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Histoire Médiéval 2nd Semestre

Le monde franc en mutations (888-1137)


Cette période à fait l’objet d’un débat d’historien à partir des années 1990. Voir les arguments
des uns et des autres, sur quels sources ils s’appuient et par là on verra la fabrique de
l’histoire. L’Histoire n’est pas figée et peu évolué en fonction de la recherche.
Tout le monde est d’accord pour dire que la société occidentale du XIIE siècle n’est plus la
société carolingienne du Ixe siècle. Comment s’est fait cette évolution ? Continue,
progressive ? Insensible ? Ou bien des moments d’accélérations, de poussée ? D’où le terme
de mutations et si c’est le cas combien de mutations et à quel moment ?

L’historiographie du XIXe siècle et début XXe (vieille école). On a un État bien structuré à
l’époque carolingienne qui s’émiette du fait de la féodalisation pour conduire à « l’anarchie
féodale » avant que les rois capétiens ne reconstruisent un État solide politique. Le paradigme
(grille de lecture) est synthétisé par l’ouvrage de Marc Bloch La société féodale 1939-1940.
Il parle d’un âge féodal qui pour lui est inaugurer en 877 par le capitulaire de Quierzy par
Charles le Chauve qui pour Marc Bloch comme légalisant la féodalité. L’acte de naissance
officielle de la féodalité. L’âge féodal il la voit dans la bataille de Bouvines de 1214 où
Philippe Auguste capture le Comte de Flandres, Ferrand de Portugal et d’autres vassaux du
Nord. Cette bataille montre la victoire de la couronne capétienne sur la féodalité. Césure,
inflexion qu’il situe au milieu du Xie siècle, 877-milieu Xie puis milieu Xie-1214. La
féodalité dans le première âge féodale aurait été un facteur dissolvant des instituions
carolingiennes et au contraire dans le second âge féodale, la féodalité serait un moyen pour
reconstruire les institutions par la royauté.
Georges Dubis à remis en cause ce paradigme originel, thèse de 1953, Société aux Xie et XIIe
siècle dans la région mâconnaise. Pour lui, au Xe siècle, les institutions carolingiennes sont
toujours en place, l’exercice de la justice s’accomplit toujours comme au VIIIe-Ixe siècle. Pas
de mutation en 877. D’un autre côté, les institutions féodales du XIIe siècle sont déjà là au
Xie siècle dans une certains mesures. Les institutions carolingienne s’effondre à la fin du Xe
siècle, dans la période 980-1030.
Cette thèse à marquer toute l’historiographie de la deuxième moitié du Xe siècle, dont Jean
François le Marinier qui a conduit bcp de ses étudiant pour faire des thèses sur d’autre région.
Ce nouveau paradigme à fait l’objet d’une synthèse par Jean Pierre Poly et Éric Bournazel, la
mutation féodale, Xe-XIIe siècle. Cette mutation féodale à été publié pour la première fois en
1980 et fait la synthèse de ces travaux régionaux et s’inspire de son paradigme. Le Xe siècle
s’inscrit dans la droite ligne du Ixe, transformation brutale au Xie de la société et des
institutions, la mutation féodale et on a ces institutions que l’on retrouve au XIIe siècle. Ils
mettent l’accent sur le mouvement de paix, les réactions sur ce que les sources appellent les
mauvaises coutumes et l’apparition des hérésies vers l’an 1000 également.
Réédité en 1991 puis Dominique Barthélemy à commençant à critiquer ce paradigme de la
mutation féodale, série d’articles sur différents thèmes qu’il a rassemblé, La mutation de l’an
mil a-t-elle eu lieu ? 987-1214.
Il qualifie de mutationniste Poly et Bournazel et on peut le qualifier d’anti-mutationniste. Poly
et Bournazel on republie en 2004 leur mutation féodale. Avant-propos des auteurs réfutant
l’anti-mutationnisme de Barthélémy. Débat d’historien qui a viré au dialogue de sourd.
(le prof crée l’expression mutation princière).

Barthélémy parle de mutation pour le tournant Xie-XIIe siècle, la mutation de 1100.

La période 888-1137.
888 est la mort de l’Empereur Charles le Gros qui a été le dernier carolingien à gouverner
l’ensemble du monde franc, de l’empire carolingien, ce monde ce morcelle en une demi-
douzaine de royaume. Divers regroupement pour arriver à deux États, l’Empire (l’Empire des
Romains, pas encore saint que Sous Fred Barberousse et encore moins germaniques, 15 e
siècle pour qu’il soit SERG). Et le royaume de France. Le hasard veut qu’en 1137 Lothaire III
et Louis VI trouve la mort.

I. Présentation
1) Comparaison Ixe s./Xiie siècle
Tour d’état de la chrétienté latine. On a affaire à une chrétienté latine sur la défneive face aux
envahisseurs qui sont vikings ou normands sur l’atlantique et même en méditérannée. Les
sarasins ravageant la médiétanée. En provence, les sarasins s’installent dans le Massif des
Maures, dans la localité de Freinet à partir de laquelle sert de nid d’aigle pour toute la vallée
du Rhone et dans la région des alpes. Raids à partir de la péninsule ibérique sous domination
islamqiue. Magyars 890-900 envahisseurs.
Nullité des carolingiens dont certains achètent les vikings, pourqu’ils aillent ravager une autre
région. Les aristocrates assument la défense.
Si on se situe au XIIe siècle, la rconquete sur l’islam à commencer (Reconquista a partir du
Xie). En Italie avec la reconquête des 3 îles, Sicile, Sardaigne, Corse et en Terre Saint avec la
formatuion du roayume de Jérusalem.
Drang Nach Osten, poussée vers l’est qui voit la germanisation de l’Europe central et
orientale. La chértitenté du XIIe siècle est en écurité, plus de menace extérieur.

Un des facteurs de l’essor démographique qui bat son plein au XIIe siècle même s’il est
difficile de savoir à quand il remonte.
En 888, la chrétienté latine se confond avec l’Empire carolingien quasiment. Il n’y a que 2
États indépendants, le royaume des Asturies (Oviedo comme Capitale) au nord ouest, à l’est le
royaume de Navarre, reconnu par Louis le Pieux et constitué de la partie occidentale de la
marche d’Espagne et le Royaume d’Angleterre qui vient d’être unifié par Alfred le Grand
dont la moitié nord est est occupé par les vikings.
La république de Saint-Pierre. Par un décret de Lothaire 1 er en 824, l’lélection du pape est
sous le contrôle étroit de l’Empereur, par l’Empereur ou ses missi dominici. On a pas d’État
ponitificale qui serait indépendant.
Au sud, le Bénévent dont le chef s’intitutle Prince, sacré prince, façon de revendique son
idnépendance mais jamais reconnu par les carlingien et successeur qui vienent maté celui qui
considère le duc de bénévent et le contraigne à prêter hommage.
La principauté de grande moravie sur le terrtorie Tchéquie et Pologne, stallite de l’empire
carolingien et disparait avec l’invasion Magyar. La chrétienté latine se confond avec l’Empire
carolingien. A la fin de notre période, la situation est bien différente. L’Empire et le royaume
de France. Avec la querelle de sinvestitures remporter par le pape, État pontificale
indépendant. En 1137 situation de schisme entre le Pape et l’Antipape (rien a voir avc
l’Empire, schime interne).
Royayume d’angleterre qui entre dans une crise de succession avec la mort d’Henri Bauclay,
est apparu le royaume d’écosse vers l’an 1000 qui ne comporte pas toute l’ecosse actuelle,
royaume de Norvège en possède une partie.
Son apparu vers l’an 1000 les 3 royaumes scandinaves.
Auy dus de la baltique est apparu le royaume de Pologne, au sud le royaume de Hongrie, 1 er
janvier 1001. Il vient d’annexer le royaume de croatie à la fin du Xie siècle. On voit apparaitre
le royaume de Jéruslame et les autre État latin d’orient.
En Italie méridionnale, u nouveau royaume est en cours de constitution, le Prince de Sicile se
pose à partir de 1130 en roi de sicile. Il a unifié l’ile de Sicile et le midi italien, lombards et
byzantins. Il reconnait l’antipape en 1130 Anaclète et pas le pape légitime, celui-ci ne
reconnait le royame qu’en 1140. C’est un royaume vassal du Saint-Siège.
Dans la pnéinsule ibérique, en 1135, le roiu de Navarre à partager entre ses 3 fils son
royaume, royaume de Castille à l’ouest unit au ryaume de Léon 1137-1167 et à l’est, apparait
le royaume d’Aragon, monte sur le trône en 1137 le comte de Catalogne. Le comte de
Portugal qui au départ tient un comté frontalier du royaume de CAtilel et Léon devient
autonome en 1137 et indépendant, roi de Portugal en 1140. A la fin de notre période, 3 et
bienttot 4 rois dans la péninsule ibérique.
La chréitenté latine se compos d’une quinzaine d’État indépendants, la donne a complètment
changer.
Unité autour du monde franc carolingien puis au XIIe siècle une pluralité constituant cette
chrétienté latine.
Ce passage peut-être uen grille de lecture pour mesure l’évolution des pouvoirs et des
isntituions du monde franc entre le Xe et Xie siècle.

Au Ixe siècle
1. Pouvoirs :…
Potestats, Auctortias, Imperium sont les fondements clés. A la tête du monde carollingien, le
roi ou l’empereur carolingien possède les 3. Cela donne des monopoles, en matière
diplomatique, des relations avec les autres souverains, Basileus bysantin et Caliphe
Abbassides. Monopole militaire, convocation de l’ost. Droit de fortification que Charles le
Chauve à rappeler par l’Édit de Pîtres en 864 (ordonneer la construction d’une forteresse,
l’agrandissement, l’entretient, la réduction ou le démantèlement).
Toute homme libre dans le monde franc et valide peut être mobiliser à l’ost. Même si en
pratique , les caorlingiens ont mis en place u système de groupement par 4 manses (fournir
l’équipement d’un soldat).Le manse est lunité d’exploitation rurale. 1 manse permet de faire
vivre une famille.
Proprio de 4 manse odit le service miltiaire
Proprio de 2 manses doit en trouver un autre pour faire le service militaire.
Proprio de 1 manse, soit de 1 de 3 soit 3 de 1.
Monopole monétaire, droit de battre monnaie, prorogative de l’Auctoritas du princeps, il
dresse la liste des Monnaires, des institutions (une douzaine) en charge de superviser la
production des monnaies dans les ateliers monétaires. Le sysètm emonétaire au long de notre
période repose sur le monométalisme argent, personne en occident bat des monnaies d’or.
Besance, or frappé à Byzance ou en Islam.
Denier ou subdivision du denier. Sou et la livre sont des monnaies de compte.

Monopole du contrôle des unités de mesures, poids, longueurs. On a les même mesure dans
l’ensemble du monde carolingien.
La législation, on appelle capitulaire la législation carolingienne. Il est organisé en capitula,
chapitre/article. Elaborer en colaboration avec les grans dlors des Plet généraux.
On fonctionne toujours sur une réflexe conservateur, mettre à jour le droit existant et pas pour
le bouleverser. Le système de la personnalité des lois, chacun est jugé selon sa natio (lieu de
naissance) avec une bonne dizaine de loi romano-barabre qui sont des recueiols de coutume.
Dernière codification Loi des saxons en 802.
Droit canons définit par les évêques et le droit roamin subsidiaire, recours pour les points de
droit non fixés. Bréviaire d’Alaric en 507.
En Italie ce sqont les compilations justiniennes.
Le princeps n’exerce pas la potestas lui-même, que dans des cas précis, il délègue cette
postestas à des Judices dont les principaux sont les comtes.
Délégation de l’Auctoritas au Missi dominici. CE monde carolingien est une monarchie au
sens que tous les pouvoirs procède d’une manière du princeps carolingiens. Avec le droit
d’investiture, l’accession à l’épiscopat est contrôler par le princeps.
L’épouse du carolingien, est sacré depuis Judith en 820 et à remplacer le maire du palais
comme chef de la cour, organisatrice de la vie de la cour, deuxième personnage de l’État.
Importanec de la chappelle, l’oratoire du palais, princeps chrétiens. Les chapelains sont
égalment une pépinière d’agent du pouvoir central, on va chercher les scribes pour rédiger les
actes du princeps. Certains peuvent parvenir à l’épiscopat.
Siur le terrain, le pouvoir est exercé par des agents publics délégataires de la potestas. Les
princiapxu sont les comtes exerçant sur des pagus, haute justice, levée de l’ost et de la
perception des impôts. Depuis charlesle Chauve, les pagus sont subdivisé en Vicaria (Vicariae
pluriel) chacune étant dirigé par un Vicarius qui exerce la basse justice. Parallèlement à ces
agents qui reçoivent une délégation de la potestas du principes, les forts éccleésiatiques
exercent la haute justice et les prévots la basse justice.
Système de l’immunité qui interidt au comte et autre agents royaux d’exercer leur potestas sur
les domaines des immunistes. Les carolingiens ont mis en place l’institution de l’avoué qui est
nommé par les missi dominici pour exercer les aspects armées, policiers et militaires de la
potestats sur le territoire des immunistes ecclésiatiques.
Pour ce qui est du domaine des évêques, on va parler de Vidam (plutôt que d’avoué).

Au XIIe siècle, il n’est plus question de monarchie, on pourrait forger l’expression de


polyarchie, pluralisme très marquée en France et moins en allemangE. Série de pesonnage,
roi, pricnes territoiraux et seigneurs bannaux. Hériiter du princeps carolingiens, héritiers à
titre héréditaire sous le nom de ban du pouvoir. Ces personnages ont es périorgative en
matière diplomatique, les rois mais aussi les princes territoriaux avec l’étranger, prérogative
miltiaire avec le droit de fortifications, l’armée est constitué des vassaux de ces personnages
qui sont nobles par définition tandis que les roturiers et non nobles ont des devoir smiltiaires
réduits à la défense du château ou bien des corvées d’entretien du château et des services de
guets. Sur le plan monétaire, tous ces personnages on le droit de battre monnaie, variété
extraordinaire de monnaie au XIIe siècle. Aucun de ces personnages n’est assez puissant pour
assurer cours libératoire à sa monnaie, concurrence monétaire. Dans les échanges, les
acheteurs et vendeurs sont livre de faire les échanges dans la monnaie de leur choix.
Les monnaies étant prises à la valeur su métal précieux qu’elles contiennent. Les pouvoirs qui
battent monnaie ne peuvent imposer une valeur officielle à leur pièce de monnaie.
Pareil pour les unités de poids et de mesures, préorgative du pouvoir bannale. Variété
extraordinaire de poids et mesures au XIIe siècle, livre, muid, la lieue.
Pour ce qui est de la législation, distinguer la France et l’Empire. En France il n’y a pas de
législation tout au long de notre période. LE dernier capitulaire carolingien promulguée en
884 avant notre période et règne de Louis VII, 1144-1146 pour voir les premières législations
capétiennes. La première ordonnance publié par Louis VII.
En terre d’empire, l’Empereur légifère tout à long de la période même si cette dernière est
rare.

Pour ce qui est du droit, le système de la personnalité des lois à disparu au profit d’un système
territoriale, se sont mis en place dans les seigneuries son droit, son système de coutume dont
relève tout les habitants de la seingeuries. Pour le droit romain, le bréviaire d’alaric est oublié
au profit des compilations justiniennes qui font l’objet d’u es engiement dans les écoles, que
l’on appele école des lois. Le droit romain devient une référence pour ces variétés
d’interllectuels que sont les légistes mais il n’est le droit officielle d’aucun des États. Ces
détenteurs du pouvori banale délègue leur pouvoir à des agents, on distingue deux grandes
catégories, les Sergents (pas un sens militaire, vient du latin Sergens, servir). Qui est un
homme à tout faire, un serviteur qui peut à faire n’importe quoi, il se distingue du ministérial,
ministériaux au pluriel, occupe un ministère/métier, une tâche précise, une profession à
accomplir. Les principaux ministériaux sont les maires, les voyers (vient de vicarius en langue
‘ouil, en langue d’oc Viguier). Agent du pouvoir bannale/seigneuriaux. Le seigneur bannale
est un roitelet, micro-État mais État quand même, il est un reflet du roi, petit roi. L’épouse du
seigneur, la dame est la deuxième personne de la siengeuria, vient de domina.
De la même façon qu’a lépoque carolingienne, l’oratoire du palais était une chapelle, tous les
seigneurs ont installés aune chapelle dans leur château.
DE façon génral, au haut général, mot d’origine latine et on voit faire place à de smots
d’origines germanqiue come le mot ban, désignant le pouvoir concert au niveau local, il prend
la place du terme potestas. Pouvoir de commandement verbale du chef de guerreà l’origine
avec une dimension charismatique du perosnnage. On peut parler de povuoir banale, donne
naissance à tout un vocabulaire, (banalité, four nabale, pressoire banale) des monopoles que le
seigneur impose au titre de son povuori de ban. Les sujets ont l’obligations de faire cuire leur
pain dans le four du seigneur.
Mot bannière, l’étendard de guerre.
Le terme de ban peut désigner l’ensemble des vassaux (ouvrir le ban, fermer le ban). Terme de
détroit, le pouvoir de contrainte, de police sur le territoire d’une seigneurerie banale et puis
ont trouve les termes de dominatio et dominium fondé sur les termes de dominus désignant le
domaine et le pouvoir du seigneur banale. A propos de dominus, on peut voir l’influence sur
la religion, sur la dévotion religieuse. Dominus est le maitre de la maisonnée constitué de la
famille du maitre et ses serviteurs, clients …
En chrétienté, on a appliqué le terme de Dominus à Dieu, maitre de tous les hommes. Le mot
dominus à aussi pu dégisner le saint, comme protecteur (a donner le diminutif Dom).
Royaume des cieux à l’image des royaumes terrestres, on parle d’une cour céleste, comme la
cour du roi avec ses vassaux (anges, archanges). Cela explique aussi la posture du chréiten à
prière, celle du vassal qui prête hommage. Le fidèle est vassal à Dieu.

2) Église : vient du latin ecllesia venant du gerc ekklesia signfiant l’assemblée des
citoyens, l’assemblée du peuple. En contexte chrétien, le mot à pris le sens de
l’ensemble du peule du dieu, ‘lensemble de la société chrétienne. Le mot peu aussi
désigner uen fraction locale dans le cadre diocésain, on va parler de l’Église de
Rennes. Lemot Église va aussi désigner le mot batiment dans lequele st exercer le
culte chrétien et le mot eglise peut désigner l’ensemble des clercs qui dessert cette
Église. Le sens de base est l’ensemble du peuple chrétien. Composé de cadre que l’on
appelle clerc et laïcs qui sont les fidèles. En marge, on a les moines.
Au sein de cette éEglise qu’est la société chrétienne, s’exerce des pouvoirs qui
s’netremêlent avec la prérogative des pouvoirs laics sur l’investiture. Les prêtres de
paroisse au niveau locale sont choisit par les patrons des eglises, héritiers des
fondateurs de ces eglise rurale. A partir des années 1170, les réformateurs, papauté
réformatrice à voulu séparer clercs et laics et mettre un terme a cette entremêlement.
On peut parler presque d’un slogan, liberté de l’Église ou il s’agit de retirer les
préorgatives des pouvoris laics sur les commuantués ecclésiatique. Cette notion de
liberté de l’Église introduit une coupure dans l’ancienne conteption globalisant de
l’Église en excluant les puissances laics et on arrive à la ntonio d’aujourd’hui où
l’Église est l’instituion cléricale, l’ensemble des clercs face au pouvoir impériale et
royale ce qui conduit à distinguer le saccerdoce et le regnum.
Église au sens d’instituion cléricale avec pour chef l’év^que de Rome.

Cette position du pape comme chef de l’Église va amener celui-ci à prendre le


contrôle de l’accession à l’épiscopat. Il a fallut utiliser un autre terme pour désigner
l’ensemble de la société chrétienne et c’est le terme de chrétienté dont le chef est
également le pape dans une large mesure, ce qui aparait avec le lancement de la
première croisade par Urbain II ou l’ensemble des fidèles répond. Cette évolution
apparait avec une mutation progonde avc a réunino des concils oeucuméniques.
L’empereur convoque les conciles a la base mais maintenant ce sont les pape. Innocent
II avec Latran I 1139 est le premier à le faire, de façon. A marquer sa victoire sur
l’antipape Anaclète. Les conciles oeucuménique du IIe millénaire sont convqué par
l’évêque de Rome. A ces concilts œcuménique sont à l’écart les églises orientales et
notamment byzantines.
Pour terminer, évoquer la société, on illustrera l’évolution dans les séances de TD.

Coneption de la famille, ce qui prédomine au Haut Moye nage, famille au sens large,
Sippe/parentèle tout les cousins contemorains, descendants d’un même anc^tre, qui
devient plus ou moins légendaires et on est incapable de dresser l’arbre généalogique
entre cette ancêtre et soi même. Sans profondeur historique, pas de passé.
Equivalance entre les branches maternnelles et paternelle, on le voit dans l’attribution
du nom.
Au XIIe siècle, c’est le lignage, chaine des générations depuis un ancêtre plus ou
moins réelle mais que l’on sait coment l’on descend de cette ancêtre. Apparition des
arbres généalogique et on connait les lieux où ils sont inhumés. Une des conséquences,
est la mise en avant de la branche paternelle car la fille quittecelle de son père pour
son mari. Évolution selon ‘antrhoponymie, au carolingienne juste un seul nom (pas de
prénom). Personnel. Au XIIe siècle, se répand le deuxième nom qui est presque un
surnom à caractère personnel et qui deviendra héréditaire.
Pour ce qui est de la conception de la société, sous les carolingiens, conceptions
hiérarchiques des rapports sociaux, toute vélléité de faire des associations de pairs sont
écrasés dans le sang par les povuoris carolingiens. Conception verticale des rapports
sociaux mais aspirations de la société à voir d’autre relations.
Au XIIe siècle, développe des Conjurationes, associations jurés entre égaux.
Naissance des communes sur le plan politiuqe, puis on voit apparait les confrèrie à
caracère géographique et professionnel a partir du milieu XIIe.
Autre évolution sur la façon de désigner pour la majorité de la population, a l’époque
carolingienne, toujours attaché à distinguer les conditions juridiques des gens, tout un
nuancier de condtions de la liberté à l’esclavage, de lien de dépendance.
Au XIIe siècle, on voit se développer l’usage du terme rustici, que l’on peut traduire
par paysan sans distinction de conditions de statuts entre ces paysans. On voit
apparaître la paysannerie en tant qu’un concept sociologique. A H-M-A principe de la
prision hérité du droit romain, application à la priorité foncière du principe de droit
romain, ce qui n’est la propriété de personne est le premier de celui qui la trouve. Dans
le domaine foncier, avec ce droit, tout un chacun peut venir dans uen foret et défriché
une partie de la forêt, la mettre en cutlure et se l’approprier et on le reconnaitra le
groupe sociale prorpriétaire de cette clairière. D’où l’insécurité et la fuite de
population, ce mode est assez répandu (aussi avec la densité de pop).
Même si les ruraux peuvent s’approprier des terrains, les sources non pas a fleurs cela.

Les siegneus banaux veuelnt controler au XIIe les défrichements, la constitution de


novueau terroirs, lié à l’essor démographique, sous l’étroit contrôle du pouvoir
politique locale du seigneur banale, ce milieu social général des sources.

Sur le plan des pouvoirs, de l’eglise de la sociét,é le monde occidentale à bien changé
entre le IX et le XIIe siècle, visage bien différent.

7/02/2024
Période 888-936
Date de la mort de Charles le Gros, dernier carolingien a avoir gouverner sur
l’ensemble de l’Empire franc de Charlemagne.
936 voit la mort des deux principaux royaumes, Henri 1 er L’oiseleur en Francie
Orientale et qui gouverne la Lotharingie et le roi Raoul régnant sur la Francie
Occidentale. En 937 meurt aussi Rodolphe II de Bourgogne.

Aujourd’hui, nous allons évoquer cette période pour le royaume de Francie Occidentale,
marqué par la mutation princière, que l’historiographique appelle l’apparition des principautés
territoriales, constituant un changement majeur. Le Princeps est celui qui tient le premier en
matière d’Autctoritas et ce personnage détient l’Auctoritas, ‘Imperium et délègue la potestas
judiciaria. Celui qui tient le premier rang, il en a qu’un sur un territoire donné.
On va avoir plusieurs princeps au sein du même royaume (alors qu’un seul est la norme).
En 888, ClG meurt et en l’abscence d’héritier carolingien masculin majeur, chaque grand
région a souhaiter se doter d’un roi tirer de ses entrailles. En 888, d’une part nous avons
Arnulf, un bâtard, de Loius le Germanique et Carloman ?, il est inpensable à cettr époque que
la Francie Ocicdentale, hoississe pour roi un batard. L’autre carolingien est charles le simple,
fils posthume de Louis le Bel. C’est un fils carolingien légitime mais mineure et dans le
contexte des invasions vikings et sarasines. On pense qu’il faut un roi majeure, pouvant mener
l’armée au combat. Arnulf est écarté pour des raisons religieuses, ClS est écarté car trop
jeune, aucun carolingien idsposible pour le trône de Francie occidentale. Celui choisit par les
grands est le Robertiens Eudes. Fils de Robert le Fort, mort en héros a une batilal face aux
vikings en 868, Rhénanie moyenne, région d’origine de la famille. Charles le gros réintroduit
Eudes et Robert en Francie Occidentale quand lui-même est reconnu comme roi par les
grands. La charge de comte de paris est vacante et ClG nomme Comte de Paris Eudes et on a
le siège de Paris à l’hiver 85-86 et en tant que comte de Paris, Eudes est celui qui va assurer la
défense de sa ville à côté de l’évêque de Paris Gosselin. Victoire défensive, les vikings
échouent à prendre Paris, mais Gosselin meurt en 886 et Eudes est le seul à tirer les marrons
ud feu, seul auréolé du prestige de cette victoire. Gosselin était évêque de Paris mais abbé de
Saint-Denis et de Saint-Germain-des-Près. CLG va investir Eudes des abbassiats de Saint-
Denis et SGDP, ce qui renforce le pouvoir d’Eudes à Paris. LE hasard veut que la même année
886, le personnage à qui CLChauve avait donné l’investiture de tout les honores de robert le
fort, meurt cette même année, c’rst un Welf, Hugues l’Abbé, il était déjà clerc, abbé de Saint-
Aignan d’Orléan et seigneur d’oraléna, il devient marquis de Neustrie, Abbé de Marmoutier t
saint martin de tours, comte de tours, abbé de saint aubain d’anger et comte ‘dAnger,
cumulant ainsi un pouvoir énorme en Neustrie. Cahrles le Gros la même année donné à
Eudes, l’investiture de tous les honores d’Hugues l’Abbé. Le pouvoir robertien est composé
de deux blocs territoriaux, un petit bloc parisien et puis un bloc ligérien avec le titre de
Marquis de Neustrie, et les titres de comtes des pagis ainsi que les abbasiats sus mentionné.
Eudes est l’un des plus puissants personnage du royauem de Francie ocicdentale, le plus
puissant de la moitié nord de ce royaume à la mort de CLG. Son accession en début d’année
888 n’est pas si facile que ça, il est élu que par un partie par les grands francs, Seine et la
frontière de l’Escaut. Il est sacré au printemps 888, il a ausssitôt affaire à l’hostilité de
Foulques, archevque de Reims, il est donc sacré à sens.
Au milieu de l’année 888, Eudes remporte une victoire sur les normands, augmentatnt son
prestige et à l’été, il fait le voyage en Francie Orientale à la cour d’Arnulf qui le reconnait Roi
en Francie Occidentale. A la suite de ces deux évènements, il va pouvoir être courronné en
novembre 888 avec une couronne envoyé par le roi Arnulf. A la fin de l’année 888, Eudes est
reconnju par tout le monde dans la moitié nord du royaume de Francie Ocicdntale. Ce n’est
qu’au début de l’année 889, qu’il vient au sud de la loire, et va être reconnu à posteriori par
les grands du Midi.
Le roid e Francie Occidentale n’est pas choisi par tous les grands du royaume, mais seulement
par ceux de la moitié nord. Les rois sont choisis uniquement par les Francs. C’est la raison
pour laquelle noter pays est appelé la France.

Apaprition des principautés territoirale,s phéonmène mieux document pour les principautés
d’aquitaine et de bourgogne.
On est dans les documents en 893. L’année précédent, Eudes à commis des maladresses, il
s’est aliéné une partie des grands méridionnaux. D’abord, dans la partie occidenatle de
l’aquitaine, la famille des Ebles dont Ebles Manzer est le comte de Poitiers, il le démet de ses
honores pour le donner à un Adhémar, lointain parent du roi. Cela provoque la rébellion de la
famille des Elbse dont fait partie l’archichancellier du roi qui meurt dans uen bataille. Au lieu
d’installer Adhémar comme promis, il investit son propre frère robert. Il s’est mit à dos la
famille des Ebles mais aussi Adhémar. Surtout, il se passe un truc en massif central.
Guillaume le P ieux, marquis de Gothie, comte d’auvergne, de limoges, de macon, du puis.
Eudes cherche à l’évincer en lui retirant ses honores pour les confier au comte de Bourges
hugues, il fait assassiner ce hugues (Guillaume le Pieux). S’étant mis à dos les grands
d’aquitaine, le roi s’est engagée à ne jamais destitué un homme et ses honores sans jugement,
violant un traité …
Foulques profitent du fait que charles le simple accède à la majorité pour le sacré roi à Reims
le 28 janvier 893, confrontation entre Eudes et ses partisans et CLS de l’autre. Confrontation à
lieu au printemps 893, l’historiographie traditionnel à commis une erreur d’interprétation, sur
les anales de saint-vaast, principale abbaye d’Arras. Elle nous parle de 3 armées, CLS du
nord, Eudes d el’ouest, et une armée venant du sud avec des aquitains. L’historiographie à
compris que l’armée venant du sud internvenait du côté de Charle le S, Jean Pierre Grand
Erche, cela repose sur un contresens commis sur le texte, et en réalité Guillaume le Pieux se
présente du côté d’Eudes. Leur poisd fait pencher la balance qui s’impose définivement face
aux carolingiens. Accords en Robertins et carolingien en 897, Eudes laisse sa succession à
CLS et il s’enage à laisser ses honores à Robert (frère de Eudes).
Pourquoi l’armée du sud soutienennt Eudes. Olivier Guyot, Eudes à fait d’énorme concession
à ces deux grands, il leur donne à titre défintiif, les deux principaux abbassiat de leur regna
rspectif. Il ne les investit pas abbé en tant que titulaire d’honores qu’il tiendrait par délégation
du roi. Ces abbassiat vont faire partie des patrimoines des familles de Guillaume et de
Richard. Pour guillaume, il reçoit Saint Julien de Brioude, au moyenage, princiaple sanctuaire
de pèlerinage du midi, abbaye ayant un grand prestige spirituel et religieux. C’est à SJde
Brioude qu’est inhumé l’empereur Avit (petit empereur après Valentinien III), seul empereur
du bas empire qui était un gallo-romain. Seul à être ihnumé en Gaule. Cela donne à SJd
brioude un certain charisme politique en plus du charisme religieux.
Ppiru Richard le Justicier, Eudes lui donnent les abbasiat de Saint Colombe de Sens et saint
GermainD4auxerre. Prestige sipirituel et religieux de ces abbayes. En plus SG d4auxerre est
l’un des principaux foyer de la renaissance intelelctuel carolingienne.
Eudes donne ces abbasiat, intégrer au patrimoine familiaux de ces personnages. Cela apporte
un prestige considérable qu’ils ont en eux même, cela leur apporte l’(autoritas, les hissant au
rang de Princeps. C’est la naissance des principautés territoriales.

Richard le justicier te guillaume le Pieux, ils ne se ressemblent pas sur le plan du caractère.
5 extraits : Annales de Saint-Vaast
Saint-Vaast, principale Abbaye d’Arras, diocèse d’Arras est un diocèse mais n’ayant pas
d’évêque propre, c’est l’évêque de Cambrai qui à ce rôle. CE double diocèse est dans une
situyatin paritculière, car sur le plan ecclésiastique, fait partie de la province de Reims mais
sur le plan politique, celui de cambrai est en lotharginie et l’autre est en Francie Occidentale.
C’est le roi détenant la lothargingie que a le droit d’investiture la.
L’analyste est assez impartial, il ne prend partie pour aucune personne.

Extrait suivant, sont les annales de saint colmbe de sens, récit contemporain mais rédigé dans
l’abbaye donné à Richard le justicier, donc partial.

Histoire de l’Église de Reims, rédigé par Flodoard en 948, chanoine, l’un des plus grands
historien du Xe siècle. Flodoard s’est vu confier par son archevêque le soin des archives de
l’archevêché qui était très bien tenu. Il rédige une histoire, un récit histirographique qui était
élaboré, l’historien à une vision de l’histoire, il veut dire quelque chose. Il veut faire l’éloge
de son églsie de Reims. Il s’appui sur les archive sde l’archevêché, il fat une œuvre
d’historien, citant ses sources, ses documents d’archives. Soit textuellement ou donnant une
sorte de résumé, il donne l’analyse de la correspondance entre l’archevêque de Reims de
l’époque, Foulques et le Pape de l’époque.
Rédiger au milieu du Xe siècle. Deux chroniques du Xie siècle. Chronique dit de Flavigny, du
centre de la France et puis la chronique de Saint Pierre le Vif de Sens, rédiger dans la
principauté qui fut celle de de Richard le Justicier.

On peut recomposer le récit des évènements de la façon suivante :


Comment Richard le justicier à pris en main ce regnum de Bourgogne
Le regnum de bourgogne est u grand regnum allant des alpes à la vallée de la Loire, coupée en
deux par le traité de Verdun. De 843, la majeure partie se trouve dans le royaume de Lothaire,
Bourgogne majeure, et la Bourgogne mineur se retrouve dans la partie occidentale de
CLChauve. Dès 893, l’évêché D4autain est vacant, Richard va donner l’investiture au prélat
de son choix sont la volonté des autres évêques de la province. Richard à investi un Gaal, fils
du principal vassal de Richard. L’investi contre le personnage élu par le clergé et le peuple
d’hautain, Acain.
Donnant l’investiture, il exerce une prérogative du princeps. Thibault de Langres s’oppose à
ce investiture. Il entre en relation avec le Pape qui va excommunier Gaal et qui excommunie
Richard, Manacès, toute les personnes impliqués dans cette affaire. Richard aveuglé par
Manacès, évêque de Langres Thibault, supplice qui s’applique à quelqu’un vu comme rebelle
au pouvoir suprême. Richard se pose en princeps de ce territoire de bourgogne. Prérogative
impérial.
Le Pape, prononce alors l’anathème contre Rochard, Manacès et leur partisans. Il demande à
l’archevêque de Reims Foulques, de tenir un concile régional pour juger dans le même sens,
tous ces personnages. 1ère affaire concernant l’évêché d’Hautain. Richard le justicier s’en
prend à Sens, il veut s’imposer à Sens, c’est une métropole, capitale d’une province, et
Richard Capture le comte Garin et l’archevêque Gaultier, et il va tenir en détention Gaultier
pendant plusieurs mois. Des négociations entre les deux hommes, Gaultier obtient sa
libération sous la condition qu’il reconnaisse le principat de Richard. Il exerce les
prérogatives de princeps, comme le droit d’investiture et n’hésite pas a le faire de manière
brutale. Gaultier de Sens, est l’archevêque ayant sacré Eudes en 888. Aucune réaction
d’Eudes, il reconnait le principat de Richard.

Guillaume le Pieux, manifeste le plus grand respect pour Eudes le long de son règne, on ne le
voit pas mettre à profit immédiatement les prérogative lié à l’auctoritas. Il se pose la première
fois en Duc d’Aquitaine à la mort d’Eudes avec une charte qu’il expédie en faveur de son
abbaye, daté de la mort d’Eudes, roi des Francs et des Aquitains. On date les documents du roi
en Place en général, Guillaume ne reconnait pas encore Charles le Simple comme roi. Cette
charte, Guillaume l’expédie avec le titre de Duc d’Aquitaine. CE qui va lui permettre à l’été
suivant, quand il e présente à la cour de CLS en tant que Duc d’Aquitaine.
A propos de cette charte de mai 898, l’expédition de Chartes est l’un des médiums pour
l’époque médiéval. Guillaume le Pieux donne des domaines à cette abbaye mais va en garder
l’usufruit jusqu’à sa mort. L’important est ce signal politique, il se déclare Duc d’aquitaine
lors de l’expédition de cette charte. Parfois ce qui est important, n’est pas le contenu précis de
la charte.

Pour les autres principautés, on est moins bien documentés, par des textes écrits à posteriori
pour la Gascogne, problème de faux aussi. Ce soit dans la même époque que la marche
d’Espagne, autour du comte de Barcelone devient une principauté territoriale, 897 selon
l’histographie catalane. La Gascogne, appelé tantôt duché tanto comté, devient une
principauté territoriale. Un de 886 montrant le comte traditionnel de Gascogne et puis en 904,
il exerce des prérogatives de Princeps. On peut citer la Flandres avec un prince territoriale
ayant le titre de comte ou de Marquis de Flandres.
Un peu plus tard, on va apparaitre la Normandie, traité de Saint-Clair-sur Epte
Les vikings s’installent à titre pérenne dans l’estuaire de la Seine, et un autre groupe dans
l’estuaire de la Loire. En 911, Robert, marquis de Neustrie, remporte une grande victoire sur
les normands sur les vikings de la seine, avec leur chef Rollon. A ce moment-là, va être
conclu le traité de Saint-Clair-Sur-Epte. Le roi Charles le Simple donne à Rollon les comtés
de la Haute-Normandie, Rouen, Évreux, Talout, Pays de Caux, avec deux conditions : une
religieuse (reçoivent le baptême, son parrain va être le marquis Robert). Rollon prend le nom
de Robert, celui de son parrain. 4autre condition, est qu’il va devoir désormais défendre ce
territoire face aux autres vikings.
Ensuite, profitant du contexte politique, celui que l’on appelle le Comte de Normandie au Xe
siècle, au Xie le titre de duc arrive, Rollon et son fils vont profiter du contexte politique pour
agrandir le territoire en 924, il étend la Normandie a la Normandie central et puis en 933, il
étend la Normandie au Cotentin et à l’Avanchin. Ainsi est constitué le territoire de la
Normandie. Du fait du premier prince normand n’était pas chrétien à l’origine, la formation
de la principauté se fait sur une base plus politique, sur la base de la donation définitive des
comtés originels.
Dans le contexte des invasions vikings, la situation de l’Église sur ce territoire est mauvaise,
on n’a plus que l’évêque de Rouen, les diocèses sont vacants et l’une des missions de Rollon
et ses successeurs, en tant que prince chrétien, est de participer à la restauration de l’Église
dans ces territoires.
Il s’investit lui-même comte de Bayeux, sorte de coup de force. Époque ou la bretagne est
complètement vaporisé par les vikings. La priorité est de faire en sorte que le territoire reste
aux mains des francs, loi du plus fort qui joue.

Ce qui se met en place, est une polyarchie, le royaume de Francie Occidentale devient une
confédération de principauté territoriale.

Qu’est-ce que ce principat non royale. Ce prince territoriale, ayant le titre de comte ou de
Duc, est bien princeps dans son regnum comme le roi est princeps dans son regnum, sommet
de la hiérarchie des honores, investit aux honores laïcs et religieux.
Grande différence avec la façon dont fonctionne le principat, ces princes territoriaux cumule
de nombreux comtés dans leur principautés et aussi un certain nombre d’abbatiat, honores
locaux ce qui n’était pas le cas. ClChauve avait gardé l’abbatiat laïc de Saint-Denis, seul
exception connu d’un honore exercé par le roi lui-même. En tant que princeps chrétien, ces
personnages doivent favoriser la christianisation, favoriser le mouvement religieux du temps.
Pour Guillaume le Pieux, fondation de l’abbaye de Cluny. En 917, fondation de l’abbaye de
Déols en Berry, la Charte de fondation n’est pas à l’intitulé du fondateur mais de Guillaume le
Pieux. Le grand mouvement religieux du temps est la réforme monastique bénédictine. Les
carolingiens avait voulu comme intention d’imposer la règle bénédictine à tous les moines.
Règle d’Aix pour les chanoine sous Louis le Pieux et règle bénédictine version carolingienne
de Saint Benoit d‘Aniane. La tendance est de remplacer les chanoines et la règle d’Aix par des
moines avec la règle bénédictine.

Question de la succession. Puisque le principat est quelque chose que l’on ne tient de
personne. Octave Auguste n’a pas été investi princeps par qui que ce soit. La succession au
Principat normalement, est héréditaire, ses fils ou héritier proche succède à son prince.
Guillaume le Pieux meurt el 6 juillet 918, son fils est mort tout petit avant lui, lui succède
Guillaume le Jeune, son neuve, il meurt en 927, lui succède son frère Acfred. Il va trouver la
mort en 927, fin octobre.
Le principat aquitain en l’absence d’héritier, le Duché d’aquitaine reste vacant.
Testament d’Acfred, il montre que ce testament montre qu’un testament public, aucune
mention d’honores. Il s’interroge sur ce que devienne les honores, charge de comte
d’Auvergne ..
Il montre que ces honores, en l’absence de d’héritier directe reviennent dans ls mains du roi
de l’époque Raoul, qui les as distribué à différents personnages.
Pour ce qui est de la Bourgogne, Richard le justicier meurt en 821, va lui succéder son fils
ainé Raoul. Élu roi de Francie occidentale en 823, conserve-les honores et le duché de
Bourgogne. En 832, il laisse le duché à son frère cadet, Hugues le …
En Gascogne en 920, à la mort de Garsie Sanche, son fils Sanche Garsie obtient les titres de
comte et marquis de la Gascogne. On voit que le principat est héréditaire à l’époque
carolingienne et mérovingienne.
Ses fils héritent sans que le roi n’interfère dans cette succession. Ces princes territoriaux ne
tiennent pas ces principautés en fiefs du roi, la mutation princière n’est pas une féodalisation.
Contre-sens de l’historiographie classique. La mutation princière n’est pas une mutation
féodale.

Les conséquences de cette mutation princière, de l’apparition de ces principautés territoriales


Ces personnages sont des princeps, ils gouvernent ces principautés comme le roi gouverne
son royaume. Il y a des différences quand même. Conséquences strictement politique, quelque
chose d’ancien qui disparait, est la disparition de la législation. Sous les carolingiens, ce sont
les capitulaires, élaboré dans le cadre des plaid généraux. Avec l’apparition des principautés
territoriales, transformant le royaume en une mosaïque de principauté, le plaid générale ne se
réunit plus et ainsi il n’y a plus de législation. Le dernier capitulaire carolingien est le
capitulaire de Ver-sur-Launette, promulguée par Carloman (petit fils de ?).
Préface et article 5 (donné en doc).

Ce roi princeps, à l’Auctoritas à la fin du 1 er paragraphe comme on peut le voir, seul. Laïc à
l’avoir.
Hiérarchie avec les grands ecclésiastiques, grand laïcs et les judices. Cette législation vise à
confirmer le droit antérieur, a renouvelé le chapitre des capitulaires des ancêtres, contexte des
invasions vikings et de l’insécurité que cela provoque, mal de brigandage et de pillage.
On va se rendre compte, que cela n’est pas que des vikings païens mais aussi des brigands
chrétiens. Il a être question des Seigneurs, vassalité n’existe que chez les francs et on
comprend que des agents qui ont le pouvoir exerce des abus, commettent des pillages en
profitant de la situation.

Jeu de mot que l’on retrouvera avec l’abbé Suger, Militia-Malicia.


Vient de Miles, à la fois le combattant, guerrier mais aussi synonyme de Vassal. La Militia est
l’ensemble des hommes d’armes mais aussi l’ensemble des vassaux avec l’idée sous-jacente
de service publique.
La malicia, donnant malice en français, trait du caractère du malin, du diable. Façon de dire
que ce monde des vassaux sont plus ou moins des suppôts de Satan.
Quelles solutions mettent en œuvre pour assurer la paix, exercice du pouvoir dans l’idéologie
politique du temps.
L’article 5, confie aux évêques, dans le cadre de leur diocèse, le soin d’assurer la paix. Peut
procéder par la voie spirituel en tant que pasteur, par des admonitions, au bout de 3
avertissements il va soumettre le récalcitrant à pénitence, il va l’excommunier, prendre des
sanctions spirituelle contre lui, jusqu’à ce qu’il fasse amende honorable. On voit bien que les
mauvais sujets visés, sont plus des francs chrétiens que des vikings païens.
Si on remplace ce texte, cette législation, s’inscrit dans le fil de ce qui a été mis en œuvre par
Louis le Pieux, pouvoir suprême étant un ministérium dont les grands détiennent une parcelle,
dont les grands ecclésiastiques.
On voit là s’esquisser le futur mouvement de paix, pour ce qui est de la législation, dernier
capitulaire carolingien, il faut attendre le règne de Louis VII pour voir arriver la première
ordonnance royale, en 1144. Dans la totalité de notre période, 888 à 1137, aucune législation
en France.
Autre conséquence, comment les carolingiens assurent la maitrise de leur territoires, délègue
la potestas à des agents qui sont les comtes, comment palier les abus de pouvoirs. Les Vassi
dominici, vassaux qui relève directe du tribunal royale et ne risque pas de représailles de la
part des comtes, et ils doivent veiller aux intérêts de leur senior, seigneur vassalique et
dénoncer des abus de pouvoir qui risque de discréditer le roi princeps au niveau local.

Le roi princeps va envoyer ses agents en mission, les fameux missi dominici, position de
supériorité hiérarchique, ils vont pouvoir prendre des sanctions contre les comtes.
On assiste à la disparition des missi dominici, la dernière mention est en 892, dans la région
de Nîmes, année qui précède l’apparition des principautés territoriales. Les princes
territoriaux, en tant que princeps, ont l’Auctoritas dans leur principautés et font écran entre
l’Auctoritas royale et les habitants de la principautés.
Les missi avaient un territoire de mission, appelé le missaticum, ayant plus ou moins la taille
des principautés territoriales. Nécessaire dans le très vaste empire Charlemagne, mais ces
princes n’ont pas besoin de cette échelon, car principauté sont de taille réduite.

Que devienne la Vassi dominici.


Vit de saint Géraud d’Aurillac, source hagiographique du Xe siècle, aristocrate de la région
d’Aurillac, un jour que la fonction comtale était vacante, on a demandé que Saint Géraud soit
investi pour lui succéder, par humilité, il a d’abord refuser, puis il se laisse convaincre,
presque contrait car risquait de tomber entre de mauvaise mains, qui n’aurait pas son sens
moral. Seul vie d’un Saint laïc qui ne soit pas un roi au Moyen-Âge. Pour être reconnu
comme saint, il faut être un évêque, ou un abbé, ou un roi/reine.
Exception, Saint Odon veut présenter un modèle d’aristocrate chrétien.
Odon met d’abord l’accent et critique le comportement et l’insolence des marquis.
Mouvement de pression sociologique, exercé sur les Vassi dominici, pour que ceux-ci arrête
d’être les vassaux du roi pour qu’ils deviennent leur vassaux.
Géraud, résiste à ces pressions, cela fait partie de ses qualités mais finit par admettre que la
génération suivante, ses neveux deviennent les vassaux de Guillaume. Accent sur cette
résistance exceptionnel, mais le grand trait du temps sont les pressions qui finissent par
réussir.

8 février 2024
Mutation princière, disparition des Vassi dominici, captation des missi dominici
Effet de la mutation princière sur l’éducation des élites avec l’exemple d’Odon de Cluny. Les
réseaux, Isabelle Rosé. Né en Touraine autour de 879, son père était un fidèle de Guillaume le
Pieux. Dans un premier temps après sa formation initiale, les jeunes aristo à l’adolescence
vont être formé au palais du roi ou de l’Empereur pour compléter leur formations et recevoir
une formation de futur serviteur de la royauté (=Nourrir). Avec l’apparition des princes
territoriaux, modification de la formation des élites. Odon après la formation de ses parents va
être formé par Foulques le Roux et a partir de 893, il est nourrit à la cours de Guillaume le
Pieux, devient chanoine de saint martin de Tours en 897-898, dont l’abbé laïc est Robert. Il
passe du réseau de Guillaume le Pieux à celui de Robert. Grâce à ce réseau, il fait la
connaissance de Théotolon, membre du chapitre du chanoine de Saint-Martin de Tours,
Théotolon est le futur archevêque de Tours, 931-947. Il quitte tours pour paris dont le comte
est toujours Robert, autour de 900. Il devient l’élève de Rémy d’Auxerre (un des plus grands
maitre de l’époque). Dans les années 905-908, il se converti à la vie monastique en revenant
vie en Touraine en ermite. Un peu plus tard vers 908-909, il entre à l’abbaye de Baume (vers
la trentaine) dont l’abbé est Bernon, converti à la vie monastique à l’âge adulte, il est un
converti à l’opposition à l’oblat offert enfant. Immédiatement, étant donné sa formation
intellectuel, il devient l’écolâtre, directeur de l’école monastique de Baume. On arrive alors à
la fondation de Cluny en 910 à la formation de Guillaume le Pieux. Odon rédige l’acte de
fondation. Le premier abbé choisit par Guillaume le Pieux est le personnage de Bernon, il va
alors passer d’une abbaye à l’autre, de Baume à Cluny. Vers 923-924, il est co-abbé (second
abbé) (ce qu’appelle isabelle Rosé) derrière Bernon. Quand Bernon meurt, il est consacré
abbé de Cluny en 927 par l’évêque de Limoges Turpin, faisant partie du réseau de Guillaume
le Pieux.

Avant la mutation princière, on aurait été nourri uniquement au palais royale ou impériale.
Quand on était nourri, on suivait la cour mais on restait dans le même milieu, on passe d’une
cour à l’autre, d’une région à l’autre. Règne de Raoul, en 922, ClSimple (Eudes de 888 à 898,
ClSimple sacré en 893, accord est trouvé en 897 (fin du cours plus haut)). ClS laisse à Robert
tout les honores. Pendant 22 ans, les deux hommes Clsimple et Robert s’entendent bien,
gouverne ensemble le royaume de Francie Occidentale. Le traité de Saint Clerc sur être et
naissance de la Normandie, accord entre les deux hommes. Victoire de Robert, baptême de
Rollon et ClSimple donne les comtés en Normandie.
En 920, premier litige entre les deux hommes, régler dans le courant de l’année. Se corse en
922 où Robert retire sa fidélité à Charles et entraine dans sa rébellion tous les grands francs
(moitié nord du royaume de Francie occidentale). La cause est l’abbatiat de Chelles, abbaye
fondé au VIIe siècle par la reine mérovingienne Bathilde. A partir de la, Chelles est la grande
abbaye féminine du monde franc, la tradition est que l’abbesse soit une princesse de la
dynastie, d’abord mérovingienne puis carolingien. Abbesse de Rothilde, fille de ClChauve,
donc tante de ClSimple, c’est une converse, alliance matrimoniale en 914 entre Rothilde et les
Robertiens, le fils de Robert Hugues le Grand épouse une fille (on ne connait pas son nom) de
Rothilde. Ce mariage ait lieu en 914 (hypothèse), pas de preuve que cela soit la cause de la
destitution de RothildE. ClSimple retire l’abbatiat à Rothilde et le remet à son favori, un
lotharingien et qui est un membre de la noblesse non aristocratique. On nomme un homme à
la tête d’une abbaye de femme, ce n’est pas ce qui a choqué les plus les contemporains. Le
problème est que ce soit un Lotharingien et pas un ressortissant de la Francie Occidentale,
conséquence du morcellement politique du monde Franc, tous ces aristocrates sont chez eux
partout dans l’Empire, sorte de patriotisme qui apparaît, la Lotharingie est considérer comme
un pays étranger. L’autre chose non admise est que ce personnage n’est pas un membre de la
dynastie carolingienne et il n’est même pas membre de l’aristocratie. Éviter de faire noblesse
et aristocratie comme noblesse. Réservez le mot aristocratie à l’élite nobiliaire, les dizaines de
familles qui partagent le pouvoir avec le roi ou les empereur. De cette aristocratie que
viennent les princes territoriaux (à part Rollon) et il existe une noblesse non aristocratique.
Cette noblesse non aristocratique (ANA) est celle qui fournit les vicomtes, vicari, agents
subalternes des comtes, exerçant la basse justice.
Le Lotharingien vient de l’ANA, ce qui pose problème.
Révolte contre ClSimple, et les grands du royaume élisent le marquis Robert devenant ainsi le
roi Robert 1er (deuxième roi Robertiens, grand-père d’Hugues Capet). En 911, les grands de
Lotharingie ont reconnu le roi ClSimple comme leur roi. Il est toujours reconnu par les grands
lotharingiens, bataille de Soissons en 923. Dans les visions religieuses du temps, la victoire
est décider par Dieu, la victoire est celui qui reste sur le champ de bataille, le vaincu est celui
qui fuit ou qui meurt. ClSimple fuit le champ de bataille, se réfugiant en Lotharingie, et
Robert 1er meurt sur le champ de bataille. L’interprétation est que cela discrédite les deux
familles et les grands francs vont se tourner vers une troisième famille, vers le Duc de
bourgogne Raoul qui devient roi de Francie Occidentale en 923. Les lotharingiens le
reconnaisse car ClSimple à perdu. Il va être capturer par un vassal des Robertiens et meurt
prisonnier en 929. Raoul est roi, reconnu dans la moitié nord du royaume. Même scénario que
Eudes, il va être reconnu l’année suivante par les grands méridionaux dont le Duc
d’Aquitaine. Pour être reconnu par Guillaume le jeune, Raoul doit se porter à la rencontre de
Guillaume. C’est sur la Loire que guillaume le Jeune prête serment à Raoul.
Frontière entre leur deux principautés territoriales, affaiblissement de la royauté, les Grands
venait à la cour sous Charlemagne.
Coutume aux Xie et XIIe siècle, quand un prince territoriale prête hommage au roi capétiens
et devient son vassal, cela se passera toujours en marche (hommage en marche), à la frontière
entre le domaine royale et le royaume du prince, les deux hommes font le déplacement et cela
deviendra coutume. Ils sont placés sous un pied d’égalité et sont tous les deux princeps.
Montrer que le Prince territoriale ne tient pas sa principauté en fief du roi.

On peut remarquer que c’est la même année 924 que Raoul fait une concession importante à
un évêque d’Auvergne, il lui concède toute l’agglomération. Du puy, avec tous les droits
comtaux, sur le marché, droit de tonlieu, droit de justice, droit de battre monnaie. Personnage
évêque comte du Puy. Avec le pouvoir qu’il possède, ce personnage est à la tête d’une mini-
principauté ecclésiastique, de la taille de la ville du Puy. On peut penser que le but de Raoul
est d’amoindrir l’autorité de Guillaume le Jeune en lui mettant dans les jambes cet évêque-
comte.

Investiture aux honores laïcs et ecclésiastique par les princes


Autres conséquences, puisque le princeps nomme aux honores laïcs et donne l’investiture, le
prince territoriale le fait. Il va nommer les comtes des comtés qu’il ne se réserve pas à lui
mêle et donne l’investiture à l’épiscopat, à l’évêque de Clermont …
Pour ce qui est des abbayes, le prince territoriale peut nommer des abbés laïcs. Le prince en
général se réserve les principaux abbatiat de son territoire.

Il y a quand même quelques abbés écclésiastique, problème de l’immunité des droits de police
et devoirs militaires que peuvent avoir ces abbayes. Depuis cHArlemagne, on avaitnommé
des avoués, la nomiation est une prérogative de l’Auctoritas, les missi dmonic metatnt en
place les avoués. Personnage de la NNA (noblessse non aristo).
Le prince territoriale choisit les aboués et il va se nommer avoué des principales abbayes et va
nommer ses principaux vassaux des abbayes moyenne et etc.
Ceci à une conséquence importante pour le statut sociale de l’avoué. Quand l’avoué est un
prince territoriale ou fait partie des principaux vassaux, on change de rang social. L’avoué est
un membre de la NNA sous Charlemagne, mais les avoués sont des membres de l’aristocratie,
des personnages assez puissant et qui vont faire de l’ombre à leur propre monastère, ils vont
accaparer des droits qui étaient des droits de leurs abbayes à leur profit, l’une des origines de
la formation des seigneuries au tournant de l’an mil.

Cluny est fondé par Guillaume le Pieux le 11 novembre 910, chartes de fondation parvenus en
original et rédigé par Odon de Cluny. Guillaume s’intitule guillaume par le don de dieu et
Duc. Il tient son titre de Dieu et pas au roi. La grande originalité de la fondation de Cluny est
que Guillaume le Pieux est qu’il accorde une immunité très large.
Originalement, le Princeps interdisait à ses agents avec la potestas de l’exercer sur les
hommes et biens fonciers de l’immuniste. Les personnes visés étaient les titulaires de la
Potestas. L’immunité ne laisse plus la potestas des comtes et subalternes mais exclue même la
potestas royale, de l’évêque, du Pape, de tel sorte que Cluny sur le plan juridique ne dépend
d’aucun pouvoir humain sur Terre.
Cluny dispose d’une situation géographique qui va lui permettre de jouir de cette immunité
très large. Elle est situé en frontière, dans le comté de Mâcon dont le comte est Guillaume le
Pieux, pas en Aquitaine mais Bourgogne, dans la principauté de Richard le justicier, à cheval
entre le pays dépendant de Guillaume et Richard.
Fondé dans une zone marginal, et cela va lui permettre de jouir d’une totale indépendance au
temporel. Le rédacteur de la charte de fondation est celui qui a eu l’idée de l’immunité très
large est Odon de Cluny.

Réflexion d’Odon de Cluny tel qu’étudier par Isabelle Rosé. Odon de Cluny par ses œuvres
vise les 3 ordres de la société, clercs laics moines.
3 œuvres, les conférences entre 917 et 927, avant qu’ils devienent abbé. Se présente en 3
livres, mise par écrit des entretiens et dialogue qu’il a eu avec son ami Turping de Limoges.
Le puvlic visé par Les Conférences sont les clercs.
Vita de Saint-Jérôme d’Aurillac, rédigé dans les premières années d’abbatiat d’Odon.
Commande du Turpin de Limoges, a destination des laïcs.
La 3e œuvre, est appelé l’Occupation (on ne peut pas la situer dans le temps), poème en 7
livres, les 6 premiers sur la création de l’univers, œuvre de Dieu et le 7 e, consacré à l’histoire
du mal dans l’Église, come peuple chrétien. Destiné aux moines.

Odon est moine et toute son œuvre est à l’éloge du monde monastique, réflexion basé sur un
idéal de réforme monastique (pas en vase clos) mais doit viser l’ensemble de la société
chrétienne. Le moine idéal renoue avec l’humanité adamique, d’avant la chute d’avant du
Paradis Terrestre, correspondant au projet divin lors de la création d’Adam. Dans cette
perspective, dans le monastère, il existe le cloître devant être le paradis.

Jardin, avec au centre une fontaine et 4 filets d’eau symbolisant les 4 fleuves du Jardin
d’Eden. Il insiste sur l’interdiction de la viande, bonne entente entre les animaux et Adam sur
le paradis terrestre. De la même façon, l’interdiction de montrer des vêtements de luxe, il le
met en rapport avec la nudité d’Adam avant sa chute, sobriété du vêtement. Tous cela pour
que le moine marque une rupture avec une humanité marqué par le péché originel.
Pour garder cette pureté, les moines doivent être couper du monde, et leur possessions doivent
rester à l’abri du monde laïcs d’où l’accent mis sur l’immunité, rempart qui permet aux
clunisiens de se protéger de toute les ambitions des laïcs. Cela débouche sur l’idée que les
moines clunisiens doivent avoir un pouvoir exclusif sur leur domaines fonciers. Odon, pose la
théorie de la formation des futurs seigneuries monastiques, il les conçoit avant qu’elle existe.

Dans cet idéal de réforme, renouement avec la période de l’Eglis eprimitive, communauté de
pauvre avec mise en commun de tous les biens et pauvreté et pratiquer l’aumone.. Il doit fait
vœu de pauvreté et pratiquer l’aumône. Les puissants laïcs qui sont riches (riche et puissant)
(Ric donne riche en FR et Reich en All), ils doivent donner aux pauvres et donner à ceux qui
ont choisi d’être pauvre (donc les moines). Cela va permettre de pratiquer l’aumône aux
indigents. L’idée d’une excellence monastique dans les rapports laïcs et au clerc. Les
meilleurs chrétiens ce sont les moines car passent leur vies à chanter les louanges de dieu.
Caractéritiques des clunisiens qui a partir d’Odon, les conduits à mettre l’accent sur les offices
divins, dont la liturgie, passer 12h à 15h par jour aux offices religieux. Office - Exiodina
(méditation personnelle des écritures) - travail personnel = répartition de Saint Benoie mais
seul les clunisiens ont 12 à 15h d’offices.
Odon met l’accent sur la chasteté monastique et par le temps passé aux offices, et la chasteté,
analogie entre le moine et l’ange. Le moine est à la charnière d’ici bas et du monde céleste et
par la, il devient le véritable intercesseur entre Dieu et l’ensemble des fidèles. Le moine
clunisien est ainsi un modèle pour tous, pour les trois catégories/ordres de la société
chrétienne. Cela conduit à la notion de réofrme clunisienne. Le moine clunisien à vocation à
réformer les autres monastères. Double système du multi-abbatiat et du co-abbatiat. Comme
cela à été le cas avec Benoit D’aniane, l’abbé clunisen cumule les abbatiats formant ainsi une
constellation, les moines pouvant passer d’un monastère à l’autre. On peut introduire la
réforme clunisienne dans le monastère à réformer. Ce qu’avait fait Benoint D’aniane en sont
temps. Système du co-abbatiat, l’abbé de cluny va nommer un abbé en second dans des
groupes plus petits de 2-3 abbayes pour diriger de façon plus quotidienne le smonastères et
assurer la pérrenité de la réforme clunisienne.
Par rapport aux clercs, les moines et leurs proximité avec le Royaume des cieux, plus habilité
à célébrer l’eucharistie et vocation à être les guides spirituel des clercs et des laïcs. De la
vision des ordres de la société chrétienne avec 3 ordres, Odon a tendance à passer à une vision
plus binaire, les moines et les laics et met les clercs sur la touche.
Personnages sur la touche pour Odon, la royauté. Dans la vie de Saint Géro d’Aurillac, le roi
est une autorité lointaine, comme les rois des contes de fées. Dans les Conférences, le roi
n’apparait que dans les citations d’auteurs anciens, jamais dans le texte d’Odon lui-même.
Dans l’occupation destiné aux moines, le mot roi correspond à Dieu, puis aux rois d’Israël et
seul à 8 reprises le Diable comme prince de ce monde. Ne renvoie jamais au roi de l’époque
d’Odon.
Quand on parlait du Roi David, on le présentait comme modèle du roi pécheur et pénitent, à
suivre pour les rois de l’époque. Sous la plume d’Odon, le roi David est présenté comme
modèle pour tous les aristocrates, car présent dans les œuvres d’Odon. Une des missions qui
incombait au roi était le maintien de la justice et de la paix, cela incombe aussi pour Odon a
tous les aristocrates. Les gens qui oppressent les pauvres, sont les gens de pouvoirs dont les
aristocrates.
But de la vie de SGA de valoriser ces aristocrates. Dans ces œuvres, Odon de Cluny théorise
la nouvelle société consécutive à la nuvelel mutation pricnière.
Il théorise avec l’immunaité de la future seigneurie banale monastique, rôle de réformes des
monastères, des mœurs et de laics, modèle pour les clercs. Mission sociale des moines, aux
antipodes de ce qu’était le monachisme au départ, plutôt d’un idéal de retrait par rapport aux
monde, idéal de mission vis-à-vis de la société.

Conclusion,
Au tournant 9e-10e sicèle, mutation princière et pas féodale, on a pas de féodalisation de la
société, les principautés terriotirales ne sont pas tenu en fief. Elles sont génralement de la
taille du regnum, des principautés d’une taille assez ample, cette mutation se traduisait par la
conséquenec es missi dominci, disparition des plaids généraux et donc de la législation. On a
vu que la succesion se fait à tire héréditière mais de manière proche, la principauté devient
vacante et les honores comtaux et abbatiaux reviennent dans les mains du roi.

Bilan en 936, Aquitaine, Bourgogne, Marche D’Espagne Gascogne et Normandie comme


principautés terirotirax. Le prince territoriale et princeps à l’Auctoritas dans sa principauté, il
ne peut plus agir directement dans sa principauté même proche du roi.
Il laisse son duché de bourgogne à son frère Hugues le Noir, plus aucun diplôme venant du
roi,q ue d’Hugues le Noir. De la sorte, le royaume de Francie Occidentale est une
confédération de principautés territoriales, si ces princes territoriaux sont des princeps, ils ne
créent pas des royaumes indépendants.

TD
Extrait du Polyptyque de SGDP et un extrait de Chaumousey
Diptyque, tryiptyque, sorte de dépliant avec une charnière entre les différents panneaux. A la
base, on a réuni en des dépliants des tablettes de cire, déjà dans l’antiquité, le support
permettant de prendre des notes en allant sur le terrain. Pour écrire sur un parchemin, faut de
l’encre, un réservoir, se poser.
Polyptyque est un oouvrage qui décrit un domaine, un outil de gestion domaniale. Si cela
vient de tablette de cire, c’est ensuite mis au propre sur un livre sur parchemin et cela qui
vient jusqu’à lui. On en as quelque uns, des Polyptyque à l’époque carolingienne. Communaut
ecclésiastique de la réigon parisienne pour la plupart (avec une exception majeure, celui de
Saint Bictoire de Marseille). Le plus célèbres d’entre eux, est le Polyptyque de SGDP, aussi
dit Polyptyque d’Irminon. On estime que ce Polyptyque a été rédigé autour de 820. Il s’agit
d’écrire les différents domaines fonciers dont l’abbaye est propriétaire avec un chapitre pour
chaque domaine, appelé Bref.
Le modèle, plan est otujours le même pour chaque bref. D’abord un paragraphe introductif
décrivant le manse(l’unité agraire de base). seigneurial On estime que le manse est
l’exploitation agricole est celle qui doit permettre de faire vivre une famille. Nous avons une
descritpion du manse seigneurial, on parle aussi de réserve seigneurial. Régiem agraire de
l’époque carolingienne, différent de celui sous l’empire romain.
Sous l’ERO, grand domaine latifondiaire avec la villa, exploitant les champs avec des
esclaves. Dans le courant de l’antiquité tardive, l’esclavage disparait de l’intérieur du monde
franc. Au début du 8e siècle, il a disparu du monde franc. Mise en place du régime agraire
bipartite, qui s’esquisse dans la moyenne vallée du Rhin. Une partie du domaine est en faire
valoir direct, le propriétaire qui exploite lui-mêem ces parcelles par l’entremise de
dépendants, les serfs. Le reste de la villa est concéder en tenure à des paysans qui tiennent leur
tenures du propriétaire. On les appelle les tenanciers. Il y a une espèce de loyers de la terre,
avec des obligations des tenances vis-à-vis du propriétaire.

Dans le bref, on décrit la réserve seignurial, la partie du domaine de la villa mis en faire valoir
directe par l’entremise de ses dépendants. 3 catégories de terrain, les champs, superficie se
mesurant en bonniers, catégorie, superficie et rendement évaluer en quantité de muids
ensemenser. La deuxième catégorie sont les prés, on passe de l’agriculture à l’élevage. Les
près ont une superficie se mesurant en arpent. L’évaluation du rendement se fait en charrué
(char de foux). La trosième sont les bois, mesurer en lieu de long et de large et se mesure en
nombrede porcs que l’on peut mener à la glander ;

Description de la réserve seigneuriale, on va décrire chaque manse. On donne les noms des
deux ténanciers, Eloi et sa femme Landine, on donne leur statut juridique, Serf et colone et on
décrit leur tenures en champ et on finit par la liste des obligations de notre ocuple de
tenanciers vis-à-vis de Saint-Germain des près. On a ici unqiueemtn des corvéessur la réserve
seigneurial, venir labourer quelque perche, apporter du fumier et rien d’autre. Le numéro deux
décrit une exploitation au main de 3 familles avec les noms, Abrahil-Berthilde (couple), et etc.
On va aussi donner la liste des enfants et leur noms. On décrit leur manse … et la liste des
obligations est plus longue, corvées de charroie, doivent un cens en nature. Un cens en
espèces, 4 deniers par tête.
Avec le numéro 10, on a une récapitulatif de ce qui compose la villa de Neuillay, 6 manse et
demi, total de 16 feux (16 ménages) et on calcule le montant des différentes obligations. On
fait le bilan ensuite des obligations personnelles de ceux des dépendants ayant des obligations
personnelels, celles des serfs hommes, puis aux lide hommes, puis aux serves puis au femmes
de condition lide. On ajoute à la fin le nom de deux personnages, venant de l’extéiruer de
Neuillay mais y possèdent des terrains.

Sur le plan humain, on voit qu’uil y a 3 condiutions juridique, serfs, lide, colons. Ils n’ont pas
les mêmes obligations personnelles. Une catégorie n’a pas d’obligation, les colons, très
attentif aux conditions juridiques des gens, néanmoins, cela n’empêche pas qu’il y ait des
mariages mixtes. Premier couple, serf-colonne (question de l’enfant, pas de renseignement
pour l’époque carolingienne, ce qui prévaudra au moeyn age classique, la mère détermine la
condition de son enfant). Autre intérêt pour les historiens, c’est qu’on peut faire de
démographie historique, reprendre ces familles et calculer le nombre d’enfants moyens par
couple et se faire une idée des familles à l’époque. On peut aussi étudier les noms qu’il
sportent, nom hériter ou pas des paretns. Etudier l’origine linguistique des noms.
Les polyptyques. sont les seuls sources nous renseignant sur les milieux populaires

Ce qui est frappant sur le régime agraire, on est obligé de lister les obligations de chaque
manse, aucune uniformité.

Début du XIIe siècle avec Chaumousey (en Lorraine), abbaye fondé vers 1090, abbaye de
chanoine régulier.
Pas une communauté de moine, cela explique d’ailleurs pourquoi les chanoines réguliers,
appraissant au tourannt Xe-Xie siècle, ne sanve pas comment prendre leur marques par raport
aux moines, et le titre à donner à leur supérieur. Le premier supérieur est Sehère, celui de
proviseur de l’Église de Chaumousey, c’est suelement son successeur qui va prendre le titre
d’abbé. Fondé en 1090, afflux de donation pieuse vers cette fondation. La 1 ère donatrice lors
de la fondation est la dame Berthe, nommé à la ligne 22. Elle donne les villages, les aleux de
Menils et Roouvres en Xaintois. Pagus qui se trouve au sud du Pagus de Toule, raison pour
laquelle la descriptino commence par ces deux villages.
Elle appelle cela une charte mais ce n’en est pas une, c’est un censier, registre des cens dans
lequel un seignieur foncier à dresser la liste des montatns des cens que lui doit se censiers
censitaires. Chaumousey vient d’être fonder, les chanoines ne connaissent pas ces villages et
ne savent pas les obligations des villageois entre les propriétaires. Il procède à une enquête,
dans les différents domaines, formant le patrimoine nouveau de chaumousey pour formuler
les obligations des villageois. On interroge les anciens de notre famille ecclésiastique, à
prendre dans le sens du latin classique (famille, clients, esclaves), la famille ecclésiastique
sont les dépendants, les villageois. Le seul paliatif que trouve Sehère de trop mentir
délibérement, est le serment, ils prêtent sermnet de la liste de leur villages. Les obligations est
inscrit dans la mémoire, pour cela qu’on interroge les anciens, leurs droits coutumes sont
inscrits dans la mémoire et cela fait partie de la culture populaire.

Description de Ménil.
8 quartiers et demi et 14 mais, on distingue le quartier, le meis bati avec maison et le meis bati
sans maison.
Le mot qu’on traduit par manse est le mot mansus. Dans les dialectes de l’est de la France, le
mot mansus donne le mot meis avec un s ou un x (meix) avec un sens particulier. La maison
où habitait les tenanciers, les jardins autour, les champs et les près. Ce que l’on comprend
c’est qu’on appelle meis est la partie de lancien manse qui se trouvait autour de la maison
avec le jardin où l’on va avoir des cultures maraichères ou potagère. Le territoire, champ et
près ont été partagé en 4, des quartiers (à l’origine). Ce qui est remarquable est que nous
avons des obligations par type de terrain, de chaque quartier, de chaque meis bati et chaque
meis non bati. Les obligations les plus lourds sont celles des quartiers.

Si on compare avec le polyptyque, on entre plus dans le détail de chaque manse. Il y a eu une
standardisation et donc on n’éprouve plus le besoin de donner la liste des habitants et
tenanciers.
Ce qui disparait sont les conditions juridiques de lide, de serfs, colons. De ce point de vue,
c’est a ce tournant que l’on voit apparaitre la paysannerie comme catégorie sociale sans
distinction.

21/02/24
Tournant 9e-10e Siècle
Francie Orientale, Bourgogne (rattraper le dernier cours). Commencer à évoquer l’Italie avec
le trône de Pavie. Succession impériale, on voit de plus en plujs de vacance du trône
impériale, vacance de 38 ans avec la mort de Béranger 1er en 934.
Destinée de Rome
L’accesion à la papauté est contrôlé par l’Empire depuis l’edit de 824, Lothaire 1 er, un an
parès son sacre en 823 (fils ainé de Louis le Pieux).
On a l’habitude de reprendre les termes de l’historiographie allemande De Reichpapstum
(papauté impériale, où les papes sont choisis par l’Empereur) et Hadelspapstum (Papauté
nobiliaire, dont l’accession est contrôlé par l’aristocratie romaine). Depuis 824, l’accession à
la papauté est sous contrôle impériale. Crise ed vacance impériale après la mort de charles le
gros, il faut attendre 3 ans avant un nouvel empereur, d’autre vacance par la suite. Ce déclin
de la puissance impériale relache le cotrôle impériale sur l’accession à la papauté et
l’aristocratie romaine profite de la situation pour reprendre le contrôle de cette accession à la
papauté.
Crise autour de Formose 891-896, ennemi de la famille de Spolète, il sacre empereur Arnulf,
roi de Francie Orientale en 887 et meurt en 896. Les Formosiens et anti-formosien, les
derneirs s’empare du pouvoir, ils vont lui faire un procès post-mortem en n’hésitant pas à
déterrer son cadavre et l’installer au tribunalo, le concile cadavérique de 897. On le jette dans
le tibre.
On va voir se succéder les formosiens et anti-formosien, condamner la mémoire de formose
d’un côté et réhabiliter sa mémoire de l’autre …
Conséquence immédiate de ce recul de l’autorité impériale qui a pour conséquence qu’il n’y a
plus d’instance pour arbitrer les litiges au sein de l’aristocratie. Cela va perdurer comme cela
jusqu’à l’accession de Serge III en 904 mort 911. Certains stabilisation qui passe par
l’ascension de l’aristocratie dans le gouvernement de l’Église romaine, ascension de la famille
des Théophilactes, Alberic 1er. Il va cumuler les fonctions et les titres, il est sénateur 1 seul
dans le vocabulaire médiéval. Sénat == aristocratie romaine, le chef de cette aristocratie est le
sénateur. Il a aussi le titre de consul, mémoire/souvenir de la Rep Romaine antiquité, celui qui
avait l’imperium et qui était le chef de l’armée romaine, chef de la milice, de l’armée de
Rome et enfin grâce au pape Serge III, il obtient l’office de Camérier pontificale, le
personnage qui va gérer le patrimoine de l’Église romaine. Puissance sociale, pouvoir
militaire, pouvoir économique. Il s’installe au commande à Rome à la fin du pontificat de
Serge III.
Il est marié avec une Théodora et ils ont une fille nommé Marousie, elle va succéder a son
père à la tête de Rome avec le titre de sénatrice et le contrôle du patrimoine de Saint-Pierre.
Elle va diriger Rome pendant des années, elle fait les pape et n’hésite pas à déposer le pape
Jean X en 928 pour installer son propre fils qui prend le nom de Jean XI.
Elle va être évincer par un de ses fils, Alberic II en 932 et il va reprendre les titres de son
grand père et installer un véritable principat à Rome, on trouve le titre de Princeps.
A partir du déclin de l’autorité impériale, on aboutit à un principat romain.

Deux mutations princières tardive avec la principauté Bavaroise et le principat romain


d’Alberic II à partir de 932. Pas question de principauté territoriale.

936 qui voit l’avènement d’Otton le Grand fils de Henri L’oiseleur.

III.La mutation de 950, ou mutation dynastique


On va avoir deux cours, le premier va être consacrer à l’espace ottonien, on va voir
l’avènement de la puissance ottonienne, grande puissance de l’époque, jusqu’à la disparition
de cette dynastie au début Xie siècle.

Otton le Grand, fils de Henri l’Oiseleur. On a l’habitude de l’appeler la dynastie ottonienne,


deuxième roi de cette dynastie et on a pas inventer un mot basé sur le nom du père qui à
pourtnat l’air d’être le fondateur de cette dynastie. Henri L’Oiseleur avait eu pour politique de
gouverner en primus inter pares, il n’avait pas voulu s’élever au-dessus des autres aristocrates
(itrer les leçons du prédécesseur en Franconie). Il ne s’était pas fait sacrer et c’est ce que fait
Otton, après son léection en 936 par les grands du royaume, couronné et Sacré à Aix.
Son accession est prévu dès 929, son père ayant acquis assez de prestige et d’Auctoritas pour
que son fils lui succède. En 929, on a fait que le désigner successeur à venir d’Henri
L’Oiseleur, pas sacré du vivant de son père. Il s’agi td’une élection par tous les grands du
royaume, de Saxe, de Franconie, de Suab, de Bavière, mode d’élection différent de francie
occidentale.
Parler du royaume de Germanie, le mot de francie va disparaitre.
Capitale de la Lotharingie = Aix-la-Chapelle. Equilibre entre le royaume de Francie
occidentale d’origine et la Lotharingie acquise par Henri l’Oiseleur. L’élection se fait en
Allemagne et le sacre royale à Aix-la-Chapelle.
Le fait d’Otton le grand se fasse sacrer à son avènement montre qu’il arrive au pouvoir avec
une conception différente de celle de son père. Cela montre qu’il veut régner à la manière
carolingienne, en monarque, au dessus des aristocratie.
Seul l’ainé succède au trône, les cadets sont écarté, pas de partage du royaume entre les trois
fils comme se pratiquant depuis la mort de Constantin le Grand, mis fin a 6 siècles de
tradition politique. Règle de la primogéniture qui s’installe dans ce royaume de Francie
Occidnetale. Le moyen-âge est conservateur et ce qui est une nouveauté s’institue pas sans
grincement de dent, série de révolte au début du règne d’Otton le Grand. Dès 937, Thankmar
voulait être nommé Marquis de la Marche Orientale et Otton ne lui donne pas cette honor et
alors il se révolte. Il est rejoitn par le duc de Franconie, Hébérard, frère de Conrad 1 er (ancien
roi), il a été humilié publiquement par Otton le Grand. La dessus, la même année, 937, le duc
de bavière arnulf meurt et son fils Hébérard de Bavière (pas le même) se voit sommer de
restituer le contrôle de l’investiture aux Eglises bavoroise, fondement du principat bavarois, il
refuse de prêter commandatio à Otton. Cela montre chez Otton de restaurer la moanrchie sur
le mode carolingien, venant à supprimer le principat Bavarois. Otton le Grand l’emporte sur le
champ de bataille, son beau-frère meurt, Hébérard de Franconie fait soumission t Hébérard de
Bavière est banni, il donne l’investiture de la Bavière à un oncle d’Hébérard de Bavière,
restant fidèle jusqu’à la fin.
Renoncement au principat bavoirement, Bergold est un duc détenant un honor ducale par
délégation. L’année suivante, nouvelle révolte mené par le frère d’Otton, Henri, qui n’admet
pas la primogéniture. Il est rejoint par le duc de Franconie hébérard et de Lotharingie Gise le
Bert. On voit aussi des prélats participer à la révolte, archevque de Mayence, evque de Metz,
eveque de Strasboourg. Otton a le soutien du duc de Bavière et le soutien du duc de Souab.
On a a nouveua une bataille en 939, bataille d’Andernach, dans cette bataille, meurt le duc de
Lotharingie Giselebert et de Franconie Hébérard. La bataille qui conforte définitivement son
pouvoir (même si d’autres révoltes et complot arriveront).
Le jeune Henri fait soumission, garder à vue jusqu’en 949, a chaque fois qu’il sera libérer, il
complotera contre son frère mais de manière inefficace.
Otton dirige directement le duché de Saxe. A partir de la mort du duc de Franconie, il fait la
même chose, il ne nomme aucun duc. La même année, en 939, le duc de Souave adopte le fils
ainé d’Otton le Grand, Luidolf et qui devient son gendre car épouse la fille du duc. Faire de
Luidolf, faire le successeur d’Herman à la suite du duché de Souave. Principe instituionnel
que le duc est nommé par le princeps et pesanteur sociale en faveur de l’hérédité. En 944,
après plusieursannées de vacance du duché de Lotharingie, Otton nomme Conrad le Rouge
duc et en 947, Conrad le Rouge épouse la fille unique d’Otton le Grand, Luitgarde. Alliance
matrimoniale entre Otton le Grand et un duc. On va quel à été la première politique d’Otton le
Grand pour contrôler le royaume de Francie Orientale et la Lotharingie, alliance matrimoniale
avec les ducs. Lorsque le duc de bavière Berthold meurt en 947, on va voir Otton le Grand
nommé son jeune frère Henri qui a épousé Judith la fille de l’ancien princeps Arnulf.
Le duc de Souave meurt, Luidolf est nommé par son père comme nouveau duc de Souave.

En 950, on voit que tous les duchés sont contrôlés par la famille d’Otton. Les 3 duchés qui ont
encore un duc propre son gouvernés par des duc membre de la dynastie ottonienne. On peut
souligner le rôle de l’épouse comme transmetteur de la légitimité à occuper une fonction.
Néanmoins, les Ottoniens sente que ce système est fragile et à partir du milieu du Xe siècle,
on voit mettre en œuvre un autre système de contrôle du territoire du royaume, c’est ce que
l’historiographie allemande à appeler le système de l’Église impériale. Nom de Falkentsein. Il
s’aghit D’Otton le Grand et ses successeurs de s’appuyer sur le droit d’investiture, la règle
légale est entre l’élection et les rites liturgiques qui permettent à l’évêque d’entrer en fonction,
on a l’investiture par le princeps. Otton le Grand ayant restaurer le principat, en éliminant le
principat bavarois, seul princeps dans l’espace en vert sur la carte, le seul à exercer ce droit
d’investiture, investissant à tous les évêchés de cette espace. Cette investiture à la fonction
épiscopale est effectuer au moyen de geste rituel, remise d’objet, on voit apparaître dans les
sources, l’investiture par la remise de la crosse épiscopale et de l’anneau épiscopale par le
princeps au nouvel évêque. Cette remise se fait après que l’élu ait prêter commandatio au
princeps, les évêques pour pouvoir le devenir, devienne d’abord les vassaux du princeps avec
toute les obligations vassaliques que cela implique (aide et conseil dans tous les domaines).
Les deux objets, renvoi à ce qu’il y a de plus religieux et sacré dans la fonction épiscopale, le
bâton symbolise l‘office pastorale, l’anneau est ce qui symbolise le mariage mystique entre
l’évêque et l’Église diocésaine.
Les évêques doivent la totalité de leur fonction, temporel et spirituel, au princeps. Les études
mise en œuvre par Falkenstein et son école ont visé à essayer de reconstituer les carrières de
ces évêques. Ces études font ressortir les éléments suivants, ce sont des anciens chapelins,
d’ancien membre de la chapelle impériale, la chapelle devient une pépinière d’évêque.
Puisque le princeps choisis comme évêque des membres de sa chapelle, il les connait tous et
les évêques se connaisse les uns les autres. La chapelle devient un lieu de sociabilité où des
jeunes clerc issus de l’aristocratie peuvent se constituer des réseaux de sociabilité, d’amitié
qui vont jouer un rôle dans leur futurs carrière. La conséquence est que nous avons affaire à
un épiscopat royale et impériale, dont l’horizon est au royaume et à l’empire. Ils ont un
horizon assez large de ce point de vue. Le revers de la médaille, est qu’ils peuvent être
parachuter dans un diocèse où ils n’ont jamais mis les pieds.

Le but de la mise en place de l’Église impériale s’agit d’affaiblir la puissance extraordinaire


de ces aristocrates depuis la minorité de Louis l’enfant, affaiblissant les ducs en conférant des
prérogatives régaliennes à la place des ducs, fiscales, justice, parfois des charges comtales, on
appelle cela les regalia. Dans ce système, les évêques voient croitre leur pouvoir temporel,
l’épiscopat avait déjà des prérogatives temporel avec le for ecclésiastique depuis l’époque
mérovingienne Dans ce royaume de Francie orientale et de Lotharingie, si le roi est l’unique
princeps, il a réussi à restaurer la monarchie, cette monarchie repose sur le système de l’Église
impériale, il s’appuie sur l’épiscopat pour balancer l’aristocratie laïque. La clé de voute de
cette organisation politique, de la monarchie ottonienne est le contrôle de l’investiture à
l’épiscopat.

Falkenstein ont parlé d’une système de l’Église impériale, on a voulu remettre en cause cela
en montrant que ce n’était pas si systématique. Il n’a pas été mis en place partout dans le
royaume du jour au lendemain. Jamais rien de systématique au M-Â. Néanmoins, on peut
remarquer que si jamais il arrive qu’un diocèse puisse élire librement leur évêque, c’est par
privilège impériale. 3 possibilités avec ce droit d’investiture, soit le princeps donnait son aval
au candidat élu, soit il refusait le candidat élu et procédait à une nouvelle élection, soit il
demandait d’élire celui qu’il voulait. Avec le ottoniens, c’est le 3 e cas de figure qui est
systématiser. C’est par privilège que les électeurs peuvent élire librement les évêques.
En réformant Saint Arnoul de Metz, Otton met en place la réforme bénédictine en remplaçant
les chanoines par les moines bénédictins. Otton le grand se pose en princeps chrétien, Saint-
Arnoul est l’ancêtre des carolingiens, une des grandes églises carolingienne. Cela manifeste
que la nouvelle dynastie est la dynastie ottonienne et la dynastie carolingienne à disparu.
Même idéologie eschatologique, le but du pouvoir est de préparer le pouvoir du christ à la fin
des temps.
La vie de Saint-Gérard de Toul est écrit par l’abbé Werry, commandé par Léon IX, entre 1027
et 1048. En 962, l’évêque Goselin meurt (ancien notaire de la chancelerie de Charles le
Simple) investi en 922 ou la Lotharingie faisait encor partie du royaume de Francie
Occidentale. L’enjeu est d’assurer le basculement de l’évêché de toul vers la dynastie
ottonienne. Otton est occupé ailleurs et dans son absence, il a laissé la régence à Bruno, son
frère ecclésiastique, archevêque de cologne et duc de Lotharingie en 953. Exerçant cette
régence, Bruno va donner l’investiture au nouvel évêqued e toul, il choisi dans son clergé de
Cologne en la personne de Gérard.
Rite de l’intronisation.

Dynastie ottonienne placé sous son contrôle l’accession à l’épiscopat. LE princeps ottonien
investit également aux abbassiats royaux, les abbayes et le monachisme de francie orientale et
lotharingie passe sous le contrôle du princeps. Le grand mouvement religieux du Xe siècle,
est la réforme bénédictine, visant dans le prolongement de la politique carolingienne. Pour
souligner le fait quedans ces royaumes, ces mouvments de réforme monastique est contrôler
par le princeps lui-même, ou par les évêques investit par le princeps.
On voit ce contrôle monarchique si on dresse une carte des monastère clunisien au Xe siècle,
on voit que la réforme clunisienne au Xe siècle s’étend et se diffuse dans l’ensemble du
royaume de Borgone provence, de francie occidentale, dans la péninsule italienne mais grand
vide, les royaumes de Francie Orientale et Lotharingie. On peut dire que le contrôle du
mouvment de réforme monastique par le princeps empêche la réforme clunisienne de mordre
sur cet espace ottonien. On voit en creux à quel point la réforme monastique esrt contrôlé par
le princeps.

Nouvelle dynastie qui met en place une primogéniture, le roi est l’nique princeps et on peut
dire que cette monarchie renoue avec la monarchie carolingienne, avec cette nouveauté de
primogéntiture et le système de l’Église impériale.

Rome
Principat d’Albéric, fils de Marousie, qui a repris à sa mère le titre de Sénateur, il a aussi le
titre de consul faisant de lui le chef militaire de Rome, il prend aussi le titre de Patrice et il
prend même le titre de Princeps, princeps de tous les romains. Son principat est un temps de
paix pour Rome et la Papauté 932-934 après la crise du tournant 9 e-Xe siècle. Ce principat lui
permet d’accéder l’accession à la papauté, il créer tous les papes de la période, Léon VII en
936, Etienne en 939, Marin II en 942 et … en 946. Il réorganise l’administration romaine, de
l’Église romaine.
Le grand évènement italien de l’époque du principat d’Albéric II, est la montée sur le trône
d’Italie, d’Otton le Grand. Autre fois, ambition sur le trône de Pavie. Parmi les rivaux,
aristocrates italiens mais aussi ambition de l’autre côté des alpes, duc de Souabe. Au
printemps 951, le fils ainé d’Otton le Grand a son tour est pris de cette ambition. Il monte une
expédition ocntre le roi d’Italie Béranger II(petit fils de Béranger 1 er) monte sur le trône
d’Italie en 950, accuser de maltraiter son épouse Adélaïde de Bourgogne.
Accuser par Luidolf de maltraiter sa femme, l’expédition est un échec ar l’armée d’un
ducn’est pas asez forte contre un petit roi. La paix et la guerre est une prérogative du princeps
et l’initiative de Luidolf est vu par son père comme une forme de révolte. Otton ne peut pas
laisser passez la déconfiture de son fils, en 951, Otton intervient en Italie t l’armée du
royaume de Francie Orientale (très aguerri) n’a aucun mal à battre BII, il prend pavie en 951,
il prend Adélaïde et confie les opérations à Conrad le Rouge. Il va officiellement restituer le
trône à BII et son fils adalbert à condition qu’il lui prête commandatio, tenu en fief du roi de
Francie Orientale et autre prix à payer, BII doit abandonner la marche de Frioul ou Vérone, il
doit la donner à Otton, nouvelle marche de la Bavière. Porter majeure car c’est la région
d’origine de la famille d’aristocrate italienne.
Otton va évincer BII et il monte lui-même sur le trône italienne. Il devient roi d’Italie, souvent
un piédestal poru l’Empire. On est encore au temps du principat d’Albéric II.
2 conditions vont permettre de monter sur le trône, mort d’Albéric II en 954 et ensuite, en 955
le 10 août, Otton le Grand remporte la bataille du Leschfeld contre les Magyars, fin définitive
des raids Magyars, cette victoire étincelante accroit le prestige et l’Auctoritas d’Otton le
Grand, on retrouve le lien entre la victoire miltiaire et l’Auctoritas, l’un des élements qui va
permettre de monter sur le trône. Cette bataille est doublé d’une victoire sur les slaves deux
mois plus tard, ce qui l’auréole comme champion de la chrétienté face aux paiens pillards.

Otton le Grand va être couronné et sacré à Rome le 2 février 962 avec Adélaïde de Bourgogne
qu’il a épouser. Dans la foulée de son sacre impériale, Otton va porter la guerre contre le
Bénévent, qui se pose en Prince indépendant, il le contraint à prêter commandatio, allant plus
loin, il va porter la guerre contre les thèmes byzantins du sud. Tout cela, Otton s’affirme
comme Empereur sur l’ensemble de la péninsule italienne, alliance matrimoniale avec la
dynastie byzatine des macédoniens, Otton II épouse Théophano, la nièce de l’Empereur
Nicéphore II Phocas. Le jeune otton II avait été désigné comme le futur successeur d’Otton le
Grand pour la Francie Orientale, dès juin 961 à l’âge de 9 ans à Aix-la-Chapelle et en 967,
désigné comme devant succéder dans la fonction impériale.
Fin du règne d’Otton le grand, à paques 973, dans un grand monastère saxons, de la dynastie
saxonne/ottonienne, la mère absse est ottonienne, réunion de toute la famille Ottonienne où
l’on célèbre les paques, représentant de toute la chrétienté, le roi d’angleterre …
Cette réunnio qui dépasse l’horizon stricte du pouvoir impériale d’otton avec les
ambassadeurs étrangers, la dynastie ottinienn est dvenu la principale puissance occidentale. Il
meurt le 7 mai 973, successions sans problème, il va gouvenrer l’Empire, il continue à
développer le sysètme de l’Église impériale mais va mourir rapidement, dès 983, laissant un
fils mineure Otton III. Cela va ouvrir une période de minorité où la régence va êter assurer par
les deux veuves, espèce d’entente Théophano mère du jeune roi, régence du royaume Itlien et
Grand-mère Adélaïde, va exercer la régence sur la Francie Orientale.
Avènement de la dynastie ottonienne avec la suppression du principat bavarois, suppression
du principat romain, esquisse de mutation princière, elle n’aura pas fait long feu dans cette
espace, restauration d’une monarchie dans la suite logique de la monarchie carolingienne,
dynastie eschatologique, qui doit préparer le millénium, primogéniture, sysètme de l’Eglie
impériale visant à contrecarrer la pusisance des ducs.

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