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Introduction générale
Les phénomènes économiques contemporains sont caractérisés par une complexité croissante
et des interactions diverses et multiples.
L’approche du système permet de définir et de caractériser ces phénomènes quels que soient
leur nature et leur degré de complexité. Appliquée à l’entreprise, cette approche permet de
mettre en évidence l’importance de la notion de flux interne et externe. Et ce, grâce à
l’information qui est devenue simultanément un instrument de connaissance et un moyen
permettant de réduire l’incertitude et la complexité de l’environnement de cette entreprise.
Aussi cette information constitue-t-elle la matière première de toute décision dont la qualité,
en particulier celle relative à la politique et à la stratégie générale (globale) d’une
organisation, dépend fortement de la performance de son système d’information et de
communication. Le pilier de cette performance est le fait de l’informatique en particulier et
dans un ordre de champ plus étendu, des technologies de l’information et de la
communication (TIC). Notons, sans ignorer la capacité de l’intelligence humaine, que ces TIC
émanant ou découlant d’elle, constituent à n’en point douter à notre époque, un outil de
référence en matière de valorisation de l’information (apprentissage, capitalisation, partage,
mutualisation, échange, prédiction, classification, gestion, …).
Chapitre 1 : SYSTEME D’INFORMATION (rappel)
Dans notre univers, quelles que soient les transformations naturelles ou anthropiques, sans
cesse, un système d’information a toujours précédé et continue d’exister.
1-Système
1.1 Approches définitionnelles
Un système est un ensemble constitutif d’éléments matériels et immatériels mis en interaction
dynamique dont certains pouvant être transformés au moyen de processus ou de mécanismes
en vue d’atteindre un but.
On entend par système, un phénomène identifiable pratiquant la régulation, composé de sous
systèmes reliés entre eux permettant l’action, la prise de décision et la mémorisation des
informations.
Par système, on entend un ensemble ordonné et structuré de matériels formant un tout logique
(et cohérent).
Un système consiste en un dispositif ou ensemble d’éléments ayant une fonction déterminée.
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Un système est un ensemble d'éléments interagissant entre eux selon un certain nombre de
principes ou de règles.
Un système peut être constitué d’un ensemble cohérent de notions (concepts, idées,
d’archétypes, prototypes, paradigmes, spécimens, parangons, modèle…).
Un système peut être considéré comme un assemblage d’éléments régi par des lois.
Remarque
Système expert : logiciel utilisant une somme de connaissances propres à un domaine pour prendre des
décisions ou résoudre des problèmes en simulant la démarche d’un être humain (au plan de
l’intelligence et du comportement). Il est obtenu en général par une somme de travaux relevant de
plusieurs disciplines. Parmi elles, une est indispensable à savoir l’intelligence artificielle.
La machine intelligente est celle qui reproduit (simule) le comportement humain dans un domaine
spécifique ou non, ou encore qui modélise le fonctionnement d'un être humain. Elle n’a aucune
conscience.
L’homme est doté d’une intelligence naturelle et d’une conscience réflexive qui lui est conférée par la
pensée discursive soutenue par un discours intérieur ou dialogué.
NB : il s’agit d’une recherche en optimisation croisant deux par deux (produit cartésien), les critères de
deux ensembles. L’un est formé par le critère de performances humaines suivi de celui de la
rationalité et l’autre formé par le critère du processus de la pensée et du raisonnement suivi de celui
du processus de comportement. Il en résulte les quatre approches suivantes :
-agir comme des humains (test de Turing) ;
-penser comme des humains (approche cognitive) ;
-penser rationnellement (lois de la pensée, réseaux de neurones) ;
-agir rationnellement (approche de l’agent rationnel).
Revenons au concept de système d’un point de vue général via un schéma ou un modèle dans ce qui
suit.
Environnement externe
Environnement interne
SORTIES, RESULTATS
ENTREES
(Intrants)
SYSTEME (Extrants, effets, impacts)
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Intrants provenant de l’extérieur ou du système + activités (Actions) => extrants (résultats immédiats),
effets (résultats à moyen terme), impacts résultats à long termes)
Trivialement bien souvent les entrées proviennent d’autres systèmes. Elles peuvent aussi
émaner de l’intérieur du système lui-même. Les sortants peuvent par ricochet agir sur tout. Ils
peuvent être acquis par les systèmes y compris celui les ayant produits.
On note des systèmes de bien-être (surtout au plan humain) dont il faut noter la prééminence
sur les systèmes de destruction ou de nuisance.
But ultime du monde : préserver à tout prix la vie et le plus longtemps possible.
Il s’agit donc de faire en sorte que nos actions anthropiques soient couronnées par ce qui
pourrait permettre de préserver l’espèce humaine et de la pérenniser durablement.
Autrement dit, à un moment (temps et espaces) donné, deux choses peuvent-elles occuper la
même place, le même espace ? Si cela devrait arriver sont-ils encore distincts, ou transformés
en d’autres systèmes perdant ainsi leurs états avant cet évènement.
Tout est information. Grâce à l’information, les systèmes sont désignés, dénommés
distinctement et différentiellement (discriminer), et également décrits au même titre que leurs
corrélations et les faits. Cette description peut observer une approche par raffinement ou par
agrégation successifs (aux sens respectifs de spécialisation ou de généralisation).
Au plan des descriptions canonique et au regard du degré de granularité, est individu d’une classe, s’il
cadre avec ou observe les traits ou caractéristiques définitoires ou définitionnels de cette classe.
Egalement, les individus d’une classe sont différentiables. Minimalement, ils partagent des propriétés
ou fonctionnalités communes.
En somme, toute catégorisation constitue une suite de décisions d’ordre moral et ou politique qui
contribue à un moment donné à valoriser un point de vue et à faire le silence sur un autre. En cela les
classifications, loin d’être fondées sur la logique (pure et dure), sont l’expression d’un consensus établi
dans des groupes dominants. Aussi, ce silence est-il justificatif de nos consciences ou inconsciences
(voire méconnaissance ou ignorance). (La somme des intelligences humaines est très insignifiante à
l’intelligence supra). "Recherche et découverte, guerre, calomnie, mépris, haine, pauvreté, famine,
condition humaine face à notre effort cumulé d’intelligence. Bref.
Toute chose physique ou non, n’existe-t-il pas déjà ou n’a-t-elle pas une essence existentielle depuis la
création originelle (du monde). Dès lors, tout système (être, étant) est investi de propriétés
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transformationnelles sur lui-même et sur son environnement permettant de revêtir successivement
différents états.
"L'inconscient n'est pas seulement la mémoire du refoulé, il contient aussi tous nos possibles. Il est un
vivier d'images et de symboles susceptibles d'aider à notre croissance" selon Hennezel.
En plus de l’innovation, nos erreurs, nos insuffisances et fautes, nos talents, nos découvertes et
inventions, nos bâtis sont des stimuli de la réflexion portée sur la construction d’un environnement de
vie durable.
Les systèmes peuvent être décrits pareillement, du moins via ce par quoi chacun est désigné : son appellation,
son nom
Ce qui implique :
- la possibilité de les discriminer et de les distinguer.
En poussant loin l'analyse, tout ce qui existe est investi d'un don d'unicité, spatialement et temporellement.
-Du coup, les systèmes sont définissables de sorte à les rassembler tous dans une classe unique dite classe
universelle (supérieure) ayant pour propriété désignation ou identificateur. A ce titre, à travers l’information,
nous avons le moyen nous permettant de nommer chacun de ces systèmes voire de les reconnaître
distinctement.
Dit autrement : La propriété, ce par quoi une chose est dénommée est partagée par tout ce qui existe. Tout
existant a simplement un "nom" ou "une appellation". De ce point de vue une classe basique renferme tout
existant (et tous les existants). C’est bien la classe universelle.
Aussi, est-il notoire, le fait qu’ils sont loin d'être logés à la même enseigne. La complexité d’un système peut
relever de son énormité ou de sa nature microscopique (petit à l’extrême) ou de sa nature macroscopique
(grand infiniment). D’autres critères de complexité ne sont pas en reste.
Grâce à l’information, dans un langage parlé donné, écrit, visuel ou autre, tout système est noté, désigné,
conceptualisé, représenté.
En somme, tout est système mais également tout est information par laquelle le système est défini et spécifié.
Grâce à cette information, on décrit la corrélation des systèmes, leur composition et association, les éléments
factuels dans un domaine de discours …
Par information, il faut entendre tout ce qui permet de prendre conscience de l’existence de quelque
chose (ou de quoi que ce soit). Alors que peut- on bien faire sans information ?
Corrélation entre monde, système, catégorisation et information : le monde est peuplé de systèmes
identifiables ou cernables grâce à l’information. Ces systèmes peuvent être catégorisés (ou organisés
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en classes hiérarchiques). Ces descriptions sont obtenues également par l’information. Ces systèmes
sont directement ou indirectement liés (associé). Il est donc difficile d’isoler totalement un système à
même de ne rien à voir avec les autres.
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h -Il imagine : il crée et innove (sortir des sentiers battus), se réinvente, fait la recherche
développement. Il a des perspectives. Il détient des modules de tolérance de pannes et fautes
avancés.
i -Il s’auto finalise ou finalise : Il tend vers une indépendance, une autonomie. A ce
niveau on parle de l’émergence des consciences. On note une manifestation du sommet de
l’intelligentsia pouvant bâtir des systèmes experts.
2-Information : définition, forme, nature, source, caractéristiques, et rôles
Quelques approches définitionnelles de l’information sont données dans ce qui suit.
2-1-Définition
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-pertinence : Une information est dite pertinente quand elle apporte une solution idoine à un
problème donné (portée, objectivité).
-fiabilité : Une information est dite fiable si elle apporte l’exactitude, la vérité, la justesse, la
crédibilité
-disponibilité : Une information est dite disponible de par son accessibilité par qui de droit,
au moment opportun, au bon endroit et sous la bonne forme.
c-Coût
Le coût de l’information constitue l’ensemble des moyens engagé ou dégagé pour l’acquérir,
la traiter, la stocker et la détruire.
En général, on se propose d’obtenir une information lorsque l’intérêt qu’on y tire est plus
grand que son coût d’acquisition.
2-4 Rôles de l’information dans l’entreprise (choisie ici comme notre système de
référence ou système exemple)
L’information constitue le fondement de tout système de gestion ou de tout processus de
décision. De ce fait elle devient une donnée stratégique que l’entreprise doit organiser et
gérer. La pertinence des informations surtout des décisions y comprise la qualité vont alors
dépendre de la capacité de l’entreprise à se construire des systèmes d’information et de
communication appropriés (performance, efficacité et efficience). Ceci est corroboré par cette
ère de l’information du fait des avancées spectaculaires et/ou des progrès remarquables des
TIC amplifiés par Internet.
Définition de l’entreprise :
Une entreprise bien qu’étant un système peut se distinguer des autres systèmes à travers une
définition spécifique. Ainsi suivent quelques définitions de l’entreprise.
L’entreprise peut être définie comme une organisation socio-économique intégrée dans un
environnement, comprenant des moyens humains, financiers, physiques et informationnels en
vue de produire des biens et/ou des services et de repartir des richesses.
On entend par entreprise, une entité socio-économique et juridique regroupant des moyens
humains, financiers et matériels en vue de la création de biens et de services.
L’entreprise constitue une entité économique, quelle que soit sa forme juridique, permettant
de rassembler et d’organiser de façon cohérente des ressources autour d’un objet social défini,
sous une direction commune, et sous le contrôle des principaux apporteurs de ressources.
Il peut donc s’agir de sociétés commerciales ou civiles, privées ou publiques, ou d’économie
mixte, groupe de sociétés, ONG, associations …
Profiter/profit dans la course à l’accumulation des biens : Quand on profite, ce profit se fait-il
au détriment d’un autre agent humain ou de communautés entières.
Quel est le niveau acceptable du profit ou le seuil de profit?
La structure d’une entreprise est la résultante d’un grand nombre de facteurs dont la nature
et le volume des activités, la personnalité des membres, la stratégie retenue, les usages, ainsi
que l’environnement juridique et institutionnel.
Trois rôles principaux sont assignés à l’information véhiculée et utilisée au sein de
l’entreprise :
-outil de communication interne ;
-outil de communication externe ;
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-facteur de cohésion.
a-Outil de communication interne
- répondre aux nécessités de gestion (fixer des objectifs, définir le travail et le répartir, en
dégager les ressources et moyens utilisés, coordonner les activités, canaux des flux
d’informations).
- répondre aux obligations légales (convention collective, quel type de langage tenir, droit et
devoir des parties composantes de l’entreprise, cadre normatif et légal des activités, la loi
fondamentale étant la loi de référence).
La responsabilité sociétale qui peut estimer un certain niveau de condition de vie dont
doivent avoir droit des employés.
Il s’agit de mener un management de l’information afin de permettre à tous les acteurs d’être
intéressés et de participer à l’atteinte de l’objectif commun et social. L’approche participative devra
être de mise. Dans cet art de règles, il n’est pas question de tout cacher ni de tout dévoiler. Ce n’est pas
tout qu’on dit ou qu’on cache, mais savoir dire les choses avec mesure et retenue, et au moment
opportun. Alors, tirer vers le haut et non vers le bas à travers des critiques constructives du fait de la
participation active motivée, soutenue et à volonté. Il faut prendre en compte des préoccupations des
participants/individus et tenir compte de l’environnement social et psychologique de ces derniers. Il y
a lieu de maintenir un environnement physique et moral, avec une tendance pragmatique favorable aux
affaires publiques et privées. On doit également faire en sorte de maintenir un climat de paix propice à
l’entreprenariat, à aller et venir.
Assainir sans cesse cet environnement sociétal physiquement et moralement en évitant sa pollution par
entre autres toute sorte d’incurie et de manque de prévision.
La responsabilité sociétale des acteurs publics et privés d’entreprises (RSE) : «Concept dans lequel les
entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs
activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire ». Énoncé plus
clairement et simplement, c'est « la contribution des entreprises aux enjeux du développement
durable ».
Développement durable : c’est exercer ses activités d’aujourd’hui, tout en préservant les intérêts de
celles de demain.
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Il faut intégrer les concepts de liberté d’expression sans dérapage et d’entreprise tous
stimulateurs d’actions anthropiques intelligentes renforcées par le concept de gouvernance.
Selon Charlick (1995:22), s’inspirant de Hyden (1992), entendons par gouvernance, un
processus par lequel des sociétés gèrent leurs affaires publiques en stimulant et en structurant
un consensus normatif sous-jacent selon des règles basées sur le sens du bénéfice mutuel ou
réciproque.
Gestion des affaires publiques plus saines, davantage de responsabilité, de redevabilité (bilan
et compte rendu sur la gestion des politiques, des programmes, des projets et des activités) et
de transparence, une plus grande efficacité et efficience avec l’obtention de résultats plus
tangibles.
3.1-Définition
Un système d’information est l’ensemble de toutes les informations qui circulent au sein de
l’entreprise et les moyens mis en œuvre pour les gérer.
NB : depuis la création du monde, avant toute invention ou création humaine d’un nouveau
système d’information, il en existait un déjà.
Il a toujours existé un système d’information préalable à tout l’on fait et réalise (existant).
3.2-Finalités du SI
Sont assignées au système d’information, trois finalités notamment :
La diversité des structures internes et des moyens d’entreprises implique celle des systèmes
d’information dont la compréhension plus approfondie ou leur maitrise nécessite une
classification. Quatre critères émergent pour traduire cette typologie ou taxinomie des SI :
degré de formalisation des moyens ; nombre d’utilisateurs, niveau de décision, niveau
d’informatisation des tâches.
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b-Niveau de décision
- S.I de planification stratégique (court, moyen et long termes ; projet,
projection, perspectives, prospective, vision sans ignorer aujourd’hui) ;
- S.I de planification tactique (court et moyen termes) ;
- S.I de planification opérationnelle (court terme)
c-Nombres d’utilisateurs
- S.I personnel ou utilisateur (SI dont dispose un seul utilisateur dans
l’accomplissement de ses activités/tâches) ;
- S.I collectif (SI dont disposent plus d’un utilisateur dans l’accomplissement des
activités/tâches) ;
- S.I interentreprises (SI utilisé par des personnes ou autres acteurs relevant de
différentes entités entreprises ou organisations dans l’accomplissement
d’objectifs communs (philosophies/ visions/ politiques/ programmes/ projets/
activités/ tâches).
d-Degré d’automatisation (ou d’informatisation) des tâches
- S.I manuel (sans aucune technicité machine) ;
- S.I mécanisé (usage de machine mécanique comme outils d’assistance,
diminution des tâches manuelles dans l’accomplissement des activités
prégnantes...) ;
- S.I automatisé (usage de machine ordinateur comme outils d’assistance,
diminution des tâches manuelles, (amorçage ou) informatisation dans
l’accomplissement des activités les plus significatives...).
Système d’information
Système d’information informatisé
Système informatique (de base)
Remarque
Le système d’information comprend le système informatque. Il préexiste à tout système
informatqiue.
Tout comme on ne peut tout organiser, on ne peut également totalement informatiser le
système d’information. Mais on se doit de fournir des efforts sans cesse d’organisation et
d’informatisation pour plus de performance dans nos gestions.
4-Tendance des évolutions des architectures informatiques
Trois grandes époques sont très significatives en matière de révolution liée au développement
socio économique.
-Révolution agricole ;
-Révolution industrielle avec la découverte de l’énergie (charbon…) suivi de la
transformation des techniques de production ;
-Révolution informationnelle relative aux TIC (technologies de l’information et de la
communication), marquée par trois grandes tendances évolutives des architectures
informatiques notamment :
-informatique à architecture centralisée ;
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-informatique architecture distribuée ;
-informatique à architecture répartie.
La dernière architecture a permis l’émergence de la fusion des réseaux initialement isolés
notamment celui des télécommunications, celui des cablô opérateurs (ou radiotélédiffusion) et
celui de l’informatique. Internet en constitue le point de convergence ou d’achèvement de
cette fusion.
Unité centrale
Microprocesseur
MP ou MC
Unité de RAM mémoire de
commande
travail
(contrôle) BUS
UAL ROM mémoire de
on volatile
Interface E/S
Sorties : écran, imprimante… Entrées : souris, clavier… E/S : disque dur, disquette, Pen
drive, cassette bande…
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SCHEMA MODELISANT LA COHABITATION OU AGENCEMENT DES COMPOSANTES MATERIELLE ET LOGICIELLE
Jeux, Applications,
Progiciels,
SGBD,
MR= UC + Périphériques
Langages de ME ou MA ou MV = MR + SE
Logiciel programmation MU = ME + applications utilisateur
(software)
Système
d’exploitation Le se (os) dès son installation sur un ordinateur
ou OS (machine) joue le rôle de MV (MA ou ME)
BIOS /UEFI
MR : machine réelle ; UC unité centrale ; ME
Unité centrale et
Matériel machine étendue ; MA machine abstraite ; MV
périphériques
(hardware) machine virtuelle ; MU machine utilisable.
SYSTEME INFORMATIQUE
Le SE/OS (Système d’exploitation ou Operating System) MR: a trois rôles fondamentaux :
machine réelle
- machine abstraite (interface HM,) pour masquer les aspects fastidieux de la machine, offrir un
environnement convivial et attractif de travail. Il masque les aspects
ME: machine fastidieux
étendue, de l’ordinateur.
MV : machine virtuelle
C'est-à-dire il décharge l’utilisateur des programmes complexes de l’ordinateur.
- gestionnaire des ressources matérielles et logicielles. MA : machine
Il assiste abstraite
le microprocesseur dans
l’accomplissement de sa tâche.
MU: machine utilisable
- socle du développement et de la construction des logiciels.
Parmi ces trois rôles du SE, celui de gestionnaire est dominant.
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Flux externes
Banques
Trésorerie Flux internes
Approvisionnement
Distribution Fournisseurs
Personnel
Capital
Production
Clients Etat
Flux internes/externes
3-Finalités de la comptabilité
Toute entreprise a besoin de connaître à tout moment l’état de ses affaires et de son
patrimoine. La comptabilité répond à ce besoin; elle peut être définie comme une méthode
d’observation des faits économiques qui se produisent dans l’entreprise, tels que des achats et
des ventes de marchandises, des paiements à des fournisseurs ou émanant de clients, ... Ses
finalités sont essentiellement :
- d’enregistrer chronologiquement et fidèlement, sur des supports ad-hoc, tous les flux
physiques (c’est-à-dire de biens et de services) et financiers résultant de l’activité de
l’entreprise;
- de fournir les données nécessaires au calcul du résultat d’exploitation (bénéfice ou perte) et
de la valeur du patrimoine de l’entreprise (Bilan);
- de constituer un instrument de contrôle de l’organisation et du fonctionnement de
l’entreprise;
- de constituer un outil de gestion, l’analyse des données qu’elle fournit permettant au(x)
gestionnaire(s) de l’entreprise de planifier l’avenir.
Aux plans fiscal et législatif
Il faut noter un objectif fiscalité. Les données comptables sont nécessaires pour satisfaire aux
obligations fiscales, à savoir la déclaration à la TVA (taxe à la valeur ajoutée) et à l’impôt.
Le législateur prévoit (et préconise) que "toute entreprise doit tenir une comptabilité appropriée à la
nature et à l’étendue de ses activités en se conformant aux dispositions légales qui les concernent"
(article 2 de la loi du 17 juillet 1975 relative à la comptabilité des entreprises).
La comptabilité constitue donc une obligation légale, aussi bien pour la multinationale que pour le
commerçant ou l’artisan du village (voyez l’article 1 de cette même loi).
4-Comptabilité
La comptabilité est une technique de traitement des données juridiques et économiques
(financières) consignées dans des documents de base. C’est un moyen de preuve et de
vérification. Elle permet de constater et d’enregistrer des données.
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La comptabilité est un ensemble de techniques permettant de donner bilan et l’état financiers
relatifs au patrimoine d’une entreprise donnée et aux activités qui s’y déroulent.
Aussi permet-elle de dégager, pour chaque année, le résultat de l’exploitation commerciale, et
de dresser l’état des biens et des dettes du commerçant. Elle apporte ordre et clarté dans
l’exploitation de toute entreprise. Ces deux éléments de qualité sont susceptibles d’être
renforcés par l’utilisation de logiciel approprié, outil de valorisation par excellence de
l’information.
- comptabilité des sociétés : elle est une comptabilité spécifique (partage de dividendes,
liquidation ou fermeture, création ou constitution, fusion).
La comptabilité générale et la comptabilité analytique sont les deux types de comptabilité les
plus utilisées par les entreprises : la première est un outil d'information et joue un rôle
juridique (droit et fiscalité), et la seconde se présente comme un outil d'analyse qui permet
aux gestionnaires de prendre les décisions, les bonnes.
La comptabilité des sociétés est la traduction compatible des normes juridiques et fiscales
concernant à la conception des sociétés à leur méthode et à leur dissolution. Donc la comptabilité des
sociétés fait appel à plusieurs disciplines comme le droit des affaires, le droit fiscal, la loi comptable
etc. Elle est contrôlée par la comptabilité publique par le biais de cabinet d’audit.
5-Documents de base
L’ensemble des documents commerciaux et de la correspondance forme les documents de
base notamment les documents relatifs:
- à l’approvisionnement : Demande d’approvisionnement ; appel d’offre, bon de commande,
bulletin de commande.
- à la livraison : Bon de réception, accusé de réception, bon de livraison
- à la facturation et aux règlements : Facture, espèce, chèque, lettre de change, billet à ordre,
carte de crédit.
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6- Compte
Le compte : un compte peut se présenter sous forme d’un tableau dans lequel sont enregistrés
des mouvements de flux qui surviennent aux postes du bilan à la suite de diverses opérations
de l’exercice. Exemple de modélisation d’un compte en T.
D : débit C : crédit
Les comptes de l’actif sont débités des augmentations et crédités des diminutions.
Les comptes du passif sont débités des diminutions et crédités des augmentations.
Compte de l’actif Compte de du passif
D+ C- D- C+
Charges Produits
Liquidité Exigibilité
croissante -stock de début - stock de fin d’exercice croissante
d’exercice -stock de marchandises
-stock de marchandises -vente
-achat -autres produits,
-frais rabais, remise, ristourne,
-personnel, impôt taxe, produits accessoires et
fournitures, service, produits financiers
extérieurs, frais
financiers
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Les comptes de charges sont débités des augmentations et crédités des diminutions.
Les comptes de produits sont débités des diminutions et crédités des augmentations.
De même on modélise ces comptes de produits et de charges en T.
Remarque
- Entreprise en bonne santé financière (situation reluisante)
passifs
actifs
Excédents d’actifs
(bénéfice)
Charges
Produits
Excédents de
produits
Actifs Passifs
Dettes/ Déficits
Produits
Charges
Déficits
D = total débit
C= total crédit
Si D>C alors le solde est débiteur ;
Si C>D alors le solde est créditeur ;
Si C=D alors le solde est nul.
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NB : C’est le coté le plus fort qui donne son nom au solde. Dans ce cas on dit que le compte
est balancé ou soldé. La situation du compte est aussi le solde du compte.
7-3.2-Ouverture d’un compte
Ouvrir un compte, c’est noter la première opération effectuée. (Enregistrement).
7-3.3-Fermeture d’un compte
Fermer un compte, c’est en tirer le solde
8-Raisonnement comptable
Chaque document de base à enregistrer en comptabilité fait jouer plusieurs comptes. Il faut
donc avant l’enregistrement du document observer les étapes suivantes :
- Analyser l’opération ;
- Rechercher les comptes intéressés ;
- Déterminer la nature des comptes ;
- Affecter les débits ou les crédits des signes plus ou moins correspondants ;
- Porter la somme au débit ou au crédit en fonction de la question posée sur le mouvement de
fonds.
Remarque : Lors de l’analyse, il faut se poser la question suivante : y a- t-il un mouvement
de fonds ? Si oui, jouera un compte de trésorerie (caisse, banque, CCP…), sinon un compte
de tiers (fournisseurs, clients, état, sécurité sociale).
-Principe de la partie double
D’après le raisonnement comptable, le montant total relevant de l’ensemble des comptes
débités, doit être égal à celui de l’ensemble des comptes crédités.
Tenir la comptabilité à partie double : c’est tenir simultanément la comptabilité des comptes
de situation (bilan), la comptabilité des comptes de gestion (exploitation), l’une servant de
contrôle à l’autre. En clair, un compte inscrit fait intervenir un ou plusieurs comptes pour
établir l’équilibre.
9-Numérotation des comptes
Le plan comptable est établi selon les principes de classement décimal. Les premiers chiffres de 1 à 9
constituent des classes ou familles. (Voir plan SYSCOA ou OHADA). Ensuite viennent les comptes
principaux, suivis des comptes ordinaires et les sous comptes à chaque ajout d’un chiffre.
1-5 : comptes de bilan ;
6-7 : compte de résultat (exploitation) ;
8-9 : comptes réfléchis ;
1 : compte des réssources durables
2 : compte d’actifs immobilisés
3 : compte de stock
4 : compte de tiers (clients et fournisseurrs, salariés…)
5 : compte de trésorie
6 : compte des charges et activités ordinaires (dons, achats, salaires …
7 : comptes des produits des activités ordinaires (dons, ventes…)
8 : comptes des autres charges et des autres produits (compte finissant par un chiffre impairs-> charges
et pairs-> produits)
9 : comptes des engagements et engagements accordés (bailleur soit même ou bailleurs)
Les lignes budgétaires constituent des engagements définis par le bailleur afin de réaliser un projet
fiable.
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EXERCICES (12 thèmes)
Passer les écritures comptables dans chacun des thèmes décrits ci-après.
Thème 1 : Le 10 février, M. Martin règle par chèque bancaire n° 0390 un terrain d’une valeur
de 35 000 F (acte notarié n°6) à l’ordre de Maître Deschamps. La banque est la Société
Générale.
Thème 2 : Le 3 janvier, à la création de l’entreprise, les frais de constitution s’élèvent à 8750 f
(état récapitulatif n°3), règlement effectué par chèque bancaire n° 401, à l’ordre de Maître
Deschamps.
Thème 3 : Le 14 janvier, M. Martin règle par chèque bancaire n° 0393, à l’électricien, la
transformation de l’éclairage de son magasin. Le montant HT est 1760 f, tva 309,76.
Thème 4 : Le 18 janvier, M. Martin règle par chèque bancaire n° 0392, 3 mois de loyer
d’avance : 54000 f (reçu °3).
Thème 5 : Le 8 août, M. Martin prête à M Lagarde 15 000 f remboursable dans 2 ans, chèque
postal n° 132. CCP.
Thème 6 : Le 3 mars, M. Martin tire une lettre de change n° 31 de 2 000 f au 15 avril sur son
client M Foulon d’Orléans.
Thème 7 : Le 15 avril, M Martin remet l’effet n°31 (tiré sur M. Foulon) à l’encaissement à sa
banque la Société Générale, reçu°41.
Thème 8 : Le 7 mai, M Martin prête 3000 f à M Vernier, remboursable dans 3 mois, et lui
remet le chèque bancaire n° 0394 sur la Société Générale.
Thème 9 : Le 17 septembre, M Martin reçoit la facture n°A38 de son fournisseur, société Lin
et fils : marchandises d’une valeur de 2800 f, remises 10 et 5 %, TVA 17,60%. Le net est à
payer au 31 octobre.
Thème 10 : le 20 septembre, M Martin reçoit de son fournisseur, M Bordet, la facture n°A39 ;
marchandises 4000 f, remise 20%, escompte 2%, TVA 17,60, net à payer sous huitaine
(espace de 8 jours).
Thème 11 : le 20 septembre, M Biziou adresse à M Martin la facture n° L32 au 31 octobre. Ce
dernier la reçoit le 22 septembre et l’enregistre sous le n° A40 ; marchandises 3200, remise 25
%, TVA 17,60 %, port 117,60 F (dont la TVA 17,60%).
Thème 12 : le 28 septembre, M Martin reçoit de l’entreprise DAHAN la facture n°A41
suivante : marchandises 2850 f, remise 20 %, tva 17,60 %, emballage consignés 10 caisses à
22 f net au 15 novembre.
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CORRECTION
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II. APPROCHE BASE DE DONNEES DE L’ORGANISATION DU SYSTEME
D’INFORMATION COMPTABLE
Les bases de données de nos jours, représentent le creuset des efforts conjoints issus de
plusieurs disciplines de l’informatique notamment les systèmes d’exploitations (SE),
l’intelligence artificielle, les systèmes repartis, le multimédia.
Elles sont au cœur des systèmes d’information des entreprises qui se veulent modernes et
performantes. Elles permettent inéluctablement d’améliorer la qualité de la décision (en
matière de gestion, de prévision, de contrôle..). Notons que les bases de données connaissent
des architectures très évoluées en ce moment allant jusqu’à intégrer des contextures
(dispositions, architectures, compositions) Internet.
1-Quelques définitions
-Donnée
Une donnée est une représentation de l’information sous forme conventionnelle destinée à
faciliter son traitement par l’homme ou par la machine.
-Fichier
Un fichier est un support, qui regroupe un ensemble d’informations de même nature, pouvant
être manipulés par plusieurs utilisateurs ayant une vue unique de ces données.
-Base de données
C’est un ensemble de données organisées de façon cohérente et devant servir de support à des
applications informatiques.
C’est aussi un ensemble de données organisé de façon cohérente et interrogeable.
Elle sous entend un type de données qui modélise une partie du système d’information de
l’entreprise.
Système informatisé destiné au stockage structuré d’une grande quantité d’informations.
Une base de données est un regroupement informatisé d’un nombre plus ou moins important
d’informations. Celles-ci sont organisées de manière à ce que l’on puisse y effectuer des
recherches rapides à l’aide d’un ordinateur. L’annuaire électronique ou le catalogue d’une
bibliothèque, une liste électorale, la liste des clients et des fournisseurs en sont des exemples.
[Base de données: ensemble de données organisé en vue de son utilisation par des
programmes correspondants à des applications distinctes et de manière à faciliter l'évolution
indépendante des données et des programmes.
(Anglais: database).
Base de données relationnelles: Architecture de gestion de l'information. Les données
contenues dans une base de données relationnelles peuvent être mises en rapport les unes
avec les autres, ce qui permet de réaliser de nouveaux enregistrements de données en
combinant les données prélevées dans plusieurs tables.
[Base de données : Système informatisé destiné au stockage structuré d’une grande quantité
d’informations.
Une base de données est un regroupement informatisé d’un nombre plus ou moins important
d’informations. Celles-ci sont organisées de manière à ce que l’on puisse y effectuer des
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Dr APPOH - 07930589
recherches rapides à l’aide d’un ordinateur. L’annuaire électronique et le catalogue d’une
bibliothèque, par exemple, sont des bases de données.
(But d’Eco-Santé (BD France), Mise à disposition de l’information pour faciliter la recherche,
l’analyse, l’enseignement.)
Base de connaissances: Partie d'un système expert contenant l'ensemble des informations, en
particulier des règles et des faits, qui constituent le domaine de compétence du système.
Anglais: knowledge base. ]
Remarque
Une démarche de conception de base de données doit conduire à la definition de données
permanentes nécessaires aux besoins d’un ensemble d’utilisateurs. Cette base de données est
relative à un domaine d’activité, à la gestion et au contrôle auxquels elle doit contribuer ou
même parfois qu’elle doit automatiser. Un tel domaine, dit domaine d’application, pourrait
être (ou désigner) une bibliothéque, un service du personnel, le département marketing d’une
entreprise, la prodution de l’énergie, un SIG, le traitement des infractions du code de la route.
-Système de gestion de base de données : SGBD
On entend par système de gestion de base de données (S.G.D.B), le logiciel permettant de
stocker les données, de les mettre à jour et d'y accéder. (Anglais: Database Management
System : DBMS).
C’est un ensemble de programmes informatiques utilisant donc des moyens matériels et
logiciels, permettant de décrire et de définir l’ensemble des données modélisant l’entreprise
pour des fins de manipulation suceptibles de répondre aux préoccupations des utilisateurs.
Exemple : MICROSOFT ACCESS, Oracle (SGBD leader), Progress, Sybase, MySQL,
Microsoft SQL Server, Hyperfile de Windev, DB2, Informix.
-Banque de données :
Elle sous entend un type de données référentielles ou secondaires. L’information n’est pas
directement obtenue après requête comme c’est le cas avec une base de données mais des
références à cette information nous sont dérivées. Ex : moteur de recherche (Google),
recherche documentaire. Elle peut contenir des bases de données.
-DataWarehouse : entrepôt de données ou système d’information décisionnel (statistiques
pour des prises de décisions). Il est potentiellement utile quand le volume des informations ou
données est important.
Il est alimenté par des bases de données en général. Il s’agit d’un système ayant pour support
des bases de production (bases de données et autres sources de données) générant ou dérivant
d’autres données ou informations à titre décisionnel comme les données statistiques ou
agrégation d’autres données. Ce système décisionnel est utilisé comme base par le business
intelligent (BI) d’oracle (SGBD).
De cet entrepôt dérivent d’autres technologies de données : Data Mining (qui signifie
littéralement forage ou fouille de données) débouchant sur la science des données actuelle
(Big data et données ouvertes) et OLAP (On-Line Analytical Processing).
- Classification, Préférences
- Estimation,
- Prédiction,
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- Groupement par similitudes,
Segmentation ou clusterisation (Segmentation : process of putting customers/objects into
groups based on similarities ; clusterisation : process of finding similarities in
customers/objects),
Description,
Optimisation
Au regard des grands volumes de données stockés, d’autres centres d’intérêt de recherche sont en
émergence notamment l’Open data ou le Big data, data science comme nous venons de le souligner.
(SQL/NoSQL).
Remarque :
L’information aujourd’hui doit être traitée comme une matière première. Elle est considérée
comme ressource vitale à part entière que l’entreprise se doit de gérer, de contrôler,
d’organiser pour planifier, anticiper et prévoir.
L’entreprise doit donc s’équiper efficacement pour accéder, gérer et faire circuler cette
information vitale.
Ce point de vue est corroboré par l’avancée spectaculaire des TIC amplifiée par Internet. Un
secteur quaternaire est en passe d’être crée, celui des travailleurs de l’information qui s’inscrit
dans une double dynamique :
- l’accroissement de la complexité technique et organisationnelle et la fusion
entre le monde informatique et le monde managérial.
- La réduction historique du temps décisionnel depuis le rythme des saisons, les
périodes luminaires, les heures de clochers, les secondes de l’électronique
jusqu’aux nanosecondes de l’informatique.
En ce troisième millénaire, il est bon de souligner que 80% des informations nécéssaires à la
survie de l’entreprise sont externes à l’entreprise. Aussi dans un contexe de complexité
croissante et de concurrence accrue comment disposer d’informations décisionnelles de
qualité.
2-Approche Base de données
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En tant qu'abstraction de la réalité, il est plus vu de nos jours comme un instrument ou un moyen de
production et d'exposition de connaissances [MOIGNE1985].
2.1-2-Schéma de données
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Fichier de données Commerce
Base de données
Ressources humaines
Ressources humaines
Recherche stratégique
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tout accès invalide et illégal (intégrité, authentification, confidentialité, non répudiation,
tolérance de pannes) ;
-cohérence forte, couplage faible.
2.3.2-Mise en place de la base de données
La mise en place d’une base de données passe plusieurs étapes dont essentiellement et
notamment :
1. Capturer l’expression des besoins (objectifs, attentes, cahier de charges, aspirations,
préoccupations)
2. Spécification et définition des données, des traitements (requêtes et interrogations)
3. Conception (MCD, MCT)
4. Etude technique (choix entre plateformes/environnements, des SGBD et autres
moyens de réalisation)
5. Mise en œuvre/réalisation
6. Maintenance
MCD : Modèle conceptuel des données ; MCT : modèle conceptuel des traitements.
Sous forme de graphie succinctement commentés, ce qui suit, reflète les étapes normales de
réalisation d’un produit logiciel : Etude de faisabilité, étude préalable, étude détaillée, étude
technique, réalisation, mise en œuvre, maintenance.
En illustration1
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En illustration 2
NB : Un autre logiciel libre existe de même nom Sage ( ) pour des simulations
avancées à plus de vocation pour calculs scientifiques et surtout mathématiques (algèbre,
graphe, combinatoire ; plotting et tracés divers ….).
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- Ligne 30 pour les petites entreprises (TPE, PMI-PME) ;
- Ligne 50 pour les entreprises peu moyennes ;
- Ligne 100 pour les entreprises moyennes ;
- Ligne 500 pour les grandes entreprises ;
- Ligne 1000 pour les très grandes entreprises.
Plusieurs versions sont déjà éditées dont la dernières est 17(i-sage, web). Nous utiliserons
version 15. Les fonctions basiques sont conservées et améliorées en termes de souplesse et de
convivialité d’utilisation des interfaces au fil des versions.
Dans un souci de correction des erreurs dans une version, ou la prise en compte des
nouveautés (nouveaux traitements), les programmes sont déclinés en différentes versions
successives comme déjà indiqué.
SAGE SAARI est utilisable en monoposte comme en réseau (multiposte et multi utilisateurs).
Pour la sécurité des données, SAGE Saari intègre un module permettant de créer les
utilisateurs, de gérer leurs droits d’accès ou privilèges via login (ou nom utilisateur) et mot de
passe.
L’administrateur est l’utilisateur qui a le plein droit sur l’ensemble des fonctions (menus et
sous menus). Il crée les utilisateurs. Il leur conçoit des droits, les leur assigne, les modifie et
les retire.
SAGE SAARI est un logiciel paramétrable ; c'est-à-dire avant toute utilisation, il y a lieu de
renseigner un certain nombre d’informations de base devant servir à effectuer les différentes
opérations de traitements.
On distingue alors deux niveaux principaux de paramétrage à savoir :
- Celui de bas niveau ou niveau un (à l’aide de l’outil à propos de/option)
- Celui de deuxième niveau (menu structure) enrichi par le paramétrage de niveau un.
Nous relevons que le niveau deux de paramétrage utilise celui du niveau un.
Pour supprimer ou modifier un élément du paramétrage de niveau 1, il faut prendre le soin de
supprimer l'utilisation qui est faite du paramétrage de niveau 1(option) par celui du niveau 2
(structure).
Un outil de maintenance unique accompagne l’ensemble des logiciels pour la réparation du
fichier utilisateur ou pour sa mise à jour dans une version plus récente. Notons qu’un fichier
de données sage saari peut être inaccessible du fait de l’état d’incohérence de ces données
provoqué par le système ou l’utilisateur lui-même ou tout simplement par une interruption
soudaine incontrolée.
2- FONCTIONS DE SAGE SAARI COMPTABILITE
SAGE SAARI est un progiciel destiné à la réalisation de quasiment/presque toutes les
opérations comptables notamment :
- Création d’un plan comptable ;
- Gestion de la comptabilité générale ;
- Gestion de la comptabilité des tiers ;
- Gestion de la comptabilité analytique ;
- Gestion du reporting ;
- Gestion budgétaire ;
- Gestion des devises ;
- Transfert de données vers d’autres logiciels comptables ou commerciales ;
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Dr APPOH - 07930589
- Gestion des écritures d’abonnement ;
- Rapprochement bancaire ;
- Editions des états comptables ;
- Déclaration des taxes ;
- Importation de la structure du plan comptable ;
- Sécurité des données par mot de passe (création des utilisateurs avec droits d’accès) ;
- Maintenance.
Remarque :
Dans le cas où l’utilisateur possède simultanément la gestion comptable et la gestion commerciale, il
peut lier étroitement le fichier comptable (d’extension .mae et le fichier commerciale d’extension
.gcm) de sorte à avoir des informations directement utilisables à la fois tant au niveau commerciale
que comptable. Ceci permet ainsi d’éviter toute reconversion lors des transferts comptables en fin de
période.
3- PRATIQUE DU LOGICIEL SAGE SAARI
La maitrise de l’environnement informatique surtout à travers le système d’exploitation constitue un
atout et un préalable à la bonne utilisation de sage saari.
3-1-PRATIQUE DE MICROSOFT WINDOWS
Microsoft Windows est un logiciel de système d’exploitation. Il constitue le gestionnaire des
ressources informatiques (matérielles et logicielles). C’est une machine étendue (abstraite ou
virtuelle), car elle étend les fonctionnalités de l’ordinateur. Il décharge l’utilisateur des aspects
fastidieux de l’ordinateur en lui offrant un environnement convivial de travail à travers des interfaces
homme machine (fenêtrage ou écran).
Les fonctionnalités du système d’exploitation sont accessibles par l’interpréteur de commande (Shell)
et par des interfaces graphiques.
Pour les utilisateurs moins chevronnés en informatique peuvent accéder à ces fonctionnalités de façon
graphiques pour exploration et la recherche des contenus (fichiers et répertoires).
Pour accéder à l’explorateur Microsoft Windows on peut procéder de multiple manière : drapeau + E
Bouton Droit sur démarrer/start ou sur drapeau Windows et explorer ou ouvrir (jusqu’à Windows XP,
Windows 7) et bien d’autres techniques plus simples.
Echap pour annuler ou fermer des fenêtres ou boîte de dialogues.
Accéder à l’explorateur Windows par l’ouverture d’un répertoire via le bureau/desktop ou via liste
démarrer (à partir de Windows 7-8-9-10)
Tout réduire pour accéder au bureau : drapeau + D.
Exécuter des commandes Shell/interpréteur de commande (qui ne s’appelle pas MS-Dos) :
Drapeau + R puis cmd ;
3-2- Paramétrage et utilisation de SAGE SAARI
Avant le lancement (ou exécution) de sage, il faut qu’il soit installé. Un bon paramétrage du progiciel
participe une utilisation efficace.
Ce lancement s’effectue à travers Microsoft Windows, en allant dans démarrer/tous les
programmes/sage/comptabilité 100/comptabilité 100 ou autres techniques plus simple (ouvrir par clic
direct dur un travail fichier).
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Barre des titres Barre des menus Barre d’outils
Espace de travail
Barre d’état
Le menu principal, est constitué des menus : Fichier, Edition, Structure, Traitement, Etat, Fenêtre et ?.
Chacun d’eux a un sous menu déroulant.
Au premier lancement du logiciel, l’on constate que la plupart des éléments sont grisés (non actifs),
car aucun fichier n’est encore crée ou ouvert. On s’aperçoit qu’il possible d’utiliser des raccourcis.
En plus de la barre des raccourcis, nous avons aussi la possibilité de combiner des touches du
clavier.
CTRL+N => Fichier nouveau
CTRL+O =>Ouvrir un fichier
Pour quitter certains menus contextuels et boîtes de dialogues, on se sert de la touche ECHAP ou
ESCAPE, à l’effet de ne prendre aucune modification en compte. Sinon il faut procéder à la fermeture
de la boîte de diadoque par la croix en haut et à droit.
Barres d’outils pour les raccourcis : Elles sont personnalisables en allant dans fenêtre/ personnaliser
l’interface. Ceci concourt à la préparation de l’environnement de travail.
Pour supprimer ces barres, il faut cliquer sur « masquer » et sur « afficher » pour les afficher.
Mode assistant/mode expert (via Fenêtre du menu principal)
L‘assistance dans la création des éléments est possible. Il suffit de cocher le mode assistant du menu
fenêtre. Bien évidement, s’il est décoché le mode de création change. On passe alors en mode expert.
Cette manœuvre concerne les actions : Edition/ajouter ou faire un clic droit/ajouter…
Avec le mode assistant et en faisant fichier/nouveau, on suit le processus s’achevant par la
dénomination du fichier en création.
Lorsqu’on décoche le mode assistant, on passe en mode expert.
Par fichier/nouveau, on obtient une boite de dialogue donnant lieu à la définition du nom du fichier
comptable en création.
Paramètrage : Un volet des rubriques paramètres concerne les informations signalétiques sur
l’entreprise ou organisation dès installation du logiciel ou création d’un fichier commercial/comptable.
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Un des onglets principaux de paramétrisation est option (fichier/ à propos de votre société /
options/option.
Après ce paramétrage s’en suit un autre à travers le menu structure.
Pour tout élément à ajouter on fera ctrl+J au fur avant et après saisie (en mode expert de
préférence pour le menu structure).
ISO : International Standard Organisation, Un produit doit respecter certaines normes pour être de
qualité. ISO est un organisme de normalisation. (Signification des monnaies du monde). (Certification
ISO 9002).
Sélectionner l’exercice concerné (celui de l’année en cours est proposé par défaut).
Définition de l’exercice et de la longueur des comptes
Compte généraux : 4
Section analytique : 5
XOF est un code, qui signifie : franc CFA BCEAO, la monnaie commune de 8 États africains émise
par la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), et auparavant dans la Zone franc
regroupant des anciennes colonies de l'A.O.F.
Son équivalent en dollar est USD, et EUR pour euro, GBP pour Live sterling…
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Faire suivant, création du fichier comptable apparaît.
Cliquer sur parcourir pour choisir le dossier devant sauvegarder votre fichier
Donner le nom du fichier : TD-EXERCICE, puis l’enregistrer sur le disque local ; enfin cliquer sur
FIN.
Dans ce paramétrage on pourra à travers des runbriques définir leurs contenus ayant un lien direct avec
la comptabilité ou l’activité ou pas. Mais pouvant servir.
Après avoir terminé, il faut aller ensuite dans fichier, cliquer sur à propos de votre société, aller dans
options, cliquer sur champs statistique tiers, et faire un double clic et au niveau de la case intitulé,
faire rentrer les éléments puis valider ; l’élément saisi va aussitôt dans la case de champs statistique tiers.
LOCALISATION
NATIONALITE
NATURE DE L’ACTIVITE
Faire ensuite double clique sur chacune des rubriques qui viennent d’être créées. Ainsi par exemple
dans localisation et rentrer les éléments suivants :
NORD
SUD
EST
OUEST
CENTRE
Pour valider, faire entrer, l’élément se positionne au niveau de la case champs statistique, et inscrire
les éléments suivants.
Double clique sur nationalité et inscrire les différentes nationalités :
BURKINABE
FRANCAISE
SENEGALAISE
TOGOLAISE
IVOIRIENNE
Double clique sur nature de l’activité et inscrire les différentes activités :
IMPORT EXPORT
LOCATION DE CAMION
TELECOMUNICATION
TRANSIT
Le champ statistique tiers étant bien renseigné, cliquer sur option pour la rubrique suivante code risque,
où on inscrira les éléments suivants :
BONNE COTE CREDIT :
A livrer
Dépassement : de 0 à 1
ENCOURS NORMAL :
A livrer
Dépassement : de 2 à 999
EN DEPASSEMENT :
A surveiller
Dépassement : de 10000 à 74999
INSOLVABLE :
A bloquer
Dépassement : de 75000 à 999999
Devise
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Soit le CFA et l’euro deux devises créées.
Pour établir leur parité choisir le cfa en haut et l’euro (en bas). Mettre le taux d’échange et valider
(crt+J). Puis revenir la dessus par selection de cfa pour constater que 1 euro= 656 cfa
Intitulé : EURO
Unité : francs
Cours : certains
Cours période : 656
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Aller dans options, période de rappel, taper les éléments suivants :
RELANCE, de 0 à 30 jours
CONTENTIEUX, de 31 à 60 jours
POURSUITE, de 61 à 90 jours
Aller dans options, plan analytique, taper les éléments de taxinomie ou typologies devant servir à la
ventilation analytique lors de la saisie des enregistrements/opérations :
DIRECTION
PRODUIT
ACTIVITE
Aller dans options, service contact, taper les éléments suivants :
DIRECTION : DIR
COMMERCIAL : COM
COMPTABILITE : FIN
Cliquer sur structure, plan comptable, ajouter un nouvel élément, bouton droit de la souris
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Cette page s’affiche :
N° COMPTE :
INTITULE :
NATURE DU COMPTE : (aucune, client, fournisseur, salarié, banque, caisse, charge, produit etc.…)
NB : Lorsque nous voulons créer un compte banque, dans nature du compte nous sélectionnerons
banque.
Pour faire des sélections faire ctrl+A
Pour désélectionner cliquer sur 1 élément
Pour sélectionner de manière continue, on clique sur un élément et faire majuscule ou shift et cliquer
sur le dernier élément
Pour une sélection discrète (ou on peut sauter) faire contrôle et sélectionner les éléments voulus
Pour la création des éléments de la structure, on peut utiliser le mode assistant ou le mode expert (non
assisté)
Créer les comptes et leurs intitulés puis faire ctrl+j pour continuer.
Pour créer un client RUOT
Aller dans plan tiers et faire ctrl+j, mettre le numéro (4104) le compte collectif est 4100.
Pour créer le libellé (Facture d’avoir N°AV1)
Structure, libellé, faire ctrl+j, écrire le libellé dans le raccourci on met (A). Pour revenir, faire ctrl+j et
voir le libellé, faire ECHAP pour fermer
Pour créer un fournisseur
Créer le fournisseur RAMEZ aller dans structure, plan tiers ctrl+j, créer le compte fournisseur (4003)
avec son intitulé « fournisseur RAMEZ » et le rattaché au compte collectif créé au plan comptable
Pour naviguer, aller dans fenêtre, personnaliser l’interface, afficher le bouton de navigation puis
valider. Et cela apparaît en raccourcis, et naviguer.
Aller dans structure, plan comptable, ctrl+j mettre le numéro de compte (7700) puis l’intitulé :
produits financiers.
Type : Détail
Type : Total
Compte Total dans le plan comptable : le compte rassemble les mouvements des comptes ayant pour
racine le numéro de ce compte total. (Créer le compte de classe 4, ce compte va récapituler en terme
de cumuls débit et crédit tous les enregistrements réalisés sur les comptes ayant la racine 4. Ceci est
percevable à travers l’onglet cumul après un double clic sur le compte).
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Une fois un compte crée est sélectionné, par un clic droit on l’ensemble des actions possible sur ce
compte.
Par double clic sur un élément crée via le menu structure, on a accès à ses propriétés ou
fonctionnalités organisées souvent sous forme d’onglet.
(Personnaliser, sélectionner, ajouter et valider, ou supprimer).
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PLAN ANALYTIQUE
Cinq types de journaux existent : achat, vente, trésorerie, situation et général. A la création d’un
journal, il y a lieu de choisir son type.
NB : Il y a lieu de cocher la propriété saisie analytique tant pour les comptes généraux que pour les
journaux si la ventilation analytique doit être réalisée. On accède aux propriétés d’un journal créé par
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Dr APPOH - 07930589
un double clic sur ce dernier. Il en va de même pour un compte (général) et les autres éléments des
compartiments du menu structure.
Une fois crée le journal, via le menu traitement/journaux de saisie, on constate ce même journal
produit 12 fois dont un par mois.
Importation (ou fusion des données) entre fichiers pris deux à deux.
Créer un nouveau fichier appelé TD2.
Fichier, nouveau, créer TD2. Nous allons dans structure, plan comptable, nous constatons que le
fichier est vide.
TAF 1 : Importer les données du fichier TD_ EXERCICE DIFC dans le nouveau fichier créé TD2.
Aller dans structure, cliquer sur fusion, un tableau s’affiche du nom de fichier comptable.
NB : fusion de deux fichiers comptables (dans structure) uniformiser ou échanger des éléments de
plans ou modèles crées
Cliquer sur ouvrir, on va chercher les éléments du fichier TD EXERCICE DIFC3, cliquer sur
OUVRIR.
On va ensuite dans plan comptable, on sélectionne les éléments, on clique sur oui au fur et a mesure,
les éléments sont balancé au niveau de la colonne TD2.
Si vous sélectionnez tout et cliquer sur copier, valider le oui, il prend automatiquement tout en compte.
Pour sortir, cliquer sur OK. Vérifier ensuite, dans structure, plan comptable si les éléments sont passés.
En ce qui concerne les éléments du plan analytique, faire structure, fusion, importer les éléments puis
OK pour valider. Vérifier ensuite, dans structure, plan analytique si les éléments sont passés.
En ce qui concerne les éléments du plan 1/3, faire structure, fusion, importer les éléments puis OK
pour valider. Vérifier ensuite, dans structure, plan 1/3 si les éléments sont passés.
NB : avant d’importer, il faut aller ouvrir, le fichier concerné, et ensuite l’importer.
Ex entre deux fichiers td1exercice et td2 qui peuvent tout deux être distincts du fichier en cours.
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TAF2 : saisie des éléments dans le journal
Aller dans le menu traitement, cliquer sur journaux de saisie, on clique sur journal de vente du
mois d’avril 2008.
Ces journaux peuvent être triés par code de manière alphabétique ou par période (mois) par un clic
(sur code ou période).
Libellé
Pour saisir le libellé, aller dans libellé, et cliquer sur le livre, et choisir le libellé correspondant, puis
cliquer sur OK.
Poursuivre par tabulation, aller au niveau du débit, et saisir le montant puis valider. On constate
qu’une fenêtre apparaît. Cela est du au fait que (au niveau de structure plan comptable, double clique
sur vente) la ventilation analytique à été coché.
Pour vérifier aller dans structure, code journaux, double clique vous verrez que la saisie analytique a
été cochée.
Saisie analytique : 7010
Direction : 654.00
Section Quantité Montant
DAF00 300.00
DCO00 354.00
NB : Si on sélectionne direction nous avons la liste des directions ; idem pour activité avec obtention
de la liste des activités ; et enfin produit et nous avons la liste des produits.
Etc.
NB : Tant que le montant total à imputer n’est pas atteint, nous ne pouvons pas fermer la fenêtre de
saisie analytique pour la ventilation analytique.
On peut opter pour équilibrer en cliquant sur le dessin ou icône balance.
On ne peut quitter le journal que lorsqu’il est équilibré. Sinon, supprimer les lignes pour sortir et
reprendre ou corriger ou avec Echap pour annuler l’opération d’écriture ou d’enregistrement.
Le compte dans le journal est en gras seulement lorsqu’il a subi une ventilation analytique.
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NB : Pour ventiler les comptes, 4367 ; 4104 ; 7010 ; il faudrait cocher la case de la propriété saisie
analytique (constituants du plan comptable et ceux du code des journaux).
NB : la ventilation analytique a lieu lorsqu’au niveau du journal comme au niveau du compte du plan
comptable est cochée la propriété saisie analytique.
Le Multi-échéance est applicable sur les tiers via l’onglet complément des tiers créés (double clic sur
un tiers). Exemple de définition d’un échéancier :
INTITULE : MODELE 1
Un modèle ici met en relief la diminution des saisies à répétitions par factorisation. A ce titre, on a
trois principaux modèles : Modèle de saisie, modèle de grille (ou analytique) ; modèle de règlement
(ou d’échéancier : livre contenant les échéances à respecter).
Le modèle facilite les définitions de grille analytique et d’échéancier (par tiers : client, fournisseurs)
Echéance : époque du paiement d’une créance, d’une somme, délai.
Cliquer ou aller dans structure/modèle/modèle de grille puis faire : ctrl + j.
INTITULE : modèle ANA_DIR
DIRECTION :
PRODUIT :
ACTIVITE :
NUMERO : Dir01 POURCENTAGE : 25%
NUMERO : Dir02 POURCENTAGE : 75%
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Aller dans structure, modèle, modèle abonnement, faire ctrl+j la page suivante apparaît.
RACCOURCI :
Cliquer sur la symbologie à deux mains, cela signifie une saisie manuelle
Cliquer sur la symbologie à deux bonhommes identiques pour une répétition
Cliquer sur la symbologie à deux bonhommes différents consiste en une incrémentation
Postes budgétaires
- Structure/Poste budgétaires
Il est fondamentalement à but prévisionnel.
Exemple :
Type
(détail ou numéro Intitulé du budget Comptes rattachés
total)
9610 Recette de production Vente (7010, 7030, 7071, 7085,7133)
Prestation de service (7060) ;
9611 Recettes de réparation
variation de prestation de serv. en cours (7134)
9612 Autres recettes 7611,7718
9620 Achats 6010, 031, 6071, 6091,6241
9630 Autres achats & services ext. 6064
9640 Impôts et taxes
9650 Charges de personnel
Illustration
Ici le budget est renseigné par sélection du contenu du plan analytique de Apropos de/Option
(activité, produit, salon et manifestation…) auquel s’ajoute par défaut général.
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En analytique sélectionné pour renseigner budget on peut choisir de manière plus ciblée l’élément du
plan analytique visée par le contrôle budgétaire.
Via l’onglet dotation, on renseigne par mois le montant (montant période) en termes de charge ou de
produit. En le faisant, le cumul est obtenu juste au-dessus (montant). On sélection le mois puis on
saisit par les zones de saisie en bas comme le montre la figure suivante. (Validation via entrée suite à
chaque saisie du montant).
Par contre, si on renseigne déjà le montant calculé, on obtient automatiquement sa division mensuelle.
NB : dotation et comptes (intéressés) vont de pair pour un bon contrôle du budget.
La dotation est en général prévisionnelle et au regard des comptes intéressés ou affectés au poste, l’on
pourra faire des contrôles du budget via état/états budgétaires.
Via l’onglet comptes, on rattache les comptes généraux intéressés
Pour le poste budgétaire 9610 : recettes de production le budget est général, le sens ce sont des
charges, les comptes généraux de vente sont intéressés.
A travers l’onglet comptes du poste budgétaire, on peut affecter des comptes. A ce titre, on peut par la
suite consulter les consulter via /états/ états budgétaires….
Pour la prise en compte des postes budgétaire choisir à la place de « aucune » en face de gestion
budgets de l’onglet initialisation/a propos de : axe général ou axe analytique.
Illustration :
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Etats
Lorsque la saisie est terminée, faire un clic dans état/brouillard/code journal, journal correspondant
(achat, vente, etc.…) et valider, pour constater toutes les saisies effectuées pour édition.
Etat, reporting, grand livre,
Par l’onglet cumul, on peut consulter les mouvements sur le compte si le compte a fait l’objet de saisie
d’opération ou d’écriture comptable.
Aller dans structure, plan comptable, faire double clic sur collectif client, dans la base compte
reporting, inscrire le N° de compte à lié, et valider.
Créer le compte reporting client/fournisseur
Aller dans structure, plan reporting, la page suivante apparaît :
Fichier Principale
N° : 4130 TYPE : détail, total
Intitule
Classement
Saut de : ligne, page
Aller dans plan comptable, double clique sur collectif fournisseur, compte reporting, inscrire le
numéro du compte : 4027
MULTI- EXERCICES
Le programme Sage comptabilité conserve et gère jusqu’à cinq exercices dans un même fichier comptable.
L’ajout d’un nouvel exercice peut se faire en mode expert ou en mode assisté à travers le menu suivant :
La création d’un journal de type général est indispensable pour la création d’un nouvel exercice.
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CLOTURES ET FERMETURE DE JOURNAUX
A travers le menu traitement les clôtures d’un exerce ou fermeture de comptes sont réalisées.
On a deux types de clôture : partielle et totale.
Partielle : les éléments comptables des écritures déjà validées ne seront plus modifiables mais de
nouvelles écritures pourront être passées dans les journaux. Le lettrage et la ventilation analytique par
exemple pourront tout de même être effectués.
Totale : les journaux ne seront plus modifiables.
Dans cette barre, par un clic sur clôture manuelle des journaux, on obtient la fenêtre suivante
permettant de procéder concrètement à la clôture.
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Pour la comptabilité, en cliquant sur ok, on va chercher le fichier « liste des comptes généraux » à
éditer via \bureau\public\ documents publics \sage\ comptabilité\ documents standards\Etats
libres\Liste comptes généraux
Par la suite faire un clic sur ok comme précédemment et aller chercher le fichier « liste fournisseurs
adresses » via le chemin :
bureau\public\documents publics\sage\gestion commerciale\ documents standards\Etats libres\ liste
fournisseurs adresses
Complément du menu Fichier/mise en page (comptabilité/Gestion
commerciale)
Il s’agit de possibilité donnée pour la modification ou la création d’un état à éditer à travers le menu
état.
En faisant Fichier/mise en page une application est lancée nommée Mise en page Sage 100
comptabilité si on est en comptabilté (et Mise en page Gestion commerciale si on est en gestion
commerciale).
S’il s’agit de modification on va choisir le fichier pour l’état à éditer en suivant le chemin :
Faire Fichier/ouvrir puis aller chercher le fichier « liste des comptes généraux » par
bureau\public\documents publics \sage\ comptabilité\ documents standards\Etats libres\ liste des
comptes généraux.
Fichier/mise en page ; puis par l’application de mise en page de sage 100 Fichier/ouvrir->
C:\Users\Public\Documents\Sage\ Comptabilité\Documents standards\Etats libres
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Ristourne (nom féminin) : réduction sur un prix (Anglais: discount).
Rabais : diminution sans exigence de taux uniforme (avec des taux variés)
Remise : diminution avec taux
Comptabilité analytique
http://unt.unice.fr/aunege/Comptabilite_analytique_L2/html/lecon_02.html
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