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L’Œuvre de louis Sullivan

Entre les professionnelles qui participent dans l’école de Chicago , on


développe la figure de louis Sullivan (1856-1924), qui affronte le
nouveau thème d’édifice des bureaux, non comme un simple
problème technique ou fonctionnel, si non en liaison avec son
contenu culturel et social.
La critique architecturel bourgeoise a voulu voir, louis Sullivan seul
l’antécédent du mouvement moderne, surévaluée la solution formelle
extérieure des magasins (réserves ou entrepôts) Carson Piri Scott
(1899) qui annonce en premier lieu certains composant du
rationalisme de la décennie des années 20. Inclusive, cette vision
limitée de l’apport de l. Sullivan, s’est démontré tergiversant
(Bonta1977). En soulignant son utilisation de formes géométriques «
pures », carences de ornements, comme une expression de la synthèse
de sa conception architecturale. Au contraire la lecture des écrits de
Sullivan démontre que le principe de l’ornementation est inhérents a
l’expression symbolique ou significative du même, en terme, en terme
de message humain créateur, c’est-à-dire, en terme d’alternative au
technocratisme commercialiste et deshumanisante qui commence a se
développer dans ces années, comme conséquence de la débordement
de la spéculation d’idylle rampante.
. Affirme Sullivan dans son livre « Pourparlers avec un
architecte » :
Un édifice qui réellement est un ouvrage d’art, est dans sa nature,
essentielle et existence physique, une expression émotionnelle. Un
édifice décoré doit se caractériser par cette qualité ; que la même
impulsion émotionnelle coule harmonieusement par ses formes
variétés d’expression, desquelles, même si la composition de masse
est la plus profonde l’ornementation décorative c’est la plus intense
Dans ce sens, Sullivan est un des peux des architectes qui se pose
comme problème le lien entre la méthode de projet Beaux -Arts, les
nouveaux paramètres qui établissent le thème de l’édifice en
hauteur(immeuble) et l’utilisation des éléments expressifs
relationnel avec les racines culturelles nationales. C’est-à-dire,
refuse la tradition universelle, si non que l’assimile dans une nouvelle
anti thèse créatrice, qui intègre les valeurs spéciales locales. C’est une
qualité radicalement différente a l’assimilation par Daniel Burnham,
qui réalise le Reliance Bulding en termes strictement fonctionnelles
et ensuite constitut le Masonic Temple (1891) rempli des éléments
historicistes.
Deux édifices résument les recherches fonctionnels et formelles de
Sullivan ; le Guarenty Bulding (1881) a Buffalo et le Wainwright
Building (1890) en Saint Louis. Dans les deux , les composants
fonctionnels déjà cités s’intègre avec la recherche de la
caractérisation volumétrique et la structure figurative qui identifie
l’ouvrage de l’anonymat de la trame urbaine, sans affecter sa relation
avec elle. Il s’agit d’adapter a la nouvelle dimension urbaine , les
attributs traditionnels qui régissent la configuration de l’architecture
civile ; sous bassement , étages principale et corniche. Ses
propositions sont les suivantes :
Commençant par le réez de chaussée, nous le donnerons une entrée
principale qui attire la vue par sa situation et le reste des niveaux nous
traiterons d’une forme plus ou moins libre, expansive, splendide(..)
mais exprimer avec un sentiment d’amplitude et liberté. Dans le 1er
Etage (Niveau) nous faisons chose similaire mais avec moins
prétentieuses. Sur eux, dans le reste des infinis niveaux ou étages type,
nous partons de la cellule individuelle qui exige une fenêtre avec son
ouverture, son seuil et son chainage ou linteau, et sans plus ni plus
nous faisons tous égaux, parce que ils sont tous égaux . Et ainsi
nous arriverons a l’atypique qui non étant divisé en cellules des
bureaux, et par ses exigences spéciales d’illumination , nous donne
la possibilité de montrer par moyen de son ample pan de mur , et son
poids et caractère dominantes , ce qui est évidement un fait : qui est la
série des niveaux des bureaux définitivement terminer.
Sullivan construit deux édifices a Chicago, lesquels se trouvent entre
les deux importantes de la ville : L’Auditorium (1886) et le magasin
par département Carson Pirie Scott(1886). La valeur d’Auditorium
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radique dans son caractère polyfonctionnel qui préannonce les
solutions de centre d’utilisation multiple qui apparaissent dans le s
XXème siècle. Contiens l’auditorium magasins commerciales,
bureaux, hôtel, etc…Dans le Carson , même si on persiste la
traditionnelle classification des éléments classiques, on réduit a sa
minimale expression : la corniche c’est un auvent casi imperceptible,
le soubassement , formé par les vitrines et les accès , disparait
comme forme massive et volumétrique , pour accompagner avec un
ornementation métallique exubérante , la légèreté des pans de
cristal, le corps central de l’édifice assume une structure
composite horizontal , formé par des pans remarquable, résolus
avec un schéma de la fenêtre de Chicago. Inclusive, l’arête du volume
qui toujours se distingue visuellement par moyen de double pile de
fortification, il se dématérialise dans un nouveau volume cylindre
qui agit comme charnière d’articulation entre plans lisse des
façades , C’est évident que la particularité de l’édifice il se ressoude
en termes plus proche au système répétitif de la quadrillage urbaine
et a sa projection spatiale dans la maille structurelle d’acier.
La problématique culturelle de Sullivan était fondée dans la recherche
d’une expression architecturale, reflet des nécessités et du système de
valeurs du peuple Nord-Américain dans son ensemble. Mais
évidemment les compétences de ces édifices répondaient a un groupe
social réduit, dont les intérêts culturels ne coïncident avec ceux du
reste de la société. Pour ceux, lorsqu’ils ont assumé la conscience de
la nécessité des charges avec les valeurs symboliques, n’ont
recouraient à Sullivan, qui représentait la synthèse progressiste et
national, si non qui ont adapté les codes éclectiques provenant de
l’Europe. Pour différencier entre les ouvrages architecturaux .
L »exposition Colombienne de 1893 signale la crise des principes
limités positifs apportés par l4ecole de Chicago et le retrait
figuratif imposé par le carnaval éclectique . Sullivan, qui a partir de
cette date, recevra les charges mineures , la lueur cette
contradiction existence entre les nécessités sociales et les
impositions par la classe dominante :
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En autres mots , si nous voulons savoir pourquoi certaines choses sot
comme sont dans notre découragement architecturale, nous devons
dirigé notre attention au peuple, puis que nos édifices , tous , son
seul un énorme écran derrière lequel se cache l’ensemble de notre
peuple , même si spécifiquement les édifices sont des images
individuelles de ceux qui , comme classe , le peuple a délégué et
confié sa pouvoir constructif.
Si la bourgeoisie, à travers des grandes corporations, donne à la
société le chaos urbains et ses profonds contradictions, comme
expression de l’effréné spéculation commercial sur la terre et les
édifications, sera au niveau de la petite bourgeoisie, d’où se serviront
certains composants culturels de la tradition architecturale
progressiste nord-américaine.

LES TRADITIONS LOCALES DE L’ARCHITECTURE DES


BANLIEUX .
Les fondements culturels de l’habitat de la petite bourgeoisie
nord-américaine.
Comme alternative à la croissance des grandes villes industrielles ,
aux USA, il se développe un fort mouvement romantique, lié à la
tradition rurale, basée dans la valorisation de l’environnement naturel
, le travail individuel artisanal, l’exaltation (élévation) de noyau
familiale et de l’autorité patriarcale et l’idéologie émanée des sectes
protestants qui prolifèrent dans ce pays.
Il s’agit d’axe culturel inhérent a l’idéologie de la petite bourgeoisie
avec certes pénétrations dans une haute bourgeoisie traditionnaliste
et latifundiste- qui continue en Amérique du Nord, la ligne établit
par les socialistes utopiques, le mouvement Arts and Craft et la ville
Jardin de Ebenezer Howard, Cependant se différentie du courent
européen par sa majeur diffusion a l’échelle national , par ses
références historicistes limitées, résulte moins présente la récurrence
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de la figuration médiévale et par le poids qui possède en elle, les
penseurs , les politiques , les écrivains et poètes. La tradition rurale,
Jack Lodon, Walt Whitman, . Malgres des divergences tendances
qui représentent ces figures, une dénominateur commun c’est la
critique a l’industrie, le commerce et les finances, ainsi comme aussi
aux conséquences négatives du développement accéléré capitaliste ;
les crises cycliques , l’exploitation du prolétarien , la misère urbaine
et l’enrichissement excessif, non au moyen du propre travail si non
a travers de la spéculation , les finances ,etc…Par eux , Walt
Whitman, peut dire a la fin du siècle : « la société de ces états est
gagnante, rude , superstitieuse et pourrie(…) A cause, on a jamais
fait, comme maintenant ,grand vide de cœur , et qui au USA ? la
véritable foi parait nous abandonné. »
L’Evasion des Metropolis se produit, un premier, jusqu’aux
communautés « utopiques « qui profileront aux USA, sont versions de
la communauté de production , celles qui s’élèvent en Hancock,
Nauvoo, Phalanx, Oneida, Amona, etc… Mais le caractère réduit
de ces initiatives , convertie au banlieux urbaine dans l’aire de
concrétion du model de l’habitat de la petite bourgeoisie. Ici nous
percevons une grande diversité typologique de la maison, en
comparaison avec les expériences européens, malgré la persistance de
la construction du bois. Ils se produisent très alternatives
fondamentale qui prélude la maison suburbaine du XXème siècle :
l’utilisation du système ballon wood frame, dont la diffusion
massive caractérise les maisons ou logements modestes produits par
les spéculateurs ; le stik style, exemple dans le quel la tradition
vernaculaire rurale s’intègre au banlieux dans la diversité des
alternatives des schémas distribués et par après le shingle style ,
version aristocratique de logement rural et vernaculaire, élaboré
par l’architecte du prestigieux pour certains membres de la haute
bourgeoisie , avec les attributs fonctionnels et spatiales
caractéristiques des grandes logement luxueux.

Tradition et rénovation dans l’architecture de F. L. Wright.


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F. L. Wright.(1967-1959), résulte le principal interprète de cette
décision , qui, dans la décennie 1900-1910, construit dans
l’extérieures Chicago Oad Park- certains exemples qui assument un
caractère symbolique converti en modelés figuratifs qui sublimes et
universalisent0 dans la clef contemporaine , cette évolution de
logement individuel, d’où le vernaculaire et le fol chlorique ,
correspondait à une détermination spontanée, plus qu’a une
formulation théorique, et pratique basée en claire principes de
conception. C’est-à-dire, Wright, gagne une synthèse qu’intègre le
logement individuel suburbaine de la petite bourgeoisie dans le
tronc principal tronc principale de l’architecture occidentale.
En eux se différencie du groupe de professionnels qui opèrent dans le
thématique et utilisent un répertoire figuratif homogène, ce qu’on
appelle Prairie School- le lien des composants locaux avec ceux
provenant des autres cultures – la japonaise et l’européenne- et
définir avec précision de certains principes essentiels de conception,
qui ont perduré le long du XXIème siècle. Avec ceci nous voulons
réaffirmé que, Wright, exprime les valeurs culturelles d’un groupe
social concrète, participe à un mouvement figuratif d’un a un autre
créateurs de l’architecture des USA, et répond aux impératifs
fonctionnels , techniques , économiques et constructifs qui exigent
les circonstances specifiques de son mouvement historique,. Résulte
pour cela etrange à notre interprétation, la valorisation du « génie » ,
ou de la figure mythologique construite par les théories
bourgeoises , pour convertir l’histoire de l’architecture en un
autonome et spontané se succéder des grandes personnalités.
Wright, tente de donner a la petite bourgeoisie en particulier a des
couches plus fortunés , d’argents , son individualité perdue, tant la
structure anonyme s de la grande Metropolis , comme dans l’infini
répétions des cellules d’ habitation à l’inexorable processus
évolutif du capitalisme rencontre sa compensation dans le refuge
du foyer, de la , la valorisation de la cheminée centrale dans les
logement , symbole de la solidité et de perduration du système
patriarcal, dont la configuration interprète le « micro »
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individualité de la « micro» communauté . C’est à dire, à chaque
communauté correspond une structure forte spécifique, différente des
restes, qui se concrétise au moyen d’un production architecturale
artisanale et un lien directe et personnel entre compétence et
concepteur non lier, du système commercial de production de
logement , contrôler par les spéculateurs (gestionnaires immobiliers) .
Dans le rencontre avec la nature , dans la valorisation de ses
éléments expressifs , on partage la vie quotidienne développe dans
la inhospitalité tracé(quadrillage) urbain et d’identifie la
particularité des la réponse du projet avec l’infinie variété des
alternatives qui présentent la nature, . La relation directe entre
forme « artificielle » et « naturelle » , l’utilisation des matériaux
« naturels » et la correspondance a une société « naturelle » definie
cette architecture sous le rotule d’organique, dans laquelle
s »expriment trois(3) libertés « naturelles » :
1/ - la libre autonomie de l’individues dans la société ;
2/- la liberté de compétence de posséder son logement diffèrent a ceux
restants, en concordance avec sa personnalité ;
3/- la liberté d’expression de l’architecte, qui le permet devant chaque
problème de trouver une solution figurative différente. La valorisation
esthétique de l’habitat résolu, dans le système capitaliste, l’unique
fuite à la recherche de l’identité culturelle, perdu dans un
environnement régis par la commercialisme, la spéculation et les
codes environnementaux importantes de l’étranger.

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