S'interesser À La Ville

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8.

S’intéresser à la ville
La ville étant notre espace de travail, nous devons nous y
intéresser. Dans ce sens, nous distinguons dans la ville :
a. Ville urbaine (commune urbaine)
C’est une zone continue de plus de 2000 habitants. La zone
bâtie continue est constituée de constructions avoisinantes
formant un ensemble tel qu’aucune ne soit séparée de la plus
proche de plus de 200 mètres. Donc elle se situe au centre de
la ville.

b. Ville rurale (commune)


Elle se situe au fin fond de la ville (dans les fonds)
Sont composées de cellules à faible densité de population.
Les types ou modèles de bâtiments varient d’un lieu à un
autres.
Exemples :
En France
En RDC

c. La ville périurbaine
C’est un espace rural au sens essentiel des sols qui est attribué
à des activités productives agricoles ; mais c’est aussi un
espace urbain au sens où la majorité de la population active
qui y habite dans une ville, en effectuant des migrations
alternantes.

Le plus souvent, les airs périurbains se répartissent en cercle


autour des métropoles. Cette mono centrique ainsi que la
séparation lieu d’emploi-lieu de résidence, sont habituels dans
les modèles de localisations résidentiel, qui expliquent la
localisation des ménages par l’arbitrage entre coût foncier et
coût de transport domicile-travail.
Comme nous nous exerçons en ville, nous devons chercher à
l’urbaniser. Nous distinguons :
 La ville horizontale : elle naît de l’étalement urbain.
Donc l’on rase plus de plante pour construire des
bâtiments, ce qui cause la pollution.

 La ville verticale : est une ville où les bâtiments sont


construits en hauteur.

PROBLEMATQUE : VILLE HORIZONTALE ET VERTICALE


Les villes se développent et prennent de l’ampleur. De plus en plus
de personnes vivent en ville quel que soit le lieu où l’on se trouve,
c’est-à-dire que les villes sont soumises à un nombre croissant de
citadins qui s’y installent. La demande de construction de
logement et d’autres bâtiments urbains devient donc
inévitablement croissant. Mais le défi de préservation de
l’environnement impose de leur côté face au développement de ces
innombrables villes. Pour remédier à cela, on propose une
urbanisation verticale donc construire en hauteur et cela permet de
laisser des espaces verts ainsi éviter la pollution. Mais cela pose
aussi problème car plus on monte plus on est exposé au vent alors
il faut trouver un moyen de fortifier la construction.
Effet de Turbulence du vent:
Les écoulements libres entourant les différentes dimensions peuvent
avoir des effets significatifs sur les coefficients de traînées, et de
même, produis des forces de fluctuations (turbulences). La présence
de ses turbulences conduit à un mélange et un entraînement dans les
couches de cisaillement. Ces turbulences, fonction de la longueur de la
face parallèle au vent, affectent le rayon de courbure du flux d’air de
part et d’autre de la structure : ses petites turbulences induisent des
forces perpendiculaires aux faces « d » où en résultent des vibrations.
Critères de résistance du bâtiment:
Un bâtiment élancé de grande dimension est modélisé comme étant un
élément vertical encastré d’une extrémité et libre de l’autre. La charge
répartie appliquée au bâtiment donne naissance à une contrainte
importante au pied de l’ouvrage ; d’où la nécessité de vérifier la
résistance à la flexion bidimensionnelle à l’ELU.
La flexion induite par l’application des actions du vent engendre un
mouvement périodique du bâtiment avec une fréquence f (Hz) :
généralement la fréquence d’endommagement structurel est comprise
entre 0,1 et 30 Hz où le structuriste prétend de son bâtiment, pour une
fréquence critique fcrit, une réponse amortie. Suite à ce mouvement
périodique, un phénomène important y apparaît : la fatigue. En
effet, l’ingénieur a pour objectif de calculer un nombre de cycles issus
principalement des charges aéroélectriques (détachement
tourbillonnaire) afin de résister à ce mouvement.
Une déformation de la structure est omniprésente lors de l’application
des charges dynamiques de vent : cette valeur « ymax » est envisagé à
l’extrémité libre de l’élément où l’objectif principal de l’ingénieur est
de résoudre cette problématique à l’ELS. De même, les forces du vent
jouent un rôle majeur dans la rupture ou l’arrachement de verre sur les
façades du bâtiment. En effet, le bris de grandes vitres peut causer des
dommages aux propriétés voisines et blesser les piétons sans avoir de
risques structuraux. Cela nécessite l’identification des zones les plus
critiques d’arrachement ou de rupture de verres. Des études réalisées
sur des modèles à l’échelle de bâtiment, indiquent la présence de trois
zones importante de pressions :

 Région 1 : zone de pression positive en amont

 Région 2 : zone de pression négative aux angles en amonts

 Région 3 : zone de pression négative en aval

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