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Nova Et Olivier TFC PDF
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IN GOD WE STRUST
METHODOLOGIE
Orientation
L’orientation d’un bâtiment doit répondre aux exigences climatiques du
lieu, Ici nous prenons une orientation objective de l’immeuble par rapport :
I.3.1. Le béton
Poids spécifique :
o Béton : 25KN ⁄m3
o Béton non armé : 22KN KN ⁄ m3
o Dosage utilisé : 350kg ⁄ , condition courante de fabrication.
o Contrainte admissible : fc28=25 MPa →fbc= MPa
o fc28=
I.3.2.L’acier
Les armatures pour béton armé sont constitués par
des aciers qui se distinguent par leur nuance et leur état de surface; et le
caractère mécanique servant de base aux justifications est limite élastique
CONTRAINTES DE CALCUL
Méthode de calcul
I.4.1 Béton armé
Le calcul d’une construction a pour objet de vérifier que son
dimensionnement lui confère le niveau (initial) de fiabilité requis compte
tenu de la qualité exigée des matériaux qui seront utilisées et du niveau de
contrôle prévu lors de son projet et de son exécution. Ainsi une structure
doit être conçue et dimensionnée pour avoir : une résistance structurale,
une aptitude au service, et une durabilité de niveaux appropriés. Ainsi pour
le calcul du béton armé, nous utiliserons la méthode aux Etats-Limites
(règles B.A.E.L 91).
Pourquoi cette méthode ?car pendant près d’un siècle, le béton armé a été
calculé aux contraintes admissibles définies à partir des contraintes de
rupture de ces matériaux multipliées par un coefficient de sécurité inférieur
à 1.on calculait les contraintes dans ces matériaux sous l’effet le plus
défavorable des charges exactement prévues et elles ne devaient pas
Exposé de la méthode
Combinaisons fondamentales :
Lors des situations durables ou les situations transitoires fréquentes aux
cours desquelles il y a l'action permanente, une action variable principale et
plusieurs actins d'accompagnement, nous considérerons:
1,35 Gmax + Gmin + gQ1.Q1 + 1,3.Y0i.Qi
gQ1 = 1,5 dans le cas général.
gQ1 = 1,35 pour la température, les charges d'exploitations étroitement
bornées ou de caractères particuliers (convois militaires ou exceptionnels)
et pour les bâtiments agricoles abritant des animaux et des produits sans
présence humaine permanente.
Y0i sont donnés en annexe D articles D.1.1, 3 et D.1.2, 3du BAEL.
Combinaisons accidentelles :
Nous considérerons pour les situations accidentelles qui ont une faible
probabilité de se réaliser :
Gmax + Gmin + FA + Y11.Q1 + SY2i.Qi
FA = valeur nominale de l'action accidentelle
Y11 et Y2i donnés en annexe D articles D.1.1, 3et D.1.2, 3
- Combinaisons d'actions à considérer pour ELS
Nous avons la combinaison rare:
S = Gmax + Gmin + Q1 + SY0i Qi
La dalle :
Données
Mu; b;d; ; ;
= 0,5x ( )
= =
Non Oui
Au<AminAmi
n
Figure 1
Figure 2
ARMATURES
ho
LONGITIDINALE
ht
Au c
bo
Données :
Mu ; fbu ; fsu ; ; bo ; b ; ho ; d
Oui Non
≤ 0,259
Pivot A Pivot B
= 10% = - 3, 5%
= 0, 80 (1 – 0, 40 ) Lire )
= .b.d2.fbu
Oui Non
Mu< Mc
(*) (**)
d’
rectangulaire de largeur b et
rectangulaire de hauteur d.
Figure 3 Données :
d – d’
Mu ; fbu ; fsu ; ; do ; b ; d
d
Au
=
Oui No
≤ 0,186 n
Pivot A Pivot B
Lire
= = - 3,
)
10% 5%
Ou
=0 Ubu< Uc
i
No
=fsu
0n
= 1, 25( ) = 1, 25( )
Yc =
Yu =
.d
.d
Zc = (1 – 0, 4 )
Zu = d – 0, d
4Yu =
0,80Yc.b.Zc.fbu
=
=Mu -
FIN
= =
= Au1 + Au2
FIN
Données :
Mu ; fbu; ; = ; b ; bo ; d ; ho ; d’
=Mu -
ho
d – d’
d
A
= u
bo
= 1, 25( )
Oui Non
≤ 0,259
Pivot A Pivot B
= 10% = - 3, 5%
=0
=
=
FIN
FIN
Figure 4
Figure5 Données :
Tu ; fe ; ft28 ; ; bo ; ht ; d ; N ;
Oui <
Non
≤ ≤ min ( ; ; )
≥
Distance du nu de l’appui.
Données :
Mu ; Nufbu ; b ; h ; d
Oui Non
≤ 0,81
Lire ζ= f( ) ε=
eNc =ζxh
Z=
Oui Non
e ≤eNc
X = 1,32[0,4 – (0,4 – ]
Oui Non
Section X≥
entièrement 000,19
comprimée ELU Section
non atteint partiellement
A = 4cm2 x comprimée Section
périmètre entièrement
0,2% ≤ ≤ 5% comprimée
Oui Non
X> 0,19
As = 0 As ≠ 0
≠0 ≠0
As = -
Données : a ; b ; ; Nu
Figure 7 S1=
A1= et B1 =
Choisir A ≥ A1 et B ≥ B1
(Multiple de 0,05m)
≤ d ≤ (B-b)
h = d+ 0,05 (m)
Oui Non
<
Fin
Ainsi nous portons notre choix sur la méthode des déformations et plus
précisément la méthode de distribution des moments ou méthode de
CROSS.
Dans le cas où les nœuds de la construction sont fixes, le calcul est achevé
dès que l’on a déterminé les corrections nécessaires { apporter.
Après avoir régénéré autant de fois que possible tous les nœuds, on
constatera que les moments repartis et les moments transmis deviennent
négligeables. Il ne reste plus alors qu’{ faire la somme des moments inscrits
dans chaque colonne pour obtenir le moment cherché.
Tableau de Cross
A chaque barre
Enfin il y a la ligne qui porte les sommes des moments aux extrémités de
chaque barre. Ces moments peuvent être définitifs ou non.
H1+k1 k2 kn
H2+k1 k2 kn
M=M1+k1 k2 kn
T=T1+k1 k2 kn
N=N1+k1 k2 kn
I.5.2DALLE
a) Définitions et Notations
Une dalle est un élément horizontal, généralement de forme rectangulaire,
dont une des dimensions (l’épaisseur h) est petite par rapport aux deux
autres (les portées lx et ly). On désigne par lx la plus petite des portées. On
s’intéresse au rapport des portées lx/ly ·
1. Dans le cas courant où il n’y a pas d’appareil d’appuis, les portées sont
définies entre nus intérieurs des poutres ou des voiles porteurs.
b) Domaine d’application
On désigne par dalles sur appuis continus, les dalles dont le rapport des
portées
Lx/ly est supérieur à 0,4 (on a 0,4 · lx=ly · 1). Lorsque le rapport des portées
est inférieur à 0,4, la dalle est calculée comme une poutre-dalle de largeur
unitaire, soit isostatique soit continue (dans ce cas, on appliquera la
méthode forfaitaire ou la méthode de Caquot pour déterminer les moments
de continuité).
Toutes les dalles seront en béton armé. L’épaisseur doit être comprise
entre L et L, avec L : petite portée c'est-à-dire L ≤ ép L.
Nous voyons que notre épaisseur est comprise entre : 500 ≤ ép
≤ 500. Ce qui donne : 14,28 ≤ ép ≤ 20 ; ainsi nous adoptons l’épaisseur de
la dalle e ₌ 18 cm.
I.5.3POUTRE
Une poutre est un élément dont la portée est supérieure ou égale à trois fois
la hauteur totale de la section.
Hauteur de la poutre :
La hauteur de la poutre doit être comprise entre et , où L = travée
de la poutre c’est-à-dire
≤ht≤ , ici L=5,20 m=520cm. On a donc : ht≤
Prenons
Section de la poutre est de: .
I.5.4 CLONNE
Définition
Un poteau est une poutre droite verticale soumise uniquement à une
compression centrée (N >0 et Mz= 0). Un poteau est aussi un élément dont
le grand côté de la section transversale ne dépasse pas quatre fois le petit
côté et dont la hauteur est au moins égale à trois fois le grand côté. Si ce
n’est pas le cas, il est considéré comme un voile.
Le béton résistant très bien à la compression, il serait théoriquement inutile
de placer des armatures. Mais les charges transmises au poteau ne sont
jamaisParfaitement centrées (imperfections d’exécution, moments transmis
par les poutres, dissymétrie du chargement).
Pour ces raisons, on introduit des armatures longitudinales calculées de
façonForfaitaire (car ces moments sont difficiles à estimer). Le risque de
flambementdes armatures longitudinales conduit à placer des armatures
transversales (cadres, étriers ou épingles).
longueur de flambement
La longueur de flambement lf est évaluée en fonction de la longueur libre lO
des pièces et de leurs liaisons effectives.
Tableau1
L'effort normal agissant ultime Nu d'un poteau doit être au plus égal à la
valeur suivante :
La rigidité des poteaux doit être inférieure ou égale à celle des poutres pour
assurer la résistance aux effets de translation. En plus pour des raisons
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d’esthétique et pour faciliter la mise en œuvre, nous adoptons la même base
d’avec celle des poutres b=15cm. Et h= 30 cm
Figure 9
II.1Les charges :
-Charge permanente G
-Charge d’exploitation Q
a. Charge permanente G:
charge permanente
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La dalle :
L’étanchéité :
Le béton pente :
Charge d’exploitation Q
a l’elu :
al’els:
Plaque n°10
Figure 10
àL’ELS :
à l’ELU :
àl’ELS:
à l’ELU :
al’ELS:
a l’ELU :
Pour l’acier
Pour le béton
Dans le sens de y
et
Dans le sens x
Figure 11
Figure 12
Figure 13
N.B nous ne calculerons que 2 plaques qui sont lesdalles n°8 et n°10 et
dont l’un porte un mur de cloison qui la traverse (plaque n°08), et l’autre
sans mur de cloison (plaque n°10).
Figure 14
Le poids de mur doit être pris en compte dans le calcul des éléments de
réduction.
Pour incorporer l’influence du mur sur les 2sens des éléments de réduction,
nous partons de l’hypothèse selon laquelle la flèche est unique au
croisement de deux bandes AB et CD ; c.-à-d.
Nous aurons :
Nous aurons :
Ainsi :
Et
La charge totale P
Le revêtement :
Sur AB :
Sur CD :
Chaque bande est alors considérée comme une poutre simplement appuyée
de largeur 1m.
Ainsi :
a. La charge permanente
Le revêtement :
{l’e.l.s
et { l’e.l.u
Al’E.L.S:
Et à L’E.L.U :
Al’E.L.S:
Et à l’E.L.U :
Al’E.L.S:
C.Détermination d’armatures
Nous prenons les moments en travée et aux appuis les plus élevés entre la
plaque n°8 et la plaque n°10 pour la détermination desarmatures.
L’acier :
Le béton :
Dans le sens de x :
Figure 16
Longueur : 4,5m
Figure 17
Soit:
E : emmarchement
L’inclinaison de la volée
- Béton de marche :
- Paillasse :
- Enduit sous paillasse :
- La charge totale pour une marche
Pour les 8 marches que compte une volée, nous aurons un poids total
de :
Figure 19
Figure20
Travée BC :
-6 Moment flechissant
-4,9847
-4
-2
0 1 2 3 4 5 6
0 0 0,1312 0
4
4,4908
6
Série1
Figure 22
IV .7 détermination d’armatures
A. Dalle de l’escalier
Les Caractéristiques des matériaux sont les suivantes :
Béton armé dosé à
Acier
B. Palier de repos
Figure 23
2. détermination d’armatures
Armature longitudinale
Armature transversale
Contrainte tangente conventionnelle :
Diamètre transversale
Figure 24
-charge permanente G
-Charge d’exploitation Q
a.Charge permanente G :
- Le poids Pp
Par symétrie :
Travée AB
Travée BC
Tableau 3
Schémastatique
1. TRAVEE AB et EF
Figure 27
Pour x=0
Pour x=4m
2. TRAVEE BC ET TRAVEE DE
Figure 28
Pour x=4m
3. TRAVEE CD
Figure 29
Pour x=0
Pour x=2,4m
Travée AB
Figure 30
Travée BC
Travée CD
Figure 32
(Épaisseur de la dalle)
(Largeur de la nervure)
(Longueur de la nervure)
l (distance entre nervure)
b. Armatures longitudinales
Figure 33
Comparaison
Section d’armatures
C. Armature transversale
Figure 34
-charge permanente G
-Charge d’exploitation Q
1.charge permanente G
Pm
Le poids de l’enduit
Pep
Travée AB
Travée BC
Travée CD
Tableau 5
Schéma statique
Figure36
1. Travée AB et EF
Figure 37
Pour x=0
Pour x=4m
4. Travée BC et DE
Figure 38
Pour x=0
Pour x=4m
Figure 39
Pour x=0
Pour x=2,4m
Travée AB
Figure 40
Travée BC
Figure 41
Figure 42
Organigramme de calcul
b. Armatures longitudinales
Figure 43
ht = 40cm = 0,40m
c= 3cm = 0,03m
d = ht – c = 37cm = 0,37m
d’ = 3cm = 0,03m
e = ho = 15cm = 0,15m
bo= 20cm = 0,20m
b = 167cm = 0,167m
Position de l’axe neutre
= = = 0,486
Comparaison
Section d’armature
Armature transversale
Figure 44
-Chage permanente
-Charge d’exploitation
a. Chage permanente G
-Enduit
Figure 45
Travée AB
TravéeCD
TravéeDE
b.Charge d’exploitation Q
c.Combinaison de charge
-Chage permanente
-Charge d’exploitation
a. Chage permanente G
o Enduit
Sur le mur :
Sur la poutre :
Figure 46
Travée AB
TravéeCD
TravéeDE
b.Charge d’exploitation Q 3
c.Combinaison de charge
Charge Charge Etat limite de Etat limite ultime
Travée Permanente d’exploitation service ELS ELU
KN/m KN/m
AB 18,25 2,5 20,75 28,43
BC 23 2,5 25,5 34,8
CD 18,85 2,5 21,35 29,2
DE 19,89 2,5 22,39 30,06
EF 17,66 2,5 20,16 27,59
Tableau 9
- Béton :
- Acier :
MN
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Lire voir tableau en annexe
Calcul de l’excentricité
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B. Armature aux zone d’ appuis
Calcul de l’excentricité
Moment reduit
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Comme il n’y a pas d’armature comprimée(
Armature transversale
Vérification de cisaillement de béton aux appuis :
avec
or
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Diamètre transversale
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 109
VI.3.2. Plan d’armatures
Figure 51
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VI.3.2.Armature de la poutre transversale etage
- Béton :
- Acier :
A. Armature longitudinal
1.Armature en travéé
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Calcul de l’excentricité
Moment reduit
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2. Ar matures aux appuis
Calcul de l’excentricité
Moment reduit
3. Armature transversale
Vérification de cisaillement de béton aux appuis :
avec
or
Diamètre transversale
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PLAN D’ARMATURE
Figure 52
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VI.4. Determination de l’armature de la colonne
a. Sollicitations de la colonne :
Effort normal : Nu = 980.70kN = 0,9807MN
Moment ultime : Mu = 8.17kNm = 0,00817MNm
b. Armatures longitudinales
- = = = < 0,81
- Lecture table : ζ= f ( ) = 0,1451
- Excentricité : e = = = 0.0083m
- eNc = ζxh =
- e ≤ eNc => section entièrement comprimée
E.L.U non atteint
A= 4cm2 x périmètre
A= 4cm2 x [(0,40 + 0,20) x2]
A= 4cm2 x 1.2 = 4.8cm2 soit 6HA12 = 6.79cm2
c. Armatures transversales
Tu =7,59kN = 0,00759MN
= = 0,0949MPa
= < = 3,33MPa pas de barres relevées.
≥ = = 4mm => = 6mm
= x2 = 0,565cm2
a. Sollicitations de la colonne :
Effort normal : Nu = 1131.78kN = 1.13178MN
Moment ultime : Mu = 0.26kNm = 0,00026MNm
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b. Armatures longitudinales
- = = = < 0,81
- Lecture table : ζ= f ( ) = 0,1386
- Excentricité : e = = = 0.00023m
- eNc = ζxh = (0.1386 =0.05544 m
- e ≤ eNc => section entièrement comprimée
E.L.U non atteint
A= 4cm2 x périmètre
A= 4cm2 x [(0,40 + 0,20) x2]
A= 4cm2 x 1.2 = 4.8cm2 soit 6HA12 = 6.79cm2
c. Armatures transversales
Tu == 0.75kN = 0,00075MN
= = 0,0101MPa
= < = 3,33MPa pas de barres relevées.
≥ = = 4mm => = 6mm
= x2 = 0,565cm2
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VI.4.3. Plan d’armatures
Figure 53
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 119
CHAP VII : CALCUL DE LA FONDATION
VII.1 Définition :
Figure 54
Hauteur : h = 2,00m
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les caractéristique des matériaux :
Béton :
Acier :
Prendre
o
o Poids de la semelle :
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o Le poids de la terre sur la semelle
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 122
VII.3.Diagramme de repartition de contrainte sous la semelle rigide
Figure 55
Nappe inferieur :
Nappe superieur :
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 123
Hauteur de rive :
Nous prenons
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 124
VII.5 Plan d’armatures
Figure 56
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 125
CONCLUSION
En vuede l’obtention du grade d’ingénieur technicien en bâtiment et
travaux publics, notre proposition a été axée sur l’étude de structure et de
stabilité d’un immeuble { usage d’habitation en béton armé.
L’ étude des structures et de stabilité de ce batiment nous a apporté des
connaissances générales, en construction industrielle du batiment, par des
raisonnements mathématiques et techniques .Pour l’élaboration de ce
travail,nous nous sommesbasés aux différents cours étudiéspendantnotre
formation d’ingenieur .
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 127
LISTE DES SYMBOLES ET ABREVIEATIONS
a: enrobage
l : longueur ou portée
: le plus petit côté
: Le plus grand côté
: Épaisseur
Q, q : charge d’exploitation
P, p : poids propre
G, g : charge permanente
: charge ultime
: Rapport des portées
Et : coefficients de Marcus
M : moment fléchissant
T : effort tranchant
N : effort normal
, : moment isostatique
Et : moment en travée
: Moment aux appuis
Mu : moment ultime
bo : largeur de la section droite
b : largeur de la table de compression
h, ht : hauteur totale de la section droite
d : hauteur utile
fe : limite élastique de l’acier
fsu : contrainte de calcul de l’acier
fc28 : résistance limite du béton en compression après 28jours
ft28 : résistance limite du béton à la traction après 28jours
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fbu : contrainte de calcul du béton
: Moment réduit
: Moment critique réduit
: Variante du moment réduit
AU : section ultime d’armatures tendues
: Section ultime d’armatures comprimées
Amin: section minimale d’armatures
: Section réelle d’armatures
Tu : effort tranchant ultime
: Contrainte tangentielle ultime
: Contrainte tangentielle limite
: Coefficient de sécurité de l’acier
: Coefficient de sécurité du béton
: Contrainte limite du béton en compression
: Position relative de l’axe neutre
: Position relative de l’axe neutre critique
Yu: position de l’axe neutre par rapport aux armatures tendues
Yc: position de l’axe neutre critique par rapport aux armatures tendues
Zu : position de l’axe neutre par rapport { la fibre moyenne
Zc : position de l’axe neutre critique par rapport { la fibre moyenne
: Diamètre des armatures longitudinales
: Diamètre des armatures transversales
: Section des armatures transversales droites
: Section des barres relevées
: Espacement minimal des armatures transversales
: Contrainte ultime limite d’adhérence
: Espacement vertical entre armatures longitudinales
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LISTE DE TABLEAU
Tableau 1 Longueur de flambement de poteau cas idéaux de la RDM ................................... 28
Tableau 2 Longueur de flambement de poteau ................................................................................ 29
Tableau 3 combinaisons de charge de la poutre transversale terrasse .................................. 63
Tableau 4 Tableau récapitulatif de moment fléchissant et effort tranchant ......................... 62
Tableau 5 combinaison de charge de poutre étage ......................................................................... 71
Tableau 6 Tableau récapitulatif de moment fléchissant et effort tranchant ......................... 73
Tableau 7 combinaisons de charge de poutre transversale terrasse ...................................... 82
Tableau 8 combinaisons de charge de poutre transversale étage ........................................... 86
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 130
BIBLIOGRAPHIE
A. OUVRAGES :
1. THONIER Henry, Conception et calcul des structures de bâtiment,
Tome 6.
2. LAMIRAULT Jean et RENAUD Henri, Béton armé. Guide de calcul
Foucher, Paris, 1993, 143p
3. HUSSON Jean Marie, Etude des structures en béton (BAEL91 révisé
99) éd Casteilla, 25 rue Monge, Paris, 235p
4. MOUGIN Jean Pierre, Cours de béton armé, BAEL 91, calcul
deséléments simple et des structures des bâtiments, Ed Eyrolles, 1992,
Paris, 268p
5. KARRAY Mourad, Mécaniques des sols II,
6. CHARON Pierre, Le calcul et la vérification des ouvrages en béton
armé (théorie et applications) 6 éd, Eyrolles, Paris, 1972, 625p
7. PERCHAT Jean et Roux Jean, Pratique du BAEL 91, Cours
avecexercices corrigés, Ed. Eyrolles (4éd), 2002, Paris, p466
8. GOULET Jean et BOUTIN Jean Pierre, Aide mémoire. Résistance
desmatériaux, 8 éd Dunod, Paris 1998, p308
B. COURS
9. MANGINZI NYEMBO, Cours de calcul des structures en béton armé
(2011 – 2012) inédit, INBTP, Kinshasa, 154p
10. KITOKO, Cours de béton armé, inédit, INBTP, (2009 – 2010)
Travail de fin de cycle par MBUNGU NZITA et MUKAYA KAZADI Page 131
Table des matières
AVANT PROPOS ....................................................................................................................................... 1
INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 2
A. INTERET ET IMPORTANCE DU SUJET ........................................................................................... 2
B. METHODOLOGIE.......................................................................................................................... 2
C. PLAN DE TRAVAIL ........................................................................................................................ 3
CHAPITRE I: GENERALITES ....................................................................................................................... 4
I.1. Le sol ........................................................................................................................................ 4
I.2. Description de l’ouvrage ......................................................................................................... 5
Circulation ............................................................................................................................... 5
Orientation .............................................................................................................................. 5
I.3. Matériaux et leurs caractéristiques......................................................................................... 6
I.4. Méthode de calcul ................................................................................................................... 7
I.5. Pré dimensionnement ........................................................................................................... 25
CHAP II. CALCUL DE LA DALLE TERRASSE .............................................................................................. 30
II.1Les charges : ................................................................................................................................. 30
II.2 Calcul des éléments de réduction............................................................................................ 31
II.3 Calcul d’armatures .................................................................................................................... 32
II.4 Plan d’armatures ......................................................................................................................... 35
CHAPITRE III : CALCUL DE LA DALLE ETAGE ........................................................................................... 36
III.1Calcul de la plaque n°8 ................................................................................................................ 37
III.2. Calcul de la plaque n°10: .......................................................................................................... 40
III.3. Plans d’armatures ..................................................................................................................... 45
CHAPITRE IV. CALCUL DE L’ESCALIER .................................................................................................... 46
IV.1 Généralité................................................................................................................................... 46
IV.2 Dimensionnement de la cage d’escalier .................................................................................... 46
IV.3 Vue en plan ................................................................................................................................ 47
IV.4 Calcul des éléments de l’escalier ............................................................................................... 47
IV.5 Evaluation des charges .............................................................................................................. 50
IV.6 Calcul des éléments de réduction ............................................................................................ 51
IV .7 détermination d’armatures....................................................................................................... 53
IV.8 Plans d’armatures ...................................................................................................................... 57
CHAP V.CALCUL DE LA POUTRE LONGITUDINALE ................................................................................. 58
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V.1 La poutre terrasse ....................................................................................................................... 58
V.2 CALCUL DE LA POUTRE ETAGE .................................................................................................... 70
CHAP VI. CALCUL DU PORTIQUE............................................................................................................ 82
VI 1 Définition : .................................................................................................................................. 82
VI.2. Evaluation des charges sur le portique ..................................................................................... 82
VI.3. Determination de l’armature de la poutre transversale ......................................................... 105
VI.4. Determination de l’armature de la colonne ........................................................................... 117
CHAP VII : CALCUL DE LA FONDATION ................................................................................................ 120
VII.1 Définition :............................................................................................................................... 120
VII.2 Dimensionnement de la semelle ............................................................................................ 120
VII.3.Diagramme de repartition de contrainte sous la semelle rigide ............................................ 123
VII.4 Calcul des armatures de la semelle ........................................................................................ 123
VII.5 Plan d’armatures ................................................................................................................... 125
CONCLUSION ....................................................................................................................................... 126
LISTE DES SYMBOLES ET ABREVIEATIONS ........................................................................................... 128
LISTE DE TABLEAU ............................................................................................................................... 130
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................................................................... 131
Table des matières .............................................................................................................................. 132
ANNEXES.............................................................................................................................................. 134
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ANNEXES
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ANNEXE 1
CHARPENTE EN BOIS
Système réticulé isostatique (treillis)
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GENERARALIRES
Le fait de mettre une construction "hors d’eau" consiste { couvrir le
bâtiment de manière { le protéger de l’action des éléments naturels (eau,
vent et soleil)
La forme de cette protection set variable suivant le style de la
construction et des matériaux employés, on distingue :
a) La couverture traditionnelle, ardoise tuile et autre matériau
supporté par une charpente ; cette dernière peut être en bois,
acier au béton, elle détermine au-dessus du dernier niveau
un comble accessible ou non
b) La couverture terrasse est très employée pour des
immeubles à plusieurs niveaux et permet de récupérer un
étage habitable pour une même hauteur de gabarit. Cette
technique nécessite à la partie haute du dernier niveau la
création d’un plancher étanche (dalle pleine ou plancher
nervuré) parfaitement thermique.
CHARPENTE
Nom donné à un ensemble destiné à supporter le poids de la
couverture et de la neige, ainsi qu’{ résister { l’action du vent.
Les matériaux utilisés pour sa confection sont :
LE BOIS : sous la forme classique, les pièces monoblocs sont tirés
d’un fut ; sous la forme classique, les pièces sont réalisées { l’aide de
planches collées ou clouées entre-elles, cette technique permet
d’obtenir des portées plus grandes que celles dérivées de la forme
classique.
L’ACIER : l’alliage fer- carbone grâce à ses caractéristiques
mécaniques élevées, autorise l’exécution de charpentes de grandes
portée et relativement légères.
LE BETON : d’utilisation plus recente
•Une charpente en bois est un ensemble d’éléments contribuant { la
stabilité d’un ouvrage ou d’une partie d’ouvrage, en particulier la toiture.
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utilise pour cela du bois de charpente, c’est-à-dire un bois d’essence et e
qualité propre { la réalisation d’ouvrage de charpente (le chêne est un bon
exemple).
CALCUL DE CHENEAU
•Un chéneau est un conduit destiné { recueillir les eaux de la pluie au bord
d’un toit et { les amener au tuyau de descente.
ANALYSE STRUTURALE
•Les angles :
Nous avons :
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Après calcul de cette
hauteur, nous voyons que :
. De même :
. Nous avons:
•Isostaticité.
puisque
Nœud C
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Y P
o x C
Nœud A
Y
A
o x
Nœud D
P
D
x
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Puisque nous avons un système de deux équations à 2 inconnues, nous
pouvons donc éliminer une inconnue en divisant la première équation par
et la seconde par et cela donne :
Nœud R
Y
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Nœud E
Y
P
E
x
Nous avons :
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Dans donne :
Nœud S Y
Nœud F
P
F
x
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En additionnant les 2, nous voyons que :
Nœud T
Y
Nœud G
Y
P
G
x
Nous avons:
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Et
Nous divisons la première équation par et la deuxième équation
par afin de simplifier une inconnue ; cela donne :
Nœud U Y
Nœud H
Y
P
H
x
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Avec ces 2 équations, nous pouvons simplifier une inconnue en divisant la
première par et la seconde par ; nous avons :
Dans
Nœud V
Nœud I
P
I
x
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Divisons l’équation (1) par et l’équation (2) afin
d’éliminer , nous avons :
Y
Nœud
P
Par symétrie
J
x
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S
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