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DÉONTOLOGIE ET

ÉTHIQUE
PENSEE DU JOUR

EN MANAGEMENT : 1+1 > 2

« Ensemble
Chacun
Réalise
Plus »
2
PLAN DE
PRÉSENTATION 1
• Introduction
• Objectifs et méthode
• Définitions des concepts de base
• Droits, devoirs, obligations et
responsabilités des agents de santé
• Droits, devoirs et obligations du patient
PLAN DE
PRÉSENTATION (suite)
• Relations entre agents de santé
• Instruments de contrôle et de régulation
• Équipe cadre et déontologie/éthique
• conclusion
OBJECTIF GÉNÉRAL
L’objectif visé par ce cours est de doter
les agents de santé de connaissances
et attitudes nécessaires en matière de
déontologie et d’éthique afin d’en assurer
la promotion dans l’exercice des professions
OBJECTIFS SPÉCIFIQUES
• Définir les concepts de base,
• Expliquer les droits, devoirs et obligations des
agents de santé,
• Expliquer les droits, devoirs et obligations du
patient,
• Utiliser le code d’éthique en matière de recherche
en santé,
• Expliquer les conséquences du non respect de la
déontologie ou de l’éthique
Méthodologie
• Exposé introductif,
• Discussion
• Etude de cas
INTRODUCTION
Les professionnels de santé ont une condition
juridique double:
qEn tant que membres de la profession médicale,
leur vie professionnelle est régie par un droit qui
codifie les règles d’exercice de leur profession et
détermine les statuts de leur activité;
qEn tant que personnes, ils demeurent soumis
même lors de l’exécution de leurs tâches, aux
impératifs du droit commun (pénal ou civil)
comme tous les citoyens.
INTRODUCTION (suite

La connaissance de la déontologie et de
l’éthique demeurent le complément
indissociable de la formation technique de
ceux qui doivent soigner et préserver la santé
de l’homme. Les agents de santé de par leur
fonction de soignant et de gestionnaire du
système de santé du district ne sauraient
échapper à la règle.
DÉFINITION DES CONCEPTS 1
• Droit:
Le droit est l’ensemble des règles obligatoires qui
déterminent les rapports sociaux imposés à tout
moment par le groupe auquel on appartient.

• Déontologie
« Science qui traite des devoirs à accomplir »
(Larousse)
Définition des concepts 2
• Déontologie médicale
La déontologie des professions médicales peut se
définir comme la science des devoirs moraux de ses
membres leur permettant d’être éclairés sur
l’attitude à adopter devant les situations
particulières qui naissent du fait de l’exercice de
l’art médical et des relations humaines avec le
malade/communauté.

Ensemble des règles qui régissent les rapports des


médecins entre eux, ou entre eux et leurs malades,
ou la société et eux »(3).
Définition des concepts 3

• Éthique
« Discipline qui traite de la valeur au sens moral des
actions humaines considérées par rapport à leur
conformité au Bien, à la Vertu, bref par rapport à
leur moralité ».

• Morale
« Ensemble de valeurs universelles dont
l’application et l’observance orientent le
comportement spirituel de l’homme par rapport à
la notion universelle de Bien et de Mal ».
Définition des concepts 4
Morale professionnelle :
Elle découle à la fois de la finalité humaine
et sociale des professions médicales et des
conditions techniques particulières
d’exercice qui obligent de pénétrer dans
l’intimité des personnes.
Définition des concepts 5
Code de déontologie:
C’est un recueil ordonné des règles dont la
connaissance et le respect sont exigés des membres de
la profession concernée. Il comporte la description des
principes directeurs élaborés non pas par le législateur
ou l’administration mais par les représentants de la
profession. L’Etat les ratifient et leur confère une valeur
juridique qui rendra la morale professionnelle
obligatoire et permettra aux juridictions de sanctionner
les infractions au code par les membres de la
profession.
HISTORIQUE SUR LA
DÉONTOLOGIE
• Code d ’Hammourabi (1792-1750 av. JC)
• Égypte des Pharaons (XVe siècle av. JC)
• Hippocrate (460 - 370 av. JC)
• Susruta et Tsharaka en Inde même époque que
Hippocrate code médecins et assistants
médicaux
• Florence Nightingale (1823 - 1910)
Principes fondamentaux du code de
déontologie médicale
Deux intérêts:
• Sauvegarde des usagers des professions
médicales,
• Garantie de la valeur mutuelle des membres
des professions médicales
Principes de garantie mutuelle
des membres des professions
• Obligations par des prescriptions relatives à
l’honneur, la moralité, la solidarité vis à vis de la
profession;
« même en dehors de l’exercice de la profession le
praticien doit s’abstenir de tout agissement de
nature à la déconsidérer »
• Réglementation interne des usagers de la
profession, exercice personnel, devoirs envers les
confrères et les personnes dont on se sert pour
accomplir les actes médicaux
Préceptes particuliers aux
professions paramédicales
• Probité et efficacité dans le travail

• Souci de perfectionnement de la profession

• Devoir d’éducation en matière sanitaire et


professionnelle
Droits des agents de santé
• Juste rémunération,
• Droit d’association,
• Droit à la protection et à la sécurité,
• Droit à la promotion et à la récompense,
• Droit à la formation et au perfectionnement,
• Liberté d’exercice et de prescription.
Principes de devoirs et comportement
• L’empathie: Ce sont des attitudes, des comportements
et des expressions qui sont susceptibles d’encourager un
patient/utilisateur à s’exprimer, a continuer à décrire ses
souffrances, à tout dire à un prestataire, à SE
CONFIER.
• La compétence: la possession des connaissances, des
talents, de l’énergie et de l’expérience nécessaires à la
prestation des services prescrits
• La fiabilité: qualité qui favorise le développement et le
maintien des rapports de confiance
• La conscience: le sens moral de ce qui est bien ou mal
dans la conduite personnelle et la perception des
principes éthiques et la volonté de les appliquer
• L’engagement: décision prise délibérément de respecter
ses obligations professionnelles
Principes de sauvegarde des
intérêts du malade
• Principe de ne jamais nuire au malade ;
• Obligation de garder les secrets qui leur sont
confiés par les malades ;
• Devoirs d’assurer les soins nécessaires avec la
plus grande conscience ;
• Mission d’assistance morale vis à vis du malade
par une attitude correcte, et compatissante ;
• Réglementation du droit aux honoraires.
Responsabilité médicale
« la responsabilité médicale est pour le
médecin et ses collaborateurs de subir les
conséquences de certaines fautes commises
par eux dans l’exercice de l’art, fautes
pouvant amener une double action: civile et
pénale (6) »
Devoirs des médecins(8)
• Devoirs généraux
- Respect de la vie et de la personne humaine
- Soins avec la même conscience pour tous
les malades
- Secours immédiat à malade en danger
- Non abandon des malades en cas de danger
sauf ordre formel écrit des autorités
qualifiées
Devoirs des médecins
Devoirs envers les malades
- Assurer les soins appropriés en son pouvoir sans
nuire au malade
- Agir avec humanité, correction et compassion
- Prendre le temps nécessaire pour le diagnostic
- Limiter ses prescriptions et actes au strict
nécessaire
- En cas d’urgence sans possibilité de communication
avec le malade ou devant un mineur lorsqu’il ne
peut recueillir le consentement du représentant
légal le médecin donne le soin utile
Autres Devoirs des médecins
• Devoirs relatifs aux honoraires
• Devoirs en matière de médecine sociale
• Devoirs de confraternité
• Devoirs envers les pharmaciens, chirurgiens
dentistes, sage-femmes et auxiliaires
médicaux
Principes de la déontologie de
l’infirmier(e)
• Sagesse
• Courage
• Justice et charité
• Tempérance ou modération des désirs et
passions
• Sincérité, synthèse du courage et de la
probité
Obligations des infirmier(es)
envers les malades
• Obligation de secours à toute personne en danger
• Obligation de surveillance des malades cad que
l’infirmier(e) est interdit d’abandonner les
malades sauf ordre formel des autorités
• Soins avec la même conscience et dévouement
• Respect de la condition du malade
• Respect du secret médical
• Assistance morale
Devoirs de l’infirmier(e) envers
le médecin
• Obligation morale de subordination dans la
collaboration
• Courtoisie
• Respect
Devoirs de l’infirmière envers
son employeur
• Respect de l’esprit du contrat de travail
• Sauvegarde des intérêts de l’employeur
• Accomplissement de ses engagements
Pour ce faire deux qualités requises à savoir
efficacité et autorité
Devoirs de l’infirmier(e) envers
sa profession
• Veiller sur son aspect extérieur et son équilibre
personnel
• Envers les collègues
- devoir de confraternité, franchise, loyauté,
entraide et défense des collègues au besoin
- conciliation amiable des différents
- interdiction calomnie, médisance
• S’abstenir de tout acte de nature à déconsidérer la
profession, valorisation profession, formation des
collègues
Devoirs moraux de l’infirmier(e)
envers la collectivité
• Déférer aux réquisitions de l’autorité
légitime en matière d’urgence ou de
catastrophes
• Prêter son concours à l’action des autorités
compétentes en vue de la protection de la
santé
• Connaître, respecter et faire respecter les
règlements sanitaires par les populations
Devoirs de la Sage Femme
• Exerce sa mission dans le respect de la vie
• Respecter le secret professionnel et veiller à son
respect par les personnes qui l’assistent
• Est libre dans ses prescriptions en observant
l’économie compatible avec l’efficacité des soins
et l’intérêt des femmes
• Fournir des soins efficaces et sûrs aux patientes ou
aux enfants
• Assistance aux parturientes, aux accouchées, aux
nouveau-nés en danger
• S’abstenir de tout acte de nature à déconsidérer la
profession
Devoirs de la Sage Femme
• Entretenir entre elles des rapports de confraternité.
Elles se doivent assistance morale et régler tout
dissentiment par la conciliation. Elle ne doit pas
calomnier une autre ou faire des remarques
désobligeantes ou des critiques sur la pratique de
collègue devant les patientes.
• Eviter le détournement de clientèle de collègue
• Contribuer à la formation des futures sages femmes et
à la formation continue de ses collègues
• Entretenir de bons rapports avec les membres des
professions de santé et respecter l’indépendance
professionnelle de ceux-ci
Relations déontologiques entre médecins
et paramédicaux
• Devoirs moraux réciproques
- Obligation d’assistance morale
- Courtoisie

• Devoirs communs envers les malades


découlant de la même éthique et reposant
sur les mêmes principes sauf cas particulier
comme la vérité à dire au malade.
Droits du patient
• Confidentialité, secret professionnel, anonymat,
• Choix éclairé par une information correcte et
complète,
• Liberté de choix du prestataire et des prestations,
• Soins de qualité,
• Considération et respect de sa personne,
• Droit à l’admission, transfert, sécurité dans les
services
Devoirs du patient
• Consentement éclairé,
• Collaboration,
• Adhérence au traitement,
• Respect du règlement intérieur des
établissements
Contrôle de la déontologie des
professions de santé

• Les Ordres des différentes professions de santé


sont les garants de l’élaboration et du respect des
codes de déontologie propre à chaque catégorie de
praticien
• En l’absence d’Ordres ce sont les associations
professionnelles qui suivent les questions de
déontologie
• Les sanctions découlant des violations des codes
dépendent des Ordres et de l’Etat
Conséquences du non respect de
la déontologie par les praticiens
Les violations du code de déontologie peuvent
conduire à trois types de sanctions:
• Sanctions morales et professionnelles
relevant de l’Ordre d’appartenance,
• Sanctions judiciaires et civiles relevant des
juridictions,
• Sanctions administratives au besoin
Sanctions morales
Pour le cas du CNO, le bureau national et les
conseils régionaux ont compétence disciplinaire.
• Au niveau région: avertissement, blâme, privation
droit de faire partie du conseil régional pour 2 ans
• Au niveau national: suspension pour une période
n’excédant pas 6 mois, radiation du tableau de
l’Ordre.
• Possibilité de recours au niveau national pour les
décisions régionales et à la Cour d’Etat pour les
décisions du BEN/CNO.
Sanctions en cas de
responsabilité pénale
• Emprisonnement
• Amende
• Emprisonnement+ amende
Noter que la responsabilité pénale s’applique
au coupable et s’éteint avec sa mort.
Responsabilité civile
Il s’agit de payer à la personne victime ou à
ses ayants droits des dommages et intérêts
pour le préjudice subi.
Noter que cette indemnisation est applicable
aux héritiers du praticien coupable jusqu’à
30 ans après sa mort.
Fonctions ECD et déontologie
Toutes les fonctions de l’équipe cadre définies par
l’arrêté 069/MSP/SG du 3 juin 1996 sont des
devoirs envers:
- les malades pour la clinique et la recherche,
- Formation et supervision pour le personnel,
- Planification, gestion pour le système et la
communauté,
- Promotion santé, mobilisation sociale,
organisation participation communautaire pour la
population
Application déontologie à l’ECD
• Code de déontologie et éthique pour la clinique et
la recherche,
• Règles et les procédures sur l’orthodoxie
concernant la gestion des ressources,
• Politique et guides pour la supervision et la
formation,
• Règles en matière de communication pour le
changement de comportement (promotion santé,
participation communautaire).
NB: contrat de performance et GAR
Éthique et recherche en santé
• Définition du concept
• Justification de l’éthique en recherche
• Principes de l’éthique sur la recherche
médicale
• Organes de gestion des questions éthiques
Définition du concept

L’éthique c’est l’ensemble


particulier des règles de conduite à
observer pour conduire la
recherche conformément aux
valeurs morales.
Pourquoi l’éthique en recherche
• Importance de la recherche pour le progrès des
sciences
• Sensibilité de la recherche sur les humains depuis
la seconde guerre mondiale
• Questions éthiques très présentes en santé
publique(économie de la santé, épidémiologie,
prévention)
• Poussée mouvement défense des droits de
l’homme et des peuples
Principes de l’éthique sur la recherche
médicale sur des sujets humains

• Déclaration d’HELSINKI et ses versions


révisées
Code de Nuremberg sur la recherche médicale
Principes de base
• La recherche biomédicale doit être conforme
aux principes scientifiques reconnus et basée
sur expérimentation adéquate au laboratoire
et sur animal
• Projet et chaque phase de l’expérimentation
définis clairement dans un protocole soumis
au comité éthique pour observation et avis
• Expérience sur homme par des scientifiques
qualifiés sous surveillance de cliniciens
compétents
Principes de base suite 1
• Expérience ne peut se faire que si
l’importance du but visé en rapport avec le
risque encouru par le sujet
• Avant expérience, évaluer risques et
avantages prévisibles pour le sujet et les
autres, intérêt du sujet toujours avant ceux
de la science et de la société
• Droit du sujet à sauvegarder son intégrité et
sa vie à respecter
Principes de base suite 2
• Un médecin ne doit entreprendre de recherche que s’il
estime être en mesure d’en prévoir les risques
potentiels. Il doit arrêter si risques supérieurs aux
bénéfices escomptés
• En cas de publication le médecin doit veiller à ce
qu’il ne soit pas porté atteinte à l’exactitude des
résultats
• Lors de la recherche sur l’homme, le sujet sera
informé de manière adéquate sur les objectifs,
méthodes, bénéfices escomptés et risques potentiels
qui pourraient en résulter pour lui, droit de revenir sur
son consentement éclairé
Principes de base suite 3
• Lorsqu’il sollicite le consentement éclairé du
sujet à la recherche le praticien doit prendre des
précautions particulières si le sujet se trouve en
position de dépendance vis à vis de lui ou
donner son consentement sous la contrainte
• En cas d’incapacité légale le consentement doit
être sollicité auprès du représentant légal
• Le protocole doit toujours contenir une
déclaration sur les considérations éthiques
impliquées dans la recherche et que tous les
principes sont respectés
Principes recherche médicale
associée à des soins médicaux
• Lors du traitement d’un malade, le médecin doit
être libre de recourir à nouvelle méthode
diagnostique ou thérapeutique si celle-ci offre un
espoir de sauver la vie, rétablir la santé ou
soulager les souffrances
• Peser les avantages, les risques et inconvénients
potentiels de nouvelle méthode par rapport
méthodes courantes
• Lors de toute étude clinique avec ou sans groupe
témoin, le malade devra bénéficier des meilleurs
thérapeutiques ou diagnostiques disponibles
Principes recherche clinique suite
• Si le médecin estime qu’il est essentiel de ne
pas demander le consentement éclairé du sujet
les raisons doivent être contenues dans le
protocole transmis au comité éthique
• Le médecin ne peut associer la recherche
biomédicale avec des soins médicaux, en vue
de connaissances nouvelles, que dans la
mesure où cette recherche est justifiée par une
utilité diagnostique ou thérapeutique
potentielle pour le malade
Principes recherche biomédicale
non thérapeutique
• Dans l’application d’expériences scientifiques pures sur
l’homme, le devoir du médecin est de rester protecteur
de la vie et de la santé du sujet de l’expérience
• Les sujets doivent être volontaires en bonne santé ou
malades atteints d’affection étrangère à l’étude
• Expérimentateur ou l’équipe doit arrêter l’expérience
si, à leur avis, sa poursuite peut être dangereuse pour le
sujet
• Dans la recherche médicale les intérêts de la science et
de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être
du sujet
Organe de gestion des questions
éthiques sur la recherche
• Devant l’importance et la sensibilité des
questions éthiques les pouvoirs publics
mettent en place des organes consultatifs
mais indépendants pour veiller sur le
respect de l’éthique.
• Au Niger le comité consultatif national
d’éthique fut créé par décret 99-
434/PCRN/MSP du 1er novembre 1999
• Mise en place du comité en octobre 2000
Missions du comité consultatif
national d’éthique
• Donner un avis sur les problèmes moraux
relatifs à l’homme dans le domaine de la
santé;
• Amender les protocoles de recherche;
• Soulever et discuter tout problème
d’éthique en matière de santé;
• Le comité s’intéressera particulièrement
aux questions liées à la recherche dans le
domaine de la santé.
Composition du comité d’éthique
• Un magistrat de la cour suprême,
• Deux personnalités désignées par le MSP;
• Un représentant ministre chargé de la recherche;
• Un représentant ministre chargé de la justice;
• Un représentant développement social;
• Un représentant ministre du travail;
• Un représentant ministre de l’industrie;
• Un représentant de l’ordre des médecins;
• Le Doyen de la faculté des sciences de la santé;
• Deux représentants des associations religieuses.
Conclusion
• Déontologie= application de l’éthique sous
forme d’obligations auxquelles doivent se
soumettre les professionnels de santé
• Relation bénéficiaires-soignants penser
toujours que derrière la maladie il y a une
personne avec des besoins, sa douleur, ses
craintes et ses espoirs à satisfaire
• La satisfaction de ces besoins requiert les
talents: Conscience de soi, Conscience
morale, Volonté, Imagination
Liste des références
bibliographiques
• 1- Claire Ambroselli: L’éthique médicale; édition PUF, 1999, Paris.
• 2- F.Marcoux: droit médical et déontologie; 2ème édition, Maloine S.A, Paris,1976.
• 3. Danielle,Blondeau: De l’éthique à la bioéthique: repère en soins infirmiers; Edition
Gaetan Morin,1986.
• 4- S.Peset: Déontologie professionnelle et psychologie du malade ; 2ème édition;
Edition Lamarre Poinat, Paris, 1973.
• 5- M.M.Bihet; H.Gounelle: Morale professionnelle de l’infirmière; 2ème édition;
Edition Foucher, Paris,1964.
• 6- Association Médicale Mondiale: Déclaration d’Helsinki révisée, recommandations
destinées à guider les médecins dans les recherches portant sur l’être humain, 1995.
• 7- Ordonnance 88-031 du 9 juin 1988 portant création d’un Ordre national des
médecins, pharmaciens et chirurgiens dentistes.
• 8- Décret 88-205/PCMS/MSP/AS du 9 juin 1988 fixant les modalités d’application de
l’ordonnance 88-031 portant création d’un Ordre national des médecins, pharmaciens
et chirurgiens dentistes.
Bibliographie suite
• 9-Décret 88-205/PCMS/MSP/AS du 9 juin 1988 portant approbation
d’un code de déontologie des médecins.
• 10- PAGENAQ: le patient; client et partenaire dans le système de
soins.
• 11- Daniel Grodos; Pierre Mercenier: La recherche sur les systèmes de
santé, studies in health services organisation and policy,2000.
• 12- Bruno Dujardin: recherche opérationnelle et planification de la
santé; cours SPUB 020, année scolaire 2001-2002.
• 13-P.L’EPEE; H.J.Larazini; J.Doignon: Le secret professionnel en
médecine du travail. Masson, Paris, 1981.
• 14- Dominique Folscheid; B.Feuillet-Le Mintier; J.F.Mattéi:
philosophie, éthique et droit de la médecine. Presses Universitaires de
France, 1997.

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