Abou Ramadan UE4

Droit musulman privé et éthique

Examen écrit 2h et un rapport écrit
Rapport => 5-6page choisir une option rhyar sart ou bien sur une condition fasid.

Introduction:

Concerne le droit de contrat en droit musulman.

• Limon de Belfont, traité de droit musulman comparé => lire seulement le 1er temps.
Dans ce lire l’auteur essaie d’établir une théorie général des droit des obligations en droit
musulman.
En droit musulman il y a des contrats spécifiques, mais il n’y a pas une théorie général qui
englobe tt les actes juridiques.

• Il faudrait lire aussi les codes civiles ottoman: el Majalla ( il va envoyer un lien).
C’est la codification du droit hanefite pendant l’époque ottoman, ils ont fait une codification
et on fait une codification au bout de 10 ans de 1869 jusqu’à 1879.
Ca n’a pas été appliqué en Egypte, puisque l’Egypte avait une autonomie par rapport à
l’Empire ottoman. Il avait un système juridique à part.

Les fuqaha qui ont écrit ces textes voulaient simplifiés les droits pour les juges des diff
tribunaux, pack le fiqh a un acce difficile, et donc ils voulaient simplifier cela.

• Lire: L’abrégé des Halil (est sur internet gratuit). Ibn Qudama un grand juriste du
13eme siècle qui a écrit un résumé « le précis des droit musulman d’Ibn Qudama ».

• Lire: El-MinHaj résumé Schafiit de l’auteur an-Nawawi.

• Ali Hafif : el-Mu’amelat.

• Wahbi Zuhayli, un juriste contemporain a écrit un encyclopédie fiqh en Islam => turkcesi
var.

I. Contrat de vente
Comme un contrat modèle a travers les autres contrat. On a les éléments
généraux.

1. Définition et l’égalité du contrat de vente.

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Les juristes vont s’attarder sur la légalité d’un contrat à l’autre. Ils vont faire ça pour tt les
contrats.
Etymologiquement, le mots bay’ buyu’, c’est donné qq chose contre une autre. Ca peut
signifier une chose ou son contraire => acheter ou vendre.
Pour les hanefites, la vente, c’est un échange des mal, qui est une chose qui a une valeur.
C’est un bien qui a une utilité et qui est légale. Par exemple, alcool ou le porc n’est pas un
bien, pas mal, c’est illicite. Les personnes doivent le désirer.
-qq chose désiré
-qq chose qu’on peut épargner
-qq chose qui est licite

Traduction du Coran de Blachère, Muhammed Hamidullah et il faut mentionner le

traducteur à chaque fois qu’on cite.

Concernant légalité:
• verset 275 sourat La vache Bakara
• verset 282 sourat Bakara=> les fuqaha disent ce sourat ammene a la légalité de la vente.
• verset 198 sourat Bakara
2eme source, les hadith:
• un sahaba demande quel est le moyen de gagner sa vie, le prophète répond: « le travail
physique… »

Il y a des divergences sue les éléments constitutifs de la vente entre les hanefite et les autres:

=> pour les Hanefite, c’est l’offre et l’acceptation (par parole) ou bien si il s’agit d’un échange
c’est possible par tradition (par affiche du prix sans parler), transmission de la marchandise au
retour en donnant le prix.
=> pour les 3 autres écoles, il y 4 éléments constitutifs : vendeur, acheteur, la formule (si’ra) et
l’objet de la vente

=>Pour les Hanefite, celui qui parle le premier c’est celui qui fait l’offre, et celui qui parle le
2eme c’est celui qui fait l’acceptation.
=>Pour les 3 autres écoles, l’offre est fait seulement par le propriétaire même si il parle le
2eme.

Si vous prenez qq chose sans parler, c’est le mu’a’ta, les Hanefite, les Malachite et les
Hanbalites ont autorisé cela mais pas les Schafiit. Il faut parler chez les Schafiit dans
l’offre et l’acceptation.

Il n’y a que de vente que pr consentement, ce sont les schafiit mais la plupart des schafiit
n’ont pas autorisé cela. L’opinion majoritaire n’accepte pas, l’autre seulement pour des
objets pas chères, et dernièrement ok avec les autres écoles.

Le contrat doit se faire dans le majlis. C’est la séance contractuelle. Tant qu’on est dans la
même séance, si il y a offre et acceptation dans la séance, le contrat est terminé. Elle doit
se faire dans la mama marlis.
Si il change de position, il faut refaire le contrat pour les schafiit. Pour les Hanefites, il y a
bcp de règles aussi. Si on change de sujets il faut refaire le contrat.

Il y a plusieurs articles à lire => Brunschwig.

Les fuqaha distinguent 4 catégories de vente. Le mot ‘ayn et dayn.
- ‘ayn: c’est une chose spécifique, définie, corps certain.
- dayn: obligation personnelle, j’ai un droit qui m’oblige à faire qq chose.
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Concernant le droit de vente, le fuqaha essaie de combiner ces deux mots.

Muqayada=> Troc => on échange un chose certaine contre une chose certaine.

écoute 1:15:00 => ayn bi dayn => on échange un chose contre de l’argent, c’est la plupart
des contrats.

Dayn bi’ayn => je donne de l’argent et vous me donner qq chose après (achat après, fruit
légumes…) l’objet de la vente n’existe pas encore.

Vente à Musawama: vente à un prix convenue.

Bay’ el Murabaha: c un prix avec un gain

Bay’ Tawliya => vente à la même prix que j’ai acheté

Bay’ Wadi’a => contraire de murabaha: prix initial avec une perte

Les hanefites aiment faire des catégories.

2eme section: les conditions de vente

La formule hanefite: 4 catégories de condition (shurut = condition)

1. Condition in’ikad = conclusion des conditions des contrats, si les conditions ne sont
pas repris c’est batil, comme si le contrat n’a jamais existé. Si le contrat n’est pas
rempli, c’est fasid.
2. nafaz = contrat qui n’a pas besoin de l’autorisation (izn), qui s’applique sans
l’autorisation du propriétaire. Faut que le propriétaire l’utilise. Mawquf: qd il est
suspendue.
3. sihha = validité
4. lazim: c’est un contrat définitif, dans lequel il n’y a pas une option.

1. Surut al in’ikad

Condition des conclusions. si il y a un pb dans la conclusion du contrat , le contrat est bail,

inexistant.
Il y a des conditions qui concerne les contractants. Il faut que le contractant soit saint
d’esprit, pas mejnun. 1:40:00

Chez les hanefite, la puberté n’est pas une condition. Il distingue entre 3 catégories des
actes pubères:
la premiere, ce sont des actes qui peut faire sans l’accord d’un tuteur, par exmple,
accepter un sadaka, un cadeau. Car considéré comme utile pour le mineur.
Il y a des actes purements nuisibles pour les mineurs, par exemple le divorce, la
donation, un prêt… tt ces actes sont considérés comme des actes nuisibles et ces actes
ne sont pas valides pour les mineurs, même si le tuteurs autorise ces actes, le mineur ne
doit pas faire ces actes.

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Il y a des actes soit nuisible soit bénéfique, par exemple le mariage. Ces actes pour
être accomplie doivent être accordé par le tuteur.
Et donc si il n’y a pas autorisation, il n’y a pas de contrat constitué. C’est pour cela que la
volonté est important dans la constitution du contrat.

Il y a toute sortes de vente ou la volonté est problématique. Par exemple, il y a un vente

qui est muttar, quand il y a une obligation. Par exemple, obligation du juge pour payer ses
dettes. Pou les hanefites ce n’est pas valides, pour les autres oui.

Bay’ talji’a => qq’un qui se réfugie, car il craint. Donc il fait semblant de vendre ses biens
pour les cacher.
Pour les hanefite, invalide, car le contractant n’avait pas l’intention de vendre et pour eux
ces un cas analogue à la plaisanterie.
Pour les shift et hanbelite, contrat si condition invalide, alors la vente peut se réaliser sans
la cause qui n’est pas valide.

Toujours dans les contractants, un contrat de vente, un contrat de vente ne peut pas se
faire par une seule personne comme dans le contrat de mariage (une personne peut
marier 2 autres personnes). Ce n’est pas possible dans le contrat de vente, puisque les
intérêts sont opposés. Une seule personne ne peut pas gérer cela. Il faut recevoir le prix,
pourfendre la marchandise.
Exception : le père peut vendre son bien à son fils à un prix équivaillent du marché, ou un
prix dans lequel la lésion n’est pas excessif => fahij

Concernant les contrats: l’offre doit correspondre à l’acceptation. Il faut négocier.

Les fuqahas ont déterminé un temps à attendre: temps de lecture des verset de secde:
Surat Araf verset 206
Surat Isra verset 109
Surat Haj verset 18

Un autre élément qui concerne l’objet du contrat. Il faut que l’objet du contrat soit existant.
par exemple: ce qui a dans le ventre du vache => inexistant!
Salam => qd va sortir de la terre => fruit légume
Il faut qu’il est une valeur, soit un mal. Le sang n’est pas un mal. Il faut que la chose soit
possédé, en possession (pas l’herbe, le vent… ça ,’appartient à personne).

Il faut qu’il soit possible de délivré la chose, par exemple un pigeon.

Si le vendeur s’adresse à plusieurs acheteur et un des acheteur dit j’achète. Dans ce cas,
il n’y a pas une constitution de vente.

Concernant la chose,il y a un principe d’unité de la vente: le vendeur ne peut pas vendre

et l’acheteur souhaité y??
2:15

2. Surut an Nafaz

Le contraire c manquf.
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Il faut qu’il soit propriétaire pour qu’il y a un contrat un nafaz, soit tuteur => wilayas: doit
avoir une autorisation pour agir (different de wakil)
Il ne faut pas qu’il y est un droit d’autrui, on ne peut pas vendre un bien qui est en gage.
2eme condition: il faut pas
Les fuqahas traitent aussi le bay’ el fuduli. Qq qui se mêle des affaires des autres sans
leur accord. Par exemple q’1 qui vend une voiture qui ne lui appartient pas, ou qui loue
pour une autre.
Certai disent qu’il faut l’accord du propriétaire mais la vente des fuduli est bail. Les
Malikites disent qu’ils attendent l’accord du propriétaire. Ils ne font pas la distinction entre
vente et achat et disent qu’il suffit une autorisation pour l’achat.
Hanefites font une distinction entre la vente et l’achat.
Pour les schafiit et Zahirite: hadith « vend pas ce qui ne te possède pas »

2:30:00

Ce qui autorise l’acte du curieux, ils disent que la personne en question doit être
propriétaire pour pouvoir autorisé. Et il faut aussi que le contrat ne doit pas être imposé au
fudul. Il doit vouloir le faire lui même.

Vente batil

3. Surut Sihha Nakad?: Vente batil et vente fasid

Contrat sahih c’est ce qui remplie ces éléments consécutifs et remplie les
conditions. La majorité des fuqahas voient bail et fassi comme même mots.
Les hanefites les distinguent. Ils disent que ce qui touchent les éléments consécutifs « les
akd » et les éléments secondaire, ils distinguent entre wasf caractéristique et asl sens.
Les hanefites disent que le bay’ sahih, les éléments constitutifs sont
Les wasf c'est un élément qui ne touchent pas les éléments consécutif cad offre et
acceptation. Si c’est un pb dans offre et acceptation pas de contrat.

Exemple de vente batil: vente des choses inexistantes

-vente des fruit avant apparition
-vente d’un animal avant qu’il soit né
-vente le lait dans la vache
-vendre un livre avant son impression
-vendre la laine d’un animal => les Malikites l’ont autorisé, les Hanbelites l’ont autorisé à
condition de le vendre le plus vite possible. Mais les Hanefites et Schafiit l’ont interdits.
Chez les Hanbelites, il y a 2 positions qui occupe:
• si sure que dans l’avenir cette chose va apparaitre selon la coutume
• 2:40

Vente d’une chose qu’on ne peut pas délivré:

si la chose a été volé, ou un esclave qui a fuit, même si fuit, il faut refaire l’offre et
l’acceptation.
Bay’ al rarar => on c’est pas les conséquences, alors que le juriste le définie comme une
chose qui peut arriver ou ne pas arriver. Ou bien quand le vendeur ne sais pas ce qu’il

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vend et l’acheteur ne sais pas ce qu’il va acheter. Parfois il faut savoir ce qui est
accessoire et ce qui est en vente.

2eme exception: parfois il y a une certaine marge de rarar qui est accepté par la coutume.
par exemple: dans les hamac, la quantité de l’eau est rarar

Il y a toute sorte de vente qui contient aussi rarar. 2:50:00

Dans l’assurance, il y a un rarar. Si pas accident zararda, sinn avantageux.

Autre exemple de contrat batil: nijs => impure.

Le chien est pour les musulmans impure.
Chez les hanefites, on peut vendre le chien pour la chasse ou la garde.
Les 3 autres on peut pas vendre les choses impures.

Fasid: ce qui est légal pourront asl mais qui a un pb par son wasf.
bay’ el majhul=> hanafites disent que si la chose vendu prix indeterminé est excessif
3:00/00 écoute suite aussi
Si yesira=> la vente est sahih
La coutume des gens.
ecoute…

exemple: si je vous vend 2-3 habiles, ce n’est pas excessif mais modéré.

Genre espèce ou qualité…

2eme catégorie : la vente qui est soumise à une condition

3eme exemple de contrat fasid: vendre une chose absente, non vue pas inexistante!
si inexistant ça aurait été batil.

Pour les Malikites, ils autorisent. Il faut un texte qui écrit un document qui détail la
chose avant. Les schafiit n’autorise pas la vente d’une chose absente, car il y a rarar, et
disent que le prophète a interdit la vente d’un rarar. Vente de raisin pr fabrication de
l’alcool => interdit par Ebu Hanife mais autorisé par les Schafiit. Pour Hanbalites et
Malikites c’est fasid, car interdit ce qui est interdit.

La vente d’une chose par une contre partie interdite (alcool=> c’est fasid).

La vente d’une chose fasid => pour les hanefites le contrat est valide mais clause interdite:
ils disent que le contrat est valide mais la clause invalide, pour les 3 autres écoles
l’ensemble est fasid.

4. Surut al-lazim- ‘akd el lazim = les options (khyar=> capacité de choix)

Si on a pas les moyens de choisir.

Lazim, est un contrat qui n’a pas d’option.
On a le choix de continuer ou d’arrêter le contrat.
Normalement un contrat de vente oblige le transfert de propriété sauf si khyar (option).
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Chez les hanefites, il y a 17 options:
• khyar as-sart=> l’option stipulé
• l’option de vue
• l’option des vices
• l’option des caractéristiques
• l’option de paiement
• l’option de désignation
• l’option du choix de la quantité
• l’option de mettre fin au contrat pendant la séance si le contrat n’est pas accomplie.

Khyar el wasf

Si l’acheteur achète un objet en conditions son achat, continuation du contrat di non

falsifié, exemple: bisou non falsifié.

Il faut que la caractéristique soit accepté par le coutume. Il faut que le wasf soit déterminé.

Autre exemple d’option de paiement , khyar an-Nakd:

j’achète en condition de payer en 3 jours, si pas payer on peut résilier l’achat.
Khyar at-Ta’in, option de désignation;
choisir la chose vendu, reporter la désignation.

Jahala => fuqahas ont permis ce genre de vente, car nécessaire.

Les hanefites acceptent cette option mais ils disent qu’il y a des conditions mais le choix
doit être entre 3 choses. Faut que le ve,deur accepte explicitement. Il faut que les choses
appartient aux choses certaines (individualisé, par exemple animal, pas la meme chose
pour le riz) pas des choses fongibles. Il faut que la période et l’option soit 3 jours. Il y a
une divergences entre Ebu Hanife et les autres. Pour Ebu Hanife max 3 jours et les autres
importe quel période tant que ça convient au 2 personnes.

Après la fin de la période, …

Kyhar el Rubn, option des vices => lesions

Cette option est légales chez les Hanefites. Rubn=Taghrir => dol (= avec intention de
tromperie).

Pour que les lésion soit opéré il faut qu ‘elle soit excessive (fahij).

LIRE L’ARTICLE 1 jusqu’à l’article 403

II.

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Ijara : Contrat de location

La base juridique sont des contrats de travail.

Il y a un juriste qui Asam mort en 1892, pour lui ce contrat n’est pas légal car fait une
analogie entre le contrat de ventre et le contrat de location, et l’utilité menfa’a. On ne peut
pas vendre une chose inexistante et donc pas de contrat.
Al Qasani => pour lui il faut appliquer le istihsan, c’est l’équité. On quitte une règle
d’analogie pour une autre règle. Si on voulait appliquer l’analogie, on serait aboutit à un
résultat non désirable.

Dans le Coran:
• Surat les récits verset 27 => ces règles qui étaient appliqués avant l’islam, sar’ gablana,
ils faut…
• Surat Jum’a verset 10 =>
• Surat Talaq verset 6 => Location d’une nourrisse, est ce que location ou vente? parce
qu’elle donne aussi son lait. La chose en lui disparait. Les juges disent que le lait est
• Surat Kehf - La Caverne verset 77 => exemple de travail pas de location

Dans les Hadiths:

• « Il faut donner à l’employé son salaire avant que sèche sa sueur. »
• « Il y a 3 catégories de personnes qui sont mes ennemis:
- Une personne qui m’a trompé, ou triché
- Celui qui a vendu un homme libre
- Une personne qui a engagé un employé sans le payer.

3eme sources l’Ijma (consensus):

• Al Qasani dit que Dieu a rendu licite les different contrat pour répondre au besoin des
gens, les gens ne sont pas en mesure d’acheter un terrain, tous n’auront pas les
moyens d’acheter diff bien. Et donc Dieu a légalisé ce genre de contrat. C’est un
argument de la nécessité des gens.
• Un autre grand juriste justifie ce genre de contrat, Sarakhski (11eme siècle): il dit que les
pauvres ont besoin de l’argent des riches comme les riches ont besoin du travail des
pauvres.

1 => Le contractant:
Contrat d’ijara: c’est un contrat dans lequel on a une utilité et une contre partie.
Avoir acquisition de l’utilité dans une période déterminée avec compensation.
Quelles sont les fondements de ce contrat?
Il y a le contractant, celui qui loue, le propriétaire
Muajjir=> locataire, le preneur et musta’jir=> bailleur, propriétaire
Le locataire: Il faut qu’il soit majeur, capable de céder et recevoir ces droits. Doit bien
décerner le bien du mal. pas mineur, ni fou ou endormi.
Le bailleur: il faut qu’il soit propriétaire, soit mandataire, il faut que le contrat soit conclut
librement.

2 => Sijha: la formule employé

C le même contrat de vente.
Pour les 2 écoles: celui qui fait l’offre est celui qui est propriétaire, cad celui qui commande
et celui qui accepte est l’autre l’acheteur, le preneur.
Chez les Hanefites, celui qui fait l’offre c’est celui qui vend et 2eme l’acheteur

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3 => L’utilité: Manfa’a
Ca peur provenir d’une personne, d’un animal (transport), d’une chose ( voiture,
maison…). Normalement les fuqahas disent que tous ce qui peut être vendu, peut être mis
en location. Mais on ne peut pas vendre un homme libre, mais on peut louer le service
d’un homme libre. *Wakf

L’utilité a des conditions:

1. Il y a une possibilité de délivré la chose, la possibilité de délivrance
2. Il faut que la chose louer continue a exister après la location. Il ne faut pas la
consommer. Par exemple, on ne peut pas louer un animal pour recevoir son lait ou sa
laine. On ne peut pas louer une pomme, pack ça disparait.
3. Il faut que l’utilité soit possible, cad si je loue une terre pour la cultivé, il faut que ce
terre soit cultivable. Si je loue une maison, il faut que la maison soit dans des bonnes
conditions pour qu’on puisse y habiter.
4. Il faut que l’utilité soit de bonne condition, pour éviter le rarar et éviter la jahala
‘indétermination). Par exemple, si il s’agit d’un travail, alors il faut déterminé le travail.
Si je loue une maison pr y habiter, il faut pas l’utilisé comme une usine. Il ne faut pas
changer l’utilité de l’objet loué.
5.

Wakf: c’est une institution juridique du droit musulman dans lequel il y a 3 partie.
La 1er c une personne qui est propriétaire et s’appelle Wakif, cette personne a une
propriété et cette personne doit être utilisé pour une personne utilitaire, bénéficiaire
mankuf lahu. Wakif celui qui crée le wakf. Et une personne qui gère le wakf: mutawalli,
mamur. Et celui qui contrôle tt ça c le juge.
Le wakf ne peut pas être vendu car on considère une la propriété est sortit du main de la
propriété et devenue une propriété divine. C’est jusqu’au dernier jour. Ce wakf peut être
loué pour une petite période mais pas vendu!
2 locations : ijaratan => un ijara
Wakifiye => l’acte dans lequel o crée un acte
Si quelqu’un voulait contourner des règles de successions.
Yuskogens ce sont des règles obligatoires. Il ne peut pas bénéficier d’une succession et
d’un héritage à la fois. Pour éviter l’expropriation par un dictateur.

4 => Ujra: La contre partie

Comme les prix, toutes ces mêmes conditions (déterminé).

Quel sont les conditions qu’on peut mettre dans les contrats de location?
Dans les conditions proviennent du contrat de vente par exemple la délivrance de la
propriété. Il y a des conditions qui dérive directement de la vente ou du contrat ici de la
location. Mais il y a des conditions qui sont contraire à la location. On peut parler des
conditions qui sont bénéfiques pour une partie.
- 1ere partie des conditions: conditions qui provenait du contrat. Contrat de location:
je vous donne cette appartement si vous me donner cette somme.
- 2eme catégorie de conditions qui ne dessouderas directement du contrat de
location mais qui ne contredit pas le contrat de location. Les Hanefites ont autorisés ce
genre de contrat, par exemple les différentes options ou par exemple la demande du
caution. Ce genre conditions (gages, cautions…). 1:14:00 Par exemple j’ai voulu cette
maison à condition que vous ne l’utilisé pas.
- Il y a plusieurs catégories de contrat. Soit pour utilisé qq chose (maison), soit un animal,
soit un travail (ajir khas: personne qui ne travaille qu’à vous, pas responsable de ses

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erreur ; ajir musterak: personne qui travail pour tt le monde et responsable de ses
erreur, exemple taxis).

L’article 404 détermine le loyer:

ujra c’est le loyer
ijar c eclui qui donne la propriété
isti’jar c celui qui prend, qui loue
406 : louage irrévocable
Bay’ lazim
ajir c celui qui travail => article 413

article 416 lire l’article responsabilité civile

Daman => on est responsable de tous ce qui arrive aux personnes qui sonr sous notre
responsabilité
Amana => destruction volontaire de la chose, vous etes responsable que si vous avait
détruit

Si on est responsable et si on a traduit cette chose => on apporte une chose qui est à la
valeur de la chose.

418 nourrice
420 les louages ont 2 espèces:
- la louage qui a pour espèce la jouissance de la chose el-ijara
- du travail, d’un ouvrage

4 personnes font travailler une seule personne => toujours ajir khas
ces diff important pr montrer le degré de la responsabilité de la personne.

425 taxis son gage c’est d’aboutir au demande taxis => destination

ajir has => responsabilité des moyens

ajir musterak => responsabilité des résultats

Location vente

Un contrat de vente se termine

Ca commence par ijara et se termine par une vente sans prix
Est-ce que ce genre de contrat est légal ou non?
Qu’est ce qui est important les mots ou le contenus, l’intention?
Certain écoles comme l’école Hanefite, Malachite et une partie des Schafiit ils voient
l’importance dans l’intention => article 2 de al majalla.
Les schafiit sont toujours formalistes, ce qui est important c les mots pour eux.
Les contemporains disent que c une vente échelonnée, vous pouvez me payer ça en 10
fois…
L’effet principal de ce contrat, c’est la vente. Et donc c un contrat de vente.
Mais le paiement est échelonné dans le temps.
C’est un contrat conditionné par le fait qu’il faut payer tout le prix.

Certain disent que c’est un contrat qui est batil, pack il y a une condition qui n’est pas
admise, une condition qui est nul.

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Il y a rarar ici, il y a un aléas une sorte d’injustice, ça vs avez presque tt payer mais n’est
pas propriétaire.

On ne sais pas le sens du contrat…

Celui qui loue, le bailleur, je te loue cette chose et a la fin je paie un somme plus grande et
je te l’achète. Il devient propriété à la fin. Donc contrat de vente à la fin.
Certain on dit que c’est illégal, par exemple les capoté des ulémas saoudiens. Il dit qu’il y
a 2 contrats sur une même chose. Et donc c interdir de faire 2 contrats sur une même
chose. Un contrat dit qu’il faut transférer la propriété et l’autre dit de ne pas transférer la
propriété.
D’autres disent que c’est légale; mais ils ont posé des conditions. Il disent que le contrats
de location doit contenir tt les conditions et il faut faire un autre contrat.

3eme forme de ce contrat de location:

Je vous donne en location et à la fin de la location je vous donne cadeau => hiba. Il
promet qu’il le donne cadeau à la fin de la location.

Est-ce que la promesse est obligation ou non?

Si obligatoire, on est obligé de faire un contrat, si pas obligatoire on ne peut pas établir ce
contrat.

CHAPITRE 5 CONTRAT DE SHARIKA

C’est « personnalité morale », une société en dehors des composants.

1045 => sarikat el mulk => cad on peut être associé a une société soit par une achat soit
par cadeau.

L’autre associé de la société, c'est sarikat ‘akd (par contraint) => c’est sarika dans le sens
de partenariat.
Plusieurs categories dans carient ‘akd:
• sarikat ‘ibaha => des choses qui appartient à tt le monde et on associe pour couper les
bois dans les forets.
- Sarikat el Mufawada article 1356 => dans cette société chacun des associés est
garant de l’autre.
- Sarikat el Mudaraba => dans lequel il y a association de capital et de travail.

Le vendredi 2 octobre 2015

1. Ibaha
2. Milk
3. ‘AKD:
- Mal: bien
- Amal: travail
- Wujuh: les personnes qui ont seulement un poids social, ils n’ont ni argent.

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1. Sharikat el Ibaha

C’est l’autorisation de faire quelque chose qui est interdit. Parfois il y a des textes qui
donnent certaines autorisations, donc c’est une autorisation par textes, mais il y a des
autorisation sans textes. Ibaha peut être donné par une personne. On peut le prendre par
ihraz.
Hirz: c’est la séparation de la chose, qui devient a part. Par exemple les arbres de la
forets sont a tt le monde, mais une fois qu’on le coupe et qu’on le met dans notre terrain
ça devient à nous (ça peut être un animal, ou quoi que ce soit).
Est-ce que c’est l’égal de faire ce genre de société?

Majalla traite ce traité dans l’article 1254.

2. Sharikat el-Milk

C ‘est quand le pouvoir appartient à vous. Ca peut être entre 2 personnes ou plus.
Ca se constitue par une succession, une donation. Ce charrient se divise en 2:
• sharikat el ‘ayn => qq chose de specifique, par exemple 2 personnes qui s’associe à
une maison
• Sharikat deyn => 2 personnes s’associe et paie pour quelque chose qui va être
construit, pas encore spécifique.

3. Sharikat al-‘Akd

‘Akd: c’est le contrat

Les fuqahas ont fait plusieurs divisions dans cette société. La plus importante est la
division des hanefite pour le prof.
• Mal: on associe des biens ( pour un capital)
• ‘Amal: on associe le travail (association pour le meme ou autre métier)
• Wujuh:
Mufawada: on a une inégalité complète entre 2 sociétés.
Inan: il n’y a pas d’égalité complète entre 2 sociétés.

Mudara: MAL + A’MAL

21:00 écoute

Hadith: « Si entre 2 associés il n’y a pas de trahison, je serais le 3eme associés. »

La base des sociétés c’est l’ijma.

Les éléments consécutifs …

- Il faut un offre et une acceptation pour constituer une société.

- Pour faire un contrat. Il faut que les associé sont capables d’être mandant et
mandataire. Il faut pouvoir être en situation d’être wakala, procuration. Dans chaque

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catégorie de contrat, l’un peut être en demande de mandat. Concernant l’objet de
contrat.
Pour les hanefites, il faut que l’objet de contrat est la possibilité d’être l’objet d’un
manda.
Les Malikit et les Hanbelites ont accepté ce genre de contrat car les choses
appartient à tout le monde.
Les Shaafiites n’autorise pas a ce que 2 personnes s’associe pour le travail. PAS
DE SHARIKAT EL A’MAL.

- Il faut préciser les bénéfices, les biens. Pour les gains il faut préciser un pourcentage
dans le tout.

Ce genre de société se divise en sharikat el inan, et charrient el mufawada.

• Sharikat el-inan=> légal chez tout les fuqahas

INAN: on peut orienter, déterminer les benefices, on peut contrôler.

2 personnes mettent en commun une chose, et ne mentionne pas que l’un peut avoir. Les
Malikit disent que le sharikat el inan est une société dans un capital … 44:00
Les Shafiit disent que 2 personnes qui s’assoient dans un bien avec des conditions
spécifiques.

• El-Mufawada => il faut aller dans l’association ou il y plus de pouvoirs. L’un se file
caution de l’autre, kefil. L’un est mandataire de l’autre. Il y a égalité dans la capitale,
dans le comportement, dans la kafala, dans la caution. Chacun se porte garant de
l’autre, du début de la sharika jusqu’a la fin. C’était la def des hanefites. Les Malikite le
formule autrement: c’est une société dans laqeul l’u des associé peut tt faire sans que
l’autre soit présent.

• 1ère condition: ça doit être ‘ayn et pas dayn car soit doit être spécifique.
• 2eme condition: il faut que cette chose soit présente.

Pour les Hanefites c’est quand on commence à agir et pas avant.

Les Malikites disent que les mal soit présent, mais on donné qq exception, accepte qq
assouplissement. Si le mal est loin dans une distance d’une marche de 4 jours, cela sera
possible de faire ce contrat a’mal. Si il y a un bien absent et un bien present, il faut
attendre que les biens soit présents et après on peut commencer à faire le contrat.

• 3eme condition: il faut Athman mutlaqa => ça veut qu’on peut l’échanger des choses
échangeables (l’argent et ce qui ressemble à l’argent) => schafiit, hanbelite et Malikite.

Money …

Article 131 de la Majalla:

L’autre associé peut prendre l’autre moitié de la capitale. Pour faire wakala, il faut un
woud, c wakala ce n’est pas légal. Et si ce n’est pas possible un wakala, ce n’est pas
possible de faire un mandat, pour l’école Hanefite.

Article 1342
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4eme condition: il faut mélanger les biens…

Les Shafiit n’aime pas tt ce qui est indéterminé. Il exige de mélanger les biens
pour ne pas les distinguer l’un de l’autre, et si on peut distinguer ce n’est pas valide.
Hanefite et Hanbelite dans le cas di dollar et euros, on peut faire un mélange.

5eme condition: il faut que ce soit déterminé, il faut qu’on connaissent la capitale.

6eme condition: il faut que les associé qui sont associé dans ce contrat il faut qu’ils
apportent les mêmes actions. Ils mettent l’argent ensemble. Il faut que les 2 associés
travaillent et qu’il représentent l’un et l’autre.

Il y a des conditions qui sont spécifiques pour le charrient el mufawada. C’est les
conditions général. 1er condition il faut qu’il y ai égalité entre les associés dans les
capitales du début jusqu’à la fin. Car mUfawada constitue une égalité. C’est un principe
qui régit le contrat jusqu’à la fin. Dans tout les contrats, il faut appliquer le principe
d’égalité. Pour certain hanefite, on peut faire mufawada entre euros et dollar si ça revient à
une quantité égale. Si il n’y a pas égalité entre les faveurs, c’est nan et inlay a pas
d’égalité.
Il y a ici un doute on ne sais pas si il y a égalité ou non.

Si un des associé croit sa capitale au cours de la vie de la société (par exemple héritage,
succession, donation…) la société se transforme de mufawada à inan.

Dans la capacité d’agir,

1:25:00

chaque associé est represantant et associé de l’autre

Il faut qu’il y est égalité dans tt sorte de transaction

6eme condition: Les capitales doit être général pour l’autre. On met tout nos biens qui
peuvent être constitué dans la capitale. On ne peut pas mettre de coter. Ce sont les biens
qui peuvent constituer le capitale.

7eme condition: il faut que la société se constitue dans le terme de mufawada. On nomme
les conditions. Car la plupart des sociétés ne connaissent pas ce genre de société et donc
on va nommer les conditions une part une. Ce sont les Hanefites qui disent ça. Pour les
Malikites, ils ont posé une seule condition, chacun peut agir au nom de l’autre, que ce soit
l’autre absent ou present, il peut faire toutes les transactions possibles (acheter, vendre,
lourer…) Pour les Malikites, les inan on doit avoir autorisation pour chaque action.

Pour les INAN: les fuqahas ont dis que c’est un charikat légal qui est autorisé dans la
société en général. Il y a ce qui disent qu’il y a des conditions normales de la société en
général.

1:40:00 dinlemiyom depuis

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les Hanefites voient les Sharikat el Mufawada comme une bonne chose => pour les
hanefites

hadith: faite mufawada il y a la bénédiction.

hic dinlemiyom

Les Schafiit disent qu’il faut une preuve.

Quand vous avez en face de vous un hadith,

2eme argument: tte ces conditions sont très difficiles de les réunir ensemble

3eme arguemnt: car il y a cahala (on donne un mandat à un wakala et il peut tt faire on ne
limite pas) et rarar (on doit …

Safiit dit si sharikat el mufada n’est pas nul je ne sais pas ce qui peut jeter nul! tellement ils
sont contre la mufawada.

1er condition pour inan et mufawada: On peut mettre à terme le contrat à tout
moment que ce soit mufawada ou inan.

Il y a un désaccord avec les ulémas, est-ce que les autres associés doivent savoir qu’on a
mi fin. Certain on dit nn et d’autre oui.
Pour les Hanefites: les associés doivent savoir qu’on a mi fin au contrat sinon le contrat ne
prend pas fin.

2eme conditions pour les 2: être associer dans le capitale et le bénéfice.

3eme condition commune: chaque associé est mandataire de l’autre. Chacun doit
pouvoir être mandant et mandataire. Si il est mandataire, dans le inan on peut limiter.
Dans le mufawada on peut limiter et pas dans inan.

4eme condition: Chaque associé est responsable des 2. Il y a émana (si on fait tt
responsabilité sur nous, on est pas responsable, par exemple si le bien s’abime =>
responsabilité pas absolue) et zaman (si on détruit on est responsable=> responsabilité
totale/absolue).

On peut limiter le droit d’agir. Si on annule les mandat on a annulé la société.

Il y a des règles spécifiques pour les mufawada: on voit les 2 personnes comme une seule
personnes. Il faut aussi s’associer si il y a une dette. Ca s’annule si le patrimoine d’une
personne s’ajoute. Accroissement dans un capitale quo peut se constituer …. si la
capacité change, (apostasie change de religion, ou qq qui devient fou) donc il n’y a plus de
mufawada.

On peut pas faire ce change de charria avec des non musulmans.

Quelles sont les règles qui concernent el-inan?

on peut diviser le travail. Il peut être de gain differents. Il y a un hadith du prophète: el
haras fi zaman => « les gains se gagne par votre responsabilité => si vous voulez gagner
vous devait être responsable.
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On peut changer les conditions de gains entre les partis.

Une autre catégorie de société: SHARIKAT EL-WUJUH

C’est la notabilité, mais pas les bien en argent …

Pour les Hanefite: Deux personnes ou plusieurs qui n’ont pas de bien mais qui ont un poid
social, on va acheter mais on ne paie pas tout de suite. On va vendre cette chose cash.
Ce qu’on va gagner on va le partager entre nous.

Dans ce genre de contrat, on peut apporter un capital, il y a un capital et un accroissement

de la capital. Si c’est légitime d’avoir un gain ou une bénéfice, l’argument augmente.

Il y a rarar car il n’y a pas de travail bien déterminé.

Quelles sont les règles de ce sharika?

Kafala pas obligatoire pr les hanefite.

Pour les hanbelite, il faut réunir les conditions de kafala et de hafala.
1er=> Il faut qu’il y ai la capacité d’etre mandant et mandataire.
2eme=>

3eme categorie de société: sharikat el Amal-Tagabbul-Sema’i-Abdan

Mudaraba, association de capital et de…
Le travail est géré par Ijara istisna mudaraba.
Sharikat el abdan.

Une partie des écoles ont autorisé cette catégorie des partenariats mais en justifiant la
légalité. Les écoles schafiit et zahirit. Ils ont soutenue la nullité. Les 3 autres écoles disent
que c’est légale.
Sararsi grand juriste, justifie ça par plusieurs argument.
1er argument: Les mandats, une personne parmi les 2 peut faire le travail de l’autre
… le meme argument que les autres societe.
2eme argument: La coutume
3eme argument: les bénéfices peuvent se faire soit par les biens soit par … ils
donnent l’exemple el mudaraba. L’investisseur en raison de son investissement … a le
droit au benefce en raison de son travail. Un travail peut être dans le régime du bénéfice.
Les fuqaha justifie un contrat par rapport aux autres.
« Ma communauté ne s’accorde pas sur une erreur » un hadith. La base c la sunna mais
aussi le consensus.
4eme argument: La wakala est permise, si se trouve dans une autre contrat alors
l’autres contrat est permise.
5eme argument: Kasani rep a l’argument de shafiit, pour eux le partenariat est
accepté pour accroitre le capital. Ils disent qu’il faut un capital d’abbord. Le travail ne
constitue pas un capital.
Sarikat el abdan est envisagé pour le capital elle meme. Pour trouver les gains de la
capital.

On distingue entre les wasf et les asl. Entre les principales et l’accessoire. Si j’ai le droit à
un benefice, comment ne peut pas est je avoir besoin à un capital. Ainsi, la recherche du
capital elle meme doit être admise.

Zayd (1342) => le mandat est permis donc cette société est permise.
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C’est charrient el abdan.

Chalom => « ce que les musulmans voient comme bon est bon aussi chez Dieu. » Il y a
une autre registre ici, ni ijma, ni qiyas.

Il y avait une idée qui montrait que les fuqahas mobilise une autre argumentation.

Les Malikites
verset el Anfal verset 47 =>

Pour les Hanbelites, ils utilisent les meme hadiths. On peut partagées bénéfices comme
pour le de guerre

Pour les shafiit ce genre de contrat est nul, mais chacun des juriste shafiiit donne une
autre justification.

« Toute condition qui n’est pas dans le livre de Dieu est nul » hadith rapporté par Shirazi.

Il n’est pas possible de mélanger le travail de 2 personnes pour constituer un sharika. Un

autre juriste au 12eme siecle:

Le mercredi 7 octobre 2015

manque début du cours

Certain hanefite ne donne pas ce genre d’autorisation. D’autres disent que c’est autorisé.
Celui qui a un mandat peut demander à un autre d’exécuter le travail.

Hanefite n’accepte pas.

Les malikite ont bcp discuter sur le métier et le lieu. Il impose 2 condition. Il faut pas
obligatoirement 2 métiers identiques mais dans un meme lieu. Pour certain, 2 personnes
peut exécuter le meme métier mais dans un endroit diff.

Ccl sur cette societe:

on peut constater 3 positions différentes:
1. Les Zahirites ce qui est important c’est de retenir une lecture litteral. Ce qui est
important c’est le texte.
2. Il faut que chacun est exactement. Il faut que l’argent se reporte au travail. La contre
partie doit correspondre exactement à l’effort, au travail. Les schaafiit ont voulu
l’appliquer mais ont désisté et l’ont interdit puisque ce n’etait pas possible.
3. La volonté des parties doit être protegé. Cette volonté.. les Hanbalites sont reconnus
par l’autonomie de la volonté. on peut le voir dans d’autre contrat comme le mariage
par exemple. Les Hanefites l’acceptent aussi ce genre de société mais limite ça par les
mubah.

Dans le majalla il y a quelques articles:

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On va voir un autre contrat: LA MUDARABA

C’est l’association de la capitale avec le travail.
Il y a certains ulemas qui voit la mudaraba comme une société. Il y a une association dans
les gains, les bénéfices. Mais d’autres disent que ça ne l’est pas, puisqu’il n’y a pas de
sharikat. Au moment de la constitution du travail. Au début il y a le capital mais pas de
travail, donc au début pas de sharika, mais ça vient après. Dans les nombres de sociétés
que nous avons mentionnées, nous pouvons voir que le cas des Hanefites malachite et
Shafiit ne voient pas ça comme une société, mais les Hanbelites le voient comme une
société, puisqu’il y a le partage d’une bénéfice.

On donne un verset du Coran verset 1 el-Muzammil.

Kirad ‘Malikite- Shafiit’ = Mudaraba ‘Hanbelite-Hanefite’ car il indique le capitaliste qui

prend une partie de son argent et le donne au travailleur. Kirad dans le sens de couper.
Ou bien il n’a pas de relation, pas de contrôle sur les capitales.

Il y a différentes définitions, ces définitions se rapprochent. les Hanefites décrit cela

comme un contrat. Un personne apporte le travail … Une autres définition, c’est contrat
dans lequel 2 personnes partagent les bénéfices, mais pas les capitales. Il faut qu’il y ai un
contrat. Si quelqu’un donne rager à un autre sans demander ce n’est pas un mudaraba. Si
c sans contrat sans partage. Si on donne tout les bénéfices à celui qui travail, alors ce
n’est pas mudaraba, car on partage dans mudaraba.

Définition pour les Malikites, c’est donné un mandat pour faire un commerce de la
monnaie (=argent, or). Commerce: vente, achat..

Pour les schafiit, le capitaliste paie un mudarib pour qu’il fasse le commerce et on divise
les bénéfices.

Les Hanbelites disent , que mudaraba c’est payer une somme d’argent connu et précise
pour faire du commerce et on partage les bénéfices.
Concernant la légalité, les fuqahas utilisent le verset 60 surat el-Cuma.

Un des compagnons qui faisait el mudaraba, et le prophète a confirmé cet pratique.

D’autre dise que c’est l’ijma. On se base sur la pratique du prophète lui même.
Dans le travail du pauvres a besoins de l’argent des roches et les riches ont besoin du
travail des pauvres.

Les Hanefites disent que les rukn ??? Les mudaraba …

Concernant la sira, la communication

Les Hanefites disent ….

On peut utiliser des mots avec lequel on peut comprendre el Mudaraba. Par exemple, si
on dit qu’on va faire du commerce et le bénéfice partage avec nous, et avec les partages ,
mais il faut bénéficier des gains.

Une autre notion a affirmer le contrat, il faut aller faire.

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Tout les fuqaha accepte que la mudaraba soit constituer dans le prison.
Les Hanbelites ont limité ça dans le temps. Pour les Hanefites et les Malikites c bon. C’est
la plupart des conditions. On peut faire Mudaraba 5-10 20 ans.
Ca ça concerant les mots et le temps à employer.

On va voir celui qui travail el ‘amil et celui qui est le capitalistes, il doit avoir le capacité de
faire un mandat. Et l’autres mandataires.

Les conditions de capacité des mandants. Il faut être capables de faire l’acte que l’on veut
mettre sous mandat. C’est un principe, le mandataire c’est comme si…

Faut que vous soyez capable de faire l’acte, c’est une évidence,

Le mineur ne fait pas l’acte de trvail quand c’est un mineur. le texte

Je parle de pouvoir légale, c’est la capacité juriqique. => fou et mineur non!

Les mineures peuvent le faire mais is doivent avoir une autorisation pour les 3 écoles sauf
les shafiites.

• Marid mal el mevt (maladie avec lequel il va décéder) est ce qu’il peut faire mudaraba?
Les fuqaha disent que oui. Suspect car peut changer ça succession, si divorce ou se
marie avec une femme => pour détourner les règles de succession. Ici il n’y a pas ce
genre de pb, car il n’y a pas c’acte suspect, avec mudaraba on va doubler nos gains.

Harbi: quelqu’un qui habite dans le harb (darul-harb : pays non musulman mais selon les
critères que l’on prend la définition peut changer).

• El ‘amil: celui qui travail.

Celui qui reçoit le mandat doit être capable de remplir un mandat. Ils sont en meme
condition.

• El Mal (les biens): Les capitales. L’homme desire le mal. c’est une utilité et on peut
l‘épargner et c’est légal. Ca peut être un bien

Pour les hanefites un bien ne contient pas l’utilité. Pour les autres c’est un mal et pour les
Hanefites non. Il y a des conditions:
1. Les biens doivent être makudan: nakd’ monnaie (argent, or) ou une chose qui peut
jouer ce rôle. On peut pas faire makudan avec ‘urud (nourritures, ou habits). Car il y
a rarar, il y a jahala, pck’on peut pas faire partage des bénéfices. Si on donne des
habits ça pose pas de pb, aujourd’hui 4000, il rendra 4000 en capitale. Le problème
se résolue. Il y a une opinion qui permet el ‘urud, si on prend comme base la
valeur, il y a une autre opinion des shafiit qui interdit directement les ‘urud. Tout les
fuqaha part du principe de la clarté mais chacun donne les règles à sa manière.
2. Il faut que ça soit connu, les genres, la qualité pour éviter la jahala. Ce qui est
interdit c’est la jahala el fahch (intermination grade) et pas la jahala el yesir (petite)

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3. Il faut que soit connu et spécifique. Il faut déterminé le nombre fixe. Il faut
déterminé dans des biens musha’ (:un bien individuel). La plupart des fuqahas
sont 1:30
4. Les biens doit être ‘ayn ( bien soit être present) et pas dayn (avec qq chose qui
n’est pas existant, par exemple avec une dette).
5. Il faut la livraison, il faut lui donné le mudarib, teslim et temkin.

Quel sont les conditions qui concerne le travail a’mal?

- Si il pose comme condition qu’il travail, alors les fuqahas se sont divisé sur cette
question, dans cette condition le mudaraba est illégal, car le capitaliste n’a pas fait le
capitale, il na pas fait le teslim et donc il peut intervenir dans le mal, et donc il n’a pas
une autonomie complète, donc le mudaraba est nul. Les Hanbalites ont autorisé cela.
-

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