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1. Je renvoie une fois pour toutes à l'excellent article Orpheus publié par
M. Gruppe dans le Lexikon der Mythologie de Roscher. On y trouvera l'indica-
tion de tous les textes relatifs à Orphée.
2. Paus., IX, 30, 5 : Etat 8s ot ça<7i xspauvwôlvxi utto toO 0eou <TU(jLor)vat xrçv
teXsux*iv 'Opçsî • xepavva>6rjvat 8è avxbv xwv Xóywv svexa wv è8é8a<rxev ev xoîç (juxto)-
ûiotç ou îcpoTspov àxYpcoóxaç ávôpcóuou;. Cf. Diog. Laert., Prooem,, 5.
3. Paus., IX, 30, 6 ; vo[w'Çovxa 8è oí êirstiôai xîjç Eupu8(xv)ç trçv xai ajxap-
xóvxa, wç eíceffrpáçYj, auxó"/eipa avxòv í>7cò auxoO Yevéorôau
4. Stfab., VII, 18 (éd. Didot, p. 276) : 'EvxaOÔot xòv 'Op^la 8iaxpï<]>ai qpotcrt xòv
Kixova, avSpa yôvjxa arcò tiovtyixrj; ã^a xa' jxavxtxrj;..., eîx' y¡8yj xai [asiÇovwv áÇiouvxa
iauxòv xa' ô'x^ov xa' 8t3vafji.iv xaxaffxeuaÇófJievov • xoùç fièv o5v êxouexíto; airoSlxe^ai,
xtvàç 8' uTtoSojjivou;, ImêouXvjv xa' ßtav líiiauffxávxa; SiaçOeïpai aùxóv. Il V a un
parallélisme frappant entre cette légende et celle de Pythagore, qui n'en paraît
pas plus digne de créance et dont la forme primitive nous est inconnue.
5. Eschyle-Didot, p. 179 et les references citees par Uruppe* op ¿ p. 1165,
42.
II
III
IV
Il est inutile de multiplier les preuves, car les textes sur Dio-
nysos tauromorphe, tant dans la littérature que dans l'art, ont
déjà souvent été réunis ' Mais en ce qui touche le meurtre de
Dionysos Zagreus par les Titans, Nonnus, dépositaire de très
anciennes traditions, nous dit qu'il fut mis en pièces sous la
1. Eurip. Bacch.y 765 : IláXiv ô' e^wpouv o6ev ¿xívY)<rav TcóSa | xpiqvaç Ití auTaç,
a; avyjx1 auxaï; 6eòç • | vtyavto S' atfjiá, (TTayóva 8' ex itapyjcScav | yXtoaaYj Spáxovxèç
i^eçaífipuvov
2. Cf. Rev. archéol., 1901, II, p. 202.
3. Arnobe, Adv. gentes , V, 19.
4. Ce dernier mot signifie évidemment dévorer (< cruentatis oribus)s et non pas
disperser.
5. Ihéodoret, Hist . Ecclés., V, 21, 226.
6. Le sacrifice des chiens appartient au culte d Hecate (Porphyr. De abstin.
III, 17; IV, 16; cf¿ Rob. Smith, Religion der Semiten , p. 220)¿
VI
1. Dans la première édition du livrjB Religion of the Semites > qu*il vaut mieux
citer aujourd'hui, comme nous le faisons, d'après la traduction allemande (revue
et complétée) de R. Stübe (Fribourg, Leipzig et Tubingen, 1899)*
VII
1. Martial, III, 24. Voir d'autres textes ap. Praaer, Golden Bough, t. II»,
p. 167, n. 1.
2. Pausanias, II, 13, 6.
3. Voir l'article Dionysos dans le Lexikon de Roscher, p. 1059 et sq. ; Revue
des Études grecques, 1890, p. 356.
4. Pollux, IV, 14 : áaxuptxí) èo9r|c veëpU a'tyrj xat Tpayîj. - Hesychius : Tpa-
■pt?Äpoi al xópai Aiovúuip òpyiáÇouaat Tpayyjv évr¡7tT0vr0.
1. Sur les vases peints à figures noires dn plus ancien style, les suivants de
Dionysos sont des hommes-chevaux (Silènes ou Satyres) et non des hommes-
boucs (Pans). Mais les vases peints du vie siècle sont des témoins relative-
ment récents. D'ailleurs, dans le Prométhée Ilupxaeuç d'Eschyle, lorsqu'un^ allait Sa-
tyre voulait s'approcher du feu et le toucher, Prométhée l'avertissait qu il allait
brûler sa barbe de bouc. Cf. Plut. De cap . ex inim . utilitate . p. 86, F : too 8è
Saxupou to nOp àç icptoTOv òíçôyj ßouXojisvou çiXïjffai xa' 7ueptêaXs?v, o IIpojAYjOeyç •
Tpáyoç yévstov oipa Trevô^ds i ç <ru ye. Eustathe (p. 415, 7) commente ainsi
ce vers : Tpáys, rcávu oTeprjaTr) yevecou, el ty|V cpXóya çtXyjffeiç. Eschyle avait donc
conservé le souvenir d'une époque où les choreutes étaient figurés comme des
xpáyoi. Je ne comprends pas que miss Harrison trouve quite conceivable qu'il y
ait là une simple plaisanterie, for fun (Classical Review , 1902, p. 332).
2. On sait par Hérodote que les « soutîrances » d'Adraste etaieni egaiemein
célébrées à Sicyone par des chœurs tragiques. V, 67 : Tá ts Sri aXXa o^Sixuœ-
vtot £Tc'(JLeov Tov "ASpYjfftov, xal ÔYI TTpoç Ta Tbà0£a auxoO Tpayixoîai x°P0Ï(7'; Myatpov,
TÒv (lèv Aióvuerov ou tiplsovtsç, tòv 8s "ASpyjdTOv. KXetffôévYj; 8e ^opou; tw Ato-
<x7te8ü)x£, ty)v ôè aXXyjv ôvíjÍyjv t£> MeXavíitrca).
VIII
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1. Plut.. Ouaest. rom.. 112 ; cf. Gruppe, Handbuch der Mvthol. , p. 734.
2. Sur le secret gardé au sujet de l'essence de l'eucharistie, en présence des
catéchumènes, voir Batiffol, Études d'histoire et de théologie positive, Paris,
Lecoffre (1902), p. 27 et suiv.
3. Frazer, Golden Bough , t. II8, p. 304 sq.
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1. Par ex. Paus., IX, 30, 4 : ó 5è 'Opçeùç Ifiot Soxeïv vrapeêáXeTO eirwv xóffpia)
tovç rapò aÙToO xa' èir' (liya yjXôsv i<t^voç, o*a 7ri<rrsuó(Aevoç eupvjxévat xeXexaç ôe&v
xa' £pywv avo g'uùv xaOappiouç vó<7o>v ts támara xat xporcàç [XYjvifJiáTcov ôeéwv.