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1 ENCG -Settat
La stratégie
POLITIQUE :
STRATEGIE :
TACTIQUE :
2 ENCG -Settat
La stratégie
POLITIQUE
collaborateur = OBJECTIFS
-- assurer GENERAUX
la maintenance du matériel -- traiter
STRATEGIE = DECISION SUR LES BUTS ET LES MOYENS A EMPLOYER
les problèmes quotidiens -- surveiller la qualité du système
TACTIQUE = GESTION DES MOYENS ET OFFRE DE MOYENS PERMETTANT
d'information. AUX STRATEGES DE DECIDER
3 ENCG -Settat
La stratégie
est concentrée sur des cibles vitales pour l'ennemi et que la mobilité
des forces de dissuasion est garantie.
7 ENCG -Settat
La stratégie
dominante sur un marché. La stratégie défensive a donc pour but de
permettre à l'entreprise de rester concurrentielle. L'attitude est
avantageuse en terme de coûts (peu de frais de recherche-
développement) mais présente l'inconvénient de placer l'entreprise
en position inférieure. Cette stratégie est fréquemment adoptée par
les PME qui ne disposent pas d'économies d'échelle suffisantes pour
concurrencer les grandes entreprises.
8 ENCG -Settat
La stratégie
de machine-outils électromécaniques ont été très rapidement
dépassés par la robotique industrielle.
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La stratégie
Les stratégies de production (mise en place de techniques de
production en flux tendus par exemple).
Le modèle de MINTZBERG.
1 - les propriétaires.
3 - Les syndicats.
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La stratégie
et cela pourra influencer le devenir de l'entreprise (nomination de tel
ou tel P. D. G., décisions d'absorption ou de fusion).
11 ENCG -Settat
La stratégie
B -- La Formulation Stratégique :
F Réflexion F Formulation F
Action
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La stratégie
R.THIETARD dans son ouvrage : « la stratégie d'entreprise »
préconise que « La seule prise en compte de la dimension
économique ne suffit plus dans le contexte de l'entreprise
aujourd'hui. La demande formulée par les hommes au sein de la
firme dans le but d'une plus grande information ou d'une
participation accrue à la prise de décision, les pressions exercées par
les groupes de toutes sortes (écologistes, consommateurs,
syndicats...), l'influence grandissante de l'état et de la
réglementation, le jeu personnel des membres de l'entreprise, font
qu'il n'est plus possible aujourd'hui de raisonner en atmosphère
stérile. ».
• La vision est ce qui nous fait aller de l'avant même dans les
situations les plus difficiles. La vision d'une entreprise est l'un des
facteurs de motivation les plus efficients.
La définition de la mission :
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1. Considérer d'abord la mission comme le but général de
l'entreprise.
La définition de la vision
15 ENCG -Settat
La stratégie
Alors , qu’est ce qu’une mission d’entreprise ? Une définition
possible de la mission d'entreprise est "la définition de sa raison
d'être, l'aspiration suprême qu'elle tente continuellement
d'atteindre". L'énoncé de cette mission est en général une phrase ou
un paragraphe qui formule cette raison d'être sous une forme un peu
vague mais durable et qui est donc un repère stable dans le
changement quotidien.
17 ENCG -Settat
La stratégie
Quelles sont les compétences distinctives ainsi que la position
compétitive de l'entreprise ?
20 ENCG -Settat
La stratégie
organisationnels lorsque l’entreprise a des difficultés à s’adapter à
l’évolution de son environnement subjectif.
24 ENCG -Settat
La stratégie
L'entreprise est un système ouvert qui survit et se développe
dans un environnement en constante évolution, porteur de menaces
et d'opportunités.
I- Le diagnostic externe:
25 ENCG -Settat
La stratégie
On constate alors que l'évolution de l'environnement explique
souvent la stratégie , ainsi le diagnostic externe doit concerner
l'ensemble des éléments qui influencent l'entreprise ou sur lesquels
elle peut agir.
1- La matrice BCG:
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La stratégie
alors des vedettes potentielles). L'entreprise a donc le choix entre
investir dans ce produit ou l'abandonner .
Elevée
28marché
Part de ENCG -Settat
La stratégie
2- La matrice Mc Kinsey:
Forte Moyenn
e Faible
Se retirer
Sélection Désinvestir
sélectivement
Faible
Position concurrentielle
31 ENCG -Settat
La stratégie
- La position concurrentielle de l’entreprise sur le domaine d’activité
- Entrants potentiels
- Changer de groupe
33 ENCG -Settat
La stratégie
2-L'analyse des finalités et de la vocation de
l'entreprise:
Au niveau de la production:
Au niveau commercial :
Au niveau de financier :
35 ENCG -Settat
La stratégie
Il est possible, à ce niveau de se focaliser sur deux principaux
aspects:
Exemple:
- Solvabilité.
Exemple :
R1 = Résultats d'exploitation x 360j
Chiffre d'affaire HT
Exemple :
R1 = Stocks moyen de marchandises x 360j
Achats revendus de marchandises
- Données boursières.
- Le style de commandement.
37 ENCG -Settat
La stratégie
38 ENCG -Settat
La stratégie
(faiblesses)
Réduire les
Utiliser les forces
faiblesses pour
Opportunities pour prendre
pouvoir prendre
(opportunités) avantage des
avantage des
opportunités
opportunités
Temps
Lancement Croissance Maturité Déclin
Biotechnologie,
robotique,
services Automobil
financiers e,
restauratio Acier, constructions
n, bière navales…
Temps
42 ENCG -Settat
La stratégie
Lancement Croissance Maturité Déclin
Stratégie type Expansion par Développement Rentabilisation retrait
création du
marché
Fonction clé R&D puis production Marketing et Contrôle de
Marketing distribution gestion
Recherche & Mise au point Démarrage du Développement Arrêt des
développement du Produit De variantes recherches
produit suivant
Marketing Publicité, Distribution très Différenciation
Distribution
Promotion, large, vendeurs concurrentielle,
sélective,
Vendeurs à la salariés, promotion, augmentation
Commission. communication de amélioration de
des prix, arrêt
marque. service. des promotions
Production Mise au point Internationalisation Réduction desSous-traitance,
des méthodes, de la production, coûts, délocalisation,
sous-traitance en grandes séries, procédures desuivi des stocks,
investissements routine, petites
liquidation des
standardisés. séries. équipements
Logistique externalisme internalisée Suivi des stocks
Réduction des
de produits finis
stocks de
produits finis
Contrôle Définition des Recherche de Analyse de la Analyse des
standards de productivité valeur coûts cachés et
calcul des décision d’arrêt
coûts.
Personnel Formation de Recrutement, Cercles de Transfert ou
l’encadrement heures productivité et départ
supérieur supplémentaires, de qualité.
formation des
personnels de
production.
43 ENCG -Settat
La stratégie
Temps
à un produit ;
à une gamme de produits ;
à l’entreprise ;
au marché ;
à un domaine d’activité stratégique ;
à une technologie ;
à une formule de distribution ;
44 ENCG -Settat
La stratégie
à une enseigne …etc.
La courbe d’expérience
Le BCG a démontré que la position concurrentielle d’une
entreprise, dans un domaine d’activité donné, peut s’exprimer par le
rapport existant entre son volume de production, dans ce domaine
d’activité, et celui de l’entreprise située en position Leader. Si
l’entreprise considérée est elle-même leader , entre son volume de
production et celui de l’entreprise qui vient en 2éme position, c'est-
à-dire l’entreprise suiveur immédiat.
Prix de
revient 1966
1967
(US $) 1968
(Elasticité = -0,7)
1969
10,00 1972
1973
1970
1971
1,00
1974
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La stratégie
0,10
100 1000 10000 Volume cumulé
1-L’effet de l’apprentissage :
47 ENCG -Settat
La stratégie
Il correspond à la réduction des coûts unitaires observés
lorsque le coût de l’investissement augmente moins que
proportionnellement à ses capacités. Ainsi, en matière industrielle, le
coût d’un équipement ne croît pas proportionnellement à ses
capacités et le coût par unité produite diminue donc. Ceci est vérifié
de la même façon dans les domaines administratifs et commerciaux.
Les effets d’échelle se subdivisent n deux grandes catégories :
( )
∞
I1 Q1
=
I0 Q0
∞ étant le facteur d’échelle (∞ < 1).
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La stratégie
dominant, accumulez de la capacité de production, si l’effet
d’économie d’échelle l’emporte, investissez en recherche, si l’effet
d’innovation est premier.
Prix
Expérience et politique de prix .
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La stratégie
P1
C1
P2
Prix
Coûts
E1 E2 Expérience
CB Bénéfice B
B Bénéfice C
CC
C
Coûts
EA EB EC Expérience
Coût unitaire
C
Prix P
B Prix P’
Volume de production
QC QB QA cumulé
52 ENCG -Settat
La stratégie
Les positions acquises de cette manière dissuadent d’autres
entreprises de s’engager à leur tour dans cette activité, car l’effet
d’expérience constitue une barrière d’entrée extrêmement difficile à
franchir pour tout nouvel entrant.
53 ENCG -Settat
La stratégie
Tant du côté de l’innovation technique que du côté des
changements de goûts des clients se trouvent les principaux
obstacles à une stratégie tentant de reposer durablement sur les
effets d’expérience. Pourrait-on avancer que l’effet d’expérience
trouve sa propre limite là ou il devrait engranger le maximum
d’efficacité – dans le long terme ?
Formule :
P
Taux moyen de croissance annuelle = Année (n) -1
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La stratégie
Année (n - p)
Les dilemmes :
Les vedettes :
56 ENCG -Settat
La stratégie
puisse être rentable. S’il en est ainsi , le qualificatif de « poids mort »
doit être considéré avec prudence.
57 ENCG -Settat
La stratégie
Part relative de marché
20%
Forte Faible
?
Forte
Croissance de
la demande 10%
$ Ø
Faible
0%
10 1 0,1
qui est tout aussi important , que des domaines vedettes (*)
sont prêts à prendre la relève des domaines riches vieillissants et
que les domaines « poids morts » sont peu nombreux. On remarque
que les différents cercles, représentatifs de domaines , présentent
des aires inégales : Ces surfaces sont généralement utilisées pour
mesurer les chiffres d’affaires propres de chaque domaine.
58 ENCG -Settat
La stratégie
Chapitre VI : Le PIMS
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La stratégie
30
20
10
0
-5 0 5 10 %
40
30
20
10
0 %
20 40 60 80
Inférieure Supérieure
Qualité relative
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La stratégie
30
20
10
0
10 20 30 40 50 %
Part de marché
61 ENCG -Settat
La stratégie
le pouvoir de négociation.
40
30
20
10
0
0 20 40 60 80 100 %
Investissements/ Ventes
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La stratégie
En outre, les secteurs en phase de lancement requièrent en
général de forts investissements et sont peu rentables, la rentabilité
des investissements étant différé dans le temps.
63 ENCG -Settat
La stratégie
Résultats Implications
Stratégiques
Rentabilité
Rentabilité
Qualité relative
Rentabilité
Part de marché
Rentabilité
64 ENCG -Settat
La stratégie
Intensité des investissements
Valeur
perçue Offre
Prix Des 6
2 concurrent
s
7
Epuration
1 8
Faible
Prix
Elevés
Différenciation vers le
Profit haut
Coût
Sophistiquée
Prix
Et Profits des concurrents
Coûts
Coûts des
concurrents
Prix
Profit Différenciation vers
le bas
Epuration
Faibles Coût
Résumé :
On pourra aussi résumer la présentation de la courbe de prix
sur le long terme et la présenter comme il suit :
Phase1 Phase2 Phase3 Phase4
Coûts et prix
Prix
Coûts
Temps
70 ENCG -Settat
La stratégie
marchés en plein développement , sont très favorables : ils
permettent de dégager de bonnes marges.
La seconde option consiste à jouer non pas sur des prix , mais
sur un différentiel perçue par les clients. On parle alors de
« stratégie de différenciation ». Comme le montre le schéma
précédent, il existe deux grands types de différenciation , selon que
l’on décide de réduire (trajectoire1) ou d’accroître (trajectoire 4) la
valeur perçue par rapport aux offres concurrentes. Dans le premier
cas, la diminution de valeur permet de réduire les coûts (le produit
ou service étant plus simple, il est moins coûteux à produire), mais
impose une baisse de prix afin que l’offre reste attractive pour le
client. Dans le second cas , en revanche, le surcroît de valeur
entraîne généralement des coûts supplémentaires , qui doivent être
compensés par une augmentation des prix ou par des volumes plus
importants. Cependant, pour que l’une ou l’autre de ces
différenciations soit profitable à l’entreprise, il est nécessaire soit de
réduire par le coût le prix , soit d’augmenter plus le prix que le coût .
Le profit dégagé est ainsi supérieur à celui des concurrents.
71 ENCG -Settat
La stratégie
peuvent pas ou ne souhaitent pas s’orienter vers une offre de plus
grande valeur.
72 ENCG -Settat
La stratégie
des compétences fondamentales permettant d’établir une stratégie
de différenciation constitue cependant un problème complexe.
73 ENCG -Settat
La stratégie
Elle consiste à proposer simultanément un surcroît de valeur et
une réduction de prix par rapport aux offres concurrentes. Il ne s’agit
pas seulement de comprimer les coûts tout en cherchant à se
différencier. Après tout , les managers devraient toujours limiter les
coûts au minimum par rapport aux stratégies suivies.
74 ENCG -Settat
La stratégie
Cependant, à moins que ces organisations ne soient protégées
par la législation ou par des barrières à l’entrée infranchissable , la
concurrence finira toujours par éroder leurs privilèges.
Identifier clairement qui sont les clients (ou les usager) qui
constituent la cible de la stratégie choisie.
77 ENCG -Settat
La stratégie
Identifier clairement les besoins des clients et les sources de
création de valeur, pour chacun des segments de marché.
78 ENCG -Settat
La stratégie
Elles imaginent les options possibles par référence aux forces et aux
faiblesses de l’entreprise, en privilégiant des choix qui maximisent
les effets de synergie. Le Vecteur de croissance décrit par I. Ansoff
en est l’exemple le plus connu.
1- Le vecteur de croissance :
Actuels
Développement
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Clients
La stratégie
Pénétration De produits
Nouveaux
Développement de Diversification
marchés
82 ENCG -Settat
La stratégie
concurrentielle moyenne. Sa faiblesse relative est donc du côté de la
demande. Y remédier peut amener à reconsidérer la demande afin
d’y déceler une « niche », ou encore un segment , où elle pourra
améliorer cette position concurrentielle. C’est donc une procédure
de segmentation qui s’impose à elle.
Faible Elevé
Sources
Nombreuses
Fragmenté Spécialisation
De
différenciation
Rares Impasse Volume
83 ENCG -Settat
La stratégie
spécialisation, réintroduit les effets de taille caractéristiques de
l’analyse du BCG
La matrice McKinsey :
Présentation du modèle :
• taux de croissance.
• parts de marché des entreprises dominantes.
• la stabilité technologique.
• les nivaux d’approvisionnements.
• etc.
Intérêt du modèle :
Limites du modèle :
La contrepartie de la souplesse du modèle est sa subjectivité.
Alors qu’à partir des mêmes données sur une entreprise et ses
marchés deux analystes obtiendront des matrice BCG identiques, ils
risquent de construire des matrice McKinsey différentes. Par le jeu
des critères retenus, des pondérations et des notes, des écarts assez
conséquent peuvent apparaître.
La matrice ADL :
Présentation du modèle :
Risque sectoriel.
Maturité de
l’activité / Position
88 ENCG -Settat
concurrentielle
La stratégie
Faibles
Faible Réorientation. besoins de
Défavorable
rentabilité. liquidités.
Intérêt du modèle :
Ce modèle est un bon instrument lorsqu’il s’agit évaluer la
compétitivité d’une entreprise, avec toutefois des critères qualitatifs,
tant pour la position concurrentielle que pour la maturité.
Limites du modèle :
Le modèle ADL affine le modèle BCG, sans aller jusqu’à
l’extrême volatilité de la matrice McKinsey. Cependant sa principale
faille réside dans la notion de maturité de l’activité et ses quatre
phrase précisément délimitées. En effet, ce concept n’a pas valeur
d’universalité, et il es à manier avec précautions :
90 ENCG -Settat
La stratégie
F réciproquement, une activité nouvelle peut voir sa
dynamique de croissance foudroyée par une innovation inattendue.
91 ENCG -Settat
La stratégie
Il est évident que l’analyse stratégique s’est transformée avec
le temps et que cette évolution historique offre au dirigeant
stratège de nombreuses options pour l’organisation de sa
démarche . A. Ch. Martinet montre, par exemple, que cette
analyse , initialement technico-économique, s’est complétée par
l’intégration progressive de deux dimensions supplémentaires : la
prise en compte de la firme comme organisation sociale et la
reconnaissance de celle-ci en tant que système politique. Sans
remettre en question ces élargissements tout à fait essentiels , un
recentrage de la réflexion est essentiel sur le modèle de décision.
92 ENCG -Settat
La stratégie
A la différence de ce qui se passe dans la case 1, il y a non
concordance entre la volonté de modification des moyens et les buts
ou objectifs généraux fixés à court terme.
Planification centrée
sur les buts
Faible Cohérence
Pilotage Statique
Objectifs 1 4
généraux
Faible Faible Planification centrée
Ressources Ressources sur les ressources
actuelles potentielles
93 ENCG -Settat
La stratégie
Stratégies
Economiques
possibles
Stratégie
arrêtée
94 ENCG -Settat
La stratégie
Cette méthode est , en fait , celle qui avait été proposée avant
même que n’apparaissent les matrices d’analyse stratégique : elle
date donc de la période du « Long Range Planning » , c'est-à-dire au
début de l’analyse stratégique de l’entreprise. Elle a été
perfectionnée , par la suite, lorsque le concepts de domaine
d’activité stratégique a été développé : on l’a applique alors à
l’étude des décisions à prendre en matière de Business Strategy,
c'est-à-dire , au niveau des différents domaines d’activité
stratégiques exploités par l’entreprise.
Facteurs internes
Opportunités
-O
- FO fo
-
Menaces :
-M FM fM
-
-
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La stratégie
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La stratégie
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La stratégie
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