Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Droit objectif : ensemble des règles de conduites qui gouvernent les rapports des h dans la société et
dont le respect est assurée dans l’autorité publique : norme qui structure la société a un moment donné,
qui évolue avec les mœurs, habitudes et donc le temps.
Droit subjectif : pouvoir accordée a une personne d’usé une chose ou d’exiger d’un autre individu
l’exécution d’une prestation : droit particulier attribuée a une personne. Raisonnement personnelle
Titre 1 : Définition du droit objectif : définition large et unique, regroupant plusieurs réalités
différentes
Chapitre 1 Le droit O comme norme : rôle et fonction du droit/ inspiration du droit / def de règle
de droit / fondement des règles de droits
Pour mettre en place le droit, un Régime politique est nécessaire : ce qui nécessite une puissance
publique, et des modalités de fonctionnements de la société . Tous les droits ne sont pas identiques
(monarchie, démocratie) selon les sociétés.
C’est Le droit constitutionnel qui à la charge de fixer les règles d’exercice du pouvoir et définit les
règles de fonctionnement de la puissance publique ce qui permet de sanctionner, maintenir l’ordre et la
paix social (inatteignables selon Rousseau, sans cadre et sans régime politique). L’h sans cadre, sans
régime ne peut pas se comporter correctement, d
Malaurie (juriste français) explique que si le droit n’existe pas, la civilisation va se battre, car pas de
règles.
On peut rajouter que Le droit est une organisation politique, économique et sociale (3 termes liées) de
la société.
De plus, Les droits ne sont jamais neutre, idéologies, éco, et sociales.
Le droit cherche un Objectif d’égalité, cela passe par des Règles qui transitent par le droit, et c’est donc
un vecteur pour réaliser les objectif. Le droit permet donc d’atteindre ces objectifs.
Aujourd’hui, Le droit est au centre ce qui permet le fonctionnement de tout. Les finalités éco et soc des
successions, en France par ex, la succession est encadrée, le droit de testament efficace que dans les
limites de la loi. Ou alors La succession des parents se faisait par l’homme et non la femme, durant très
longtemps.
Il y avait une Influence éco sur la façon dont les choses se passait en France. La logique d’avant était
que l’h travaille et dirige l’E et donc l’héritage lui revient donc .
Valeurs sociales : système juridique de l’apartheid (règle de droit) par ex.
Le droit créer des normes qui se rapprochent des règles que l’on a tous les jours, a l’école ou avec les
amis.
Comparé la règle de droit avec d’autre règle de conduite. Observe les habitudes, coutumes, pour savoir
quelles sont les règles a officialiser. Le droit et la religion sont liés.
Le droit et la religion : Le droit français a une influence chrétienne, car culturellement la France était
chrétienne, jusque 1975, le divorce était interdit par ex. Elle régit aussi la communauté, liés par la
recherche de vivre ensemble.
Les RDD et règle religieuse sont liés, et prescrit les mème interdictions (vols, meurtres). Ils vont se
confondre et donc appliquer les droits par rapport a la religion.
Des systèmes de droit religieux existent : droit islamique avec la règle religieuse qui est officialisée par
l’état. L’état et la religion alimentent les règles juridiques (dépend des époques).
La laïcisation s’est faite de nos jours. En France, en 2007, on a par ex+ favorisé le divorce sans recours
au juge.
La religion est symbolique, même si la règle religieuse a perdu son influence. L’article 1 de la
constitution rappelle les principes de laïcité. Cela signifie que la religion sort du droit, et que chacun est
libre de suivre ce qu’il veut, ce n’est pas l’affaire de l’état. L’état français est par contre obligé
d’accepter toutes les religions.
La France se détache de la religion mais ne se détache pas de toute forme de moral. La laïcité implique
une relation entre la règle dd et la règle morale. (2nde influence de la règle juridique)
Le droit et la moral :Le droit est fortement influence par la moral, les français jugent et ensuite un droit
est appliqué. Par ex le recyclage a vu intervenir le droit car les consciences, et les morale sont
intervenus. On peut donc dire que la règle dd préexiste avant son officialisation, on peut alors faire la
Distinction entre règle de droit officiels, et règle de droit existant dans la conscience politique de
chacun
La morale influence le droit, la morale n’a pas sa place mais a une grosse influence, son contenu varie
d’un individu a un autre, pas le même pour tout le monde. La règle de droit est censée être impersonnel.
Il arrive que le droit s’éloigne de la moral (mariage homo par ex), la France n’était pas en majorité
d’accord, pourtant adoptée, il y a donc un décalage entre le droit et la moral. Dans certains cas le droit
s’éloigne de la moral pour la faire avancer, et parfois le droit s’éloigne de la moral et ignore : CC :
2021 : compagne publictaire non illicite (promotion de l'adultère)
Le droit n’est pas contraire a la morale, le peuple se révolte dans ce cas, jamais vraiment neutre.
Les sources d’inspiration du droit, religion morale, mais aussi la recherche de certaines valeurs,
Le droit et la justice : la justice est différente du droit, droit théorique et idéal, vertu, + que une norme
et règle, la justice n’intervient pas tjrs dans la mise en œuvre d’un droit. Par ex le code de la route
impose de s’arrêter au feu rouge, pas de justice dans toutes les règles de droits, code forestier, code de
pêche, urbanisme etc.
Le droit et la justice ne sont pas la mème notion, car contradiction avec ce qui paraît juste. Ajd
esclavage n’a pas sa place. Il arrive que le droit impose des règles injustes.
L’idéal de justice imprègne la règle de droit, intervient dans les situations dans l’intérêt des individus,
pour repartir des biens, par ex, l’idéal de justice va mettre en place une solution juridique, alors qu’a
l’état nature, la loi du plus fort aurait du triompher selon rousseau ?
Comment savoir ce qui est juste ou pas. La justice est liée aux sentiments ;
Antiquité Aristote, selon A, il existe 2 formes de justice : justice commutative (échange) , consiste a
maintenir l’équilibre ou rétablir l’équilibre qui serait brisé. Elle intervient dans les contrats par ex.
Justice distributive (partage), forme de justice qui ne vise pas a établir une égalité comptable, repartit
les biens entre individus, pas une égalité parfaite mais géométrique, par ex lors de la succession,
comment repartir les biens ? On attribut une partie de la succession au conjoint et aux enfants (justice
distributive, plus juste), donner une part par rapport a la situation
Droit et équité : l’équité, dans la mise en œuvre du droit : 2 conceptions ; l’équité renvoie a la
recherche de l’équilibre entre les droits individuels, proportionnalité entre les différentes personnes, se
rapprochent bcp de la justice. 2eme sens : justice supérieure a ce qui résulte a l’application rigide du
droit, compas moral de la règle de droit, expliquant qu’il faut écarter la règle de droit, dans ce sens
l’équité est un outil correcteur de la règle de droit. Mettre a l’écart une règle de droit est contraire au
système juridique. En théorie le juge devrait appliqué la règle, mais en pratique, la règle de droit n’est
pas directement appliqué et donc une équité est appliqué, contredis les principe fond.
Les rapports entre droits et équités sont ambigus, il ya un paradoxe, l’équité ne devrait pas avoir sa
place au droit, car il le contourne, l’équité est nécessaire pour préserver l’ordre sociale, et atteindre
l’objectif du droit a l’origine. La norme juridique est une règle différente des autres règles que l’on
connaît, la def de la règle de droit répond a plusieurs critères.
1: fin enregistrement
Def de la règle de droit ; 2choses : 1 caractère de la règle de droit / 2 spécificité de la règle de droit
Caractère : élément essentiel qui constitue la rdd, communs avec d’autres règles de conduites
Specifcités : qql éléments qui individualisent la règle de droit, ce qui fait que la rdd n’est pas comme la
règle religieuse par ex.
La rdd est abstraite : vise des situations imaginés, et non des situations pré déterminés. Par ex:Le juge
tranche le conflit, et la décision qu’il tranche est officielle, s’adressant que aux 2 partis s’opposant aux
conflits, s’adapte a des faits concrets. La décision de justice n’est pas une règle de droit. Le juge la rend
concrète et déterminée
D’autres règles ont la mème généralité qui ont le même caractère impersonnel ou abstrait, règle de
politesse et de convenance, dire bjr etc.
Une règle qui s’adresse que a une catégorie d’individus seulement. (règle de convenance, laissez sa
place aux personnes âgées).
La spécificité de la rdd réside dans la sanction, pascal dit que la justice sans la force est impuissante, la
force sans la justice est tyrannique.
La règle morale, religieuse, et de droit interdit tout trois le vol, mais la force de la règle va se mesurer
a la sévérité de la sanction. Toute règles s’accompagne d’une sanction, c’est le cas de la règle moral,
religieuse. La morale s’accompagne de la remord, la sanction de la violation de la règle de moral
s’accompagne de honte lorsqu’on viole une règle morale. Qu’est ce qu’une sanction étatique ?
Comment dissocier la sanction privée de la sanction étatique ?
Sanction étatique : imposé par l’autorité public, officialisation de la sanction sanction étatique, la règle
de droit est une rdd car elle est dictée par l’autorité public, on pourrait alors considérer que toutes les
règles dictes par l’état sont des rdd. Il existe des rdd qui ne viennent pas de ses organes et qui sont
efficace, par ex la coutume, le contrat (article 11 103).
Parce que la peine privé n’est pas admise, nul ne peut se faire justice a sois même. On considère alors
que la rdd est la règle par laquelle la sanction est mise en œuvre par le juge. On peut alors faire appel
au juge pour appliquer la sanction, on demande de l’aide au juge et donc on considère cela comme
une rdd. L’amande civile se distingue de l’amande pénale par ex. Toutes règles de d peut être soumis a
un procès.
La spécificité de la rdd est la sanction étatique, celle qui permet d’obtenir le concours du juge
Sanction étatique a des limites, n’a pas de vocation a toujours s’appliquer, lorsque elle ne s’applique
pas, on dit qu’elle a un caractère comminatoire dissuasive. Lorsqu’on créer une règle de droit, la
sanction sera tellement lourde que la règle sera respectée. (peine de mort, rétablir pour les crimes les
plus graves). La Sanction étatique est + dissuasive que réel. Limite de la sanction h : pas de sanction
véritablement dissuasive car il faut se tenir a ce que l’on a promis.
La rdd peut s’imposer de plusieurs manières. On distingue la loi impérative : loi qui s’impose a tous, ne
peut pas y déroger, a la loi supplétive, celle qui laisse une option, la loi prévoit ça sauf si vous prévoyez
le contraire, par ex le contrat du mariage : mettre en commun les biens, article 14 101, si pas appliqué,
peuvent (mariés) décider de déroger, en concluant leur propre contrat de mariage.
Plusieurs règle dfif avec des sanctions diff : lorsqu’il il y a une règle de forme qui a été violer, on peut
corriger la faute de la règle de forme : lorsque qu’on loue un appartement, et que vous demander aux
proches de garantir le loyer, la loi impose que la caution signe le contrat de bail et impose une mention
manuscrite imposé par la loi (écrite à la main, conscience de la gravité de l’acte). Si la caution oublie
de rédiger la mention manuscrite, si jamais la mention manuscrite est rédiger plus tard ce n’est pas
grave. Règle de forme et de fond ont des sanction diff.
Classifier les règle est important car cela permet hiérarchiser les règles de droit en fc de l’efficacité que
l’on veut donner.
Le droit positive complète le droit divin, mais si le droit positive s’éloigne du loi divin, on ne le
respecte plus, ce n’est pas un cercle vertueux, mais un double système qui avance de manière parallèle
(miroir).
17-18 ème : l’école du droit naturel de Grotius et les lumières (Locke, Rousseau), la nature social de l’h
doit dicter les règles auxquelles il se soumet. On a décider qu’il existe dans l’eh une chose qui lui seul
peut savoir ce qui est bon ou pas bon. Le droit serait au service de l’h + qu’il ne serait a sa direction.
Les auteurs ici, selon eux les règles et principes dans chaque h existent depuis toujours, la justice, et
morale a toujours existé depuis l’existence de l’eh
Tous ces courants se rejoignent car le droit trouve son fondement dans la nature humaine.
La morale dicte le droit. L’interdiction de la peine de mort par ex.
Pour tous ces auteurs la moral dicte le droit : règle par ex la prohibition de l’esclavage, l’interdiction de
la peine de mort
Beaucoup critiqués (courants) : car excès aucun droit est le même, il change, et n’est pas absolue. Le
droit change et évolue, il n’y a pas de droit universelle, par ex si on observe la Différences de
traitements entre F et EUA : restauration de la peine de mort par ex (trop diff) donc pas de droit absolu.
Le problème des philosophies idéalistes c’est qu’il ne prenne pas en compte cette évolution en fonction
des époques. Si on admet qu’il existe des règles qui précédent l’ordre juridique ou qui s’impose a
l’ordre juridique. Veut dire que le droit positive devrait se conformer au droit naturel, et les citoyens
doivent ignorer ces droits et s’y plier. Si on a adoptait le courant de pensée, ça serait la révolution, ce
courant serait anarchique, le droit naturel ne suffit pas.
La philosophie positiviste : droit qui existe dans les textes, a l’opposée de la conception idéaliste,
correspond a la doctrine qui rejette l’idée d’une justice transcendantale (justice absolu et supérieur),
métaphysique juridique . Il existe une diversité de courants positivistes : correspondant a plusieurs
réalités :
positivisme juridique : considère que le droit existe lorsque la règle de droit est officialisée, besoin
d’une autorité publique pour son existence, sans celle ci , n’existe pas : par ex, trier les déchets n’est
pas obligatoire car la règle n’existe pas
Positivisme scientifique : le droit n’a rien d’universel, il est que le reflet d’une réalité qu’il faut
officialiser, réalité économique pris en compte existe, avec Marx, dit que droit est le rapport de force, et
n’est que l’expression des intérêts éco de la classe dominante. Ce qui édicte la règle de droit son animés
par leur propre intérêt eco. Le droit est capitaliste car la réalité est capitaliste, et le droit est capitaliste
si les personnes au pouvoir sont capitaliste. Selon le pos scient, n’est qu’une règle de droit que ce qui
est a été décider par l’autorité publique, l’aut publ est elle même dicté par leurs propres intérêts, ils sont
animés par leurs intérêts économique.
Positivisme sociologique : droit est le reflet de la réalité sociologique déterminée dans un lieu et un
temps déterminée. Le droit se réduit a ce qui existe dans un moment et un territoire donnée, l’origine du
droit ici est extérieure au droit. Le droit est la conséquence directe de ces influences historiques, et
géographiques. Durkheim, Leon Ducki défendent les idées que le droit est l’influence du reflet de la
réalité sociologique dans un lieu et un temps donnée.
Le droit n’est pas que circonstanciel, c’est un idéal que l’on souhaite atteindre, les courants positives ne
répondent pas a la def du droit fr que l’on connaît ajd, le droit fr, n’est ni idéaliste ni positiviste, c’est
un mélange les 2. Certaines lois montre le reflet économique du pays, par ex secouriste sociale, ou avec
le mariage homo positivisme sociologique.
Enregistrement 2
Le droit = comportement.
Chaque élément a une fonction précise dans le système, si un de ces éléments est retire le système
s’écroule. Chaque société a un système (organisation de la vie de la société, le droit y aide a
l’organisation)
Le droit O : on parle du droit pénal, fiscal, on ne parle pas du droit dans son ensemble, comme système.
Le droit est un système car il est constitué d’institutions, ces instituions forment la structure du
système. Le droit étant une discipline ayant plusieurs branches.
Les sources sont toutes les instituions qui édictent des règles reconnus au seins du système et efficace
dans leurs mise en œuvre (règle juridique, avec sanction étatique, état y participe).
Les enjeux politique de la séparation des pouvoirs : « c’est une expérience éternelle que tout homme
qui a du pouvoir en est porte a en abuser, il va jusqu’à qu’il trouve des limites ». Montesquieu explique
que l’homme en lui même n’est pas mauvais, c’est le pouvoir qui corrompt l’homme. Selon M, le
pouvoir va corrompre l’h même si il était sage à l’origine. « pour que l’on puisse abuser du pouvoir, il
faut que la par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir ». La bonne volonté et la vertu
n’abuse pas l’abus de pouvoir, on cherche donc a mettre en place la séparation pouvoir.
Séparation des pouvoirs en 3 parties :Exécutif, législatif, judiciaire. La rdd est construite autour de la
séparation.
Le pv législatif : celui auquel il appartient de faire les droits (légiférer), édicter des règles générales,
impersonnelles, et abstraite. Ces règles président entre les rapports entre personnes, : créer
L pv exécutif : celui auquel il appartient de mettre en œuvre les moyens nécessaire à l’application de la
norme, le législateur dit, le gouv exécute. On agit par des réglementations. Il dispose de moyens, de
budgets, et d’institutions nécessaire : en oeuvre
Le pv judiciaire : charger de trancher les litiges, résoudre les conflits, d’appliquer, et d’interpréter au
cas échant les lois a l’occasion des litiges. De base on ne créer pas le droit, mais Dans les faits, le juge
créer du droit, souvent on parle de jurisprudence : c’est une ligne directrice utile pour les débats et
jugements antérieurs. Précédent et jurisprudence différent. : faire respecter
Ces 3 pouvoirs sont des fonctions. En Belgique (monarchie démocratique), le roi est une branche du
droit législatif, et exécutif alors que c’est une même personne).
Cette division semblait déjà exister en droit romain. Montesquieu distinguait le droit politique d’un
cote et le droit civil de l’autre. M explique « le loi dans les rapports qu’on se qui gouverne avec ce qui
sont gouverner »
Le droit civil : rapport entre les citoyens.
Au 19ème siècle, on avait une fonction régalienne (activité de l’état, défense de l’ordre, du pays
(armée), justice, impôt, l’état n’exercer que ses fonctions)
Les établissements public exercent des activités semblable aux activité privé. On a intérêt général avec
un intérêt personnel. Des personnes privés s’occupent des chantier, alors que c’est de l’ordre du public.
2ème critère : l’objet (contenu de la règle de droit) : l’objet des règles de droit public : régir les rapports
entre personnes public et les autres (entre état, et particuliers)
Droit privé : que les rapports entre particulier
3ème critère : le caractère de la règle de droit . Certaines règles ne sont pas impératifs, donc pas bon
critère. Lorsque qu’on achète un objet, le vendeur doit offrir une garantie de 2 ans (règle impérative),
mais c’est une règle de droit privé.
Public :La distinction permet d’identifier le juge lors qu’on va passer un litige avec tel ou tel personne.
Privé : tribunal de commerce, ou alors.
La distinction a un sens. Malgré cela, il y a des critiques, car pas efficace aujourd'hui. Beaucoup de rdd
mixtes sont a cheval, le droit pénal, de la consommation, de l’urbanisme et de la construction, droit
fiscal, droit des libertés fondamentales
Le droit de la consommation : impératif : s’impose à tous, mais fait partie au droit privé, relation entre
conso et producteurs.
Le droit pénal se rattache au droit privé : car son objectif est de protéger les individus, le droit p créer
des comportements interdits (infraction), pourtant tous les moyens étatiques sont utilisés par le droit
pénal, donc du droit public.
Le droit fiscal relève du droit public : collecte des impôts, gestions des finances des collectivités
territoriales. Les impôts sont des règles de droit privé, les litiges se font devant le juge judiciaire.
1er : droit privé et droit public est maintenu car pas d’alternatif (on parle de ça depuis tt l’heure)
2ème : certains ont proposer de créer : droit régulateur (discipline de droit, qui va mettre en place le
droit, le droit abstrait, objectif d’appliquer la mise en œuvre des règles, ce qui organise la société). Et
le droit professionnels (droit applicable selon la profession exercée, droit rurale pour les artisans par ex.
Cette nouvelle distinction a été rejeter, si on créer des catégories pour chaque profession, il y aura une
inégalité, certaines professions seraient + mises en valeur -(système de caste). On a garder la distinction
entre droit public et droit privé.
Système de penser :
Système : Approche systémique d’un objet : correspond a la prise en compte des évolutions et des
influences extérieures. Le droit comme système fait cela, car le droit n’existe en raison de son contexte.
Mais on ne pas tout prévoir et tout réglementer.
Certains concepts sont immuables et ne doivent pas changer : comme la séparation des pouvoirs.
D’autres évoluent avec le temps, ce qui va faire naître de nouvelles catégories. Au départ, on avait la
distinction, puis on a affiné en plusieurs distinction
1 l’enseignement du droit
Chacune des branches du droit ont des spécificités différentes, le droit des biens est enseigné en 1 er et
2ème année, pareil pour le droit de la famille. Ajd on parle de branche du droit, aujourd'hui on les
sépare, cela s’appelle la spécialisation du droit
Le droit public : simple, moins de spécialisation, se divise en 4 branches (système juridique comme
un arbre) :
1 : droit constitutionnel : organisation institutionnelle de l’état, règle relative à l’état : constitution du
4 octobre 58.
2 : droit administratif: régit les relations entre particulier et l’état, qui s’occupe de l’orga des
administrations, des collectivités locale, et des établissements publiques. Rapport entre administrant et
administrés. Le droit administratif est née avec la loi du février 1800 : règle le statut des préfets.
Tribunal des conflits par ex . Le droit autonome est aussi née à cette époque la. La procédure
administratif : donne lieu a un code autonome, le code de justice administratif destiner au procès devant
les tribunaux administratifs.
3 : finance public : organise le fonctionnement économique de l’état, règle relative au budget de l’état,
avec le droit fiscal: important pour le fonctionnement de la société.
4 : droit international public : régit les rapports entre les E, concilier les souveraineté nationale,
l’objectif est la paix internationale, l’ONU concerne cette branche, branche très récente
Le droit civil est au cœur du droit privé : en 1804, rédacteur du code civil, Portalis : explique que le
code civil est un corps de loi destiné a diriger et a fixer les relations de sociabilité de famille et
d’intérêts qu’ont entre eux les hommes qui appartienne à la même cité. Le droit du travail, et le droit
des assurances se sont détachés du code civil (créer dans les années 30), le droit rurale (année 50), droit
de la consommation.
Le droit qui acquit réellement son autonomie est le droit des affaires : Colbert 1693 : ordonnance de
Colbert: texte normatif : vente de parcelle de terre. Le code de commerce date de 1807.
Le droit des affaires s’est séparé du code civil mais c’est du droit privé régit l’activité des
commerçants et comprend des procédures collectives (quand une E est au bord de la faillite, un juge
intervient pour sauver l’E ou. Le droit des transports, de la propriété des affaires viennent du droit des
affaires, et sont des subdivisions.
Les droit des sûretés : opérations de garantie, est au service du droit des obligations, elle est rattaché
au code civil. Le droit des sûretés est possible grâce aux banques, donc on rattache le droit des sûretés
aux droit des affaires.
2 :Le droit international privé : régit les relations privés à coloration internationale, encadre les
relations entre 2 personnes privés. La relation a une chose qui fait que on peut faire le rattachement
avec un autre pays. Contrat entre français et italien, alors qu’ils vivent en Allemagne. Faut-il passer par
un juge italien ou français.
Une dernière branche théorique a été créer : le droit de la procédure : le droit du procès : concerne
que le procès : la procédure civile et la procédure pénale.
Le droit des sûretés (rassure le créancier), c’est le droit des garanties : gravitent entre les créanciers
(ceux a qui on doit) et débiteurs (ceux qui doivent de l’argent). Toutes les règles sont en faveur du
créancier, mais le créancier peut aussi exécuter des obligations pour rééquilibrer. Ex : le droit des
successions depuis 2006 est gouverner par l’idée de transmission aux plus jeunes. On transmet aux
jeunes les richesses : l’argent donné au plus jeune permet de favoriser l’économie. Depuis 2006,
l’argent est donné aux enfants, et pas aux parents.
Article 1218 du code civil : 1 alinéa : il y a force majeur en matière contractuel lorsqu’un
éventement échappant au contrôle du débiteur qui ne pouvait être raisonnablement prévu lors de
la conclusion du contrat et dont les effets ne peuvent être évités par des mesures appropriés
empêche l’exécution de son obligation par le débiteur.
Les circonstances permettent de retenir une qualification, par exemple pour avoir un transfert de
la chose : le vol, la vente, la donation, et le prêt, la location. Elles reposent toutes sur la propriété
d’un bien.
Le transfert de propriété permet de retenir 1 qualification sur les 4.
On pratique le droit par le procès. C’est faux, car souvent on arrive pas jusqu’au procès et on pratique
le droit. La pratique est exercé par les avocats, les juges. Le droit repose essentiellement sur le conflit,
il s’agit soi de le prévenir soi de le régler. Mais il y a un décalage entre la norme abstraite et la réalité
concrète qui n’est pas adapté à la norme mis en place, le juge va alors diviser (souma divisio) le droit
privé et droit public.
- ordre judiciaire : juridiction : sous division : la compétence générale contre la compétence spéciale de
certaines juridictions. Au seins des compétence général, On les appelle les juridiction de droits
communs, se substitue en 2 : droit civil et pénal
- Droit civil : 3 juridiction : juridiction de proximité, les tribunaux d’instance, et les tribunaux de
grande instance. (jusqu’à 2019). On chiffrait la valeur du litige, 4000 euros de proximité, 4000-10k
tribunaux d’instance et plus de 10k grande instance. Aujourd'hui il ne reste que juridiction de proximité
en dessous de 4k et tribunal judiciaire : au dessus de 4 k.
- Compétence spéciale : juridiction spécialiser : tribunaux de commerce gère que les actes de
commerce, et les sociétés, le tribunal du prudhomme : gère le problème dans le secteur du travail, les
tribunaux des enfants, les tribunaux des affaires de la sécurité sociale. Elle relève du droit privé mais ne
sont pas dans le droit commun.
- Tribunaux administratif : litiges du droit public, oppose un particulier à l’État, il existe 42 tribunaux
administratifs en France.
Le degré de juridiction :
On passe au second degré de juridiction : distinction entre ordre judiciaire et ordre administratif : en
droit privé on retrouve les cours d’appel et en droit public on a les cours administratifs d’appel.
- cours d’appel : 36 en France : toutes les cours d’appels ont des compétences générales, toutes les
cours d’appel se charge du droit privé : dans chaque cours d’appel, les chambres sont répartis en fc des
spécialités.
Il existe des juridictions qui sont au dessus du 1er et 2nd degré : La cours de cassation (ordre judiciaire)
et le conseil d’État (ordre administratif), ils ne sont pas un 3ème degré de juridiction :car elle ne rejuge
pas l’affaire, il ne s’intéresse pas aux faits, on va contrôler l’application du droit par les juges du fond.
La Cours de cassation : ne rejuge pas l’affaire, elle vérifie si la loi a été bien appliquer par les juges du
fond. : 2 types de décisions : les juridictions qui émanent des décisions : on parle d’arrêt lorsque la
décision cela vient des cours, on parle de jugements pour les tribunaux.
2 types d’arrêt :
- Arrêt de rejet :
- Arrêt de cassation : casser ou censurer la décision des juges du fond :
Cours de cassation : situer à Paris : car son rôle de vérifier l’application du droit vise à garantir une
unité dans la pratique du droit. Elle est diviser en 6 chambres spécialiser : 3 chambres civiles, 1
chambre commerciale, 1 chambre sociale, 1 chambre criminelle. Il arrive que certains conflits touchent
à la compétence de plusieurs chambres. Dans ce cas la, la cours de cassation rend une décision dans
une chambre mixte : 3 juges différents. La cours peut se réunir en assemblée plénière : - sujet de société
délicat (ex 2000 : l’arrêt perruche dit que l’enfant ne peut reprocher à ses parents d’être né).
- se réunie aussi lorsqu’il s’agit de remettre en question une décision :
- Le conseil d’État : au sommet de l’ordre administratif : même rôle que la cours de cassaion, voir si le
juge a bien fait le travail, mais le conseil d’État à un rôle en plus, il a une fonction de conseil au prés du
gouvernement. Diviser en 6 sections : 5 sections administratifs (apporte conseil au gouvernement)
concerne les finances, l’intérieur, les travaux publics, le social, les rapports et les études.
, 1 section contentieux : fait le travail de la cours de cassation
Le droit comparé consiste classifier les grande système juridiques : analyser les similitudes et les
différences surtout pour en voir la comptabilité
Les pays de tradition civiliste sont soumis au droit romano germanique, ce sont des pays européens
pour la plupart qui ont en communs la construction de leur système juridique sur le système romain.
Les inspiration romaines laissent une place importante dans le droit écrit, expliquant que la relation
entre la loi et le juge est marqué par la complémentarité. Le juge applique la loi. Il existe un code civil
pour tous ces pays. Certains auteurs font la distinction entre les droits latins et les droits germanique
(allemande) : Italie, France, Espagne, Italie, Portugal, Québec contre Allemagne, Autriche, Suisse et
Norvège. Différences entre les 2 : Tous les pays français se sont inspirés du droit latin et tous les pays
germanique ce sont inspirés du BGD 1896 (code civil allemand).
Le code civil de 1804 se nomme le code Napoléon :
Le droit français a subi plusieurs influence, et pas seulement l’influence du droit romain : la France
était diviser entre le Nord et Sud : Nord (droit écrit) et Sud (droit oral). On a retenu le droit écrit dès la
mise en place du code civil.
Principe inverse : Accord une importance à la jurisprudence, c’est-à-dire aux décision de justice. Dans
les système anglo-saxon (EAU et royaume uni), le droit provient du pouvoir judiciaire. La loi confirme
les positions acceptés dans la société. Cela signifie que le droit anglo saxon penche sur le droit positif,
et la tradition civiliste se penche sur le droit naturelle. En France on part de la theorie vers la pratique et
c’est l’inverse aux R-U et aux EAU. La common law est une approche empirique fondée sur
l’expérience. Aujourd'hui les lois lois écrites sont les statutes c’est-à-dire des règles généraux.
Rôle du juge : En France, c’est interprétation, il est tenu par les textes, et fait le lien entre les faits et le
droit. Démarche de manœuvre réduite
Le juge Anglais est plus libre, dans ces pays les jugements, décision sont guidés par l’équité que par le
contenu de la loi. L’éducation des juges va changer entre les pays.
Rôle de l’avocat : En France, l’avocat va chercher à chercher les critères de la règle pour l’adapter aux
faits.
En Angleterre et aux EAU, les avocats vont chercher des cas similaires qui ont été déjà jugés, comme
aucun cas ne ressemble à un autre, on cherche des similitudes en étant parfois de mauvaise foi,
convaincre le juge.
- A le droit talmudique : peu connu, et peu étudier : inspirer de la Torah : va plus loin que le droit.
Elle comprend des normes morales, car elle couvre des questions que le droit se refuse d’encadrer
(hygiène, nourriture). Il y a des règles qui relèvent du droit, avec des normes, des règles qui touchent
affaire monétaire et religieuse. On fait alors une distinction entre les règles d’origine biblique et les
règles d’origine rabbinique. C’est donc un système juridique cohérent. Les règles d’origine rabbinique
sont diviser en 2 : règle de la Torah écrite et règle de la Torah Orale.
Le D talmudique laisse place au précédent, semblable à la common law, mais différent car elle ne
donne pas de force obligatoire
- le droit musulman : 2 branches : règle relative aux cultes et règle relative aux relations humains :
spécialiste du droit musulman explique que ce qui relève du spirituel, relève du norme vertical (lien
entre le croyant et le seigneur), l’autorité juridique n’est pas censée intervenir. Si elle n’intervient pas,
cela signifie que le droit dans ces cas las ne sert que d’instrument. Le droit est un support aux règles.
On précise les règles à un gros degré de précision, pour éviter l’interprétation
Règle relative aux relations humains : édicter des textes qui fixent des principes fondamentaux en
rentrant le moins possible dans le détail. Interprétation importante ici. Le droit musulman connaît une
subdivision.
Le système de droit musulman a un principe de l’intérêt : c’est-à-dire que cela signifique que tous les
textes de la charia visent à toucher l’intérêt personnel et collectif. La place que prend le critère est plus
importante car toutes les règles de charia visent à la notion d’intérêt. L’intérêt collectif l’emporte.
Le droit musulman est fait de théorie : école de pensé juridique : école hanafite (empire ottoman) :
système juridique s’exerce dans un contexte laïque. Le droit musulman propose une distinction entre
les règles liées aux cultes.
Constat objectif : problème entre l’articulation des règles qui relèvent des rapports humains.
Le droit musulman ne doit pas imposer un mode de vie à une personne croyante.