Jean un grand musicien a acquis un violon en pensant qu’il s’agissait d’un

« STRADIVARIUS ».Il a découvert que ce n’était pas le cas.

Peut-il remettre en cause la vente ?

Solution :
Il y a l’erreur qui porte sur( la substance : qui est la vice du consentement),
l’authenticité du viol présenté comme « STRADIVARIUS ».

Problème :
Peut-il obtenir un fondement du contrat
L’erreur sur authentisme est admise en droit mais l’erreur doit revêtir les cas
suivantes :
Il faut que l’erreur soit déterminant, il faut que l’erreur soit entrer dans le champ
contractuel et enfin excusable . En l’espèce, l’erreur est inexcusable, il est un grand
musicien. IL adonc peut de chance de remettre en cause la conclusion du contrat sur
fondement de l’erreur sur la substance .
Cas pratique :

La clinique de Bourguiba qui fait partis des plus grands de Dakar voulant tester le

procédé que Mr Sow a crée qui consiste un soin médical sous la pluie mais il faut que

les patients s’allonge sur une chaise qui est fait par des substances très rare ou

même du jamais vu , ainsi la clinique croyant naïvement ce que dis Mr Sow il achète

ses chaises d’une valeur de 40 000 000 FCA (au total), c’est après l’usage qu’ils ont su

que les chaises sont recouvertes d’une simple peinture grise. Donc on peut dire que

c’est juste une stratégie pour faire acheter la clinique ces chaises en rendant plus en

valeurs ces derniers on peut dire qu’il a commis un mauvais dol pour vendre son

produit car c’est un pratique car c’est pas admis dans le monde des affairres. Par

conséquent, la clinique peut entreprendre une poursuite juridique.

CORRECYTION :
 Le cas concerne un clinique qui avait acheté des chaises recouvertes d’un revêtement spécial un
poudre de lune et des cheveux appartenant au pharaon d’Egypte. Peu de temps après ce revêtement
spécial s’abime et se révèle être sans particularité.

La question soulevée par ce cas est celle de savoir si le contractant a conclu le contrat en raison d’un
élément précis venté par le co-contractant afin de le pousser à contracter peut espérer l’annulation
du contrat.

Il résulte de la combinaison des articles 58,31 et 63 du COCC que le contrat peut être annuler si les
manœuvre décontractant ont pousser son co-contractant à le conclure .

Le dol consiste en une tromperie provoquée par des manœuvre que l’un des contractants à pratiquer
à l’encontre de l’autre pour l’emmener à donner son consentement. Afin que le dol soit établit il faut
3 conditions :

-Des manouvres

-Des manœuvres déterminantes

-Des émanant du contactant ou éventuellement d’un tiers complice en l’espèce Mr Sow a sillâment
menti à la clinique en lui vendant des chaises … car la mention du poudre de lune et des cheveux du
pharaon et constitutif de manœuvre . Ce mensonge a convaincu la clinique Bourguinba d’acheter les
chaise. Les manœuvres ont donc été déterminantes.

-Enfin, la derniere condition est remplie , puisque Mr Sow est le vendeur par conséquent le contrat
de vente serait vraisemblablement annulé par le juge et partis devront procéder aux restitutions de
sorte que la clinique restituera les chaises de Mr Sow.