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I - Les charcuteries
Les charcuteries sont issues principalement d’un animal noble et ancestral : le porc. Elles
sont parfois préparées aussi avec du gibier, de la volaille, du bœuf, de l’agneau, parfois avec
du poisson ou des crustacés. Le charcutier et la charcutière préparent, exposent et vendent
leurs produits et cuits dans un magasin nommé << Charcuterie >> ou << Charcuterie –
Traiteur >>
par Auteur
C.Le service
A l'assiette, dressées sur un plat, parfois même sur une planche, les charcuteries doivent
être mises en valeur en utilisant les couleurs, les formes mais aussi en ajoutant des
produits tels que tomate, salade verte, concombre, radis, melon et produits
d'accompagnement traditionnels.
D.Les produits d'accompagnements
Le pain, les cornichons et les oignons au vinaigre sont les accompagnements de base. Il n'est
pas rare de trouver le beurrier sur la table en accompagnement. Diététiquement, le beurre
n'est pas nécessaire car les charcuteries sont déjà chargées en lipides... mais gustativement il
est apprécié s'il est salé ou demi-région sera idéal.
Le vin blanc, rosé ou rouge couronne l'accord avec la charcuterie.
E. La conservation et le stockage
Un poisson fumé a été traité par la technique de conservation du fumage. Afin d'obtenir
l'arôme recherche, des essences d'arbres différents pourront être utilisées telles que les
essences du bois de hêtre, du pommier, du noyer pécan, du chêne, du bouleau, du frêne, etc.
Le fumage (ou boucanage) permet de sublimer les chairs des poissons. Cette technique tient
son nom du boucanier qui utilisait un boucan (grille de bois) afin de conserver la viande de
bœuf.
C.Le saumon
Le label « bio », très à la mode, est un gage de qualité du produit. Pour obtenir ce label, il
faut suivre un cahier des charges bien précis, respectueux des animaux et de l'environnement.
Il s'agit aussi de savoir qu'un poisson sauvage peut être plus contaminé qu'un poisson
d'élevage : les poissons d'élevage ne mangent pas de nourriture contaminée (contrairement
aux poissons sauvages qui se servent dans la nature).
Le saumon peut être cuit et apprêté de diverses façons. On peut le retrouver cuit : au four, en
papillote, en croûte de sel, sauté, à la vapeur, poché, grille, etc. Quant au « dos de saumon
cuit à l'unilatérale », c'est une création due à une erreur de cuisson d'un commis de jean
Troisgros (Roanne).
Les produits accompagnant les poissons fumés sont très variés. Un chef peut ajouter des
œufs de saumon, des œufs de lump (noirs ou/et rouges), une crème Chantilly salée, des
câpres, de l'avocat coupé très finement, des agrumes, etc. Le pain est l'élément essentiel de
l'accompagnement. Il faut choisir un pain adapté à la préparation tel que du pain aux graines
diverses, du pain d'épeautre, etc.
S'il est proposé tiède et craquant, il se mariera au mieux avec ces produits de la mer fumés.