe pas, la civilisation va se battre, car pas de
règles.

On peut rajouter que Le droit est une organisation politique, économique et sociale (3 termes liées) de
la société.
De plus, Les droits ne sont jamais neutre, idéologies, éco, et sociales.
Le droit cherche un Objectif d’égalité, cela passe par des Règles qui transitent par le droit, et c’est donc
un vecteur pour réaliser les objectif. Le droit permet donc d’atteindre ces objectifs.
Aujourd’hui, Le droit est au centre ce qui permet le fonctionnement de tout. Les finalités éco et soc des
successions, en France par ex, la succession est encadrée, le droit de testament efficace que dans les
limites de la loi. Ou alors La succession des parents se faisait par l’homme et non la femme, durant très
longtemps.
Il y avait une Influence éco sur la façon dont les choses se passait en France. La logique d’avant était
que l’h travaille et dirige l’E et donc l’héritage lui revient donc .
Valeurs sociales : système juridique de l’apartheid (règle de droit) par ex.

Des Valeurs eco et sociales sont véhiculer par le droit.

Le droit créer des normes qui se rapprochent des règles que l’on a tous les jours, a l’école ou avec les
amis.

Comparé la règle de droit avec d’autre règle de conduite. Observe les habitudes, coutumes, pour savoir
quelles sont les règles a officialiser. Le droit et la religion sont liés.

Le droit et la religion : Le droit français a une influence chrétienne, car culturellement la France était
chrétienne, jusque 1975, le divorce était interdit par ex. Elle régit aussi la communauté, liés par la
recherche de vivre ensemble.
Les RDD et règle religieuse sont liés, et prescrit les mème interdictions (vols, meurtres). Ils vont se
confondre et donc appliquer les droits par rapport a la religion.
Des systèmes de droit religieux existent : droit islamique avec la règle religieuse qui est officialisée par
l’état. L’état et la religion alimentent les règles juridiques (dépend des époques).
La laïcisation s’est faite de nos jours. En France, en 2007, on a par ex+ favorisé le divorce sans recours
au juge.
La religion est symbolique, même si la règle religieuse a perdu son influence. L’article 1 de la
constitution rappelle les principes de laïcité. Cela signifie que la religion sort du droit, et que chacun est
libre de suivre ce qu’il veut, ce n’est pas l’affaire de l’état. L’état français est par contre obligé
d’accepter toutes les religions.

La France se détache de la religion mais ne se détache pas de toute forme de moral. La laïcité implique
une relation entre la règle dd et la règle morale. (2nde influence de la règle juridique)

Le droit et la moral :Le droit est fortement influence par la moral, les français jugent et ensuite un droit
est appliqué. Par ex le recyclage a vu intervenir le droit car les consciences, et les morale sont
intervenus. On peut donc dire que la règle dd préexiste avant son officialisation, on peut alors faire la
Distinction entre règle de droit officiels, et règle de droit existant dans la conscience politique de
chacun

La morale influence le droit, la morale n’a pas sa place mais a une grosse influence, son contenu varie
d’un individu a un autre, pas le même pour tout le monde. La règle de droit est censée être impersonnel.
Il arrive que le droit s’éloigne de la moral (mariage homo par ex), la France n’était pas en majorité
d’accord, pourtant adoptée, il y a donc un décalage entre le droit et la moral. Dans certains cas le droit
s’éloigne de la moral pour la faire avancer, et parfois le droit s’éloigne de la moral et ignore : CC :
2021 : compagne publictaire non illicite (promotion de l'adultère)

Le droit n’est pas contraire a la morale, le peuple se révolte dans ce cas, jamais vraiment neutre.

Les sources d’inspiration du droit, religion morale, mais aussi la recherche de certaines valeurs,

Valeurs idéals : la justice et l’équité

Le droit et la justice : la justice est différente du droit, droit théorique et idéal, vertu, + que une norme
et règle, la justice n’intervient pas tjrs dans la mise en œuvre d’un droit. Par ex le code de la route
impose de s’arrêter au feu rouge, pas de justice dans toutes les règles de droits, code forestier, code de
pêche, urbanisme etc.

La justice et le droit sont liés, mais pas que la justice

Le droit et la justice ne sont pas la mème notion, car contradiction avec ce qui paraît juste. Ajd
esclavage n’a pas sa place. Il arrive que le droit impose des règles injustes.

L’idéal de justice imprègne la règle de droit, intervient dans les situations dans l’intérêt des individus,
pour repartir des biens, par ex, l’idéal de justice va mettre en place une solution juridique, alors qu’a
l’état nature, la loi du plus fort aurait du triompher selon rousseau ?

Comment savoir ce qui est juste ou pas. La justice est liée aux sentiments ;

Antiquité Aristote, selon A, il existe 2 formes de justice : justice commutative (échange) , consiste a
maintenir l’équilibre ou rétablir l’équilibre qui serait brisé. Elle intervient dans les contrats par ex.
Justice distributive (partage), forme de justice qui ne vise pas a établir une égalité comptable, repartit
les biens entre individus, pas une égalité parfaite mais géométrique, par ex lors de la succession,
comment repartir les biens ? On attribut une partie de la succession au conjoint et aux enfants (justice
distributive, plus juste), donner une part par rapport a la situation

Elles interviennent encore aujourd’hui :

Droit et équité : l’équité, dans la mise en œuvre du droit : 2 conceptions ; l’équité renvoie a la
recherche de l’équilibre entre les droits individuels, proportionnalité entre les différentes personnes, se
rapprochent bcp de la justice. 2eme sens : justice supérieure a ce qui résulte a l’application rigide du
droit, compas moral de la règle de droit, expliquant qu’il faut écarter la règle de droit, dans ce sens
l’équité est un outil correcteur de la règle de droit. Mettre a l’écart une règle de droit est contraire au
système juridique. En théorie le juge devrait appliqué la règle, mais en pratique, la règle de droit n’est
pas directement appliqué et donc une équité est appliqué, contredis les principe fond.

Les rapports entre droits et équités sont ambigus, il ya un paradoxe, l’équité ne devrait pas avoir sa
place au droit, car il le contourne, l’équité est nécessaire pour préserver l’ordre sociale, et atteindre
l’objectif du droit a l’origine. La norme juridique est une règle différente des autres règles que l’on
connaît, la def de la règle de droit répond a plusieurs critères.
1: fin enregistrement
Def de la règle de droit ; 2choses : 1 caractère de la règle de droit / 2 spécificité de la règle de droit
Caractère : élément essentiel qui constitue la rdd, communs avec d’autres règles de conduites
Specifcités : qql éléments qui individualisent la règle de droit, ce qui fait que la rdd n’est pas comme la
règle religieuse par ex.

La règle de droit est obligatoire, général, impersonnel et abstraite.


Obligatoire : car elle caractérise toutes les règles, a un sens si elle est obligatoire, la règle interdit un
comportement par ex, même chose quand elle impose un comportement (payer les import).
La règle permissive est elle obligatoire ?
Lorsque la loi dit que un prioritaire peut disposer d’un biens et en faire ce qu’il en veut. Non,
obligatoire pour les autres, faire ce qu’on veut sans que les autres gênent, protège le droit du
propriétaire, obligatoire dans ce sens .
Général et impersonnel : ça elle désigne tout le monde, s’applique a toutes les personnes sans
distinction, la rdd vise une situation donnée, par ex l’article 311 du code pénal condamne toutes formes
de vols, sans distinction de la professions du sexe, et de l’age. Lorsque un voleur vole et blesse, une
circonstance s’ajoute, et donc la règle de même. /
Le caractère général et impersonnel signifie que il est important pour la rdd de fixer une condition que
a une catégorie d’individus, règle qui s’appliquent que aux personnes mariés, aux fonctionnaires. La
façon dont est mise en place la rdd diverges selon ses critères, et permette d’alimenter la rdd. L’article
6 de la DDHC explique que la loi est la même pour tous soit qu’elle protège sois qu’elle punisse.

La rdd est abstraite : vise des situations imaginés, et non des situations pré déterminés. Par ex:Le juge
tranche le conflit, et la décision qu’il tranche est officielle, s’adressant que aux 2 partis s’opposant aux
conflits, s’adapte a des faits concrets. La décision de justice n’est pas une règle de droit. Le juge la rend
concrète et déterminée

D’autres règles ont la mème généralité qui ont le même caractère impersonnel ou abstrait, règle de
politesse et de convenance, dire bjr etc.
Une règle qui s’adresse que a une catégorie d’individus seulement. (règle de convenance, laissez sa
place aux personnes âgées).

La spécificité de la rdd réside dans la sanction, pascal dit que la justice sans la force est impuissante, la
force sans la justice est tyrannique.

La règle morale, religieuse, et de droit interdit tout trois le vol, mais la force de la règle va se mesurer
a la sévérité de la sanction. Toute règles s’accompagne d’une sanction, c’est le cas de la règle moral,
religieuse. La morale s’accompagne de la remord, la sanction de la violation de la règle de moral
s’accompagne de honte lorsqu’on viole une règle morale. Qu’est ce qu’une sanction étatique ?
Comment dissocier la sanction privée de la sanction étatique ?

Sanction étatique : imposé par l’autorité public, officialisation de la sanction sanction étatique, la règle
de droit est une rdd car elle est dictée par l’autorité public, on pourrait alors considérer que toutes les
règles dictes par l’état sont des rdd. Il existe des rdd qui ne viennent pas de ses organes et qui sont
efficace, par ex la coutume, le contrat (article 11 103).

Parce que la peine privé n’est pas admise, nul ne peut se faire justice a sois même. On considère alors
que la rdd est la règle par laquelle la sanction est mise en œuvre par le juge. On peut alors faire appel
au juge pour appliquer la sanction, on demande de l’aide au juge et donc on considère cela comme
une rdd. L’amande civile se distingue de l’amande pénale par ex. Toutes règles de d peut être soumis a
un procès.

La sanction civique se distingue de la sanction pénale, pénale punis et civique répare.


Signifie que 1 victime d’une infraction, porté atteinte a une personne et a l’ordre sociale, ici on va
réparer les dommages causés a la personne mais aussi, applique une sanction visant tous. Alors que une
sanction civile concerne une personne, responsable de l’accident (de voiture par ex) répare les
dommages qu’il l’a subi. On distingue alors 2 objectif différents dans ces cals la.

La spécificité de la rdd est la sanction étatique, celle qui permet d’obtenir le concours du juge

Sanction étatique a des limites, n’a pas de vocation a toujours s’appliquer, lorsque elle ne s’applique
pas, on dit qu’elle a un caractère comminatoire dissuasive. Lorsqu’on créer une règle de droit, la
sanction sera tellement lourde que la règle sera respectée. (peine de mort, rétablir pour les crimes les
plus graves). La Sanction étatique est + dissuasive que réel. Limite de la sanction h : pas de sanction
véritablement dissuasive car il faut se tenir a ce que l’on a promis.

La rdd peut s’imposer de plusieurs manières. On distingue la loi impérative : loi qui s’impose a tous, ne
peut pas y déroger, a la loi supplétive, celle qui laisse une option, la loi prévoit ça sauf si vous prévoyez
le contraire, par ex le contrat du mariage : mettre en commun les biens, article 14 101, si pas appliqué,
peuvent (mariés) décider de déroger, en concluant leur propre contrat de mariage.

La loi peut imposer un cadre ou en offrir plusieurs dans certaines situations


La différence entre règle de fond (doit être rendu) et règle de forme (contrat de prêt de 2 manière, soit
par la rédaction d’un décret, un contrat de prêt, sois par la remise de la chose),
ou encore les lois suspensifs ( ?? pas sur) et interprétatifs

Plusieurs règle dfif avec des sanctions diff : lorsqu’il il y a une règle de forme qui a été violer, on peut
corriger la faute de la règle de forme : lorsque qu’on loue un appartement, et que vous demander aux
proches de garantir le loyer, la loi impose que la caution signe le contrat de bail et impose une mention
manuscrite imposé par la loi (écrite à la main, conscience de la gravité de l’acte). Si la caution oublie
de rédiger la mention manuscrite, si jamais la mention manuscrite est rédiger plus tard ce n’est pas
grave. Règle de forme et de fond ont des sanction diff.

Classifier les règle est important car cela permet hiérarchiser les règles de droit en fc de l’efficacité que
l’on veut donner.

Les fondements de la règle dd : def du droit, bcp d’études, et de travail.


2 courants s’opposent face au droit : philosophie idéaliste, et philo positiviste.
Idéaliste : ce courant de pensée correspond aux doctrines de droit naturel, penseur de droit naturel, idée
qu’il existe un idéal de justice s’imposant a l’état, relation entre droit et moral. Les idéaliste pensent la
règle morale préexiste au droit et le droit officialise la règle morale. Pensent que les h n’ont pas besoin
du droit positive (officielle et écrit), car chacun a en lui ou en elle le combat moral pour savoir
comment se conduire. Donc la raison naturel qui gouverne les hommes suffit pour imposer au droit de
s’y plier, en gros la règle morale s’impose au droit, le droit ne peut pas faire sans la règle moral, la rdd
ne peut pas être contraire a la règle morale, contredis les idées que l’on avait écrit, car les idéalistes ne
peuvent pas vraiment convaincre si on observe les rdd ajd. Le contenu préexiste, la doctrine de droit
naturel comprend plusieurs formes de pensée différentes variant selon les époques.
Aristote pense que le droit doit proclamer les lois, les lois doivent se plier a l’ordre naturel des choses
Pour créer la règle de droit il faut observer le monde extérieur :le comportement des hommes, pour
déterminer la finalité et l’essence du droit.
Cicéron ne voit pas d’opposition entre droit naturel, et droit positive, complémentarité entre les 2, entre
le droit et la moral. Les hommes étant la morale doivent se plier aux droits.
Saint Augstin et St Thomas D’Aquin : doctrine chrétienne : la loi divine éternelle morale et justice
prime sur la loi profane, et le droit naturel se situe entre les 2. Signifie que la loi naturel procède de la
raison et de l’intelligence humaine, raison et intel humaine peuvent prévoir la loi divine écrit dans la
bible.

Le droit positive complète le droit divin, mais si le droit positive s’éloigne du loi divin, on ne le
respecte plus, ce n’est pas un cercle vertueux, mais un double système qui avance de manière parallèle
(miroir).

17-18 ème : l’école du droit naturel de Grotius et les lumières (Locke, Rousseau), la nature social de l’h
doit dicter les règles auxquelles il se soumet. On a décider qu’il existe dans l’eh une chose qui lui seul
peut savoir ce qui est bon ou pas bon. Le droit serait au service de l’h + qu’il ne serait a sa direction.
Les auteurs ici, selon eux les règles et principes dans chaque h existent depuis toujours, la justice, et
morale a toujours existé depuis l’existence de l’eh

Tous ces courants se rejoignent car le droit trouve son fondement dans la nature humaine.
La morale dicte le droit. L’interdiction de la peine de mort par ex.
Pour tous ces auteurs la moral dicte le droit : règle par ex la prohibition de l’esclavage, l’interdiction de
la peine de mort

Beaucoup critiqués (courants) : car excès aucun droit est le même, il change, et n’est pas absolue. Le
droit change et évolue, il n’y a pas de droit universelle, par ex si on observe la Différences de
traitements entre F et EUA : restauration de la peine de mort par ex (trop diff) donc pas de droit absolu.
Le problème des philosophies idéalistes c’est qu’il ne prenne pas en compte cette évolution en fonction
des époques. Si on admet qu’il existe des règles qui précédent l’ordre juridique ou qui s’impose a
l’ordre juridique. Veut dire que le droit positive devrait se conformer au droit naturel, et les citoyens
doivent ignorer ces droits et s’y plier. Si on a adoptait le courant de pensée, ça serait la révolution, ce
courant serait anarchique, le droit naturel ne suffit pas.

La philosophie positiviste : droit qui existe dans les textes, a l’opposée de la conception idéaliste,
correspond a la doctrine qui rejette l’idée d’une justice transcendantale (justice absolu et supérieur),
métaphysique juridique . Il existe une diversité de courants positivistes : correspondant a plusieurs
réalités :

positivisme juridique : considère que le droit existe lorsque la règle de droit est officialisée, besoin
d’une autorité publique pour son existence, sans celle ci , n’existe pas : par ex, trier les déchets n’est
pas obligatoire car la règle n’existe pas
Positivisme scientifique : le droit n’a rien d’universel, il est que le reflet d’une réalité qu’il faut
officialiser, réalité économique pris en compte existe, avec Marx, dit que droit est le rapport de force, et
n’est que l’expression des intérêts éco de la classe dominante. Ce qui édicte la règle de droit son animés
par leur propre intérêt eco. Le droit est capitaliste car la réalité est capitaliste, et le droit est capitaliste
si les personnes au pouvoir sont capitaliste. Selon le pos scient, n’est qu’une règle de droit que ce qui
est a été décider par l’autorité publique, l’aut publ est elle même dicté par leurs propres intérêts, ils sont
animés par leurs intérêts économique.

Positivisme sociologique : droit est le reflet de la réalité sociologique déterminée dans un lieu et un
temps déterminée. Le droit se réduit a ce qui existe dans un moment et un territoire donnée, l’origine du
droit ici est extérieure au droit. Le droit est la conséquence directe de ces influences historiques, et
géographiques. Durkheim, Leon Ducki défendent les idées que le droit est l’influence du reflet de la
réalité sociologique dans un lieu et un temps donnée.

Le droit n’est pas que circonstanciel, c’est un idéal que l’on souhaite atteindre, les courants positives ne
répondent pas a la def du droit fr que l’on connaît ajd, le droit fr, n’est ni idéaliste ni positiviste, c’est
un mélange les 2. Certaines lois montre le reflet économique du pays, par ex secouriste sociale, ou avec
le mariage homo positivisme sociologique.
Enregistrement 2

Le droit = comportement.

Chapitre 2 : le droit objectif comme système

2 définition du système : 1 :Le système on le définit comme la construction de l’esprit : l’ensemble de


proposition, de principes et de conclusions qui forment un corne.
2 :La construction théorique cohérente qui rencontre un vaste ensemble de phénomène. = ensemble
cohérent : ex système de penser.

Chaque élément a une fonction précise dans le système, si un de ces éléments est retire le système
s’écroule. Chaque société a un système (organisation de la vie de la société, le droit y aide a
l’organisation)

Le droit O : on parle du droit pénal, fiscal, on ne parle pas du droit dans son ensemble, comme système.

Le droit est un système car il est constitué d’institutions, ces instituions forment la structure du
système. Le droit étant une discipline ayant plusieurs branches.

Section 1 : un système de norme : l’orga du droit

Toute de forme d’évolution ou de reforme serait impossible.


Le système juridique : organisation et hiérarchisation des règles. En Fr, l’orga des règles s’articule sur
le principe de la séparation des pouvoirs. Le droit comme ensemble a plusieurs sources.

Les sources sont toutes les instituions qui édictent des règles reconnus au seins du système et efficace
dans leurs mise en œuvre (règle juridique, avec sanction étatique, état y participe).

Les enjeux politiques / séparation de la séparation des pouvoirs.

Les enjeux politique de la séparation des pouvoirs : « c’est une expérience éternelle que tout homme
qui a du pouvoir en est porte a en abuser, il va jusqu’à qu’il trouve des limites ». Montesquieu explique
que l’homme en lui même n’est pas mauvais, c’est le pouvoir qui corrompt l’homme. Selon M, le
pouvoir va corrompre l’h même si il était sage à l’origine. « pour que l’on puisse abuser du pouvoir, il
faut que la par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir ». La bonne volonté et la vertu
n’abuse pas l’abus de pouvoir, on cherche donc a mettre en place la séparation pouvoir.

Séparation des pouvoirs en 3 parties :Exécutif, législatif, judiciaire. La rdd est construite autour de la
séparation.

Le pv législatif : celui auquel il appartient de faire les droits (légiférer), édicter des règles générales,
impersonnelles, et abstraite. Ces règles président entre les rapports entre personnes, : créer

L pv exécutif : celui auquel il appartient de mettre en œuvre les moyens nécessaire à l’application de la
norme, le législateur dit, le gouv exécute. On agit par des réglementations. Il dispose de moyens, de
budgets, et d’institutions nécessaire : en oeuvre

Le pv judiciaire : charger de trancher les litiges, résoudre les conflits, d’appliquer, et d’interpréter au
cas échant les lois a l’occasion des litiges. De base on ne créer pas le droit, mais Dans les faits, le juge
créer du droit, souvent on parle de jurisprudence : c’est une ligne directrice utile pour les débats et
jugements antérieurs. Précédent et jurisprudence différent. : faire respecter

Le précédent doit être respectée. (aux EAU, ou Angleterre)


En Fr, la jurisprudence permet au juge de changer d’avis.

Ces 3 pouvoirs sont des fonctions. En Belgique (monarchie démocratique), le roi est une branche du
droit législatif, et exécutif alors que c’est une même personne).

La création de norme se fait autour du système, se créant grâce a la séparation du pouvoir.


Le système français est construit autour d’une division.

On a une distinction entre droit public et droit privé.

Le droit s’organise souvent autour « souma divisio » = division fondamentale.


La div fondamentale se fait entre DPu et Dpr.

Cette division semblait déjà exister en droit romain. Montesquieu distinguait le droit politique d’un
cote et le droit civil de l’autre. M explique « le loi dans les rapports qu’on se qui gouverne avec ce qui
sont gouverner »
Le droit civil : rapport entre les citoyens.

1er critère de la distinction : la finalité :public défense des intérêt générale


privé défense des intérêt du privé, et personnelle.

Au 19ème siècle, on avait une fonction régalienne (activité de l’état, défense de l’ordre, du pays
(armée), justice, impôt, l’état n’exercer que ses fonctions)

Les établissements public exercent des activités semblable aux activité privé. On a intérêt général avec
un intérêt personnel. Des personnes privés s’occupent des chantier, alors que c’est de l’ordre du public.

2ème critère : l’objet (contenu de la règle de droit) : l’objet des règles de droit public : régir les rapports
entre personnes public et les autres (entre état, et particuliers)
Droit privé : que les rapports entre particulier
3ème critère : le caractère de la règle de droit . Certaines règles ne sont pas impératifs, donc pas bon
critère. Lorsque qu’on achète un objet, le vendeur doit offrir une garantie de 2 ans (règle impérative),
mais c’est une règle de droit privé.

Le D Pu et D Pr est construit autour de catégories.


Distinction ayant une utilité.

Public :La distinction permet d’identifier le juge lors qu’on va passer un litige avec tel ou tel personne.
Privé : tribunal de commerce, ou alors.

Dist permet de differencier Contrat admn et contrat privé.

Permet de distinguer les biens privés.

Permet de distinguer propriété public et propriété privé.Tous

et de distinguer responsabilité de l’état et responsabilité privé.

La distinction a un sens. Malgré cela, il y a des critiques, car pas efficace aujourd'hui. Beaucoup de rdd
mixtes sont a cheval, le droit pénal, de la consommation, de l’urbanisme et de la construction, droit
fiscal, droit des libertés fondamentales

Le droit de la consommation : impératif : s’impose à tous, mais fait partie au droit privé, relation entre
conso et producteurs.

Le droit pénal se rattache au droit privé : car son objectif est de protéger les individus, le droit p créer
des comportements interdits (infraction), pourtant tous les moyens étatiques sont utilisés par le droit
pénal, donc du droit public.

Le droit fiscal relève du droit public : collecte des impôts, gestions des finances des collectivités
territoriales. Les impôts sont des règles de droit privé, les litiges se font devant le juge judiciaire.

Même si il y a des critiques, la distinction existe encore.

1er : droit privé et droit public est maintenu car pas d’alternatif (on parle de ça depuis tt l’heure)

2ème : certains ont proposer de créer : droit régulateur (discipline de droit, qui va mettre en place le
droit, le droit abstrait, objectif d’appliquer la mise en œuvre des règles, ce qui organise la société). Et
le droit professionnels (droit applicable selon la profession exercée, droit rurale pour les artisans par ex.
Cette nouvelle distinction a été rejeter, si on créer des catégories pour chaque profession, il y aura une
inégalité, certaines professions seraient + mises en valeur -(système de caste). On a garder la distinction
entre droit public et droit privé.

Système de penser :

1 Commence par l’enseignement du droit : divisé en plusieurs catégories

Système : Approche systémique d’un objet : correspond a la prise en compte des évolutions et des
influences extérieures. Le droit comme système fait cela, car le droit n’existe en raison de son contexte.
Mais on ne pas tout prévoir et tout réglementer.

Certains concepts sont immuables et ne doivent pas changer : comme la séparation des pouvoirs.
D’autres évoluent avec le temps, ce qui va faire naître de nouvelles catégories. Au départ, on avait la
distinction, puis on a affiné en plusieurs distinction

1 l’enseignement du droit

Chacune des branches du droit ont des spécificités différentes, le droit des biens est enseigné en 1 er et
2ème année, pareil pour le droit de la famille. Ajd on parle de branche du droit, aujourd'hui on les
sépare, cela s’appelle la spécialisation du droit

Le droit public : simple, moins de spécialisation, se divise en 4 branches (système juridique comme
un arbre) :
1 : droit constitutionnel : organisation institutionnelle de l’état, règle relative à l’état : constitution du
4 octobre 58.
2 : droit administratif: régit les relations entre particulier et l’état, qui s’occupe de l’orga des
administrations, des collectivités locale, et des établissements publiques. Rapport entre administrant et
administrés. Le droit administratif est née avec la loi du février 1800 : règle le statut des préfets.
Tribunal des conflits par ex . Le droit autonome est aussi née à cette époque la. La procédure
administratif : donne lieu a un code autonome, le code de justice administratif destiner au procès devant
les tribunaux administratifs.

3 : finance public : organise le fonctionnement économique de l’état, règle relative au budget de l’état,
avec le droit fiscal: important pour le fonctionnement de la société.

4 : droit international public : régit les rapports entre les E, concilier les souveraineté nationale,
l’objectif est la paix internationale, l’ONU concerne cette branche, branche très récente

Les branches du droit privé : sens strict : 2 branches:


1 : droit civil : subdivision (qui montre qu’il y aurait plusieurs divisions) : régit les rapports entre
particuliers, c’est le droit commun. Distinction entre droit commun (règles générales s’applique a
défaut d’autre règle) et le droit spéciale (droit applicable dans une situation précise). Le droit civil est
présent dans le code civil : traite le droit des personnes (mineurs émanciper, et les majeurs protégées, ),
le droit de la famille (noyau familiale, étude du mariage) le droit des régimes matrimoniaux (répartition
des biens du couple), le droit des obligations : (droit commun du droit civil).

Le droit civil est au cœur du droit privé : en 1804, rédacteur du code civil, Portalis : explique que le
code civil est un corps de loi destiné a diriger et a fixer les relations de sociabilité de famille et
d’intérêts qu’ont entre eux les hommes qui appartienne à la même cité. Le droit du travail, et le droit
des assurances se sont détachés du code civil (créer dans les années 30), le droit rurale (année 50), droit
de la consommation.

Le droit qui acquit réellement son autonomie est le droit des affaires : Colbert 1693 : ordonnance de
Colbert: texte normatif : vente de parcelle de terre. Le code de commerce date de 1807.
Le droit des affaires s’est séparé du code civil mais c’est du droit privé régit l’activité des
commerçants et comprend des procédures collectives (quand une E est au bord de la faillite, un juge
intervient pour sauver l’E ou. Le droit des transports, de la propriété des affaires viennent du droit des
affaires, et sont des subdivisions.

Les droit des sûretés : opérations de garantie, est au service du droit des obligations, elle est rattaché
au code civil. Le droit des sûretés est possible grâce aux banques, donc on rattache le droit des sûretés
aux droit des affaires.

2 :Le droit international privé : régit les relations privés à coloration internationale, encadre les
relations entre 2 personnes privés. La relation a une chose qui fait que on peut faire le rattachement
avec un autre pays. Contrat entre français et italien, alors qu’ils vivent en Allemagne. Faut-il passer par
un juge italien ou français.

Une dernière branche théorique a été créer : le droit de la procédure : le droit du procès : concerne
que le procès : la procédure civile et la procédure pénale.

B Effet de la distinction des méthodes différentes :

Le droit des sûretés (rassure le créancier), c’est le droit des garanties : gravitent entre les créanciers
(ceux a qui on doit) et débiteurs (ceux qui doivent de l’argent). Toutes les règles sont en faveur du
créancier, mais le créancier peut aussi exécuter des obligations pour rééquilibrer. Ex : le droit des
successions depuis 2006 est gouverner par l’idée de transmission aux plus jeunes. On transmet aux
jeunes les richesses : l’argent donné au plus jeune permet de favoriser l’économie. Depuis 2006,
l’argent est donné aux enfants, et pas aux parents.

2 Concept, langages et notions du droit

Abstraction : nécessaire a l’évolution du droit. Le syllogisme : formule qui correspond a la règle


générale et impersonnelle, on cherche a à l’appliquer en remplaçant dans la formule les termes
généraux par des termes concrets. Par ex : tous les hommes sont mortels. Aristote est un homme : il est
donc mortel, si tous les hommes sont mortels, alors lui aussi il l’est.

Article 1218 du code civil : 1 alinéa : il y a force majeur en matière contractuel lorsqu’un
éventement échappant au contrôle du débiteur qui ne pouvait être raisonnablement prévu lors de
la conclusion du contrat et dont les effets ne peuvent être évités par des mesures appropriés
empêche l’exécution de son obligation par le débiteur.

4 critères qui permettent d’identifier la force majeur :


- imprévisible
- irrésistible
- extérieur

Cette article date de 2016 . Il n’existait pas de nature de la force majeure.

1er étape : observer


2ème : qualifier (donner un terme particulier à une situation particulière)
3ème : définir le nom :

Les circonstances permettent de retenir une qualification, par exemple pour avoir un transfert de
la chose : le vol, la vente, la donation, et le prêt, la location. Elles reposent toutes sur la propriété
d’un bien.
Le transfert de propriété permet de retenir 1 qualification sur les 4.

Section 3 : le système judiciaire français

On pratique le droit par le procès. C’est faux, car souvent on arrive pas jusqu’au procès et on pratique
le droit. La pratique est exercé par les avocats, les juges. Le droit repose essentiellement sur le conflit,
il s’agit soi de le prévenir soi de le régler. Mais il y a un décalage entre la norme abstraite et la réalité
concrète qui n’est pas adapté à la norme mis en place, le juge va alors diviser (souma divisio) le droit
privé et droit public.

Les ordres de juridiction :

Ordre judiciaire : charge d’appliquer le droit privé


Ordre administratif : charger d’appliquer le droit public

- ordre judiciaire : juridiction : sous division : la compétence générale contre la compétence spéciale de
certaines juridictions. Au seins des compétence général, On les appelle les juridiction de droits
communs, se substitue en 2 : droit civil et pénal

- Droit civil : 3 juridiction : juridiction de proximité, les tribunaux d’instance, et les tribunaux de
grande instance. (jusqu’à 2019). On chiffrait la valeur du litige, 4000 euros de proximité, 4000-10k
tribunaux d’instance et plus de 10k grande instance. Aujourd'hui il ne reste que juridiction de proximité
en dessous de 4k et tribunal judiciaire : au dessus de 4 k.

- Droit pénal : 3 juridiction : tribunaux de police, tribunaux correctionnels, cours d’Assise :


Tribunaux de police : contravention
tri correctionnels : délits
CA : crime : amande + peine de 10 ans ou supérieur.

- Compétence spéciale : juridiction spécialiser : tribunaux de commerce gère que les actes de
commerce, et les sociétés, le tribunal du prudhomme : gère le problème dans le secteur du travail, les
tribunaux des enfants, les tribunaux des affaires de la sécurité sociale. Elle relève du droit privé mais ne
sont pas dans le droit commun.

- Juridiction de l’ordre administratif :

- Tribunaux administratif : litiges du droit public, oppose un particulier à l’État, il existe 42 tribunaux
administratifs en France.

Relève du 1er degré

Le degré de juridiction :

On passe au second degré de juridiction : distinction entre ordre judiciaire et ordre administratif : en
droit privé on retrouve les cours d’appel et en droit public on a les cours administratifs d’appel.

- cours d’appel : 36 en France : toutes les cours d’appels ont des compétences générales, toutes les
cours d’appel se charge du droit privé : dans chaque cours d’appel, les chambres sont répartis en fc des
spécialités.

- cours administratifs d’appel : 8 en France : compétence générale, créer en 1987

Il existe des juridictions qui sont au dessus du 1er et 2nd degré : La cours de cassation (ordre judiciaire)
et le conseil d’État (ordre administratif), ils ne sont pas un 3ème degré de juridiction :car elle ne rejuge
pas l’affaire, il ne s’intéresse pas aux faits, on va contrôler l’application du droit par les juges du fond.

La Cours de cassation : ne rejuge pas l’affaire, elle vérifie si la loi a été bien appliquer par les juges du
fond. : 2 types de décisions : les juridictions qui émanent des décisions : on parle d’arrêt lorsque la
décision cela vient des cours, on parle de jugements pour les tribunaux.

2 types d’arrêt :
- Arrêt de rejet :
- Arrêt de cassation : casser ou censurer la décision des juges du fond :

Cours de cassation : situer à Paris : car son rôle de vérifier l’application du droit vise à garantir une
unité dans la pratique du droit. Elle est diviser en 6 chambres spécialiser : 3 chambres civiles, 1
chambre commerciale, 1 chambre sociale, 1 chambre criminelle. Il arrive que certains conflits touchent
à la compétence de plusieurs chambres. Dans ce cas la, la cours de cassation rend une décision dans
une chambre mixte : 3 juges différents. La cours peut se réunir en assemblée plénière : - sujet de société
délicat (ex 2000 : l’arrêt perruche dit que l’enfant ne peut reprocher à ses parents d’être né).
- se réunie aussi lorsqu’il s’agit de remettre en question une décision :

- Le conseil d’État : au sommet de l’ordre administratif : même rôle que la cours de cassaion, voir si le
juge a bien fait le travail, mais le conseil d’État à un rôle en plus, il a une fonction de conseil au prés du
gouvernement. Diviser en 6 sections : 5 sections administratifs (apporte conseil au gouvernement)
concerne les finances, l’intérieur, les travaux publics, le social, les rapports et les études.
, 1 section contentieux : fait le travail de la cours de cassation

- juridictions au dessus de la d entre dp et dpr : Tribunal de conflit : trancher les conflits de


compétences entre les 2 ordres de juridictions : dans certains procès, on ne sait pas si on plaide le
dossier devant les ordres judiciaires et administratif : sois positif(compétent) ou négatif(non
compétent). A pour mission d’arbitrer. Le tribunal des conflits appartient à aucun des 2 ordres.
Et le conseil de constitutionnel :jusqu’à la loi du 23 juillet 2008, le conseil constit n’était pas considéré
comme une véritable juridiction car elle exercer un contrôle des lois, mais elle ne faisait qu’avant la
promulgation de la loi. Le rôle est de voir si la loi est conforme à la constitution. Aujourd'hui elle
contrôle la conformité de la loi après la promulgation de celle ci. Par exemple dans un procès,
lorsqu’on cherche à appliquer la loi, on peut faire un procès en suspens, et avoir un doute sur la
constitutionnalité de la loi. Le conseil constitutionnel explique qu’il y a un problème avec la loi ou
alors explique que la loi est conforme à la constitution et dans ce cas la le procès reprend son cours.

Section 4 : Un système parmi d’autres

Le droit comparé consiste classifier les grande système juridiques : analyser les similitudes et les
différences surtout pour en voir la comptabilité

2 catégories de système juridique ;


- A système de tradition civiliste

Les pays de tradition civiliste sont soumis au droit romano germanique, ce sont des pays européens
pour la plupart qui ont en communs la construction de leur système juridique sur le système romain.
Les inspiration romaines laissent une place importante dans le droit écrit, expliquant que la relation
entre la loi et le juge est marqué par la complémentarité. Le juge applique la loi. Il existe un code civil
pour tous ces pays. Certains auteurs font la distinction entre les droits latins et les droits germanique
(allemande) : Italie, France, Espagne, Italie, Portugal, Québec contre Allemagne, Autriche, Suisse et
Norvège. Différences entre les 2 : Tous les pays français se sont inspirés du droit latin et tous les pays
germanique ce sont inspirés du BGD 1896 (code civil allemand).
Le code civil de 1804 se nomme le code Napoléon :
Le droit français a subi plusieurs influence, et pas seulement l’influence du droit romain : la France
était diviser entre le Nord et Sud : Nord (droit écrit) et Sud (droit oral). On a retenu le droit écrit dès la
mise en place du code civil.

- système de common law : Royaume-Uni

Principe inverse : Accord une importance à la jurisprudence, c’est-à-dire aux décision de justice. Dans
les système anglo-saxon (EAU et royaume uni), le droit provient du pouvoir judiciaire. La loi confirme
les positions acceptés dans la société. Cela signifie que le droit anglo saxon penche sur le droit positif,
et la tradition civiliste se penche sur le droit naturelle. En France on part de la theorie vers la pratique et
c’est l’inverse aux R-U et aux EAU. La common law est une approche empirique fondée sur
l’expérience. Aujourd'hui les lois lois écrites sont les statutes c’est-à-dire des règles généraux.

Rôle du juge, de l’avocat, de la méthodologie juridique :

Rôle du juge : En France, c’est interprétation, il est tenu par les textes, et fait le lien entre les faits et le
droit. Démarche de manœuvre réduite
Le juge Anglais est plus libre, dans ces pays les jugements, décision sont guidés par l’équité que par le
contenu de la loi. L’éducation des juges va changer entre les pays.

Rôle de l’avocat : En France, l’avocat va chercher à chercher les critères de la règle pour l’adapter aux
faits.
En Angleterre et aux EAU, les avocats vont chercher des cas similaires qui ont été déjà jugés, comme
aucun cas ne ressemble à un autre, on cherche des similitudes en étant parfois de mauvaise foi,
convaincre le juge.

Rôle de la méthodologie juridique : Le droit anglo-saxon est opportuniste, si des questions ne se


posent pas dans les faits, le droit anglo-saxon ne se posera jamais cette question. = situation qui créer le
droit : méthode inductive
En France, on chercher à se poser la question : méthode déductive

Méthode inductive : Anglo-saxon


Méthode déductive : France

- 2 autres systèmes juridique : système de droit religieux

- A le droit talmudique : peu connu, et peu étudier : inspirer de la Torah : va plus loin que le droit.
Elle comprend des normes morales, car elle couvre des questions que le droit se refuse d’encadrer
(hygiène, nourriture). Il y a des règles qui relèvent du droit, avec des normes, des règles qui touchent
affaire monétaire et religieuse. On fait alors une distinction entre les règles d’origine biblique et les
règles d’origine rabbinique. C’est donc un système juridique cohérent. Les règles d’origine rabbinique
sont diviser en 2 : règle de la Torah écrite et règle de la Torah Orale.
Le D talmudique laisse place au précédent, semblable à la common law, mais différent car elle ne
donne pas de force obligatoire

- le droit musulman : 2 branches : règle relative aux cultes et règle relative aux relations humains :
spécialiste du droit musulman explique que ce qui relève du spirituel, relève du norme vertical (lien
entre le croyant et le seigneur), l’autorité juridique n’est pas censée intervenir. Si elle n’intervient pas,
cela signifie que le droit dans ces cas las ne sert que d’instrument. Le droit est un support aux règles.
On précise les règles à un gros degré de précision, pour éviter l’interprétation

Règle relative aux relations humains : édicter des textes qui fixent des principes fondamentaux en
rentrant le moins possible dans le détail. Interprétation importante ici. Le droit musulman connaît une
subdivision.

Le système de droit musulman a un principe de l’intérêt : c’est-à-dire que cela signifique que tous les
textes de la charia visent à toucher l’intérêt personnel et collectif. La place que prend le critère est plus
importante car toutes les règles de charia visent à la notion d’intérêt. L’intérêt collectif l’emporte.

Le droit musulman est fait de théorie : école de pensé juridique : école hanafite (empire ottoman) :
système juridique s’exerce dans un contexte laïque. Le droit musulman propose une distinction entre
les règles liées aux cultes.

Constat objectif : problème entre l’articulation des règles qui relèvent des rapports humains.

Le droit musulman ne doit pas imposer un mode de vie à une personne croyante.

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