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Pour ce premier (1er) rapport de stage, j’ai jugé utile de choisir le thème de
l’audit et sa place en Algérie et cela compte tenu de la restructuration de
l’économie du pays actuellement engagée et qui impose à l’entreprise algérienne
de se doter de moyens de contrôle efficace qui est l’audit, afin de pouvoir
maîtriser parfaitement les paramètres de gestion.
Le renforcement de l’audit en Algérie est l’une des conditions de la réussite du
plan de redressement de l’entreprise algérienne.
La fonction de l’audit en Algérie commence à gagner du terrain parce qu’elle est
considérée comme souci des décideurs de se conformer à la loi.
L’audit dans notre pays dépendra dans une large mesure de la faculté des
auditeurs, eux-mêmes à livrer aux entreprises algériennes leurs services de
qualité.
L’audit ne pourra s’imposer comme outil de gestion privilégié que s’il est exercé
avec le maximum de professionnalisme requis.
Ainsi donc, l’auditeur grâce à ces missions fait des recommandations souvent
très pertinentes allant dans le sens de redressements : administratif, financier et
surtout organisationnel. En effet l’aspect organisationnel conditionne
considérablement la mise en place d’un contrôle interne.
La maitrise progressive de ses fonctions et l’amélioration par
conséquent de ces résultats économiques et financiers ;
La protection dans de bonnes conditions du patrimoine naturel du pays
(cas de l’Algérie).
Par conséquent nous pouvons qu’encourager l’introduction de la fonction audit
financier comptable dans toutes entreprises Algériennes dans la gestion devient
importante ou complexe. Cette fonction constituera pour les responsables et
dirigeants un support technique très appréciable.
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Chapitre II : Historique de l’audit
Entre 1962 à 1970, Le commissariat aux comptes des sociétés nationales est
exercé dans le cadre de la loi de 1967 modifiée et complétée des par la loi 82-
213 du 2 Mars 1982 (reconduction de la législation française).
Entre 1970 à 1980, La mission est confiée à des fonctionnaires en vertu des
dispositions du décret 70-173 du 16/11/1970 qui élargit la mission à des
contrôles à priori (visas préalables) sur notamment les marchés et les demandes
adressées au Ministère des finances. Il est également demandé aux commissaires
aux comptes d’apprécier la gestion.
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contrôleurs fait petit à petit son apparition : il s’agit bien sûr de celui des
auditeurs internes.
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Les règles d’éthique professionnelle.
Les objectifs d’activité des auditeurs.
Depuis cette date, la fonction audit interne connaît sans cesse une évolution
positive dans le domaine de sa compétence.
Au lendemain de la deuxième guerre mondiale avec les désordres économiques
qui se sont manifestés en Europe notamment, le contrôle comptable devenait de
plus en plus nécessaire. La présence de filiales américaines de plus en plus
nombreuses permet alors à l’audit interne de se diffuser en Europe.
Mais ce n’est que 25 ans après la création de l’I I A que cette présence
américaine donnera, au début des années soixante en France à la naissance de
l’audit interne. Plus précisément en 1964, des auditeurs appartenant à des
sociétés multinationales ont crée en France « L’AFCI » qui deviendra dès 1973
L’IFACI qui est affilié à L’IAA.
En grande Bretagne, l’audit interne, raisons de langue oblige, a connu la même
évolution qu’aux Etats Unis, il en est de même dans les pays scandinaves.
En Allemagne le DIIR, est crée en 1953, il y a quelques années cette association
n’était pas affiliées à l’IIA.
Les autres pays latins d’Europe sont venus plus récemment à l’audit interne.
Dans le reste du monde, les auditeurs sont également regroupés dans le cadre
d’associations affiliées à l’IIA c’est le cas du Japon, de l’Inde, de l’Australie.
Nous disposons de très peu d’informations sur le développement de cette
profession en Afrique. Mais si on prend le cas de notre pays, beaucoup de choses
restent à faire.
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Chapitre III : Le domaine de l’audit et place dans l’entreprise.
2. Le contrôle interne :
Le contrôle interne ce n’est pas un contrôle au sens stricte du terme car dans sa
signification originale, celui-ci est liée à la notion de censure ; contrôler signifie
« vérifier, examiner, soumettre à une censure ».
Le contrôle interne résulte en effet du choix et de la mise en œuvre de méthodes,
de moyens humains et matériels adaptés à l’entreprise et propre à prévenir ou
tout au moins à révéler sans retards les erreurs voir même les fraudes.
La pratique du contrôle interne s’explique par les exigences de la vie
économique moderne qui mettent le chef d’entreprise dans l’impossibilité de
vérifier personnellement les opérations de ses affaires. La dimension croissante
de l’entreprise, l’apprêté de la concurrence nationales et internationale, le
progrès scientifique et technique, les pressions extérieures d’ordre économique,
social, fiscal, le contraignent de plus en plus à réduire le temps qu’il consacre au
contrôle de la vie interne de son entreprise.
Autant de facteurs qui rendent impérative la mise en place de mécanismes
automatiques de contrôle interne : Ceux-ci d’ailleurs visent à l’obtention des
renseignements comptables susceptibles d’être utilisés pour la gestion mais aussi
au maintien de l’intégrité du patrimoine de l’entité économique.
Cependant et dès lors que le contrôle interne s’affirme comme étant un
instrument entre les mains des dirigeants, il n’apparaît plus adéquat pour
rassurer une large frange de la société quant à la sauvegarde de ses intérêts.
A partir de là intervient le contrôle externe pour relayer et renforcer le contrôle
interne.
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3. Le contrôle externe :
Revêtant un caractère soit légal soit contractuel, le contrôle externe
généralement dévolu à des fonctionnaires de structures étatiques ou à des
professionnels indépendants, s’impose de plus en plus comme nécessité.
Si la comptabilité est une technique de gestion de l’entreprise, il ne faut pas
oublier qu’elle a aussi pour objet de renseigner et de rassurer, tous ceux qui sont
intéressés par les résultats de son exploitation à savoir : les tiers qui sont soit des
créanciers (fournisseurs, banquiers…) soit des associés ou des épargnants qui ne
sont ni gérants ni administrateurs, soit des administrations (impôts, sécurité
sociale, enquêtes économiques, statistiques…). A tous ces utilisateurs, la
comptabilité doit fournir des informations complètes et crédibles, qualité que
seul un contrôle externe peut assurer en toute indépendance. D’une manière
générale, le contrôle externe répond à un double but :
La protection des associés et des créanciers.
La protection de l’épargne et la moralisation de la vie des affaires.
Le contrôle comptable qu’il soit interne ou externe s’inscrit en droite ligne de la
maxime « mieux vaut prévenir que réprimer ».
Le contrôle comptable, action préventive par excellence, est avant tout un
contrôle juridique, et son efficacité est en rapport directe avec l’adéquation des
règles qui régissent la comptabilité.
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entreprises des rectifications et peut être des sanctions contre les agents
responsables.
En superposant les deux schémas décrits précédemment, nous constatons que le
cycle d’opérations comptables s’intègre bien dans la gestion de l’entreprise.
On voit qu’à chaque phase du cycle d’opérations de gestion correspond bien une
phase du cycle d’opérations comptables.
Exemple : à la phase politique de gestion correspond la phase définition des
objectifs ; à la phase organisation correspond la phase élaboration des systèmes
et procédures.
On voit bien qu’il y a une synchronisation, c'est-à-dire un enchainement logique
des opérations de gestion et des opérations comptables.
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Le dossier de correspondances avec le client (ou l’unité ou la structure de
l’entreprise) qui doit contenir toutes les copies de lettres adressées ainsi
que les originaux des lettres reçues du client.
Un dossier permanent doit contenir :
Toutes les informations essentielles concernant l’entreprise.
Des informations générales doivent comporter :
L’organigramme ;
La liste des responsables avec les pouvoirs et les signatures ;
L’historique de la société ;
La liste des unités, agences et succursales ;
La liste des activités ;
Les statuts ;
Les copies des procès verbaux et copies des rapports relatifs à tous les
contrôles effectués.
Les informations d’ordre comptable : elles concernent principalement :
Le système comptable utilisé (général et analytique) ;
Le manuel des procédures ;
Les circuits des documents ;
Les modèles des supports en circulation ;
Le questionnaire utilisé pour l’évaluation du contrôle interne ;
Les notes relatives au fonctionnement du système comptable.
Le dossier annuel est en principe constitué par l’ensemble des documents de
travail relatifs à un exercice, ceux-ci sont en effet :
Les objectifs du contrôle ;
Le programme de chaque auditeur ;
Les documents d’analyse ;
L’opinion émise (conclusion) ;
Les copies des rapports transmis à qui de droit (client et entreprise)
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hiérarchique des autorisations d’investir devront être données. Ceci afin
que les dépenses engagées n’excédent pas les prévisions budgétaires.
L’auditeur recherchera s’il est constitué un dossier technico-économique
et financier pour chaque projet d’investissement et si le lancement des
opérations est précédé de la formalité d’appels d’offres et les
autorisations nécessaires.
L’auditeur observera la manière dont sont enregistrées les acquisitions de
nouvelles immobilisations, il s’assurera de l’existence d’un fichier et de
la manière dont est tenu celui-ci.
Enregistrement des factures fournisseurs :
L’auditeur observera de quelle façon sont vérifiées les factures reçues ;
par quelle personne sont effectuées ces vérifications ? et sur quels points
elles portent.
Il cherchera à savoir si les factures reçues sont compostées à leur
arrivée et si les doubles portent un marquage intitulé « double ou copie »
pour éviter un double enregistrement.
L’auditeur recherchera si les personnes qui font procéder au règlement
d’acomptes à la commande sont habilitées à le faire. On s’assurera que
ces acomptes sont effectués conformément aux conventions et clauses
contractuelles.
L’auditeur recherchera si les factures sont payées au vu d’un « bon à
payer » apposé par une personne dûment habilitée.
Il vérifiera aussi si la liasse comprend :
Un bon de commande ;
Un bon de réception.
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L’auditeur observera et notera toutes les précautions pour assurer les
investissements et les mesures prises en cas de variation des valeurs, il
notera les personnes prenant l’initiative de cession ou de mise en rebut
des biens et recherchera si ces personnes sont habilités.
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Chapitre IV : Comparaison de l’audit interne et audit externe.
1. Domaine d’intervention :
L’audit interne : s’étend à l’ensemble des procédures du système d’information
de l’entreprise, il porte aussi bien sur le domaine comptable que sur toutes les
autres fonctions de l’entreprises (qualité, ressources humaines, appros, juridique
etc…)
L’audit externe : a toujours été considéré à tord comme exclusivement étreint au
seul domaine comptable et financier. Le développement de la fonction d’audit
externe a favorisé son extension aux autres fonctions (juridique, sociale, …)
2. Niveau d’analyse :
L’audit interne : s’intéresse à un niveau de détail qui permet d’analyser les
résultats intermédiaires.
L’audit externe : s’établit selon une démarche qui, bien que très proche de celle
de l’audit interne, reste à un niveau global d’analyse.
3. Les objectifs :
L’audit interne : est responsable vis-à-vis de la direction générale, du bon
fonctionnement des procédures comptables et administratives de l’entreprise car
agissant pour son compte.
On dit souvent que l’audit interne à une obligation de résultat. Toutefois, sur
cette question les avis des professionnels de la fonction restent très partagés.
L’audit externe : mandaté par les actionnaires, dans la cadre des audits, légaux
ou contractuels, il leur rend compte et, est tenu à une obligation de moyens pour
la réalisation de sa mission.
4. Niveau d’indépendance :
L’audit interne : est une fonction permanente qui dépend de l’entreprise,
l’auditeur interne doit veiller à la sécurité du patrimoine de l’entreprise et le
respect des procédures de gestion.
L’audit externe : c’est une fonction ponctuelle ne dépendant pas de l’entreprise,
l’auditeur externe veille à la bonne application des règles communes à toutes les
entreprises d’autant qu’il doit veiller à la sécurité des biens des actionnaires.
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Chapitre V : Audit des comptes de Bilan.
1. Bilan Actif :
a. Contrôle des investissements :
Les investissements doivent être inventoriés à la clôture de chaque exercice, les
entreprises dressent un inventaire valorisé, complet et détaillé de leurs
investissements dont le fichier doit être constamment tenu à jour.
Les investissements sont inscrits en comptabilité pour leur coût d’acquisition.
Ceux créés par l’entreprise sont comptabilisés par leur coût réel de production.
Immobilisations corporelles :
S’assurer que les montants enregistrés dans les comptes d’immobilisations
corporelles sont à la date d’entrée des actifs selon :
La valeur d’apport,
Le coût d’acquisition,
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Le coût de production.
Immobilisations en concession :
Vérifier que la concession est sur la base d’un contrat pour l’exécution d’un
service, pour une durée déterminée.
Immobilisation en cours :
S’assurer que les investissements en cours ont bien été enregistrés aux
prix de revient.
Verifier qu’aucun amortissement n’a été pratiqué.
S’assurer que le montant des investissements activé ont bien été virés aux
comptes d’investissement (Immobilisations corporelles)
Falsification des montants des stocks : les dirigeants et chefs d’entreprise sont
souvent tentés par la minoration de leurs stocks afin de diminuer les bénéfices
de l’exercice comptable taxable à l’impôt sur l’I.B.S « Impôt sur les Bénéfices
des Sociétés ».
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Les principes essentiels des comptes de stocks :
Produits finis : sont enregistrés à ce compte les produits créés par l’entreprise et
destinés à être vendus ou fournis.
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Examiner avec soins les avoirs, et s’assurer qu’il a été créé des bons de
retour de marchandises dûment approuvés par le magasin.
Procéder à un sondage dans les comptes soldés.
Revoir les créances douteuses.
Vérifier les auteurs des décisions prises pour la constitution des
provisions pour créance douteuses.
S’assurer que les provisions pour dépréciation des créances sur clients,
constituées ont été correctement évaluées.
Impôt débiteur :
Reprocher le montant de la TVA à récupérer avec les journaux d’achats,
de banques, de caisse et compte postaux.
S’assurer de la déductibilité des taxes.
Contrôler les montants avec les déclarations fiscales mensuelles ;
Le décalage d’un mois de récupération doit être en ce qui concerne la
TVA récupérable, sur les achats de matières et le mois même sur les
investissements.
Trésorerie :
Examiner les états de rapprochement bancaires ;
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Etablir donc un rapprochement entre les soldes confirmés par les
établissements bancaires et ceux tirés de la comptabilité.
Confirmer les soldes arrêtés en fin de période et analyser les différences ;
Exiger des attestations de soldes à chaque fin de période.
Contrôler toutes les additions des journaux, ainsi que les reports de pages.
Contrôler la centralisation des journaux, ainsi que les reports de pages.
Pointer les sommes portées au grands livre.
Se faire justifier les chèques annulés.
S’assurer que la personne qui a élaboré les états de rapprochements ne soit
pas la même que celle qui établit les chèques et prépare les bordereaux de
remise de chèques.
Analyser tous les montants qui n’ont pas fait l’objet d’avis de crédit.
2. Bilan Passif :
2.1. Pour les sociétés Nationales :
Examiner l’ordonnance portant création de la société,
Contrôler le montant des apports de l’état dans les statuts avec les recettes
des journaux de banque et dans les opérations diverses.
Prime et réserves :
Procéder à un recoupement avec les PV des assemblés générales
extraordinaires.
Vérifier la comptabilisation et le calcul des primes d’apport.
Vérifier la régularité des imputations à ces comptes.
Même contrôle pour les réserves légales.
Vérifier la régularité des écritures enregistrées des réserves statuaires
Résultats :
Vérifier les enregistrements en comptabilité à l’ouverture du bilan,
Rapprocher les montants des affectations avec les procès verbaux du
conseil d’administration.
Emprunts :
Contrôler tous les documents et contrats relatifs aux emprunts.
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Vérifier tous les soldes des emprunts bancaires (court, moyen et long
terme) ;
Vérifier les échéanciers de remboursement,
S’assurer de la régularité de l’enregistrement comptable du principal et
des intérêts échus comptabilisés d’avance, ou intérêts courus.
Confirmer les soldes avec la banque
Impôts :
Contrôler à l’aide des états des salaires, les montants portés chaque fin de
mois au crédit du compte IRG.
S’assurer du virement mensuel de ce montant.
S’assurer que la TVA se calcul sur la montant du chiffre d’affaires hors
taxe,
Vérifier les taux appliqués en matière de TVA
Vérifier le calcul, les imputations et les enregistrements comptables de la
TAP .
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Les comptes de charges ont des vérifications communes.
Comparer les charges prévisionnelles prévues dans les budgets annuels.
Comparer, d’une part les charges totales de l’exercice avec d’autre part
celles de plusieurs exercices ;
Rechercher et contrôler soigneusement toutes les pièces justificatives
concernant les charges imputées directement à la classe 6 sans transition
par le crédit d’un compte de bilan.
S’assurer que toutes les charges inscrites durant l’exercice incombent
bien à l’entreprise.
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Chapitre VI : Conclusion.
Dans toute entreprise, administration ou institution, les patrimoines détenus sont
d’une importance capitale pour le service de ces entreprises ; pour cela , les
dirigeants se doivent de les protéger.
Par ailleurs, certains risques encourus par ces entreprises, sont remboursés par
les assurances au cas ou ils sont connus et couverts ; mais bien souvent, d’autre
risques ne sont pas détectés, donc pas remboursés (les anomalies, les
irrégularités ou les malversations…)
C’est pourquoi, ces enjeux militent en faveur d’une organisation performante ou
les procédures mises en place sont scrupuleusement suivies et d’où
l’autocontrôle et le contrôle institués fonctionnent systématiquement de manière
efficiente.
L’audit constitue alors ce moyen de prévention et de correction de tous les maux
dont souffrent les entreprises.
Les pratiques de la gestion doivent donc faire appel à des méthodes modernes,
seules aptes à assurer la pérennité de l’entreprise.
L’audit en Algérie commence à reprendre sa place et devient un élément de la
volonté de changement et de progrès, dans le but d’évoluer et c’est ce qui
caractérise la performance.
En conséquence, ne peut-on dire qu’hormis les connaissances théoriques
comptables, fiscales, juridiques, financières ou mathématiques et les qualités
humaines dont peut avoir l’auditeur, la fonction audit s’acquiert également par la
pratique et l’expérience acquise sur le terrain.
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