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BANCAIRE ET LA
SATISFACTION DES
CLIENTS
PLAN:
Introduction .
Chapitre 1: Généralité sur le secteur bancaire au Maroc :
1 :Histoire de la banque .
3:Plan marketing.
de consomation.
On constate que la plupart des firmes qui tentent à prendre cette direction se
basent sur l'initiation des méthodes et techniques étrangères, c'est-à-dire que les
firmes ne font qu'imiter les moyens et les méthodes qu'utilisent les pays
occidentaux, et parmi ces moyens introduisent principalement aux banques : le «
marketing ».
Chaque banque est confrontée à un nouveau défi plus compétitif si elle peut
comprendre les mécanismes et les outils de marketing et en faire bon usage, il
pourra satisfaire les besoins des clients en proposant des nouveaux services plus
développés, pour gagner la fidélité des clients.
Problématique :
Tout au long de ce travail nous allons essayer de répondre à la problématique
suivante
La première banque au Maroc est née en 1802. Elle fut l’œuvre de l’immigration d’un
commerçant juif de Tanger.
Deux autres banques virent le jour en 1860 : La banque Nahon et la banque Salvador
Hassan.
Ce n’est que vers la fin du 19ème siècle, à partir de 1880, que les premières banques
étrangères s’installent au Maroc.
Ce furent le comptoir National d’Escompte de Paris ; la banque of. west Africa (anglaise)
et la berliner Orient Bank (allemande). L’arrivée de ces banques a été favorisée par deux
facteurs :
D’une part, la tradition d’ouverture du pays sur l’extérieur et sur le négoce international.
C’est une phase qui s’étale de 1912 à 1956, qui consacre l’intégration de l’économie
marocaine à celle de la métropole et qui enregistre le déferlement des banques
françaises sur le Maroc.
La première action fut de répondre le contrôle de la banque d’Etat du Maroc. Ainsi, en
1919, elle procède au rachat des parts de l’Allemagne, de l’Autriche-Hongrie, la Russie
et l’Angleterre.
La deuxième action entreprise était de mettre fin au pluralisme monétaire qui prévalait
l’époque (Rial Hassani, Pesetas, Francs algérien, Francs français) et faire intégrer
le Maroc dans la zone franc.
Signalons, enfin, que toutes les grandes banques françaises étaient représentées au
Maroc par des succursales entièrement encadrées et contrôlées par les maisons mères.
Ces banques étaient concentrées sur Casablanca, comme d’ailleurs les banques
espagnols l’étaient sur Tanger.
La marocanisation entre 1973 et 1975 des banques ayant leur siège social au
Maroc.
- Le 14 Février 2006, une nouvelle réforme de la loi qui s'articule autour des principaux
axes suivants :
Certes, l'évolution qu'a connu le secteur bancaire marocain dès la première jusqu'à la
dernière réforme éclaire bien l'importance des banques dans l'économie nationale, ce qui
nous oblige dans ce qui suit de définir la banque et ses différentes types.
2-1- Définition:
La banque est une entreprise qui produit des services destinés à sa clientèle. Elle reçoit
d'abord les dépôts de sommes apportées par ses clients. Elle accepte ainsi de garder ces
fonds à la place des particuliers qui effectuent soit des dépôts à vue (c'est l'argent liquide,
c'est-à-dire des sommes disponibles quand ils le souhaitent et sans frais de retrait) soit des
dépôts à terme (la banque conserve les fonds pendant un certain délai durant lequel le
client ne peut les retirer).
La banque assure ensuite la gestion des moyens de paiement pour le compte de ses
clients. L'ouverture d'un compte dans une banque et le versement sur ce compte de
fonds sous forme de dépôts à vue (le compte est crédité) permettent une multitude
d'opérations : recevoir des chèques, émettre des chèques pour le compte d'autrui (le
client doit avoir une provision sur son compte pour que le chèque soit honoré ou il doit
bénéficier d'un découvert quand la banque accepte de débiter son compte qui n'a pas
une provision suffisante), retirer de la monnaie auprès des guichets bancaires ou dans
les distributeurs automatiques de billets (DAB).
La banque distribue surtout des crédits : elle prête des ressources, des moyens de
paiement aux agents économiques. La distribution des crédits est ainsi la principale
activité d'une banque. Le découvert est la forme la plus simple de crédit bancaire qui
peut prendre de multiples aspects : crédit immobilier à long terme (10 à 20 ans), crédit
revolving ou crédit permanent (le crédit accordé au client, dont le montant est fixé par
la banque, se reconstitue au fur et à mesure des remboursements réalisés).
Outre ces trois grandes catégories de services bancaires, on trouve aussi les services
liés aux opérations de change (achat et vente de devises par exemple), les services liés à
la commercialisation de produits financiers les plus divers (plan d'épargne logement,
plan d'épargne populaire, plan d'épargne en actions, valeurs mobilières comme les
actions ou les sicav, etc.). Les services rendus à la clientèle constituent le métier même
de banquier. Toutefois, en raison de l'importance des fonds dont elles disposent, les
banques ne se contentent pas de prêter des ressources.
Elles acquièrent aussi - comme d'autres entreprises - des participations au capital de
certaines sociétés. Ces participations en font donc des actionnaires, parfois importants,
de grandes entreprises. Enfin, l'ensemble des banques joue un rôle économique
fondamental. Elles assurent le financement de l'économie.
La mise à disposition d’un compte bancaire avec tous les services qui vont avec
comme par exemple la mise à disposition de moyens de paiement (carte
bancaire, chéquier…)
Les différents crédits ou prêts
Le dépôt d’argent (comptes épargne…)
Parmi les banques commerciales on retrouve différents types de banques :
Les banques dîtes traditionnelles, les banques en ligne, les banques mobiles ou
néobanques.
On peut aussi trouver des banques de dépôt uniquement. Ce type de banques
ne propose pas d’autres services que des dépôts.
Les dépôts effectués dans les banques par les agents économiques sont réintroduits dans
le circuit économique grâce aux crédits distribués par les banques. Ces dernières utilisent
donc l'épargne des agents (épargne à très court terme pour les dépôts à vue, épargne à
plus long terme pour les autres formes de dépôts) pour fournir des moyens de
financement à d'autres agents économiques. Les banques jouent ainsi un rôle
d'intermédiaire entre les prêteurs (même s'il s'agit de prêteurs involontaires dans le cas
des agents qui ne réalisent que des dépôts à vue) et les emprunteurs. Les banques utilisent
constamment toute somme reçue pour proposer des crédits à plus ou moins long terme.
Les banques ont ainsi une activité d'intermédiation entre les prêteurs et les
emprunteurs qui ne se connaissent pas. Mais ce rôle d'intermédiation se double d'une
activité que l'on nomme "transformation".
En effet, les épargnants et les agents confient généralement leurs ressources pour des
échéances très courtes (quelques semaines ou quelques mois, par exemple). En
revanche, les emprunteurs s'endettent plutôt à moyen terme (de 18 mois à 5 ans) ou
long terme (au-delà de 5 ans). La transformation bancaire consiste ainsi à utiliser des
ressources de court terme pour financer les crédits à moyen et long terme.
Les banques collectent des fonds (elles en empruntent elles-mêmes parfois) pour les
prêter ensuite. Mais de nos jours, ce ne sont pas "les dépôts qui font les crédits" car les
banques prêtent à l'économie beaucoup plus de ressources financières que n'en apportent
les déposants. Les sommes supplémentaires ainsi prêtées proviennent de la création de
monnaie que réalisent les banques.
Par un simple jeu d'écriture, une banque peut ainsi créer de la monnaie. C'est la
monnaie scripturale car elle existe dès qu'elle s'inscrit sur le compte d'un client de la
banque. Il faut cependant qu'il y ait une contrepartie, c'est-à-dire qu'elle obtienne
quelque chose de son client, à qui elle consent un crédit (une entreprise qui souhaite
investir, un particulier qui réalise un achat immobilier). Cette contrepartie, c'est une
promesse de remboursement signée par l'emprunteur, qui a donc une dette envers la
banque ; cette promesse (c'est un ensemble de documents) représente une créance
pour la banque qui, dans son bilan, met cette créance à l'actif promesse de
remboursement) alors que la monnaie créée figure au passif (cette somme appartient
au client).