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INTRODUCTION
I. LA NATURE DE LA PHILOSOPHIE
1. La question de la vérité
2. La nécessite de l’existence d’un moteur premier
3. La méthode
CONCLUSION
Reference bibliographique
INTRODUCTION
Cette partie Aristote expose la pensée de ses prédécesseurs sur la question de l’existence
d’une cause première. I ’auteur viens mettre en brèche l’idée de la cause chez les présocratique
qui était centrée sur les éléments de la nature
Les présocratiques sont des savants qui se sont limite à l’étude du cosmos c’est-à-dire
la nature. Etonne de ce pourquoi les chose existent, Pour eux la substance qui est à l’origine fut
selon la thèse de chacun : L’eau, L’air, le feu, l’infini … En effet pour connaitre une chose, il
faut se référer à sa cause première. Ainsi, ces philosophes grecs à savoir Thales de Milet,
Anaximandre, Anaximène, Anaximandre ont pensée l’origine partant des éléments de la nature
qui selon eux étaient à la base du monde réel. La cause a elle seule revient à engouffrée quatre
sens. Le premier sens de la cause est celui de la substance, ensuite comme matière ou substrat,
un peu plus loin comme principe d’où part le mouvement et en fin le bien ou la beauté. Ces
anciens philosophes grecs se sont engagés sur la connaissance de l’être de l’homme mais
finalement ont philosopher sur la vérité, la vertu, le beau, le juste, le courage, l’eau, la terre, le
feu, l’air, bref les choses de la nature.
Pour les premiers philosophes, les éléments qu’on a cités sont les premiers principes
c’est-à-dire ce qui suscité la connaissance de toute chose (les objets de la nature). Mais on
constate que même ces philosophes entre eux ne sont pas d’accord chacun se proclame d’un
principe. Thales qui réclame sa philosophie sur le principe de l’eau affirme : « la terre flotte sur
l’eau ». Pour ce dernier d’après son observation, c’est l’humidité qui est la base de tout. Le
début ou la semence de toute chose est humide et en a besoin d’eau. Anaximène et Diogène
passent l’air comme antérieur à l’eau et comme principe de toute chose c’est à dire il rejoint
Thales dans une moindre mesure. Par contre Hippace de Métaponte et Héraclite posent pour
principe le feu. Empédocle le principe demeure la Terre. Ainsi c’est quatre principes qui ont
suscité la pensée des grecs. Pour eux c’est à partir de la nature matérielle que l’on peut accéder
al la connaissance de toute chose.
De tous ces derniers, personne n’a réussi à concevoir une cause concrète et palpable. De
même Parménide en soulevant la question, ne s’est attardé que sur une partie de la question.
Aristote relevé d’ailleurs cette objection en affirmant : « Parmi ceux qui énonce l’unité de tout,
nul n’est donc parvenu à la conception de la cause en question exception faite peut être pour
Parménide et encore es ce que dans la mesure ou il suppose qu’il y a non seulement une cause
mais aussi, en un certain sens, deux causes. Mais pour les philosophes qui admettent plusieurs
éléments tel que le chaud et le froid ou le feu et la terre, il leur est plus aise d’indiquer la cause
efficiente »
Aristote constate que de toute les causes que ces philosophes avaient mis sur pied le
trouve insuffisant. Tout ce que ses prédécesseurs ont posé comme cause et principes ne rime en
rien avec les principes de bases établies dans la Physiques. Ces philosophes grecs selon Aristote
ne sont pas réellement attache à la cause première dans leurs philosophies, il leurs échappent la
matière du monde sensible qui est davantage source de mouvement ou de Dialectique
Apres avoir examinée la pensée présocratique Aristote va s’attaquer dans cette partie à la théorie
platonicienne des idées
Pour Aristote, « de tous les Arguments dialectiques aux moyens desquels nous
démontrons l’existence des idées, aucun n’est évident ». Il met en place sa critique de la théorie
des idée platoniciens car pour Platon, un être sensible trouve son identité par la participation a
tel ou telle idée. C’est en participant à l’idée d’homme que Socrate est un homme. Mais Aristote
relevé le caractère flou de cette notion « Aristote laissait à qui voudrait le bain d’expliquer ce
qu’on doit entendre par la » Plus loin il dira que « ce sont des mots parfaitement vides et de
simples métaphores, bonne pour la poésie »
Pour Platon, les idées sont le principe premier car elles sont causes de tout le reste pour
lui c’est de l’idée que découle tout autre connaissance car la connaissance est un fait imaginaire.
Ainsi, il ne fait qu’usage de la cause formelle (l’idée) et de la cause matérielle. Or le problème
est que les idées platoniciennes ne peuvent servir de cause motrice. En tant qu’elles sont
immobiles, elles n’expliquent que le repos et no le mouvement. Donc la doctrine platonicienne
est insuffisante pour expliquer le monde tel qu’on le voit en mouvement. Platon n'a donc pas
trouvé la cause des êtres, mais il a créé d’autres êtres comme si « quelqu’un ayant à compter un
assez petit nombre de choses et pensant ne pas pouvoir en venir à bout, allait multiplier ce
nombre en s’imaginant par-là les compter plus aisément »
Aristote est philosophe existentialiste qui après avoir remis en question les causes de
toute la philosophie grecque c’est à dire de Thales jusqu’à Platon, essais de refonder la nature
de la philosophie. Pour Aristote le cause c’est la matière à laquelle la choses est immanente et
dont elle se fait. En d’autres termes c’est une matière qui permet ’accéder à la connaissance et
donc de philosopher. En un autre sens, la cause c’est la forme, c’est l’architecture c’est-à-dire
la définition de notre objet de connaissance. En un autre sens, la cause est un principe du
changement et de repos.
• La cause matérielle
La cause matérielle est la plus évident aux yeux du sujet, mais il s’agis d’une des plus
inaccessible. Par l’intellect, l’homme dégage la forme de la matière. Il n’est pas tout à fait
possible d’envisager la matière seule, pure. Aristote considère la matière et la forme comme
fondues ensembles, ce qui permet de produire la substance composée. En guise d’exemple dans
la fabrication la cause matérielle c’est tous les matériaux donc nécessite ce travail (Planche,
pointe)
• La cause formelle
La cause formelle se fonde sur la conception d’Aristote de ce qui est la forme. La forme
d’un objet n’est pas sa forme géométrique, mais sa définition, ce qui le rend définissable. La
cause formelle chez Aristote c’est l’architecture qu’on a en tête pour la réalisation de nos idées.
Exemple prenons le cas du ballon. A la question de savoir « pourquoi ce ballon est-il rond ? »
la cause formelle est que : parce que la former d’un ballon est sa rondeur. Le ballon est par
définition rond. Ensuite prenons le cas d’un cube Maggie, pourquoi le cube est cubique ? la
cause formelle est parce que la forme d’un cube est cubique ? d’où la définition d’un cube est
cubique
Aristote défini la cause efficiente comme « le principe premier d’où part le changement
ou le repos » cette cause se fonde sur postulat aristotélicien de ce que le mouvement s’il existe
n’est pas chaotique, il obéit aux lois de l’univers accessible aux sens et donc aux connaissable.
Ainsi Aristote frontalement de la thèse des disciples d’Héraclite, selon laquelle il serait
impossible de connaitre quoi que ce soit du fait que toute chose est en mouvement permanent.
C’était également pour pouvoir fonder une connaissance que Platon avait proposer sa théorie
des formes immuables. Pour Aristote, il s’agit d’un changement dans l’état physique. Le
mouvement est pour Aristote n’importe quel changement, ou dans son vocabulaire un devenir.
La cause efficiente comme ce que Aristote décrit en ces termes « ce d’où procède le
mouvement ». La cause efficiente est divisible en deux parties : la cause efficiente principale et
la cause efficiente instrumentale, exemple lorsque le peintre peint un tableau, la cause efficiente
principale est le peintre, mais il a utilisé un pinceau et ses connaissances en peinture que l’on
appellera causes efficiente instrumentales.
Pour Aristote, la cause efficiente n’est alors plus seulement une explication du
changement dans les étants mais aussi une explication de leurs existences est alors aussi
nommée cause efficiente. Toute fois la définition ne change pas.
• Cause finale
Il est souvent difficile à distinguer la cause formelle de la cause .la cause finale est la
raison d’être de la chose, ce « en vue de quoi » elle existe. Cette dernière cause engendre la
question qu’est-ce que c’est ? entraine la réflexion philosophique c’est-à-dire la valeur de la
chose. En guise d’exemple prénoms le cas d’une chaise. Lorsqu’on pose la question qu’est-ce
que c’est ? la cause finale est : un siège qui permet de s’asseoir.
1. La question de la vérité
Aristote soutient que pour véritablement connaître la vérité d'un phénomène, il faut en connaître
la cause. Ainsi, « on ne peut pas savoir la vérité si l’on ne connaît pas la cause ». Tenir compte
de la cause, toutefois, c'est aussi reconnaître la nécessité de l'existence d'un moteur premier sans
lequel les autres causes ne pourraient s'enclencher
3. La méthode
L'auteur de Sein und Zeit s'était donné explicitement pour tâche de poser à nouveau,
c'est-à-dire d'une façon renouvelée « la question du sens de l'être ». S'agit-il d'une reprise de la
métaphysique ? Le mot 'métaphysique' apparaît dès la seconde ligne de l'introduction à Sein
und Zeit, lorsque Heidegger affirme que « la question ci-dessus mentionnée est aujourd'hui
tombée dans l'oubli, bien que notre époque compte comme un progrès de donner de nouveau
son assentiment à la métaphysique »
Pour Heidegger la question sombre dans l’oublie des lors qu’elle est soulevée. En effet,
Heidegger soutien que dès que l’être est apparu, au regard et a pris pour champ thématique de
la réflexion, celle-ci s’est fourvoyée en confondant ce qui est a savoir ; l’étant. A quoi renvoi
cette distinction fondamentale ? de même que la manière de croire et le croyant ne peuvent être
confondus ou que le fait de marcher est diffèrent du marcheur, l’être diffère de l’étant. C’est
fort de cela que Heidegger va tenter de renouer un dialogue par-delà les siècles avec Platon et
Aristote, revenir a cette question originaire, dont ils ont eu l’intuition mais qu’ils ont fait
qu’esquisser, effleurer, avant de la perdre
La compréhension de l'être que nous avons naturellement n'est pas, à elle seule, un «
savoir », c'est la tâche de la métaphysique de nous aider à passer de la compréhension pré-
ontologique au savoir explicite de l'être. De même il ouvre un champ qui se définit par son
ouverture. La Métaphysique ouvre ces discours partiels sur les discours scientifiques pour
essayer d’expliciter ce qui est présupposé dans le discours scientifique lui-même. Cette
explicitation des présuppositions ne peut se faire que par la méthode dialectique au sens
étymologique du terme, c’est-à-dire, une méthode fondée sur le dialogue, une méthode
dialogique. La Métaphysique essaie précisément de définir ou de thématiser, éclaire ce qui fait
l’accord des esprits dans des sociétés données, dans une aire culturelle donnée. Cet effort de
thématisation peut encore une fois s’étendre à d’autres cultures, chacune prise pour elle-même
d’abord, mais également peut s’étendre à une sorte de dialogue entre les cultures. La
Métaphysique, élargie en une « méta-métaphysique », serait précisément le lien à l’intérieur
duquel pourrait s’instituer cette discussion raisonnable entre les hommes et cet échange et cette
confrontation en même temps entre les différentes cultures
CONCLUSION