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Introduction au droit

Lundi 4 sept :

C’est l’intro à l’ensemble des matières et des principes fondamentaux du droit.


Étudier les systèmes de droit. Règles de droit, règles religieuses ou moral ?

Chapitre préliminaire :
Qu’est ce que le droit ?

Le droit c,est un ensemble de règle (ce qu’on doit faire, ou pas faire), de conduite
social qui s’impose aux membres de la société.

Le droit est constitué de normes juridiques (règles de conduite)

Sect 1 Droit et utilisation dans toute société humaine :


souvent utilisées : on utilise sans s’en rendre compte. Acheter du pain > contrat de
vente, voter> droits électorales, besoin d’argent > emprunter droit bancaire

Drts= Traduction abstraite d’événement concrets, travaille du juriste consiste à


traduire une situation concréte en langages juridique, il appartient à l’avocat de
qualifier en terme juridique une situation concréte ex:mariages, pacs

Droit inhérent à la vie en société :


-On peut pas vivre ne société sans droit : Robinson tout seul pas de règles >
vendredis> orga de la vie (ce que je peux faire ou pas)

-Pas uniforme (droit fr diff/ All) une même question pas traiter différemment(droit
des femmes)

- une nécessité absolue, c’est un pheno sociale qui est le propre de l’hô, car abeille
pas de conscience

Pq le droit est une nécessité et qu’on a besoin dans toute société :

- Idéal de justice> relation entre hô> naissance du droit>droit règle liberté indiv>
conflit car inéluctable en société

-Droit evol au fil du temps (avortement, mariage homo)


-facilite vie sociale et indiv rend la vie + prévisible, je dois savoir ce qui va m’arriver si
je fais quelque chose, sorte de secu.

Intérêt du drts

- comprend un grnd nombre de règles qui concerne les diff aspect de la vie hum,
regroupés par matières (civil, admin etc.)

-connaître règles fondamentale but du cours ou même intérêt pour sa vie indiv,
citoyenne, pro ou privé. Est ce que je dois me marier ect… Pour un chef d’entreprise
connaître les rgles pour que sa responsabilités pour ne pas que sa responsabilités
soit pas engager.
Des entreprises vont s’implanter dans des pays fiscalement intéressant Gafam mais
payent amandes dans les pays ou ils sont installées.

Drts discipline autonome :

- Langage propre> faux ami> conjoint dans le langage courant (toute sorte de
relation en couple) diff du langage juridique (celui qui marié avec une personne),
enfant lang courant=jeunes/ juridique= droit de succession héritage des parents on
est enfant toute sa vie.

- Tous les termes ne peuvent pas être remplacer par des mots du lang courant>
juriste intervient pour traduire, expliquer. Médecin : Patient « j’ai mal au ventre »
doit traduire en diagnostique, jurst pareil

-discipline spécifique, repose sur catégories : tous ce qui existe est classés : personne
physique diff de pers morale, meuble diff d’immeubles. Trav de jurst est de
catégoriser de classé les évènements pour en déterminer le régime.

- Droit découpe la réalité en catégorie (embryon diff de personne donc pas


d’homicide dessus)

-adopte une méthode précise de raisonnement et d’analyse :


Art. 1240 : « Tout fait quelconque de l’hô qui cause à autrui un dommage, oblige
celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer »
obligation, bien de cause à effet si il y a un préjudice commis par une faute celui qui
la fait, doit la réparer> interprétation.
Droit objectif et subjectif :

obj: ensembles de règles abstraite anglais:Law, vise le système juridique dans son
ensemble

subj : prérogative reconnue à un indiv, j’ai subi un préjudice et je dois être réparé art
1240 : Droits des sujets de droits. prérogative individuelle accordée aux personnes
par le Droit (par exemple le droit de propriété ou encore le droit au respect de la vie
privée).

Section 2 : Specificité du droit par rapport à d’autre système


normatif.

1) Les diff systèmes de droits :


droit/ justice/ équité
-Justice= idéal absolue, but du droit
l’hô est de nature féline on peut pas atteindre cet idéal donc> justice du moindre
mal.
-Droit= but de garder l’ordre social
-Équité= sentiment intérieur , juge doit parfois, pour être plus juste doit adapter les
règles au cas concret.

Médecine est universelle pas le cas du droit, pas vocation à l’universalité, droit
constit différent, organisation du système dépend des états, monarchie ou rep, diff
parlement etc.
Droit civils : Homosexualités pas admis dans tous les pays. Drt varie selon pays
époques, la culture et l’hist des pays. Fr qui se marie avec All, vie en Australie et fait
le mariage aux us > ici droits inter privés décide de quel droit prédomine.

-Droits comparés> met en relation les différents systèmes juridiques et les compares.
Peut permettre la création par inspi de nouvelles règles par pays

On distingue 4 grandes familles :

-Droit romano-germanique : celui roman reçu en all au XIVème et XVème siècle.


Droit Latin = Ital, Fr, Esp, Prtgl, Bel

Droit Germanique = All, Autriche, Scandinavie, Suisse.

Évolue différemment en fonction de la religion et de la culture , fr unification


juridique en 1804 avec le code civil, Fr suivie par Bel, Québec etc.
Ce qui les rassemble et la mêmes conception de la règle de droit qui vient de la loi et
à un caractère générale, c’est au juge d’interpréter la loi, il a donc un rôle important

-common law : Angleterre pays Anglo : US, Aus, Canada pas (Québec),N-Z, Af-du Sud.
Distingue par drt Jurisprudentiel fondé sur les précédents des décision de justice.

-Drts socialistes : Pays de l’est, Ancien de l’URSS, s’inspire de l’idéologie marxiste,


socialisation de tous les moyens de prod pas de propriétés indiv. Ex actuel : Corée du
Nord> pays de l’est évolue vers droit romano germanique.

-Drts religieux : Trouve sa source dans la religion, drts canonique, drts


israélien>Torah>Drts musulman> drts indissociable de la religion> peut créer des
conflits si la loi s’oppose à celle de la religion.
État laïque règle de la rep sup aux droits religieux

2) Le droit et la religion :
-rapport entre religion et drt varie selon les pays. En Fr disciplines distinctes, drt
règles rapp entre indiv, religion règles les rapp de ces indiv avec une divinités.

- religion impose une conduite morale donc parfois la religion et drts ne font qu’1> à
l’époque en Fr ps drts de divorcer> interpénétrations religion drts varie selon les
époques et les pays. Drts Fr inspirées du catholicisme à l’époque mtnt influence
moins grandes

-État laïque : ignorance théorique de la religion par le drt


loi 1905 : reprise par constit de 1958 religion = simple activité privé côm une autre,
chacun est libre d’avoir une religion.

-Mais il arrive que le droit prenne en compte la religion (prise en compte des fêtes
religieuses)

§3- Le droit et la morale :

Le droit vise le juste> paix sociale


La morale vise le bien, le perfectionnement de l’individue

Différences :
- Sources : Morale> origine religieuse ou même la morale intérieur à l’homme
Droit> Origine laïque> autorité extérieur
- Certaines règles morales ne sont pas reprise par la loi (aidé une personne dans le
besoin= pas obligatoire)
- Devoir morale> pas sanctionner pas obligatoire
Droit> obligatoire de suivre
- Pas la même finalité :
Droit> Respect du juste> ordre social organisé de la façon la plus juste
possible> certaine règles juridique n’ont aucun rapport avec la morale ( règle qui
organise les juridictions)
Morale> vise le bien

Le droit et la morale s’ignore tous autant que la religion et le droit

On ne peut pas nier l’influence de la morale> théorie de « l’obligation naturelle » on


se sent obligé d’aider vis-à-vis de notre conscience

Le droit sanctionne des comportements qui sont aussi condamnés par des
prescriptions de la morale > « tu ne tueras point » (homicide)> art 6 code civil parle
des bonnes mœurs

lien + ou – étroit selon les époques et les pays

Avant droit français interdisez les donations à ses amantes ou maîtresse pour
entretenir la relation, mais si cela est pour adoucir la rupture c’est OK.
Cour de cassation a fait un revirement aujourd’hui > accepte qu’on puisse faire un
testament à ça maîtresse> le droit c’est donc détachée de la morale

Aujourd’hui il y a des nouveaux problèmes> lois bioéthiques > morale> le législateur


essaye d’installer une morale laïque.

§4- Le droit naturel et le droit positif :

Droit naturel= conception idéal du droit> ce à quoi le droit devrait tendre

Le droit positif c’est le droit écrit : la constitution, les lois… C’est donc le droit issu du
législateur.
Le Droit naturel est l'ensemble des droits que tous les humains sont supposés
posséder en raison de leur commune nature, et abstraction faite de toute institution
conventionnelle.
Les différents courants du droit naturel:
- Selon Aristote, le droit naturel est un principe supérieur inscrit dans la nature des
choses.
- Saint Thomas d'Aquin, estime qu'il faut combiner la philosophie grecque et la
religion chrétienne. A côté de la loi divine, il y a la loi naturelle qui peut être
découverte par la raison parce qu'elle a été inscrite par Dieu dans la conscience de
l'Homme.
- Pour Grotius, le droit naturel découle de la nature de l'Homme et non de Dieu

François Gény pense que le droit naturel est immuable est universel> cela réduit le
contenue des règles communes trouvait> si on compare les époques et les pays
différents.

Aujourd’hui> On pourrait comparé cela au principe fondamentaux reconnus par la


CEDH

- Courants positivistes :
- Le positivisme juridique : Consiste à affirmer que le droit positif se suffit à lui-
même, il tient son autorité de l’État qui l'a édicté
- Le positivisme sociologique: considère que le droit positif est le reflet de l’état des
mœurs
- Partisan pense que le droit tire son autorité de l’État
- Kelsen> théorie pure du droit> développe normativisme> il est à l’origine de la
pyramide des normes

Intérêt de la distinction:
- Le législateur doit il respecter un droit naturel pour établir un droit positif ?
- Que décider quand il y a conflit entre droit positif et droit naturel ?> non on peut
pas empêcher le respect d’une loi parce qu’elle est contrainte au droit naturel>
risque que chacun fasse son droit naturel
- Peut-on s'insurger contre le droit positif au nom de la supériorité du droit naturel ?

CEDH = Droit positif > pas droit naturel

Part1 : Le droit objectif :


3 question :
- Qu’est ce que cet ensemble de règles de droit ? (ce qui compose le droit objectif)
- Qui fait le droit ? (les sources juridiques)
- Comment sont appliquées les règles de droit ? (la mise en œuvre du droit objectif)

TITRE 1 : Les composantes du droit objectif :


CHAPITRE 1 : La règle de droit :
ATTENTION : La loi DISPOSE et le contrat STIPULE !

Car contrat on choisit les termes de celui-ci> pas le cas du contenue de la loi

Le droit c’est un ensemble de règles destinées à régir les rapport humain à l’intérieur
d’un état.

Section 1 : Les caractères de la règle de droit :


§1. La règle de droit est abstraite, générale et permanente :

A) La règle de droit est abstraite, impersonnelle :


La règle de droit à vocation à s’appliquer à un ensemble :
- la loi s’énonce de manière générale>elle se distingue d’un contrat ou d’une décision
de justice, la loi ne juge pas une personne mais des sujets de droit > elle est donc
formulé de manière abstraite> elle va donc énoncé parfois des règles très générale.
(ex : ordre publique etc.)

B) La règle de droit est générale :

- Tous les citoyens sont soumis aux mêmes règles>


- La loi à un domaine d’application définie> géographie

La loi s’applique sur un territoire donné et à des citoyens donnés

C) La règle de droit est permanente :

Elle existe jusqu’à ce qu’elle soit abrogé

Les lois ont une différence de durée de vie (finance plus court> alors que la laïcité
1905)
Tant que le législateur décide pas de mettre un terme à la loi> elle continue de
s’appliquer
Le législateur a décidé que tous les 10 ans il fallait revoir les lois bioéthiques

Si de trop de changement> pose problème pour la connaissance de la loi


Avec c’est 3 caractères on peut mettre en évidence la prévisibilité de la loi et de la
connaissance de la loi

§2. La règle de droit est obligatoire :


- Toutes les règles s’impose au sujet de droit> elle sont coercitive> le droit
commande> le droit impose.

A) Les règles impératives :

Elle impose c’est une règle d’ordre publique, la règle impérative on ne peut pas
échapper à l’application de la loi.

Art.6 : « On ne peut déroger, par des conventions particulières, aux lois qui
intéressent l'ordre public et les bonnes mœurs. »

Mais comment reconnaissons-nous une loi d’ordre public?


C’est l’ordre qui va viser à faire respecter un intérêt supérieur :
- Règles sur l’organisation étatique
- En droit privé on a des lois aussi sur l’ordre publique dont art.1213 «la fidélité entre
époux»
- Loi qui impose pas d’autre choix que de l’impliquer

B) Les règles supplétives :


La loi impérative> impose
La loi supplétive> propose> ex : mariage> si pas de contrat de mariage> époux
soumis aux lois choisie à la place des époux> mais les époux peuvent faire un choix
Cela laisse donc un choix au sujets.
La règle religieuse à quand même un caractère obligatoire car on la respecte par
obligation si on est croyant et adepte de la religion.
La règle de droit est la seule qui fait objet de sanction.
§3. La règle de droit est coercitive et fait l’objet de sanction :
A) L’auteur de la sanction :
Celui qui impose la sanction est le législateur
Celui qui peut appliquer la sanction est le juge
Principe de l’égalité des peines> le juge doit rester dans la fourchette prévue par la
loi
- Code pénal= charte des grands brigands car ceux qui connaissent la loi, peuvent la
contourner. A l’époque on ne pouvait pas condamner le délit de filouterie (partir
sans payer) > car celui pas prévue dans le code pénal
Celui qui va appliquer la sanction c’est le juge> le juge à une appréciation plus où
moins libre selon les cas (ex :entre 5 et 10 ans)
Parfois juge pas de marge de manœuvre

B) La diversité des sanctions :


- Sanctionner une personne> emprisonnement> amende (en faveur de l’État)>
sanction civil= déchéance des droits
- Sanctionner un acte= annulation (ex : contrat ne respecte pas le droit)>
récupérations des dommages par un acte > dommages et intérêts
Tant que la loi ne sanctionne pas une règle de

Types de sanction Sanctions pénales Sanctions civiles

Amendes, emprisonnement, retrait ou


Dommages-intérêts, nullité d'un
Exemples suspension du permis de conduire,
contrat, expulsion, saisie de biens
travaux d'intérêt général

Section 2 : Les formes de la règle de droit :


La règle écrite :
- Forme la plus fréquente et privilégié
-La loi :
- Au sens formel: toute décision émanant du Parlement (auteur)
- Au sens matériel : synonyme de règle de droit (contenu)> peu importe
l’auteur
Projet de loi= Gouvernement propose au député
Proposition de loi= parlementaire propose

C’est projet et proposition sont étudié dans une commission> parlementaire désigné
pour faire un rapport sur la proposition de loi> puis débat au parlement
Le même circuit est aussi fait au sénat
Il faut que ce soit voté dans les mêmes termes par l’assembles et le sénat

Les types de loi qui existent :


- Les lois constitutionnelles
- Les lois organiques> Viennent préciser la constitution> Ex : réduction du mandat de
5 à 7 ans
- Les lois ordinaires> lois du quotidiens émanent du parlement> Mais peu aussi
exceptionnellement émaner du pouvoir exécutif :
- Art.11 de la constit = Ce texte permet au président de la rep de soumettre
un projet de loi à un référendum
- Art.16 de la constit= Permet au président de la rep de prendre des mesures,
exigée par les circonstances (instit de la rep menacé ou l’indépendance de la
rep)> on donne tous les pouvoirs aux présidents de la rep> quasiment jamais
utilisé > utilisé au moment de la guerre d’Algérie en 1961 par D.G> peut
prendre toute mesure même si porte atteinte aux libertés individuelles.
- Art.38 de la constit= Permet au gouvernement de faire la loi à la place du
parlement> gouvernement qui veut réformer une matière rapidement>
Demander l’autorisation du parlement de faire la réforme par ordonnance (en
2006 réforme du droit des sûretés par ordonnance> parlement à répondue
oui> mais non pour le cautionnement > c’est pour une durée limité et dans un
domaine limitée)> Gouvernement fait l’ordonnance et en dernier ratification
de l’ordonnance par une loi du parlement> permet de réformer plus
rapidement que le parlement.

Les autres règles de droit écrit :


- Le traité> Accord international> dés lors qu’il est ratifié par le parlement
- Le décret> Art.37 de la constit > prévoit ce que le gouvernement peux faire
Des lois par décrets> plusieurs niveaux :
Municipale> maire
Régionale> préfet
Nationale> Gouvernement
-Tous les décrets ne sont pas des règles de droit> car un décret ne peut être
fait que pour une raison individuelle (Ex: Un décret de nomination d'un haut
fonctionnaire ou d'un magistrat)
- Décrets réglementaires :
- Un décret simple> émane directement de plusieurs ministre
- Décret pris en conseil des ministres
- Les décrets après avis du conseil d’État> dans certain domaine
important le gouvernement doit demander l’avis du conseil d’État

La règle orale : la règle coutumière> plutôt dans l’Histoire > mais utilisée aussi a
l’heure actuelle dans de nombreux domaines :
- Bcp dans le droit international
- Niveau national
- Niveau local
- Droit des contrats
- Les usages entre les commerçants

Éléments constitutifs de la règle coutumière :


- Éléments matériels> Long est constant dans l’usage > un comportement, fait qui se
répète dans le temps
- Éléments psychologiques> conviction que l’usage est obligatoire, sentiment du
justiciable qu’il va être sanctionné si il ne respecte pas la règle > Ex : pendant
longtemps la fille prenait le nom de famille du marie et pensait que c’était
obligatoire

CHAPITRE 2 : Les différentes branches du droit :


Droit internationale : Droit privé, Droit public
Droit nationale : Droit privé, Droit public

Section 1. Distinction entre droit international et droit interne :


- Droit interne > ensemble de toutes les règles qui s’applique dans les limites, des
frontières d’un État Art.3 Code Civil :

« Les lois de police et de sûreté obligent tous ceux qui habitent le territoire.
Les immeubles, même ceux possédés par des étrangers, sont régis par la loi française.
Les lois concernant l'état et la capacité des personnes régissent les Français, même résidant en
pays étranger. »

Droit international :
- Droit international public> Concerne les rapports entre les États> rapport de la
France avec des orgas comme l’ONU
- Droit international privé> Éléments concernant les particuliers> loi qui décide,
qu’elle loi prédomine> Ex : Pour mariage
Section 2 : La distinction entre droit public et droit privé :
§1. Le principe de la distinction :
- Droit privé : ensemble des règles de droit qui sont applicables dans les rapports
entre particuliers (= personnes privées, en droit, d’où le terme).
- Droit public : ensemble des règles de droits écrites ou orales qui organisent les
pouvoirs publics, qui régit les rapports des personnes publiques entre elles et les
règles applicables entre personnes publiques et personnes privées

Reconnaître une règle de droit privé et une règle de droit public :


- Il faut regarder qui est concerné par la règle.
- Dès qu’une personne publique est concernée par cette règle, c’est une règle de
droit public

Pourquoi de distinguer :
- Différent par la philosophie :
- Droit public : assuré le triomphe du générale> du bien collectif>
personne publics plus forte que les personnes privés.
- Droit privé: Assuré la paix sociale> sur une base égalitaire

§ 2. Les principales branches du droit public et du droit privé :


A- Les principales branches du droit public :
- Droit constitutionnel
- Droit administratif > règles relatifs à l’organisation de l’administration et des
relations de ces admins avec les agents
- Finances publiques > Comment ces personnes publics se procurent des ressources
et les utilisent> Droit budgétaire (Comptabilité publique)> Droit fiscal

B- Les principales branches du droit privé :


- Droit civil> relations juridiques entres les citoyens= Civis > Droit commun= Vocation
à s’appliquer chaque fois qu’il n’y a pas de règles spéciales> Droit des obligations>
droit des centrales> droit de la famille> Droit des régimes matrimoniaux> Droit des
personnes
- Droit commercial
- Droit rural
- Droit des assurances
- Droit bancaire

C- Les branches mixtes :


- Droit pénal :Droit répressif> punition en faveur de l’État> donc droit public> Mais le
voleur doit rendre le bien volé à la victime et la présomption d’innocence etc. >
relève du droit Privé (Constitué partie civil)
- Droit judiciaire :État qui organise la justice > Mais règle pour protéger les
particuliers qui agisse en justice
- Droit social :Privé > droit du travail> Mais public car sécu
- Droit de l’environnement
- Droit de la santé : Santé public> hôpital> Mais privé> médecin libérale

Section 3. Le droit civil :


§1. Le droit avant le code civil :
A)L’Ancien droit :
Pays de coutume et pays de droit écrit :
- Au Nord : Droit essentiellement oral et souvent marqué par le droit germanique.
Ex : la Coutume de Normandie (s’applique encore dans les îles anglo-normandes>
pays de coutume, 60 coutumes d’application générale et 700 coutumes locales
- Au sud : très influencé par le droit romain, soumis au droit écrit

Cela marche du moyen-âge à la révolution :


- Le droit n’est pas uniforme> plusieurs droits> pas réellement d’État au sens
juridique

Facteur d’unification :
- Le droit canonique> église catho> s’applique à tous les cathos > peu importe si sud
ou nord
- La rédaction des coutumes> A l’origine règle oral> devient règle écrite (ex : grand
coutumier de Normandie)
- La jurisprudence des Parlements de l’Ancien Régime> Arrêt de règlement= les
parlements faisait des véritables règles de droit> rédigée de manière générale et
impersonnelle> ne réglait plus les litiges entre les personnes> Aujourd’hui les juges
n’ont plus le droit de crée la loi
- Les ordonnances royales> Ordonnance de 1673 sur le commerce terrestre >
Ordonnance Colbert de 1667 Ordonnance civil pour la réformation de la justice>
instaure certain grand principe sur le procès et certain nombre de règle pour le droit
du travail
B) Le droit intermédiaire :
de 1789 au Code civil
Remet en cause tous les grands principes existant :
1er = Remise en cause de l’église et donc du droit canonique> on rend laïque l’État
civil (acte de naissance etc.), on peut divorcer pour incompatibilité d’humeur
2ème= remise en cause de l’organisation féodale> nuit 4 août 1789> suppression de
tous les privilèges
3ème= remise en cause de toute les règles de droit écrit issues de ces systèmes
inégalitaires ( droit d’aînesse, privilèges de masculinité> tous les enfants peuvent
hériter)
4ème remise en cause= avènement du droit de propriété, propriété indiv

§2. La codification du droit civil :

A) La codification napoléonienne :
Rédaction en 1804
Napo choisit les rédacteurs
- Portalis> a présenté le projet de Code Civil à l’assemblé> a rédigée le discours
préliminaire> il était avocat et parlementaire> puis a vécu à l’étranger> ce qui lui a
permis d’avoir une vision générale et avait aussi une vision à long terme pour le
Code Civil
- Malleville> Sud
- Bigot de Préameneu> Nord> Coutumier
- Tronchet> Nord> Coutumier

Des lois générales en nombre limité> Auteur ne peut pas arrêter l’évolution
juridique> Il voulait que le droit évolue avec comme base le code civil
Une législation de compromis >Volonté de Napoléon d’avoir à part égal coutumier et
écrit dans la rédaction> Ne pas faire table rase du passé> mais un terrain d’entente

Code Civil :
- Reste individualiste > consécration des individus
- Famille, personne> Globalement conservateur> plus de divorce> incapacité de la
femme marier> schéma hiérarchiser de la famille

Critique du Code Civil sur certain point :


- Trop individualiste
- Trop accentué l’autorité du marie dans la famille
- Règle trop générale en nombres limités> code lacunaires> avec le dev industriel>
code n’ayant pas assez de règle> alors qu’avant c’était considérée comme un
avantages
B- Les évolutions du Code civil :

Pendant le 1er siècle de sa création, le code à peu évoluer


Au XXème siècle réelle évolution> droit des personnes et de la famille s’est
libéralisé> ses 10 dernières années réécriture ( divorce sans juge etc.)

Apparition de nouvel branche du droit> droit de propriété> protection du


consommateur> évolution du Code Civil> accompagnée de la jurisprudence
(Ex:Réforme 2016> réforme tous le droit des contrats)

TITRE 2 : Les sources du droit :


La hiérarchie des normes de Kelsen

Cette Hiérarchie des normes est devenue plus


complexe qu’à l’époque de Kelsen :
- A l’époque> hiérarchie des normes nationale
- Maintenant> aussi source du droit international

La norme de référence est la loi :


- Source supra-législative
- Source infra-législative

CHAPITRE 1 : Les sources supra-législatives :


Section 1 : Les sources de droit interne : le droit constitutionnel :
La constit est le texte dans lequel on décrit la structure et le fonctionnement des
pouv publiques, mais aussi des principes fondamentaux auquel on a attribué une
importance fondamentale : (Ex : Charte de l’environnement)
Le bloc de constitutionnalité est protégée et défendue par le conseil constit
Section 2 : Généralités relatives aux sources internationales :
§1. La source des règles et leur mise en œuvre :
A. Traités internationaux :
Traités> convention= pacte accord conclue entre 2 ou plusieurs États
Traités bilatéral= 2 parties
Multilatéral= plusieurs États

- Traités-contrats = Traités commercial, entraîne l’engagement des choses


réciproques> contrat de vente mais au niveau étatique
- Traités-lois= Traités normatif qu’a pour but de crée une règle de droit qui sera
applicable dans tous les pays signataires (Ex : convention des droits de l’enfant signé
à New-York et ratifié par la France en 1989) ( Convention de la Haye)

B. L’applicabilité directe des traités internationaux :


- En France, on retient le monisme avec primauté de l’ordre international.
- La conséquence est que le traité est supérieur à la loi dès lors qu’il a été ratifié
- Article 55 Constitution: « Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès
leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité,
de son application par l'autre partie. »

Monisme= Ordre Juridique unique dans lequel le droit national et le droit


international s’imbrique l’un dans l’autre avec primautés de l’ordre inter> France

Principe de réciprocité chaque État s’engage à respecter le texte> si un ne l’applique>


l’autre est autorisé à ne pas le respecter

Dualisme= Deux univers juridiques> ordre interne et ordre internationale

- Sur les traités moins importants Art.52 le président ratifie « Le Président de la


République négocie et ratifie les traités. Il est informé de toute négociation tendant à la conclusion
d'un accord international non soumis à ratification. »
- Sur le traités plus important Art.53 le parlement autorise le président à ratifier « ne
peuvent être ratifiés ou approuvés qu'en vertu d'une loi. »
§2. La hiérarchie des normes internes et internationales :
A. Le contrôle de conformité des traités internationaux à la
Constitution :
- Si traité est conforme à la constitution= il intègre l’ordre juridique
- Si traité n’est pas conforme à la constitution= ratification du traités ne peut
intervenir qu’après la modification de la constitution

Donc cela montre que la constitution est plus forte.

Mais est-ce que le traités n’est pas au niveau de la constit si on la change

Le Contrôle est exercé par le Conseil Constitutionnel :


- Selon l’article 54 de la Constitution, si le Conseil constitutionnel a déclaré qu’un
traité international est contraire à la Constitution, la ratification ou l’approbation du
traité ne peut intervenir qu’après révision de la Constitution
- On ne peut pas intégrer dans notre droit des traités qui disposeraient de clauses
contraires à la Constitution

B) Le contrôle de conformité des lois aux traités internationaux ou


contrôle de conventionnalités :
C’est le fait de vérifier que les lois sont conforme aux traités inters leurs sont
supérieurs
- Une loi ne peut pas être contraire à un traité international
- Le contrôle de conventionnalité est effectué par la Cour de cassation et le Conseil
d’État
- On va avoir des lois antérieurs à la Convention Internationale et aussi postérieurs
qui vont être vérifié

Cour de Cass. Arrêt Jacques Vabre 24 mai 1975 : il s’agissait d’un problème sur la
circulation des biens (avec le traité de Rome) ; est-ce qu’on peut annuler une loi
contraire au traité de Rome ? La Cour de Cassation s’est déclarée compétente pour
apprécier la conventionnalité d’une loi. Elle a annulé la loi contraire au traité.

Cons. D’État Arrêt Nicolo 20 oct. 1989 : Le conseil d’État a changé sa position, il a
adopté un revirement de jurisprudence et s’est déclaré compétent pour faire ce
contrôle de conventionnalité.

La cour de cassation et le conseil d’État ne font que répondre aux questions


Depuis ces 2 arrêts, il considère qu’ils peuvent vérifier la conventionnalité de la loi
Section 3 : La Convention européenne des droits de l’homme et
des libertés fondamentales (Conv.EDH) :
§1. Les principes défendus par la Convention (Conv. EDH) :
- Article 2 : droit à la vie
- Article 3 : Interdiction de la torture et des traitements inhumains et dégradants
- Article 4 : Interdiction de l’esclavage et du travail forcé
- Article 6 : pose et reconnaît le droit à un procès équitable, public, dans un délai
raisonnable et devant un tribunal indépendant et impartial.
- Article 7 : principe de légalité des infractions et principe de non-rétroactivité de la
loi pénale
- Article 8 : droit au respect de la vie privée et familiale
- Article 12 : droit au mariage
- Article 14 : Interdiction de toute discrimination

La convention européenne sauvegarde des droits de l’homme et des libertés


fondamentales
Elle a été ratifié à Rome en 1950
Ratifié par la France en 1974
Cette convention s’applique dans les pays signataires et prend sa place juste au dessus
de la constit
§. 2 La Cour européenne des droits de l’homme (Cour EDH ou
CEDH) :
A. L’organisation et le mode de saisine de la Cour EDH :
- Composition> 47 juges> 1 juge par pays signataires> élue par le conseil de
l’Europe> Lors d’un poste à pourvoir le pays propose 3 noms et le conseil de
l’Europe Statue> mandat de 9 ans> les juges doivent être indépendant de leurs pays
- Procédure>
- Invocabilité directe de la Conv. EDH devant les juridictions nationales= Sanctionner
directement le non respect
- Saisie directe de la Cour EDH
- L’État peut saisir la Cour> Mais généralement ce sont des particuliers qui estime
être victime d’une violation de la part de l’État

Contrôle de proportionnalité
- Lorsqu’un justiciable va soutenir qu’une loi française est contraire à un principe de
CONV.EDH> c’est la mise en balance de différent intérêt
- Peser différent intérêt> vérifier si l’atteinte aux droits fondamentaux est légitimer
par un intérêt et si sa porte pas une atteinte trop grave aux droit fonda
- Ce contrôle de proportionnalité est faite au cas par cas selon la demande faites aux
juges

Exemple : Mariages> Ex beau pères sort avec son ex belle fille> décède> le fils signal que cela ne respecte
pas la conv pour écartés la belle-mères de la succession
La femme soutenait qu’annulé le mariage est une atteinte disproportionné aux droits de mariages > La cour
de cassa a donné raison en faisant balance du droit de mariage

Affaire similaires mais que quelques années après la décision du mariage> donc annulations du mariage> pas
de droit de succession

- Possibilités aussi de saisir directement la cour européenne si les voies de recours


interne ont été épuisé

B. Le rôle de la Cour EDH :

CEDH accueille la demande> elle condamne l’État

Effet relatif des arrêts de la CEDH :


- Modification ultérieur du droit interne, État met en jour ça législation, mais pas de
réparation pour ce qui demande la justice
- Cour peut condamner l’ État à indemniser la partie demandeur= Satisfaction
Équitable
- Demande réexamens> possibilités de revenir devant la juridiction nationale avec
l’Arrêt CEDH pour obtenir un réexamens

C- Illustrations :
- Arrêt Borella c/France 25 mars 1992 sur le changement du sexe sur les actes d’état
civil (art. 8 droit au respect de la vie privée)
- Arrêt Mazurek c/France 1er févr. 2000 sur la condition de l’enfant adultérin (art. 14
interdiction de toute discrimination)
- Arrêt Pretty 29 avr. 2002 c/R.U. sur euthanasie et « droit à la mort » (art. 2 droit à la
vie)
- Arrêt Odièvre c/France 13 févr. 2003 sur le droit de connaître ses origines (art. 8
droit au respect de la vie privée et familiale

Section 4 : Le droit communautaire ou droit de l’Union §1. Les


institutions de l’Union :
Droit Européen à pour origine le traité de Rome du 25 mars 1967> qui a instauré la
CEE (la communauté éco européenne)
Traité de Lisbonne du 13 Décembre 2007> on parle donc de l’UE
§1. Les institutions de l’Union :
- Le Conseil européen : composé des chefs d’États et de gouvernements des États
membres. Il définit la politique de l’Union.
- Le Conseil de l’Union européenne : composé des ministres concernés représentant
chaque État de l’Union.
- La Commission européenne : pouvoir d’origine législative : propose les directives
au niveau de l’UE et fait exécuter les textes acceptés par l’Union
- Le Parlement européen : élu au suffrage universel, pouvoir de contrôle élargi.
Toujours saisi sur les projets de directive / pouvoir budgétaire. > législatif en collab
avec la commission européenne
- La Cour de justice de l’Union européenne : siège au Luxembourg > État agit contre
État ou organe de l’UE> saisie par la commission européenne contre un État>
recours en interprétations des textes Européens> Quand juge ne sait pas statuer> pose
questions> Réponse de la CJUE au tribunal s’impose au juge qui à posé la questions
c’est le verdict
Décisions de la CJUE ont un effet direct et obligatoire

§2. Les sources du droit de l’Union :


- Le droit communautaire ou de l’Union primaire> résume les grands traités
- Le droit communautaire ou de l’Union dérivé> droit qui découle du droit primaire 2
types :
- Les règlements> texte de porté générale et obligatoire dans tous les pays
membres
- Les directives> S’adresse aux États membres> résultat à atteindre> chaque
État à un délai pour transposer la directive dans son droit national> La directive
doit être transposée dans un délai fixé lors de son adoption (en général dans les
deux ans)
Section 5 : La Cour pénale internationale :

Juridiction permanente et universelle :


- Statut de Rome 17 juillet 1998
- Entrer en vigueur en 2002> car il fallait au moins 60 pays signataires
- Jugement ne peuvent pas être fait quand les criminelles sont jugés dans leur pays
- Chine et U-S n’ont pas signé

Compétence limitée, compétence pour 4 types d’infractions :


- Crime contre l’humanité
- Génocide
- Crime de guerre
- Crime d’agression
CPI ne peut intervenir que si le crime a été commis sur le territoire d’un État qui a
signé la convention, le conseil de sécurité de l’ONU lorsqu’un État n’a pas ratifié la
convention, peut donner la compétence à la CPI (Ex:2005, Darfour)

Compétence complémentaire= Uniquement en cas de défaillance de l’État> si pas


jugé par son pays

Réticence des États pour adhérer :


- Car attaché à la souveraineté Étatique
- Puis à trouver son origine dans les tribunaux militaires> reput de la justice des
vainqueurs

Première condamnation= 14 mars 2012> Thomas Lubanga

CHAPITRE 2 : Les sources législatives et infra législatives :


Section 1. La loi et le règlement :
La loi, au sens formel :
- Règle de droit votée par le Parlement (pouvoir législatif).
promulguée par le Président de la République,
- Publiée au JO (journal officiel) sous cette appellation.

Le règlement :
- Règle de droit qui émane du Gouvernement ou de l’Administration (pouvoir
exécutif).
- Seul le règlement contenant une prescription à caractère général et impersonnel
répond à la définition de la loi.
- Comme tel, le règlement est une source de droit au même titre que la loi, au sens
matériel.

§1. Les domaines respectifs :


L’art. 34 de la Constitution fixe un double domaine à la loi, de manière limitative :
- Le domaine dit « réservé » > La loi doit viser l’intégralité des règles
- Le domaine dit « partagé » > loi fixe le cadre+ décret précise (Ex : SMIC> chiffre)
L’art. 37 alinéa 1er Constitution précise que tout ce qui n’est pas contenu dans
l’article 34 relèvera nécessairement du règlement :
- Règlement pour l’exécution d’une loi> Domaine partagée> Salaire
minimum> un décret vient compléter la loi
- Règlement autonome
Articulation entre Art.34 et 37
Art.34= Liste limitative= Compétence spéciale> Compétence commun
Art.37= Tout ce qui n’est pas du domaine de la loi
Problème parfois les décret sont fait très en retard ou même pas du tous pour les
compétences partagés, Les lois avec décret d’exécution:
- Le parlement donne alors une date limite pour les décrets soit fait (mesure
d’application)
- Si pas de décret> on essaye d’appliquer la loi tant bien que mal

Règlement autonome :
- Le gouvernement va prendre des dispositions législatives dans les domaines qui ne
lui sont pas réservée
- Même autonome un décret reste inférieur à la loi> car ce n’est pas texte pris par le
parlement

La loi est issu du parlement comme prévu dans l’Art.34-1

§2. Les empiétements :

Les empiétements de la loi sur le règlement :


- Il s’agit de protéger les compétences réglementaires
- La constit ne prévoit pas de procédure particulière > Constit pas compétent pour les
actes Admin

Les empiétements du règlement sur la loi :


- Le parlement peut adopter une loi nouvelle pour annuler le décret
- Le Cons. D’État et autre juridiction peut sanctionner>
- Recours pour excès de pouvoir devant le Cons. D’État :
- Demande l’annulation d’un règlement contraire à la loi et argumente en disant
que le gouv à excédé ses pouvoir
- 2 mois à compter de la publication du règlement pour agir
- Recours ouvert à tous particulier
- Si le Cons. D’État reconnaît il va annuler> nullité
- Au bout de 2 mois nouvelle procédure > Exception d’illégalité :
- Perpétuelle> pas de délai
- A l’occasion d’un procès le justiciable soulève l’illégalité du règlement dont
l’application est demandé
- Juridiction admin et Judiciaire ( Ex : vous ne pouvez pas me condamner car le
décret est illégal)
- Juge judiciaire va devoir apprécier la légalité
- Si juge accepte cette exception, il en écarte l’application dans le litige
concerné> Mais le décret continue de s’appliquer pour tous les autres
Section 2 : La hiérarchie des normes législatives : Le contrôle de
constitutionnalité des règles législatives :

Avant : une fois que la loi était promulgué, on ne peut plus vérifier si elle est
conforme
Maintenant : Loi constit 23 juillet 2008 permet de vérifier après la promulgation
Avant promulgation : Art.61 de la constit permet de déférer au Conseil Constit le
texte de la loi
Qui peut saisir le Cons. Constit : Le président, 1er ministre, président du sénat et de
l’A-N> mais Loi du 29 Oct.1974 permet à 60 députés ou sénateur de saisir le Cons.
Constit
Il va examiner la loi par apport à la Constit

Qpc = Question prioritaire de constit> on peut contester après la


promulgation>permet à tout justiciable de contester, devant le juge en charge de son
litige, la constitutionnalité d'une disposition législative applicable à son affaire parce
qu'elle porte atteinte aux droits et libertés que la Constitution garantit.

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