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Effectué par:
AIT ALI Brahim EL-LIAFI Nabil
Introduction
A. Le contrat de travail
Deuxième partie : l’exercice de l’option de continuation des contrats et ses effets juridiques
II. Les effets juridiques de l’exercice de l’option relative au sort des contrats en cours
Conclusion
Introduction
Les potentialités de l'entreprise visent d'abord les contrats, en tant que source de richesses
de l'entreprise. C'est la question de la préservation du tissu contractuel. Le moyen essentiel du
redressement de l'entreprise réside incontestablement dans la faculté de poursuite des contrats en
cours posée par l'article 573 alinéas 1. Dans la perspective du sauvetage de l'entreprise, la
poursuite de l'activité pendant la période d'observation est essentielle. Elle permettra l'élaboration
éventuelle d'un plan de sauvegarde ou de redressement.
Pour permettre le maintien de l’activité dans les meilleures conditions, il est nécessaire de
faire un tri parmi les contrats en cours (ex. baux professionnels, fournisseurs). Certains sont
indispensables à la poursuite de l’exploitation, d’autres sont superflus. Cependant, l’intérêt de
l’entreprise à maintenir certains contrats peut aller à l’encontre de la volonté des cocontractants
de rompre leurs relations avec un partenaire en cessation de paiements.
Si le droit commun des contrats avait été applicable, le débiteur n’aurait pu refuser de
poursuivre l’exécution des contrats en cours sans l’accord des cocontractants. En présence d’une
clause stipulée dans le contrat prévoyant sa résiliation en cas d’ouverture collective de débiteur,
le cocontractant aurait pu obtenir la résiliation de plein droit dudit contrat, dès que cet événement
se serait produit. De même, si le débiteur n’avait pas exécuté certaines prestations, son
cocontractant aurait pu lui opposer l’exception d’inexécution pour ne pas exécuter ses prestations
corrélatives.
Donc la question qui se pose est de savoir qu’en est-il du sort des contrats en cours
d’exécution lors du jugement d’ouverture de la procédure de redressement judiciaire?
La règle de la continuation des contrats en cours, peut avoir lieu, lors du jugement du
tribunal prononçant à l’encontre de l’entreprise en cessation des paiements, soit par nécessité pour
la continuation de l’activité de l’entreprise durant la période de continuation soit non, ce qui
suppose des règles souples qui permettront au syndic de se comporter avec les titulaires de ces
contrats, et ce en conformité avec ce qu’exige la règle de continuation de l’exploitation durant la
période précitée.
Ainsi, en vertu de l’article 573, alinéa 1 du code de commerce, le syndic a seule faculté
d’exiger l’exécution des contrats rn cours en fournissant la prestation promise au cocontractant
de l’entreprise. Le contrat est résilié de plein droit, après la mise en demeure adressée au syndic,
doit être antérieure à la date du jugement d’ouverture de la procédure de redressement judiciaire.
A. Le contrat de travail
On remarque ainsi que ce type de créance n’est pas soumis à la procédure de la déclaration
au syndic conformément aux dispositions de l’article 688 à 690 du code de commerce. Une
alternative se présente alors : si l’actif de débiteur est insuffisant dans ce cas le paiement est par
L’A.G.S. En cas de difficultés financières de l’employeur, les salariés ont, par conséquent intérêt
à ce que la procédure s’ouvre sans tarder. En effet, les salaires impayés ne seront pris en charge
par l’A.G.S que si le redressement judiciaire a été prononcé.
Il est nécessaire de rappeler que ce système d’assurance obligatoire en France a été mis
en place par la législation du 27 décembre 1973. IL constitue une garantie fondamentale pour les
salariés, qui sont ainsi payés sur le champ. Son financement est assuré par le versement obligatoire
d’une cotisation spéciale par les employeurs. En cas de non-paiement de cotisations, les salariés
ont droit à la garantie. Au Maroc, le nouveau code de travail n’a pas prévu des salaires dus lors
du jugement d’ouverture. Néanmoins, si l’employeur procède aux licenciements pour motif
économique, technologique ou structurel, les salariés bénéficient d’une indemnité suivant le
barème cité à l’article 53 de code de travail.
Il convient de souligner en outre que ces indemnités feront l’objet de négociation entre
l’employeur et les salariés ou avec leurs représentants élus. Elles pourraient même leur être
spontanément versées par l’employeur. Une négociation collective plus étendue pourra
également jouer un rôle non négligeable à l’occasion. On retiendra également que les salariés
licenciés, à titre individuel ou collectivement bénéficient d’une éventuelle priorité d’emploi en
vue de leur réembauchage et que le non-respect de cette priorité est punissable d’une amende
pécuniaire.
Depuis l’accord du 30 avril 2003, les salariés licenciés pour raison économique,
structurelle ou technologique, peuvent obtenir une indemnité pour perte d’emploi dans les
modalités d’attribution seront fixés par un texte législatif séparé.
On retiendra aussi que le déterminent principal d’une cessation collective du travail est
l’exigence d’un traitement spécial à réserver à des salariés qui ne doivent supporter aucune
responsabilité du fait de circonstances indépendantes de leur volonté, alors qu’ils sont à la merci
de l’employeur. Il faut dire que le droit discrétionnaire de résiliation unilatérale du contrat de
travail par ce dernier, est d’autant plus évident que le licenciement collectif, la fermeture partielle
ou totale de l’entreprise ou encore la compression du personnel peuvent s’analyser en une somme
de licenciements individuels pour quelque motif que ce soit. Cependant, à la difficulté
économique à laquelle est confrontée l’entreprise. Le code de travail a ajouté la notion de « motifs
technologiques » afin semble-t-il, prendre en compte les possibilités d’innovation technologique
en vue d’une meilleure production ou compétitivité au niveau interne et international.
Lorsque l’actif du débiteur est suffisant pour permettre un paiement sur le champ, sur la
base du dernier bulletin de salaire, mais dans la limite de deux fois le plafond des cotisations au
titre de la sécurité sociale. Le solde est payé avec l’autorisation du juge commissaire, dès que son
montant est connu. Il y a là une dérogation à la règle selon laquelle aucun paiement ne peut avoir
lieu durant la période d’observation. Par contre les salaires non garantis par le super-privilège, ne
bénéficient pas de ce paiement anticipé, car ils n’ont pas un caractère alimentaire.
Dit autrement, et l’on comprend alors la portée essentielle de cet arrêt, l’action en
résolution d’un contrat pour non-paiement à l’échéance convenue est une action fondée sur le
défaut de paiement. Elle tombe donc sous le coup de l’interruption des poursuites individuelles
contre le débiteur en procédure collective. Le bail commercial étant rompu, deux séries de
conséquences à évoquer:
Le liquidateur ou le syndic (l’administrateur) doivent restituer les locaux dès que le bail
est rompu à défaut de quoi, ils commettent une faute de nature à engager leur responsabilité civile.
Les indemnités de la résiliation doivent être déclarées au passif. Les loyers de la période
d’observation doivent être payées. Par conséquent en cas d’arrêt d’un plan de redressement, ils
ont payé avant tous les créances, à l’exception du super privilège des salariés. En cas de la
liquidation judiciaire, sont primés par ce super privilège, les frais de la justice et certaines suretés
garantissant des créances antérieures: suretés immobilières, sûretés mobiliers assorties d’un droit
de rétention et nantissement sur le matériel et l’outillage.
Les droits du bailleur sont soumis à des règles particulières que le législateur a organisé
conformément aux dispositions de l’article 661 du code de commerce. Ainsi, le bailleur n’a
privilège que pour les deux années de loyer précédant immédiatement le jugement d’ouverture
de la procédure. Mais si le bail n’est pas résilié, le bailleur ne peut exiger le paiement des loyers
à échoir sauf si le privilège donné lors de la conclusion de bail a été annulé et ce contrairement à
ce que prévoient les dispositions générales stipulées aux articles 684 et 1250 du code des
obligations et des contrats.
La question qui se pose de savoir si les créanciers inscrits doivent bénéficier d’une
notification en cas d’absence de poursuite de contrat de bail de l’immeuble dans lequel est
exploité le fonds de commerce grevé.la cour de cassation française dans un arrêt du 13 octobre a
répondu par l’affirmative en estimant que le bailleur doit notifier sa demande de résiliation du
bail aux seuls créanciers inscrits.
C’est ainsi, que d’après ce qui précède, il semble que les droits du bailleur des immeubles,
affectes à l’activité de l’entreprise, sont soumis durant la période de la préparation de la solution
à deux contraintes importantes à savoir :
La seconde limite considérablement les avantages dont bénéfice le bailleur des immeubles
affectés à l’activité de l’entreprise.
En conclusion, la situation du bailleur n’est guère enviable dans les procédures collectives.
Le cocontractant subit ici une restriction de ses droits afin de faciliter les chances de redressement
de l’entreprise. Sa situation est meilleure dans la liquidation judicaire mais elle est tout de même
en retrait par rapport au droit commun.
C. Le contrat de vente et de prêt
Dès lors que les fonds ont été intégralement versés à l'emprunteur antérieurement à
l'ouverture de la procédure, le contrat de prêt n'est pas en cours. Les échéances du prêt relatives
aux fonds débloqués avant jugement d'ouverture sont des créances antérieures à ce jugement
puisque leur fait générateur est constitué par le déblocage des fonds. Seule leur exigibilité est
postérieure au jugement d'ouverture.
À l'inverse, si le prêt n'a pas été entièrement débloqué avant le prononcé du jugement
d'ouverture, à concurrence des sommes non débloquées au jour du jugement d'ouverture, il doit
être considéré comme un contrat en cours. Cette solution a cependant été écartée par la Cour de
cassation, dans le domaine des prêts immobiliers à l'habitat et dans celui des crédits à la
consommation. Elle décide que ces prêts sont consensuels et non réels, leur perfection étant
trouvée non dans la remise des fonds, mais dans l'acceptation de l'offre préalable.
La revendication en nature peut s’exercer dans les mêmes conditions sur les biens
mobiliers incorporés dans un autre bien mobilier lorsque leur récupération peut être effectuée sans
dommage matériel pour les biens eux-mêmes et les biens dans lequel ils sont incorporés, et sans
que cette récupération entraine une dépréciation excessive des autres actifs de l’entreprise.
Ceci étant, d’après l’article 667 du code de commerce, la revendication des membres ne
peut être exercée que dans le délai de trois mois suivant la publication du jugement ouvrant la
procédure de redressement ou de liquidation judiciaire. Pour les biens faisant l’objet d’un contrat
en cours au jour de l’ouverture de la procédure, le délai court à partir de la résiliation ou du terme
du contrat.
Deuxième partie : l’exercice de l’option de continuation et ses effets juridiques
Dans l’éventualité d’une application continue des contrats en cours d’exécution lors de la
date du jugement de l’ouverture de la procédure de redressement judiciaire, seul le syndic qui a
le pouvoir d’exiger l’exécution des contrats en cours ou non. Dans les deux cas, la position du
syndic vis-à-vis des contrats engendre des résultats variables selon la décision de ce dernier à ce
sujet.
La règle générale en matière de la théorie des obligations et contrats est la libre volonté
des parties contractantes en matière de continuation du lien contractuel. Cependant, une simple
lecture des articles relatifs au contrat dans le livre 5 du code de commerce permet de détecter un
nombre important d’exception, on peut même dire qu’il y a une exécution ‘’forcée’’ des contrats.
En effet, cette intervention majeure du législateur ne peut être justifiée que par sa volonté
de sauver l’entreprise et l’aider à survivre à ‘’tout prix’’ même au détriment des tiers contractants.
Dans cette deuxième partie, nous allons voir en détails les conséquences juridiques d’une
éventuelle continuation des contrats ordonnée par le syndic, et les mesures d’accompagnement
de cette décision prévues par le livre 5 du code de commerce.
Le droit d'option se définit comme « une prérogative juridique qui permet à son titulaire
de pouvoir, par un acte unilatéral de volonté, modifier une situation juridique incertaine et cela
suivant une alternative précise et prévisible ». Le maintien des contrats qui unissent le débiteur à
ses fournisseurs, ses banquiers, ses clients, peut être utile à la continuation de l’entreprise.
L’article 573 consacre indirectement cette solution en donnant au syndic le droit d’option entre
l’exécution et la continuation du contrat. Le droit d’option est réservé au syndic, quelle que soit
d’ailleurs l’étendue de sa mission.
Le maintien des contrats en cours est affirmé, en principe en dépit des dispositions légales
et nonobstant toute clause contractuelle. En effet, l’article 574 al.4 décide que « Nonobstant toute
disposition légale ou toute clause contractuelle, aucune indivisibilité résiliation ou résolution du
contrat ne peut résulter du seul fait de l’ouverture de redressement judiciaire ». Cette solution
s’impose donc en présence d’une disposition légale contraire et, à plus forte raison, pour les
contrats prévoyant une résolution de plein droit de la convention en cas de redressement.
Cette dérogation de droit commun se justifie par des considérations pratiques évidentes.la
disparition immédiate de nombreux contrats compromettrait certainement la continuation de
l’exploitation et placerait les cocontractants dans une position de force leur permettant de rompre
en leur faveur la règle de l’égalité.
L’article 573 s’efforce, par ailleurs, d’équilibrer l’intérêt de l’entreprise et celui de son
cocontractant. Ainsi la renonciation à la continuation du contrat est présumée si le cocontractant
a adressé au syndic une mise en demeure qui restée plus d’un mois sans réponse. Cette
présomption est irréfragable car le contrat est résilié de plein droit dans ce cas. Le délai de réponse
à la mise en demeure, est d'un mois à compter de la réception de la mise en demeure.
Les règles relatives aux notifications des actes de procédure posées aux articles, qui
obligent à considérer que le délai ne court contre le destinataire de la mise en demeure qu'à
compter de sa réception par celui- ci, sont ici applicables. La réponse du titulaire de l'option devra
être envoyée par celui- ci dans le délai du mois à compter de la réception de la mise en demeure
adressée par le cocontractant.
Lorsque la période d'observation est courte ou lorsque le cocontractant n'a pas envoyé la
mise en demeure dans les jours qui suivent l'ouverture de la procédure, la procédure peut être
convertie en liquidation judiciaire alors même que le délai courant à compter de la mise en
demeure adressée au syndic ou au débiteur n'est pas expiré. Un nouveau délai n'est pas alors
ouvert, le délai initial continuant à courir contre le titulaire actuel de l'option.
II. Les effets juridiques de l’exercice de l’option relative au sort des contrats en cours
Selon l’article 573 du code de commerce, L'option pour la continuation du contrat impose
une exécution du contrat aux conditions existantes au jour du jugement d'ouverture le
cocontractant doit remplir ses obligations malgré le défaut d'exécution par le débiteur
d'engagements antérieurs au jugement d'ouverture. Ainsi, l'exécution du contrat aux conditions
initiales n'implique- t- elle pas l'exécution des prestations antérieures au jugement d'ouverture,
laquelle exécution ne peut intervenir du fait, d'une part, de l'impossibilité de payer après jugement
d'ouverture une créance née antérieurement à ce jugement, et d'autre part, du fait de l'existence
de la règle de l'arrêt des poursuites individuelles relatives aux dettes antérieures à l'ouverture de
la procédure.
Or, d’aprés cet article seul le syndic qui a le droit de décider la continuation du contrat ou
sa résiliation, et même le cocontractant n’a que le droit de mettre en demeure l’entreprise, en effet
un silence du syndic pendant un délai d’un mois donne lieu à une résiliation de plein droit.
De plus, d’après l’alinéa 2 de cet article, Le cocontractant doit remplir ses obligations
malgré le défaut d'exécution par l'entreprise d'engagements antérieurs au jugement d'ouverture.
Le défaut d'exécution de ces engagements n'ouvre droit au profit des créanciers qu'à déclaration
au passif. La poursuite du contrat après l'ouverture de la procédure impose au syndic de fournir
la prestation promise au cocontractant du débiteur. Le syndic, doit respecter toutes les clauses du
contrat, l'objet de la disposition étant « d'aménager pour l'entreprise les chances d'un redressement
sans pour autant perturber le tissu économique environnant » Ainsi, les clauses attributives de
juridiction, les clauses d'arbitrage ou compromissoires doivent- elles être respectées.
Ainsi s’il y a une condition précisant l’augmentation des obligations du débiteur au cas où
celui-ci est soumis au redressement judiciaire. Cette condition est considérée comme nulle car
elle touche le principe d’équité entre les créancières qui relève de droit commun. Par conséquent,
le jugement d’ouverture arrête les cours des intérêts légaux et conventionnels, ainsi, que les
intérêts de retard et majorations conformément aux dispositions de l’article 659 du code de
commerce.
Le non usage par le syndic de l’option de continuation des contrats en cours d’exécution
lors du jugement d’ouverture, donne lieu ipso facto à une résiliation de ces contrats, mais vis-à-
vis les tiers sa reste une affaire interne de l’entreprise non opposable aux tiers ; En effet, cela peut
donner lieu à des dommages-intérêts pour le préjudice subi par le cocontractant suite au contrat
conclut avec l’entreprise.
Lorsqu’il s’agit d’un contrat de travail ou le salarié se trouve débiteur vis-à-vis l’entreprise
objet d’une procédure collective suite à des avances dans le cadre de l’exécution de ses obligations
contractuelles, le cocontractant doit en principe rembourser ses sommes à son employeur, mais il
ne peut pas procéder au remboursement qu’après la fin de la procédure d’indemnisation pour
préjudice à l’occasion de la résiliation du contrat de travail.
Conclusion :
La période d’observation est une période décisive dans la vie de l’entreprise en difficulté
puisqu’elle précise le devenir de cette dernière. A son issu, le syndic propose soit un plan de
redressement, qui peut être soit un plan de continuation soit un plan de cession, ou un plan de
liquidation lorsqu’il y’a absence de possibilité de redressement, notamment lorsque la situation
de l’entreprise est irrémédiablement compromise.
Cependant, quel que soit la qualité des organes assurant la gestion de l’entreprise dans
cette période, elles reste incapable à résoudre les problèmes de l’entreprise et garder en marche
celle-ci sans l’aide du mécanisme contractuel, les contrat sont, donc, les neurone vitaux de
l’entreprise, raison pour laquelle le législateur a offert au syndic ce droit de continuation des
contrats et c’est à lui de choisir les contrats nécessaires à la continuité d’exploitation de
l’entreprise dans un double objectifs, la survie de l’entreprise et la préservation maximal de sa
valeur le cas échéant.
Plan de travail:
Introduction
Première partie : le régime juridique de la continuation des contrats en cours
I. Le principe de la continuation des contrats en cours
II. La situation légale de certains contrats en cours
A. Le contrat de travail
B. La situation du contrat-bail des immeubles affectés à l’activité de l’entreprise
C. Le contrat de vente et de prêt
Deuxième partie : l’exercice de l’option de continuation des contrats et ses effets juridiques
I. L’exercice d’option relative au sort des contrats en cours
II. Les effets juridiques de l’exercice de l’option relative au sort des contrats en cours
A. L’option en faveur de la continuation
B. L’option en faveur de la renonciation
Conclusion