M E

ù~tRO
~?tc\,b.l - 'OSS/ER: INITIATION A fASSEMBLEUR
TECHNIQUE: LA BANQUE
25 Fr MÉMOIRE
N° 5
Décembre DU 6128
1985

..
ORDINATEURS·, IMPRIMANTES, UNITES DE
. DISQUETTES, JOYSTICKS, EXTENSIONS, ETC...
 tll WS
The Stick, la poignée
N° 5 révolutionnaire
C'est en dernière minu1e que C'est assez général. La solidi1é
DECEMBRE 1985 nous avons reçu ce joystick tota- semble très correcte, ainsi que les
lement nouveau. Nous connais- temps de réponses du bou1on de

SOf..NMIRE sons la poignée classique ou le

Quickshot VII de Spectravidéo,
le Tracball, mais un véritable
News manche à balais, nous n'a\1ions
..... .... .... ...... .... .. ................ 3 pas encore essayé.
Le Stick se prése1ue sous la
Sohs forme d'une poignée sans socle,
celui-ci étant remplacé par une
Ludiques 6 ventouse de grande dimension.
Utilitaires 59 Première constatation, il faut
disposer d'une surface plane
Trucs et bidouilles pour fixer l'engin. Ceci fait.
Amstrad Moniteur ... . , . . . . . • • . . . . . • . • . • . . . . 12 l'utilisateur pourra rernarquer
l'exccUcn1e tenue en main du
Récupération des fichiers . • . . • .. . • .. .. . • • . . • . 22 Stick. On se sent co1nme libéré,
Cali Amstrad . . . . . . . . . . . . . • . . . . . . . • . . . • . • . . . 60 com1nesi c'étail la main qui gui-
dait sans autre accessoire le per·
Technique sonnage défilant sur l'écran.
La banque mémoire du 6128 . . . . • . • . • . . . . . . . . . 14
Initiation Il !'Assembleur (fin) . . . . • • • • • . . . • . . . . . 64
tir ou de directions. Par curio-
sité nous avons démonté le stick
pour ragarder son principe de
fonctionnc1nent, car le téton qui
se positionne dans la ventouse
est fi.xe.
L'idée est superbe, qua1re
ampoules de mercure font c-on-
tacte avec un CÎf(."UÎt imprimé. La
technique n'est peut-ê1re pas
nouvelle, n1ais totalernent- uni-
que sur manettes de- jeux. Ce
nouveau produït nous a séduit,
malgré un prix un peu élevé,
189 F. Noël approche,
profitez-en !
B. Y. /nj()nnutique, 28, rue De11/en·
Rochereau, J8()()() Ore11oble.

Reportage Deux ré-éditions

Micro·Application son deux voir agré1ne11tés de chapitres
Transolt .. . .. .. .. .. . • • . .. .. .. .. .. • • • • . • .. . 20 nouveaux livres en ré-édition. Il concernant le 6128.
Guid1t d it l'achltt1tur A mstrad s'ag.il du « Livre de lecteurs de Les autres, possesseurs de sur-
disquettes »cet.te fois-ci pour les croît de 6128, feraien t bien de se
Les micros ..• .. , . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • . . . 26 trois CPC 464, 664 el 6128 et dépêcher d'aller feuilleter ces
Les magnétophones et unités de disquettes . . . • • • 32 « Trucs et astuces pour les CPC deux livres chez leur libraire le
Les Imprimantes . . . . . . . . ... . . . • . . • . . . . . . . . . . . 34 464, 664 eL6 128 ». 1..es fidéles de plus proche : ils leurs seront tres
Micro-Application co11naisse111 vite indispensables.
Les accessoires . • • • .. .. .. .. .. .. • . . . .. .. .. .. . 36 probablement déjà ces deux 1.Wicro-Application, 13, rue Saint·
Les interfaces . .. .. .. . .. .. .. .. • .. .. .. . .. .. .. 38 ouvrages et apprécieront de les Cécile, 7J019 Pods.
Les synthétiseurs de paroles . . . . • . . • • . . . . . . . . . 39
Les manettes de jeux . • • . . . . . . . . . . • . • . • . • . . . . 40 ~~~~- Ec1itoria1~~~~
Les langages ...... ..... .. .· . . . . . . . • • . • . . . . . . 42
Les crayons optiques et souris . . . . . . • . . . . . . . . . 48 10.000.000 de pages
La Libre Opinion d'Amstrad~mus . . . . . • . . . • • • • . . 50
Ce 1111méro 5 D'AMSTRAD Mogozine représe111e JO. 000. 000
Listings de poges imprimées.
Le Bombardier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • . . . . . 78 le riroge porté ù 100.000 exemploires de ce 1111méro excep·
lionne/tflesure voire exlroordinoire ovidité d'irifor111otio11s sur
Directeur de la publicalion, rédacteur en chef: Jean Kaminsky. l'ordi1101e11r Best Seller 1985.
\ C-Oordinalion de la rédacUon: Philippe Lamigcon. Rédaction: Eric Char· le s11ccès/11/g11ro11t de celle morque e11core rrès peu co11n11e
ton, Frédéric Lefèvre, Daniel tvlanîn, FrCdérîc Nardcau, Jcfr Queneau, il y o 1111 011, 11e s'esr pos produir so11s quelques ombres ou
R."P. Spiegcl. Secrétaire de rédaclion: !\1lrciJJe Massonnet. MU.queue: Mare robleou.
Soria. Régie publicitaire: Néo-Média, 55, avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris. A/If.fi récopitulé, /'e11semble des équipemenrs erpériphériques
Tél. 42..41.81.81. Jc3Jl·Yvcs Primas. Commission p.arifaJre: en cours. m:pôt sur les moclrines représef/fe un rrovoil tiro11esq11e que vous
légal: 4~ trimestre 1985. Imprimé par SNIL·RBI. Edité p11r: Laser Maga-
1.ine, 55, avenue Jean.Jaurès, 75019 Paris. 11 'li11ogi11ez pos. Certoli1s périphériques (imprimo11tes, u11ité
AMSTRAD ~1AGAZ INE est une publication strictement indépendance de disquerles.. .) ne so111 plus 011 pos encore disponibles sur
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DES LOGICIELS l'ordi11oreur AMSTRAD, doit vo11s ossisterpour tirer le meil·
le11r porli de voire ordi11oreur.
SORTIE 16 DÉCEMBRE Jea11 KAMJNSKY
3
IOf T
• Prq,ueN'OU.S pour la plus grande,
b1tallle de \'Olre vie » nous pr«isc •
la jaquette du logiciel. Il est vrai que
l'enjeu est de taille. Au temps où les
Romains CSJ.ayaicnt de conqulrlr le
monde, Ils au.aqu!rcnt les tribus etl-
tes. Celles-ci, peu prtpar~es à la
3D FIGHT guerre se lais..s~rent dominer les unes
apr~ les autres. Mais c'était sans
compter sur les vaillants gumim de
la belle rem d'E<Oue. Ils opposèren1
• Jeurs co va.hlsscu.rs une farouche
dlftnse, qui pour la pmniêre foi.s
mil un frein aw; ambitions roma.ina.
La violence des combats Hait si
1r1ndc, que m~mc une- guerre- cntrc-
chefs faillit dtbulcr.
Apr~s con«nation entre chers des
deux c6t~s . on ttouva une possibilité
Edltt"r : Loricitls qui devait mettre fi n à oes horrible5
D1Itrlbutt11r : Lorlcitls mL'lssacres. Dans chaque camp on
Sµpport : Cosstltt t t dlsqutltt dbl&na un champion. Ceux-cl furenl
Gtnrt : 1utr1Y dt l'apatt transpoM~I dans une région total&
,,,,,,,, ,' .... * * •
Gf'Ophlsmt : • • ment Inconnue, habit6e uniquement
Di/ftnl.111 : * • * *
par les anciens dieux celtes; c1 peut-
Apprttlotlott : * * *
l'rù btdbtl/: /'IJ F (""'1<11< t1 dlJ.
&re l'tme des moru. Les deux com-
bauants devron1 essa)·cr, sans
qwtit). s'affronter, de rcgagntt le pays civi-
1.isi. Cdui qui râwira donnera auui
Piiote d•un vaisseau intcrplaaiquc Ja victoire à son peup1c.
vous devrez combattre JQ appareils Au rah, nous avons oublié de vous
ennemis. qui ne se gèncront pas paur dire que vous e:1cs notre champion,
vous anaqucr en groupe. Un radar d~sian~ durant le temps que vous
vous prelcra main rortc, en vous B\'C2. p~ à prendre connaissance de
indiquant la position de vos ennemis. ee5 lia,nes. Cher Wilderic, nous ne
Dans d'autres tableaux ce sont des vous demandoM pas de panicipcr,
mtlêorhcs en Oammes que vous évi· mals de gagner J Attention, texte en
tcrcz. car Il est b;ldcnt que \'OUS ~r es analais.
un pilote chevron.né. Pendant voue
mis;slon, \'OUS ne pourrez. r&\'ilailltr
\'Oire vaisseau qu'en dttruisant. (ec
non pas en Jq percutant comme
now), les bidons de carburants dis-
~sur le sol.
Loridels pr&cntc un logiciel de type
guerre de l'espace, qui devrait être FROGGY
apprécié par les amateurs du genre.
Le graphisme est de trl:s bonne qua·
li16. Le jeu n'est pas sans rappeler Je
cêl!bu: « Buck Rogers ,-., Ce Lori·
ciels est parti C"uli~remen1 sympathi-
que, meme s'il n'est pas d'un intê-
rl r primordial.
&/''"'-' .- RAB So/twan
Dislrîbur.~r : Run Jnfonnotlqu~
Suppon : ausdtt
lll&DLORD Gtnl't : Artadt
Oraphût;11«: * *•
lntlrlt: • * qui n'est pas très facile. Le jeu e11
D(//1(11/t' : '* * * *
Apprlfflrllori .- * * • ,
un jeu trà classique, connu depuis
déjà longtemps don1 un éditeur
>U à sonie $11 \'CrSÎOn. Vous
ccn\aisse-z sGrcmcnt la petite &r&
roJle qui veut lra\·erser la route
$8nS se raire Ecrastt ? A vous de
louer et se faufiler cnttt les files de
voitures à sauter $UT les nblupharu.
passer les cours d'eau. l e bue est
votre bra\·e grenouille dans
naison si douiUeue et t.ran-
quille. Necro}'et pasque ce jeu
est facile , ce seraJt presque le con·
traire total . Il n'est pas évident du
lout de ramener le batracien dans sa
demeure. Un logiciel idial povr pas.
ur un bon moment en famille. lors
d'une compftition.dominicale.
OTHELLO
tdll~ll,. Po~~' soft
Suppo11 ~ttt
Gtn,.
Cropltis!M
,ij/<XiOn
**
'"'"''
Dl/fkvltl : **
Apprttiation : ***
**
Un arand dassique du jeu de
r'Oexion sur ordinateur a été traitl
ici. L'idk d'afficher les graphismes
en J dimensions est intéressante,
mals les des.sins sourfrent d'un
manque de couleurs et de finilion.
L'alaorilhme du jeu est assez puis-
Ja.nt, mais devient vî1e irê.s lcn1
dant des shuations complexes.
De plus Je joueur n'a à s.a disposi·
lion que J options de jeu. Joueur
contre joueur. joueur contre l'ordi·
n11c-ur. e1 enlin, ordinateur con1re
ordinateur, sans choix de niveau de
jeu. t t qui limite contfdhablnncnt
l'intérlc. A consrilln aw: dlbu·
tan".
DOPPLEGANGER
Edlliur: A/ligota Sojl ware
Dl11rlb11te11,.: Run l11formollq11t
Support : r:rJSR.flt
Otnrt : ovtntu~ 1raphique
Onr.phismt :
/111irlr : •
** • * •
* •*•.....
Dl/fia;lli : •
Ap{Nlc:»tlon : * '* • *.
Vous contr6la une sone de S«ciàe.
ron belle, mais au pouvoir âran1e.
puisque qu'elle peut se dédoubler. La
sorci~re peut passer par les pones de
couleur bleue, alors que son double
pas.se les portes de couJeur vercc. Les
deux te personnages » peuvent ivO·
luer au u avers des a\J1res portes qui
lOnt blanches. A travers les vinat-
cinq pl~ du château, vous devrez
rettOU\'Cf cc ramasser du lingo1s
d'or, d'argenter: de bron:z:e. L'avcn-
1ure serait facile .si certains obs1acles
n'ê1aicnt p3$ préscn1s. On renconcl'c
des diables, des prb::ipices, des per·
sonnages en armwe qui gardent des
porces. Vous remarquerez oussl
qu'en marthant sur ccn aincs zones,
vous perdez de l'énergie. Sans comp·
1er les adorables créatures qui vous
suh·cn1 en rampanL Si elle ont le
bonheur de \"OUS tenir la jambe, \'OUS
seret 1raruformê en un 1rh beau
squelette.
Les graphismes de« jeu son1 super·
bcs. Du tris grand « 3 0 :.. On Hl
quand même un peu ~tonn~. car cc
loaiciel n'est pas sans rappeler la
r~rttence dans ceue catégorie : Niaht
Lorc. En tout cas l'élève f11it mieux
que le professeur. Un sor1 qui IC
d~gustc comme un mcl rin : passion·
nêment.
HIGWAY
ENCOUNTER
E.dJfftl.I : Yonu Softwgrr
()ip,.lbuttw : Run J.nfomt.atiqw
SupfKNI : C41SS1!tlt
Otnn : Areode J D
0fflphismr: ** ** •
lntlrlr: ****
* * • * **
Df/flculti :
1lpprl!t:lt1tlm1: * * 1t *.
Les Aliens on.t envahi Jn terre. Leur
bu1 es1 de dominer le monde. Une
seule roule es1 praticable, c'cH celle
qu'ils emprunten.t. Vous con1r6lcz
cinq Vonons ec un Lasenron. Vous
devrez i\'Oluer sur cent rouie en \'OUS
dqagean.1 des obstacles drasH sur
\·o ue parcours par les cn\•ahWturs.
Votre ptlite équipe sera aussi aua·
qutt sournoisement par les Allent.
Vous devrtt dérendre voire troupe
tout en continant à évoluer, choJe
d'un graphisme absolumen1superbe,
malgr~ un choix de c( couleurs» t.rès
r6duit. Mais cela ne gache en rien la
vaJeul' de œ programme ab:solumen1
g~nial.
Les Alieos sont dC$ yeux mon1U sur
pieds, pouvan1 se déplac:c:r tr~ rapi.
demen1, aloB que votre équipe rcs·
Kmblc à un cortèa:e de moines. A
chaque rois que vous ëces décruh. un
personnage disparait de votre
oolonnc. Vous rencontrerez d'autres
personnages, tous peu recommanda·
bics. Votre mission· est bien évidem·
menl d'enrayer la domination des
Aliens. Courrez chez voire dlst ribu·
ICUI' dkouvrir Ce (utur t( beSI )•.
_I Of T
AIRWOLF
Edi1e1u : Elite Systems
Olstributtur : Amsoft
S11pporJ : casstue
Gef!ll : lab)'rlnth~
**** * * *
Graphisme :
ln.térlt :
Di//in.1/té : • * * * *
Apprédotiori : * * *.
Leseénario esl vraiment sans ambi-
gu\'lê. Tout comme Hawke, vétéran
du Vietnam t\ $Cul homme du
monde « libre n à Pouvoir piloter un
hélicoptère« Afrwolf », \'OUS venez.
d'être désigné pour une mission crès
dangereuse. A bord de votre hélice;>,
vous devrez tenter de récupérer cinq
scientifiques américains, des plus
imponants. Ces- deriliers sont rete-
nus en otages dans une base sou1er-
raine du dèsen d'Arizona.
Dès votre entrée dans le souterrain
vous serez surpris par le peu de place
dont vous disposez pour faire évo-
luer votre apparciJ. Dt plus vous
devra, eo 1cntant de détruire les obs-
tadC$ qui vous empêchent de pa$$Cr,
maintenir votre appareil le plus.sta-
ble possible. A chaque fois que vous
touche? la_ parroi avec l' Airwolf,
vous perdez une « vie », au bout de
cinq vous repartez à zê:ro. Si vous
détruisez une colonne qui vous blo-
que le passage, mais qu'en mainte·
nant mal \'Otrè appareil vous renlon-
ûcz au tableau pré<:ê:de:nt, vos effon.s
seront anêantis.
Comme le graphisme n'est pas mal
et le jeu difficile~ l'ensemble donne
un résultat relativement bon. Si ce
n'est pas un logiciel indispensable,
Airwolf vous fera passer de bons
moments. Auention on devient très
vite nerveux.
ARABIAN NIGHTS
Editeur : lnltrctplor SOflWOre
Distribute11r : Run informatique
Supporr : ~Ile
Genre : Ol't.111ure/arcad~
Graphisme : • * 'ft
lnftri1 :** * *
Difficulté: * * * * *
A_pprkla1ion : * * * *.
Ce 1ogîcîel est digne des mille et une
nuits et d'Ali Baba. Cene aventure
se passe, \'ous ne vous en doutez pas,
en Arabie. KaJandar. en fait c'est
vous. recherche la plus belle-des prin-
cesse, Anitra. Pour être r~unis et
beureux, il faut que Kalandar
affronte différents daag,ers, mais
aveç les charmes subtiles de- tout
l'Orient. C'est ainsi que votre aven·
tu.re vous entraînera sur un bateau,
dans le désert, auprès d'une rîviCre.
Mafs aussi dans une ville, un palais,
une taverne et un jardln, avant
d'atteindre la liberté 1nnt atlenduc et
récompensée par Jes beaux yeux
d'Anitra.
Tout au long du partours. vous
devrez rêcupérer des jarres d'or. gra·
vêes i:fes lettres formant le mot
« Ara.bian )), Ces Ietues doivent être
prises dans l'ordre, sinon vous
n'accêderez pas au tableau sui.vant.
Vous pou\ ei alJer dans les quatre
1
dircc1ions, ainsi que \'Olcr. Mais
attention ccu.c ~hase pa,rticulièrc
demande une certaine fincss.e de con·
trôle~ sinon« Bonjour » la terre. les
moments réus$1$ égalêment. sont les
parcours en tapis \'Olants.
GUTTER
Edluur : Ere lnformatiq11e
Dislributtur : Ert ln/orma1lque
SUpport : easuue
Gv1 ~: Arrode/A cliOfl
Or11phltnte : ** *
* seule solution pour qu'il paisse.trou·
Jntlril :
Difficulté :
* **** * *
Apprkl111ion : 1" * * *
Prix indiroli/: 110 F
Votre rôle dans cc jeu consiste à piJo-
ter une bille d'acic.~ c lantée dans une
gouttière. Pour la guider vous dîspo.
$Cl de deux touc:hes~ (( Z >) et<t ç ».
Vous p0uvez jouer à deux avec trois
bllles par partie.
La'goutdère est remplie de figures :
rois, dames, fous, moinc;s, bour-
reaw;. Avec la bille vous devez
dê:truire les rois. fous, dames ; mais
~Yiter les moines, qui vous ramènent
au dêbut de la gouuîère. Les bour-
rcau.11: également qui stopperon1 ins..
tantanément votre progression et
vous perdrez la bille. Pour passer à
la gouttière supérieure, il fa ut
dêtruire des coupes, heaume$ et
épées. Un roffre détruit donne droit
à une bille supplêrnenia ir~, la cou-
ronne vous ouvre les voies du << spê-
cial >>. Durant toute la panie, vous
êtes informés sur le niveau auein1,
par la couleur de la gounière et son
numéro affithês à 1•écrao.
le jeu es.t djstrayant, malgré un léger
manque d' imagination au niveau de
la goutti,re, dont le cheminement e-st
imperi-urbablcmenl en ligne droile
(en tous cas pour le niveau aueint par
vcitre ser\'Îteur). La oonduite de la
bille n'est pas si êvidente Que cela.
ll faut une octtaine maîtrise pour sla·
lamer entre les personnages à éviter.
Si vous avez la tremblote naturelle·
ment, ou si vous êtes un disciple du
grand Serge. a~s1enez-vous !
SOUL OF
A ROBOT
Ed1~eur : Mastertr()nfc
Distributeur : Run iltformallqut
Support : Cllsstllt!
Genre: Amidtl'n~nture
* ***
Grap!Îisrne :
lnrir€J: +- •
Dl!ftculti : * * * *
Apprici01ion : * * * * *.
H y a bien longlemps, les habitants
de Ja planète Non1erraqueous furent
C.'(terminês par un dictateur diab<>li-
que qui utilisait. pour arriver à ses
fins, un robot-. La disparition des
populalîons donna naissance à un
robot un peu bizarre qui, s'il a
l'appàrenc:e humaine, n'a pas l'âme
d'un humain. Cene pau\•re·métani·
que est complètement perturbée. La
ve-r enfin la paix, est d'atteindre
l'ordinateur qui le contrôle. S'il rêus·
sit dans son entrcprî.se, la bombe
qu'il porte en !Ui explose'f11., a.u.urant
alnsi sa paix éternelle.
Votre rôle est d'aider le robot à trou-
ver l'ordinateur qui le con1rô1e cl à
assurer sa destruction. Vous êvolue-
rez à travers trois sections où vous
rencontrerez diffêrents personnages
qui essayeront de ralentir \'Ot~ pro-
gre55ion, et d'auCindrt votre bue.
So)•ez charitable en aidant ce pauvre
robot qui n'aspire qu'à la paix du
monde.
Un logiciel au graphisme passable
1
-mais qui à !"avantage d'être uès
drôl~ et Prenant. Une recette simple
pour passet un bon moment.
RAID
.&!lieur: Accm $Qjtwore
Distributeur : US Gold
Support : c11sse11e
Genre : Arcode/'1'-wflure
Oraph~ : .- '*
ln1irl1 : * **
**-
Dlfflc-.iltl: * * 'Ir * *
ApprédaliOn : *,
Voilà un bon logiciel patr1ouque
pour la jeunes.se amêricaine et par
ricochet, pour les petits europêens.
là au moins on sait de que1 côtê on
se crouve, car ce Raid sur Moscou
n'est pas sr naïf qu'il parait.
N'êtant pas de 11alionalitC amèri-
cainc, nous diron.S que nous sommts
des membrèS de la force de frappt
alliée. Bien entendu, nos amis am~­
ricain contrôlent,. par un orcUnateur
spécialisé, les mouvements de-S mis-
siles soviétiques. Si les Soviets lan-
œ nt un missile, la station spatiale
américaine enverra ses avions de
combat S1ea11b Fîghter tontre ce tir,
Voue rôle. si vous l'acceptez., est de
piloter les avions de combat améri·
cains. Vous devrez. éviter les radars
sovié1iques en volant r,rès bas, mais
ccJa YOUS met alors à la portée de la
défense aérienne. Ensulie, si vous
volet encore, vous aue-jndrez des
silos de Jancemen1 de missile, qu'il
est recommandé de ne pas rater.
Ensuite vous parviendrez. au centre
militaire russe. En le détruisant, cher
hêros-1 vous ferez. recuJer de dix ans
la puissance d'auaque nucléaire
sovié1ique-. Ensuite, histoire de finir
en beauté, vous entrerez. dans le réac-
teur apr~s avoir tué tous les soldats
prêsents e1_anéanti les.char&. Dans le
rêac1eur. il ne vous restera plus qu'à
détruire le sys1ême de refrôîdisse·
ment du réact·eur. Si vous y parve-
n~ un conseiJ : présentez-vous aux
élections prêsidentîeUes, vous ne
pouve2 qu'è.tre élu.
Ce n'es-c pas le jeu qui me dérange,
mais plus. l'idéologie qui s'en dépge.
Ne peut"°n offrir un autre 5Cënario ?
Qui nous offrira bientôt un bon jeu
ayant pour 1hème les camps de eon-
ce-ntration ? Créateurs_. s'il vous
pl.aî1, retournez dans l'imaginaire des
planètes inconnues 1
_Ph. Lumigton
9
TlllUCS IT BlllGUllllS

Amstrad moniteur
10 REM H1111MUMHM11HH!tll#llll#llllM!ll!lllll!ll011HM###Nl#tlllH Nous nllons vous permettre ce
20 REM ft# 1111 1nois-ci d'examiner plus en pro-
30 REM MM moniteur de code machine #li rondcur la mémoire de votre
AJnstrad grftcc nu progran1me
40 REH "# copyright E. cilarton et amstrad maguine ## Amsl rud mon lieur.
45 REM litt amsmon iteur ## Cc monhcur de code machine
vous donne des relevés du con-
50 REM ## ## tenu des cases mé1noire-s sous
60 REM llll#ll##MM1111####1111ltlt#l111#11######1l###llll11#ll#lllltllll##M diverses forn1es qui sont :
Adresse en décimal (de 0 à
70 REM HU#UHMtlll##lt##lt#ll1111#1F##1111ll11##H#Hll#Utlllltlllll 6SSJS).
80 REH #li 11 Adresse en hcxadtcimal (de 0 à
FFFF).
90 REM H# initialisation Il Con1enu en dâ:imal (0 :i 255).
Con1enu en hexadécimal (O à
100 REM # 1# FF}.
110 REH U#N#HOtlll1!Ht!llll####llll##1111H#11##M##llHMUltHI Conlcnu en binaire (ex :
00001001).
115 MODE 2 Con1cnu SOU$ forme de carae1cre
120 WINOOW Ml,5 1 62,4,14: PEN#1,0:PAPER#l,l:CLSll ASCII.
Plusieurs options conccroant
130 WINOOW 112 1 5,50,16,17 l'exa1ncn ou la modification de
140 WINDOW #3,J 1 68,!9,23•PEN#3,0•PAPERlt3 1 l•CLSlt3 la mémoire vous sont offertes.
L'option J concerne Pexamen,
150 LOCATE 22 ,l•PRINT • ------moniteur de code machine-~---- clic vous indique dans la fenêtre
155 ON BREAK GOSUB 20000 du haut de l'écran le conlenu de
la m~molrc f.lc Ja mif.niê;rt: sui-
160 GOTO 10000 vante : premièrement l'adresse
200 REt1 HH##H#ll#lllHt##Hl!H##ltltlt#Hll#ltltOHOUlll!Htt en d~cim•I puis en bexadécimal
(précédée par la Jeure h minus-
210 REl1 0 cule). Puis le code machine en
220 REM U exa11:en 111emoire décimal, hexadécimal, bimure
(préddé par b), caractère gra-
2JO REM !IN phique (préddé par CHRS), il
240 REH HHIH11HHHll4itl11111l!Hlfll11ltllilltll11#HH11#NOffllM est imponanl de no1er pour le
carac1~re graphique que si le
2SO INPUT#2,'adresse de debut',adr code est inférieur :i 33, il s'affi-
260 CLS llt:PRINTlll,'~~debut ~-> •;adr:PRINT
270 adr=ABS<adr):PRINT#t adr ;• /h';HEXS<adrl;'---> ' ; PEEK<adr l;' / h ' ;HEXSIPEEK ladrll i ' I b ' i
BINS<PEEK<adr)Ji" /ch r$ 1 ;
275 IF PEEK (adrl>32 THEN PRINTlll, CHRSlPEEKladrl J;
276 PRINT#l
280 adr• ABS<adrl+I
285 IF INKEYS='m' OR INKEYS='M" THEN GOTO 10000
290 GOTO 270
3000 REM MltltllMMIMM4lllt##lllH111Mi#lHl##lt#l#lt#MllllltltltM411tltll8
3010 REH lt#
3020 REM H
3030 REN Ill
modification de la memo1re ." H
3040 REM ##U11llMH11ll4Hllllilltll11##illllil#Nll1lllHHU11ll~l!#U#
3045 CLS#I
3050 INPUT #2,'adresse de depart a modifier? •,adr
3055 IF adr ) 65535 THEN 3050
3060 PRINT Ml,adr; " /h ';HEXS(adrl;' -->" ;
3080 INPUT Ml,alS
12
 3081 IF alS= '' THEN 3095 cbe un espace· derrière CHR$,
3082 IF al$='m' QR al$='M " THEN 10000 puisque les valeurs comprises
entre Oet12 correspondem à des
3085 IF VAL<a l $l ) 255 THEN 3060 car~ccères de contrôle'(vair pour
3090 POKE (adr ) ,VAL (Al$) cela le manuel Amstrad, page
A3 . 1). E!our sélcciionne_r
3095 adr=adr+l l'option l tapez 1 lorsque vou.s
3100 GOTO 3060 êtes au menu_, Pordinateur vous
demande l'adresse de départ
1000D REM Il## 111111ftllllll lilili #lt111111 Il ttl!## !Hl #lt#ll# 11 llil Il Il# Il li# ##li#### çntrez alors une adresse en 0 el
10010 REM #Il tif. 65535 décimale. ou entre 0 et
FFRF,-pour une valeur hexadé·
-10020 REM ## menu Cimale, (n'oul>Uez pas de la faire
10030 REM ## Il# précéder par le code & afin de
stipuler qu'il s'agit d'un chiffre
10040 REM lHl###ll##ll#ll##ltll#########lllltlll######ll####ll####ll# hexadécimal : Cl' &7FFF). Pour
10045 CLSll3 interrompre le déroulement de
l'affichage_, à tout moment, il
10050 PRINT#3," ---------------menu-----------~-~------ • suffft d'à'ppuyer sur« ESC »et
10060 PRINTll3 , ' 1---) e xamen memoire• de rappuyer pour faire repartir
le d~ro ulement. Pour revenir au
10070 PRINTlt3," 2-~ > modi f ication de la memoire menu il suffit d'appuyer sur la
touche .,\of.
10080 PRINT#3, ' 3--->retour au basi c L'option 2 vous pennct deniodi-
10090 PR!NT#3, " 4--->examen memoire e~ sor:ie sur li st i ng~ fier le contenu de la mémoire,
par exemple pour entrer des
10100 REM 11####1111 saisie du choix llll#ll#IHlll###lllt#ll~llll##lt tables de données, éventuelle.·
10110 INPUT#2 , • menu : votre choix?',a$ ment faire de courtes modifie:,.
tions ou bien entrer des pr;o·
10120 IF a$=" 1" THEN 200 gran1mes 1nactiinès· de faible
10130 IF a$='2" THEN 3000 importance.
Ou menu, tapez 2 afin d ~ accéde.r
10140 IF a$=' .3 ' THEN. HODE 2:STOP à l'option, puis à la question
10150 IF ~$~·~· THEN GOTO 30000 concernant l t;:i,clre~~se clP. rl ép~ rt,
entrez l'adresse à laquelle doi·
10300 GOTO 10110 venl commencer les modifica-
20000 REM #######lt#tl####lttl#IHl##tl#lttl#####tl#tl#########ltlt# tions.
Vous ~liez voir apparaîue à
20010 REM ## ## l'écran l'adresse eil décimal et
20020 REM ## on break ## hexadécimal, suivie a·un point
d'interrogation". T-roîs possibili·
20030 REM ## ## tés s-'offrenl à vous, à ce
20040 REM tl##tl####lt#tllt#####ltlt#lt##lt#tl###lt############lttt# moment : vous pouvez ~entrer
une valeur comprise entre 0 l?I
20050 LOCATE 2,24: PR INT 'pause " 255 suivie do ENTER, appuyer
20060 IF INKEY$="' . THEN 20060 sur ENTER direi:temem, ce qui
ne modifiera pas la m~molre ou
20070 LOCATE 2,24:PRINT ' taper <s n1 >) pour revenir au
20090 RETURN 1nenu.
L'option 3 vous permet Je retour
30000 REM #lt##ltlHl###lt#tllHltl############tl#####tl########### au Basic par exe.nple pour tes-
ter un programme ou effectuer
30010 REM #tl lt# une sauvegarde.
30020 REM ## e xamen memoire tl# L'optioo 4 est dêdiée aux posses-
seurs d·'imprimante, e.Ue pos$ède
30040 REM li# et sortie sur listing ## toutes les ca'ractér.is1ique.s de
30045 REM ## titi l"option I, mai>effectueen plus
une sorrie des informations sur
30050 REM lttl#lt#H##tlll###ll###tl###tl#ll###tlltlt######ltll####### imprimante.
30250 INPUTll2, • adresse de debL!t •, adr E. Gltarton
30260 CLS lll:PRINT# l , "----debut---> • ; adr:PR!NT
30261 CLS #1 : PRINT#B, "---debut --- > ";adr
30270 adr=ABS<adrl:PRINT#1 1adr;• / h' iHEX$(adr);• - -> ' ;PEEKCadrl ;''- / h '; HEX$(PEEK (adrl) ;" I b
"; BIN$!PEEl«adr) l ;' /chr$ ;
30271 11 PRINTnB 1adr;.' / h'iHEX$(adr);'--> ' ;PEEK (adrl;" I h ';HEX$CPEEK ladr));" I b ";BIN$ (PEEK(a
dr l); / chr$ •;
30276 PRINT#B: PRINT#I :adr=ABSC adr )+I : IF INKEY$='m' 0R INKEY$=" M' THEN GOTO 10000
30290 GOTO 30270

13
TICHNlCl.UE
La banque mémoire du 6118
Utilisation des 64K supplémentaires
Qu'est ce qu' un
disque virtuel ?
Cette technique est apparue depuis quel-
ques années sur les micro-ordinateurs
professionnels (ŒM PC-HP 150). Elle
permet de stocker de façon temporaire.
le contenu de fichiers en mémoire vive
~Atvl). Cette partie de la mémoire vive
etant vue comme une unité de. disque
supplémentaire. L'avantage essentiel de
cene unité supplémentaire est d'être très
rapide, par contre son implantation en
mémoire vive la rend très sensible aux
coupures de courant.
Les données à implanter sur disque vir-
tuel devrom être choisies en fonction de
leur Créquence d'accès combinée à la
facilité de restauration, dans la mémoire
vive desjnformations stockées sur le dis-
que virtuel.
Le 6128 Amstrad nous offre cette pos-
sibilité qui va faciliter con~idérablement
le traitement des fichiers.
L'absence d'accès directs aux enregistre-
ments de la disquette nous obligeait
auparavant à lire le fichier en début de
programme, le stocker dans un tableau
à l'intérieur du programme, ce qui limi-
tait à la fois la taille du programme et
du fichier. La banque mémoire du 6128
utilisée en disque virtuel va nous per-
mettre de remédier dans une large
mesure à cet inconvénient.
Comment ça marche ?
Le basic résidant du 6128 est identique
à celui du 664 par contre des RSX (ins-
1-ructions supplémentaires) sont fournies
pour gérer en disque virtuel les 64K sup-
plémentaires. Ces instructions soniins-
tallées par l'intermêdiaire d' un pro-
gramme fourni sur la disquette, système
appelê "Bankman°. Ce programme
doit être éxécmé avant roule utilisation
de la banque mémoire .
Ce programme charge des RSX qui per-
mettent de découper la mémoire addi-
100 . EXEMPLE D' UTILl!3ATION (;•E LA BANG!UE MEMOIRE DU CPC 6128
·20~1 J DANS LA GESTION DE FICHIER AVEC ACCES DIRECT
14
tionnelle en segments de longueur fixe,
de charger ceue mémoire, de rechercher
des informations et bien emendu de
relire les données s:ockées auparavant.
Ces instructions comme loul RSX sont
appelées au moyen de la double barre
verticale se trouvam sur la touche à gau-
che de la lettre P. On peuc regretter que
ces instructions supplémentaires n'aient
pas éré implantées dans la ROM, en
effet elles réduisenL l'espace adressable
du Basic avec tous les inconvénients
associés, c'est-à-dire que toutes les rou-
tines urilisateurs implantées entre 42619
et 41302 sont devenues inutilisables.
Les temps de réponse de ce disque vir-
tuel sonl sans commune mesure avec
ceux d'un disque classique et cela ouvre
de nombreuses possibilités dans le lrai-
iemem des fichiers. Exemple sur un
fichier virtuel de 1û24 occurcnces de 64
octets :
- Les temps de transfert ent re banque
mémoire et disque sont fortement
dépendants de la disquette mais restent
très corrects. En effet quel que soil le
sens du transfert on enregistre un temps
d'environ une seconde par kilo-octet.
- Le temps de reclterche en mémoire
vive d'une quelconque occurence est
impressionnant : 0,6 seconde.
Les instructions
Amstrad propose les quatres instruc-
tions standard de gestion de fichier.
Ouverture . • ......... BANKOPEN
Ecriture ............ BANK\YRITE
Lecture . . . . . . . . . . . . . BANKREAD
Recherche .... .. ...... BANKFIND
Ces instructions sont détaillées· dans le
manuel utilisateur du 6128, aussi il ne
sera fait dans cet arlicle qu'une descrip-
tion sommaire des paramètres.
IBANKOPEN : ouverture de la ban-
que mémoire en un fichier dont les enre-
gistremems ont une longueur égale à P !.
Si un fichier a déjà élé chargé, cette ins-
truction n'efface pas la mémoire. Cette
possibilité peur permettre des combinai-
sons astucieuses de stockage de fichiers
.de.longueurs différentes (à utiliser avec
précaution).
IBANKWRITE,@Pr, P2, P3 : écri-
ture d'un enregistrement.
P 1 : code retour égal à ·p3 si ok.
P2 : chaîne alphanumérique à écrire.
P3 : numéro d'enregistrement du fichier
virtuel.
IBANKREAD,@ P 1, P2, P3 : lecture
d'enregistrement.
Pl : code retour égal à P3 si ok.
P2 : chaîne alphanumérique à lire,
P3: numéro d'enregistrement du fichier
virtuel,
IBANKFIND,@ Pl, P2, P3, P4 :
recherche d'un enregistrement.
P 1 : codè retour
- positif si l'occurence recherchée est
trouvée ;
- négatif si non trouvé.
P2 : chaîne alphanumérique à recher-
cher.
P3 : numéro d'enregistrement de
départ.
P4 : numéro d'enregistrement de fin.
Remarques : les chaînes alphanuméri-
ques en lecture doivent être dimension-
nées avant les commandes externes au
Basic.
Le numéro d'enregistrement commence
à zéro.
Lors d'une recherche les caractères non
significatifs peuvent être masqués par
des caractères nuls (CHRS(O)).
Un exemple d ' utilisation
Le programme proposé permet la ges-
tion d'un fichier de 900 clients environ.
Il comporte deux parties : le chargement
et l'interrogation sélective.
Ce programme est écrit séquentielle-
ment afin de mieux situer l'utilisation
des différentes instructions de la banque
mémoire. Pour coute utilisation furure
nous vous conseillons de le réorganiser
en utilisant des sous-programmes pour
appeler ces instructions. Bon courage.
Régis Soyer
300 ' LA TAILLE DES FICHIERS DOIT ETRE INFERIEURE A 64 K
400 ' •.•. ..... ...• •. .• .•• . ..••. •• •• •• . ' • • ... •... . •.. . . •..•.
500 ' Re9is So!ler . . .. ....... . . . ... • ...•. . .•... •.....•... •.•
600 ' M E R C 1 ... . .. •• .•.. .. . .. •.• .• .. . . . •. .... •• . .•.. .•
700 ' ORLEANS . .•. .. . .. . . .• . ........ , .. ·'· . . • •..••. . • • • . .
800 ' . .•• ••. .... •. • •• . . • •• . •••.•.• . . .. . .• •. • .•.• . •. .. ..•. . .
900 ' - ----------- ------ DECLARAT ION DE LA LONGUEUR DES VARIABLES --- - - ----
950 MODE 2• INK 0,26•INK l 10 •BORDER 26
1000 r%=0•' initialisation ! !! !
1100 Nlfi=STRINGS(20," ")I' NOM DU CLIENT
1200 N2S=STRINGS<20, " ") •' ADRESSE
1300 N3S=STRINGS(15," "):' VILLE
1400 N4S=STRING$(5," ") :' CODE POSTAL
1500 N5fi=STRING$(9," ")•' CHIFFRE D'AFFAIRE
1600 '
1700 ' OUVERTURE DU FICHIER ET CHARGEMEHT DE LA BANQUE MEMOIRE
1800 CLS •PRINT "GESTION DU FICHI ER CLIENT"
1900 RECORD%=0• MAXREC%=0• ' INI TIALISATION DES POINTEURS MEMOIRE
2000 I • • • • • • • • • • • • • • • • t • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •

2100 IBANKOPEN,69 •' OUVERTURE DE LA BANQUE EN SEGMENTS DE 69

2300 ON ERROR GOTO 3400 •' SAUT DE L'ERREUR LA PREMIERE FOIS
2400 OPENIN "CLIENT" : ' OUVERTURE DU FICHIER
2500 ~JHILE NOT EOF :' · DEBUT DE LA BOUCLE DE CHARGEMENT
2600 INPUT#9, BUF$
2700 I t • • • • • • • • • • • • • t • t • t • t • • t • • t t t t • • t • • t t t , • t t t t • • t t • t • • t • t t • • • t • • •

2800 IBANKWRITE,Œr%,BUF• ,record% •' CHARGEMENT EN MEMOIRE

2900 I • • 1 e t e t t t t t f t t t t t t t t t t t t ' t ' t t , t t 1 t , t t t t , t t t t • t t t t • • t • t • • • • t • t • •

3000 LOCATE li 24 •PRINT "NOMBRE D'ENREGISTREMENTS CHARGES : ", RECORD%+1

3100 MAXREC%=RECORD%•RECORD%=RECORD%+1
3200 WEND
3300 FOR I=1 TO 1000 •NEXT •' POUR LIRE LE MESSAGE CI- DESSUS
3400 CLS• PRINT "GE S T I 0 N F I C H I E R C L I E N T"
3405 PRINT "--------------------------------- -----"
3410 LOCATE 10,10 •INPUT "Mise a. Jour ou Interro9ation ",cfS
3420 IF cfS= " I" THEN GOTO 20000 • ' Partie interro9ation
3430 IF cft="M" THEN GOTO 3500 :' Partie mise a Jour
3450 PRINT CHRS(7)•GOTO 3400
3500 ' ----- - --- ------- MASQUE D'AFFICHAGE -------- - --- -----------
3600 CLS •MODE 2
3700 LOCATE 17,3•PRINT ''M I S E A J 0 UR F I CH I E R C L I E N T S''
3800 LOCATE 17, 4: PRINT "------------------------··--------------------- - ----"
3900 LOCATE 10, 9 •PRINT "NOM Cl.'.IEHT •"
4000 LOCATE 10, 10 •PRINT "ADRESSE •"
4100 LOCATE 10, 11 : PRINT "VILLE :"
4200 LOCATE 10,12•PRINT "CODE POSTAL •"
4300 LOCATE 10,13•PRINT "CHIFFRE AFF. :"
4400 ' --------------------- ENTREES DES DONNEES -------------------
4500 LOCATE 10, 20 0 PRINT "FAIRE ENTER Pour a.rreter ou TAB Po•J.r revenir a.v. MENU . • "
4600 P1=25•P2=9•P6=20•P0=1•GOSUB 10900
4700 IF P0S='"' THEN 9000
4750 IF P0$=CHR$(9) THEN 3400
4800 IF ~1AXREC%=0 THEN OPERS=" CREAT" : GOTO 5900
4900 ' . . . . . . . . . . . . . . . ....... . ........ ... . . ... . ... . .. ... ... ...... .... .
5000 lBANKFIND, @RECORD%,p0s ,0, MAXREC%-1 •' RECHERCHE DU NOM CLIENT DANS LA BANQ
UEMEMOIRE
5100 J ••••• • • • ••• •• •• •• •• •• ••• •• • • • ••• • • ••••••••••• •• •••••••••••••• ••

5200 LOCATE 1,24 •PRINT record%

5300 IF RECORD%<0 THEN oPerS="CREAT"•GOTO 5900 ELSE OPER$="LECT"
5400 J •••• • ••••••• •• •• ••• •••• • ••• • ' •• • •• • • • •• •• •• •• •• • • •••••• • •• •••••

5500 IBANKREAD 1Œr%,b1J.ffi,record% •' LECTURE DE LA BANQUE SI L'OCCIJRENCE RECHERC

HEE EXISTE
5600 ' ........ . ... . . . . .. .... . ... . .... . .. . .... . ........... .. ... . ... . . .
1S
llCllNCClUE
5700 N1S=LEFT$( buf$, 20) •N2S=MIDS( bufS, 21' 20 )' N3$=MID$( bufs, 41 . 15 ) •N4S=/1IDS<buf$,
56, 5 ) •N5S=MID$( buf$, 61, 9 >: ' DECODAGE DU BUFFER EN
VARIABLES D' AFFICHAGE
5800 GOSUB 10400 •GOTO 7100 •' AFFICHAGE DES VARIABLES
5810 I • • ... • • • ' " . • • • • • . • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •

5820 I • • • • • • • • • • • • 1 • • • • • ,. ,. • • • • • • • • • • • • • • • • • • ,.

5900 LOCATE l~PRINT CHRS(18 )

5953 ' SAISIE ET MISE A JOUR DES ZONES DU FICHIER
6000 N1S=UPPER$(LEFTS(P0S+STRINGS(20," "),20))
6100 P1=25•P2=10 1P6=20•P0=1 :GOSUB 10900
6200 N2S=UPPERS< LEFT$(P0S+STRING$( 20, " "),20))
6300 P1=251 P2=11 • P6=15.:P0=1 •GOSUB 10900
6400 N3$=UPPERS( LEFT$( P0$+STRINGS<15," ").15))
6500 P1=25 •P2=12•P6=5•P0=0•GOSUB 10900
6600 N4S=UPPER$( RI GHTS< 11 "+STRS( X) , 5) )
6700 P1=25•P2=13•P6=9•P0=0•GOSUB 10900
6800 •
6900 LOCATE Z5, 13•PRINT US!NG "lt#####.00" ;X
7000 N5S=RIGHT$( 11 "+STRS( X), 9)
7100 LOCATE 10,20•PRINT "ENTER= ECRIRE, S =SUPPRIMER • ";CHRS( 18 )
7200 P0S=INKEYS •IF P0S="" THEN 7200 ELSE LOCATE 2,20•PRINT CHRS<18 )
7300 IF P0So:"S" THEN 8500
7400 bufS=N1s+N2$+N3S+N4S+H5$:' ENCODAGE DU BUFFER
7:500 I • • • • • • • • 1 • ,. • • ,. t • 1 • • • • • • • • • 1 , t t e • t • • • • t • • 1 • • , r1 • • • • • • • • • • • t • • • • • •

7600 l BANKFIND.Œr%. "Œ@œœœœœœœœœœœœœœœœœ", 0, "1<1.xrec%-1:, RECHRECHE D'UN ENREGIST

REl'IEHT LlSRE.
7700 IF r%)'"0 AND OPERS="CREAT" THEN record%=r%•GOTO 8100• ' REMPLACEMENT DE L'E
NREGISTREMENT VIDE
7800 IF OPERS="CREAT" THEN RECORD%.,MAXREC% 1MAXREC%=MA><REC%+l ELSE GOTO 8300
8000 I • • • • • • • • 1 • • a • • • • • • 1 • • e • • • • • • 1 1 1 • • • • • • , • • • • • , • • • 1 • • • • • 1 • • • • • • • • •

8100 IBANK~JRITE,ŒR%,Bufs,RECORD%•, ECRITURE D'UN ENREGISTREMENT

8200 , . . . .... .... ...... .,, ... ....... . " ... ............ .... . . . . .. . . .... . .
8300 FOR X=B TO 13•LOCATE 25,X •PRINT CHRS(lB>•NEXT•'ON EFFACE LA LIGNE
8400 GOTO 4400
8~00 LOCRTE t0,20 •PRINT "SIJPPRESSION DE L'ENREGISTREMENT "; RECORD%
8600 ' ...... . . ......... . .. . . .. ... ....... ..... . ...... . ... ............ .
8700 lBANKWRITE1ŒR%, STRINGf (69,"C!"),RECœD% 1 ' ECRITURE D'UN ENREGISTREMENT AS
UPPRIMER AVEC DES œœœ
8800 FOR I=l TO 1000•NEXT •' POUR LIRE LE MESSAGE CI-DESSUS
8900 LOCATE 2, 20 •PRINT CHRf <18 )• GOTO 8300
9000' " •• . PROCEDURE DE FIN DES TRAVAUX
9 ~ 00 ' OLJVEl<'TURE DU FI CH~ER !: ISQUETTE ET SALIVEGARDE DES INFO~
9200 " SE TROUVANT DANS LA BANQUE MEMC?RE
9300 OPENOUT "CLI ENT"
9400 FO~ RECORD%=0 TO MAXREC%
1 9500 , .......... . ... " ........... . .. . ........ .. ....... . . . .. .. .. .. . . . , ... .
960ei l BANKREAC•, Œr/., BIJF$, RECORD/;
9700 I • 0 • 0 • • • • f • • • • " • • • • • • • • e • • • • • • • 0 • • • , • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • 0 • • • • • •

980e IF LEFTff 8UF$. :e.)=111.!Œl!Œ@œœœœœ" THEN 101 00 . ON NE REECRlT PA~ LE~ ENREGIE'Tl':
EMENT: V:lDE:
9900 P~ !NT•q BUF•
10000 LOCATE l 2d. PR:NT "NOMBRE !: ' ENREC.!~TREMENTS ECRITS ", RECORDY.• l
1e: 0e NEXT
10200 CLOSCOUi
10·3 00 END • ' . ...... . ...... . ........ . .......... . . .... . ............. , ... . . .
10400 ' " ... $/ PG/1 POUR AFFICHER LES Vffi IABLES D' UN ENR.EG!STREMENT
10500 LOCATE 25, 9 •PRINT Nl$ •LOCATE 25, 10•PRINT N2S•LOCATE 25, ll •PRINT N3$ •LOCRTE
25,12 •PRINT N4S
10600 C1=VAL( 85$ ) • ' RECUPERE LA VALEIJR NIJMER I QUE DANS C1
10700 LOCATE 25.13•PRINT USING "#llllltlt•. 00" 1Cl
10800 RETUR~f 1 ' • • ••••••••• •• •• •• • •••• • t • • •• ••• •• • ••• • ••••• ••• •

10900 ' ROUTINE DE SAISIE D UNE ZONE

11000 P0$,. '"' , P9=1?·, LOCf\TE Pl , P2
Ill
11100 P9$=STR I NG$( P6, " • " )
11200 PRINT P9$ •LOCATE P1,P2
11300 X$=INKEY$
11400 IF XS=""THEN GOSIJB 13100 •GOTO 11300
11500 IF ASC<XS )=13 THEN 12100
11600 IF ASC(X$ )=127 THEN 12500
11650 IF ASC<XS)=9 THEN P0S=CHR$( 9)•RETURN
11700 IF ASC(X$ )(32 THEN X$='"' •GOTO 11400
11800 PRINT X$; •P9=P9+1•P0$=P0$+X$
11900 If'. LEN< P0$ ))P6 THEN PR I NT CHR$( 7 >• GOSIJB 13000 : GOTO 109013
12000 GOTO 11300
12100 fF P0=1 THEN 12700
12200 X=VAL<P0$)
12300 GOSUB 13000•LOCATE Pl,P2
12400 LOCATE Pl-1 , P2•PRINT X; •RETURN
124.10 ' . .. ........ . .. . ... .. . . ..... . ..... . ..... .
12420 ~ . . .... ... . ... ... .. . ... . . . .. .. .. ... .. . .
1~500 IF LEN<P0$ )=0 THEN PRINT CHR$( 7 ); •(X)TO 11300
12600 P0S=MIDS<P0S, 11LEN<P0S)-1 ):P9,.P9-1 •LOCATE P1+P9, P2 •PRINT " " •LOCATE Pl+P9,
P2 •GOTO 11300
12700 GOSUB 13000
12900 LOCATE P1,P2•PRINT P0$ •RETURN
13000 LOCATE P1, P2 •P9S=STR I NGS< P6+ 1, " " )1 PR I NT P9$ =RE TU RN
13100 PRINT CHRS<143)•LOCATE P1+P9,P2 •RETURN
13200 ' .... .. ... ..... . ... . .. .. .. .... .
20000 REM Partie interro9ation selective
20100 CLS•MODE 2
20200 LOCATE 17,l• PRI NT "RECHERCHE SEL~ C TI VE"
20300 LOCATE 17,2,i PRINî "---------------------------- - -------"
20400 LOCATE L4•PRINT "NOM •'"LOCATE 27,4•PRINT "VILLE "'•LOCATE 52, 4•PRINT "CO
DE POSTAL"
20500 LOCATE L 5: PR I NT STRING$( 80, "-" )
20600 ' SAISIE DES CRITERES D'INTERROGATION ET POSITIONNEMENT DES MASQUES
21000 LOCATE 6,4 •INPUT Nl$•LOCATE 35,4 •INPUT N3$ •LOCATE 66, 4 •INPUT N4$
21010 FOR LL=l TO LEN<N1$) •IF MIDS(NlS,LL, 1 )="-" THEN MIDSCNIS, LL1l )=CHRS<0> •NEX
T LL
21020 FOR LL=l TO LEN(N3S)•IF MIDS<N3$1LL 1l)="-" THEN t1IDS(N3S,LL,1)=CHRS( 0 )• NEX
T LL
21030 FOR LL=l TO LEN<N4S):IF MIOS(N4S, LL , 1 >="-" THEN MIOS<N4S,Ll. 1 )=CHR$(0 )•NEX
T LL
21050 ' CONSTITUTION DE LA CHAINE DE RECHERCHE
21100 SEARCHs=STRINGS(69,CHRS(0) )
21200 MI0$(SEARCH$,1, LEN<N1$))=N!$
21300 MIOS(SEARCH$,41,LEN<N3$ ))=N3$
21400 MIDS(SEARCH$,56, LEN<N4$))=N4$
22000 R%=0 DEBo:0: FIN=MAXREC%-1 : LIGt~E=6
1

22500 BOUCL~ DE RECHERCHE

I

23000 WHILE R% >=0 AND deb <= fin

23100 iBANKFINO,ŒR%,SEARCH$,OEB,FIN
23500 lBANKREAD , ŒR%1bu.fS, r% •' LECTURE DE LA BANQUE SI L'OCCURENCE RECHERCHEE
EXISTE
23700 N1$=LEFTS<buf$, 20 )•N2$=MIOS(buf$, 21120) •N3$=MIDS(buf$ , 4L 15 ): N4S=MIDS<b1.1.f$
156,5) •N5$=MIOS( bu.f$, 61 , 9) •' DECODAGE DU BUFFER EN
VARIABLES D'AFFICHAGE
23810 LOCATE 1,LIGNE •PRINT N1$;" "; N2$;" "; N3S;" ";N4S; " ";N5$
23900 LIGNE=LIGNE+l ,deb=R%+1 :' REPOSITIOHNMENT POUR LA LECTURE SUi l/AtffE
24000 IF LIGNE >=24 THEN INPUT "APPUYER SIJR ENTER POUR CONTINUER";CFS•FOR LIGNE=
6 TO 23 •PRINT CHRS<18)•NEXî•LIGNE=6
24100 WEND
25000 LOCATE l124 •INPUT "Au.tre interro9ation Fin 1nterro9ation ";cf$
25100 IF cf'$:"A'' THEN GOTO 20000
25200 IF cfS="F " THEN GOTO 3400
25300 PRINT CHRs<7> •GOTO 25000
17
AEPGllTAGE

TRANSOFT ••
tous
p\anquei-vou~
v'\à aad Max.

\....
. . . . . .lf'ÇI"·

s moniteurs,
are are,
MaX arrive sur vo vez Bad Max, un '
aïe. ça
••
.
'dur un vrai.
-
a:

••
nle$sieurs-dames nos lecteur~
(chéris). ce som les auteurs de
Transon qui ont déteint sur
n1oi ! Parce que leurs dialogues
Michel tvfanio atcrit, par exen\-
plc, Basic + 80 routines sur
MO S., TO 7 70, Bruno Césard
Basic Amstrad CPC 464,
1t1lrhodes pratiques avec Jacques
Boisgomier. Le premier est in&é·
Ba d r vous sa ' pas · u sont tous écrits dans le mêmt nicur en infonnarique ~ tra,•ailtc
craint u~ ~=~t que /ui tu pe~ et 1 ~ pre!"ier (dr~e style. (Presque. ils som bien plus à l'aérospatiale. Le scc:ond est
Pluds ::~ c'est le no~-~ia:ransoft. Il am~ ~:ns son
cAblb BD et polar que moi). technico-commercial chu lan-
D'ailleurs, en parlant de BD say. Tous les deux son1 passion·
sa ' .eu ne socre in d' atou /es
de la toute J • f nçais, avec P/e s p/us affreux peut-être que vous l'avez déjà
\'UC chez un dislribuieur, mais la
né.s de comn1unication et se
retrouvent d'accord sur un
sur le marche ra personnages tou d'enfer-, un jocquette de lc.ur sort est toute besoin : celui de « faire autre
progra;:rre~· !~;es, desE~a~~9,.~;; i"" onrièrc dessinée par Edika. un
régal.
chose ». probableme111 de crcer.
de ne pas s'enferrer à moins de
uns q super et... Pour en savoir plus sur Bad Lrcntc ans dans une carrière
graphisme jour les encombrements de ~1a.x, il vous faudra attendre 1oute tracée.
matos ... notre tcs1 (effectué pour notre Alors l'idée mûrit : réaliser des
Parfaitement. vous a\ez. bien ~tais soyons sérieuse : Bad Max prochain numéro "Spécial logi- sorts « autrement >t. Comme le
lu : Bad Ma• est en relief ! Je est dessiné selon la nmhode con- ciels" de dêœmbre) ; ici voyons dit Michel : « Faire des trucs qui
\•al~ êarc aussi affreuse que lui et nue. en 1raits bleu ct rouge ce un peu de plus près qui est n'ont jamais e.xis1é, des jeux dif·
•·ous dire : quelle galère ! Déjà qui. reaard< avec: les fameuses Transon. rérents, SC permettre de délirer•
qu'U\ant pour jouer tranquille· lunettes. vous donne une réelle parce que c'est plus marrnnl à
n1cnl il fallait un ordinateur, un impression de relier. Déjà un Du délirant, concevoir, mais aussi parce que
moniteur, unt: manette, des fois bon point. les utilisateurs en demandcn1 ».
un lec1cur externe, en plus rnain- Dcu~ièrncn1ent, il esl vachté du jamais vu Et le HavaiJ commence. En
1cnant on nou~ obJige à nou.ç choue11os. Ça y c.st, me voilà A l'origine de cette nouvelle juin/ juillet, Bruno a écrit le scé·
rneme 1u1· Io bout du nez des repartie dan~ mes délires ver· société, deux jeunes auteurs de nario de Bad Max. les algorirh·
grosse~ lunc11ei. en canon. Bon .. baux C'est pas ma faure. che> P.S. I. se re,ncontrent . Suit~ PDkt 25

20
 Tll.UCS IT BllllGUllllS

Récupération des fichiers

"' .
supprimes par erreur
sur une disquette
'. .
• - ~ • r

L'instruction IERA du BASI C - sï eue CSL en format Système, le cata- maximum), le catalogue contient 32
LOCOMOTIVE permet de suppri· logue est sur la piste 2, secteurs 65 à 69 ; octets . Les 12 premiers octets sont ceux
mer un fichier d'une disquette. - si eUe est en fè>r.mat Données, le cata- qui vont nous intéresser. Ils se décom·
logue est sur la piste 0, secteurs .193 à posent de la façon s uivante :
Elle vous permet, lorsque c'est 197 ; - Le premier octet contient le numéro
nécessaire, de libérer de la pface - si elle est en fo rmat IBM, le catalo- de USER a ffecté au fich.ier. C'est dans
sur vos supports. Son utilisation gue sera sur la piste l , secteurs 1 à 5. cet octet que sera positionné le flag per-
demande toutefois certaines pré· Pour chaque fichier (plus exactement mettant de savoir si le fichier est sup-
cautions, car un fichier supprimé pour chaque portioJ de fichier de 16 K p rimé ou non .
n 'apparaît plus lorsque vous exé·
cutez la fonction CAT et est con·
sidéré comme inexistant par le
système.
Le programme BASIC qui suit eeee 16 or9 li'S60 0
vous permettra, si vous avez sup· 8000 21) eTit $
9000 2 t 37B0 30 Id h l .. f nstr ; inst..r-tJ.ction LECTURE SECT
primé par erreur un fichier et dans EUR
la mesure où vous n'avez' pas 8003 CDD•!BC 48 c" ll ttbcd4 ;..a,PP e l Y.l F lt!D COMMANO
9006 22248€1 50 Id ( .ldl"'E"S~)' h l
enregistré d 'autre fichier après S009 79 60 ld .. ,c
l 'exécution de IERA, de récup_é· 800A 32~0 70 ld <.adre-ss+2 >/·:\
800D 1E00 80 ld e-1wea ;,numero du. dri ve
rer ce fichier et de pouvoir /'uti· 800F 1600 90 Id d1 #€1-0 ; n•J.Me ro d/l \.1 P i 2-t~
tiser comme s'il n'avait pas été eia1 1 0E0ê LM Id C1 800 ; l)tJ.fTlf11""-0 du. ~ect.eur
SGr3 2 13980 l 10 Id ht,zsec t ;~dr~~e buffer contenant
effacé. l e soc tou.r
€016 OF 120 rst 2'4 i aPPe \ in$truct.iori t?'rl ROM
QUELQUES EXPLICATIONS : lors· 8017 3480 l2 0 defw adress
que vous exécutez une instruction IERA S019 C9 140 r-et
B01il 213860 15«1 ld h l ,instr l J înztructf oTI ECRfTURE SEC
s ur un iichier, celui-ci n'est pas pllysi- TEUR
quemem supprimé de la disquette. B01D CDD48C 160 c..11 tibcd4 i J.PP~l l(L F !ND Cûl'll1RMD
L' AMSDOS se contente de positionner, 8020 <:23490 170 Id ( adl"'l? S~ ) , h l

da ns la panie du catalogue concernant 8023 n 1'30 ld ,,,,c

0B24 32368 0 190 Id <adr e-ss+2 >,a
ce fichier, un flag indiquam que le 8027 l E00 2{10 1d e,"00 ;nu~ ~ro du d~ ive
ficbie.r en question doit être considéré 8029 1600 210 1d d, #00 J·,-.u,mero de- P i s te
comme inexistant . s02a 0E00 Wil ld c, #00 ; 'oWtiero de sect eur
8020 213980 230 ld hl-1 :z:se..:t.. ; a.dress.e b1.~ tt""e r contênant.
Réactiver un fichier consistera donc à l e sectelli"'
modifier ce flag pour que le système 803Q OF 240 f'$t 24 ; a.PP~ l iYrstru.c tion on ROM
reconnaisse à nouveau l' existence du s0=~1 3411<e 250 d~fw .a.dr"e~~
fichier. gaz2 C9 260 N!t
$034 ?70 Ji,dr ess: d et"s 3
8037 94 2ae i nstr· def'b tte4 1cod» lns t r " ct.îon LECTURE
Structure et emplacement SECTEUR
du catalogue sur la disquette 8038 85 2.90 i nst.r l 1 d.,.l'b K8S i Codi? in~tru.c tion ECRI.TUR
E SECTEUP.
Les possesseurs de l'ouvrage " Le livre $039 S00 zsect. • def s 256
du lecteur de disquettes" édité par 9 139 310 d efs 256
Micro Applicacion connaissent l' empla-
cement et la structure du catalogue sur
une disquette. adr es~ e034 Îfl~t.~ e03ï i nstrl 8038
Pour les autres, signalons que la place =zc.ct 8'039
du catalogue dépend du fo rmat de la Tab l e Llsed · 63 f roi; 150
disquette. Executes: 32768

22
Dans le cas où le fichier est supprimé,
cet octet contient la valeur 229 (&E5).
- Les 8 octets suivants sont remplis par
le nom du fichier, complété si nécessaire
par des espaces .
- Les 3 octets suivants contiennent le
cype du fichier (BAS, BIN, ou auue).
Possib ilités de 1'AMSDOS
La brochure "001-1FIRWARE" édi-
tée par AMSTRAD indique l'existence
de routines accessibles à I' A MS DOS et
situées dans la ROM du 001-1. Ces
routines sont utilisables moyennant
l'utilisation de la commande KL FIND
COMMAND de la ROM du CPC, com-
mande destinée à rechercher les com-
mandes loaées dans les RSX et les ROM
d'extension. Leur "nom•• est constitué
d'un seul caractère, caractère dom le
bit 7 doit être mis l 1 pour qu'il soit
accessible. Parmi cc; instructions, œl-
les qui nous intéressent sont les suivan-
tes:
- Lecture d'un secteur de la disquette,
de code &04, et qui sera accessible en
donnant le code &84 (bit 7 à 1).
- Ecriture d'un secteur sur la disquette,
de code &OS, et accessible en donnant
le code &SS.
Ces routines seront appelées à l'aide
d' un petit programme assembleur
chargé par le programme BASIC.
Le programme BA SI C
Le programme qui vous est présenté
doit vous permettre de réactiver des
fichiers supprimés par erreur.
Une fois que vous lui avez fourni :
- le nom et le type du fichier à réacti-
ver,
- le format de la disquette support et
le numéro du drive, il recherche dans le
cautlogue de la disquette un fichier dont
le nom et le type sont identiques à ceu_~
précisés et dont le numéro de user est
&ES .
A chaque fois qu'une entrée du catalo-
gue correspond à ces spécifications, son
numéro de user est mis à zéro.
Si aucun fichier ne correspond à ces spé-
cifications, vous aurez le message
FICHIBR NON T ROUVE et le pro-
gramme vous demandera à nouveau un
nom de fichier.
R.P. Spiege/

10 REM *****************.l:***************:::********:t.:t.:t.:t.:t.:t.:t.:t.:t:
n~:t.
30 REM * RECUPERATION DE FICHIERS SUPPRIMES
* :t.
40 REM :t: :t:
50 REM
60 REM :t:
* SUR UNE DISQUETTE :t.
:t.
70 REM
80 REM :t:
* Auti?ur : R. P SPIEGEL - sePtembre 1985
:t.
:t.
90 REM ***:t.:t.:t::t.:t.:t.:t.:t::t::t.:t.:t.:t.:t.:t.:t.:t.:t::t.:t.:t.:t.:t.:t.:t.:t.:t::t::t::t::t.:t::t:t.:t::t.:t.:t.:t.:t.:t.:l(:t.:t.:t.:t.:t.:t.
100 MEMORY 8.7PFF •INK 0,0, MODE 2 •INK 1119
110 DATA &21,&37,&80, &cd,&d4,&bc, &22,S.341&80,&79,&32,&36, &80,&1e,&00,& 16, &00, &0e
,&00 ,&21, &39, &80, &df, &34,&80, &c9
120 DATA &2 1 ,S.38,&80, &cd,&d4,&bc. S.22,&34 ,&80, &79 , &32,&36, &80 1& l e1&~~ .~ 1 b ,&00 .&0e
, &00,&21 ,&39,&80,&df,&34, &80,&c9
130 DATA S.00,&00,&00, &84,&85
140 FOR i =S.8000 TO 8.8038 : READ ~. : POKE L 1. : NEXT
150 FOR i=8.B039 TO &S239 •POKE i ,S.0 •NEXT
160 nt=t •INPUT "NOM DU FICHIER? ",nm$ •l =LEN(nrn$ )• IF 1)8 THEN GOTO 160 ELSE IF l
=0 THEN END ELSE nm$=UPPER$Cnm$ )
170 IF 1<8 THEN nm!li=nrr1.$+" " •l= l +l •GOTO 170
180 I NPUT "TYPE DU FICHIER ? "1t!o1$ •l=LEN<ti1$ )• IF 1<>3 AND 1<>0 THEN GOTO 180
190 IF l =0 THEN nc=8 ELSE ne=11 : nr11$=nm$+UPPER$( t!:! $ >
200 INPUT "NUMERO DU DRIVE <A ou 8 )? ",eS •e$=UPPER$( e$ ) •IF e$<>"A" AND e$<>"B"
THEN GOTO 200
210 IF eS="A" THEN POKE &800E, IJ.0 :PQKE &8028 ,&0 ELSE POKE &800E1l 1 POKE &8028,1
220 INPUT "FORMAT DE LA DISKETTE <S=S::if.te111e , D=>Data, I=IBt1 ) ? ", e!IJ •e$=1JPPER$(e$)
' IF e$<>"S" AND e!li< >"D" AND e·$<>" I" THEN GOTO 220
230 IF es ="S" THEN POKE &80 HJ, &2 1 POKE S.802A, &2 ' POKE &8012, &41 , s m.ax=2.45 : GOTO 260
240 IF e!li=" D" THEN POKE &8010, S.0 : POKE S.802A, &0 , POKE &8012, S.C 1 : s m.ax=&.C5 : GOTO 260
250 POKE &8010,&1 •POKE -&802A,& 1 •POKE 8.8012,&1 •srria:x=S.5
260 CALL ll..8000
270 ad=S.8039
280 nsec=PEEK<S.8012 )
290 FOR i =-1 TO 16 •nf$=""
300 FOR j=0 TO nc-1 •nf$=nf$+CHRS<PEEK<ad+j +1 )) ·NEXT
310 l F nm$=nf$ AND PEEK< a.d >=&ES THEN nt=0 POKE ad, &0 1

320 ad;:ad+32
330 NEXT i
340 POKE S.802C, PEEK<&8012 ):CALL &80 1A
350 nsec=nsec+l •IF nsec<=srriax THEN POKE S.8012,nsec·POKE S.802C,nsec •GOTO 260
360 IF nt" l THEN PRINT "FICHIER NON TROU./E" •GOTO 160
370 INPIJT "AUTRE FICHIER ( O/N) ? " , e$ : e$=UPPER$( e$) : IF eS<>"O" AND eS<>"M" THEM
GOTO 370
380 IF e$="0" THEN GOTO 160
390 END
Suite de la page 20
mes, les dialogues, tour. Un
mois de vacances et Bruno se
n1et à la progranunation. Pen-
dant ce cemps-là M ichel se
débrouille pour avoir la couver-
ture d'Edika et le droit de repro-
duire la musique d'Alan Parson.
Mi-septembre tout est terminé.
Ou, plus exactement, tout
commence.
La société Transoft est créée,
mais elle n'a pas beaucoup
d 'argent (on s'en doute) donc
pas de budget à accorder â une
quelconque promotion et
aucune expérience en matière de
di.srribulioo. Deux rencontres lui
pennettem de faire le bond en
avant nécessaire. D'une part la
maison de distribution Cadre à
Lyon accepte de s'occuper de la
diffusion. D'autre part, Yves
tvtourousi â qui les deux auteurs
ont montré « leur bêbé », est
enthousiasmé au point de pré-
semer le logiciel à la TV la veille
de son mariage l
Les affaires commencent en flè-
che. Au bout de.s trois pre1n iè-
res semaines de distribution,
J ;oo~ofts ont déjà été vendus.
Plus que bien .pour un début. Et
cela continue...
Des poissons rouges sur
le plancher
Alors, heureux les responsables
de Transoft ? Oui, certa inen1e-nt
mais exténué.'\ aussi. JI a fall u
tout apprendre e n quelques
semaines : Je prix de la duplica·
rion des cassettes. les tarifs des
photoconlposeurs, les irnpératifs
de la distribu1io11, Clc. El puis
également, assurer une grande
partie des tâches les plus iogra-
tes, qui ont parfois engendré les
drames les pJus « terribles » :
l'aquarium des poissons rouges
s'est un jour écrasé sur le sol, au
cours d'une séance d~em pague·
tagc.
A h oui, parce que lorsque l'on
est une toute nouvelle société, o n
emballe cout soi-même : cas-
sette, explications, lunettes. Et je
me suis laissée- dire que l'on y
passait ses \Veek-ends. Bruno et
Michel sont d'accord : « C'est
rigolo au début, c'est le fo lklore
1nais il faur que cela cesse.. La
Prochaine fois il va y avoir plus
de structures». Des coHabora-
teurs plus régulic.r s, un « \Irai >>
local professionnel : peûte entre-
prise deviend grande.
Les projets qui vont l'aider à
grandir sont déjà nombreux. et
p our cenains bien_ e ntamés.
D'abord Bad Max va être
exponé vers l'Angleterre Cl pro-
bablement vers la RFA. E11sui1e
il esc en cours de transcription
pour les Thomson TO 7 70.
MO 5 et TO 9.
Enfin les peLits. ou grands, rrè·
res etsœurs, ne vont pas tarder.
~fichel et Bru.no s' orientent vers
les logiciels éducatifs. · Pour
au1an1, ils n'abandonnent en
rien la producrion de jeux e.i ont
eu la gentillesse de nous livrer Je
secret de-leur prochaine produc-
tion . q ui devrait voir le jour vers
Pâques -.
Voilà : il était une fois l'un de
ces deux jeunes hommes. Eper--
dument amoureux d'une jeune
fille, îl voyait son amour contra-
rié par une horrible éventuelle
furure be-U e-mêre~ Un soir donc,
il déc-ide d'alle.r re1rouver sa
bien ~aiméc dans sa chambre du
domicile parental. Làs ! Les
petites sœurs réveil.lent la
man1an a vant même qu'il a it pu
aueindre son but. Il est im pi-
1oyablen1ent chasse, voit son
amour bri-sé . li en conçut une
rage plténomènale.
Quelques années plus tard il se
"enge en réalisant le jeu « Les
dents de sa mère ». Vous entre-
rez dans sa pea u, pénètrerez
dans une villa coute son1bre,
truffée d'e1nbOches in vraioem ·
blables. (11 n'a jamais atteint sa
bien-aimée, vous ne voudrie·z
quand même pas raire mieux que
lui 1) Ce sera Je premier ;oft
vécu, aooompag.né de la nouvelle
vous plongeant dans la situa1ion.
Transoft : une nouveUe -s ociété
pleine de sérieux et d' humour à
laquelle il reste une chose-â dire
(que les utilisateurs de Bad Max
comprendront) : « lm pec,
keums )).
Mireille J\lfassonnet
Tran son~ 38 rue SC"rw:1n, 7.50.I 1 Paris
Cadre, 79 rue Hippolyte Ktrhn.
69/(}() Villeur banne.
Les micros

-------

-- --

AMSTRAD ••
une révolution en un an
Dans les années 70, les amateurs de chaîne HIFI révolution sur le marché de l 'informatique
découvraient une nouvelle marque au look domestique, avec les CPC 464 et 61!18. Le PCW
résolument " ln" et au prix définitivement suivra t·il ? Les premiers résultats semblent
avantageux: AMSTRAD. En 1985, l'évolution encourageants et augurent un bel avenir pour
du constructeur britannique se transforme en la Société d 'Alan SUGAR.
Pavillon français de la firme devienne, selon la formule de reil , en fonction de ses besoins les agrémentées de par1icularis-
d'Alan Mfohael Sugar, Amstrad Monsieur SUGAR, le clavier du réels, naturellement. C'est paur- mès propres à la marque tèls :
France, doi1 son dynamisme il roulier et de madame routier. En quoi, îl nous a semblé intéressant PRJNT USING, lors de la ges-
Marion Vannier aidée en cela d'autres termes, Pinformatiql1e de voir ou revoir les caractéds· ûon de vos comptes ou Je tan-
par Jean Cordier pour la panie devait descendre dans la rue en tiques de chacun des membres de deru WHJ,.l..E/ IVEND soutire au
commerciale e1 François Quen- proposam un produit à vocation la prodigue famille Amstrad. PASCAL, ainsi que, à partir du
Lin pour le Hard. familiale à un prix familial. Dénominateurs communs des 6Q4, le rempüssage de surface
Le produit est simple, perfor- Donc pas question de 16 bits t l 464, 664 et 6J28: l'unit!' cen- parFILL, unCJ.:EAR lNPUTà
manl et bon marché.,, la politique encore moins de 32 quand un trale. La première caractéristi- l' illtention du BUFFER du cla-
des débuts de Arnstrad, en 196&, bon Z 80 de 8 bits fah l'affaire. que que l'on relèvera dans vier et de paramètres compJé..
se rnainticnt. Quoi, -pour qui? Du saJon au bureau, en passant l'ensemble de la gamme. PCW me maires pour PEN, PLOT ,
Ou, qui veut quoi ? Quel pro- par la loge de la èoncierge e1 par inc lus~est la présence d'un PLOTR, DRAW, DRAWR,
duit pour quel maréhé ? le CPC le compLoir de 11épicière, tout le micro-processeur ma.in1enant MOVE et MOVER, FRAME.
464 avah parfaitement compris monde peut·être sera un jour bien connu taqt il n rail ses preu- MASK, CURSOR. Toutefois,
la question lorsqu'en J984, il a contaminé dé près ou de loin par ves : le Z 80 A. ne cherchez pas certaines ins-
fail son aRparirion sur l'hexa- la fièvre inîornlai-içiue. Encore Côte! BASIC, on retrouvera dès tructioni du type CIRCLE ou la
go11c. Il fallait un micro qui raut- il savoir cho~ir son appa- le 464 les Instructions habituel- généraLion Iles SPR ITES, elles

27
Les micros'~
· !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!~
manqueot à l'app.!I ei c'est bien
domm~ge.
Côté Sofl, cl à condition de
dorer votre 464 d' un lecteur de
disquettes au format HJTAC}fl
de 3 pouces, vou.!) accèderez à
deux syslèmes d'exploitation :
AMSDOSe1 CP/M. AMSDOS
gèrera les commandes de char-
getnenl,' sauvegarde et lecture de
vos programmes par les tradi-
üonoeUes .instructions LOAD,
SAVE, RUN, CHAIN ... et ce,
au moyeh de 1 ou 2 Drives.
Le CP/M quanJ à lui vous
ou_vrira la porte, parWl·H, d 'un
grand nombre de logiciels, à
condilion que cet1x-ci formatés
sur di$(Jucttc• 5 pouces 114 ou
3 1/2 puissent être tcansferrés
vers le 3p.
Le CPC 464
Micro--processeur :
ROM (Mémoire morte) :
RAM (Mémoire vive) :
Mémoîre de Masse :
Basic :
tions propres.
Systèmes d'exploitation : AMSDOS - CP/M - DR 1000.
Clavier : mëcanique QUBRTY de 74 rouches
28
La partie Yidéo
La gestion de la vidéo a été con·
fiée à un HD 6845 Set propose
un affichage en 3 modes : O, I ou
2 aux performances sensible-
ment identique sur ces trois
modèles de la marque. La dêli-
nition atteindra 640 X 200 points
(en mode 2) ce qui autorise. des
lignes de 80 colonnes et dans la
version moniteur couleur, il vous
sera possiblt de visualiser 16
teintes sur 27 que- pro_posc la
paleu e.
La section Audio
Emules de Jean Michel Jarre ou
Tangerine. Drcam au clavier !
1.,.. 'a'inê-de la bande, celui par qui
la r<:nom.mée- s'est établie. est
devenu le petit junior avec ses 64
K de RAM et son magnéto cas-
sette intègre. Lancé en France en
1984, il aura rallié des dizaines
dè milliers de néo-utilisateurs par
son pri>< attractif.
L'unité central~. à la façade
bigarrée. propose un Clavier dr:
74 touches en version unique..
ment QUERTY. mais rédefinis-
sablcs à souhait. Honni soient
les clavicr~guimauvc, chez Anis-
tra~ ~ le marché préférant sans
tQnteste le clavier mécanique.
Sous les quatre 1oüehes de d irec-
tions, I~ clavier numérique peut
recevoir des foocûons program-
ntées, sans. e~ c'est don1n1age,
qù ' aucune ligne d'écran ne
puisse indiquer lo.s affecûons des
différentes touches.
Sur la droite de l'appareil, un
lec1eur enresïstreur de casseues
Caractéristiques du CPC 464
zso à 4 MHz.
32 Ko.
64 Ko dont 41 Ko utiles et 16 Ko
é-cran.
Magnéto-Cassette incprporè à l'uni1è Options :
ctnlralc 1000 ou 2000 bauds.
« Coloration n Micro~sofl + instruC·
dont 4-de directions et pavé numéri ..
Le.ç CPC contiennenr en leur
sein one puce musicale : le AY3
89 12. La génératlon de mélodies
comple.xes est possible. requê..
rant toutefois, de la part du
C PCiste une c'trtain~ maitrise en
matière mu;icale. Les parantè·
tres modifiables é1ant entre
autres la fréquence, l'enve[oppe,
Jevolume, l '~1taquele~us1ain ...
I,.e toùt sur trois canaux, s~il
vous plaît.
Deux ou trois petifes
choses .••
A propos de moniLeur, i1 faut
sotilig.ner le manque d'autono-
aùc dcJ'uniu! centràle qui reçois
~on alimentàtion dtun, trans{o
qui déctvra les pros de l'inlcr-
conne.xion·Sp.a ghetti avec dans
la partie supérieure un compteur
de bande, très 1>ratique pour les
repérages et la possibilité d'uti-
liserdeux vitesses de fonctionne·
n1e-n r1 la plus r8pide étant Côll·
d itionoéc par l'utilisation de-
suppons 1nagnêtiques- de haute
qualité.
Le centre névralgique du 464
ainsi que le B~c son1meillant
dans une 1némoire· mor1c de 32
kilos octets tandis 9ue la
mémoire vive, offre un espaœde
64 ~ilos ociets pour I• manipu-
lation des quelques '43 000 carac,
!ères de votre programmation
BASIC. L'al'fi.chageo'Dmmc pré·
c~demmcnt indiqué se fera sur
l"un des 1rols modes stJtvants ;
Mode 0 - Capacité de 25 lignes
de 20 caractêres en 160 x 200
poinL< avec un écl1an1illonage de
16 couleurs parmi les 27.
que programmabk pour fonctions.
Performances graphiques : 25 lignes de 80 colonnes 640 x 200
points, 16 couleurssîmullan~ parmi
27.
Lecteurs de disquem;s. imprimant",
jo~Lick, intc:rfac( Péri1Cl.
Pr'ix :
intégré à et! nionil~ur, qu'il soit
mo1rochrome ou couleur. Avj$,
au.• disciples de la Péri1el pré-
voya. le« jus »de la console par
une (< alim 1> extérieure
approprièe.
Globalemem, le bïlnn s'annonce
poshir, t.ant en utilisation ludi-
que que semi-pro pour 1111 prix.
1noniteur inclus, défiant tou1e
concurrence acLueUe. L •crgono--
rnie ayant raJ1 partie du cahier
des charges de chacun des modè-
les AMSTRAD. nous nous trou·
vons en préi;.ençe de consoles
agréables d'utilli-aàon, même si
quelques points demeurent per-
fectibles tnm dans le H.'\ RD que
dall5 le SOFT.
P.L.
Mode 1 - Capacité de 25 lignes
encore- mais sur 40 colonnes el
une définition de 120 x 200
point.s. Ce mode n'aulorisant en
revanche que qùatre couleurs
toujours parmî le• '1:i dt la
palette.
Mode 2 - Capacité de 2S lignes,
IOUjours, mais C.D ao colonnes
av'ec une image de 640 ,'( 100
poinlS certes.. ntai$ au dêtrimert1
du choil< del; couleurs qui se ver·
ront réduites à deux.
Nanti d'un BASIC pordculière·
ment riche et teinté du Micro-
so'fr, le~ surprend déjà par 1es
capacil~ avec un espace
mêmoire de 43 ssa oc.tels en
dépit d'une n1émoireécran con·
sommant 16 Ko. De plus, si par
chance vous \'OUS reLrouvei.
fabulcustmcnt riche, la temie de
vos c::on1p1es pourra se faire avec
une précision de neuf. chiffreS;.
Version avec l'vlorûtettr monochroln~
2 690 F
Version avec ~lonitcur couleur
3 990 F
Le CPC 664
Commercialisé en n1ai t.985,
alo(S que les ventes du 464 bat-
taient leur plein, le 664 aura e·u
une courtecxistcncc;cn raison de
la \'enue sur le marché d'un 6128
plus pro1neLteur.
A vcc le 664, Amstrad tente de
.séduire un créneau plus,se1ni·pro
qae celui de son aîné le 464. A
cette fin, Je c-lavier perdra quel·
ques couleurs, 1nais, conservera
une disj>osii,ion QWER'TY, la
lenteur du système de charge-
ment des programmes par cas-
settes fera place à un drive incor-
poré au standard étonnant de 3
pouces.
Les touches de direction du cur-
seur voient leurs dimensions
au.ementet et le pavé num ~rlquc
qui conserve les mêmes affecca-
tions que sur le 464 reçoit un
marquas• agrémenté d'un F
devant chaque chi rrre~n r~ppel
de la pos.sibilit~ de les 11ansfor-
mer en touche de fon<Û011. Une
sérigraphie !-.'Ur l'unité disquene
précise lt code dei; touehes du
clavier atnsi que le code des
c.oulcurs.
A l'arriê:re de la con~ole ont étè
prévues les prises-dlverses en vue
des extensjons et branchcmen1.s
dh'<~'rs : départ ver~ rc moniteur,
al.iruenrarion de l'unitC céntralcf
prise pour magnèto-oassc:-uc
extérieur: $ortie stéréo pour
l'audio. une interface Ct'ntrcr
nie;s, prise pour un second drh·e,
prise de )orstick.
Le moniteur quant 3 lui outre s:i
missîon ioiHale de \IÎSU ~e Vc."c-ra
confier le rôle. d,_alimên~cr en 5
Volts l'unitè èl en l2 V1>lt> le
drive de 3 pouces. A l'imérieur,
on remarque bien 'ûr le Z 80 A
(4 MHzl, unemcmoire morte de
J2 Ko co!llm• sur le ~64 et une
mémoire vh.. (RAM) de 64 Ko
é~alement,
Du côte do l'affichage, les pos-
sibliirts dem<ureni .i:nslblemoni
idcatiqucs avec tourefoiS J ligne
en moin~ sur les 3. n1odes : 0. 1
uu l. La capatitè rcirogr-adc
donc de 25 à 24 lillll•"·
Un grùnd pas os1 franchi, avoo
le drive démoeralisé du 664 ;
ma1é:riel pcrfornlttnl pour son
prix, "Sa présence dans le~ vilrl-
oe:t n'aura été que fu,&itivc.
Ut!trôné par un 6128 sans pitiô,
il devra lai~sèr la pla•• â plus
~cml.pro que lui.

Caractéristiques du CPC 664

Mlcro~processeur : ZSO à 4 MHz . définition 320 x 200 points ~
ROM : 32 Ko. couleur;.
RAM : 64 Ko donr 4 1 Ko uliles et 16 Ko Mode 3 : 24 hgnes <le 80 colonn<s
écran, d~fim1fon 640 x 200 Points 2
Mémoire de Masse : Unité disquette au formai HITACRI cuul•ur...
de 3 p. plus possibilité branchement. Interfaces : Bus d'cxtensibn. Vidi?o compo,i1e
magnéto-càsscttcs. RYB. Cenironici;. Lecteurs ca!OSeuoe>.
Langages : Basic, Assembleur, Pascal et Logo. M•neu<; ~· jeux. RS 232.
Systèmes d 'exploitation : AMSDOS et CP/ M 2.2. Options : Lecteur de dis~uellcs. Ma!l11élo•
Clavier : mécanique QWERTY de 74 toucli<-. CQ!,iSC:lteS, rmprimUDLC, JO}'SrÎCk.
dont 4 de directions et pavé numéri- adapLatcur Périttl.
que p•ogrammable pour fonctions. P rix : \1~rsion avec Mohlteur 1nonouhrOn1e
Performances graphiques : Mode O: 24 lignes de 40 colonnes <l-~90 F
définjtion 16() x 200 points 16 cou- Version avec ~lonitcur couleur
leurs parmi 27. S 990 F
Mode 1 : 24 ligne.< de 40 colonnes

Lè CPC 61RB
Dès le mois d' Août 85, Afa11
SUGAR lançait une nouvelle
bombe : le 6128 désamorçait les
vèntes du 664.
Dôté de capacités rarement
alteintes àce jour, par un n1ioro·
ordinateur de 12l! Ko, URlVEet
moniteur au prix écrasant de
4 500 F dans sa version
monochrome, cc nouveau CPC
ne pquvair qu-'éloµffer son pré~
décesseur confiant au 464 un
rôle d ioi1 ia1eur souven1 reven-
1
diqué pard''autres marques. La
vocation du 61.2&s'afj'ichc dans
ses perrornJances, pénêrr~r dans
la PME-Pl'IU de monsieur Toul
le Monde. voire meme assurer
certaines fonctions. de gesrion
élaborées,
Fidèle •u nombre 74, resrnuches
du t:lavicc rc\IStent J'apparen~
austère d'une:macbioedè bureau
et se voîen1 réorganiséc5 en
structure plus " Pro ». On y
arrive dQuce111en1-. U Ori\ e ~e
1
maintient â droite et his.toire de
mon\rer que ce n'est plus le zy64,
la sètigraphie de d""su.• 1e l«:Leur
in\·erse la position des marqua-
ges : a9de clavier en Jlalll, code
couleur en Bus.
l..e.; alimentt1tion) issues du
moniteur reprennenr leur place
aln>i que les différentes prises
tl'e.nLrée- et sortie citëe dans le
664 à quelques miUipoiJs près.
Dans lu boîu:, le sempiternel Z
80 A et à partir tle lâ ça bouge.
La mémoire morte passe de 48
Ko 50ÎI 16 de mieux que dans le.5
464 et 664 tnndis que la mémoire

29
Les micros
vive fait un bond à 128 Ko dont
43,5 Ko utilisateur 16 Ko &ran
et 64 Ko répartis en 4 fols 16 K
(BANK) utilisés en un syst~mc
de BANK MANAGER. Lages-
tion de ces « BANK » se faisant
à l'aide de sÎJI instructions sup-
plémentaires. Ne cherchez donc
pas par un PRINTFRE où sont
''Os 128 K, vous seriez dCçu.s par
la réponse arfichée sur !'man.
Le BASIC est toujours aussi
proche du Micro-Soft, et l e
système d'CJtploilation conserve
le AMSDOS el le CP/M qui
avaient rait les beaux jours du
664.

Caractéristiques du CPC 61~8

Mlcro-proccueur : Z80 à 4 MHz. dérini1lon 320 x 200 poin.rs 4
ROM : 48 Ko. couleurs.
RAM 1 128 Ko dont 64 géres en llANK Mode 2 : 24 lianes de 80 colonnes
MANAGER. défin ition 640 x 200 points 2
Mémoire de Musc : Unite disquette a u fo rmat HITACHI couleurs.
de 3" plus possibilité branchement Interfaces : Bus d'extension. Vidéo composite
m~nêto-cassettes. RVB. Ccn1ronics, Lecteurs cassenes.
Langages : Basic, Assembleur, Pascal et Logo. Manettes de jeux, RS 232.
Systèmes d 'cxploltatlon : AMSDOS e1 CP/M 2,2 et CP/M +. Options : 2• lecteur de disqueues, Magnéto·
Clavier : mécanique QWERTY de 7~ touches casscnes, Imprimante, Joystick,
dont 4 de directions et pavé numéri· adap1a1eur lléritcl.
que programmable pour fonctions. Prix : Ve:rsion avecl"1oniteur monochrome
Performances graphlquu : Mode O : 24 lignes de 40 colonnes 4 490 F.
définition 160 x 200 points 16 cou· Version avec ~loniteur couleur
leurs pamù 27. S 990F.
Mode 1 : 24 6gnes de 40 colonnes

Le PCW BR56
Après s'êire anaquê au créneau
du gestionnaire d'entreprise il
manquait à AMSTRAO Corpo·
ration, le marché savoureuse-
ment p0neur des .secr,taircs.
Alan SUGAR ne s'arr~te donc
pas en si bon chetnin et poursuit
ses dynamiques agressions en
proposant lors du SICOB un
micro difiniti\=ient profession·
oel : le PCW 8256.
Sortant résolument d01 lignes
d'inspiration CPC, le PCW 8256
se singularise de ses ainés par
plusieurs paramhres,
Le clavier, tout d'abord, nvce
une nouveauté de raille : sn con·
rigu ration AZERTY er une dis·
position machine à écrire avec
accès direc1 aux caractère~
accentués. De p lus, les instn1c·
tions LINE EOL, UNIT PARA,
DOC PAGE ••• n~saire< au
uaitement de rcxtc sont ~gale..
ment accessibles, au dessus des
diodes LED dènoncant la mise
en fonction du SR lFr LOCK.
La liste des possibilités est telle
que l'auteur vous suggere de
vous reporter à J'articlc paru
dans le dernier numéro. ~i
donc, pour œ qui concerne la
destination du PCW. La
mémoire de masse. a subi un
profond lifring. L'unité dis-
quette reprcod le foanat 3 pou-
ces cher à la marque et se loge
mainlenant dans le moniteur, la
possibili1é d'un deuxième
DRIVE ayant été prévue sous le
premier. Le monireur lui·même,
offre en lieu el place des 24 ou
2S sur 80 colonnes une haute
résolution pennettan1 32 lignes
sur 90 colonnes. en noir e1 ven
uniquement.
On n'est pas là pour jouer, que
diable l
Du côté de la RAM, on dispose
de 256 Ko dont. 102 Ko sont
organisés en BANKMANAG.ER
ou disque virtuel alors que la
mèmoirc morte est réduite à O.
Le tout ~ la manniue Z 80 A,
mais bien !tO.r !
Le BASIC •mployc se dénomme
maintenan1 MALLARD BASIC
et on COn\Cr\·c évidemment Jcs
possibilitH CPIM et LOGO de
Digital Rescarch. Pour le gra.
phisme on a fait appel à un
1y.ièmc GSX, toujours de chez
Digital Research.
Le PCW 82S6 ne se camonera
pa< au simple 1rai1ement de tex-
101, LOCOSCRI PT puisque la
porte est ouverlc â d 'autres pro·
glclcls du type MULTI PLAN
par exemple. 7 000 F pour
256 K. 1 Moniteur, 1 Drive,
1 ln1prin1n111e el 1 LogicieJ_, c'est
beau.
Alors. pourquoi cro)·ez~vous que
Mon1ieur SUGAR se décar·
catliC?

Caractéristiques
Mi cro·,p roccsscur : UOâ 8 MHz. Monite ur: Noir et Ven J2 lignes de 90 colonnes.
Mémoire Vive : 2S6 Ko dont l02 en di1que virtuel. I nterfaces : R S 232, imprimante.
M émoi re Morte : 0 Ko. Périphériques : Drive supplémentaire 3 pouces de
Mémoire de M11se : 1 unitê disquette de 3 pouce.s, bank\, 1 méga bits. lmprimnntes compati·
Langages : BASIC. LOGO, ASSEMBLEUR, bics " EPSON "·
PASCAL. Prix : avec moniteur irnprî1nan1e, drive et
Syst èmes d ' exploltatlon : CP/M 2,2. el plus. trnilcment de textes. 7 000 F.
Clavier : mè<:anique AZERTY de 82 louches.

30
Unité de disquettes
f>fl/-1 ,4mstrad
AMSTRAD commercia·
lise une unité de dis·
quettes munie d'une
L'emballage qui \'OUS est remis
lorsque \'OUS pan·cnel à ,·ou~
procurer le précieux matériel
conticn1 : procége par un boitier
do polystlrène, le Lecteur de di>·
qucne.; l'in1erface a>ec l'unité
rPnlrAI,. e-r !i.On câblf! df! raccor
dcmen1 ; une disqucuc 3 pou,-e.
conltnant CP/~ I 1.2 et DR,
Les 3p 1/ 2 et 5p 1/4
U $ cnc:on: aujcwd1Jui ltè< diffi·
cilc de UOO\tt des logjcicb CP•\!
sur dl<qucue 3 pouce-. Certnin>
0111 donc essa)~ d'adap1&.'f de\ lec·
icrn, d'un nutœ formai sur li!$
CPC. Mais fi faut bien i=ruquer
qu'il> ont rencontœ d<: nom!>~
problolmcs p0ur arm-.r "'" ~1-
aus cscomptCs.
u. <OCil1t - par~.""'"
pose doplli> quelques ICmi» un b:-
u:ur do disquettes S 1 4 pouce$ c:n
.1<eond lcc"t<:W; Ceci pcrrncl en
outre de faire des lmnSferis du
J pooœ~ \tl"S Je 5 1/4 et Yicc·\"1'l:l,
li offre <ur une disquene double
fJcc double ~ (Dl'DD\ un peu
32
interface permettant
la connexion au CPC
464.
Logo, un manuel d'utilisateur.
Au l)remier abord le loc1eur de
di,q~en"" donne, maigre sa
petite taille une Impression de
robus,esse qui sera confirmée à
l'utilisation. Les manipulacion>
dc.o d.isqu('Ut~ efrec1uffs. bien
qu'étant nombreu'"' et faites
sms précautions paniculiêrcs.
p1n., de iOO Ko non fonnatis. On
peut aussi UOU•a" chez \Orn:x. une
double unili S l 1~ :wec contr61cur
01 CP/M 2.2 et VDOS. Là, il ne
s'ngit plus d'un l\Ccond b:œur, mais
bien de J'u1tllt principale. Les prix
de ces matérleb dcYmlent se .lituer
cntœ 600 et 1700 DM.
En .~ on peut troU\l:l' aussi
un S 114 $00> le doux nom de
Tundlsc. Cc demler ne peut servir
qu'en sccood lccu:ur. Comme ses
peti15 crunamdt>S allemands, il se
fait un peu désirer. en Fm nec, si
comme dans d'aullc.< l'U)'S, cenaim
''bidouilleurs" ont •"'ll)é de réaJi.
,... t'adap4ation d'un S 1 4 sur
n°affccteron1 pas son fonction·
ncmcn1.
li n'en est pas de même pour
l'interfuce, qui semble un peu
légère. Constituée d'un unique
boilicr de plastique destiné à aire
connecrê à l'arrière de l'unil~
cen1rale, clleappar.nî comme le
maillon faible. de l'ensemble, en
parLiculicr, au niveau de la fia.
bilité de la broche de connexion.
A l'usnsc d'ailleurs, et bien que
les Instructions de branchement
et de rnisc en route du drive aient
été respectées à lo. lettre, il Je
rcvèJcra $0UVelll nécessaire
d'arrê1cr. puis remeure en route
_AmSU'ad, il doi\'ellt avoir jalouse·
ment garcl~ le secret, car personne
ne s'est presenté avec un produit
tournant parfuiremem et commer·
cialisé. l.oisi!Jèch, un """etldeur de
Molllr<Uil, en rigion parisienne,
annonce un mod8c ckptJis 11q.
ternpS, mais pour l'inswu il ""
sanble pa.ç enco.e au point puisque
invist"ble.
R>ur les l<c!CUl'S de cype 3 1/2 pou·
ces, S. 0.1. une ~ociété française,
annonçai! il y a peu de icmps ce
prodult. Il devrait offrit 1 mésa
1Magnétophone 1
Lâserdata
Ce Laser Data, produit par
Vidèctechnologic est un Data·
Recorder comme les autres.
a .., prévu pour le 220 V 50 Hz
et peut également fonctionner
a>ec des piles alcalines de l ,S V .
(li en fnu1 quatre).
Uest nécessaire et fondamen1al
comme tous les autres lecteurs de
casseut:5.
l'ordinateur, le sys1ème se refu·
sant obstinément à reconnaitre
la présence de l'unité de disquet-
tes.
Le manuel utilisateur est de la
même facture que celui du CPC
464 , c'est-à·dirt bien réalisè et
complet. Il indique clairement
les instTUctions suppMmentaires
apponées au Basic, ainsi que le
mode opératoire des principaux
utilitaires de CP/M . Un ch api·
tre entier de ce 1nnnuel est des·
tiné à DR. Logo. On peut tOU·
tefois regrcuer que ses réalisa-
teurs n'aient pas jug~ bon de
donner des indications complé-
mentaires SW' les utilitaires foUJ'·
nis avec CP/ M, et en paniculier
sur l'utilisation de l'assembleur
8080.
Pour un prix snns concurrence
sur le marché ac111el, AMS-
TRAD propose une unité de dis-
queues qui, si ellt nt permet pas
de transformer imm~cliatement
le CPC 464 en ordinateur pro-
fessionnelt offre quand même
des perspectives intéressantes.
En proposant pour environ
4.500 F une conf1guration ave<:
moniteur monochrome, 42 Ko
de mémoire utilisateur. et une
unité dÇ: disqucttcJ, Am.strad
offre un rappon utili.\ationfprix
exoeptionnel.
oc= non r~. En cuire, il ne
pourrait servir qu\:n second lecteur.
On peut remarquer que les bonnes
intentions ne manquent. pas dans le
domaine du Jecu:ur supplo!rneruaiie.
autre qœ le lbrma1 3 pOUCC$. Mai<
les annoins de 0C$ produits, qui
devraiem rêsoodre pa.ç mal de pro-
blbncs pour les amatcWS de
CP/M, se font énormément dési·
rer. Ceci à un ici polm que l'on
pourrait prendre ces annonces
comme des C3Jlulnrs.
Vous sauvegnrdei un pro·
gramme en appuyant sur la tou-
che SAVE puis sur la commande
SA VE de vo1re ordinateur.
Vous le vérifiez en ins~rant la
cassette et en cxcêcu1ant
VERIFY.
Vous le chargez en exécutant la
fonction LOAD d'abord sur le
micro puis sµr le magnétophone.
Les cassc11es à longueur d'écoit-
res comme les C 120 ou les C 90
sont déconseillées.
(Les Imprimantes!

Amstrad
ça imprime
Complément indispensabfe de l'ordinateur, l'impri·
mante est l' un des périphériques les plus vendus.
If en existe de nombreuses qui sont compatibles
avec notre ordinateur préféré. Nous vous en pré·
sentons ici une sélection.
Rien de plus bête que d'avoir
d'un côté un ordin.a1eur et de
l'-autre une imprimante, et que
les deux refusent de Fonctionner
ensemble ! Si l'on n'y prend pas
garde cette mésaventure peUI
arriver avec l'Amstrad. B!leffer
celui-ci est interfacé en parallèle
7 bits, et la plupart des impri-
ma.ntes parallèles sont elles en 8
bits. Voilà une situation fâ-
cbeuse 1 Que faire de ce « bit ,.
baladeur 7 Deux solutions
s'ofrrent à vou.'i : une bonne CL
une 1nauvaise. La mauvaise :
pour ce faire. vous vous munis-
sez d'un ter à souder, d'un cer-
trun nombre. d'auLres outils.
vous ouvrez votre pauvre ordi-
nateur qui ne vous a rien fait_, ~t
vous bidouillez un piège à
« bit » baladeur. Si vous avez dé
solides connaissances en électro-
nique, cette soluàon est envisa ..
geable. Sinon absténtz-vous !
En t.out cas, sachez que cett.e
opération supprimera la garan-
!ie constructeur de votre appa-
reil. Deuxième solution, cette
fois-ci plus raisonnable : vous
vous rendez chez votre reven..
deur favori, et vous lui deman~
dez (poliment) de vous fournir
une i111erface qui piègera dêflni-
tivemen l notre « bit »
facé tieux !
Cette fnterface es1 maintenant
disponible à peu près partout, et
coate environ trois cents .francs.
Elle règle une fois Îour toutes les
problèmes de compatibilité
d'imprimante. Il reste à v,ai dire
une troisième solution, elle esL
toute bête et consiste à acheter
une imprimante Amstrad qui
bien sOr es1 en 7 bits.
Pour le reste pas de problêmes.
vous pourrez jouir enfin de lis ..
ting.s autrement que sur écran,
vous découvrirez avec un -b oo-
beur sans mélange les joies du
traitement de texte, vous ébahi-
rez vos proches avec des
tableaux démenrs 1 enfin vous
atteindrez Je nirviina ae la micro
·s ur papier. n ne·vous reste J?lus
qu'à faire votre choixJ et bon
courage.
FX 80. Une gra0 de classique en qualilé 'courrier, qui en plus des
papiers bande carol, accep1e également le feuille à feuille. Une
Jnachine qui trouvera tout à fait sa place dans une petite ou 1noyenne
entreprise.
Fiche technique.
Vjtesse d'impression : L60 caractères/ s.
Tête d'impression : amovible 9 aiguilles.
Matrice d' impression : 9 x li (Pica).
Ruban : cartouche.
AJimentatiôn papier -: friction ou picots.
Poids : 7 ,5 kg.
FX 100. Voici la grande sœur de la précédente, comme elle en
q ualité courrier mais en plus, en grande largeur ! Une macbine par-
fahe pour .les servi·ces comptables, ou pour ceux quî ont beaucoup
de t.ablcaux ~ faire. Ses ea.ractéris-tiques technique' sont les mêmes
que celles de la précédente, sauf e n ce qui concerne la largeur, qui
va dans ce ca5" fusqu'à 393 mm au lieu de 254, et le poids qui est
de IQ,5 kg. Pour toutes les auges carac!éiistiques, reportC2-vous
à la fiche de la FX 80.
P 80 P. Comme portable, en voilà une qut vous suivra partout
dans vos déplacements ! Deux modes d•impression possibles : Lher-
mique ou à transfer1 thermique, vous avez donc le choix entre deux
type$ de papier :· thermosensible ou ordinaire. A signaler le modèle
P 80 X. qui permet une impression en qualité courrier.
Fiche technique.
Vitesse d'impression : coucante : 45 caractères/s. courrier (P 80 X) :·
22,S caractères/s.
Matrice d'impression : ~x9_
Ruban : cartouche (Transfer).

Famille Epson Alimentation papier : friction.

Poids: 1,1 kg.

Dans le cas d•Epson, c'est une vraie famille qui est proposée aux
A1nst.radîstes. Pas moins de six machines couvrant lous les besoins-
de la qualité èourrier, en passant par des portables et même de la
couleur r Toutes en interface paraUek, elles permettent un choix
réel. Dans une gamme de grande qualité. Nous allons les passer en
revue.
JX 80. Superbe, elle permet derortir des documents en quatre cou-
leurs. ne vous attendez 1out de même pas à la quaJitë « imprime-
rie n, mais à d~honnêtes couleurs~ un peu pastel cependant .
Fiche technique.
Vitesse d'impression : 160 carac1êres.
Tate d•Jmprcssion ; amovible 9 aiguilles,
Matrice.d'impression : 9x li (pic;a)
Ruban : en cartouche (4 couleurs). 1
AJimentatioii papier : friction ou piéots.
J?oids : 7 .5 ka.
P 40. La plus petite de la gamme. Celle qui nous intéresse plus
particulièrement est le modèle « P » qui es1 doté d' une interface
pa,rallêle. Dans son cas, pas d'autre possibilité que l' impression 1her·
mique. Le formaLest à sa taille (demi A 4). Comme la_précédentc,
elle peut ronctionner sur bauerie ou secîeur (a.lime.ntafion extérieure.
Fiche technique.
Vitesse d'impression : 45 caractères/ s.
Matrice d'impression : S x 9.
Ruban : n.o n (thermique).
Alimentation papier : friction.
·Poids : O, 7 kg.
LX 80. Et en plus, elle est belle 1 Qualité courrier à 40 carac1eres
par seconde, elle est dotée d'une mémoire tampon de 1000 caracLè·
rcs qui vous permet de stocker un logo ou une marque, par e.ir:em-
ple. Elle dispose de nombreux carac1èr.s. Signalons enfm, en option,
un dispositif d'alimentation feu ille à Feuille.

34
 Amstrad
DMP !JOOO. La nouvelle imprimante d'Amstrad 1 Superbe, tolite
noire, elle est dotee de pieds retractables quj permettent, quand ils
sont ouvens, de glisser le papier dessous. Elle présente l'énorme
avantage d'avoir été prévue pour fonctionner -avec le matêrîel Ams-
trad, et de ce fait de ne pas avoir besoin d'interface. Une superbe
machme qui s'accordera avec bonheur ti votre Amstrad préféré.

Fiche technique.
Fiche technique. Vitesse d'impression: JOS C.P.S. (courante). 52 C.~P.S. (courrier).
Vitesse d'impression : 100 caracicres/s. Tête d'impression : 9 aiguilles.
Tête d'impression : 9 aiguilles. Matrice d'_împression : 9x9.
Matrice d'impression : 9 x 9 courante~ 18 x 12- courrier. Ruban : cartouche.
Ruban : cartouche. Alimentation papier : fTiction ou picots.
Alimentation papier : friction.
Poids : 5,2 kg.

Centronics
' . . _1 •
1 1

GLP. L'une des imprimantes qui en 1J]us d'offrir une bonne qua·
lité d'impression, est aussi d'un encombrement ttèS réduit. On arrive
facilement à lui Lrouver une pel,te place sur son bure3u. 'En impres---
Okimste !lO. Une toute petite imprimante, qui. cache bien son slon, son bruit est relativement réduit grâce au large capot de pro·
jeu. Sous des dehors sages, c 'est une vérit~ ble imprimante co11leurs
tection de la -mécanique gui ~a recouvr:e eoùèrcment.
de grande qualitt. Un graphique de haute rêsolution (144 x144
points par pouce), sur papier normal, rhcrmiquc, el même transpa·
rent en acé[ate, Une 1êce d'impression à 24 éléments crée plus de Fiche technique.
Vitesse d'impression : SO C.P .M.
100 nuances. Pour le traitement de teste, Okimate travaille à 80 Tête d'impression : 9 aiguilles.
caractèrts par seconde en qualité courante, ou à 80 e.n qualité-cour-
Matrice d'impression : 9 X 9.
rier. Un outjJ très complet qui satisfera aussi bien les antateurs de Ruban : cartoucbe (8 mm).
graphisme, que les (( écrivains )).
Alimentation papier : friction.
Poids: 3 kg.
Fiche technique.
VJtesse d'impression : 80 C.P .S. (courante), 40 C. P.S. (courrier).
Tête d'impression : 24 éléments.
Matrice d'impression: 144.x 144.
Ruban : cartouche.
Alimentation papier : friction.
Poids : 2,8 kg.

)
Star
SG 10. Une très grande classîque, gui depuis les dèbuis de la micrcr.
informatique, -a subi bien des changement. C'est un petit peu un
engin« tout terrain ».à la fiabilité légendaire. Bile est d'autre pan
d'unesimplidte biblique:, ce qui est en gage de bonne santé. Autre MCP-40. li s'agir là d'une véritable petite table traçante, que vous
point important, la SG JO emploie un ruban encreur de type très pourrez connecter à votre Amstrad. Dans ce cas, pas de tête
courant qui se trouve chez. tous les libraires, ceci êvite bien des courses d'impression, mais quatre « ball pen )) de quatre couleurs différen-
et des retards. tes, q_ui vous permettront de produire d'attrayants graphiques ou
même du teste, Revers de la médaille: ce n'est pas très rapide l 12
Fiche technÎque. caratères à la sècondc en mode texte.
Vitesse d'impression : 120 C .P.S.
Tète d'impression : 9 aiguilles. Fiche technique.
Matrice d'impression : 9 x 11. Viiessc d'impression: 12·C.P.S.
Ruban : standard, 50 nim, 4 C<Juleurs. Tête d'imwession ; 4 « ball pen ».
Alimentation papier : friction ou picots. Alimen1at·ion papier : frict.1on,
Poids: 7 kg. Poids: N.C.

3S
1Les imprimantes ~I~~~~~~!!!!!!!!!!!!!!!~~~~~
Seikosha
SP 1000 A. Une classique, qui est très polyvalente ; elle fooc-
tjonne en mode Lexte et graphique, en format 1\ 4. Elle représente
l'acbèvemeot, en matière d'imprimante personnelle. Ce qu'on
appeUe une bonne « bécane », sans surprise ni problème.
Fiche technique.
Vitesse d'impression: 100 C.P.S. (courant), 20 C.P.S. (courrier).
Tête d'impression : 9 aiguilles.
Matrice d'in1pression ~ 9 x 9.
Ruban : cartouche,
Alimentation papier : fricrion ou picotr.
Accessoires
Il y a même des chiffonnettes!
Un grand choL" -d'accessoires l~s
plus dï\lers. ~que le papier li;,
ting ou les disqueues 3 pouCèS SQnt
d~nibles sur le marchè. Par
exemple on ll'Otlve de bien uûles
housses pour protéger clavier,
nwniteUt, ou unité de disqueucS-
d'un CPC Pour cc tYpC d'accei--
soires les pri."< "\"llrienL entre 60 F
pour une housse de lectelu: et JSO F
pour celle du n1oniteur~
Si \'OUS lnlU><Z vos câbles m:p
COIU"IS, vous pourrez >'OUS olfdr de
belles rallonges bien pratique>.
Comptez 150 F pour Jes dcu'I
câbles d'un 464 et environ 200 F
pour les trois du 664 ou du 6128.
un cordon pour l'imprimante coû:e
en tllO)'Olme 150 F. Pour raccordtr
un second lecteur à votre CPC pre-
fén!, 0 faudra in>'estir une somme
lélJè!l!meno supérieure à JOO F.
Comme un grand nombre de logi-
cicls- sont 'Ur support cassent,
l'llcliat d't. .Ibie de racconkmcot
semble obligalOite l)OUr les posses-
seurs d'un CP 664 ou d'un 6128.
'\bus débourserez entre -10 eL 50 F
pour ce> bel obieL Parfois le lecteOJT
de cassette du 464 peut demander,.
un petit réglage d'az.imull!ll"- C'esl-
â-din: qu'il Jaut n!gJer la rète de lec-<
rure du lecteur de cassette par rap·
pon à la bande magnétique, èe
filçon à obœnir un ~ des plu.'
pur. Un kit làcilitam œue opéra-
tion est désormais disporuble pour
150 F environ.
Colé disqueucs, hO\LI orouvons plu·
36
Conclusion
Donc sur Amstrad, on peut imprimer sans problème. Nous vous
avons présenté là une sélection de machines qui sont représentati-
ves du marcbê. Mais il ne faut pas oublier d'autres machines, plei-
nes de qualités. qui ne sont ])lus fabriquées aujOUîd.'hui mais que
J'an peut retrouver sur le marché de l'occasion. Nous pensons en
pat!lculier à. la DMP 1, qui était JE première imprimante proposée
par Amstrad, et gui est maintenant ren1placée par la DM"P "2000.
Celte imprimante fonctionnait fo1t biC'ti, et ~ut encore répondre
à cert;U.ns besoim. Ou encore la Smith-Corona fastext 80 (voir Ams-
trad Magazine n° 2) qui elle aussl a disparu dans les arcanes des
politiques commerciales.
On peut aussi tourner le regard vers l'avenir, el se preodre â espé-
rer que l'o.n verra bie_ntôt arriver pour notre ordinateur préfér~ une
imprimante à Jaser, o u en restant plus motle.s1e au moins à jet
1
d' encre, ou â bulle. Dans tous les cas, le domaine de l'imprimante
est en pleine mutation technique... l'Am.i;trad étant un ordinateur rela~
tivemem nouveau on peut penser que les fabricants de ce tYPe de
machine n'ont. pas encore donné l<11r pleine mesure. D'autre part,
l'arrivée du'PCW qui est un semi-professionnel, laisse envisager sur
Amstrad l'utilisation d' im p rimantes (~ pro >là marguerite. Et le dé:ve--
loppemeno de nouveUes maclùnes plus performantes. L'avenir est
donc ouvert. Messieurs les fabricants la balle est dans votre camp,
nous attendons avec impatience vos nou\•eauLês._
Jllff Quorteau
sieurs marques. olîrant du 3 pou·
ces : H'!lachi. Schneider. MaxeU et
bien siir Amsoft. Ces dernières
sont les moins chères depuis
qu)'Jan Sugar a décidé de les pro-
pœeo- sur le =bê l'rnnçais à 35 f.
Pour les a.u ores marques, le prix
mO)'Cn est de SS F.
Les caS.<eues vierges de type CIO
à C20 valent entre 6 ét 8 F.
Pour n111ger vos programmes stoc-
iœ.~ sur ces supports. il existe des
boJ1es de rani;emenis. On en lnlu•'C
à panir de 150 F et jusqu'a plus de
300 F, stm'8Jll la taille et si elle pos·
sêde une fermerure par serrure.
Une imprimruue c'est bien, avec du
papier c~l encore mieux, la r,mie
de listing "ous sera proposé entre
60 f et 250 F, suivant le nombre de
feuilles (entre 500 e• 2 500) et si il
y a un double.
'lbujours pour \nue imprimante,
un T\lban compte tenu dü modèle,
vnut par e-œmple sur le matériel
Seikosha : environ 80 F p0ur une
GP 50 et 120 F pour le modèle
SP 1000.
\tus trouverez aussi des kits
d'entretien pour votre ordinateur et
ses périphériques. Ils comprennent
une bombe d'air comprimé, un
prodult pour nettoyer les écrans ou
les claviers, une c..~ue auto·
netroyante pour Je magnétophqne,
des pctilts brosses et des chilfon-
netteS. Ces kits pour ordinateurs" ou
périphériques \'OU$ coâteront de
140 F à ISO F.
Interfaces et extensions
Interface RS232C
Ccuc interface d' Amstmd est un
besoin de pmtlqucment tous les
utilisateurs de CPC. Elle permet •
de connecter son micro avec de
multiples périphériques : lmpri·
mantes. modems et autres ordi·
nateurs. C'est le périphérique de
communication par excellence
puisqu' il donne ln possibililé à
to utes ces mnchlnes de se trans-
mettre des Info rmations sans que
le message soit incomplet, ou
même par fois carrémenL inconi-
Modulateur/Alimentation
MP-QF
Ce cible d'Amstrad permet la
connexion entre \'Oire micro et
un poste de ttlévision couleur
mu1ti d'une sortie ~ritel.
Voici un petit périphlrlque trè.•
utile lorsque l'on souhailc béné-
ficier de ln résolution d'un éeran
TV.
Il faut brnncher Io prise à 6 plots
MP-21' dans la prise nppelée
Mnn it ord~ C':PC". Fniôuhe hrAn ~
cher la plus petite prise d'alimen-
iation du MP-2F daM la prise
E 100 : Rack
4 cartes
d'extension
Jl compone une cane fond de
panier avec buffensation du bus
d ~adresse. 4 connecteurs cncar·
tables et un logcmcn1 pour une
alimentation supplémen1aire
(non obllgntolre). 11 lntêgre com-
plètcmcnl les cartes d 'extension.
Il est relit à I' AMSTRAD par les
ca bles CL 1 ou CL2.
E 101 :
Conversion
analogique
numérique
Ceue cane permet l'acqumllon
de 8 tension< continues (0-SV)
par multiplexage. La prtcision
est de &bits, et le temps de con-
version est de 80 µ. environ.
E 102 : Entrée/
Sortie Timer
Ce1te carte utilise deux compo·
38
préhrosible.
La RS U2C peut être utllîstc
avec les trois CPC, mais Il faut
savoir que cen.aincs applications
marchent mieux avec un systànc
à disquettes. Il faudra alors
employer la disquette CP/ M 2.2
avec le 664 et le DDl· I du 464
ou la CP/ M + du 6128.
Sous Basie, les contmandes sup-
plémemaires sont progrrunmécs
dans la ROM de l'interface.
·S V DC de l'ordina1eur.
E1 pùis la prise d'antenne du
modulateur dans celle de votre
TV.
Cllractiristlqucs technique• :
Alimentation : 220 V SO Hz
Sortie courant continu : Prise
mâle SV/2A poslllf au cen1re.
P rise femelle 12 V O,S A négatif
au centre (avec protection con-
ITl! 16 cnurl~-circuits).
Entrées : R, V, B + sync.
Sortlu : R, V, B. + Pérhel.
sants uês célèbres de chez
INTEL L'interface parallHe
progsammable 82SS et le timcr
16 bits 8253. On y retrou"e donc
24 E/S (3 poru de 8 bits enti~
rement programmables) el J
comp1eurs-timer foncûonnant
sous 8 modes différents .
E 103 :
Conversion
digitale
analogique
A l'inverse de fa carte E 101.
cette œrterestitue sous forme de
tension continue (0 - 2,56 V)
une valeur nummquc codée ~ur
8 bits. Deux \'Oies de con"crsion
sont prêsentes. avec po~sibili1é
de soniesen (0 - 10 V) a,·ec ali-
mentation externe 12 V.
E 104 :
Carte série
RS 232
Cette ÎJ1lerface est cntièremen1
programmabk ( 10 vite>sé' de 7S
à 19200 bauds, positionnement
et scrutation des lignes généra-
les par software. Une prise
CANON D 25 femelle est instal-
lée sur la cane, avec 10 fils con-
nectés pour r&ludrc tous vos
problèmes de communication
série. La sortie est en ± 12 V,
selon la norme.
E 105 : Carte support
Sorties logiques EPROM
et QQO V
Cette cane mixte propose une
sortie 8 bits sous 2 formes : 4
sorties logiques mvcau TTL. et
4sorties220V12 A. Ces dcrniè·
res sont réalisées par association
de phototnacs (isolemeru 2000
V), suivis de triacs 2 A sur
radiateurs.
E 107 :
Programmateur
d'EPROM
Ceue carte vous pern1e' la pro·
grammation, la recopie ou la Jc..-c-
turc dEP ROM de capacité de 2
Koctets à 16 K octets des gran-
des marques compatibles. Elle
est équipée d'un support à inser-
tion nulle. '-" logiciel est fourni
dans la notice, et est disponible
en cassette: ou disquette.
E 108 :
Alimentation
Cene alimentation fournit une
tension SV /3A régulée pouvanl
supplêer à celle fournie par votre
moniteur. Bile peut être ins1al·
lée dircc1ement à l'arrière du
rac ~ E 100.
E 109 :
,,l
Extension
RAM 64 K
Cette carte. livrtc en boîtier plas-
tique e1 reliée à l'AMSTRAD
par un cible court CL 1 ou C L
2, adjoint 64 K RAM SUpplé-
mencaircs à votre AMSTRAD
sous forme de disquene viruelle.
Des routines d'exploitation sont
fournies avec le produit.
E 110 :
Cette: 1.:Uflc 1 uu itutntlurd ba1Jiluc:1
JAGOT & LEON, pcrme1 de
coonecter à votre AMSTRAD 4
EPROM de 8 K ou 16 K, et donc
de pouvoir utiliser des program-
me5 imponants en mémoire
morte.
E 111
Cartouche
EPROM 16 K
Livr~ en boîtier plastique et
connectnfüc direct ement au cla-
vier san~ eu bic souple, ct11e carte
vous pern1et d'inlégrer un de vos
logiciels en EPROM. Il est pos-
sible de eonnee1er plusieurs car·
touches ~ la fois.
E 11!2 : Clé de
protection
électronique
ld~ale pour prottgcr vo• logi-
ciels, celle cl~ doit être présente
•ur I'M lSTRAD pour toute uti-
lisation de programme. La
duplicu1lon en est impossible, et
ce composant gagnera beaucoup
de temps et de sueur aux concep~
tours de logiciels professionnels 1
Tous ces produits son! commer-
cinllsés pnr Jngot et Léon.
1Les synthétiseurs
Le Techni-Mus/que
C'est le seul« synthé ,» entière·
ment français, il risque donc de
vous intéresser plus que les
autres.
Bâti autour du circuit ME A
&000, il est à J'heureactueJle l'un
des meilleurs synthétiseurs sur le
marché de la micro-
informaûque. U est programma-
ble par phonèmes, dlphonèmes
et mots. (A ce jour 300 molS de
la langue française sont
disponible$) .
a comprend ; deux hauls-
parleurs, une .notice e.~plica1ive ;
et puis un programme de
démoosualion, un programme
1 1La palette traphique ~
de dévcloppeolcnt de mots e1
phrases, un proj:ramrne vous
perme.ttant de faire parJer votre
CPC dans vos programmes. Il
est compatible aYec tous les
CPC.
A notre avis, clest le synthétiseur
q u'il faut choisir et pour deuK
raisons majeures : d'abord il est
beaucoup plus performant que
les autres (en soi seul celadevrait
déjà saffir) et en plus il est réa-
lis~ par des Français ce qui
donne l'immense avantage que
la phonetique soit correcte. Prix
public 640 F.
Grafpad li
Grafpad lT est la première et
seule, jusqu'à présem. tablette
graphique disponible sur micro·
ordioatCU{S. (BBC, Commodore
et Amstrad).
Vous dessinez avec une sorte de
crayon optique sur cette tablette
et le dessin se reproduit à
!•écran. Trés pratique pour créer
ses propres graphismes que ce
soit p_o ur des ûns ludiques, pè<la·
gog;iques ou même professlon-
nellcs. (Il faut à ce moment là
avoir une imprimantt de qua·
lité),
Son avantage uniquement pour
ce qui concerne le dessin, par
rapport à une souris, c'est
qu'elle permet une précision plus
rapide. (Le geste de la main qui
cient un crayon tout simple ou
un crayon électronique reste le
même).
Elle offre un graphisme de haute
résolution : J'.!80 x 1024 pîXels.
Sa précision est de un pixel et elle
mesure 35 x 26 x 12 cms. Un
périphérique de bonne qualité
pour ceux. qul ont besoin de
créer del< graphismes fréq uem-
ment.

Le SSA-1
Il se compose d'un synthétiseur
de parole, de deux haut~ parJeurs
et d'un amplificateur sléréo.
c·est le package réalisé par
Amstrad.
Il permet : de convertir un texte
en paroles, que ce texte soit tapé
sur le <:lavîer ou inclus dans un
programme ; de sortir le son en
stéréo à l'aide des deux HP et de
mixer ce son avec les paroles
êmises par le synthêdseur : 11ne
fotalè compat1bilité avec 1ous les
autres périphériques Amstrad.
Son proce.1seu·r est le 0 1
SP0256·AL2.

Le DK Tronics
Mentionnons malgré tout les
autres. Celui de DK Tronies
n'est pas mauvais. U propose
aussi un son stéréo mais l'inter·
face qui permet de faire parler
votre mJcro ne peut être br,anc.hê
que sur le lecteur de disquettes.
99 sons du langage courant fpré-
tendument international) sont
engrangés· dans la mémoire du
programme deparole. Cela per-
met en 1héorle de symhêtiser un
vocabulaire illimité. Mais il
s'agit de pure théorie. A no1er
que ce synthétiseur est mofns
cher que celui de Tcchni-
Musique : 495 F.
39
1Les manettes de jeux 1
Accrochez-vous •
Des /oysfl~ks, Il en est de
tovtes los· lormos, do fout.o s
/os cou/ours ot surtout à
tous les prlX. Cortalns son t
laids mols o-fflcocos,
d'a utres au d esign s ubtil se
r évèl ent être d e. vôrlt oblos
colomltôs. Nau~ avons testô
pour vous quelques foys·
tlcks q ui s'adapten t à
Choisir un joys1·ick, c' est un
peu choisir un compagnon de
jeu. Dans le style ARCADE, on
vante toujours un logic-ieJ en
dis-a,n1--: "A vous donner des
cra1npes au poignet". Le -choix
d'un joystick <loir pehtte11rc
d'é,•her ce désagrément. Deux
éléments princlpau~ doivent
être prês en eomp1e : la tenue en
main et l'usage. li esr parfois
recomrnandé d'a\'oir deux joys.
1jcks qui Vous donneron1 cha·
C!Un ce que vous. leur demandez.
La prise en 1nain est trè-s impor·
1ant:e. C'C'SL la main qai va sou·
vem faire (a ditfércncc enrre un
score. n1oven el lUl bon. Un doit
avq-ir Il? Joystick bien en main.
et ne pas avoir à faire une cons·
lante gyrnnas1ique des doigts
pour changer de directio n CL
tit.:r. L' uiage es1 un peu diffe-
renr. Dan~ le cas des simula-
tc1m de vol sunout, plus cer·
rains j~ux frusam appel à la foi$
au joyslick cr au ct~vier. il es1
judicieux d'avoir un jô)'Stick à
ven1ouses afin de le fixer: et de
garder une màin totale.ment dis·
poniblc pour les entrëes clAvier.
Dans un combat aérien, il est
l'AMSTRAO ( tous ne le peu-
vent pot}t pour d i fféren ts
' SPECTRAVIDEO
u.sQges et à des prix r estant
raisonnables. Pour tester
t e:S foyst lcks, nous avons
pris un /eu rapide (Star
Commando) e t un simula-
teur de v ol (Fl/ghl Poth
7 37).
parrois ùtdispeosablc de chan·
gcr de cap, en mi1raillant Uoys-
tick) ec en augmenrant la vitesse
(clavier). De même pour un
atterrissage, a raut souvent djri.
gcr l'avion Goystick) en rcdui·
sa.nt la vitesse e1 en modinant
l'ouverture des voleu (davier).
Relâcher dans ces tonditions la
prise en main d' un joystick,
pour avoir une main libre. peut
relever de l'acrobatie ... Par ail-
leurs, un Joystick sans vcn1ou.st!
Sl)'le IVJ"CO (avec embase adap.
u!e à votre main). Quickshot 7.
sont parfaits pour des jeux
d'arcade ne nécessitanL pas
d'entrées au clavier (scylePAC·
MAN ...). Un dernier conseil
avant de vous laisser à votre
ehoix ; souvent, plus le joystick
~e mb l e spartiate et meilleur il
sera (so lidité, temps de
réponse). Mi!riez-voùs aes
super-joysticks ·~rrime'', aver
miniclavier, affichage digital de
la direction e1c .. , Les gadgeis
n'oaLjamais f;tit la valeur d'un
produil.
Frédérlt NARDEAU
SiJ) Cl des boutons de mise à reu
-un peu 11 mous''. Env. 95 F.
QUICKSHOT Il
Avec son manche ergonomî-
que, il vous donnera vraihlcnl
1' impre.ssion de piloter u n
avion. L'embase_, large, est
poun'ue de quatre puissantes
ventouses (à ne pas coller sude
capot du magnétophone de
l'ordina1eur.,J. Le manéhe
comporLe deux bou:.ons de mise
à reu. de belle taille pour le
poucet ce q ui n'est pas courant.
Le' dêba11emen1 du manche est
très court, ce q ui permet• des
temps de réponse crès conects.
Le QS 11 e51 tm bon joystkk, de.
fa bricacioo 5oign<c et solide.
Un 1 rês bon rapport
qualiré/ prilc. Env. 130 F.
SPECTRA VIDEO
QUICKSHOT IV :
Jv1'anifestement, nous sommes
en présence d' un QUICKSHOT
J. Qu'a-t-il <le plus ? Trois
n1anches lntcr.changeables.
Si vous aimez le QS-1. donr il a
les carnctêri~tigues, donnez-
vous 1• iuusion d 1avoir 1rois-
joys1icks presque pour le prix
d-' un. -P nv. 170 F'.
risque de1.1oir son pouce le rater
au moment cruci~I . Le manche,
par con1re~ n'est pas un modèle
de confon. JI est, certes, orienté
\fers l'avant mais sa forme est
curieuse ; large et étroit aux
.arêtes ua peu vives. Les bou-
lons de mise a reu ~u manche
sont, eux, Lrès Vite fadgants à
l'usage. Le joystick est précis,
rapide! bien maintenu par cinq
vemouscs. Prix N.C.
SPECTRA VIDEO
QUICKSHOT VII
Voilà un drôle de joysriclc Tres
surprenant, mais uês- rapide·
menr pris en main. Il s'ngit en
fai r d'un "joycard" : cet
appcndi.c e de je-u est un supporL
e~tra·plat auquel il manque un
manche.. Mode d 'emploi ; vous
prenez le joystick de la main
gauche, le pouce gauche vie.nt
-se placer sur un premier bouton

JOYSTICK JY-:J.
AMSTRAD
Le JY-2 diSpoSc .d'unc embase
facile à tenir et de guatre ven-
touses lui conférant un usage de
rable. Le faible débnLLemem <;lu
manche _pérmel d'obtenir une
finesse et un temps de réponse
uès .correct$, crès utiles pour les
simulateurs de vol, par exem-
ple. Une parücularité intéres-·
sanie du JY-2 es1 la possibilité,
d'origine, de brancher un
bon joystick. de fabrication un
peu légëre mais qui permet le
branchemèn1 de deux joysticks
sans adaptateur. Env.. ISO F.
SPECTRA VIDEO
QUICICSHOT I :
Précis", le QS·I ressemble bea\J·
coup au JY·2. si ce n'est la posi-
tion des. boutons de mise à feu,
l' un é1anLsitué en haut du mân~
che (pouce), l'autre sur le coin
avant.gauche de l'eJnbase
SPECTRAVIDEO
QUICKSHOT V :
Ce qui frappe, c'est l'embase :
pratiquemenl 20 crn de Ion·
gueur. Cc qU.i étonne ensuite,
èst l'immense bou ton de mise â
fou (le joys1ick en comporte
trois dont les deux premier$ au
pouce er à l'index) pl_acé. en
avant du manche (S x 6 cm).
Surprenant de prime a bord, ce
joystick se révèle finalement
agréable. Le 3' bouton est sco·
sibfc et, en fait~ bien utile pour
d-e,s jeu~ s tyle ' t irs â
1

second joysrick, option Lrès
u1ile qui -avait contribué au suc·
cès dt son prédécesseur, le JY-
1, Les boutons de mlse à feu
sont surie modèle du QIJICKS-
HOT Il, ~ouc~ et inde.~. l!/n
munie de quatre ventouses. te
QS· I fair parde des- joystiCk$
a
''de taille mpyenne'' 1 't.an bon
rappon qualilé/ prix bieo qu'on
puisse· lui reprocher une cer-
taine fragilîtè: (à 1~us-age inte~-
outranoC"' : le pouce et l'index
se reposent randis que la
cadence de tir reste assez êlevêe.
En LOU! cas. c'est le bouton
d'embase le plus p ratique : pas
besoin de le chercher et pas de

40
de mise â reu tandis guc rindt<
gauche se plate tout naturelle-
ment sur le 2• bouton. le jO>"
card ainsi maintenu. iJ ne vou-'
reste plus qu'à poser le pouce
gauche (ou l'index) sur la pas·
tille rouge en arrière du joy·
card. C'es1 Io mouvemeni
imprim~ll la pastille (hui! direc-
tions) qui dirige l'ensemble.
Très in1tressaut et qui évite les
crampe; de poignet et crispa-
lions di\rcrses. En ouue, si vous
n'a"cz pas A tirer Csimula1eurde
vol, p.1cman •.•. ), vou:s pou~z
jouer d'une seule main. malgré
l'absenc:t de ventouses, tandis
que l'autre main s'occupe du
clavier. Rapport qualilé/prix
ires i111tressn111. A poss.;der
absolu1ncn1, nu moins en corn·
plémcn1 d'unjoystick traditlon·
ncl. .. Env. 150 F.
SPECTRAVIDEO
QUICKSHOT 9 :
Une autre curiosité ... Le QS·9
esr une "manette .. de jeu c.lc1u·
sivcmcnt de table : embase de
21 cm de long sur 14 cm de
large ! Comme le n!;. 1 ••
modèle M possède pas de man·
che. Le système esl <ensible-
men1 le même. >aur que c'est la
main entière qui. posëe sur une
demi·sphère, imprime le mou·
vtmcnt dans 8 directions. Cene
demi·sphère, placée en arrière
de l'embase, dcrrién: 2 énormes
bouton• de mise a reu (4,S X
6 cm) équipe!• de lods témoins,
est de taille : 10 bons centime·
tres de dinrnètrc pour une hau ..
1eur de 4 c111. L'ensemble est
monumental mais heureuse-
ment pourvu de 4 solides ven-
touses. l 'utllisation de cenc
"mane11c•· de jeu style Track-
ball est O<\e1 dt!routantt mais
agréable dan~ l'en<emble.
La cadence de tir est bonne, le
temps de réponse ëgalement,
quoiqu'il doive falloir pas mal
d'entrainement pour gagner en
précision.
La conwuc1ion semble assez
solide, Io qrix assei élevé pat
rapport au QS-7. C'est malgrê
tout une bonne idée, une sensa· de son uiilisat.i on ambidextre. mais. encore une fois, une
tian ~1rangc. inconnue aiHe:urs. En erret. le constructeur a embase assez imposante le pré·
Peut-cire un deuxième joystlck prc!vu deu,, boutons de mise à destine â un usage de table ; le
{si \'OU.S n'avez pas dtjà achct~ feu. run pour droitiers. l'autre joystick étam dépourvu de >Cn·
le QS-7 !). Env. 280 F. pour gauchers. Env. 250 F. touses. il est rapidement rnti·
gant pour la main. L'originalité
TIRVITT CGl.·W/CO THE BOSS de ce joystick est le cornmula·
Le TIRVITT eSI agr6ablc Joys1ick qui inspire la solidité, tcur sur l'embase, qui pern1ct
d'emploi. nu Lemps de réponse le .inoss'' dispose dfune d'nc1 iver le bouton de misé :\
très eoun. à ln cadence de tir embase massive sans ventouse feu choisi par le joueur.
élevée (dommage que le bouton et d·un manche ergonomique. t:nv. 250 I'.
de mise à reu soi1 si petit et si le bouton de mise à reu eSl
mal placé sur le manche), per· situé sur le dessus àu manche CGl.·WICO 3 WA Y
menant une franche appréhen· (pouœ). On peut regretter, DE.LUXE
5ion dc:s quatre dircc1ions malgrt tout, l'absence d'un Cc haut de gamme est la répli·
secondaires. Três solide. on dcuxi~me bouton etc tir et sur· que exacte du RED BALL. La
peut lui reprocher une forme tout de ventouses car l"embasc différente tient dans la possibi·
assez anguleuse. fatigante à la de bonne dimension lui conrèrc lilé d'interchanger Lrois man·
longue, et surtout l'obligation plutôl un u!>agc "de table". ches, mais aussi trois cornbinni~
de l'utiliser à deux mains. Il eSI, Précis, il offre !a possibilité de sons de tir : sur l'emba~e du
en errc1, impossible de diriger le 1irs rapides. Env. 180 F. joyllick on 1rouve un commu·
manche, tenir la poi_gn~e e1 drer tnteur pcrmct1ant de choi~ir ln
en m~mc temps. Cc joys1ick ne CGl.·WICO RED BAl.L t rnisc û feu par Je bouton situ~
pos~de pas de ventouses mais Cc joystick ressemble rort au en haut du manche, celui dans
est tl't• agréable pour les jeu• KEMPSTON COMP. 5000 le coin gauche de l'embase ou
d' Arcade où l'on se déplaœ quant au manche, si ce n'es1 la. encore d*acti\·er les deux mises
beaucoup dans toutes les direc· prc!sence d·une boule rouge sur. à reu.
tions. Un bon joysiiek, simple monttc d'un petit bouton de Comme sou homologue, le
mais cfOcace. à é\iter pounant mise à feu. L'autre bouton est WICO RED BALL, la com·
dans les Jeux mêlant joystick et situé dans le coin de remba~e. lruccioa est solide -nvcc un bon
clnvicr. Env. 120 I'. Ln tiac du manche cs1 en ncicr, temps d.c réponse. Un •cul
ce qu i peut rassurer le~ point noir (excepté 1'nbscncc de
" bru1es"
1
du joysti<;k. Ln vc n1ou ~c.); so n prix,
KEMPSTON JUNIOR
vi1cs~c de répon.sc l'' i correo1c 1'1", 100 F
PRO :
Comme ~on surnom Hjunior"
l'indique, ce joystick est stric1e·
ment réservé aux "peti1es mains
avides de jeuJI d'aieade". Trh
colort, Il se distingue en effet
par sa petite taille. le bouton
de mi<e :\ reu est situé sur la lar-
geur inrêrieure de l"emb:i~.
Mise:\ part le fait qu'il est pos-
sible de le tcnlr entièrement en
m"in, le 1nanche manque de
précision et devient vite un
Inconvénient, Son prix, par
co"trc, peut \'OUS attirer :
cachez votre super-joystick-dc·
com~lilion et confiez celui-cl à
la hargne de vos chères têtes
blondes .•• Env. 80 F.
KEMPSTON
COMPfTIT/ON .5000
PRO :
De dimension sensiblement
égale au QS· 1, ce joysûck au
mnnchc assez court dispose
d'une crnbase sans ventouse
mai~ Pfrrneuant une bonne
1enue en main. Le manche r~­
semble ~ un levier de vitesses
"compltition' •. surmonté
d'une boule sur laquelle le
pouce prend beaucoup de plai·
sir ta glisser ... A êviter pour de,s
rounds de longue haleine car la
tenue dcvlent vile fatigan1e. la
construction inspire confiance
el se rc!vèle •olide. la grande
orlglnalité de ce joystick vicn1
41
Langages '
PCW 8256. les différentes ver-
sions ont une compatibilité
·ascendante, ce· qui signifie que

Amstrad et CP I M
Acheter un ordinateur est un choix difficile. L'acheter pour
vous pourrez faire toucner sur
CP /M 2.2 des programmes
écrits dans des versions antèrieu ..
res (1.4, 2.0) et sous CP / M
PLUS toutes les versions (9e 1.4
/'étendue de ses périphériques et extensions, pour la richesse à 3.0) disponibles.
Chaque version est en errer cons-
de sa bibliothèque de programmes c'est bien; le choisir pour truite amour de la précédente
des caractéristiques techniques correspondant à des besoins avec possibilités et Ordres sup·
c'est très bien, mais /'emporter pour tout ce qu'il a et surtout plémenrnircs (dans le même
ordre d'idée que les trois Basic
pour ce qu'il n'a pas... c'est mieux. Qui l'eût cru ? Car AMSTRAD, AMST RA.D 464-664-61 28).
qu'il soit carrossé en CPC 464, 664, 61'18 ou PCW 8'156 est dans Tout fonct ionne alors scion
certains domaines un ordinateur-iceberg: il cache dans l 'éten· l'adage « Qui peul le plus peut.
le ~oins » et le moins g.u•on
due de ce qui l'entoure une très grande richesse. puisse dire est que CP / M, en
général, peut beaucoup. Un
Très fourni au niveau logiciels richesse CP/ M se trouve pre;que HStème CP I M ou encore AMSTRAD équipé de, lecteurs
ludiques. souvent répliques- ou exclusivement sur aisqucttes Système d'exploitation monô· de disquenes a donc la possibi-
d'inspiration ~1 Arcade», la S,15 pouces. Heureusement utilisateur c1 rn9no-poste, a êtê- lité (sous différentes versions)
losithêqùe AMSTRAD l'cs1 pour nous, il y en a toujours qui conçu de f'IÇ(>n à obtenir l'adap- d'accéder à CP/ M. Le CP/ M
moins pour ce qat esç des appli- .:je dévouent à la cause publîque, tabilité de programmes sur des d"'AMSTRAD est totalement
caLions sérieuses disp,onible• en développant un lecteur 5 1/4 hiachines de marques différen- indépendam du BASIC. Les dis-
dans le commerce, chez voue pour AMSTRAD. Pas mordus tesi aux langages et basic de quettes CP/ M de DIGITAl.
vendeur babiruel de Sor~ery ou s'abstenir : si vous voulez aller soureès différentes mais cons· RESEARCH livréc:S avec le 664,
Ghostbustcrs. Certes, la logithè· explorer la face cachée de J"ice- truites autour d'un même 6128 ou avec le 001-1 (lecteur
que d' utilitaires pour AMS· berg. il vous faudra taire microprocesseur. 3 pouces) conùennent quelque.li
TRAD n'a rien à envier à la plu- l'emplette d,,uri second lcc1cur L'afgument d'adaptabilite etait utilitaires sous CP/ M (Assem·
pan de ses conccuremes. Oo S l'/4 . De nos jours, on n'a rien completé par Je fait que cc nou- bieur. D ump, éditeur de tex . .
peut même dire qu'un gros sans rien ... E1 cela vauL vraimen1 veau système permenah. l'a.rchi· tes . .. ). Par ailleurs, AMSOET
efforl est fait, ~oit de la pan la peine dt s1 y intéresser l vage et le stockage de doanêes prépare une version « écouomi·
d' AMSOFT soit de la part de sur suppon disquette, din1inuant que » du très célèbre logiciel
concepteurs indépendants pour ainsi considtrabltrncnt les coGts MULTfPLAN (cnvirou 5"00 F).
lui donner une plus grande CPI M: Quelques habituels d.e stockage d'inforrna·
richesse ei variété d'applieatioos rappels tians. C'est donc SOU$ ce (' stan·
(décisions, traitement de texres. dard »adopté par de nombreux SEO et matériel
as;ernb1•urs, langages, aides gra- CP/ M : Trois Jenres. une asté· constructeurs informarjques que requis :
phiques . .,). Malgré tout. si l'on risque en bas de pngc.t un son1 écrits plusieurs n1il1iers
compa'e la logithèque ludique H ordinateur-iceberg» ... ~lieux {Vous avez bien lu) d'applica- Lorsqu'on achétc un drive
aux appJication~ proressionnel- vaut commencer par le commen· tion.$ utilitaires (SEO,_ langages-, DDI-1 pour· le CPC 464 ou
le.s disponibles, on pem se cernent. CP/M signifie " Con· comrnunication. bases de don· qu'~n l'obtient directement en
demanaer si efftctive1nent trol Program for ~ficrocompu· nées, ges1jons de fichjers, utili· prenant un 664 ou 6128, il est
l'ordinateur personnel n'est pas ter;"· L'astérisque renvoie â taires divers, etc...) opération .. acw01pagné de 2 S.B.D (Systé-
un gros jouet évolue pour pas- une marque déposée : DJGI· nelles et· compatibles dans le mes d'Exploilation de Disquet·
sionnés exigeants et amateurs de TAL RESEARCH. Si vous avez monde entier. AMSTRAD, à tes): l'AMSDOS et Je CP/ M.
programmation êlêmentaire , ~cll eté, $ans savoir ce qutest son tour ne néglige pas L' AMSDOS est le SEO propre
Dérrompez-vous. L'évolution de CP/ M, un ANJSTR:AD, votre Pimmense Jogithèque engend:r:ée à I' AMSTRAD, adapté au lan-
l'AMSTRAD, l' évolution que puissance commence au débur par CP/ M. C'est pourquoi. un gage du Locomotive Basic.
VOUS lui accordez en achetant des années 70 lorsque la société utilisateur qui, aujourd 1 hui et L' AMSDOS permet, cootraire-
par exemple un lecteur ac dis· LNTEL demande à un profes· avam d"acquérir son ordinateur, mont à CP/M d'accéder par le
quenes pour le CPC 464, ou seur ~u Collège Naval de MON· se pose la question de savoir s'il BASIC aux f'ichiers disque11es.
l'evolution gue i'ordinateur lui· TER.EV (USA), Mr Gari· KLL· pourra trouver les applîcations Par contre, on peui noter quel-
même se donne en în1êgranl un DALL, d'~ab-orer un système qui l'intéressent n'a, en fait , pas ques similitudes au niveau des
drive d'origine (CPC 664), en d'e,xploirntion pour le microprt>· trop à se soucier de voir ou ne. instructions, entre AMSDOS er
passant à 128 Ko (CPC6 128) ou cessear JNTBL 8080. Après des pas voir .sur le marché babiruel CP/ M (DIR, ERA, REN ... ) et
e n engin à vocadon résolument années de rec-herçhes.. Mr KLL· des logiciels l'application spéci· notons que CP/ M et A)'lo!SDOS
professionnelle (PCW 8256 avet DALL Fonde en 1976 la société fique qu'il recherche : c'est Ja ont la possibilité de lire les ficlies
package imprimante, djsquettes, DIGITAL RESEARCH et corn· partie cachée de « l'iceberg » ; de Paulre du fair d'une organi·
lJ.C .• monlteur et 256 Ko de mence la conuncrcl4lisation de CP/ M a tout ou p resque et sation identique.
mémoire) comribue à démontrer çe qu'on va appeler CP/M. Ce AMSTRAD comprend CP/M ... Si la possibilité d'accèder à la
que écttc rnachine. mème si elle (( Control Program for Micro· Depuis sa création, CP/ Ma évo- grande richesse de CP / M est
posseqe de prirne abord un compuLeurs ,, va vite devenir un lué : Versions 1.4, 2.0. 2.2 réelle, 11 faut maigre tout émet-
a~e.c t ludique, peut s'orienter srnn<fara. sous l'impulson de dif· PLUS ou 3.0. malntenantacces· tre quelgues restrictions : CPlM
vérÎlablemenL vers autre chose rérents e1 nombrcLL'"< coastruc.. sibleaW< !6'bit<(CP/ M/ 86), en utilise principalement des dis-
que le dernier Wargame. en fai~ teur.s qui Pincorporent a leurs muUi-utilisaieurs (MP/ M) etc .. . que11es au fo rmat 5,25 pouces
sant appel à une po;sibilité produits à base de microproces- Les ordinateurs de la gamme alors que I' AMSTRA D utilise
interne. là face cachée de l'ice- seurs 8 bits 80&0, 8085' (INTEL;) CPC SQnt pourvus de la version du 3 pouces. Cecc esL le princi·
berg : le Cl>/M. On peut malgré 01 2.80 (ZlLOG). ~Otons au plll- CP/M 2.2pour les 64 Ko (464 pal 1>roblème soulevé par
tout rtgrettcr le choLx du format sage que votre AMSTRAP est et 664). des versions CP/M 2.2 l'implantation de CP/ M sur
disque11e 3 pouces ear toute l~ muni de cc dernier Z.80, c._ etl'LUS -3.0· pour les 6128 et AMSl'RAD. La condiLion sine

42
qua non du transfert de pro-
grammes CP/M de 5,25 à 3 pou-
cespasse par !'achar d'un second
leétcur (esclave) au format
5 114. Ce second drive doit être
adaptê après l'hnetfac~ du pre-
mier e1 ê1recompatib1e. A notre
connaissance, une seule bolni-
que développe et cômmcrcialise
des drives S.25 p.o ur AMS-
TRAD : LOIS!TECH (') ))ro-
pose une version deuxième lec·
re1.1r, a\1ec boîùer d 'aJimentat:Îon
pour environ 1300 F. Ceue
société développe pa' ailleurs
une version l "t ou 2"leç_1eur 5,25
ponces, double <lrive, double
tête et double densité avec pos-
sibilité d'interconnexion avec le
3 pouces. Ccnc deuxième ver-
sion devrait, selon le fabricant,
être disponible vers la mi-
dêcembre. à un prix non encore
délerminé. Cerre condhion é1ant
réalisée, tou1e la bibliothéquc
CP /M {ou presque) vous est
accessible : des milliers de pro-
grammes utilitaires, de gestion
etc... Une deuxième limîtation
d 'accès est la taille mémoire de
la version AMSTRAD choisie.
464 et 664 peuvent faire tourner
les programmes écrits sous
CP/M 2.2 et versions amérieu-
res~ à la coodhion que ces pro·
grammes 11e d~passent pas la
capan:ilë mémoire: propre â ces
deux appareils. En falt, 464 e1
664 disposent de 39 Ko de TPA,
oe qui es1 însutfisant pour de
longs programmes en CP/M 2.2
comme WORSTAR, par
exemple.
Par contre, vou.~ pourrez accé-
der à une mulritude de progrâm-
µ1es plus courts et d'utilitaires
écrits par des utilisateurs (éclai-
rés) eux-mêmes. Le 6128, pour
sa part, eSt pourvu de CP/M
PLUS , version plus évoluée de
C P/M 2.2 et compatible. Les
programmes professionneJs
ëcrhs en 2.2 tourneront prati-
quement tous du fait d'une
n1émoirc plus importante
(61 KO de TPA). Ces applica·
Lions et programme$ seront
décrits plus en profondeur dans
le Numéro Spécia l
AMSTRAD-SOFTS.
CP/M PLUS sur 6128 et PCW
8256 apportent quelques avama-
ges par rapport à GP /M 2.2 qui
se traduisent no1am1nenl par une
,,lus grande rapisJité d 1 acc~s dis-
quettes. J'utilisai-i'on de mots de
passe pour fictùers conlideniiels,
une plüs-gra,ndcsécu.riLê de: pro·
grammes et l'enregistremenr
d'une date dans le catalogue (ce
qui autorise, enue autres choses,
I;! recherche dé ficbiers écrits
entre celle et telle dace).
On voit donc que comme le veu1 le domaine ludique, AMSTRAD serait-ce qu 'une petite parrie de
leur vocation , les AMSTRAD n•a pas besoin de cene richesse la face ca.chëe de 1'« ordinateur
6128 et PCW 8256onrun CP/M CP/M. De plus, CP/M étant iceberg ->~et que vous p-rofiterez
plus adapté à des applications axé sur l'adaprnbilité d'idées el de Ct'!lle possibiLité passan1 géné-
très professionnelles. Avec le de fichiers d'une machine à ralement inaperçue bots du
CP/M PLUS.est fourni le OSX, l'autre, on perd la gestion cqu- monde des ama1eurs écrairês.
S)'Stème d'extension gra phique lcur, son et graphique propres à CP/M n'est pàs qu'un sigle cte
donna.nt à CP / M PLUS une I' AMS'l'RAD (version 2.2 sur- trois lettres et une astèrique en
plus grande adaptabilité entre tout). Cc dernier point n'a que bas ~'uQe page ; c'est un vérita-
machines au niveau graphique. peu d'imporiance pour des uti- ble system• d'C1<ploitation, r.rès
Les programmes peuvent par lisations professionnelles et uti- riche tant en utilfsation qu'en
instructions standards adresser litaires mais peut être<< gênant » appli~ations . li retrouve dans ces
tables traçantes, imprimantes et tn ce qui concerne les Jeux. pages consacrêe;s a11 M1'1RD, aux.
écrans (tout ceci ètant irès u1ile Sï CP/M vous lntér~e pour ces performances matérielles inter..
en applications professioancl- « petits » utilaires et appUca. . nes, une juste place. ·
los) : par interfaçade. logiciel, tions profes~ionnelles (pas crop Un souhait, pour nou,scombler,
vous obtiendrez donc copies de longues}. un 464 ou 664 munis am aLeurs avertis ? Bien sOr.
graphiques. diagra111mes etc ... d'un drive 5 114 vous contente- C~/M ~ aussi un syst~me de
ront amplement .. Si, par.contre, communication. Un port série
CPIM: Un choix vous souhaitez utiliser de§ log:i.· pour entr~es/sonies de donnèes
ciels professionnels dans le cadre par rêléchargemem serait un
Les ordinateurs AMSTRAD, d'une utilisation familiale llT beau cadeau pour les fêtes de
sous réserve d'un second lecteur profc.·.ssionncllc-. nous vous con.· No~I el une bonne idée pour
S,25 pouces sont donc con1pari- seillons CPC 6128 qui accepte la common<:<lI 1986 en pouvam
bles avec l'immense logithèque majorité des programmes pro- accéde.r direcu~1nynl à des ser·
CP/M. CP/M l'•rmet l'accès à fessionnels et ludiques. Si , par veurs CP/tv1 et échanger, via
des nùlliers de logjciels, surtout ailleurs, seuls les miliraires et modem, sans second ledeuc
professionnels - en prenant en logiciels professionnels vous 5,25, des-informations-précieu-
compte que ceux·ci très élaborés, intéressent, le '' package·Pro » ses ... A vos crayons et fers 11
risquent d'occuper une place PCW 8256 dépassera (surtout souder ...
trop importante en mémoire avec ses 256 Ko de mé111oire) F. Nardea11
pour les « petits » 464 et 664 -. toutes vos espérances.
Par contre, si vous être un Nous espé.r('ln~ ttue nous avons a LOISTTEC'FI : SJ. uve11ue Fur-
<' merda )>- de progra1nma1 ion1 réu.c;si â \•nu .. faire.· th!1;:n11"rlr Il\.' t//u•rl>t.•, Q1 llJrl \ lotf" •'"il
de recherche et que vous ne con-
sidérez pas votre Qrdinareur
comine une grosse console de
jeux, C P/M 2.2 (même sur 464
et 664 avec leur mémoire réduite)
vous permcltTa de y·ous éclater
grâce à de précieux ulilitaire~
introu\~ab les ailleurs qu'en
CP / M. De plus, l'adaplabililê
de CP/M ~ur différences machi-
nes vous donnera la possibilité
de rester en conract avec des uù-
lisatcurs possèdant, par exem·
pie, des OSBORNE, IBM ...
Comme nous le voyons dan~
noire num~.ro Special SOFTS,
CP/1'r1 est un langage convivial
autorrs·ant des particuliers à
coo1muniquer au sein d'assoèia·
tions d'uriUsateurs CPIM,
d'échanger. Ces échanges. sonr
d'auranL plus aisés que CP/M
n'e-st pas trës évolué au niveau
des .Protections pratiquement
faexi.slames ~auf sur CP&l
3.0). Beaucoup de logiciels déve-
loppés sous CPIM som tombés
d~ns lt domaine public, ce qui
permet de ~e constitûer une
masse de dis.queue~ udlitajres â
moindre frais (souvent le pfü d u
support).
Un point encore ""lequel il faut
insister : le choix de l"ordina1eur
(464, 664. 6128, 8256). ·cp/M
est s-urout intéressant pour des
-applicat.îons « sêrieuses ». Ccr·
-tes, on -uouve quelques jeux
mais- il faut bien voir que dans
43
Langages ~ !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!~
Les utilitaires
CP/M c'est bien, mais à quoi
ça sert 1 Nombre d'utilisareu.rs
ont dû ~e poser la question.
CP/M offre, rel qu'il est livré
sur l' AMSTRAD quelques uti-
litaires d'un intêcët non négli-
geable.
Nbus niions essayer de vous
décrire les plus importanrs
d'enue eux.
Format : indispensable, il vous
permet de forma1er les disquet-
tes au format CPIM, vous pou-
vez choisir plusieurs options tel·
les que format système ou for-
mat .data. Le format système
lais$ant sur chaque disque.ne le
CP/M, le format aata ne conte·
nanr que des pistes offrent à
J'utilisatcur quelques Ko de
plus _pour le stockage.
Notons que sur les 6128, et
PCW 8256, les opùons de for-
matage et de copie sont inté-
grées à· l'urili1aire DlSCKJT.
Copie et transfert
de fichier
CP/M vous permet grâce aux
utililaires de copie et de [rans-
fcrt d'effectuer bon nombre
d'opérations. Ces utilitaires
pré.sent& individueUement sous
les noms de FILECOPY,
COPYDISC , DISCCOPY
DISCK IT sur les 464 et 664 sont
regroupés sur d isckit .pour les
6128 et PCW, nous reviendrons
sur disckit en fin de ce chapltcc.
Notons également la présence
de PIP dont nous parlerons
plus en détail plus loin.
FILECOPY. COM : il petmet
de copier un· fichier de manière
.sélective. La syncaxe est de la
fo rme FLLECOPY~. •.
La cqp~e s'effectue uniquement
sur les noms donnés par
l'étoile : ex. FIU!COPY pip.
com. copiera l'utilitaire pip.
corn~ si l 'on u1 ilise
FILEC0PY" .corn. tous les
fichiers .corn seront copiês. Cet
utilitaire fonctionne avec un
seul lecteur de disque.
COPYDJSC. COM : copie un
disque du drive A ver~ le dcive
B et peut effectuer un forma-
tage.
DISCOPY. COM : réalise une
copie d'un disque sur un seul
46
de CP/M
lecteur.
L'u tilitaire OISCKIT déve-
loppé spécialement pour le
CP/M de l'Amstrad, cet utili-
taire permet toutes les fonctions
précédemment citées sur un seul
et même utilitaire. Le choix des
opérations s'effe<:tue de façon
très simple grâce à des menus.
La détection du cleuxième leo-
teur et du formatage du disque
s'effectue automatiquement.
PIP. Sang doute l'un de; utili·
taires les plus puissants, P!P
permcl entre autre : la conver-
sion de lettres, la recherche de
chaînes de caractères, la copie
de fichiers, la copie de dis-
queue, la copie entre zones uti·
füateurs (zone USER). la copie
sous diverses forn1es avec deux
lecteurs de disctuettcs, numéro-
tation d'un fichier de texte,
Comme vous le voyez, PIP est
Join d'êu:e inintéressanr , et- sa
compl ~tc maîtrise nécessite la
lecture d'ouvages spécfalisés
dont nous vous donnons les
références en fin d'article.
S'fÂT : vous permet d'observer
la struclure du système, de le
modifier, et d'e~amJner cer-
1ains états Lcls celui d'une dis·
queue. Tapez STAT suivi de
HENTER" et \!OUS observerez
l'ëtat de la dîsquette _contenu
dans le lecteur :
Bx. B'R/ O, SPACE: 120K.
Ceci vous indique que la dis-
quetre contenue dans le drive B
est protégée o l'écrirure (RIO
read only) et qu'eUe dispose de
l20Ko de libres.
Vous pouvez. également obtenir
des informations sur les zones
User, les fichiers, etc.
En vrac
Nous vous ll\'Oos donné précé·
demment des exemples détaillc!s
et une description des princi·
paux utilitaires CP/ M, voici
rapidement quelques-uns des
autres utililat~es qui sont ven-
dus avec les CPC.
CP/M 2.2
AMS : assembleur 8080 vous
permet d'assembler un fichier
de texte.
DEVJCE : permet de connaître
ou de modifier les différents
canaux de liaison avec les péri-
phériques.
DJR : donne le contenu du
directory (cauilogue) de la dis-
quette.
DUMP : donne le contenu de
fJchi~.rs en hexa et ascii.
ERA : supression de fichier.
LOAD : transforme en fichier
COM un fichier hexadécimal.
REN ; change un nom de
fichier.
SA VE ~ transfert de mên1oire
vers un fichier.
SYSOEN :copieCP/Msurdis-
qucne.
USER : chàrgement des urnes
d'utilisateurs (il en existe 16).
CP/M 3.0 ou CP/M+
DA TE.: indique et entre dans le
sysLème une date ainsi qu'une
heure donnée par vous.
DIRSYS : donne à l'écran le
nom des fichiers- système 1
GET : retire d'un fichier des
Le Basic
Locomotive
Le BASIC do l'Am$frCJd con·
iralremant à celui do bien
d'autres- mach/ne5 n•a pas
été développé par MICRO-
SOFT mals par Locomotive
Il existe pJusieurs packs d'ins·
tructions dans le Basic Loco-
motiV'c. La gesdon sonore (ins·
çructions SOUND), la gesLioo
de l'êcran (PRINT, LOCATE,
PEN, PAPBR, WINDOW), la
gestion de~~ mén1oires de masse
cassette ou disquette (LOAD,
SA VE), gestio.n du clavier e1
des entrées sorties (CNPU1',
INKEY).
Comme vous pouvez le-voir ce
BaSic n'esl pas inintéressant
loin de !il. La gesùon de l'écran
est trè-s complète grâce à des
inwuctJons de fenêtrage. de
couleur, et de graphique dans
l'ensemble performantes même
si quelques fois une certaine
données.
RELP : fichier d'aide à l'utili-
sateur, il vous permel d'obtenir
des renseignements sur toutes
les- instructions notammenl sur-
leur syntaxe.
HEXC0M : utilis6 pour les
programme-,$ a$Sembleur.
LIB : utilisé pour ia gestion
d'une banque de sous·
programmes.
MAC : macro assembleur.
PATCH : modifications de
programmes.
SET : diverses applications de
codage-e t d'affectations de nom
à des Cîchicrs.
SID: debugger pour l'assem-
bleur.
SHOW : indication sur le starur
d'une disquette.
Voici superficîellement diVerses
fonctions de certains- utilitaires
CP IM il e11;istc actuellement en
France deux livres spécialement
dédiés à I' Amstrad et qui vous
permettront d'en savoir plus
sur le CP/M : CP/M ·2.2 pqur
l' AMSTRAD édité par Sybex.
Le livre du CP/M 2.2. et
CP/M+ éditêparMicroAppli•
cation.
Nous espéroos que vous pour-
rez dorénavant aller plus loin
avec xorre Amstrad .
Software. Cec1 ne lui enlève
rien do ron /ntérdt m6mc si
quelques fonction$ graphl·
ques toi/os quo CIRCLE sont
oh.sentes.
lenteur peut-être ress~ntie.
notamment lors de la présence
de fenêcres. Il eH également
intéressant de noter la po;sibi-
litê d'afficher teXte et graphi·
que simultanément, ce qui est
loin d'être encore Je cas sur
toute les machines.
Vous pour.rez. également, p~r..
formance rarissime, sur les
_micros familiaus , afficher un
caractère à une coQrdonnée gra-
phique de l'écran el non plus à
une coo(donnée de texte. Fitùs
les jeux en Basie '1ux d~plaee­
menrs saccades. à vou!f les plai ..
sirs du pixel Pttr pixel sans avoir
à subir les affres du langa~e
machine.
Terminons cc chapitre sur
l'affichage en parian! des cou·
leurs. En errer, un des avanta·
ges du CPC, est son @11llld
nombre de couleurs. Choisies
parmi une palcnc de 27, vous
en aurcz 16en modc0,(160par
200), 4 en mode I, (320 par
200), 2 en mode 2 (640 par 200).
La gesrion des couleurs s'cfrce·
tue â l'aide des insrructions
INK, PAPER, PEN. On a, au
début, un ~u tendance â se
uomper entre les Instructions
PEN cr IN K. lu première érnnt
réservée à l'urfichuge. la
sceonde â la sélection parmi la
palene.
Lo gestion du son
Le Basic vous permet de gérer le
synthétiseur de I' Amsrrad au
mieux de ces Po11ibilitès même
si le fait d'avoir uûlisé pour
Seu.le: commande Pins1ruction
SOUND, ne facilite pas tou·
jours les choses (AMSTRAD
MAGAZINE! vous donne une
ins1r11c1lon p lu• simple
d'emploi dénomée MUSIC
dans son m1111éro 3). SOUND a
l'avantage de pouvoir raire
jouer à I' AMSTRAD n'importe
quelle noie de musique, ou de
créer un grand nombre ae brui·
Lages. les 1rois canaux adressa·
bics individucllemeni peuvenr
rccC\'Oir différentes données tel-
les que des enveloppes de
voJumc ou de cons, des fré-
quences de notes sur 8 octaves,
un volume et une durée. Tourc-
fois, la complexité de la corn·
mande, due à sa grande puis-
sanc:<, a dû dêrourer plus d'un
débu1nni et même quelques
programmeurs c:hcvronn~s.
Lo gestion
dos mémoires
do masse
La gesrlon des périphériques de
stockage que som le lecteur de
cassmc ou de disqucue .
s'effectue grâce nu.x in.struc-
rions SAVE, LOAO, CAT.
CAT pemm de lire: le nom des
diffCrents fichiers au1ant sur
casscne que sur disquenc. ce
qui est une première ! L'appa-
ren1e inutili1é de l'instruction
CAT pour le leereur de casscne
disparait rapidemenr. En effet,
l'absence d'instruction
VERIFY sur I' AMSTRAO,
pcrmcitnm ln vériOcntion d'un
nchicr sur casscne <St rempln·
cée par CAT qui vous affichera
un OK â l'écran chaque fois
qu'un 1)rogrn1nmc snuvegardê
sous une fonnc correcte sera
47
trouvé. Terminons par les ins·
trucûons OPENIN, OPE·
NOUT, PRINT 8, INPUT
Le Logo exemple, to qui indique le début
d'une iuite d'instructions), l'édi-
tion (le Logo possède un éditeur
8. CLOSEIN et CLO· ln,enté par Se'!'Illourt Paper pleine page tns puissant), lages·
SEOUT qui 'ous permettent (anciennement au Centre ~ion· tion des périphériques de base
d'écrire directemenr sur les car d.ial informatique) dans les (imprimante, 6cran. mtmoirc de
sct1es ou les disqucucs, insltut· années 70, le Logo es< un lan· masse pour la sauvegarder), la
rions rrès utiles pour la gestion gage à la fois puissant et simple scsdon d'un écran graphique,
de fichiers. d'emploi. Sa grande simplicité bien entendu cl c'est le plus
en a fair l'un des langages ks importanr, la gestion de la
Les Interruptions plus prisés par les débutants er tortue.
Po ur la première fois dans un les enseignants. Le principe de Enrin des instructions qui pet-
BASIC, sont incluses des ins· base qui a faît sa notoriété est le menent de raire face à des cas
truc1ions de gestion d'interrup· suivant : une tortue symbo1is;éc porticullers, tels que crror,
tiens. par une llê<:he il l'écran se pause, et bien d'autres encore.
Celles-ci permeuem soit l'exé· déplace grâce â des ordres sim· Il existe également dans le Logo
cution d'une sous routine aprês pics tels que rotation, etc. un concepl de \1ariables système,
un temps donné, ou bien rêsu· Ces ordres nommés primitives afin d'obtenir plus d'infonna·
tièremenr selon la fréquence permeuem un grand nombre: tians sur le fonctionnement de
choisie par l'udUsatcur. Une d'opérations sur la \'ersion Ams· celui-ci.
restriction cependant, les œnai· trad du Logo. Comme vous pouvez Je \'OÎr le
ncs fonctions BASIC telles que Les primitives permeuent autant Logo, même s'il est en soit un
INPUT. le traitement de chaînes de carac- langage simple et à portée de
tb'es que Je traitement d'opéra· 1ou.s est loin d'ê1re inutile, e• un
L'évo/ut/vlté tions arithmétiques, les opéra- grand nombre d'instructions
du Basic Locomotive tions logiques, le craitcment de permencnt de répondre à quasi-
variables, les procédures (par mcnr tous les cas de figures.
Le Basic locomorlvc est loin
d'être un Basic figé. La aronde
faclli1é de crfatlon des instruc·
tions RSX par les prosrnm·
meurs en assembleur lui pcrnlet
d'être constammen1 ~la rgi.
IModem l
Telle extension utilise ses pro-
pres instructions Basic (pnr
exemple SA Y pour raire purlcr
le sy nrbéti~eur vocal ou
Digite/ec DTL 2000
TRANSMIT pour l'in1crface Dlgitelec propose depuis peu un ainsi que le téléchargement. n
RS232 C). ou tel logiciel rajoute modem spécialement interface existe aussi une version équipée
quelques inscructions (par pour les ordinateurs de la de la cane DTL plus. Celle-ci
exemple FILL qui n'e.dstt pas gamme CPC d 'Amstrad, le DTL offre en supplément la vitesse
sur le 464). Cette extcnsibilit~ 2000. JI est présen1ê dans une 75/ 1200 baud.s full duplex (ser-
esr l'un des principaux a•·anta· carro~rie plastique noire, a' ec \1'UFS vid~1ex) et 300 bauds fuU.
ges du Basic AM ST RA O. un tableau de commande situé duplcx qui permet d'acctdcr au
Le Basic LOCOMOTIVE sur la faœ avant de l'appareil. réseau Transpac. Ces modems
comme vous le voyez est loin Cc modem es~ tivré complet a\'ce pr~entcnr en outre J'avantage
d'être inintéressant, il ~volue ses câbles ei le logîdel spécialisé. d'~tre ngrU par les PTT. Une
facilement comme on a pu le disponible sur suppon disqucne seconde version sera disponible
voir sur la gamme des CPC. ou casseue. sous la référence DTL 2100 qui
Les instructions sont relorive~ Le DTL 2000 permet l'accès aux possèdern ln composition aura·
serveurs vidéotex en 1200/75 ma1ique des nurnfros. Le prix du
ment completcs et ~uvcnt
résoudre une grande q0 anrilé bauds full-duplex et 120011200 DTL 2000 vurie s uivant la ver·
de ptoblèmes posés. bauds pour la communication sion entre 1 490 F et 1 990 f.
N'oublions pas le BASIC du enLrc deux micro""ordinateur.s 1
6128 qui se voit enrichi de fonc·
Lions suplémenraires, notam-
ment le FILL du 664, cr un
BANKMANAGER, pour gérer
les nouvelles banques de RAM,
constiruant les 64ko suplémen·
taires. Ces instruccions non
résidentes (il faut les characr
d'une disquette), rnjoutêci. au
Basic. permettant le 1ran.sfcrt
d'écran ou de fichier de don-
nées avec un bon conforl d'uti·
lisation.
Vous avez eu en ces quelques
lignes, un bref aperçu du Bnsic
de l'AMSTRAD, mnintenant à
•·os claviers 1
Eric Charton
Les crayons optiques
....._, -.
CRAVCJM OPTIQUE
,,~,~
AMSTRAD
Le LP-1 es1 plus qu'un crayon
optique : c 1e.s f un ensemble,
crayon optique è1Jogicicl graphi-
que vous perme11an1 d'exploiter
au mieux!es possibilhés graphi-
ques de vos CPC.
Le crayon lui-mème se branche
dans la prise du joystic'k du
micro. Le logiciel se charge
comme beaucoup d'autres, en
appuyam sur CTRL puis
ENTER Cl ensuite sur PLAY de
voire magoêto. (li est toutefois
à noter que ce logiciel ne mar·
chera pas, si votre micro est
m'Uni d'une interface ~éric ou
d'un syn1hé1iseur de pa(oles.)
le ntenu d'ouverture du logiciel
vous offre quatre options et
parmi elles le mode O (é(iran
créateur en 16 couleurs) el le
mode 1 (qui perme1 seulement
Comme eelui d' Amstrad, ce
cr~yon optique consïsie en fait
en un crayon, un logicjel graphi-
que et èn plus une interface pour
les deux Amstrad CPC 464 et
664 - normalement, il marche
aussi avec le 6128. L'interfacese
branche dans le port d'expan-
sion de votre micro. Le crayon
peut être utiJisé seul, avec votre
l'utilisation de quatre couleurs).
Ces deux modes vous donnent la
possibilité de tracer des formes
géométriques ou de dessiner
librement, puis de remplir de tra-
mes de voire" choix les zones
sélectionnées, le tout choisi en
point;m1 le crayon sur l'op1ion
voulue, ou dans le périmètre
auparavant dêrerminé.
Vous pourrez encore choisir des
options TEXTE - qui permet-
tent de travailler dans un texte,
pour llinserlion d'autres mots
par c.xempJe -, loupe ou zoom.
grossissam une partie délïnie de
l'éQ'an, Comme pour tous les
autre& cray'ons optiques, i l esr
nécessaire de le manièr avec plé-
cis.ion, sous peine de voir réali ~
ser des options qu'on ne voulail
pas.
Basic ou votre langage machine,
ou bien avec le logiciel graphi-
que. Les dessins créés peuvent
être sauvegardés sur cassettes ou
disquenes. Le menu est dérou-
fant et entièrement iJlustré d'icô-
nes ce qul doit permc1tre aux
plus jeunes enfants de dessiner
sans pro~lème.
En théorie, c'est le meilleur
crayon optique/logiciel graphi·
que puisqu'il devrait donner la
possibililé de tnvailler au pixel
près, ce qui garantirait uoe
grande finesse de dessin. La réa-
lité es1 un peu différeme : il n'es1
pas aussi précis que Pannonce sa
publicité, mais reste quand
même le haut de. gamme de sa
catégorie.
li offre un choix de cilx couleurs
el de quatre tailles de trait. Prix
indicatif : 220 F.
C'es1 le Lroi.sième de la série,
compatible avec CPC 464 cas-
sette, disquette - Hinc1ul alors.
une interface - et 994 et 6128
disqueue.
li présenie encore plus de fonc-
tions que les deux auires, grâce
"à un logiciel trés complet. Qui
s'appelle d'ailleurs programme
de hau1e résolution graphique).
Voici un apercu de ses possibili·
1és : formes'gêométriques com-
1 Souris !
Depuis le> remps qu'on l'atten-
dait celle-là 1 Tous ceux qui OJll
vu un jour le Macintosh à
l'ouvrage, et qui n'avaient.mal·
heureusement pas un porte-
feuillc en fonction, espéraienL
voir naître I~ souris compatible
avec leur CPC.
La voici ~ Pimaginaüon aux
bouts de vos doig1s » comme
l'annonce sa promotion.
Ceue souris est aussi un <~ pac..
kage » - comme les crayons
optiques - mais nettement plus
performant. L)ensemble est
consti1ué de : la souris propre-
ment dÏl.e.~ une interface, .A.MX
Contrôle e1 AMX Art. Le 1out
est compaùble avec les trois
CPC, les logiciels sonl disponi-
bles sur casseucs ou disquettes.
Le maniement d 1unf!' souris vous
le connaissez. probablcinent :
vous la promenez sur une sur-
face propre e1 plane, son dépla·
cernent correspond à un dépla-
cement sur l'~cran. ~Lorsque
vous arrivez dans une zone que
vous d6iirez sélectionner (ou sur
une option précise), vous « eli-
quei >> c 'est-à ~dire que vous
pJexes, comme des polygones ou
des pyramides, extensibles ;
zoom ; cercles ; ellipses ; 9 tail-
les de pinceaux ; 18 trames :
paleue de 1S couleurs ; miroirs
du pinceau - qul permeL de
crèer des symétries parfai1es -
etc.
Ce Studio Pen est le plus récem
eLes< importé par ESAT Sof1-
ware.
appuyez sur le ou les boutons
Situés sur le"des~us de la souris.
Ce que vous avez choisi s'active
alors. C'est diffiéile à e.,pliguer
mais rècllemeot en famin d'uti-
lisation.
AMX An esi un logiciel graplù-
que. avéc des Tenêtres, des
menus déroulan1s e1 des icônes
à cliquer - comme sur un
Macintosh 1 Il s'agit là d'un irès
bon programme de dessin qui
vous perme1 facilemeni O'eflec-
tuer des choses difficiles, belles
et étonnantes- avec une aisance
d'utilisation. AMX Contrôlé est
réservé aux programmeurs. Il
consiste en_ deu~ sous-
programmes : un "Basic"é1cndu
qui vous permet d'introduire
_l'utlisation de menus déroulants
et d'icônes dans vos program-
mes.
Un créateur d'icônes qui vous
permet d'imaginer Loutes les
pelites figures correspondant à
une optio.n spécifique, que vous
ayez. en fête Cl soubaitez utiliser.
C'est passionnant.. Vous devriez.
aller \'Oir ccue souris 1

La libre opinion
d 'Amstrad France
Le billet d ' Amstradamus
(Dans lequel des éléments incontrôlés d'Amsoft et d'Amstrad expri-
ment un po/111 de vue absolument partial, quoique non dénué d'intérêt).
Qucsrion de slandard(s) . STAN-
DARD : adj. inv. (mot angl.). Con-
forme à une norme de fabrication, à un
modèle, à un type : un pneu srandard .
(Larousse, édi1ion 1985).
STANDARD : (often attrib.) some-
ùùng used a> a lest or measure for
weights, lengths, qualiries, or for 1he
requircd degrœ of excellence : the stan-
dard yard : promincn1 leader in a cause.
(O.~ford dic1ionnary of current English).
Alors qu'Amstrad France viem de four-
nir son 160 ()()()< micro-ordinateur (au
31 octobre 1985), c1 qu'Amstrad est
sans nul doute le micro actuellement le
plus vendu en Europe (oserni-je dire le
micro·slandard), il nous a semblé inté-
ressant pour cc Gu ide de l'acheteur
Amstrad de prendre comme poinl de
départ ce mot de ~tandard avec lequel
nos concurrc1m et la presse aiment à
nous chmouiller, cl en proliter pour
mettre certaines pendules à l'heure .
Parlons par e~emplc du prétendu stan-
dard MSX. qui est un des standards en
micro-informalique, que d'aucun ont
vouli voir comme LE s1andard de la
micro-informa1ique familiale, en
oubüaru que pour établir un standard
de facto il faut d'abord vendre plus de
machines que les au1rcs réunis ; et si
Ams1rad a établi son standard c'est
parce que la norme Amstrad c'est de
fournir du 1ou1 compris, it tous les
niveaux : hardware, firmware, inrerfa-
ces. moniteur (sans monileur. un micio
n'est souvent qu'un jouet qu'on range
sous son lit apr~ usage), mémoire de
masse intégrée (lecteur de K7 ou
disquette).
Si l'on ajoute à cela un rappon qualité-
prix imbauable cl une liabililé égale à
celle des micro-ordinaieurs profession-
nels, on comprend mieux pourquoi les
ordina1eurs Amst rad sont devenus les
machines standard en France et le
resteront.
Le standard 3 pouces
Indépendammen1 des brui1s les plus fao-
1aisistes ou franchemenl désopilants,
c'est une question qui nous est souvenJ
posée el qui mérite quelques
éclaircissements.
En matière de disquettes il existe 3 for-
mats courants, S 114, 3 112 et 3 pouces.
Mais le fait que deux machines aient le
même format de disqueHe ne signifie
aucunement qu'elles sont in1erchangea-
bles : une disquette de programme de
Macintosh ne pourra jamais 1oumer sur
un T0-9 bien qu'ils aien11ous les deux
des lecteurs 3 112. Une disquene
d'IBM PC ne fonctionne pas que un
Applc lie bien qu'ils utilisent le même
formai S 114 !
Il ne peut donc y avoir de disquette stan-
dard, car il y a seulement des formats
de disquette s1andard. Et le format 3
pouces a été le rorma1 le plus vendu de
la micro-informatique grand public au
cours des 9 premiers mois de l'année
(chiffres communiqués par le départe-
ment statistique du M ITI. le ministère
de l'industri~ du Japon).
Si on veut parler de standard, alors le
standard 3 pouces est plus standard que
les auues. C.Q.F.D.
Et malgré la rel:nive ~nuritt rle rli~q11e1 -
Les vierges, {il faut bien dupliquer plein
de programmes pour vos ordinateurs
favoris!!!), je suis prêt à parier qu' Ams-
trad France vendra plus de disquettes 3
pouces d'ici lin SS et en 86 que
n'importe quel autre constructeur et
peut-être même plus que 1ous les autres
consuuc1eurs réunis.
Alors, qui veu1 me parler encore de
standards, amrcs que ceux qu' Amstrad
est en irain établir ? A propos de stan-
dard, n'oubliez pus d'acheter la compi-
lation VS-OOLD/AMSOFT qui com-
prend 4 jeux : Beach-Head, Décathlon,
Jet Set Willy et Sabre Wulf, qua1rejeux
qui soot maintenant des standard, pour
un cadeau standard à un prix pas du
tout standard.
l...a souris Amstrad arrive fin novembre
et elle est vraimen1 super, tellement fan-
tastique que 1ou1 le monde se bat à
Amsofi pour avoir le droir de l'essayer.
Joyeuses fêtes
A bientôt
50fT
Edl'c~rr : />o'h'tr Soit
Dis1n·buteur : Pow·er Sqfl
Suppon : C4"trltc. uu disq1rr.uc
Gentt : uu'lltaire
lntlilt: li*-* **
Dif/iC'lllli :* * * **
Appréciation : •
P~ ir.4iculi/: 690 F.
s·u devai1 êtrcdéo::mé le.prix du plus
ùcl çant.iu.lhtgç puu1 u11 10,iclcl, 1:"t:$t.
sans aucun doute If.BASIC qul
l'emponern.it haut la main. Le togi-
cJe.J se présente.sou.li la forme d'une
tr~ grosse.boîte contenan1 un clas"
seur d'une centaine de pages et deu,,
casseues (ou une disqucuc pour ta
ver.Sion disque}. C ' ~1 $Uperbe.
Le H.BASICcs1 un l>ask étendu qui
compone46 nouvelles roncdons 1cl-
les que CIRCLE, ELLIPSE,
ZOOM, ARC. JlOX, ECT, pour I•
partïc graphique. Notons qu'lJ cxist~
également des possibîlités de dessin
e~1 trois dimcn&io1;i.s.
Possîbili1.ês également no.n négigea-
ble du H.BASIC, le dcfikment
d'écran, grâce aux instructions
UMOVE, OMOVE, LMOVE,
RMOVE, ces d~Alemen t.s bien qu'un
peu lenfs sont tout..à...fait corrects.
Il t.xis1e êgalement une partie dite
langage machine qui permet des
DUMPS ll)imoire (en ASCn), l'ins-
truction DEEK (double pèek) extrê~
tnernent utiJe pour observer des
valeurs sur 16 bits sux:kée.s-,ur deU*
octets-, sans avoir à taper sans arrê.1-,
sous basic, des fonnules mathêma·
tiques. Le dcek est logiquement com-
plété par doke qui permet l'opération
fn\1etsc:: (i1nplaJuatian d'uae valeur
sur J6 bits en mémoires).
La foqcLion EXEC perme1 d'appe·
1er uoe roulinc en lanaagc nult.hine
ea a}'ant chargé: ~u 'Préalable, sous
basiç, les différcn\S registr~. Vous
pouvez ainsi, par exemple, appeler
dir~temcntdcs vccreurs RA.f\1 sous
basic (à ce sujet, uoc erreur 1'esLglis-
sée clans Je: manuel, le a commercinl
a été rcmpJaoé par un a àccentué).
System X ( ~tlhl188)
Editr1Jr: Prld# urttltlt;s
DUtrlb1de1;r: E.S.A. T.
SuppOri ; CQJS~ll~ ()U d/JIJütJt~
Genœ: ufilitafn
Grophismt : .. 1otAMST!tAO CPC 46'!664
'"'bit' ....
Di//icu/tt ; • SYSlEMX
Apprlcia1ton : • • • •
Prix Indicatif: 190 F (c) ~1 240 F (J)
Pl'ides utiJi1ies. un ëdiLcur anglais,
nous propose d'étendre les cap~ci1ê$
co programmation, a1;ec une exten-
sion log.iciel1e1 offrant uente nouveJ..
les commandes. Le charganc:nt (\•cr·
sion CiUSCltc) .se fait en quelques
secondes. System X vous donne-alors
accès aux nouvelles instruc1îon!i, en
les foisant pr«i<kt d~ 1(barre), cle. PROTEC prot~c un pro-
Par exemple CAPOFF \'OUS pennet gramme Ba.sic.
de mettre bots .$ctVice l'udlisaùon System X vous d onnera également la
des majuscules dans U11 programme. possibiJÎté de sauvt'.garder vos pro.
DPEEX: est OPOKE autorisent l'é· grammÇ:S 3 une vitesse comprise entre
cci1ure ou )n lecture sur ùo doubl~ 1Q00cL4000 bauds. De plus, si vous
QCtct. DSCREEN pour déplacer l'b- êtes annpl~1err1e1u perdu, vous pour·
cran d'une ligne vets le · bas. rez.à tout moment consuher. grâce
USCRllllN son iovcrsc, GBTKl!V à HELPJ l'Cn5crnbJe des commandcs-
prend un caractérc au clavièr. QJ!T. di•l'Onibles. ·
CHAR Fait de m!me, mnls à l'écron. Tr8 simple d'utilisaùon, System X
L 'inJttuction play a êg:aJement êtê peutnp_poner nux prog:i'ammeurs de.
rajo1.u!e. Elle permet d'éviter la oom· LSCREEN et RSCREBN ·dêplace
pîexité de l'instruction SOUND erde l'écran sur la gauche ou la droite-. rêclles (acîlités dans la conc~tioo
raire Jouer une noie en indiquanL SA:ITT déplace un bloc de la d'applic.atiaps, cp êtcnaant le BASlC
dirccte:Metu son nom (d pour do. r mémoire. C IRC LE de,~nl' un "'cr- dt" C PC
peur re. clc.).
Toutes ces insuuçqons sonl rcla1ivc-
ment. simples t\ uLiliser et t'~cri\lent
dans un programme prêc~dé~$ de.la
barre comme toute- Jcs lnsnucdops
rajoutées de cype"RSX.JJ estâ aota
que les concepteurs de la ROM de
1' Amsu-ad onl vraiment eu là une
ldée judicieuse, la faciHté d'emploi 81'1E55l/IFIE
de ces instructions pour l'ua1isatcur
é101ot excellente.
l.,c manuel du A-BASIC est bien
conçu même si la qualité d'imprtS-
lflFOFl/17Rl7DLIE
slon n'est pas parfaite (mnis pcuL-àr c
avons.nous eu une Rrêvetslon). La
première pa.rtie explique de façon LA VENTE PAR CORRESPONDANCE
claire et précise chacunc:s des instruc-
tions. la seconde rêci.pitulant toutes
cclles<l une par une un peu à ln
manièr:e du manue,I de l!ADlS'lrad. MATERIELS:
Vous trouverez. également en fin de AMSTRAD - COMMODORE
mnnuel un programme de démons·
tr-ation à taper et une table des THOMSON
ma1j!res.
Les cassettes, comme oous J'avons
dit, sont au nqmbre de deu.'C et con·
ricnnent po\lr l'une 1a d~10 el l"autre
le J·l.BASIC. Des centaines de
Notons Q.uc la ~le çle dEmo n'est
pas protégée ce qui permet à l'utili- logiciels
sateur de regarder celle-ci, ~vrntu e.1 -
lcmenl pour mieux comprendre cer-
taines îonctions.
Toujours à prOP<>S deJa démonstra· et de nombreux livres
tion, celle-cl est un peu coune, ei {PSI, M ICRO-APPLI CATION ... )
_gagnerait à éLre plus complète.
En résume:. le basic étendu de
POWER SOFT est de bonne qualité, Demandez nous le catalogue
e1 les tnsrruttîons ~o n1 en général correspondanr à votre ordinateur /
d'une assez yand~ utilité. Tou1efois
te prL"< un peu ~lévé l'is:gue d'en rarre
recuJer plus d'un, même.s'il est vrai
que fil prise.tuatlon de celui<>Ci ctt de 1. rue Barbotin - 79300 BRESSUIRE
irè; grand• q1JAlit6. 1 Tél. 49 65 26 36
Eric Charron
59
'lllUCS IT BlllGULlllS

CALL AMSTRAD
djnz loop
FICHE N ° 4 ret
Effacemeni de !écran :
l OMPLEMENT OU VECïf 1 I< \ t OLJT'PUT charger le registre A avec la va.leur 12, Pi\SS•ge à la ligrte $1Jivan1e
·\DRESSE ; &BBSA (retour chariot ou cariage retum) : charger le registre A avcè la vâleur
EFFRT: afficher un -...t1 .t .. h:U; a ~·ei:rau 13.
Nous avions vu d.ans une prêcèdenre fiche que le vecteur de la rou- Notons ~uc pour ce code comme pour le 7 (bel) 011 a affaire à des
tine TXT OUTPUT p0uvait permettre l'afficbageà l'écran, nous valeurs normalisées (norme ASCO).
l\llons voir datls cc complément qu'il peut effectuer beaucoup plus Nous vous avons décrit la méthode p0ur employer ceue routine avec
d'opération$, voir même. quasiment toutes les opérations ayant pour
quelques diCfêrents codes, voici maintenan~ tou~ les autres, ac.corn~
but la gestion de l'écran.
pa_gnés du nombre de paramètres -à utiliser :
On peut en fait grâce à ce vecteur réaliser sous assembleur toute - établissement de l'encre du papier (PAPER): code 14 suivi par
les opérations suivantes : un code de couleur de 0 à 15.
afficher un symbole graphique, supprimer le curseur de tex1e 1 met· - établissement de l'encre do stylo : code 15 suivi par un code de
ère le curseur de texte, établir un mode d'écran, faire jouer le bip
oouleur de 0 à 15.
sonore, déplacer le curseur, effacer l'écran et ran1eoer le curseur - efface le caractére (delete) : code 16.
à sa position initiale, faire un retour chariot, ètablir uac encre de - mode transpan:ot : code 22 ~uivi par 0 ou 1 (0 ·~ppr1meet 1 réta-
papier (paper), établir une encre de stylo (pen), faire un DBLETB, blit) mode d'écran (xor. or, oct) : code 23 Suivi par 0 = normal.
réaliser divers. effacements, établir le n1ode transparent. éL-ablir les 1 = xor
modes (xor, or, and.1 etc), faire une in\•ers.ioa vidéo, définir un carac-
tère graphigue, établir une fenêtre, établir une encre (INK), anri- =
2 and
buer des couleurs il la !)ordure, déplac.. le curceur (LOCATE).
3 =or
- ccbaoge des couleurs paper et pen : code 24
Comme vous le voyez l'utlHt~ de cette routine n'est plu.s à démon-
- définîtion de caractère graphique (symbol) code 25 suivi par 8
trer, malgré sa relatlve lenteur. BUe permet à ur1 Ulilisaceur de réali- paramètres binaires de o· ~ 2.55
ser, de manière très compacte en r;,iison de sa puissanc~.:t et relative- - établissement d'unefenêtre code 26 suivÎ par les quatres para-
n1en1 racileme1u.grâce à sa méthode de fonctionnement., tou1es sor-
mètres de la con1mande basic
tes à'applicutlons. - attribution des 2 couleurs d'une encre {commande ink) code 2ll
La méthode de base à reteJÙr pour l'employer est la suivante : cha- suivi par 3 codes :
que fonction s'effectue en signalant à la routine son code de co11-
1 = numéro d'encre de 0 à J S
trôle el chaqu~ codf!' de contrôle ~t suivi d'un certain non1bre de 2 ~couleur 1
r.~r~m~.rr.t:~. Tnnr t.11rnr.1i\..rt". nu <::ndP rlnil êtT~ stnr.lc~ dan< le rcgir;;- 3 = couleur 2
tre A, e1 un appel au vecteur &BBSA doit être c(fectuè entre cha- - ?ltribution des 2 couleurs du bord code 29 suivi de 2 codes de
que cbargcmcat du registre. Cette méthode qui peut paraître fasti- couleurs
dieuse est e.n-ré.n.Jitéd'une facilitê d'emploi déconte.rtante, Cl nous
- déplacement du curseur (locrue) code 31 suivi de2 coordonnées.
le démontrerons plus loin par des exemples concrets. N1 oubliez pas que cous ces codes s'utilisent uniquement avec Je vec.
Voyoas maintenant chacunes de~ fonctions. teur &bbSa.
Affichage dun S)lmbole :
code 1 suivi par un caractère de 0 à 255.
ex: Id a, 1
call &bbSa
ld a, 19J FICHE N ° 5
call &bbSa
re1 NOM : KM W AIT KEY
Ceci afficliera le caractère omega. ADRESSE : BBl 8
Changement de mode ècran ' EFFET: ATTENDRE ENFONCEMENT D'UNE TOUCHE
Code 4 suivi par O, I ou 2
Charger le rtgistr< A avec 4 puis aveè O,J , ou 2 La routine KM WA LI KaY sicuée dans Je pack de ges[ion du cla-
ex : Jd a, 4 vier (KM de Keyboard Manager) permet d'·at1endre la frappe d'une
call &bbSSa touche eL charge son contenu dans le regîscre A. La méthode
Id a, 0 d'exploiration de cette routine est simple, il surfit d'appeler la rou-
call &bbSa rine qui bouclera- sur elJe-c'l\êmc jusqu'à eofoncement d•une toucbe
ret m du clavier. Le code correspondant au caractère ASCll de la touclw
Cela a uça p,our effet de faire passer l'écran en mode O. en foncée sera alors chargé dans A. Celle utilisation âu registre A
Emettre un bip sonorl> : permec l'uûlisatlon de toute les routines d'affichage {teUe que bbSa
Code 7 (b.el) précédement cité) de manière directe puisque ceUes-ci stockent éga-
ld a, 7 lement le code du caractère à afficher dans le registre A.
cal! &bb5a L'utili.sntion de la routine peut êt.re réalisée de diverses manières par
ret exemple comme la foncâon Basic suivante :
Vous entendrez un bip sonoreidenùque.à celui produit par l'ordi- iO if inkeyS=" " tben goto 10,
nateur lors d'une erreur. qui en assembleur se simulera tout simplement en réalisant un·appel
Déplacement du curseur : de la forme:
8 pour la gauche, 9 pPur la droite, 10 pourle bas, 11 pour le haut. caU bb18
U suffiLde charger A avec la va.leur souhaitée et le curseur courant ou bien pour la for.mule basic :
se déplacera lors de l'appel de Ja rou~ine. JO a$ a inkey$:ifa$="" then 10
ex : dépltlccmcnl de 8 caractère vers la droite 20 prinl as
Id. b, 7 on obâendm:
loop: Id a , 9 caU bb 18 - atteme de la fraP,pC d'une touche _• ,
cal! &bbTa call bb5a - affichage du caractère de la couche enfoné&"

60
 Id b, 215
FICHE N° 6 loop:
caJJ BB18 - routine de tesl clavier
NO~ ! • KM READ Kl'Y ca!I BBSA ~ routine d'affichage
ADRESSE: 881B djnz loop - bouclage 2SS fois
EFFET : L1rt' k .. OO"' ~·une touche frappce sïl nt rel
La routine KM READ KEY, est contenue daru I< même pack que Cc petit programme testera 255 rois de &uice le clavier et affichera
KM WA lT KEY. et fonctionne scion les mêmes principes. le dernier caractère entré jusqu'à cc qu'une nouvelle touche soit
La routine lorsqu'elle est appelée vérifie qu'une touche a bien été enfoncêe. -
enfoncée CL si ici est le cas elle stocke le code ASCI l corrcspond:uu Les débutants p0urrom ainsi effectuer facilement, et rapidement
dans le registre A. li est intéressant de noter la remarquable muc- un test clavier sans passer par lès rn~andres du système.
i urc de:::. \Jl(J'éfC::IH:. pu1:k:. ÛU sysltmc tl' t-x.ploili.UÎOll US~UIUlll Ulll,;
grande rucilité d'emploi de ceux..ci, notamment en ce qui concerne.
le pack du Keybonrd Manager et celui du screen, nommé TXT.
U est ainsi possible comme nous l'avons vu précédemeni de passer FICHE N° 7
d'une routine à l'autre sans avoir à recharger les différents registres.
Le fonctionnement do KM READ KEY peut être réalisé on basic NOM • IOI DISAll\I BRF.\11.
sous la forme : .\DRE'Sf · B~
10 aS; inkeyS ~ Hll DESAR.\ŒR L.\ 111UC.HI: llREAll.
En basic la ligne n'auond pas de camctëre du clavier, le progrnmme Toujours au sein du Keyboard Manager. nous 1rouvons cette inl~­
passe automaûqucmont à la ligne sulvaotc quelque soit l'état du ressanre rourine qui penne1 de dbacther ~ns aucun problème et
clavier. de maoière définitive la touche BREAK . Cette roucinc s'utilise uni-
a est de même en assembleur. Lors d'une instruction du type : quement el simplement lors de la rencontre d'une ligne du type :
call BBlB call bb48
Le registre A ne sera chargé que si une touche a été enfon~c. ou Cette fonction. peut également être appelé du basic en tapaoc :
sinon contiendra le code de la dernière touche frappée. Nous pou- call &bb48.
vons le d~montrer racil~ment avec une routine du type ! Elle donne au CPC 464 l'cquivalcnt du mot basic "BREAK OFF''.
 INITIATION A
L'ASSEMBLEUR
Troisième partie

Au cours des numêros précédents, nous avons étudié les prin-

Cipales instructions de l'as.sembleur, l'interfaçage avec le langage
BASIC et le fonctionnement succint de l 'éditeur-assembleur DEV-
PAC. Dans cette troisième et provisoirement dernière partie,
nous allons approfondir la connaissance de l'éditeur-assembleur
et apprendre à étoffer Je langage BASIC. Autrement dit, nous
allons ajouter de nouvelles instructions dont la puissance ne sera
limitée que par votre imagination et votre savoir-faire.
Prêt ?.•• Alors suivez-nous dans le monde fabuleux de l'assem-
bleur et des RSX.

Fonctionnement détaillé
de l'éditeur-assembleur
DEVPAC
Comme nous l'avons signal.! dans le
numéro pr.é<:édent, les programmes de
cette sê[ie d'articles on été réalisés à
l'aide de1'assembleur Hisoft DEVPAC
prop0,sé par Amstrad sous la dénomi-
nation SOFT 116. Les explications qui
suivent sont p~opres à cet assembleur,
mais peuvent en général s'appliquer à
tous les.assembleurs du commerce avec
quelques variantes mineures.
Caractéristiques du DEVPAC
Le DBVPAC est composé de deux
modtùes. Le premier est un éditeur
assembleur qui porte le nom de
GENA3. Le second est un moniteur de
mise au point appelé MONA3.
Le module GENA3 est un édlteur-
assembleur deux passes très rapide. La
première passe analyse le format des ins-
rructions, détecte les erreurs de syntaxe
éventuelles e1 génère la table des symbo-
les e1 des étiquettes (LABELS). La
seconde calcule les déplacements
d'adresses en fonttion de la table géné-
rée durant la première passe et produit
les codes de toutes les instructions.
Le modtùe GENA3 peut exécuter des
assemblages conditionnels. L'assem-
blage conditionnel correspond à une
suile d'in.structioos qui soot prises e.n
compte ou non en fonction de la table
de vérité d' une insU:uction CF.
Amremem dit, si la fonction qui suit le
lF est vraie, l'assemblage des instruc-
tions qui suivent a Lieu, sinon les instruc-
tions sont purement et simplement igno-
rées par l'assembleur.
Format d'une instruction
assembleur
Chaque instruction doit avoir le format
suivant ;
ETIQUIITlli }iNEi\JO.~IQUii OP!ilµNDES REMARQUES
lim:;I• :
oesur: to HL,..lll4 ; <ha"' HL
ETrQUETTE représente un champ éti-
quette symbolique optionnel qui doit
être uti!isé si l'adresse de celte instruc-
tion est appelée à un autre endroit du
programme (par une instruction JP, JR,
GALL ... ) ou si elle identifie une cons-
rante symbolique propre au programme
(voir pseudo-mnémoniques EQU ou
O.EF). Le mot utilisée comme étiquette

64
doit être composé de 1 à 16 caractères
dom le premier est une lettre (A-Z, a-z)
cL doiL se terminer par le signe ':'.
Remarque : l'érlqueue milisée doit êrre
unique. Vous ne pouvez pas utiliser la
même étlquctle à deux endroits du
programme.
MNEMONLQUE représente le champ
mnémonique, autremeDL dit, l'instruc-
tion Z80 telle que décdtedans le premier
anicle. Exemple : LD, XOR, LDlR,
CALL, JI' ...
OPERANDES représeme le champ opé-
rante. Le champ opérande peui êrre
constitué de zéro, une ou deux opéran-
des suivam le type de mnémonique
utilisée.
Exemple : la mnémonique NOP
n'admer pas d'opérande.
: Ja mnémonique lNC
admet une opérande (INC
HL)
: la mnémonique LD admet
deux opérantes (LO A, I).
REMARQUES représente un champ
opEionnel inmilisé par l'assembleur mais
qui vous permeL d'installer des commen-
taires destinés à une compréhension plus
aisée du programme. Cette notion est~
rapprocher de l'instruction BASIC
REM. Le champ commentaire com-
mence coujours par un signe ':' . Ce
champ pe,ut commencer à n'importe
quel endroit de la ligned'insrruction, il
peut même constituer la ligne à lui seul.
Format des opérandes
Les opérandes peuvent être constituées
d' une expressien numérique qui sera
directement évaluée par GENA3 pen-
dant la phase d'assemblage.
L'expression est de la forme : TERME
OPERAT.EUR TERME ...
TERME peut être :
Une constame décimale : 1234
Une constante heliadécimale précédée
du signe 'fi : #'2345
Une constante binaire précédée du signe
O/'o: 17/olJJOOIOl . incrémenté de 1.
Une Gonstame caractère entre guille-
mets ; 11 a"
Une étiquetre : DEBUT (remarque : le
symbole':' final n'est plus nécessaire).
Le caractère spécial S qui représente la
valeur courante du PC (Program
Counter).
OPERATEUR peut être :
+ ad di tl on
soustraction
• multiplication entière
I division_ entière
& fonction et logique
15' fonction ou logique
fonction ou exclusif logique
1 fonction.modulo (reste de la divi-
sion par).
Vous devez bien sfu respecter le format
d'opérande attendu par la mnémonique.
Certaines mnémoniques attendent des
opê'randes de 8 bits et d'aurres, des opé-
randes de 16 bits.
Les directives
de l'assembleur ou
pseudo·mnémoniques
Comme tous les assembleurs dignes de
ce . nom, GSNA3 possède une série
d'instructions qui lui sonL propres . Ces
insrructions portent le nom de directi-
ves ou de pseudo-mnémoniques. Les
dire.clives fonclionnen\ exactement
comme les mnémoniques nonnales, elles
peuveuc être précédées d'une étiquette
CL suivies d' une ou plusieurs opérandes.
ORG Synta~e :
ORO expression
Cette direcLivc positionne l'adresse
d'installation du programme (valeur du
PC) à l'adresse déterminée. par expres-
sion (valeur 16 birs).
Exemple : ORG # 9000 signifie que fa
suite du programme $'insLallera en
mémoire à l'adresse béxadécimale 9000.
EQU Syntaxe : étiquette EQU
es pression
Cette directive doit toujours être pré~é­
dée d'uneétiguette. Elle permet de rem-
placer la valeur 'expression' par l'éti-
quette spécifiée dans le reste du
programme:
Exemple: TOTO: EQU # 1245
LD HL,TOTO
Equivaut à LD HL,# 1245
DEFB Syntaxe : DEFB expression,
expression, ...
Cette directive évalue les 'eXpJession' de
8 bits consécutives et instaJJe les valeurs
évaluées à l'adresse mémoire courante
du PC. Cetre directive permet d 'instal-
ler des constantes d'un octet en
mémoire.
A l'issue dechaqueexpression, le PC est
exemple : ORO 4J AOOO
CR: EQU 13
DEFB "N',66,
34 + 33,CR équivaut à charger en
mémoire apanir de.l'adresse AOOOH les
lettres A, B et C suivies d'un retour cha-
riot (13 décimal).
DEFW Syntaxe : D.EFW expres-
sion, expression ...
Cette directive est identique â DEFB
mais porte sur des mots d.e 16 bits à la
place ac mo~ de 8 bits.
A l'issue de chaque expression, le PC est
incrémenté de 2.
DBFS S~ma.xe : DEFS expression. ·
Cette directive augmente la valeUJ' du
PC de la valeur de l'expression. LeS
octets situés entre la valeur du PC avant
l'instruction et la valeur du 'PC après
l'instruction SOJlL remplis par des 00.
llxemple : ORG il 9000
DEFS #30
A l'issue de l'instruction DEFS, le PC
se trouve à l'adresse 9030H et l'espace
mémoire situé emre 9000H et 9030H est
rempli de OO.
DEFM Syntaxe : DEF'M "chaîne
de caractère''.
Cette directive définit le contenu de n
octets de mémoire comme étant égaux
a:Ux codes ASCII de la chaîne de carac.
tères représentée. n vaut la longueur de
la chaîne (1 à 255).
.Exemple : DEFM "BONJOUR A
TOUS"
l nstalle les codes ASCll des lettres du.
message dans la mémoire à l'adresse
cou.rame du PC.
BNl' Syntaxe : ENT expression
Cette directive positionne le point
.d'entrée d.11 programme à l'adresse spé-
cifiée par 'expression'.
IF Syntaxe : 1F expression
C~tte directive permet l'assembJage C<lil·
clitionnel des instructions qw suivent
jusqu'à la rencontre de la direcLIVe
ELSE ou .END.
,BLSE Syntaxe : ELSE
Certe directive inverse la condition
d'assemblage déterminée par la directive
IF et ce jusqu'à La rencontre de la direc-
tive END.
END Syntaxe : END
Cette direacive termine la condition
d'assemblage conditionnel.
Remarque : les directives rencontrées ici
som relativement standard CL se retrou-
vent dans la plupart des assembleurs clu
commerce.
Les commandes
de lassembleur
Les commandes de l' assembleur sont en
général propres à un assémbleur parti·
culier, elle n'ont aucun effet sur le code
généré. Ell.e servent si111plemenr à modi-
fier le Listing généré. '
*E : Ejecte la page avant de con-
tinuer (EJECT).
*Hchaîne : Imprime le cbâUle spécifiée
en baul de chaque page
(HEADINd).
*S : Arrête l'édition du listing.
Cette dernière pourra être
reprise en enfonçant une
touche quelcongue cl u
clavier.
*L- : Pas d'émission de listing à
partir de cette ligne.
65
 *L + : Retour au mode normal
d'émission de listing.
*D + : Valeur du PC fournie en
décimal dans le listing.
•n - : Retour a u mode hexadéci-
mal pour le PC.
D'autres commandes existent. Elles per-
mettent notammem d'effcciuer l'assem-
blage direct en partant du média (cas-
sette ou dlsque).
Les commandes de l'éditeur
L'éditeur-assemblew GENA3 est donc
composé d'un assembleur dont les prin-
cipales fonctions ont été i:lé<lrites ci-
dessus, eL d'un éditeur quj permet
l'introduction du texte etsa sauvegarde
sur média.
A Syntaxe : A
Cette commande permet lassemblage
du texcesource. A la suite de cene ques-
tion, le sys1ème demande la taille d'une
table de travail et les options d 'assem-
blage. En général', vous pouvez répon-
dre ENTER ou 1000 à la première ques·
tion. La seconde·ques1Jon concerne les
d1fféreotes options d'assemblage a~ec
les conventions suivantes :
l · Produit une table des symboles à la
fin d u listing.
2 Ne génère pas dç code objet.
4 Ne produit -pas de Hstina.
8 Constru.it simplement le code objet.
32 Ne teste pas l'emplacement du code
objet.
Vous pouvez utiliser une.combinaison
quelconque de ces nombres. Exemple :
l'option 4-1 produit une table de symbo-
les, dirige les sorties sur imprimante et
ne teste pas l'emplacement du code
objet. ,
B Syntaxe: B
Retour au BASIC.
C Syntaxe: C
Cette commande affiChe les valeurs par
défaut des différents paramètres.
D Syntaxe : D n,m
Cette commande efface les lignes com-
prises entte la ligne n et la ligne m
incluses.
E Syntaxe : E n
Cette commande entre dans le mode
éditeur ligne (voir point 7).
F Syntaxe : F n,m, [,s
Cette commande recherche la chaîne de
caractère f entre les lignes n et m. Sis
est utilisé, la commande remplace la
chaîne f par la .chame s.
G Syntaxe : G .,s
Cette c0mmandecharge le fichier source
s à la suite du texte éventuel déjà exis-
tant. Sur cassette, s peut être omis. Dans
ce cas, c'est le premier fichier trouvé qui
est chargé.
R Syntaxe: R
66
Cette comande fournit un écran d'aide.
1 Synla."<e : ln,m
Cette commande permet d'insérer du
texte. n représente la Ligne de départ cr
m l'incrément emre deux lignes (comme
la commande basic AUTO). Chaque
Ligne d'instruction doit être terminée par
ENTER. La sortie du mode d'insertion
se fait par I~ pression simultanée des
touches CTRL et C.
Remarque : si vous entrez une ligne avec
un numéro qui existe dans le texte. le
numéro de ligne existante sera incré-
menté de l et existera toujours dans le
texte.
L Syntaxe : L n,m
Cette commande liste des lignes compri-
ses entre n Cl m.
M Syntaxe: D n,m,d
Cette commande déplace le texte com-
pris entre les lignes n et m vers la ligne
d et efface le bloc de texte original.
N S)•ntaxe : N n,m
Cette commande renumérole les lignes
du texte en commençant à la ligne net
par pas de m (cormne l'instruction
BASIC RENUM).
0 Syntaxe : O.,s
Cette commande écrit le fichier objet
produit par le dernier assemblage sur le
media .sous le nom s.
P Syntaxe : Pn.m.s
Cette commande sauve les lignes de
fichier source comprises entren el m sur
le media (cassette ou disq ue) sous le
noms.
Q Syma.xe : Q,,s
Cette commande est identique â la com-
mande P mais le texte est sauvé en for-
mat ASCn.
R Syntaxe: .R
Si l'assemblage s'est bien déroulé et si
la direcLive ENT a ètè utilisée, la com-
mande R permet d'exécuter le code
objet produit.
T Syntaxe: Tou Tl
T sélectionne la vitesse lente sur cassette
et Tl sélectionne la vitesse rapide.
lJ Syntaxe : U
Cette commande affiche le numéro de
la dernière ligne du texte source.
V Syruaxe : V.. s
Cette commande compare le contenu du
fichier soµrce s avec Je contenu de la
mémoire et affiche le mess-age ' verified'
ou 'failed' suivant la comparaison.
W Syntaxe : W
Cette commande permet Ja cummuta-
tion de 40 en 80 colonnes c1 vice-versa.
X Syntaxe: X
Cette commande affiche l'adresse de
dêbut et de fin du code objet en.décimal.
Y Syntaxe : Yn
Cette commande positionne le nombre
de ligne par page à imprimer.
Z Syntaxe : Zn,m
Cette commaride envoie la partie du
text.e source compris emre les lignes n
et m à l'imprimante.
Les commandes
de l'éditeur ligne E
La commande En positionne l'éditeur
ligne sur la Ugne n. A nartir de cet ins-
tant, certaines commandes sont possi-
bles sur la ligne spédfièe.
- la barre d'espace incrémente le poi n-
1.eur texte d'un caractère.
- DEL décrémente le pointeur texte
d'un caractère.
- ENTER termine l'édition et sort du
mode.
- C change le caractère courant par le·
caractère entré à la suite de la
commande.
- l entre en mode d'insenion de texte
dans la ligne (sortie par El'lTER}.
- K efface te caractère courant.
- L liste le reste de la ligne.
- Q quine l'édileur ligne sans enregis-
trer les modfücalions effectuées.
- R reste dans l'éditeur ligne en annu-
lant toutes 1.es modjfications effec-
tuées.
- X ,a en fm de ligne..
- Z efface tous les caractères iusqu'
à la ûn de la ligne.
Ajout de nouvelles
instructions au BASIC
Généralités
Rcmarq ue préliminaire : La bonne
compréhension de ce gui suit demande
une parfaite connaissance des deux pre-
mières parties de cetle série d'article
ainsi que de l'article intitulé 'La fonc-
tion •:Y(VARPTR}' parue à la p11ge 18
de notre numéro 2.
La possibilité d'ajouter de nouvelles
commandes au basic est permise grâce
à l'existence dl!S RSX. R.S.X. est un
acronyme anglo·saxon pour RESl-
D.ENT SYSTEM EXTENSION. Les
RSX sont écrits complétemem en assem-
hleur suivant un canevas bien déterminé
qui va vous être expliqué en détails au
point 2. On appelle les commandes
BASIC (PRlNT, GOTO, FOR ... ) :
commandes internes . Quand un pro-
gramme basic en cours d'exécution ren-
contre une des ces commandes, l'inter-
préteur "fouille" une table contenue
dans la ROM afin de trotlver le mot spé- Exemples: mot clé rencontré (dans l'exemple ci-
cifié . (celte table se situe à l'adresse Cas d'une commande seule : dessus, lors de la rencont.re du m·o1
E388H dal)s le € PC 464). Si la com- COMEXT: DEFW TABLE Dllinition l.lole ~... TIOl1lS RECI'ANGLE, le système se brandie à
mande existe, le basic transfère l'exécu- JP CARRE Sa111 10 1r1itcmc1u l'adresse AO ID). A cet instant, comme
tion à i.me adresse bien définie qui $J)êdfîq~
dans l'instruction CALL décrite dans
dépend du mot rencontré. Si une com- TABLE: - JJ!buid<laiabledcsnoms
l'article précédent, le registre A d u pro-
mande externe est rencontrée, la RAM Cas de plusieu rs commàndes : cesseur Z80 contient le nombre d' argu-
est "fouillée" de la même façon que la COMEX : DEFW TABLE ments de la commande (paramètres) el
ROM pour déterminer si cette com- JP CARRE Sa111 truiltmtnt CARRE le registre IX point sur le dernier
mande eltiste. JP CERCLE Saut LnÛitmcnt CE:RCLE paramètre.
JP REMPLIR Saul 1t>it<m<n1 REMPLIR La structure des paramètres dépend du
Une commande externe est constituée
d'une chaîne de caractères alphanumé- type de. paramètre.
riques précedée du signe : (obtenu en TABLE 00111 de l! 1abfe d~ oom1 - Si le paramètre est t10 entier, il est
appuyant ensembles les !Ouches SHIFT composé de 2 oçtects représentant
et ). Ensuite, il faut définir la table des noms . l'entier enbinàire signé (complément à
Exemples : :CERCLE, :CARRE, des nouvelles commandes. Elle est com- 2).
:REl\1PLffi... posée des caractères ASCII du mot clé - Si le paramètre est un réel, il est
Si vous tapez :CARRE dans votre pro- représentant la commande sans le pre- composé de 2 octets représentant le réel
gramme à l'heure actuelle vous obtien- mier caractère 1. Le dernier caractère trans formé en entier non signe.
drez un éloquent "UNKNOW COM· du mot doit avoir son bit 7 à 1, autre- - Si le paramètre est t10e variable, il
MAND" qui slgnifie commandeïncon- ment dit, on doit ajouter SOH à la es~_ comP,osé de 2 octets contenant la
nue. L'interpréteur BASIC ne peut pas valetif ASCll du dernier caractère du valeur de la variable. Remarque : si la
trouver la commande spécifiée dans sa mot. Le dernier caractère de la dernière variable .est du type caractère c'est
ROM ou sa RAM. Il faut donc la défi- commande doit être suivi d 1un octet à O. 1'adresse du descripteur de la variable
nir Cl signaier à l'imerpréleur qu'elle Exemple : Cas d'une seule commande : qui est fournie.
existe. Voie.i comni.e of procéder. TABLE: DEFM "RECTANGL" Mot RECTANGL Il faut noter que la valeur est mémori-
DEfB "E"T=so L<tlrtE+ Sl)H(bi11°1J sée avec l'octet le moins significatif en
DEFB O Fio <k 1able premier lieu commec'"e st souvem Je cas
Constitution d 'un R.S.X.
Cas de plusieurs commandes : en Z80.
La première étape consiste à avertir TABLE DEFM "CAAA" MOT CARRE
l'ordinateur de l'existènce d'une table éle En résumé, chaque paramètre occupe
DEfB "E"+ 0 81)
2 octets.
commande(s) ex'tériew-e(s). Cette table DEFM "CERCL" MOICERCLE
fonctionne comme un polnteur incllrcct bEl'B ··ir·+:80 Exemple : supposons narre, c-o mmande
vers les routines de traitement propres DEFI>! "RE~IPLJ" MOT REMPLIR constituée de 3 paramètres valant res-
à la commande. Ces traitements spéci- DEFB '1R" +os80 pectivement 10, 300 et - 1.
DEFB Q FlN DE TABLE A l'entrée dans la routine de traitement,
fiques se chargeront du cqmrôle de
synraxc et de l'exécution de la En fin, à la suile de tout cela, 11 vous l'acctlfnulatew- contient 3 Oe.nombrede
commande. reste à écrire la routine spécifique de paramètres) el IX pointe sur une adresse
Cette opération se fait à l'aide d'une mémoire quj contiem la valeur - 1 en
traitement. Le programme complet (à
routine interne de la ROM. Cette rou- binaire signé.
l'exception de la routine de traitement)
tine est appelée par le vecteur situé à potlr une commande de traçage de rec-
l'11clresse BCDI. tangle s'écrira :
En voici la structure interne et la
AOOO ORG #AOOO
méthode d'utilisation. A()()() 00 OO OO OO TAMPON : DEFS 4
ROUTINE : XL LOG EXT A004 01 OE AO DEBUT: LO BC.COMEXT
adresse BCD1 A001 21 OO AO LO HL,TAMPON
Conditions d'entrée : BC pointe sur la AOOA CD Dl BC CALL
table des sauts d'extension de com- AOOD C9 "RET
mande, HL poime sur une zone libre.de AOOE 13 AO COMEX'I': DEFW 'TABLE
AOLD C3 10 AD JP RECTO.
4 octets situé en RAM. ADJ) sz 45 43 54 TABLE: OEFM "Rl!CTANGL"
Conditions de sortie : DE est modifié. 414E47 4C
Analysons I~ programme théorique : AOIB Cl DEFI) "E'' +=SO
ORO W.l Adcessc d'impJan1a.1.ioo AOIC OO D.EFB OO
rouiine. AOJD RECTG: ----SUITE
TAMPON: DEFS ~ Rèsef\·e 4 octeu pour HL
DEBUT t lD BC,CO~!Q.IBC poloie sur 11blt
lD Hl,TAMPON HL pointe "'' tone de
~ OCl<il Programmation A=3
CALl #BCDI Appel d.t la routine IX +O=FF
S}'Sfffne du traitement IX+ l =fF FFFF = -l
ltET
C0)1E.XT: -
Retoor au BASIC
Mu1 tab{( des 511.au d'une commande IX+ Z = 2C
IX + 3 = 01 0 12C = 300
Ensuite, il faut définir l'adresse de début IX + 4 = OA
de Ja table des noms de commandes 1X+5=00 OOOA =JO
suivi d 'aULam d.'in~tructions de saut Lors de l'appel d'un R.S.X., Je système Enfin, l'étape principale consiste en
absolu qu'il y a de .c ommandes. se bn1nche à l'adresse de traitement du l'analyse deJa façon de réaliser la corn-

67
mande. Une programmation saine el précisé. Conditions de sortie : AF,BC;DEe1 H L
efficace demande une bonne connais· Conditions d'entrée : DE contient sont mod ifiés.
sancc des routines internes de l'AMS. l'absisseX àl1 point d'arrivée, HL con· Le programme de traçage de rec1anglé
TRAD pour éviter l'écrjture de routines Lient l'ordonnée Y de ce même point. s'écrit:
redondames avec les roulines système.
Tomes les routines systèmes existani
dans l' AMSTRAD som décrites avec L IGNC: EOIJ #BJ:<Fô
leur conditions d'entrée el de sortie daos POINT: Sb!U llJ:<ClEl'\
le livre Clefs po11r l'Amstrad paru aux EtfCRE: EQU #B8DE
éditions PSI. ; lt Cl lt;lrll::EMENT DE L' l!t·ICRE' DANS A
En guise d'exemple didactique complet , 1':\0JD DO 7E vo RECTG : LD 1":\, ( JX IO)
nous allons réaliser la programmation ; :1: /'lPF'EL DE' LA ROIJT I NE
d'une commande de traçage de "10::!0 CD DE BC Co~LL ENCRE
rectangle. ;"f CHARGEHËNT DE XI DANS OC ET SAUVEOARDE DANS LA PILE
f'our tracer un rectangle dè façon uni· A023 DO SE 08 LO E, tIX+81
voque, il suffi! de déJ1nir les extrémités A02t. DD S6 09 LD D, (!X+9 )
d ' une diagonale. A029 DS P.)..1511 DE
Xi.YI ..--------.X2,YI ;1 CllARGEMENT DE Yt DANS DE ET SAUVEGARDE DANS LA PILE
~.Y2I lx2,n
A02A
A02D
DO SE 06
DO Si> 07
LO
LO
E, CI X-16)
D, CI X+7l
Le couple de points XI, Y 1 et X2, Y2 ou A030 I)5 PUSH DE '
le couple X2,YI et Xl,Y2 suffisent pour ;* CHARGEMENT DE X2 DANS DE ET SAUVEGARDE PANS LA PILE
défittir le rectangle. En outre, il est jodi- A031 DD SE (I~ LO E, (JX-14J
cieul( de pouvoir définir son encre. A034 DD 5'6 <•S LD D, (.l X+S>
La syntaxe géi\érale sera : :RECTAN- A037 OS F•USH DE
GL$ Xl,Yl,X2,Y.2,ENCRE. ;*·CHARGEMENT DE Y2 DANS DE ET SAUVEGARDE DANS LA PILE
Exemple : 1RECTANGLE 50,40,200, A038 OO SE 02
100,2. ~ui produira dans l'encre 2, Je LD . E,CIX +2J
reclangle. A03D DD 56 03 LD D, CTX •31
A03E DS PUSH DE
50.40 200,40
~0.1001 1200,100
;•A CEf lNi:;l/.INI L/.I PI LE CONTIENT Y2,X2 , Y1,XJ
;*
L'algorithme général peut s'ècrire: ; -* CHARGEMENT DE Xl DANS DE ET Yl DANS Ill
l · LIRE LE PARAM51llE ENGJŒ. A03F DD SE 08 LD E, <IX+B>
l · PQS!TIONNSR L'EflCl\E
J ·LIRE LB POINTS Xl,Yl;X2,U A042 DO 51; (19 LO D,<IX +9J
4 ·TRACER LE POINT XL,YI (!'OINT) A045 DD 6E 06 LD L,<IX +6)
S ·TRACER LA DROITE Xl.YL· Xt,l'l IUGNE} A048 DD 66 07 LD fi, (!)(+7)
6 ·TRACER LA DROITli XI ,Yl • Xl,I'? \LIONEi ;t SAUVE Xl DANS LA PI LE
1 • TRACER LA DROITE Xl,Y2 • Xl, \'I (LIGNE!
r · TRACER LA DROITE Xl,YI ·XI.YI iUGNtl A04B D5 PUSH DE
Trois routines système sont donc néces- ;*
•*A CET INSTANT LA P ILE CONTIENT x1,Y2,x2,v1 ,x1
saires : ENCRE, POINT et LIGNE. Bn
voici la description complète. ;* TRACAGE DU POINT Xl , YI
; •i
ROUTTNE : GRA SET PEN A04C CD EA BB
ADREiSSE : BBDE CALL POINT
Positionne le numéro d'encre pour le ;*RAPPEL DE Xl ET Y2 ET SAUVE Y2 DANS LA F·I LE
crayon. A04F Dl POP DE
Condition d'entrée : A contient le A050 El POP HL
numéro d'encre. AOSI ES PUSH HL
Condition de sortie : AF modifié. ;*
ROUTINE : GR!} PLOT ABSOLUTE ;*LA PILE CONTIENT Y2,x2,v1,x1
ADRESSE : BBEA
Trace un point en coordonnée.s
;1** TRACE
LA LIGNE DE Xl,Y I VERS X1 , Y2
absolues. A052 CD F6 BB CALL LIGNE
Conditions d'entrée : DE comient ;*RAPPEL DE X2,Y2 ET SAUVE X2

.
l'absisse X du poin1. A055 El POP HL
HL contient l'ordonnée Y d u point. 1~1056 Dl POP DE
Conditions de sanie : AF, BC, DE el A057 DS PUSH DE
HL sont modifiés. ;
ROUTINE : GRA UNE AilSOLUTE ;t LA PILE CONTI ENT X2,YJ,X1
ADRESSE : BBF6
Trace une. ligne de la position courante
;*
;*TRACE LA LI GNE DE Xl,Y2 VERS X2,Y2
du curseur graphique vers un poim A058 CD F6 BB CALL LIGNE

68
;* RAPPEL DE X2,Yl ET ~AUVE Yl
A05S Dl POP DE
A05C Ej POP l lL
A05D E5 PUSH HL
;;** LA PILE CONTIENT Yl ,Xl
;*
;*TRACE' LA LIGNE DE X2,Y2 VERS X2,V l
A05E CO F6 BB CALL LIGNE
;* RAPPEL DE X1,Y1 ET TRACAGE DE LA LIGNE FINALE
;* DE X2,Yl VERS x1,v1
A061 El POP llL
A062 01 POP DE
A063 CD F6 BB CALL LIGNE
;*
;*RETOUR A L'INTERPRETEUR BASIC
;*
A066 C9 RET
REMARQl)E : Ce programme vient à
la suite du programme qui termine le
point 2.

20 MEMDRY tc9FFF
40 FOR i=t.AOOO TO !<A066
50 READ A$
60 POKE i, VAL< "~"+a$l

70 NEXT i
so DATA oo,oo,oo,00~01,oE,A0>21,oo.Ao,cD,Dl,E<C,c9,r.3,AO

90 DATA C3,1D,A0,52,4S,43 ,54,41 , 4E,47,4C,cs,oo ,DD, 7E , ôo

100 DATA CD, DE, BB, DO, 5E, OB , DD, 56., 09, 05 , DO, 5E, 06, OD, 56, 07
110 DATA D5,DD,5E,04~DD,56,05,D5,DD,5E,o2,DD,56 , 03,D5,DD

120 DAT·A SE, OB, DO, 56, 09 , DO, 6E, C•6, DO , 66, 07 , 05, CD, EA, BB , 01
130 DATA E 1,E5,CO , F6,BD,E1,D1,D5,CO,F6,BB,D1,El,E5 ,CD,F6
140 DATA BB,E1,Dl,CD,F6,BB,C9
150 CALL &A004
160 NEW

Pro5ranime BASIC
de construction
du RSX RECTANGLE.
Le programme assembleur de consttuc.-
tion du RSX de Ja comml\llde REC-
î ANOL6 peut être mis sous la forme
d'un programme basic doot voici le
listing.
Pour terminer ceue série d'articles sur Syntaxe : 1VffCTID, varptr de l'élé-
l'assembleur, nous vous proposon~ un ment 0 de la variable.
programme de construction de RSX un La méthode classique poUJ1 réaliser cette
peu plus important qui va vous permet- fo nction peut s'écrire en BASIC :
tre de réaliser des merveilles avec les JO DlM A(IOO)
vecteurs. 20 FOR 1=0 TO 100
Ce programme ajoute· trois .nouvelles 30 A(l) = 9999
commandes au basic, 40 NEXT 1
La première s'appeile · 1VECTlD, elle Grâce au RSX, elle s'écrira :
permet de positionner rous les éléments 10 DlM A(lOO)
d'un vecteur (variable dîmeosionnée) à 20 A(O) =9999
une valeur constante détemfnée. 30 I VECTID, A(O)

70

Merge et
ChainMerge
Je vous transmets une correction
concernant l'anicle de Monsieur
R.P. Spiegel : L'UNITE DE
DISQUETTES AMSTRAD
DDl· I. paru dans voire revue
n• 2 (septembre 1985) en pa3c
15 et 16. Ceue correction
s'adresse plus paniculièremenr
au progamme « Comment ulili·
•cr MERGE et CHAll'-
MERGE avec le drive >>. Le'
erreurs sont dues, je crois à de'
rnutcs de frappe.
Vous 1rouvcrcz ci-joint :
- Les lignes à corriger.
- Le programme corrigé, que
j'ai testé et qui fonctionne
parrairement.
En esptranr que œue correction
pourra servir à d'autres lecteurs.
Pierre Flerard
d'Aix-en-Provence
Courrier
PROGRAMl·IE ÇOPR 1CE
====::i:=:ase=:aa&a~
200 DATA ;;e5 · $,2 l. 1 0 ·0 &??. • :· 00 · b·~
20!,!i DATf\ $i..3;1 ,B ;'Zbt.32:1â~?.~h1_'
210 DATA lf;;cJ,a.se,t.t-c,t.Zl .r•• Q
Hl0 t1EMOP'f H T11EH-41 215 C·ATA t22.:!-S l ,tbc,~2! .:·l2f1 ·"t
105 h=HIMEM
110 DEF FH( !< • >=tFF Pl-l> WT• • ..:5,; •
22'.l C•ATA t.3•»k3.t<-! ,;;.J!3,• ••
225 ORTA t.37' .&3f ·"<(l· ·t;.7 .t .t •4
115 DEF FNF2<' J:tFF AllCI lllir< ,, )
12& FOR 1=h+I TO n+'.38
125 P.EAD b POt:E i . b
130 NEXT 1 LIGNES A l"ORI? JCER
135 POKE h+3,Fll r2<h+3~'
140 POKE h+~, FH r l ( h+39 )
145 POKE h+9,FH f2(h+4 1) 135 POKE h+3.FN f:2( h+39'
150 POKE h+l0 ,FN rt(h+4!) PO~ E h+4, FH t!C h+3~• ·
J 41J
155 POKE h+18,FH r2Ch+l) 145 POJIE h•9.FH r2(hHI 1
160 PIJKE h+l9,FN flCh+J) 150 PQl(E h+lQ.FN rH h<-41 •
165 FOR t=0 TO 2 !SS POKE h+J8,FN f2' h+I •
179 POKE h+39+1,PEEKC~BC80+1> 168 POrE h+l9·FN f'!<h+J'
175 HEXT 165 FOP t=9 TO 2
180 POKE ~8C80,~3 185 POKE tetSl, FN f'2(h+l,
185 POl<E ~BC81,FN r2Ch+I) 190 POKE &ece2, FN f!(h+J)
190 POKE ~BC82 1 FN tl(h+l ~ 200 DATA e.es.~2,,.,0,0, 3.22, c.ao, t.b,=
l11 \.'Jh:l 0 If.: 1'10~1.JIU lllt.: . l l'lll 411..: J ,u ~l'lllllll.,C' l.'U l\o..up1,ull ''" 10..11h•du1..~·111 plu ...
meo1 utiliser MEROE et le programme pour le foire En auendant, 1ncrei de votre
CHAIN MEROE avec le cadrer avec le tc.<te qui lui trait courrier et des corrections que
drive '" publit dans AMSTRAD joint. La prochaine fois, je reli- \'OUS avez vou.s-mbne effectuies.
MAGAZINE N° 2, était trront. rni mitux les programmes que je Nos lecteurs vont en profiter.
Et combien ... saisis par Lraitcment de 1ex1es
a s'agit bien de fautes de frappe. afin que de telles« bourdes »ne R. P. Spiegel
 Le temps d'exécution étant divisé par
100.
La deuxième insrrucrion permet d'insé-
rer un élément vide dans un vecteur et
de repousser tous les éléments suiva ms
d'une case. Celle Înstruction est parti-
culièremenL utile pour maimcnir un
tableau trié par une simple recherche
d ichotomique.
Syntaxe : 1VEClNS, varptr de l'élë-
ment 0, position d'inscrt.
Le·programmeBASICclassique d'inser-
àon IS'éeriL
JO DIM A(IOQ)
26 POSINS = 40
30 FOR 1=99 TO POSINS STEP - 1
40 A(I + l)=A(l)
50 NEXTl
60 A(POSINS) =0
Grâce au RSX ce programme s'écrira :
10 DIM A(IOO)
20POS1NS=40 30 1VEClNS, A(O),
POSlNS
Enfin la dernière fonction permet
d'effacer un élément d'un vecteur et de
•resserrer' le rableau restant. Syntaxe :
VECDEL, varpt.r de l'élément 0, posi-
tion d'effacement.
Le programme assembleur permcuant
d'installer ces fonctions est relativement
long.
En voici le listing accompagné du clas-
sique programme de chargement en
assembleur.
Les commentaires ont été Iéduils au
minimum pour vous perme11rè de réOé-
chir sur le fonctionnement interne du
programme.
N'hésitez pas à faire référence à l'arti-
cle sur la fonction YA RPTR (@) qui
vous pennet>ra de compre11dre facile-
ment l'utilisation des divers pointeurs.
Daniel Manin

Hisoft CENA3 . 1 Assembler. A036 4E 3C•O LD C, <HL>

Pe;ss J errors: OO A037 28 310 DEC HL
A038 2B 320 DEC llL
10 ; RSX VECTORIEL AC139 28 330 DEC HL
20 D. MARTIN L.i eg e 1985 A03A 28 340 DEC HL
30 ::550 ; charge A avec le type
BCDI 40 IN I RSX: EQU ·itBCP 1 A03B 7E .36CI LO A, (MU
AOOO 50 ORG #AOOO 3b5 .t:e
AOOO 60 TAMPON: DEFS 4 A03C 3C 370 INC A
A004 010EAO 70 DEBUT: LO !lC,COMEXT A03D El 380 POP HL.
A007 2100AO 80 LO HL , TAMPON A03t E:S 3:90 PUSH HL
AOOA CDDl!lC 90 CALL INIRSX A03F 110000 400 LD DE, 0
AOOD C9 100 RET A042 5F 410 LD E ,A
AOOE 19AO l i 0 COMEXT: DEFW TAE•LE A043 19 420 ADO HL,DE
AO!O C32CAO 120 JP VECTID A04'4 EB 430 EX l)E , HL.
A013 C35EAO J3P JP VECDEL A045 E1 440 POP ML
A016 C358AO 140 JP VECINS 450 ; copie le 1 el ement
dans le second
A019 56f154354 150 TABLE: OEFM "VECT1"
460 l et ainsi de s u ite
A01E C4 160 DEFB uou+#BO
A046 F5 470 BOUCLE : PUSH AF
AOIF 56454344 170 DEF'N "VEC.O E"
A047 es 480 P USH BC:
A024 CC: 180 DEFB 1'L '' 1-1180
A048 0600 490 LO B,o
A025 56454349 190 DEFM "VECIN"
A04A 4F ~500 LO C,A
A02A 03 200 DEFB "S'' + ffBO
A04B EDBO 510 LDIR
A02B OO 210 DEFB 0
520 Test nomb~e d'el ement
220 ; charge HL avec le
VARF'TR d<' 1 '"l cment ù A04D Cl 530 POP BC
A02 C: DD6EOO 230 VECTID: LD L, tIX•(>l A04E OB 54-0 DEC BC
A02F DD6601 24(• f...O 11 ., \IXI !) A04F 78 550 LD A, B
•
A032 ES 250 PUSH HL AOSO BI SbO OR C
260 t c harge BC avec !e A051 280.3 570 JR Z, F I NI
nt1mbre d'e l eJnent A053 FI 580 POP AF
A0,33 20 270 DEC HL A054 18FO 590 JR BOUCLE
A034 46 28(1 l.D O, ! llLI A056 Fl bOO FlNI : POP AF
Ao:ss ·2a 290 DEC HL 610 ; retour au BAS I C

72
.....
En diree# Ôbf oluhs
Comme désormais chaque mois,
nous vous faisons dCcouvrir Jcs
nouveaux clubs portés à notre
connaissance. lQue ceux qui
n 'om pas été cftës dans notrt
revue se fassent connaî_tre, et que
les autres nous tiennent régµliè·
remeot au courant de leur$'.
« exploits )),
tout le monde en
sera certainement l"rès content).
RAM, rue Ernest Rcycr, 83400
Ryèrcs"' trésorier M. Chevalier,
que l'on peut joindre au :
94.38.57 .37 et préSident : M.
Destribois, numéro de têlé·
phone: 94.38.57.57.37.
Çe jaune club possède 1w local
en cours d'an1én~gen1ent de a
matériel, puisqu'il possède :
deux CPC 464, une imprimante,
deux lecteur~ de disquettes et une
vaste bibliothèque de logicicls et
deJivres. Vingt adhérants le font
roncLionner pour l'instant. mais
Logiciels à domicile
11 est quelquefois difITeile de so
procurer du logiciel, surtout
pour les udlisateurs habita1u
assez loin d 'une ville. JI est pos-
sible d'acheter bon nombre d~
choses par correspondance, ced
est plus race pour les logiciels.
Oo trouve ccrles quelques distri-
buceurs qui pratiquenL ce mode
de ventS':. mais avouoas(Ju"ils n!
sont pas légion. Lorsqu'il a
ouvert son magasirt à Lyon,
Mathieu Sibille avait déjà ceti.
idée en tête : offrir au;ic utilisa·
teurs isolés ou ne pouvant .se
déplacer facUemem, res moyens
d'acheter du logiciel de qualité,
uGame-Over" 1 c'est le nom de
ce distributeur, propose: pour un
cenain nombre de n1achines des
programmes livrés sous 48 heu-
res. Pour Amstrad . on disposo
d"'w1 choix d'environ soix~n le
Warrior
Copolee-dëbute l'édition de logi·
ciels et lance en première un
nouveau jeu de rôles de Rain·
bow Production : Warrior (pou:
Amstrad bien sùr, sinon on I\<
vous en parlerait pas, enfin !)
n s'agit d'une grande avcnture-
où vous commencerez par défi..
nir votre équipage pour aile:
ensuireaffronter de redoutable;
monstres dans les cent~trcnlt
pièce d'un immense chateau.
Copolec/Rqbtbow Production , 14D.
tn•enue Pob)o Picasso . ..92000 Nat~
te.r.re.
- ---- ~
ne demandent qu 'à se voir plus
nombreux. La cotisalion
annuelle est de 400 F.
Enfin Je club est ouvcrL à
l'adr~se ci-dessus tous les mar·
dis à partir de 18 h cl tous les
vendredis à partir de 20 h.
Arnaud, Franck et Stéphane
sont à la tête d'une structure un
peu dirférenle puisqu'il S'agit
d'une émission de mlcro-
informatique, diffusée régulière-
ment sur les ondc-s de la radio
locale de Quimper « Canal Bleu
Marine» (94.7).
L'émission, Micro:-Flash a lieu
tous les samedis de 14 h à 15 h.
et présente toutes les nouveautés
et possibilités offertes par le
marché.
Cano/ Bltu J\'farfnt, Aflcro-Flaslr. ) ,
ruè Feu111e11nic At Ltn, BP 647,
29194 Quimper Cedex.
ritre,i;, dont les nouveautés
comme Mandragore. Red
Arrows, TI1ey Sol Million.
Les clients de "Game Over"
ceçojvem un bulletin qui les
inforn1e sur les nouveaux titres
distribués. Oo peut régler sa
commande par chèque, carte
bleue, An1erican Express ou
contre re1nboursement . A noter
que les étudianls, cnseîgnants,
carce vermeille, carte jeune et
très certaine1nent les chômeurs.
familles nombreuse.o;, militaires,
etc., obtiennent 10 "l• de réduc-
tion. les rcolcs bénéficient
d'avantages supplémenta:ires.
Voilà une bonn< adresse à con·
server : G11111e Ol-er, 9, rue Frank.-
lin, 69002 Lyon. T41. 78.41.JZ.8Z.
(Logiciel~ pour Amstrad, Thom40n,
Oric, Atari, Exclvision, Commo-
dore, Apple, Sincloir et MSX).
30
Echecs Vocal
Sémaphore Logiciels édite un
logiciel de jeu d'échec de très
bau1 niveau : 3 D Echecs Vocal.
Ce jeu d'une très lraute qualité
graphique et sonore a été écrie
par Oeep Thought Software,
déjà célèbre -pour sc.s jeux
d'échecs sur Spectrum. li est dis-
ponible chez tous les distribu-
teurs de Sémaphore Logiciel~
pour un prix public d'environ
190F.
Sémaphpre Logiciels~ Cf! 1281, I.a
Plalne; Suisse.
 AOBD Cl 1030 POP BC
tiOS7 C9 e.20 RE l
AOBE 09 1040 AOD HL,BC
!7"10S8 AF é>30 VECINS! XOR A
AOBF ES 10:>0 EX DE,HL
A059 3209AO 640 LO !fNSDELl,A
A090 Cl 1060 POP BC
AOSC 18(1!5 650 JR LIRPAR
A091 09 1070 AOD HL,BC
AC1SE AF 660 VECDEL: XOR A
A092 EB 1090 EX OE,HL
AOSF 3C 670 LNC A
A060 3209AO 690 LO <INSDEL> , A. 1085 *e
A093 1802 1090 JR ,JUHP2
A063 OD6E02 690 LIRPAR : LD L, llX.:Zl
A095 Cl 1100 JUMP1: POP BC
A066 0 06603 700 LOH, <-IX+3)
A096 Cl 1110 POP BC
A069 ES 710 . PUSH
HL
720 1 charge DE avec l e
A097 Cl 1120 JUMP2 : POP ac
nombre d'elements A098 09 1130 AOD HL,BC
725 *e A099 EB 1140 EX DE , HL
A06A 29 730 DEC HL A09A 09 11::50 ADD HL,BC
A069 S6 740 LO D, <HU 1160 1 a cet endoit,
A contient le type
AObC 29 7SO DEC HL
1170 : DE coi nte SL\r
A06D SE 760 LO E, <HU l'e l ement
AQ6E 2B 770 DEC HL 1180 ; HL pointe sur le
A06F 2B 780 DEC HL sommet du vecteur
A070 2B 790 DEC HL 1190 ; -le STACK est vide
A071 2B 800 DEC HL A09B 0600 1200 LO a,o
8 10 charge A avec le t ype A09D 4F 1210 LO C,A
A072 7E 820 LO A, !HLl A09E 3AD9AO 1220 LD A, (INSDEU
A073 3C 930 INC A AOAl 97 1230 OR A
840 ; c harge HL avec la AOA2 79 1240 1d a, c
position de l'insertion
AOA3 2018 1250 JR ' NZ, DELETE
A074 DD6EOO eso LD L,IIX+Ol
1260 ; c a l cul d u nombre
A077 006601 860 LD H, <IX+!) d'octets a deplacor
A07A OS 870 PUSH DE A0.A5 28 1270 DEC HL
A07B ES BBO PUSH HL AOA6 E5 1280 PUSH HL
990 ; sauve le type dans C AOA7 87 1290 OR A
<4 bits>
AOA8 ED42 1300 sec HL , BC
A07C 4F 900 LO C,A
-
910 1 multiplie la
AOAA ES 1310 PUSH HL
di men si on par 2 AOA8 23 1320 INC HL
A07D CBEI 920 SET 4,C AOAC Ei7 1330 OR A
A07F CB39 930 SRL C AOAD ED52 1340 sec HL , DE
A081 29 940 LOOP l: AOD HL , HL AOAF ES 1350 PUSH HL
A082 E.B 95CI EX DE, HL Aoeo· c1 1360 POP rtC
A083 29 960 AOD HL,HL AOBl El 1370 POP HL
A084 EB 970 EX DE,HL A082 Di 1390 F•OP DE
AOB::i CB39 960 SRL C AOB3 2602 1~90 JR z, JMP4
A087 30F8 990 JR NC, LOOPI 1400 dcpl ac:pmen t
• 1000 teste l E' type AOBS EOIJ9 1410 LODR
A089 CB47 1010 BIT O,A AOB7 EC< 1420 ,JMP4: EX DE',HL
AOBB 2808 1029 JR Z, JUMPI A088 47 1430 LO Bi A

74
 AOB9 J.EOO 1440 LO A,O AODO 2B 1630 RIEN: DEC HL
1'145 *e AOD1 47 1640 LD B, A
AOBB 77 1450 LOOP2: LO <HL> ,A AOD2 3EOO 1650 LO A, O
AOBC 29 1460 DEC HL AOD4 77 1660 LOOP: LD <HL> , A
AOBD lOFC 1470 DJNZ LOOP2 AOD5 2B 1670 DEC HL
1480 retour au BASIC AOD6 10FC 1680 DJNZ LOOP
AOLlF C9 1490 RET AOD8 C9 1690 RET
AOCO DS 1500 OELETE: PUSH DE AOD9 1700 INSDEL: DEFS 1
AOCI EB 1510 EX DE,HL
AOC2 09 1520 ADD HL,BC Pass 2 errors: OO
AOC3 ES 1530 PUSti HL
AOC4 EB 1540 EX DE , HL BOUCLE A046 COMEXT AOOE DEBUT A004
AOC5 Ll7 1550 OR A DELETE AOCO FINI AOS6 INIRSX BCD1
AOC6 EDS2 1560 SBC HL,DE INSDEL AOD9 JMP4 AOD7 JUMPl A095
AOCB ES 1570 PUSH HL JUMP2 A097 LIRPAR A063 LOOP AOD4
AOC9 Cl 1580 POP BC LOOP1 A081 LOOP2 AOBB RIEN AODO
AOCA El 1590 POP HL TABLE A019 TAMPON AOOO VECDEL AOSE
AOCB Dl 1600 POP DE VECINS A058 VECTID A020
AOCC 2802 1610 JR Z,RIEN
AOCE EOEIO LOIR Table used: 259 from 1000

10 MEMORY &9FFF
20 FOR i=&AOOO TO &AOD9
30 REAO as
40 POKE i , VAL<"&"+aS>
50 NEXT i
60 CALL 81AOOO
70 DATA oo,oo,oo,oo,01,oe,A0,21,oo, AO,CD,Dl,BC,C9,l9,AO,C3,2
C,AO, C3,5E,AO,C3,SS,A0,56,4S,43 ,S4,49,C4,56,45,43,44,45,CC , 5
6,45,43,49,4E,D3,00,D0,6E,00,00,66,01,E5 ,2B,46,2B,4E,2B,2B,2
B,2B,7E,3C,E1,E5,11, 00,00,5F ,19,EB,E1,F5,C5, 06,00
80 DATA 4F,EO,BO,C1 , 0B,78,B1 , 28 , 03,F1,18,FO ,F1, C9,AF, 32,D9,A
o,1s,os,AF ,3C,32,D9,AO,DD , 6E, 02,DD,66 , 03,E5,2B,56,2B,SE,2B,2
B,2B,2B,7E , 3C,DD, 6E, OO,DD,66,01 , D5,E5,4F ,CB,E1, CB,39,29,EB,2
9,EB,CB, 39,30, FS,CB,47 , 28,0S,Cl,09, EB,C1, 09,EB,18
90 DATA 02,c1 ,c1,c1, 09,EB, 09,06,00,4F,3A,D9, AO , B7,79,20 ,1 B, 2
B,ES,87,ED,42,ES,23,B7,ED,52,E5;c1,E1,01,2a,02,ED,BS,EB,47,3 1

E,00,77,2B,10,FC , C9, DS,EB,09,E5,EB, B7,ED,52,E5,C1,E1,Dl,28,0

2 , ED,B0, 2B,47,3E, 00,77,2B,10 , FC,C9,00

76
LISTING

Le Bombardier

Arriverez-vous à détruire toute une ville

pour faire atterrir votre bombardier ?
C'est le pari que vous lance votre Ams-
trad lorsque vous aurez tapé ce pro-
gramme qui vous réserve bien des sur-
prises ...
En effet. si vous réussissez le premier
objectif, vous devrez effectuer la
deuxième partie du jeu : c'est-à-dire le
BONUS.
Le mode d'emploi est inclus dans le pro-
gramme. •
Principales i nstructions
utilisées :
WHlLE et WEND : c'est une boucle
qui s'exécute jUSQu'à ce que la condition
située apr~ WEND soit vraie.
SYMBOL AFIER : celle-ci permet de
fixer la limite des caractères redéfinis-
sables.
SYM80L: Redéfinit le caractère sou- 10 REl1 - - - -- ·- - - -- - -
hah6. · 20 REH - -
EVER Y... GOSUB ... celle instruction 30 REll - - à LE BOMBARDIER
permet d'aller régulièrement à un sous-
programme tout en ayant le programme 40 RElt - -
qui s'exécute tout à fait normalement. 50 REi! - - Par Alain t'ORBIERE - -
Dl et El : ces 2 instructions servent à
annuler une éventuelle interruption 60 REl1 - -
(avec Dl) et à rétablir cette interruption 70 re - - et
(cette fois-ci avec BI). 80 REl1 - --
REMAIN : permet de supprimer un des
4 chronomètres. 90 Rai - - - Amstr ad Hagazine
SPEED INK : détermine la vitesse de 100 REH-
clignotement de la I" et de la 2• cou- 110 R9I
leur.
121l EHV 6,11,-1,JO:ENV 3,!,60,l:ENT t,I00,2,2:ENT ~,239,60,S:ENT -8,5,-16,J,2,3'1,I
Routine: utilisée: IJO 605lJll 'l80•60SIJB 2600
CALL 8806: cette routine stoppe le 140 DIM~<42, 251 , place(~)
programme jusqu'à ce qu'une touche
soit pressée. 150 rec=O
Alain Corbière 160 hbleau=O:sc=O:secsz45
78
'170 SOIMD o,o,o,o,o,o,o
llll llODE 1:111< 0,0:111< l,25 :11i\ 21 19:111< 31 15:!0ilDER D
l'IO x=l:y=l:z=x
200 GOSUB 760:60SU~ 580
210 tablaau=tableau+l :para=O
220 REM=== DEROLlEl1ENT •==
230 llllLE a(x+2,yl=D
240 PEN 1
250 kt=ll'.IŒYf
2&! SQUll) 1,750,1,15,0,0,1
270 x=x+I
28l IF y=2 AND x=2 THEN GOSUB 950:f'EH 1
2'IO IF x:.\O TfEN x•l :y•y+ l :LOCATE 38,y-l:PRINT'
JOO LOCATE x,y:PRINT ' éè' '
310 IF z=I AND x-2•1NT{x/2l•O AND k$•' ' AND Y<24 THEii z=O:t=x:s=y
320 1F z=D TIEN PEN 3
J;JO IF z=D THEN s•s+l:LOCATE t,s :PRINT '!I'
34ll IF a{t,s»O Tlt:N sc=sc+t:IF y) l TIEN PEN J:LOCATE 20,l:PRINT sc:PEH 1
JSO IF z=D AND s>y TIEN LOCATE t,s-t:PRINT ' ' :a(t,sJ=D:•<t+l,sJ=D:F!l+lS:IF w>24 Tl!En F24
J60 IF z=O AND s:. THEN z•l :s=t:1 <t,wJ=2: IF • (t ,w+11=2 T!IEll LOCATE t 111:PRINT' _• • •Fl aSE LOCATE t 1 w: PRINT' '
370 IF s=l AND IF24 THEM a!t,wl=D
380 IF y=24 AND x•18 THEN GOTO 1270
390 IF z=l AND x-2•1NHx/2l=O AND k$•' ' AND Y<24 THEN z=O: t=x:s•y
400 llENO
410 SOUND 1,29\,200, 15,0,1
420 IF x=l TIEN x=x+l
4:11 IF a(x+2,yl=D TlD LOCATE x+2,y:PRINT' ' aSE LOCATE x+2, y:PRlNT' _•·~
440 FOR i"'!I TO 24
450 LOCATE x,i :PRINT ' ~'iC!iR5{ 1~l
460 LOCATE x,i- l :PRINT' '
470 NEXT
480 FOR i=O TO 25')(_
490 FOR j•O TO 42
500 •(j,1)=0
510 htXT j
520 IF i<IO TlD OUT 255,B:OOT 256,1 aSE OUT 256,Z:Sl'EED I~ 7,8:111< 0,5,16:BORDER 16,5
530 ET i
~40 Ill< o,o:SPEED INK 25 ,zs :PAPER o:BORDER o:PEN 1
550 IF sc>rec THEN SOUND 11 300 1300 1 15 16 18 ELSE 1730
560 rec--sc
570 60TO 1720
500 REl1 ====== IM\JBLES ==
590 FOR c=2 TO 39
600 PEN 2
610 LOCATE c,25:PRJNT CHR${127l
620 IEXT
630 FOR i=2 TO 39 STEP 2
640 rl=RND• 15+tableau
650 IF rX<5 OR rX>20 TlEN 640
660 FOR j=D TO rl

79
' LISTING
670 IF j)!5 THEN PEN 1 ELSE PEN j
680 1F j=O OR j =4 OR j=S OR j=l2 TIEN j2'=j+l:PEN j2
690 IF j+l=r7. THEN jl=j2
700 LOCATE i 1 24-j
710 IF j=rX THEN PEN jl:PRINT CHRS! 214l;CHR$(215l:m(i,24-jl=t:m(i+l,24-jl=t :GOTOT.lO
720 PRINT CHRS(HI J; CHR$( 142) :m( i,24-jl=2:m(i+1,24-j l=2
730 NEXT j 1 i
740 RETIJRN
750 REM ====== REDEFINITION ======
760 SYMB(l AFTER 64
770 SYHBOL 91101 248,01196,2441252,244,228
780 SYM!l()l 93,0,3, 1,3,3,3,1,0
790 SYHBOL 94,0,0,0,0,74,254,254,254
800 SYMB<l 95,0,0,0,0,43,63,121,121
810 SYHBOL 123,96,240 1248,252,135 1 255,127 1 31
820 SYNP,OL 125,0,63,1,3,255,255,255,255
930 SYMBOL 129,0,0,0,3,7,15,31,63
940 S'lliBOL 130,0,0,0,192,224,240,249,252
850 SYHBOL 131,3, 13,26,53, 42,87, 124,8
860 SYHBOL 1321224 1 88, 172,86,1701245,63 18
870 SYMBOL 133,9, IJ,4,J,O,l, 1,1
aao SYMBOL 1341200,216,144,224,128,64,64164 '
890 SYHBOL 141, 127,llJ,113, 1131113,127,127,127 i
9!Ml SYMBOL 142,254,142,142,142, 142,254, 254,254 l
910 SYHBOL 146, 128, 112,8, 128, 192,208, 154,255
9"tll SYllBOL 163,0,192,128,192,192,192, 128,0 IJ
930 RETURN
940 REM === AFFICHAGE
9SO PEN 2
960 LOCATE 21 l!PRINT'TAB. No:•;tableau; ' SCORE :';SPACES(6l;'RECORD :•;rec
970 RETURN
980 REi! == PRESENTATION - -
990 MODE 0 !lNK l,6,20!1NK 2, 2:Sf'ffD lNK 15,lS:f'EN 2
ICXlO as=• Alain CORBIERE':b$=' et':c$='Alllstrad llagazine' :dS='PRESENTENT : •:eS=' LE BOMBARDIER'
1010 LOCATE 4,6
ltr.:11 FOR i=l TOLEN (a$)
1030 PRINT MID$ ta$,i ,l li
1040 SOIJto.'D 1150+(if30J,2,!S
1050 FOR j=O TO lCO:NEXT j
1060 IUT i 1

1070 LOCATE 3,6:PRINT CHR$(lbit)i

1080 PEN 3
1090 LOCATE 10,9:PRINT b$
1100 PEtl 8 1

1110 LOCATE 3,12:PRINT cS

1120 PEil 9
1130 LOCATE 61 15:PRINT d$
1140 PEN l
1150 FOR i=l TOLEN (e$ )
1160 LOCATE 1, 1'1
1170 PRINT RlGITS!eS,il;
1180 IEXT
1190 REM === lllJSIQUE ·1
1200 FOR j=O TO 19
12JO READ a
1220 SOLtID 1, a, 18, 15
1230 NEXT
1240 DATA 478,2841239,379,319,358,426,478,239,426,239,478,426,379,358,J58,Jl9,284,319,239,239,239,239,478,2841239
1250 FOR i=l TO IOCXJ:NEXT i
1260 RETIJRN
1270 RElt === tlUSIQUE 2 ===
1280 RESTORE 1330
1290 FOR i=O TO 11
IJOO READ a,b
1310 SOUND l,a, b,15
1320 NEXT
1330 DATA 21J,15,213,25,25J,15,21J,15,2011l5,2131l5,2J9, IS,2SJ,1512B4,2S,2S3,25,284,25,4261l5
1340 RElt ==--= BONUS --
1JSO chrono=secs
1360 ~DE 1:1NK 2,11,4:sPEED INK 10,1o:PEN 2
1370 LOCATE 11,a:PRINT'BONUS de'
1380 PEN J
1390 LOCATE 20,8:PRINT ' 120 Points'
HOO PEN 1
1410 LOCATE J, !J:PRINT' Si vws larguez les 6 parachutistes'
1420 PEN 3 1670 "ODE O:INK 3,6,ll:PEN 3
1430 LOCATE 13117:PRINT' Au bon endroit ' ' 1680 LOCATE 6, 12:PRINT'ATTENTJON 1 '
1440 LOCATE ll,2l:PRINT'En toins de' 1690 FOR i=O TO 1500:NEXT
1450 PEN 2 1700 HODE 1
1460 LOCATE 23,2t:PRINT secs;' secs.' 1710 GOTO 170
1470 GOSUB 20'".ICJ:GOTO 21211 1720 REM === FIN DE LA PARTIE ====
1480 RElt ~ RESULTAT 1730 CLS
1490 secs=secs-5 1740 PEN 3
1500 M ODE 1:JN( o,O:INK 1,2s:1NK 2,11,4:jta( J,o,26:BORDER 0 1750 LOCATE 10,12:PRINT' Voulez-vous rejouer'
1510 IF para<>O THEN 1550 1760 PEN 2
1520 PEN 2 1770 LûCATE 14,l7:PRINT'Oui ou Non?'
1530 LOCATE 7,12:PRINT' Desole ••• Pas de bonus'' ' !' 1780 IF 1Nl<EY!34l=O THEN CLS:60TQ 160
1540 GOTO 1640 1790 IF INKEY!46l=O THEN 1810
1550 PEN 1 1800 GOTO 1780
1560 LOCATE 9,7:PRINT'Votre score est aaintenant' i810 CLS
1570 LOCATE 171IO:PRINT' lll! :' 1820 INK 1,11,b: INK 2,S:INK J,6:SPEED INK !2,12=PEN 2
1580 PEN 2 1830 LOCATE 16,6:PRINT' C'etait :•
1590 LOCATE 21,IO:PRINT se 1840 PEN 1
1600 PEN 1 1850 LOCATE l4 1 14:PRINT'LE BOMBARDIER'
1610 LOCATE 8,14:PRINT' Grace aux :•;para;'parachutistes' 1860 fS=' Au revoir 1 •
1620 PEN 1 1870 FOR j=I TQ lEN(f$l
1630 LOCATE 9,20:PRINT'Largues au bon endroit !! ' 1880 FOR i=l5 TO 21
1640 PEN J 1890 PEN 3
1650 LOCATE 2,24:PRINT'APP11Yez sur une tooche POUr continuer' !'JO() LOCATE j+IJ,i:PRINT CHR$!252l
1660 CALL &BID6 1910 IF i}I5 Tl:EN LOCATE j+1J,i-1: PRINT' '
8·1
LISTING
1920 SOUND l,i•!j+l3),5,15
1930 l<EXT i
1940 LotATE j+l3,21 :PRINT' '
1'150 PEM 3
1960 LOCATE j+1J,21:PRINT Hllli(fl, j 1 1)
1970 NEXT j
1980 FOR i=O TO lOOO:NEXT
19911 Pm 2
2ŒXl LOCATE 11 1
2010 OO
2020 REll = SOUS-PROGRH =--==
2030 g$=' • . . Appuyez sur une touche • , , •
2040 FOR i•I TO LEN!gll
2050 PEN 1
2060 LOCATE l,24:PRINT RIGfTS!9S,i);
2070 IF INKEYS()'' THEN 60TO 2090
2080 NEXT
2090 IF ltf<EVI• '' THEN 2090
2100 REl\IRH
2110 REll = ~-SUITE =
2120 INK 2,ll:INK 3,6,24:BORDER 2,7
2130 FOR i=O TO 40
2140 place! i l•O
2150 IUT
2160 ClS
2170 FOR i•2 TO39
2180 FOR j=23 TO 25
2190 P84 1
2200 lûCATE i,j •PRINT CllR$!127)
2210 tEXT j ,i
2220 FOR i=IO TO JO STEP 4
2230 PEN 3
2240 LOCATE i, 22:PR!NT CHR$!129l;CHRl!IJO)
2250 place{ j)•l:p}acefi+ll=l
2260 hUT
mo h~CHRI{ IJll+CHRf! 132):il=CHRS(J3J)+CllR${ 1341
2200 x=O: z•I: t•I
22911 EVERV 50 GOSUB 2550
2300 PEN 1
2310 lflllE para()6
2J20 k$F lli<EYI
2Il0 x=x+I
2340 IF x=38 TllEN x=l :y=l:OI•LOCATE 38, l: PRlllT' ' •El
2350 Dl:PEN 1
2360 LOCATE x,1 :PRlNT' éè'' !El
2370 SOINl 1,~,1,1s,o,o,1
2380 Dl:lF z•I AND x-2•1Nîfx/21=0 AND kl=' ' TliEN z=O:t=,x:s=l:EJ
23911 IF 5)20 THEN z•l:s•l: t•I
2400 IF z=O TIEN s=s+l :Ol:LOCATE t,s:PRlllT hS:El: DI•PEN 2:LOCATE t,s+l:PRlNT il•El
2410 IF ;:=0 AND s>2 nfN DI:LOCATE t,s-2:PR!NT ' ':El:DI:LOCATE t.s-l:PRINT' ':El
82
 2420 Dl:IF z=I AND x-2t!l'fl'(x/2)=0 AND kl=' ' TIEN z=O:t:x:s:t:EI
2430 IF z=O AND s=21 AND p!ace(tl=I TtEN para=para+l:pJace!tl=2:GOTO 2450
2440 IF z=O AND s=21 AND place!tl=O TIEN DJ:LOCATE t,21:PRIHT' ':El:Dl:LOCATE t,22:PRINT' ' :El
2450 IOD
2~ a=RE!IAIN<Ol
2470 IF wa<6 TIEll 2530
2.\80 S<MiD 1, 426, 30, 15:SOl.tll) 1,3311,18, 15:S()IJ;D 1, 25J,JO, 15:S()l.M) 1, 3311, 18, 15 :SOON!) 1, 253, 40, 15
2490 FOR i=O TO llD'.J:lt:XT
2500 !IODE 0:1~ l, 20,6: PEN1
2510 LOCATE 4,ll:PRIHT' BONUS REUSSI ''
2520 FOR i=O TO 2000:tEXT
2530 sc=sc+(para•20)
2540 60TO 1400
2550 IF chrono=O TIEN S01.t1D 1,J10,21JO,l5 1 J,4:GOTO 2460
2560 chrono=chron~I
2570 DI:PEN 2
2580 LOCATE l6124:PRIHT' Tet1P1l :•;cbrono:EI
2590 RETl/RN
2600 RE1t = REfi..ES DU JEU =
2610 ltODE 1:1tf( o,o:llf( l,25:Jlf( 2,22:11f( J,J5:PAPER O:BORDER O:PEN 1
2620 LOCATE 5,JO:PRIHT'Voulez-vous les regles ~Jeu ?'
2630 IF INKEY<J4)=0 THEN 2660
2640 IF Ui<EYl46l=O TIEN CLS:RETURN
21.SO GOTO 26311
2660 O.S:PEM 2:LOCATE IJ,4:PRINT'Regles ~jeu : •
2670 PEN 1
2680 LOCATE 4,9:PRIKT' Votre but est d'essayer d'atterrir'
2ô90 LOCATE 4,12:PRINT'avec votre boabardier sur une ville'
2700 LOCATE 21 15:PRIHT'Pour cela 1il vous faut d'abord larguer'
2710 LOCATE J,IB:PRINT' des botbes .Si vous reussissez ,vous '
2720 LOCATE 9,21:PRINT'devrez effectuer le '
2T.lO PEN 2
2740 LOCATE 29,21:PRIHT ' ~'
2750 PEN.!
2760 CAl..l &BBOb:CALL &BS06
2770 CLS
2780 Pf.N 2
2790 LOCATE 15,4:PRIKT' lndications :•
2800 PEN 1
2810 LOCATE 7,9:PRINT'~orsque vous entendrez ce son '
2820 LOCATE 11,IJ:PRINT' le record sera battu'
28JO LOCATE 4117:PRINT' Le largage des bo1bes se fait avec'
2840 LOCATE 11,20:PRINT'la barre '
2850 PEN 2
2860 LOCATE 21,20:PRINT' < esi>aœ >'
2870 FOR i=I TO 500:1Elî i
2880 SOUllD !,JlJO,JIXl,15,6,8
2890 PEN 1
2900 60SUB 2020
2910 RE11JRN
86