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Lyrisme nouveau

Theme image reverse

Structure et forme

Absence de ponctuation,Pas de rimes

Musicalites assonances et alliteration

Juxtaposition sentiment univers point de vue souvenirs

Irregularite des strophes, diversite dans la longueur des vers

Vers libres

Rimes irreguliers abscence de ponctuation

Enonciation tu-je

Les indices temporels present imparfait passe compose

Niveau de langue familier

Verbes simples et directs

Indications precises

Images et termes du nouveau monde peu ressemblantes a la poesie traditionnelle

Collage reprise du vers

Ressemblance au cubisme

Amour malheureux

Reprise des themes lyriques (Automne amour) retravaille

Inspiration des mythes et de la religion

Alcools et amour inspiration poetique

Rupture rythmique et metrique

Elegie

Deuil

litanie

Sordide : blessure

Desabuse: desillusion desappointer

Morbide : maladie
Langueur : lassitude

Insolite: differente du normal

Polysemique: ambigue plusieurs interpretations

Paronomase raprrochement des mots de sonorites semblables

Affliction : peine profonde

Correspondance entre nature/saison et apollinaire

La musique d impair dans les poemes elegiaques

Eloge : discours de celebration

Elan=ton=sentiment elan elegiaque

Monologue parler a soi meme


I-Dans le poeme,Apolliniare communique un etat
d’ame melancolique suite a une rupture
amoureuse,Demblee des le premiers vers le
locuteur evoque la thematique du l’eau , theme
traditionnel associe avec le temp qui portant un
effet destructeur sur l’amour qui coule mit en
evidence par la conjonction de coordination “et”
de plus le poete revele une nostalgie aux beaux
temps passes souligner par le verbe souvenir
“faut il qu’il m en souvienne” et par le
determinant possesif”Nous” qui revele un poete
en quete persistante d’un amour longtemps
finit,la distique qui se repete revele une litanie
dans un essaye desesperai pour renouveller
l’amour maids aussi met la lumiere sur le temps
destructeur avec un champs lexical du temps de
plus la repetition constante de la distique signale
une boucle par laquelle le poete est la victime
qui n’arrete pas de se rapeller d’un amour
acheve resultant a sa solitude “je demeure”.Dans
le 2 eme strophe apollinaire ne cesse pas de
revivre le passe en utilisant le present il met en
evidence sa volonte de rendre le passe plus
vivant dans sa memoire dans un temps ou ils
formes un couple “restons’’ un amour paratger
mis en valeur par le mirroir des mots “face” et
“mains” revelant une esperance de revivre
l’amour qui “demeure” sur le pont symbole de
solidite cependant cette esperance tourmente le
poete qui experience une vie “lente” malgres l
ecoulement du temps

Automne malade et adoré Intimite entre poete et la saison


Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies
Quand il aura neigé
Dans les vergers

Pauvre automne affection


Meurs en blancheur et en richesse cette saison reflete un poete tourmente par la melancolie
De neige et de fruits mûrs et la perte amoureuse
Au fond du ciel
Des éperviers planent
Sur les nixes nicettes aux cheveux verts et naines renvoie aux femmes nuits rhenane
Qui n’ont jamais aimé

Aux lisières lointaines


Les cerfs ont bramé

Et que j’aime ô saison que j’aime tes rumeurs


Les fruits tombant sans qu’on les cueille
Le vent et la forêt qui pleurent
Toutes leurs larmes en automne feuille à feuille
Les feuilles
Qu’on foule
Un train imitation d un sanglot ou d une feuille qui tombe
Qui roule
La vie generalite
S’écoule

Un poeme entre lyrisme traditionnel et modernite

Le poeme automne malade est un exemple du renouvellemnt qu’a apporte Apollinaire au


lyrisme traditionnel dans ses poemes,Des les premiers vers en remarque l omnipresence de la
sasion favoris chez les romantiques, l automne qui a un effet de mirroir avec l etat d ames des
poetes melancoliques, cette presence est connote demblee des les premiers vers et meme le
titre par le champ lexical de la nature en automne on note : << automne, fruits tombant vent
feuilles cerfs ...>> et par ses animaux champ lexical de plus cette saison met en valeur la
tristesse puisqu’elle signifie la maladie qui precede la mort dans ce cas l hiver,l’attente de la
mort est mis en valeur par le champs lexical de la maladie et du deuil :<<malade, larmes,
pleurent,meurs,pauvre automne>> et par l’utilisation du futur simple qui confirme la mort qui
s’approche <<mourras...>>,le poeme s acheve les six dernier vers courts et brusque qui marque
l ‘arrviee de l hiver, en outre la forme des vers se ressemblent a une feiulle qui tombe ou aux
sanglots des arbres et de la foret marquant l affliction melancolique qui reflete parfaitement l
etat d ame d un poete en peine profonde en sordide cause par une rupture
amoureuse,premierement, le registre lyrique est mis en evidence par la personnification du l
automne qui l’apostrophe en ayant recours a la 2 per. Sing. “Tu” de plus le poete non
seulement porte une affection a l automne marque par l adjective “pauvre” et grace au verbe
“aime” mais aussi l’utilisation du “je” une des caracterisitques majeures du lyrisme, on
observe davantage l’emploie de l interjection <<o>> de surcroit le poete communique une
perte amoureuse en ayant recours aux mythes allemands pour designer les “nixes” nymphes
des eaux dans la mythologie germanique qui peuvent faire reference aux femmes charmentes
dans les nuits rhenanes qui renvoient a Annie playden et sa rupture amoureuse avec elle mis en
evidence dans ce poeme par la subordonne relative “qui n’ont jamais aimé”, finalement
l’evoquation de la thematique du temps qui passe dans les six derniers vers “la vie s’ecoule”
souligne la fatalite de la vie cependant il passe a la generalite par l utilisation de l article defini
“La”
Ulterierment Apollinaire revisite le lyrisme traditionnel pour le renover par l’osscilation des
metres des vers qui baries entre alexandrins octosyllabes et d’autres metres aleatoires, on
remarque davantage les six derniers bers que ressembe a un calligramme ou un haiku.d ailleurs
le poeme presente une musicalite riche meme si les rimes sont irreguliers et presque
inexistant,les assonances et les alliterations sont presents d une maniere abondante tout au
long du poeme assonances en a, eui

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