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EPIGRAPHIE

« Heureux l’homme qui est continuellement dans la crainte !


Mais celui qui endurcit son cœur tombe dans le malheur »
(Proverbes 28 :14)
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DEDICACE

A vous mes parents, MAYOKO LUKOKY Benjamin et MOTEMA LOYA


Dorothée qui en dépit de multiples difficultés, peines et souffrances aux quelles la vie vous a
confrontés, aviez, par amour, support é mes caprices et exigences sans vous laisser, et conscrits
à mon encadrement, mon instruction en m’orientant vers la voie des études.
Enock MAYOKO
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REMERCIEMENTS

Il est d’un agréable devoir celui de remercie en premier lieu, le Dieu tout puissant, le créateur
de toutes choses pour le souffle de vie qu’il nous a donné.
Au terme de ce travail qui sanctionne la fin de notre premier cycle au sein de l’ISAU, qu’il nous
soit permis d’exprimer notre gratitude et reconnaissance à tous ceux qui, de près ou de loin ont
attribués à son élaboration.
Nous remercions également les autorités académiques, tout le corps enseignant de l’ISAU pour
la formation et encadrement durant notre cursus de graduat à l’institut.
Nous exprimons en particulier notre gratitude à l’égard de Monsieur BAMENIKO, qui en dépit
de ses multiples occupations a bien voulu assurer la direction de ce travail.
A Monsieur MUSOLONGO, qui a aussi disposé de son temps afin de nous orienter et encadrer.
A nos frères et sœurs, MAYOKO SAMUEL, MAYOKO ESTHER, MAYOKO JOELLE,
MAYOKO GODWIN, MAYOKO SEPHORAH, MAYOKO SARAH, MABENDA
PAULETTE, DIAMBUEBENI JEMIMA, MUSAKA ALLEGRESSE, MAYOKO MIRA,
MAYOKO EMMUEL.
A mes oncles et tantes, MOTEMA TABU, MAYOKO LAMBERT,
A nos amis et connaissances, PRISCILLE KENGE, BENEDICTE KALANGA, DIEUMERCI
MUSAMPA, ULRICH LUMENDO, PATRICK MAMBO, JORDY MAMBU, DODI
KOMBA, OMEGA KALONZO, BENEDICTE MASIALA, PRODIGE MAVEMBA,
BRUNELY NTOTO, ROLANT MATONDO, MARIA MATONTO, SENIR KINDIDI,
BENEDICTE KIAZA, DARYL MANTUIDI, DAVID BOKEMBE, JEDIDJA KISEDIA,
GABRIEL MANI, BENEDICTE KAMULONGWA, CHRISCO MATUMBA, GEORGE
TSASA, YVES MIDU.
A notre pasteur, DIEUDONNE et tous les membres de l’église du Message du temps de la fin
pour le soutient spirituel.
A ma lectrice et fidèle amie qui, en tout temps a su trouver le meilleur en moi malgré les vents
et marées MAKULA DI MAKULA Francelvie qu’affectueusement est appelée « Mycapine ».
A tous ceux dont les noms ne sont pas repris dans cette ligne, trouvent ici l’expression de notre
profonde gratitude.
Enock MAYOKO
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AVANT PROPOS

La ville de Kinshasa est confrontée à un problème de secours dans sa globalité,


entre autres le cas des incendies et le secours aux personnes victimes des accidents et cela se
justifie même par le manque des infrastructures adéquates tel qu’UNE CASERNE DE
POMPIERS moderne.
Une caserne est un bâtiment où les personnels séjournent du corps en perméance et
où est entreposée l’entièreté ou la majeure partie matérielle du corps professionnel ou mixte
assure la fonction du secourisme en cas d’incident dans une région.
Nous devons savoir que la caserne des sapeurs-pompiers est d’une importance
indispensable partout la sécurité d’une ville.
Ce présent travail est un descriptif au travail de cycle intitulé CASERNE DES
SAPEURS-POMPIERS ET AMBULANCIERS pour la ville de Kinshasa.
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1. INTRODUCTION GENERALE

1.1. INTRODUCTION
Actuellement, nous constatons un vent d’évolution en construction qui se
caractérise par la construction des nouveaux bâtiments tels que les usines, les immeubles
appartements, les bureaux, les commerces et ceux abritant les institutions de l’Etat, les
industries, vivant à redorer l’image de la ville Kinshasa.
Cependant, nous constatons que la ville de Kinshasa ne dispose d’aucune caserne
de pompiers qui peut intervenir en cas d’une situation dangereuse. Alors que deviendront tous
ces biens architecturaux en cas d’incendie ou des catastrophiques naturelles ?
En effet la création d’une ville n’est pas seulement à l’érection des infrastructures
d’habitations mais aussi la conscience de mettre sur pieds celles d’accompagnement, dans
laquelle catégorie se trouve la caserne des sapeurs-pompiers.
Face à ce problème nous avons songé à doter la ville de Kinshasa d’une caserne-
pompiers question de diminuer les risques causés par des dégâts dus au manque de sécurité et
d’intervention, la localisation de celle-ci sera dans la commune de Kasa-Vubu. Pour parvenir à
intervenir de façon efficace et rapide en cas d’incendies ou autres catastrophes confondues qui
nécessitent une intervention dans cette zone de la ville.
1.2. PROBLEMATIQUE
La ville de Kinshasa est confrontée à un problème de secours dans son aspect
global : entre autres la lutte contre l’incendie, secours d’urgence aux personnes victimes
d’accidents, prévention des risques de la sécurité des civiles et des mesures de sauvegarde ainsi
que de l’organisation des moyens de secours. Cela se justifie même par le manque
d’infrastructures adéquats classant Kinshasa comme « ville sans pompier ». L’histoire de la
RDC ne présente jusqu’à ce jour une infrastructure adaptée aux services et missions des
pompiers, pour une ville de Kinshasa sans cesse évolutive.
1.3. HYPOTHESE
L’hypothèse selon laquelle que la problématique qui résulte de ces infrastructures
en milieu urbain revêt d’un intérêt particulier pour la simple raison que d’une part, le rythme
de la restructuration urbain que doit connaitre le pays en générale et en particulier la ville de
Kinshasa, nous conduit à un état de lieu dont le résultat met en exergue le manque des
infrastructures adéquat.
1.4. CHOIX ET INTERETS DU SUJET
Notre choix du sujet fut motivé par le souci de doter à la ville province de Kinshasa
une caserne digne du travail qu’ils abattent et moderne étant donné le délabrement avancé de
l’existante. Pour une ville de moderne comme Kinshasa, le service du corps des sapeurs-
pompiers est l’un des services impératifs et la caserne des sapeurs-pompiers est un besoin réel
de la ville de Kinshasa. C’est dans l’optique de répondre à ce besoin que nous avons choisi ce
sujet. OFFRIR UN CADRE promouvant l’exercice du métier noble de soldat du feu serait la
meilleure attribution d’un architecte aux pompiers et à la population.
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1.5. OBJECTIFS
Les objectifs poursuivis par notre projet sont multiples :
✓ Promouvoir les comportements ; attitudes et actes à observer lors des passages des
engins antiincendies dans la zone ciblée ou les incendies de toute nature ;
✓ Concevoir un projet permettant aux services des sapeurs-pompiers d’assurer et de
s’acquitter de la bonne façon de leurs missions ;
✓ Répondre à la problématique du manque des équipements, du personnel, de la vétusté
des équipements ainsi que d’un bâtiment adapté ;
✓ Contrôler l’équipement anti-incendie avant et pendant l’occupation et l’exploitation des
bâtiments et de les inspecter régulièrement.
1.6. METHODOLOGIE DU TRAVAIL
Pour bien aboutir à notre travail scientifique, pour trouver un meilleur espace pour
notre caserne, nous avons procédés aux méthodes suivantes.
✓ La consultation électronique : ce moyen nous a permis d’avoir accès à plusieurs
informations et avoir un aperçu global sur ce qui a été déjà fait en : rapport avec notre
sujet dans le monde ;
✓ La bibliographie : la consultation des livres nous a permis de compléter les informations
que l’on n’a pas pu trouver dans la consultation électronique.
1.7. DELIMITATION DU SUJET
Pour des raisons de surface recommandées par les autorités de suivi du TFC, la
capacité de notre caserne du corps de sapeurs-pompiers est de 50 pompiers et 10 moteurs des
différents types. Ces pompiers travaillent à tour de rôle pour permettre au service d’être
opérationnel 24/24 et 7/7 et de faire fonctionner l’administration ainsi que d’autres services. Le
nombre de pompiers a été déterminer arbitrairement étant donné qu’il n’existe pas une norme
qui déterminer la proposition entre le nombre de pompiers et la taille de la population.
1.8. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Notre travail est basé essentiellement sur trois grandes parties, hormis
l’introduction. Il s’agit :
• Le premier chapitre constitue, les généralités, c’est un condensé de l’historique de
la caserne dans le monde, de sa création jusqu’à nos jours et nous parlerons aussi de
grandes réalisations de caserne dans le monde.
• Le deuxième chapitre nous parle de la partie architecturale et constructive dans
laquelle nous ressortirons les organigrammes généraux détaillés de notre sujet, la
subdivision des pièces, leur dimensionnement.
• Le troisième chapitre constitue les spécifications techniques.
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CHAPITRE 1 : CONSIDERATIONS GENERALES


1.1. DESCRIPTION DU SUJET
1.1.1. LA DEFINITION DU SUJET (CONCEPT)
o Caserne de sapeurs-pompiers : est un bâtiment ou logement approprié pour les pompiers
ainsi que les matériels nécessaires à la lutte contre l’incendie ou toutes catastrophes dans
la ville ou dans une région quelconque.
o Un pompier : est un volontaire, une personne entrainée ou ayant suivi des formations
d’intervention diverses sur différentes façons d’extinction du feu, de sauver des vies.
o Un pompier : est une personne ou groupe de personnes équipé des pompes et d’un ou
plusieurs véhicules et s’en servent pour éteindre les incendies et à offrir une gamme de
secours diverses natures.
o Le terme sapeur-pompier : c’est venu remplacer celui de gare pompière entre autres le
terme pompier désigne initialement le mécanicien spécialisé dans le fonctionnement de
la pompe à incendie.
1.1.2. OPPORTUNITE DU SUJET RAPPORTS AVEC LE BESOIN DE
L’HOMME ET LA SOCIETE
La création d’une caserne est vivement recommandée à l’augmentation des
infrastructures afin d’être fonctionnel, la ville nécessite l’implantation des équipements sociaux
d’accompagnement dans lequel se trouve une catégorie de secours son aspect entier.
Raison pour laquelle, il est capital de prendre en compte les mesures préventives ou
connectives à la mise en œuvre celle-ci, pour que toutes les occupations soient à même de s’en
sortir avec moins de dégât possible en cas de catastrophe. D’où la nécessite de la réalisation de
cette caserne offrant à la ville de Kinshasa une infrastructure fonctionnelle.
1.2. GENERALITES SUR (HISTORIQUE, TYPES)
1.2.1. HISTORIQUE DU METIER
Le métier de sapeur-pompier a évolué au cours du temps, suivant les gardes
périodes de l’histoire qui sont l’Antiquité, le Moyen-Age, les temps modernes et l’Epoque
contemporaine (révolution industrielle), et dans différents pays.
➢ L’antiquité
A cette époque, la lutte contre les incendies nait aux temps de l’Egypte et de la
Grèce ancienne, où des rondes de nuit étaient effectuées et où des pompes manuelles étaient
employées, dans le but d’éteindre les incendies. En effet, tous ces essais étaient d’ampleurs
limites lorsqu’elles sont comparées aux grandes organisations qui se sont développées ensuite
à Rome, et dans différentes autres villes.
La première brigade de pompiers romaine a été fondée avec pour mission de
combattre le feu au moyen des seaux et des pompes pour transporter de l’eau, ainsi que divers
outillages incluant les siphonnes, fines catapultes, permettant de détruire les maisons avant
l’arrivée des flammes afin de contenir le foyer de l’incendie. Mais les cohortes urbaines sous
l’Empereur Auguste étaient chargées de la prévention.
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➢ Le Moyen-Age et les Temps modernes


Vers les années 1600, la lutte contre l’incendie en Europe était à la charge des
habitants, eux-mêmes ou soit les corps non spécialisés (moines, religieux puis artisans et
marchands, et enfin corporation du bâtiment). Ainsi, différents dirigeants politiques prirent des
décisions allant dans ce sens, on pourra citer :
o Clotaire II. Au 6ème siècle, il rendu un édit règlementant le service de garde de nuit.
o Charlemagne, créa un service obligatoire des veilleurs de nuit, mentant à l’amende ceux
qui ne le remplisse pas.
➢ La révolution industrielle
Pendant la révolution industrielle, le londonien Richard New Han développa la
pompe à incendie. Cette dernière était amenée sur le lieu d’incendie d’un char ; elle était service
par des équipes de plusieurs hommes et pouvait délivrée jusqu’à 12 litres d’eau par seconde et
c’est jusqu’à de 40m.
En 1736, Benjamin Franklin créa la première compagnie des volontaires à
Philadelphie (Union Fire Company). Jusqu’à années 1850, il n’y eu pas de sapeurs-pompiers
salaries à plein en temps en Amérique. Même après la formation des compagnies des pompiers
des pompiers professionnels aux Etats-Unis, les problèmes de désaccord et maitrise de la
répartition des territoires existaient encore. Les compagnies de New York ont été repartis pour
envoyés des coureurs portant de grands tonneaux permettant de recouvrir des bouches
d’incendies avant l’arrivée des pompes à incendies. Ainsi couramment entre les coureurs et les
compagnies des pompiers correspondantes, afin d’avoir le droit de combattre le feu et ainsi
obtenir l’argent qui était donné à la compagnie qui avait combattu l’incendie.
➢ L’époque moderne
Actuellement, le combat contre le feu demeure m’attribution des sapeurs-pompiers.
Ces derniers peuvent être professionnels, volontaires ou employés par des firmes privées.
Typiquement le service du feu des secteurs ruraux ou à faible densité de population se compose
essentiellement des volontaires tandis que les pompiers professionnels dominants dans la ville
et les secteurs urbains avec parfois des exceptions locales.
1.2.2. MISSION
Les sapeurs-pompiers ont plusieurs rôles ou missions à remplir dans la société dont
la plus connue est l’extinction du feu (mais qui ne représente néanmoins 3% d’intervention en
RDC) Globalement, nous pouvons dresser la liste suivante des missions qu’incombent aux
pompiers, bien que celle-ci puissent varier selon les pays.
o La lutte contre les incendies ;
o Les interventions pour catastrophes naturelles (inondations, tempêtes, ouragans)
o Le déblaiement de la voie publique suite à un sinistre ou un accident ;
o Interventions en milieu périlleux (GRIMP°)
o Secours aquatique ;
o Secours animalier ;
o Les spécialistes cynotechniques ;
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o Les risque nucléaire, bactériologique et chimiques (NRBC) ;


o La dépollution en mer, dans les cours d’eau ou terrestre.
La diversité de la nature des missions, les pompiers sont parfois appelés
« technicien du risque ». Et sont formés généralement en :
• F.I.A : formation initiale d’application des sapeurs-pompiers volontaires. Cette
formation comprend une culture administrative.
• PSE et PSE 2 : pompiers secours en équipe de niveau 1 et 2, deux formations de secours
de victimes.
Pour l’accomplissement de ces missions, différents véhicules sont indispensables :
• V.S.A.V : véhicule de secours et d’assistance aux victimes, équipés de matériels et armé
de quatre pompiers.

• V.S.R : véhicule de secours routiers intervient sur les accidents de circulation routière

• V.L.C.G : véhicule de liaison chef groupe ; intervenant sur tout type d’intervention
nécessitant un chef de groupe
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• C.C.F.2000 : camion-citerne feux de forêt 2000 litres, à usage de végétation

• C.C.G.C : camion-citerne grande capacité, intervenant sur les feux de végétation de


bâtiment en tant que réserve d’eau

• V.T.U : véhicule tout usage, intervenant sur les opérations diverses telles
qu’inondations, secours aux animaux, pollutions
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• M.P.R : motopompe remorquable, utilisée au niveau d’un telles qu’un point d’eau du
feu d’alimenter un engin.

1.2.3. DIFFERENTS TYPES LA PROFESSIONNALISATION : LES


GARDES
L’activités de sapeur-pompier à plusieurs possibilités de carrière. Elle propose une
multitude de postes, avec de nombreuses spécialités « plongée, le risque chimique, le sauvetage
et le déploiement, le sauvetage en milieu périlleux, etc.). Outre les différences de fonctions
« opérationnelles et administratives). C’est également une activité qui comporte des différences
statuaires hiérarchisées liées à des grades. On en compte environ onze de caporal à colonel,
issues des origines militaires des sapeurs-pompiers. Ces gardes s’acquièrent par des multiples
formations et par l’ancienneté. Ils ne permettent pas aux agents de varier leurs responsabilités
et augmenter leurs salaires (surtout pour les professionnels).
Hiérarchies des grades chez les sapeurs-pompiers, par ordre croissant
d’importance : « premier classe » (ou « home de rang ») est premier échelon, il n’est pas
considéré comme un garde. Les catégories « A-B-C » sont des classements de la fonction
publique. Le personnel de l’état-major des pompiers appartient en partie à la catégorie « A »
« B ».
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Kanzari Ryad, « les sapeurs-pompiers, une identité temporelle de métier », Université de
Toulouse de Mirail, 2008
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OFFICIERS SOUS-OFFICIERS
G. Caporal A. Major
H. Caporal-chef B. Lieutenant
I. Sergent C. Capitaine
J. Sergent-chef D. Commandant
K. Adjudant E. Lieutenant
L. Adjudant-chef F. Colonel
M. Major
1.2.4. LES RISQUES DU METIER
Les pompiers travaillent souvent à la lutter contre le feu et sont constamment
exposés aux fumées et à divers polluant et sont ainsi affectés par certains symptômes
respiratoires que la moyenne.
Chez les pompiers, les casernes d’origine professionnelles sont une préoccupation
de ceux qui sont en santé et sécurité de travail. Chaque année, les lésions occasionnent des
contres hommes et financiers pour les travailleurs et les employeurs. En l’absence des études
épidémiologiques de long terme, il est délicat, d’établir un lien entre l’apparition d’un cancer
et les caractéristiques de l’emploi, mais des récentes revues critiques de la littérature
épidémiologiques reliée des risques ont été publiées.
Ensemble des données de base qui vous aiderons à fixer la ligne de conduite à suivre
pour une meilleure approche du sujet : description du sujet, opportunité du sujet, énoncé du
programme, étude du site, analyses architecturales typologiques.
1.2.5. EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE
Les équipements les plus modernes sont des vêtements proches du corps (parfois
encore en cuir) et d’un sue pantalon particulièrement résistant.
Pour les interventions spéciales, une tenue adaptée est d’application :
o Une tenue aluminée, protégeant du rayonnement de certains types de feux
(hydrocarbures ou gaz). Sa version lourde et étanchée permet aussi de traverser des
flammes pendant quelques dizaines de secondes.
o Une tenue de protection contre les hyménoptères (guêpes, abeilles, etc…).
o Une tenue anti-gaz : dans certains pays, lors de la fuite du gaz.
o Une tenue chimique : protégeant des agents biologiques ou chimiques nocifs ; elle peut
être lourde (complètement étanché et autonome) ou légère (ne protégeant que des
projections).
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1.2.6. TECHNIQUES ET PROBLEMES


Le métier de pompier est un métier d’urgence. Lors d’un sinistre, les pompiers sont
informés le plus rapidement possibles étant donné que le feu se propage très vite et ainsi les
pompiers interviennent avec les moyens qu’ils disposent sur place. La garde d’incendie se tient
en permanence prête à répondre aux appels qu’elle reçoit par le réseau téléphonique, par bornes
d’avertisseurs ou dans certains cas par des lignes téléphoniques directement reliées au centre
de secours le plus proche. Les véhicules sont en liaison radio avec la caserne.
Les moyens utilisés sont en fonction de la nature de l’appel et si par exemple il y’a
un feu, le premier départ comprend un général, une voiture de premier secours, un fourgon
pompe et une grande échelle.
Par les problèmes, on peut citer ; la recherche des moyen propre à éviter la panique
dans les établissements qui reçoivent le public, la protection contre l’incendie et panique, le
sauvetage par hélicoptère dans les immeubles à grande hauteur, l’étude de la toxicité des gaz
produits par la combustion des matière plastique, la sécurité des fouilles ouvertes à grande
profondeur, la sécurité du stockage d’hydrocarbure et des gaz liquéfies ainsi que la lutte contre
la pollution bref, la diversification des menaces entraine une spécialisation des moyens de
secours.
1.3. ANALYSES ARCHITECTURALES TYPOLOGIQUE
1.3.1. EXEMPLE 1
❖ En France
La caserne des pompiers dans la ville post-industrielle de Charleroi est une
architecture innovante et ambitieuse construite par l’architecte Philippe SAMYN et
PARTNERS.
Conception et construction de la nouvelle caserne des pompiers de Charleroi
destinée à accueillir 400 pompiers et leur matériel ainsi que le service de prévention. La forme
ronde du plan découle directement du tracé des flux des véhicules d’intervention : les départs
d’intervention ne croisent jamais les retours, sans aucune manœuvre pour stationner dans le
hall. Tenant compte des spécificités présente une architecture simple, contemporaine, compacte
et fonctionnelle (flux des personnes et véhicules) tout en proposant une forme iconique
reconnaissable et repérable, compatible avec le caractère résolument tertiaire de
l’environnement.
Toutes des fonctions viennent se loger dans ce cylindre d’environ 90 m de diamètre
sur 5 niveaux. Le 24 octobre 2014 était posée la première pierre de la construction nouvelle et
gigantesque caserne de pompiers de Charleroi, deux ans plus tard, jour pour jour, ce 28 octobre
2016, l’ouvrage était inauguré sur une surface de 20.000 m².
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1.3.2. EXEMPLE 2
La caserne Masséna ou caserne des pompiers Masséna est une importante de la
brigade de sapeurs-pompiers de paris.
Elle constitue le deuxième groupement d’incendie pour le Sud-Est DE Paris et Val-
de-Marne y est basé. Ce groupement comptait 1.807 sapeurs-pompiers en 2005. Il s’agit de
l’une des plus grandes casernes des pompiers d’Europe construite en 1971 sur les plans des
architectes Jean ZILLERVAL et Provos Lou POPOVIC. Ce bâtiment de 13 étages dont la
construction est en béton pré contraint se veut « une cité radieuse », par l’arrondi de la structure.

http://WWW.google.fr/caserne des sapeurs-pompiers

Samynandpartners.com
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1.3.3. EXEMPLE 3
❖ Allemagne
La caserne de sapeurs-pompiers du site industriel de l’entreprise allemande VITRA,
WELL-AM-RHEIN de l’architecte Zaha HADID construit en 1991-1993 sur une surface de
5200m². La caserne des pompiers a été le premier instrument international, le travail de
conception de Zaha HADIDA démontre sa technique des polygones mélangée avec des
structures triangulaires.

WWW.Vitra.com/fr-fr/about-vitra/campus/architecture/architecture-fire-station 10 :35
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1.3.4. LA CONCLUSION : LA MEILLEURS PARTIS-CRITIQUES


Du point de vue architecture, ces études sont particulièrement intéressantes par
leurs plans ayant une certaines logiques et clarté ; portant de l’équilibre de volume en façade
sans oublier d’intéressant effet la perspective pour la caserne des pompiers à Paris et celle de
vitres et en Allemande.
Mais la richesse que nous pouvons tirer de tous ces exemples c’est la recherche des
liaisons entre les formes dans la perspective, la liaison entre les chambres des pompiers et leurs
services ainsi que le hall des véhicules toujours en alertes, à l’intérieur ; recherche qui canalise
presque tous les architectes. Ils ont tous placés garage au rez-de-chaussée et suivant la voie de
sortie et les dortoirs au-dessus c’est-à-dire l’étage où l’accès se fait par l’escalier ou par le trou
d’homme. Le local télégraphe, c’est-à-dire la caserne des appels, est située dans presque tous
les cas à proximité.
1.4. PRESENTATION DU PROGRAMME
Dans cette partie nous allons énoncer et analyser globalement, proposer de solutions
face aux différents exigences fonctionnelles et enfin détailler méticuleusement le programme.
1.4.1. ENONCE DU PROGRAMME
Notre caserne comprend 3 grandes parties à savoir :
• L’administration
• Station mobile
• Formation
1.4.2. ANALYSE DU PROGRAMME
1. L’administration
Dans cette partie de la caserne, nous retrouvons le service administratif.
2. Station mobile
C’est la partie la plus importante et même le centre de notre projet. La zone est
constituée en son sein l’hébergement ainsi que ses composants et l’ensemble de local techniques
relatifs au bon déroulement des interventions. L’hébergement devient compatible au plateau
technique, dans la mesure où les agents en cas d’alerte doivent furtivement se trouver dans la
remise en destination de leurs engins, d’où le regroupement de ces deux parties. Nous y
retrouverons, les bureaux, tous dépôts ainsi qu’un garage des véhicules où se déroule
l’intervention.
3. Formation
On y trouve une salle de séminaire pour les formations.
Outres ses parties nous avons aussi :
• Le bâtiment regroupement les laboratoires
• Une station-service
• Les services-généraux
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• Zone d’entrainement
1.4.3. LES EXIGENCES FONCTIONNELLES
1.4.3.1. L’ECLAIRAGE
L’ensoleillement des locaux doit être réduit au strict minimum. Voilà pourquoi
l’éclairage de nos bâtiments fait face au nord et au stade. Nous avons opté pour l’éclairage.
1.4.3.2. LA VENTILATION
Par la ventilation on entend plus précisément les déplacements d’air à l’intérieur
d’une construction ; cette ventilation gouverne dans un climat chaud et humide, le confort des
occupants. Nous avons opté pour la ventilation transversale des bureaux, des dortoirs et des
salles, condition essentielle de confort dans les pays tropicaux. Les pompiers sont
principalement exposés aux gaz d’échappement des moteurs diesel lorsqu’ils respirent les gaz
et la suie, qui entrent dans leurs poumons. Les expositions répétées aux gaz d’échappement des
moteurs diesel peuvent entrainer le cancer des poumons ou de la vessie.
Parmi les sources principales de l’exposition des pompiers aux émissions
d’échappement de moteurs diesel (EMD) sont les véhicules lourds utilisés comme véhicule
anti-incendie qui utilisent le diesel. Par conséquence, les pompiers sont parmi les employés des
milieux les plus touchés par ce phénomène. C’est pourquoi nous avons optée pour le système
de ventilation par aspiration à la source d’échappement.
1.4.3.3. PRINCIPES D’ISOLATION
L’isolation constitue un des points importants des bâtiments. Pour isoler un local
de l’environnement extérieur, il faut que les ondes soient absorbées ou réfléchies, avant de
traverser la paroi, suivant la nature de cette paroi, le coefficient d’absorption détermine la partie
du signal qui traverse il existe une multitude de systèmes permettant de bien isoler son habitant.
La brique à isolation intégrée figure parmi les innovations les plus intéressantes.
1.4.3.4. LE HANGAR AUTOMOBILE
Elle est la pièces maitrise de notre projet avec une capacité d’accueillir 4 plus grands
engins utilisés par les sapeurs-pompiers ; étant donné que l’espace de stationnement du plus
grand moteur est de 4,50 m X 12,50 m. Au-dessus de ce hangar nous retrouvons les chambres,
salon commun ainsi les vestiaires non-feu par lesquels on peut accéder au hangar par des mats
(trou d’homme) en cas d’urgence (alerte) ou soit par les escaliers. Ces trois mats interviennent
dans les vestiaires feu afin accéder directement aux équipements de protection individuels.
Notre hangar automobile est en lien direct avec les dépôts permettant de rééquipés les moteurs
avant une prochaine intervention et prêt de son entrée on trouve une bouche d’incendie.

DEQUEKER Paul et KANENE MUDIMUBADI, « l’architecture tropicale, théorie et mise en


pratique en Afrique tropicale humide », Kinshasa, collation universitaire, 1992 ;
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CHAPITRE 2 : CONCEPTIONS GENERALES


Dans la deuxième partie de notre travail, nous aborderons l’étude proprement dite
du projet, les idées maitresses dans la conception de ce projet, les orientations conceptuelles,
architecturale, de la partie constructive en décrivant le site et les détails du programme dans son
ensemble.
2.1. ETUDE DU SITE
Caractéristiques physiques, géologiques, climatiques et typologiques Annexes :
plan du site dans ses trois dimensions, c’est-à-dire longueur, largeur et courbes de niveau.
La réussite d’un projet est fonction de d’implantation dans le tissu urbain qui
permettra de faciliter son insertion son ce milieu et ses impacts environnementaux.
Ainsi le choix du site d’une caserne de sapeurs-pompiers devrait répondre aux
conditions suivantes :
- La nécessité de proximité avec les bénéficiaires 12 : cet emplacement donne à notre
caserne de pompiers l’accès rapide aux zones de forte densité démographique avec un
taux d’électrification élevé car l’électricité reste la source principale des incendies à
Kinshasa.
- Le besoin en surface : vue les dimensions de ses engins et les besoins d’emprise au sol,
la nécessité d’accès de stationnement ainsi que la possibilité d’extension.
- Le besoin en espace : la caserne des sapeurs-pompiers nécessite une consommation
d’espace produite par la disposition sur le plan au sol et en espace des surfaces
fonctionnelles, couvertes et libres, nécessaires.
- Le besoin d’accessibilités par rapport au système routier, par rapport aux contraintes
dues à l’environnement naturel et à la commodité des accès des véhicules.
- Par rapport au projet particulier d’aménagement (PPA) établit dans le schéma
d’orientation stratégique de l’agglomération Kinoise, notre site a des avantages
suivants :
➢ Être situé dans la zone urbanisée de la ville, ce qui facilite une lecture urbaine
précise.
➢ Être situé dans la zone constructible.
➢ Être situé dans la zone d’affaires, ce qui offre une sécurité aux édifices dédier à
ce domaine.
➢ Être situé dans la zone de grands équipements urbains, ce qui offre à la ville une
sécurité de ses bâtiments importants
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2.1.1. SITUATION
Le terrain si haut est situé géographiquement dans la commune de Kasa-vubu au
croisement des avenues Kasa-vubu et Saio. Il est limite au Nord par le cimetière Kasa-vubu, au
Sud par l’avenue Kasa-vubu (boulangerie IPAK) et à l’Est par l’avenue Saio (Rue De Faradje
et Rue de Sandoa).
2.1.2. DIMENSION
La concession occupe une superficie plus de 2000 m² tandis que le terrain à bâtir
est de 120X83 donc une superficie de 9960 m².
2.1.3. ACCES DU TERRAIN
Quatre voies bordent le terrain, les sorties des véhicules des interventions sont
placées sur l’avenue Saio et l’entrée des piétons ainsi que le retour des véhicules après
interventions et véhicules des personnels et administratifs est placée sur l’avenue Kasa-vubu.
2.1.4. MORPHOLOGIE DU TERRAIN (TOPOGRAPHIE)
Le terrain admet un relief plat et sec.
2.1.4.a. CIRCULATION
La circulation hors du bâtiment se fait sur des allés pavées en béton arme du côté
de l’entrée et sortie des véhicules d’interventions et en Béton B du côté de l’entrée des piétons
et véhicules des personnels et à l’intérieure par les coursives, des escaliers, des planchers en
planchers et par le couloir.

Léon MBUYI WA MBUYI, Urbanisme théories et moyens d’action, édition 2015


20

2.1.4.b. AMENAGEMENT EXTERIEUR


Pour assurer un bon renouvèlement de l’air dans le bâtiment en particulier et dans
le terrain, nous avons opté pour un aménagement des espaces vert afin d’assurer une bonne
aération tant à l’intérieur du bâtiment qu’à l’extérieur.
2.1.5. CLIMATOLOGIE
Le climat choisi pour ce projet présente est tropicale humide et sec, composé d’une
large saison de pluie qui s’étend sur 8 mois contre 4 mois de saison sèche.
2.1.6. RESEAUX DISPONIBLES
Le réseau public (Adduction d’eau, l’électricité, les égouts) existe déjà ne pose que
les moindres problèmes de raccordements.

2.2. PARTI ARCHITECTURAL


Après analyse et critique des différents paramètres aboutissant à l’élaboration
des projets, nous vendrions supposer que le Corbusier en particulier à l’Architecte lorsqu’il
disait : « il y’a aussi de l’ordre en mesurant ».
En supposant l’ordre de ses pieds ou de son bras, à sa mesure. Il est à échelle
humaine.
Dans cette partie nous abordons les orientation conception conceptuelles que nous
comptons donner à notre l’esprit d’un programme préalablement établir. Il s’agit donc de la
philosophique qu’on se donne pour d’terminer la ligne de conduite ou les idées maitresses la
conception du projet.
2.2.1. ORGANIGRAMME FONCTIONNEL, AXONOMETRIQUE

FORMATION HALL INTERVENTION


STATION-
MOBILE
CONSOMMATION SERVICES GENERAUX

ADMINISTRATION HALL INFIRMIERIE


21

2.2.2. PLAN MASSE


C’est le plan qui nous renseigne sur la composition du projet dans un champ de
vision verticale du haut vers le bas, il montre le plan d’ensemble du terrain.

2.2.3. ELEVATIONS (LECTURE DES FAÇADES)


Ce sont des façades par lesquelles nous avons voulu exprimer la rigueur, la droiture
et l’autorité par la présence des colonnes sur les façades vues que c’est un bâtiment public elles
ont été étudiées façons à crées les vides et de pleins.
Pour ces derniers, nous avons opté pour des murs extérieurs en bloc creux de
15X20X40, selon le besoin, avec finition par enduit en ciment.
22

2.2.4. PERSPECTIVE D’AMBIANCE


La perspective est une vue en trois dimensions d’un objet permettant de bien
appréhendés son volume.

________________________________________________________________________________
Ernest NEUFER, « les éléments des projets de construction » 8ème et 7ème éditions française, du Dunod,
paris 2002
23

2.2.5. BILAN DES SURFACES


Le bilan total : 2638 m².
2.2.6. PROGRAMME DETAILLE AVEC SURFACES
Les grandes lignes du programme de caserne des sapeurs-pompiers et ses annexes sont :
1. ADMINISTRATION
a. GENERALE
▪ Hall d’accueil et réception : 73 m²
▪ Bureau du directeur : 20 m²
▪ Secrétariat : 16 m²
▪ Finance : 14 m²
▪ Archives : 14 m²
▪ Salle de réunion : 30 m²
▪ Bureau de recrutement : 14 m²
▪ Bureau paysage : 20 m²
▪ Sanitaire : 16 m²
b. INTERVENTION
▪ Hall : 40 m²
▪ Bureau commandant : 24 m²
▪ Bureau chef sapeur : 16 m²
▪ Bureau d’officier : 14m²
▪ Services (cartographique et logistique) : 28 m²
▪ Espace d’attente sapeur-pompier : 100 m²
▪ Services (des appareils téléphoniques des lignes publiques, de transmission, Centre
d’alerte) : 35 m²
▪ Surveillance : 14 m²
▪ Service prévention et prévision : 20 m²
▪ Sanitaire : 24 m²
2. STATION MOBILE
a. PARTIE TECHNIQUE
▪ Hangar automobile : 850 m²
▪ Station-service : 100 m²
▪ Atelier de réparation : 252 m²
24

▪ Dépôts de pièces des rechanges : 20 m²


▪ Bureau de mécanicien : 14 m²
▪ Dépôt tuyaux et gaz : 10 m²
▪ Réparation des tuyaux : 12 m²
▪ Dépôt matériels chimique : 10 m²
▪ Local groupe électrogène : 10 m²
▪ Vestiaire des tenues de rechange pour hommes : 13,5 m²
▪ Vestiaire des tenues de rechange pour femmes : 13,5 m²
▪ Sanitaire : 12 m²
b. HEBERGEMENT
▪ Dortoirs pompiers hommes : 32 m²
▪ Dortoirs pompiers femmes : 32 m²
▪ Chambre des officiers : 18 m²
▪ Chambre de garde : 15m²
▪ Salle de musculation : 80 m²
▪ Vestiaire hommes : 24 m²
▪ Vestiaire femmes : 20 m²
▪ Salon commun : 48 m²
▪ Buanderie : 25 m²
c. RESTAURATION :
▪ Réfectoire : 90 m²
▪ Cuisine : 27 m²
▪ Office : 14 m²
▪ Dépôts stockage : 12 m²
▪ Sanitaire : 8 m²
d. INFIRMERIE :
▪ Consultation : 16 m²
▪ Salle de soins : 24 m²
▪ Laboratoire : 12 m²
▪ Pharmacie : 6 m²
▪ Sanitaire : 8 m²
25

1.1. FORMATION
▪ Foyer : 35 m²
▪ Salle de séminaire : 60 m²
▪ Local des instituteurs : 26 m²
▪ Salle polyvalente : 165 m²
▪ Sanitaire : 33 m²
1.2. BIBLIOTHEQUE
▪ Coin lecture et rayonnage : 53 m²
▪ Cyber café : 35 m²
▪ Bureau : 12 m²
▪ Sanitaire : 10 m²
2.3. PARTI CONSTRUCTIF
Lors de la conception du bâtiment, la combinaison d’idées théorique, la création
d’image et l’évolution d’association mentale constitue le parti architectural.
Et tout édifice du genre nécessite une profonde étude de modulation qui doit
satisfaire à la fois les exigences fonctionnelles de l’architecture, à l’aspect économique et la
possibilité de la mise en œuvre ne serons pas néglige, exigences ci-dessous répondent à mieux
à ce qui nous concerne, au choix du partie constructif, à savoir :
- La distinction d’ouvrage ;
- La stabilité d’ouvrage ;
- La main d’ouvre disponible ;
- La nature du sol ;
- La résistance des matériaux à utiliser sollicitation ;
La partie constructive comprend les options prises par l’architecte sur les principes
de construction, c’est-à-dire la structure et les matériaux à utiliser, leurs emplacements dans
l’ouvrage ainsi que le choix des technique spéciales en vue d’obtenir un tout sable.
2.3.1. LA STRUCTURE
En tenant compte des tous les éléments c’est-à-dire les matériaux, la technique
d’exécution, nous avons pour l’utilisation de béton armé, les voiles et un portique simple
c’est-à-dire colonne poutre dalle.
2.3.2. DIMENSIONNEMENTS DES ELEMENTS PORTEURS
Dans la partie du hangar automobile, nos poteaux ont une forme rectangulaire de 30X50 Cm
après chaque 4,50 m longitudinalement et transversalement après 23,50 m.
Dans le bloc d’hébergement et la remise ils sont de 30x30.
26

2.3.3. VENTILATION ET ECLAIRAGE


a. VENTILATION
La ventilation des locaux se fait dans l’axe Nord Sud pour des raison de confort
suivant les normes architecturales afin de pouvoir réponde aux objectifs du millénaire.
b. ECLAIRAGE
La grande partie des locaux sont éclairé naturellement par des larges bais, des
lampes fluorescentes sont utilisées dans les locaux faiblement éclairés mais aussi comme point
lumineux dans tous les locaux.
2.3.4. HAUTEUR SOUS PLAFOND
Au sein de notre bâtiment nous utilisé 3 hauteurs sous plafond différentes qui sont
les suivantes :
- Pour les bureaux, les salles, les dortoirs, la remise, l’atelier de réparation et l’infirmerie :
3,50 m
- Pour la salle de musculation : 300 m
- Pour le hangar automobile et la station-service : 700 m
Afin de permettre le passage et le rééquipement des moteurs comme l’indiquent les
directives.
2.3.5. EQUIPEMENTS
Nous avons prévu des équipements d’accompagnement de l’enveloppe, il s’agit :
➢ Réseau d’adduction en eau assurée par la tuyauterie en plomb et branché au réseau de
la REGIDESO. Ce réseau dessert les douches, les ateliers ainsi que les véhicules.
➢ Le réseau d’évacuation assurée par la tuyauterie en PVC. Ce dernier ramène les eaux
vannes à la fosse septique en passant par les regards de visites.
➢ D’autres ramènent les eaux usées des douchés, de la cuisine au puits perdant en passant
par des graines. Quant aux de pluie, elles sont diffusées par des chamineaux, des
descentes jusqu’à la canalisation vers l’égout public.
➢ Un sprinkler : il s’agit d’un système d’adduction anti-incendie automatique dépendant
d’une pompe en se déclenchant aux capteurs thermiques dans chaque pièce.
➢ Un réseau électrique branché sur le réseau de la SNEL grâce aux câbles et qui peut
relayé par un groupe électrogène pour pallier aux coupures intempestives du courant.
27

CHAPITRE 3. SPECIFICATIONS TECHNIQUE


La mise en œuvre des matériaux devra répondre aux exigences techniques du
projet ; ils doivent être de meilleure qualité et exempté des défauts susceptibles de
compromettre la solidité, l’aspect plastique, la durabilité de l’édifice et la facilité de
maintenance ou d’entretien en vue de réduire le cout d’exploitation.
Pour notre projet, nous avons tenu à spécifiquement certains aspects techniques,
notamment :
3.1. FONDATIONS
3.1.1. FOUILLE
Le dimensionnement des fouilles relevé de la compétence des ingénieurs qui
calculent le taux de travail de sol admissible en pleine masse intéressant la par différents essais,
les fouilles seront excavations en pleine masse intéressant la majeure partie de l’emprise de la
conduction.
Cette étape devra commence par le terrassement suivant :
• Les terrassements en rigole
• Les terrassements en tranchées
• Les terrassements en excavation
• Les terrassements en fond de fouille et enlèvement de terre excédent
• Une mise en place de sécurités éventuelles des fouilles
3.1.2. FONDATION
La caserne a une structure dont l’ensemble repose sur une fondation superficielle
en semelle isolé relié par des longrines en béton armé pour pouvoir mieux gérer les descentes
des charges qui serons localisées au niveau du sol ; le dimensionnement de ces fondations sera
les résultats des calculs des ingénieurs.
3.2. VOIRIES ET DIVERS
Le sol destiné à recevoir des circulations est exécution en bitume notamment le
parking et les accès. L’utilisation de ces matériaux justifie par le fait qu’il est un matériel de
faible absorption de la chaleur et pour sa grande résistance à l’usure et en composition.
3.2.1. ADDUCTION D’EAU
Elle se fera par raccordement au réseau de la REGIDESO et selon le cahier de
charge de celle-ci. Cette opération ne nécessite pas études particulières d’autant plus qu’il se
trouve déjà sur le site de distribution, par conséquent, il suffira d’examiner la distribution
interne juste avant la matérialisation du projet, il convient néanmoins de prévoir de tuyaux
galvanisé et PVC de diamètre de 1/3.
Des eaux usées des lavables, douches et cuisine seront évacuées par les tuyaux en
pvc les puits perdant avec regards des visites tout le 5 à 6 mètres, tandis que les eaux vannes de
WC, elles seront également évacuées par de tuyaux pvc mais d’abord vers fosse septique qui
après traitement les acheminant au puits pendant. Signalons que toutes les eaux de la
28

REGIDESO arrivent directement au niveau de la bouche à incendie et cette eau servira pour
l’approvisionnement de nos véhicules après intervention.
3.2.2. RESEAUX DE DECHARGE
Avant d’être évacués, ils doivent être conservés de façon hygiénique, elles doivent
être placée à cet effet, dans les récipients bien fermés, en matière imperméable, résistant à la
susceptible d’être et lavés facilement ou dans un sac à plastiques.
Les ménages doivent également séparer les déchets organiques aux déchets
inorganiques, ces déchets doivent être emballés séparément ; pour éviter toute confusion, les
emballages ou récipients doit être de couleur différente.
Les déchets organiques pourront être transformés en composition et autre, tandis
que les déchets inorganiques dévoient être recyclés.
3.2.3. RESEAU D’ELECTRICITE
L’électrification de la caserne se fera par raccordement au réseau de la SNEL, par
des câbles électriques. Il est de noter que le plan d’électricité sera effectué selon les normes de
la SNEL.
3.2.4. RESEAU DES CABLES TELEPHONIQUES
Ils constituent un ensemble très important du complexe de la caserne car ils
permettent aux pompiers d’être contact avec leurs clients en danger ; donc la sécurité de ce
service doit être de rigueur, en dehors du réseau de l’OCPT, notre caserne sera d’autres réseaux
comme le standard télécom ... pour les différents traitements des informations et données
électriques.
3.3. OSSATURE
L’ossature n’est rien d’autre que le squelette, la structure du bâtiment ; celui de
notre bâtiment est en béton armé, avec les planchers également ; les poteaux poutres, escaliers
seront réalisés sur place et selon les règles de l’art de béton.
3.3.1. LES JOINTS DE DILATATION
L’ensemble des roulures artificielles crée pour éviter toute déformation
longitudinale du bâtiment.
Nous en avons prévu 2. Un entre le hangar automobile et la salle de musculation et
un autre avec la remise et un autre au niveau du hangar automobile avec le bloc des services
après 38,7 m.
3.3.2. LES JOINTS DE TASSEMENT
Ces joints sont prévus pour garantir la durabilité et la rigidité de l’édifice et pour
lutter contre la variation des charges et dynamique. Nous l’avons placé au niveau du hangar
automobile avec le bloc des services après 38,7 m.
3.3.3. ELEVATIONS
Nous avons fait usage du béton fibré en polypropylène pour la partie de la
mezzanine. Les cloisons intérieures, nous avons utilisé les blocs de 15cm à base du ciment.
29

3.4. TOITURE
Notre toiture est divisée en deux grandes parties ; une partie couverte en dalle et
l’autre en tôle.
Notre hall est couvert en dalle de plancher et le reste du bâtiment est couverte en
tôle galvanisé, afin d’uniformiser le bâtiment dans son ensemble.

3.4.1. LA CHARPENTE
Nous avons utilisé la charpente en bois et les pannes sont métallique du cote du
hangar automobile.
3.4.2. COUVERTURE : FAUX PLAFOND
Nous avons opté pour une couverture en tôle galvanisé pour uniformiser l’aspect
du bâtiment dans son ensemble. Nous avons prévu un faux plafond en plaque d’aluminium 27,
aussi le tout fixé par des boulons entres la toiture.
3.4.3. MENUISERIE INTERIEURE
Les portes des bureaux sont faites en châssis d’aluminium et les restes sont en bois
noble, en riches en veinures et disposent d’un aspect esthétique remarquable. Toutes les parties
sont phobiquement isolées, pour éviter la propagation des sons en dehors des salles. La finition
de ces bois est assurée par un vernis de bonne qualité qui permet la visibilité du graphisme.
3.4.4. MENUISERIE EXTERIEURE
Les chambranles des fenêtres sont en aciers avec des châssis en aluminium à
coupure thermique à cause de leurs avantages : étanchéité quasi indépendante des conditions
extérieures, durable, entretient facile, variétés des formes. Les fenêtres et les portes extérieures
portent des verres thermo phoniques pouvant réduire à 70% la chaleur.
3.5. REVETEMENTS
3.5.1. REVETEMENT DU SOL
Nous avons opté des carreaux en grés carreaux en céramique suite à sa résistance
contre les huiles de moteur, etc. et des carreaux asphaltés pour les pièces humides.
3.5.2. REVETEMENT DES MURS
Pour les murs nous avons opté pour la peinture en huile (email) sur les matériaux et
la peinture à l’eau (latex) sur les parois de mur et sur le faux plafond en béton, qui sera appliqué
en deux couches, en s’accrochant sur la couche du mastic.
3.6. PLOMBERIE
Les canalisations pour la distribution d’eau sont en générale composées des tuyaux
en polyvinyles chrome de diamètre normalisé ; les tuyaux installés dans les bâtiments sont en
générale encastré dans les murs, les robinets d’arrêt sont appropriés.
Les appareils sont en porcelaine, tous les WC seront équipés des dispositifs de
chauffage d’air automatique pour le séchage des maisons et la désinfection des bactéries.
30

❖ Regard de visite : Les regards de visite sont de 70X70 Cm dans le cheminement des
eaux vannes vers la fosse septique et des eaux usées vers le puits perdant. Ils sont
espacés de 5 m à 6 m et au niveau de la cuisse nous avons une à graisse.
❖ Fosse septique : c’est en béton cyclopéen avec le silicate comme adjudant pour
l’étanchéité l’épaisseur minimale de parois est de 42 Cm rte sr subdivisé en chambre
dépendant du nombre des usagers. Les enduits pour l’intérieur sont en mortier.

3.7. EQUIPEMENTS ELECTRIQUES


❖ Climatisation : la climatisation artificielle est assurée dans le but d’améliorer la
température intérieure pour l’amélioration du confort dont l’homme a besoin.
❖ Protection contre l’incendie : notre caserne est protégée à l’aide de détecteur
d’incendie, elle doit être sécurisé car la sécurité des ouvrages en dépend.
❖ Groupe hydrophore : c’est un moteur qui nous aidera à attendre la pression maximale
lors de l’approvisionnement de nos engins, car la pression fournie par la régie des eaux
est faible.
❖ Groupe Electrogène :sa capacité est fonction de calcul de calcul de puissance des
appareils à utiliser.
31

CONCLUSION

Assurer la sécurité des édifices qui naissent comme des champignons du jour au
jour dans notre ville province de Kinshasa est notre souci, raison pour laquelle nous l’avons
doté de cette caserne, car elle est indispensable. Afin de contribuer d’une manière ou d’une
autre à la dimension de taux exorbitant des incendies, des personnes en danger, des inondations,
des accidents routières et de toute autre catastrophe naturelle dans la ville province de Kinshasa.
32

BIBLIOGRAPHIE
1. Les ouvrages
- Ernest NEUFER, « les éléments des projets de construction » 8ème et 7ème éditions française,
du Dunod, paris 2002 ;
- MITTAG, « détails d’architecture » ;
- DEQUEKER Paul et KANENE MUDIMUBADI, « l’architecture tropicale, théorie et mise
en pratique en Afrique tropicale humide », Kinshasa, collation universitaire, 1992 ;
- Larousse, édition Laroures, Paris 2010.
- - Kanzari Ryad, « les sapeurs-pompiers, une identité temporelle de métier », Université de
Toulouse de Mirail, 2008
2. Cours et TFC
✓ MBUYIWA MBUYI L, Notes de cours d’urbanisme, 3ème architecture, ISAU, Kinshasa, 2015-
2016, inédit, 27/7/2020 ; 8 :12.
✓ KAYEMBE J, Cours d’introduction à la théorie d’architecture, A2, ISAU, 2014-2015.
✓ TABARO P, L’essentiel des travaux de finition dans les constructions, ISAU, Kinshasa,
décembre 2013.
✓ TUABU TOTO, Technologie de construction, 1ere architecture 2017-2018, inédit.

3. Webographie
- http://WWW.google carth.com
- http://WWW.google/caserne de sapeur-pompier
- http://WWW.Wikipedia.com
- (WWW.Vitra.com/fr-fr/about-vitra/campus/architecture/architecture-fire-station 10 :35’)
33

TABLE DES MATIERE


EPIGRAPHE…………………………………………….……………………………………1
DEDICACE .............................................................................................................................. 2
REMERCIEMENTS ................................................................................................................ 3
AVANT-PROPOS ................................................................................................................... 4
CHAPITRE 1 : INTRODUCTION GÉNÉRALE ................................................................. 5
1.1. Introduction ................................................................................................................... 5
1.2. Problématique ................................................................................................................ 5
1.3. Hypothèse ....................................................................................................................... 5
1.4. Choix et intérêts du sujet .............................................................................................. 5
1.5. Objectif ........................................................................................................................... 6
1.6. Méthodologie du travail ................................................................................................ 6
1.7. Délimitation du sujet ..................................................................................................... 6
1.8. Subdivision du travail ................................................................................................... 6
CHAPITRE 1 : CONSIDERATIONS GENERALES .......................................................... 7
1.1 Description du sujet ........................................................................................................ 7
1.1.1 La définition du sujet (concept) d’une manière exhaustive ................................. 7
1.1.2 Opportunité du sujet Rapports avec le besoin de l’homme et de la société. ....... 7
1.2 Généralités sur (historique, types) ................................................................................ 7
1.3. Analyses architecturales typologiques ....................................................................... 13
1.3.1. Exemple 1 ............................................................................................................... 13
1.3.2. Exemple 2 ............................................................................................................... 14
1.3.3. Exemple 3 ............................................................................................................... 15
1.3.4. La conclusion : les meilleurs partis – critiques .................................................. 16
1.4. Présentation du programme ....................................................................................... 16
1.4.1. Enoncé du programme. ........................................................................................ 16
1.4.2. Analyse du programme ........................................................................................ 16
1.4.3. Les exigences fonctionnelles ................................................................................. 17
CHAPITRE 2 : CONCEPTIONS GENERALES ............................................................... 18
2.1. Etude du site ................................................................................................................. 18
2.1.1. Situation ................................................................................................................. 19
2.1.2. Dimensions ............................................................................................................. 19
2.1.3. Accès du terrain .................................................................................................... 19
2.1.4. Morphologie du terrain (topographie) ................................................................ 19
2.1.5. Climatologie ........................................................................................................... 20
2.1.6. Réseaux disponibles .............................................................................................. 20
34

2.2. Parti architectural ....................................................................................................... 20


2.1.1. Organigramme fonctionnel, axonométrique ...................................................... 20
2.1.2. Plan de masse......................................................................................................... 21
2.1.3. Elévations (lecture des façades) ........................................................................... 21
2.1.4. Perspective d’ambiance ........................................................................................ 22
2.1.5. Bilan des surfaces .................................................................................................. 23
2.1.6. Programme détaillé avec surfaces ....................................................................... 23
2.3. Parti constructif ............................................................................................................... 25
2.3.1. La structure ........................................................................................................... 25
2.3.2. Dimensionnements des éléments porteurs .......................................................... 25
2.3.3. Ventilation et éclairage ......................................................................................... 26
2.3.4. Hauteur sous plafond ............................................................................................ 26
2.3.5. Equipements .......................................................................................................... 26
CHAPITRE 3 : SPECIFICATIONS TECHNIQUES ......................................................... 27
3.1. Fondations .................................................................................................................... 27
3.1.1. Fouilles ................................................................................................................... 27
3.1.2. Fondations ............................................................................................................. 27
3.2. Voiries et réseaux divers ............................................................................................. 27
3.2.1. Adduction d’eau .................................................................................................... 27
3.2.2. Réseau de décharge ............................................................................................... 28
3.2.3. Réseau d’électricité ............................................................................................... 28
3.2.4. Réseau des câbles téléphoniques .......................................................................... 28
3.3. Ossature ........................................................................................................................ 28
3.3.1. Les joints de dilatation.......................................................................................... 28
3.3.2. Les joints de tassement ......................................................................................... 28
3.3.3. Les élévations ......................................................................................................... 28
3.4. Toiture .......................................................................................................................... 29
3.4.1. La charpente .......................................................................................................... 29
3.4.2. La couverture : le faux-plafond ........................................................................... 29
3.4.3. Menuiserie intérieure ............................................................................................ 29
3.4.4. Menuiserie extérieure ........................................................................................... 29
3.5. Revêtements ................................................................................................................. 29
3.5.1. Revêtement du sol ................................................................................................. 29
3.5.2. Revêtement des murs ............................................................................................ 29
3.6. Plomberie ...................................................................................................................... 29
3.6.1. Regards de visites .................................................................................................. 30
3.6.2. Fosse septique ........................................................................................................ 30
35

3.7. Equipements électriques ............................................................................................. 30


3.7.4. Climatisations ........................................................................................................ 30
3.7.5. Protection contre incendie .................................................................................... 30
3.7.8. Groupe électrogène ............................................................................................... 30
3.7.9. Groupe hydrophore .............................................................................................. 30
CONCLUSION ....................................................................................................................... 31
BIBLIOGRAPHIE………………………………..…………………………………………32
TABLES DE MATIERE……………………………………………………………………33

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