Vous êtes sur la page 1sur 9

Tuyauteries

Contrôle et tolérance du supportage


par Bernard PITROU
Ingénieur à la société Entrepose-Montalev

1. Origine des non-adéquations du supportage ................................... A 812 - 2


1.1 Défauts de conception................................................................................. — 2
1.2 Erreurs de réalisation .................................................................................. — 2
1.3 Qualité de l’environnement ........................................................................ — 2
2. Définition des tolérances théoriques ................................................. — 2
2.1 Tolérances de positionnement ................................................................... — 2
2.2 Tolérances de géométrie............................................................................. — 3
2.3 Autres tolérances......................................................................................... — 3
3. Procédure de contrôle ............................................................................ — 5
3.1 Généralités ................................................................................................... — 5
3.2 Contrôle de conformité au contrat ............................................................. — 5
3.3 Contrôle d’exigence de sécurité lié à la vérification ................................. — 5
3.4 Contrôle du bon fonctionnement ............................................................... — 5
4. Interprétation des résultats .................................................................. — 7
4.1 Mesures concernant la conformité ............................................................ — 7
4.2 Mesures concernant le fonctionnement .................................................... — 7
Références bibliographiques ......................................................................... — 9

e supportage couvre l’ensemble des dispositifs reliant une tuyauterie aux


L structures environnantes. Les objectifs sont précis :
— supporter le poids de la tuyauterie et de ses équipements ;
— orienter et reporter les effets des sollicitations exercées par la tuyauterie sur
l’environnement et sur elle-même.
D’une façon plus générale, il faut supprimer ou limiter de un à six (trois en
rotation, trois en translation) les degrés de liberté d’un point particulier de la
tuyauterie.
Dès lors que les conditions d’utilisation d’une tuyauterie sont sévères (pression
et /ou température élevée(s), qualification sismique, etc.), la fiabilité du
supportage revêt une importance primordiale.
Des règles simples, celles-là mêmes qui ont conduit à la conception de
l’installation, doivent être présentes à l’esprit. Ces règles permettent d’envisager
les procédures nécessaires à la vérification de la qualité du supportage, et à son
aptitude à réaliser la fonction souhaitée.
Pour définir une procédure, il est nécessaire de considérer :
2 - 1992

— la fonction du support ;
— l’emplacement ;
— la qualité de la réalisation.
Il est, par ailleurs, indispensable d’introduire une notion complémentaire de
tolérance, tolérance qui s’applique :
— au positionnement du support ;
A 812

— à la géométrie du dispositif ;
— à la qualité des liaisons (en particulier, le serrage de la boulonnerie).

Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
© Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique A 812 − 1
TUYAUTERIES _________________________________________________________________________________________________________________________

La définition de ces tolérances est alors liée :


— à la valeur des coefficients de sécurité ;
— à l’importance de l’installation en liaison avec la notion de catégorie de
construction ;
— à l’importance relative de l’erreur ;
— à la compétence du personnel effectuant les vérifications.

Le lecteur pourra se reporter à l’article Supportage [BM 6 750] du présent traité.

1. Origine des non-adéquations 2. Définition des tolérances


du supportage théoriques
1.1 Défauts de conception 2.1 Tolérances de positionnement
Ils peuvent apparaître pour différentes raisons : Elles sont intimement liées à la conception et aux marges
— conceptionnelle, par exemple : utilisation de profilés ouverts existantes, elles-mêmes liées aux coefficients de sécurité.
dans une partie de support soumise à la torsion de tirant ou patin Deux cas essentiels sont à considérer.
trop court pour absorber de manière satisfaisante les mouvements
horizontaux ; ces défauts se traduiront par l’existence de déforma- ■ La conception a été réalisée sans analyse : dans ce cas, le
tion (torsion), force de rappel et/ou déformation (tirant trop court), positionnement du supportage est réalisé sur la base de l’expé-
blocage non prévu (désengagement d’un patin), etc. ; rience, qui se traduit généralement sous forme de tableaux ou
— absence ou erreur de calcul : dans ce cas, on constatera le plus d’abaques figurant dans des documents normatifs qui fournissent
souvent une déformation anormale issue d’un chargement trop les portées conseillées entre supports. Ces tableaux et abaques sont
important ; toujours conservatifs par rapport aux critères admissibles de défor-
— enfin, il faut tenir compte, sans qu’il s’agisse obligatoirement mation (flèche) ou de contrainte.
d’une erreur due à l’oubli ou à la méconnaissance de certains ■ La conception a été réalisée en effectuant les analyses tenant
chargements, par exemple : compte de l’ensemble des chargements : dans ce cas, le calculateur,
• du frottement qui peut conduire soit à des niveaux de pour juger de l’admissibilité des déformations et des contraintes,
contraintes trop importants dans la tuyauterie, soit à des incidents utilise les critères des codes ou normes. Ces critères sont déterminés
de supportage (déformation, déplacement de massifs...), en prenant en compte des coefficients de sécurité connus.
• des vibrations ou tout autre phénomène d’origine dynamique
La connaissance des marges (coefficient de sécurité, conser-
(exemples : coup de bélier dû à l’ouverture ou à la fermeture
vatisme) permet de définir les variations de position des supports
rapide d’un organe d’isolement).
qui sont acceptables entre les études et la réalisation.
Ces tolérances sont souvent pondérées par des considérations
liées à l’environnement, ce qui donne naissance, dans les spécifi-
1.2 Erreurs de réalisation cations de construction, aux notions de supports critiques et
supports non critiques.

Ces erreurs peuvent être liées :


— à la qualité, elle-même, de la réalisation : soudure, scellement, On appelle support critique un support qui, au niveau de
formage, etc. ; l’analyse, intervient directement sur les valeurs d’efforts
— à la conception : jeux fonctionnels, absence de procédure appliqués aux appareils ou machines raccordés, c’est-à-dire ceux
(serrage de la boulonnerie par exemple), etc. qui sont directement à proximité de ces appareils (figure 1).

● Tolérance de positionnement des supports : les variations de


position des supports entre les notes de calculs ou les études et la
1.3 Qualité de l’environnement réalisation devront être incluses dans les limites conservatives
(pratique courante) du tableau 1.
Tout support de tuyauterie est lié à une structure extérieure (0)
d’appui, génie civil et charpente notamment.
Ces structures d’appui sont réalisées avec des tolérances et
peuvent faire intervenir (charpentes en particulier) des déformations
incompatibles avec une bonne réalisation du supportage.

Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
A 812 − 2 © Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique
________________________________________________________________________________________________________________________ TUYAUTERIES

Figure 1 – Définition de la criticité du supportage

La figure 2 illustre la définition des tolérances géométriques.


Tableau 1 – Tolérance de positionnement des supports
Tolérances
Diamètre 2.3 Autres tolérances
canalisation Supports Supports
critiques non critiques ■ Jeux fonctionnels : ils sont, en général, définis en fonction des
(in ou ′′) (1) (cm) (cm) résultats des analyses réalisées, et correspondent aux nécessités de
déplacements sans blocage de la tuyauterie. Ils doivent
∅<2 ± 10 ± 15 impérativement figurer sur les plans de supports : tolérance ± 15 %
2<∅<6 ± 15 ± 20 et au minimum ± 2 mm pour la somme des jeux (valable à froid
6 < ∅ < 12 ± 20 ± 30 comme à chaud).
∅ > 12 ± 25 ± 40
■ Jeux de réalisation (figure 3) : le supportage des tuyauteries se
(1) 1′′ = 1 in = 2,54 cm. réalise sur la base d’une structure soudée, de ce fait, la précision de
réalisation est le plus souvent de l’ordre du millimètre, une précision
qui est, en général, admissible. Lorsque ce n’est pas le cas, des
2.2 Tolérances de géométrie tolérances particulières doivent être indiquées sur les plans.
Pour l’ensemble des jeux, la tolérance couramment admissible
Elles concernent essentiellement : en l’absence de spécification particulière peut être estimée de + 1
— la nature des profilés et des différents composants (tirant...) ; à + 5 mm à chaud.
— les dimensions relatives au positionnement de la tuyauterie ; ■ Tolérance de serrage (tiges de scellement boulonnerie) : la valeur
— les dimensions des platines et l’écartement des scellements. des couples de serrage (tableau 2) doit être indiquée sur les plans de
Elles sont aussi intimement liées à la connaissance des marges, support. La tolérance sera le plus souvent fonction du matériel utilisé
mais également, très souvent, au bon sens le plus élémentaire, par pour réaliser cette opération. Lorsque ce serrage conditionne la
exemple : sécurité, il conviendra d’effectuer une vérification à la clé
— l’utilisation de profilés ou de composants dont les dynamométrique. Un serrage important provoque une relaxation
caractéristiques de section ou d’inertie supérieures à celles prévues rapide. La vérification réalisée est doublement utile, puisqu’elle
au plan sont pratiquement presque toujours acceptables ; permet d’effectuer un resserrage là où il y a relaxation.
— le positionnement d’une tuyauterie plus près de l’encastrement
(0)
du support est le plus souvent, lui aussi, admissible.

Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
© Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique A 812 − 3
TUYAUTERIES _________________________________________________________________________________________________________________________

Figure 3 – Image des jeux de réalisation à vérifier

Tableau 2 – Couples de serrage préconisés


pour boulonnerie en acier
Effort de traction
 (1) dans boulons
Couple de serrage
(mm) (daN) (m · daN)
M4 165 0,1
M6 378 0,4
M8 688 1,1
M10 1 090 2,2
M12 1 585 3,8
M14 2 162 6
M16 2 952 9,5
M18 3 610 13
M20 4 606 18,5
M24 6 635 32
M30 10 547 63
(1) Appellations normalisées.

■ Tolérance sur les supports élastiques (ressorts nus, boîte à ressort


variable ou constant).
Les impératifs techniques sont les suivants :
— variation de portance : elle ne doit pas excéder 20 à 25 % de
la charge supportée ; dans le cas de tuyauterie à grands
déplacements verticaux, on utilise des supports à réaction
constante ;
— angulation : elle est limitée à ± 3,5 à 4 % dans les tirants de
suspension.

Couple de serrage recommandé pour boulons acier.


Acier de qualité 4-6 pour les vis.
Acier de qualité 4 pour les écrous.
La limite d’élasticité du métal du boulon est :

Re = 23,5 hbar = 235 MPa à 20 oC (suivant NF A 27-005)


L’effort de traction (en daN) est :
N0 = 0,8 Re · Ar
(suivant le paragraphe 4.1.3.1 des Règles de construction des
charpentes métalliques CM66).
Figure 2 – Indications sur les vérifications à effectuer
sur support à patin et support variable
Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
A 812 − 4 © Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique
________________________________________________________________________________________________________________________ TUYAUTERIES

Le couple de serrage en m · daN est :


3.2 Contrôle de conformité au contrat
C = K∅N0 Ils porteront, suivant la catégorie de construction, sur :
avec K coefficient de frottement pris égal à 0,2 pour — la présence des supports ;
les boulons à l’état de livraison, — le positionnement ;
— la fonction.
Ar (cm2) section résistante du filetage, et définie par la
norme NF A 27-005, Ce contrôle est effectué avant la mise en service de l’installation.
Il peut, dans certains cas, correspondre à un simple contrôle visuel
∅ (m) diamètre du noyau du boulon. avec attestation de conformité.
Les contre-écrous seront serrés avec le même couple que les Pour des installations présentant des risques particuliers, il peut
écrous. se compliquer par un examen de la qualité de la réalisation :
Pour l’utilisation d’écrou PAL : mettre celui-ci en contact avec — contrôle des soudures ;
l’écrou puis, serrer d’un quart de tour ; ce type d’écrou ne doit pas — contrôle du serrage ;
être réutilisé en cas de démontage. — contrôle géométrique ;
— contrôle des supports élastiques, etc.
■ Contrôle de la capacité de fonctionnement pour les boîtes
variables : elles ne doivent pas être à spires jointives et ne doivent
pas être entièrement détendues (figure 2b ).
— Si le déplacement vertical théorique est compris entre 0
3.3 Contrôle d’exigence de sécurité
et ± 25 mm, la mesure est peu significative ; ne regarder que la lié à la vérification
variation de froid à chaud qui est à comparer avec la variation
théorique :
Du même type que le précédent, il sera généralement complété
• si la variation mesurée est inférieure à la variation théorique,
par un examen des relevés de contrôle par le service de conception.
la situation est satisfaisante ;
Celui-ci devra se prononcer, après analyse, sur l’aptitude du
• si la variation mesurée est supérieure à celle théorique,
supportage à remplir sa fonction et, éventuellement, statuer sur
s’assurer qu’elle reste dans les limites acceptables (pour-cent de la
certaines anomalies hors tolérances :
charge).
— conservation en l’état (avec justification) ;
— Si le déplacement vertical théorique est supérieur à 25 mm, le — remise en conformité.
déplacement devient significatif, les résultats des mesures sont
analysés comme précédemment. En outre, pour certaines installations, une périodicité pourra être
conseillée pour la reprise de ces contrôles. Cette reprise s’intéressant
plus particulièrement à vérifier l’apparition de déformations ou
d’anomalies fonctionnelles (angulation des tirants, désengagement
3. Procédure de contrôle des patins, ressort à spires jointives, etc.).

3.1 Généralités 3.4 Contrôle du bon fonctionnement


Toute procédure de contrôle doit définir :
— l’objectif ; Ils sont effectués périodiquement après la mise en service. Il
— les opérations à effectuer ; faut, bien évidemment, qu’il existe un point zéro avant la première
— les tolérances ; mise en service.
— les documents de référence ; Ces contrôles qui sont effectués sur les tuyauteries fortement
— éventuellement, les dispositifs particuliers à utiliser. sollicitées thermiquement portent essentiellement sur les mesures
Ce contrôle peut, suivant la nature des installations et les de déplacement et sur la vérification d’absence de déformation ou
exigences du contrat, correspondre : de déplacements aux points de butées.
— à un simple contrôle de conformité au contrat ; Ils nécessitent la mise en place de dispositif particulier de
— à un contrôle lié à la vérification d’exigences fondamentales mesure de déplacement (figure 4) et s’effectuent :
vis-à-vis de la sécurité ; — au niveau des index de déplacements (figure 4a ) ;
— à un contrôle du bon fonctionnement des lignes. — au niveau de certains supports élastiques (figures 4b et c ) ;
— au niveau des butées (absence de déformation).

Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
© Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique A 812 − 5
TUYAUTERIES _________________________________________________________________________________________________________________________

Figure 4 – Dispositifs de mesure de déplacement

Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
A 812 − 6 © Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique
________________________________________________________________________________________________________________________ TUYAUTERIES

4. Interprétation des résultats 4.2 Mesures concernant le fonctionnement


Ce sont les plus difficiles à interpréter. En effet, ces mesures étant
On se reportera au tableau 3 et à la figure 5. destinées à statuer sur un comportement correct du système de
tuyauterie, après soumission aux conditions de service normal, elles
doivent prendre en compte les phénomènes physiques et les
4.1 Mesures concernant la conformité principes de conception.
Prenons l’exemple d’une tuyauterie soumise à des changements
Ce sont les plus faciles à interpréter : thermiques cycliques importants. Chacun sait que celle-ci est
— contrôle du serrage : si celui-ci est déficient, il faut le généralement étudiée en élasticité, qu’il existe cependant des
corriger ; plastifications au démarrage, prises en compte dans les critères de
— contrôle de l’angulation des tirants : si l’angle dépasse les validation. On sait aussi que, s’il existe un champ de déplacement
valeurs admises, il est nécessaire de corriger ou d’effectuer une admissible, il en existe d’autres. On voit déjà à l’aide de ces simples
analyse des forces de rappel et/ou des risques de surcontraintes ; paramètres que le cyclage ne sera pas élastique comme calculé.
— contrôles des supports élastiques : ils ne doivent être ni à Ajoutons les phénomènes aléatoires, le plus souvent non considérés
spires jointives, ni entièrement détendus ; dans les calculs :
— contrôles des butées : les jeux doivent rester dans les — frottement au niveau des supports ;
tolérances (figure 3) ; absence de déformations importantes, ce — incidence des tolérances ;
point nécessite une interprétation, une flèche élastique étant — sollicitations accidentelles transitoires ;
acceptable. et l’on se rendra compte que l’interprétation de ces mesures
nécessite :
— une bonne connaissance de la conception ;
— une bonne connaissance des codes et règlements ;
— une réflexion importante.
Elle relèvera donc toujours d’un examen par le service Études.

(0)

Tableau 3 – Points à examiner pour la rédaction d’une procédure de contrôle du supportage


Anomalies Interprétation Anomalies Interprétation
Contre-pente de tuyauterie. Incidence sur le fonctionnement. Platine non conforme ou décollée Justification ou calage.
(interface).
Tuyauterie bridée Justification ou solution de Béton éclaté, lézardé (interface). Retour aux Études.
(environnement). remplacement.
Supports non conformes. Tolérance, ou justification, E x c è s e t m a n q u e d e j e u x Justification ou calage.
ou remise en conformité. fonctionnels.
Supports manquants. Justification ou remise en état. S u p p o r t é l a s t i q u e à s p i r e s Remise en état si support isolé (1).
jointives ou entièrement détendu.
Supports mal positionnés. Tolérance, ou justification,
ou remise en conformité.
Tiges filetées (tirant) trop courtes Retour aux Études.
déformées.
Supports supplémentaires. Sont-ils nuisibles ?
Défauts de soudures. Justification ou remise
en conformité.
Fonction support mal assurée. Justification ou remise en état.
Défaut de chevilles (interface). Justification ou remise en état.
(1) Si plusieurs supports élastiques existent sur le réseau, retour impératif aux Études.

Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
© Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique A 812 − 7
TUYAUTERIES _________________________________________________________________________________________________________________________

Figure 5 – Organigramme d’interprétation des contrôles concernant les supports élastiques

Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
A 812 − 8 © Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique
________________________________________________________________________________________________________________________ TUYAUTERIES

Références bibliographiques

[1] CODETI. – Annexe supportage. Publié dans la


revue SNCT, fév. 1990.
[2] LECONTE (J.) (†), PITROU (B.) et
CHEVALIER (G.). – Chaudronnerie et tuyau-
teries industrielles. Tome 2. Éléments d’étude
et fabrication. Éd. Techn. et Doc., oct. 1989.

Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
© Techniques de l’Ingénieur, traité Génie mécanique A 812 − 9

Vous aimerez peut-être aussi