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Thème 3:

une histoire du
vivant
Chapitre 1:
la biodiversité et son évolution
Rappels
 Biodiversité à différentes échelles :
 Biodiversité des écosystèmes
 Biodiversité spécifique
 Définition espèce

 Biodiversité génétique

Comment évaluer la biodiversité ?


Activité 1 : Des méthodes de mesure et d’échantillonnage
Voir aussi
doc 2 p.166
Protocole p.168
Activité 2 : établir un intervalle de confiance
Lorsqu'on estime l'abondance d'une population par une méthode d’échantillonnage (comme la
méthode capture-marquage-recapture) il s'agit d'une évaluation statistique.
Les probabilités permettent de quantifier la confiance que l'on peut accorder à notre
estimation.
On cherche à savoir comment estimer le degrés de confiance en une estimation
( doc 2 et 3 p.168/169)

Déterminer un intervalle de confiance

-Expliquer ce qu'est un intervalle de confiance


- Donner une estimation de la taille de la population de papillon Azuré du serpolet et déterminer
l'intervalle de confiance correspondant.

Justifier l’intérêt de re-capturer un échantillon de grande taille.

- Calculer l'intervalle de confiance si nous re-capturons 100 papillons parmi lesquelles 55 sont
marquées.
Conclure quant à l'influence de la taille de l'échantillon.
Déterminer l’intervalle de confiance:

= fréquence des individus marqués dans un échantillon

pour les azurés du serpolet :


soit 54,7 %

Intervalle de confiance à 95%

[]

[ 0,50; 0,60]

Fréquence de 0,55+/- 0,05( 5%) ( amplitude de 0,10)


Si on capture 100 individus dont 55 sont marqués

= fréquence des individus marqués dans un échantillon

soit 55 %

Intervalle de confiance à 95%

[]

[ 0,45; 0,65]
Fréquence de 0,55+/- 0,1( 10%) ( amplitude de 0,20)

Avec un échantillonnage plus important , l’intervalle de confiance est plus


petit . La fiabilité est donc meilleure .
Activité 3 :
Evolution génétique d’une population: le modèle de Hardy Weinberg

Doc 1 p170

Rappel sur les forces évolutives : dérives génétique et sélection naturelle


Dérive génétique
D’une génération à la suivante seuls certains allèles sont transmis, au
hasard, à la descendance. La fréquence des allèles varie aléatoirement
dans le temps: c’est la dérive génétique.
Ses effets sont d’autant plus marqués que l’effectif de population est
faible.
Les fréquences alléliques varient beaucoup d’une génération à l’autre
quand la population et de petite taille (=forte dérive génétique )
Les fréquences alléliques varient peu au cours du temps dans les
populations de grande taille ( = faible dérive génétique)
Exemple de
sélection naturelle
La sélection naturelle résulte de la pression du milieu et des
interactions entre les organismes. Elle conduit au fait que
certains individus auront une descendance plus nombreuse
que d’autres dans certaines conditions. Les allèles portés par
ces individus sont donc mieux transmis et deviennent
majoritaire au cours des générations.
L’évolution des fréquences alléliques est prévisible et peut
s’inverser si le facteur sélectif disparait .

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