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Les 40 Règles de Base de L'orthographe
Les 40 Règles de Base de L'orthographe
40 règles de base
de l’orthographe »
« 40 règles orthographiques permettent d’écrire sans faute 80 à 85 %
de n’importe quel texte journalistique ou littéraire courant ».
Voilà une affirmation qui promet, c’est le moins que l’on puisse dire !
Elle n’est pas de moi.
Elle est de Léonard Massaranti, enseignant suisse qui l’énonce en
2003, après 45 ans d’enseignement.
Et, dans un document au titre tout aussi prometteur, « Parcours sans
faute », il a effectivement publié ses 40 règles.
Cette recherche d’efficacité m’a séduit. Aussi, j’ai décidé de remettre
le tout « au goût du jour ». J’ai regroupé certaines règles, et j’en ai
introduit d’autres. Et j’ai réécrit l’ensemble en m’efforçant de
m’éloigner d’un style « grammairien » pour aller vers quelque chose
de plus léger, de plus souriant.
Gros travail ! C’est ce travail que je vous offre, aujourd’hui.
C’est une première approche que je crois très utile.
Elle permet de découvrir ces 40 règles, et d’en comprendre leurs
applications au travers de très nombreux exemples.
Mais il est possible, j’en suis certain, d’aller au-delà…
J’ai créé le « Blog Orthographique », et, entre autres choses, on y
trouve 75 fables et 25 chansons, 100 petites histoires en rimes et en
rythmes qui mettent en scène l’orthographe, et permettent de s’en
souvenir avec un sourire.
Après les 40 règles de base, vous trouverez donc la liste complète de
mes fables et chansons, avec, pour chacune, un lien vers sa page de
présentation dans le blog. Et ces pages vous proposent, pour
chacune, une vidéo d’extraits.
Et vous découvrirez que, sans doute, travailler sans même s’en rendre
compte, avec sourires et bonne humeur, c’est très efficace !
Amusez-vous bien !
JV Voyer
JV Voyer
Les 40 règles…
Quelque, quelques…
Là nous passons à un adjectif, désigné comme étant « indéfini »,
c’est-à-dire pas précis du tout !
Il n’a pas exactement le même sens selon qu’il est au singulier ou au
pluriel.
S’il signifie très exactement, très précisément, « un quelconque parmi
d’autres non définis », alors, il est au singulier !
Les bateaux ont toujours le risque de couler suite à quelque
tempête.
Il s’agit d’une tempête quelconque, dont on ne connaît ni le lieu ni le
moment ni la force.
Il mange quelque gâteau.
Il s’agit d’un gâteau quelconque, pris au hasard, et à propos duquel on
ne sait rien.
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : “Sur la plage”
Fable : “Hé, ho, grenouille” !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « Les épices »
Fable : « Avec un toit »
Les accents invisibles
On entend “é”, on entend “è”, et pourtant, on
écrit “e” !
Quel accent choisir ? Un accent invisible ? Et oui… Il existe bel et bien
des accents que l’on entend, mais que l’on ne voit pas. Comme quoi,
pour améliorer son orthographe, il faut avoir de l’oreille, quelquefois !
Comme le dit très justement la fable orthographique :
« On entend bel et bien les beaux accents qui sonnent,,
et voici « è » et « é » sans accent, quelle histoire ! »
Quel accent choisir ? Essayons d’y comprendre quelque chose… et,
sans peur, allons affronter les « quand… », les « si », les « avant »,
bref, entrons dans les règles bizarres et les exceptions tortillées… tout
ce que j’aime !
Avant… avant un « x »…
Encore une petite chose : s’il est avant un « x », il ne porte aucun
accent, même si on l’entend ! À l’examen il n’a donné que des
réponses exactes !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « Quelle histoire ! ».
Sans auxiliaire…
D’abord, comme ils disent, le participe passé employé sans auxiliaire
s’accorde comme un adjectif. En clair, s’il n’est accompagné d’aucun
de ses deux copains, être et avoir, il se comporte comme un adjectif :
il s’accorde ! :
Des cultures bien irriguées.
Les bi-pronominaux…
Comme leur nom l’indique (oui, oui !) les verbes bi-pronominaux ont
deux pronoms, pouvant être précédés de me, te, se. Pour ce qui est
de l’accord du participe passé, ils ont des règles… bizarres !
1- Leur participe passé s’accorde avec le sujet… mais seulement
s’il n’y a pas d’objet direct.
Ils se sont livrés à la police.
Exception agaçante N°1 : : le participe passé est et reste invariable
avec le verbe « se rendre compte de » Elles se sont rendu compte
de leur erreur.
Exception agaçante N°2 : Est invariable le participe passé des
verbes bi-pronominaux, dont le deuxième pronom de conjugaison
correspond à un complément introduit par ‘à’. C’est comme ça ! (plaire
à, succéder à, sourire à…). Ils se sont succédé à la direction de la
ville.
2- Le participe passé des verbes bi-pronominaux s’accorde avec
l’objet direct mais… mais…si celui-ci est placé avant. Il est
invariable s’il est placé après !
Les mains qu’ils se sont lavées.
Ils se sont lavé les mains.
Ci-joint…
Ah, « ci-joint », avec ses compères « ci-inclus », et « ci-annexé »…
Pour faire simple, on va dire que, pour ces participes, il y a accord, ou
pas, selon leur place dans la phrase par rapport au nom.
« Ci-joint ma note d’honoraires ». « Ma note d’honoraires ci-jointe
».
Vous avez remarqué ? Dans le premier cas, il est avant ce qui est
joint, et dans le second, il est après. Même chose pour « ci-inclus »,
par exemple :
« ci-inclus la note de frais », « la note de frais ci-incluses.
Cette place par rapport au nom joue également avec certains
participes passés comme, entre autres, attendu, excepté, supposé,
entendu, compris…
Excepté les élèves qui n’ont pas fini leurs devoirs, vous pouvez
sortir.
Vous pouvez sortir, les élèves qui n’ont pas fini leurs devoirs
exceptés.
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson :« Prenons la route »
Fable : “Photo, diplômes et bananes”.
Fable : « Pépés diaboliques »
Ou, avec ou sans accent ? Même,
avec ou sans -s ?
Où, ou, même, mêmes… Allez, deux règles en un seul article ! Je les
rassemble parce qu’elles ne sont ni longues ni complexes, ce qui ne
les empêchent pas, quand même, d’être sources de fautes
d’orthographe agaçantes !
Ou où…
Avec ou sans accent ? Là, les mots qui donnent la réponse, ce sont
“ou bien”, et ” à quel endroit”.
S’il est possible de remplacer le son “ou” par “ou bien”, pas d’accent !
Dessert ou café ? …ou bien café Viande ou poisson ? …ou bien
poisson. C’est à lui ou à moi ? …ou bien à moi.
S’il est possible de remplacer le son “ou” par “endroit”, “lieu”, accent !
Je pose cela où ? …à quel endroit. Je pose cela où, sur la table
ou sur le buffet ? …à quel endroit… ou bien…
Même, mêmes…
Invariable ou pas ?
S’il veut dire “semblable” ou “en personne”, c’est un adjectif, et,
comme tous les adjectifs, il s’accorde !
Vous vendez toujours les mêmes gâteaux… des gâteaux
semblables… que ta femme et toi faites vous-mêmes… vous
deux, en personne.
En dehors de cela, c’est un adverbe; et il est invariable.
Dans une heure, nous partirons, même si les nuages sont
menaçants. Vous chantez, même la nuit.
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « Tout, tout, tout, et puis c’est tout »
Et millier, et million ?
C’est comme « mille »… mais à l’envers ! C’est-à-dire qu’il s’accorde
tout simplement. S’il y en a un, il n’y a pas de “s”, mais s’il y en a
plusieurs, il y a un “s”. Du grand classique !
Un million, deux millions… un millier, deux milliers…
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « Le Rap des chiffres » !
Fable : “Les jolis Messieurs”
Choisir : a ou à, et ou est, on ou ont,
son ou sont
Des nids à fautes !
a ou à ? Avec ou sans accent ? On ou ont ? Avec ou sans « T » ?
Voici quelques-unes des hésitations qui font trembler la plume (…ou
les doigts au-dessus du clavier !)
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « Hahéonson ».
Les “trucs”…
D’abord, un premier truc bien connu, mettre au pluriel. « Demain, je
mangerai ». Au pluriel, cela donne « demain, nous mangerons ».
Bingo ! C’est le futur, et la terminaison est «ai»..
Ensuite, examinons « je mangerais bien si je n’étais pas si malade
». Au futur : « nous mangerions bien si nous n’étions pas si malades ».
Allez hop ! C’est le conditionnel et la terminaison est “ais” !
Maintenant, cela reste un peu compliqué, et je propose plus simple…
le conditionnel, c’est “si”, si le temps le permet, si je veux, si, si, si…
Et “si” ça commence par “si”… ça finit par “s” !
Normal, donc, de mettre un “s” en terminaison… j’irais, “s”, je
voudrais, “s”, je mangerais, “s”, et si j’ai faim, bien sûr !
C’est tout bête, comme “truc”, mais ça marche bien !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : “L’alouette” !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « la baleine et le cachalot »
Fable : « la mouche tsé-tsé ».
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « La, là, l’a, l’as ! »
Leur ou leurs ?
Quelques exemples concrets…
Comment leur dire cela ? Il faut vraiment qu’ils changent leurs
chaussettes, car le fait qu’elles soient tachées et déchirées nuit
gravement à leur image d’enfants sages qui entretiennent avec soin
leurs affaires, leurs vêtements, comme on ne cesse de leur
demander de le faire, ceci faisant partie de leur éducation.
Mais il faut avouer qu’ils n’en font qu’à leur tête, ne suivant que leurs
caprices et leurs envies, même s’il leur a été répété qu’il n’est pas
bon qu’ils cèdent simplement à leurs penchants, quitte à mettre en
péril leur avenir, ceci leur ayant été souligné très souvent.
Alors… si ce texte était une dictée, honnêtement, vous auriez fait
combien de fautes ?
Oh ? Tant que cela ?
Malheur…
Bien… les constats sont clairs, et le problème est bien posé.
Voici quelques vers de circonstance :
Quel grand malheur,
quel grand malheur,
que de confondre
“leur” et “leurs”
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « à la bonne heure » (extrait ci-dessus !)
Ce ou se ?
Ce piège-là, il se rencontre souvent !
Se…
il y a « se », et son petit frère « s’ » ». On le rencontre avec un verbe.
Il remplace « lui », « elle », « eux ». Et, si je peux conjuguer ((je me /
je m’, tu te / tu t’, il se / il s’), pas de doute : c’est lui !
Jean se sert une part de gâteau.
Je me sers, tu te sers, il se sert… Il sert à lui.
Jean s’attribue une part de gâteau.
Je m’attribue, tu t’attribues, il s’attribue… Il attribue à lui.
Les enfants se régalent avec le gâteau.
Je me régale, tu te régales… Ils régalent eux.
Ce…
là aussi, il y a « ce » et son petit frère « c’ ». Bien sûr, si on ne peut
pas conjuguer, c’est certain, c’est lui. Pour être encore plus sûr, on
vérifie si on peut mettre «-là », ou « ceci », ou « cela ». Oui ? Plus de
doute !
Sa fonction est de désigner, les choses, les gens, les lieux, etc.
ce chien… ce chien là
c’est mon chien… ceci est mon chien
C’est tout ?
Oui, c’est tout, ce n’était pas bien difficile, et ce n’était pas la peine de
se prendre la tête ni de se faire peur. Et pourtant, on se trompe
souvent avec ce petit piège qui ne se voit pas beaucoup !
Oui, c’est tout (ceci est), ce n’était (ceci n’était) pas bien difficile, et
ce n’était (cela n’était) pas la peine de se prendre la tête (de me
prendre, de te prendre) ni de se faire (de me faire, de te faire) peur. Et
pourtant, on se trompe (je me trompe, tu te trompes) souvent avec ce
petit piège (ce petit piège là) qui ne se voit (je me vois, tu te vois) pas
beaucoup !
…et qu’en ?
Lui, on le repère facilement : il est toujours suivi d’un verbe. Et le « en
» signifie « de cela ».
Qu’en penses-tu ? Que penses-tu de cela ?
Qu’en fait-on ? Que fait-on de cela ?
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « Cancan »
Les homophones de si… on s’y
met ?
Allez, on s’y met !
Si tu scies cet arbre-ci avec ta scie neuve, elle produira un son
perçant, proche d’un si. Il faut graisser la lame ! On s’y met ?
Cinq orthographes différentes !
Quelle scie !
En dehors de l’outil qui sert à scier (une scie avec laquelle je scie, tu
scies, il scie…!), on utilise aussi le mot scie dans un sens figuré : par
analogie, peut-être, avec le bruit régulier et répété des allers-retours
de la lame, on utilise aussi ce mot pour désigner une chanson plus ou
moins agaçante qui revient régulièrement sur les radios. « La dernière
chanson de… quelle scie ! ».
Scie…
Je ne reviens pas dessus : il s’agit de l’outil, et il s’agit du verbe qui
désigne l’action effectuée avec l’outil. Il scie avec sa scie neuve.
s’y
s’y
On l’emploie uniquement quand on peut conjuguer. Il remplace « là »
(il s’y rend, il se rend là), ou « cela » (il s’y emploie, il s’emploie à
cela).
-ci
Mis avant un mot, avec un tiret, il le désigne (cet arbre-ci, cet arbre
parmi les autres arbres). On peut considérer qu’il est à peu près
équivalent à -là (cet arbre-là).
si
Il indique une condition (je m’y rends si je veux, à condition que je
veuille). Il peut aussi signifier tellement (elle est si belle, tellement
belle. Il fait si froid, tellement froid).
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « Do, ré, mi, fa, sol, la, siiiiiiiiiiii ! »
“ueil”, évidemment !
C’est ce qu’il me dit en guise d’accueil, et avec orgueil ! Froid comme
un cercueil, dangereux comme un écueil, il est à lui seul le recueil
des attitudes peu sympathiques !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : “A l’œil”
Le pluriel des noms
…une java d’enfer !
Le pluriel des noms en … ? Au début, c’est tout simple… pour
marquer le pluriel, on ajoute un « S » et puis voilà tout. Une maison,
des maisons. Une robe, des robes. Un nuage, des nuages. Tout va
bien !
Mais pour se distinguer un peu, il y a les mots en… en eu, au, al, ail,
ou ! Quelle java !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « la Java plurielle”
Le pluriel des noms présente tant de règles qu’il fallait bien deux
articles ! : Voir aussi article N°25
Bonbons, et autres…
Évidemment, si « bonbon » fait exceptions, il va attirer avec lui le mot
« bonbonnière ». Néanmoins, ce n’est pas une raison pour
s’empiffrer de bonbons, jusqu’à se retrouver avec un embonpoint qui
prend des allures de bonbonne…
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chansons : « La chanson des bonbons »
Oui, mais…
Ah ! Voilà le fameux « oui, mais » !
Autrement dit, il y a des exceptions, comme toujours ! Alors, une liste
à apprendre, accompagnée d’un mal de tête ? On va essayer de faire
mieux… il s’agit de mots masculins, mais qui, contrairement aux
autres, se terminent par « oire ». Essayons d’en faire une phrase, pour
voir :
“Dans son laboratoire, véritable observatoire pour un auditoire
attentif, il dresse le répertoire des actions à mener sur ce territoire
lointain afin d’occasionner de nombreux déboires aux trafiquants
d’ivoire, et sans se perdre dans des explications accessoires. Ceci
fait, il invite chacun à se diriger vers le réfectoire afin d’aller déjeuner
!”
Et bien voilà, c’est plus facile comme ça !
D’ailleurs, vous le savez bien, c’est toujours plus facile avec un sourire
!
La maie de mémé
Une maie, on n’en fait plus ! Il s’agit d’un meuble utilitaire ancien,
ressemblant à une moitié de gros tonneau fermée par un couvercle
rabattant. Pour faire le pain, on y pétrissait la pâte.
Et puis, de brocanteurs en antiquaires, elle est devenue un joli meuble
décoratif rustique, dans laquelle, quelquefois, on met (allez, encore un
son mais !) des nappes ou des draps.
Bon appétit !
Mémé, qui a une si jolie maie, vous invite parfois à déjeuner, et elle
met un point d’honneur à nous servir des mets surprenants, et
toujours délicieux !
Et oui, il existe aussi le mot « met » qui désigne à la fois des éléments
comestibles (pour les connaisseurs, le foie est un met exceptionnel),
et des plats (à sa table, il était toujours servi des mets exceptionnels).
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « Mémé vient déjeuner ».
Les terminaisons des adjectifs et
participes passés
Terminaison des participes passés : quelle
orthographe ?
Alors là, c’est le grand bazar ! On y trouve de tout ! Un participe passé,
dans sa forme de base, masculin singulier, cela peut se terminer par
un « t », par un « s », par rien du tout, etc…. comment choisir sans
erreur ?
Parmi la multitude des règles d’orthographe, y en a-t-il une sur laquelle
on puisse s’appuyer ? Ah ! Apprendre l’orthographe dans ce chaos, ce
n’est pas simple !
Quoi que…
Le « truc » !
Oui, comme bien souvent, il y a un truc !
Je vous montre… prenons un adjectif facile, comme « blanc ». Il se
termine par un « C ». D’accord. Mais, si je ne le sais pas ? Après tout,
pourquoi pas un « T » ? Ou rien du tout, peut-être ? Il y a bien « plan
»… alors, pourquoi pas « blan » ?
Alors, vite, le « truc » !
Il est très simple : il suffit de mettre le participe passé ou l’adjectif
au féminin, et on entend la terminaison !
« Transport inclus », avec un « S » à la fin… évidemment, puisque
l’on dit « livraison incluse »
« Il est pris », oui, puisque « elle est prise » !
« Il est grand », avec un « D », évidemment, puisque « elle est
grande ».
Mais…
Bon… les terminaisons des adjectifs et participes passés, c’est vu !
Mais…
Mais, évidemment, comme toujours, il y a des exceptions, pour la
terminaison des participes passés comme pour celle des
adjectifs !
Et, une fois de plus, on se heurte la difficulté d’apprendre par cœur
une liste de mots !
Alors, petit clin d’œil, petit sourire, je vous ai mijoté une petite phrase
qui ne veut pas dire grand-chose, mais qui est plus facile à retenir :
« Certains le disaient grec, et d’autres pensaient qu’il était turc. Quoi
qu’il en soit, il était farouchement laïc dans tous ses discours publics
et ne considérait pas le sujet comme bénin. Malin, il avait aussi
remarqué que cette position faisait de lui un favori, du moins tant que
son groupe n’a pas été dissous. »
L’orthographe de peu
Peu, d’abord… Peu, c’est pas beaucoup ! Et on précise de quoi, avec
“de” ! Peu de… Peu de soleil, peu d’argent… Peu peut être suivi
d’un mot au pluriel : elle fait peu de sourires à la foule de ses
admirateurs : bien qu’il y en ait peu, sourires est quand même au
pluriel !
Peu est quelquefois précédé d’un déterminant : “un” peu de vin, “le”
peu de vin que j’ai bu… Mais bon, c’est toujours peu !
Enfin, il peut aussi être employé seul, sans “de” après, dans “un” ou
“le” avant, et, dans ce cas, il modifie souvent un verbe : je mange peu
!
Vous vous rendez-compte de tout ce qu’il y a à dire sur bien peu de
choses ! P-E-U, trois lettres ! Apprendre l’orthographe, comprendre
et retenir les règles d’orthographe, ce serait très peu simple, si
l’on n’y mettait pas un peu de sourires !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : “Juste un peu”
… sans mentir…
Sans signifie « pas de ». Une mandarine sans pépins : elle n’a pas de
pépins. Sans mentir signifie donc et qu’il n’y a pas de mensonge.
« Nulle pierre ne peut être polie sans friction, nul homme ne peut
parfaire son expérience sans épreuve » (Confucius)
… cent fois…
10 × 10, bien sûr ! Attention à l’accord… deux cents… cent deux…
deux cent trois…!
« La fête de la musique est une grande réussite, puisqu’elle
garantit trois cent soixante-quatre jours de silence par an
(Philippe Bouvard)
…nos sens…
Il paraît que nous en avons cinq !
Il paraît que nous en avons cinq !
« Parmi les cinq sens, la vue, L’ouïe, et l’odorat, connaissent
moins d’interdits que le toucher et le goût » (Léonard de Vinci)
…sens…
Peut aussi signifier la direction.
« Celui qui rame dans le sens du courant fait rire les crocodiles »
(proverbe africain)
…c’en…s’en…
Doubles pronoms.
C’est du bois ? Oui, c’en est (ceci est…).
C’est de l’encre ? Oui, il s’en est mis sur les doigts (il en a mis sur
ses…)
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : “La Java Plurielle” !
Sonore !
é ou è ? Dans un premier temps, penchons-nous sur le « é ».
On l’entend bien, il claque, on peut dire qu’il est sonore, dans son
genre !
Et bien, justement, il aime les syllabes sonores, c’est-à-dire celles que
l’on entend. Si je dis « périlleux », la syllabe « ri », on l’entend bien,
elle sonne, et donc, avant elle, un « é », qui sonne aussi ! Si je dis «
impérial », même chose : la syllabe « rial » est sonore, et donc
précédée du « é » sonore.
« Ce médecin habite au cinquième étage, mais ce n’est pas
l’effort qui le maintient mince, mais plutôt le manque d’appétit » :
on entend « de », « ta », « tit »… et les trois sont précédés du « é ».
Conclusion : devant une syllabe sonore, choisir l’accent aigu, choisir «
é ».
Petite observation au passage : dans notre phrase il y a le mot effort,
et il n’y a ni accent grave, ni accent aigu… hum… hum… Il n’a l’air de
rien, ce petit accent qui monte ou qui descend, mais le nombre de
fautes d’orthographe qu’il entraîne est impressionnant. Et, en plus,
parfois, tout simplement… il n’est plus là !
Voyons cela de plus près, mais toujours avec le sourire, bien sûr !
Muette !
Muette !
é ou è ? Maintenant, penchons-nous sur le « è », avec son bel accent
grave.
Il est beaucoup moins sonore que son copain, il est même assez
doux, assez discret, et on le voit bien avec des syllabes muettes.. Et
bien, c’est le cas !
Ce n’est pas sorcier ! Et ce n’est pas sorcière non plus… sorcière ?
On ne prononce pas sorcièreu ! La dernière syllabe est muette, d’où le
« è » qui le précède !
En sachant cela, vous n’êtes pas loin de devenir… célèbre ! Ce
dernier mot, vous ne l’avez pas prononcé célèbreu ! La dernière
syllabe est donc une ce syllabe muette, et « è » avant elle.
Pièges !
Attention, ce n’est pas parce que l’adjectif célèbre s’écrit avec un « è »
que le nom qui va avec en fait obligatoirement autant ! La célébrité.
Et oui, « é », puisqu’il est devant une consonne sonore : « bri ». On
retrouve de temps en temps ce cas de figure, auquel il convient d’être
vigilant !
Attention aussi à la place de la lettre !
Par exemple, on mettra un accent grave si le « e » est l’avant-dernière
lettre d’un mot qui se termine par un « s », même si ce « s » n’est pas
la marque du pluriel.
Ainsi, on va écrire « près », mais « des prés » : « il y a des prés près
de la ferme ». Jolies subtilités de la langue française !
Des exceptions ?
Il peut y avoir, quand même, une première série d’exceptions, formée
par des mots masculins en -eur, qui ont un féminins en -eure : un
mineure, une mineure ou un majeur, une majeure.
En dehors de cela, on trouve peu d’exceptions. Au point qu’il est
possible de les rassembler en une phrase, un peu bizarre, pour s’en
souvenir facilement :
Il y a une heure, un heurt s’est fait entendre dans la demeure, car la
cuisinière a jeté au sol le pot de babeurre, qu’un lui avait vendu
comme étant du beurre, ce qui était à la fois un leurre et une gageure
!
( Juste pour information, le babeurre est le “petit lait” que l’on recueille
quand on tourne le lait (dans une baratte !) pour obtenir du beurre.
Apprécié, entre autres, en Normandie. Prendre un peu de babeurre
glacé légèrement acide, en même temps qu’un peu de pomme de
terre écrasée, brûlante, légèrement sucrée, et vous obtenez un vrai
délice !)
Les exceptions.
Si nous entrons dans le langage savant, scientifique, ou spécialisé, on
trouvera de nombreuses exceptions à la règle énoncée ci-dessus.
Mais il n’est peut-être quand même pas capital de savoir écrire «
apicodental » ou « aphonisate », par exemple !
Le « Y » qui devient « I »
Ce sont les fameux verbes qui se terminent en « yer ». À toutes les
personnes du singulier, et à la troisième personne du pluriel, il y a un «
e » muet devant lequel le « y » se transforme magiquement en « i »
Ainsi le verbe envoyer : j’envoie, tu envoies, il envoie, nous
envoyons, vous envoyez, ils envoient.
Alors, en plus, il y a une bizarrerie dans la bizarrerie : les verbes en «
ayer » peuvent, au choix, suivre la règle ci-dessus, ou tout simplement
garder leur « y » ! Par exemple, le verbe payer, qui permet d’écrire, au
choix, je paye ou je paie !
Oui, au choix ! Les deux sont valables !
Voici donc une terminaison du présent à double choix !
Le « é » qui devient « è »
Si le verbe a un « é » à son avant-dernière syllabe (céder, par
exemple), il ne le garde qu’à la première et à la seconde personne du
pluriel. Pour tout le reste, le « é » devient « è ». : Je cède, tu cèdes, il
cède, nous cédons, vous cédez, ils cèdent.
Le « e » qui devient « è ».
Un peu suivant le même principe, un verbe qui a un « e » à son avant-
dernière syllabe (mener, par exemple) ne le garde qu’à la première et
à la seconde personne du pluriel. Pour tout le reste, le « e » devient «
è » : je mène, tu mènes, il mène, nous menons, vous menez, ils
mènent.
Terminaison du présent et prestidigitation !
Moudre le café ?
Bien sûr, il faut prendre un aiguille et du fil pour coudre cette
jupe, avant de moudre le café, et de peindre le plafond !
Absurde ? Pas certain, si cela fait retenir que moudre, coudre et
prendre, et les verbes en “indre”, sont irréguliers !
Prendre : je prends, tu prends, il prend, nous prenons, vous
prenez, ils prennent
Peindre : je peins, tu peins, il peint, nous peignons, vous peignez,
ils peignent
Le problème…
En fait, il s’agit du son -s, comme dans saucisson, et du son -z,
comme dans maison. Fat-il les écrire avec une lettre, ou deux ? Et
laquelle ou lesquelles ?
Le son -s
Clair, il faut toujours deux consonnes. Il peut y avoir deux “s”, comme
dans assassin ou hérisson. Il peut y avoir aussi un “s”, avec une autre
consonne : un pinson triste pense que l’hiver a assez duré !
Le son -z
C’est tout aussi clair : il ne faut qu’une consonne ! J’ose dire sans
hésitation, et sans nasiller, qu’il ne faut pas causer en faisant la
cuisine !
Bien entendu, il y a quelques exceptions, comme toujours ! A
l’horizon, on devine un gaz bizarre qui s’étale sur le gazon, en une
dizaine ou une douzaine d’endroits.
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les
articles
De tout un peu…
Parmi les mots qui prennent toujours un -s à la fin, il y a des noms,
mais il y a aussi des adjectifs… Voici un joyeux mélange sous forme
de petites phrases plus ou moins bizarres, plus ou moins biscornues,
ceci pour vous permettre de vous raccrocher à quelque chose… pour
mieux se souvenir, avec le sourire ! Allons-y… :
Il n’y a aucun rapport entre une brebis et un anchois, et ni l’un ni
l’autre ne peuvent prendre un autobus anglais même dans le cas où
leurs corps leur indiquent qu’ils sont proches du décès.
Son discours confus, et ses excès inclus, ont créé du gâchis et de
l’embarras, et ce héros a été considéré comme un intrus.
Les lilas fleurissent non loin du marais, au mois de mars, et il ne faut
pas les regarder avec mépris car ils vont orner le palais et en faire un
paradis.
Le poids du printemps accélère le pouls des gens depuis plusieurs
jours et active le processus des progrès qui semblent jaillir du puits.
À sa demande de rabais, j’ai opposé un refus, mais j’ai maintenant un
remords sans recours.
La souris qui vit dans un taudis sans tapis, sous le talus, crie au
secours, car elle craint de finir comme repas pour le rhinocéros.
Par ce temps frais, il faut se méfier du verglas, qui dépose un vernis
sur la route qui semblait recouverte, hier encore, d’un velours
confortable.
Au secours, crie la souris, je cours tout le temps, je parcours le
pays, et tout l’univers, de l’hiver au printemps, mais, néanmoins, je
ne trouve rien à manger, pas un petit pois, pas un radis, et je perds
toujours du poids !
L’excès de jeûne va entraîner mon décès, et le fait qu’un albatros qui
sent l’anchois vienne prononcer un discours devant mon corps ne
changera rien à mon cas
Encore ?
Les mots qui prennent toujours un -s à la fin il y en a d’autres !
Il n’y a pas que les mots cités dans ces petites phrases (farfelues !) qui
prennent toujours un -s à la fin tout en étant au singulier, bien sûr.
Pour en repérer encore je vous ai sélectionné deux sites.
Le premier classe les mots en adverbes, adjectifs, noms, etc…,
Le second nous apprend qu’il y en a 24 923 ! Mais bon, on ne parle
pas tous les jours d’athous, d’armets, d’arondes ou d”arcures… Ceci
dit, il est quand même utile de parcourir cette liste ! Bon courage !
Vingt et cent.
Accords de vingt, cent, et mille … Dans cet ensemble, vingt et cent
marchent ensembles !
Vingt, c’est vingt… cent, c’est cent… jusque-là, tout va bien !
Oui, mais ce petit paquet de cent, si on en prend deux, évidemment, il
devient pluriel, et, c’est logique, il prend un -s : deux cents.
Même chose et même chanson pour vingt : quatre-vingts !
Oui, mais, attention : cela ne fonctionne que si l’on prend des petits
paquets égaux, des petits paquets de vingt, ou des petits paquets de
cent. Dès que l’on ajoute quelque chose, cela ne fonctionne plus,
puisque ce n’est plus vraiment un pluriel, mais un pluriel… plus
quelque chose !
Deux cent un, deux cent deux, deux cent trois……
quatre-vingt-un, quatre-vingt-deux, quatre-vingt-trois !
Mille
Accords de vingt, cent, et mille … Passons à mille maintenant… on va
passer très vite, car c’est on ne peut plus simple : mille, c’est mille, et
c’est toujours mille, qu’il y ait une fois mille, ou deux fois mille… deux
mille… ou trois fois mille… trois mille… et ainsi de suite.
Bref, comme vous venez de le voir, mille est invariable, en toutes
circonstances !
Milliers et millions
Maintenant, on peut quand même vouloir absolument mettre un -s à
mille, pour donner un sentiment d’importance, de grand nombre… une
foule de deux mille personnes, sans même un petit -s, ce n’est pas
très impressionnant ! Alors, on va se rabattre sur « millier ».
Mille, c’est un chiffre précis. C’est 999 + 1 ! Millier, c’est un peu plus
flou. C’est environ mille, à-peu-près ! Alors là, on va se permettre de le
mettre au pluriel, et l’on va parler d’une foule de plusieurs milliers de
personnes, avec un beau -s à milliers.
C’est un peu plus flou que notre foule de deux mille personnes de tout
à l’heure, mais c’est quand même plus impressionnant !
En bref, millier s’accorde !
Et million… c’est la même chose ! Trois millions, quatre millions.
En bref, millier et million s’accordent !
Le piège !
Quatre-vingts, deux cents, on vient de le voir, dans ce cas, vingt et
cent s’accordent.
Dans ce cas ? Il y a un autre cas ? Oui !
Dans quatre-vingts, on parle d’un ensemble d’éléments différents : il y
a quatre-vingts bonbons, on peut les manger l’un après l’autre
Pour deux cent, même raisonnement : il y a deux cents fleurs, on peut
les cueillir une à une..
Oui mais Il peut arriver que ces nombres ne représentent pas un
ensemble d’éléments différents, mais un seul élément !
Oui, il s’agit d’un lieu, d’une place, ou d’une page, par exemple : ma
voiture est garée place quatre-vingt, ou bien j’ai lu ce livre jusqu’à la
page deux cent !
Il est beau, non, ce piège ?
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson :“Le rap des chiffres”
Fable “Les cerises”.
Doublez-les !
Ça, c’est la règle de base. Le féminin des adjectifs en -et et en -ot se
fait en -ette, et en -otte ! Doublez le -t, purement et simplement, et
vous aurez raison.
vous aurez raison.
Enfin… vous aurez généralement raison car, bien entendu il y a
toujours la fameuse règle selon laquelle il n’y a pas de règle sans
exceptions ! (Encore qu’il y ait quelques exceptions à cette règle !)
À rester ainsi muette devant cette règle, tu pourrais paraître
sotte.
C’est pourtant une règle claire et nette, que j’ai déjà appris à ta
sœur cadette !
Il est vrai que c’est une règle assez vieillotte, mais il n’y a pas de
quoi devenir toute pâlotte !
Mais…
Mais, nous l’avons dit, il y a quelques exceptions. En voici quelques-
unes dans une phrase un peu biscornue :
Il est vrai que la règle ne serait pas complète sans ses exceptions
qui, sans être ni secrètes, ni idiotes, maintiennent les étudiantes
inquiètes, même les plus concrètes ou les plus discrètes !
Pour résumer…
Pour résumer, le féminin des adjectifs en -et et -ot ne mérite pas que
l’on s’angoisse pour lui !
L’inquiétude très souvent ressentie n’est pas justifiée !
On respire, on se détend !
Quand il en faut…
Cédille obligatoire… Elle est obligatoire quand le -c est devant un -a (il
lança, il enfonça, une façade), devant un -o (garçon, malfaçon,
maçon, hameçon) ou devant un -u (déçu, aperçu, reçu)
Ce beau garçon est maçon, et il a reçu une commande de
réfection d’une façade pour un client qui ne supporte pas d’être
déçu en voyant une malfaçon.
En résumé…
Devant -y, -i, et -e, pas de cédille !
Devant -a, -o, et -u, cédille obligatoire !
Une petite histoire sans queue ni tête, pour finir ?
« Oui, j’ai reçu le maçon. Il m’a expliqué de quelle façon il allait s’y
prendre, sans pour autant chercher à me donner une leçon puis il a
perçu son acompte. Refaire la façade, c’est un gros chantier, mais ce
n’est quand même pas un travail de forçat ! Au départ, il faut passer
par des opérations de ponçage, et de rinçage, qui ne sont pas
simples ! Je surveille les opérations, car je deviendrais vite menaçant
en cas de malfaçons. Mais je dois reconnaître que j’ai demandé des
réalisations qui ne sont pas très simples, comme, par exemple, un
faïençage à la française autour des fenêtres. Finalement, Il est vrai
que je me suis fait des idées préconçues sur cet homme, en le
soupçonnant d’appliquer des prix trop élevés, puisque, à la fin du
chantier, il m’a remboursé spontanément ce qu’il considérait comme
un trop-perçu ! »
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Oui, mais…
Mais souvenez-vous quand même que le gazon s’étend jusqu’à
l’horizon !
Oui, car gazon et horizon sont les deux seules exceptions qui fassent
partie du langage courant ! Ce n’est pas trop difficile !
Plus cinq ?
Après ces deux-là, il y en a cinq autres, mais faut-il les citer ?
On y trouve le borazon, cristal artificiel, le bredzon, qui, comme
chacun sait, est une veste traditionnelle de l’armailli, berger des Alpes,
le recrotzon, fête villageoise qui suit le week-end de la bénichon, bien
sûr, le tranhorizon, un radar dont la portée va au-delà de l’horizon, et,
enfin, la dugazon qui désigne un rôle d’amoureuse, dans les opéras-
comiques.
Voilà !
Je les cite pour le sourire, mais il faut bien avouer qu’ils ne sont pas
simples à placer dans la conversation !
Oui, mais…
Oui, mais…
Ah ! Voilà le fameux « oui, mais » ! Autrement dit, il y a des
exceptions, comme toujours ! Alors, une liste à apprendre,
accompagnée d’un mal de tête ? On va essayer de faire mieux…
Essayons d’en faire une phrase, pour voir :
Ce polichinelle, un vrai rebelle, a mis un vermicelle dans le
violoncelle !
Apres, pour “chipoter”, on peut dire que certains mots en -el ont un
accent grave ( Pour la clientèle, il dessina avec zèle un modèle
parallèle !), et même un accent circonflexe ( Jamais on ne verra la
grêle tomber sur le poêle ! ), mais bon… C’est juste pour “chipoter” !
« On » ou « On n’ » ? On entend, ou
on n’entend pas ?
Cela n’a l’air de rien, cette petite subtilité bloque la plume en l’air, ou le
doigt au-dessus du clavier ! Alors, un « n apostrophe » ou pas ?
Pas de « n apostrophe »
Pas de « n apostrophe »
On entend le bruit du vent. On ira très bientôt. On ouvre la porte.
On allume la lumière.
Oui, d’accord, on a vraiment l’impression que la liaison entre le sujet «
on » et le verbe (qui commence par une voyelle) se matérialise par un
« n apostrophe ».
Et bien non !
Comment en être certain ?
Il suffit de mettre le verbe à une autre personne et, pouf; l’impression
disparaît.
Nous entendons le bruit du vent. Nous irons très bientôt. Nous
ouvrons la porte. Nous allumons la lumière.
On peut aussi changer le sujet:
Il entend le bruit du vent. Nous irons très bientôt. Vous ouvrez la
porte. Elle alluma la lumière.
Dans les deux cas, aucune négation ! Le «n apostrophe» fantôme qui
nous tourmentait à disparu !
Avec un «n apostrophe »
Mais, attention, ce n’est pas une raison pour l’oublier carrément quand
il devrait être là !
Quand doit-il être là ?
Et bien, tout simplement, quand il fait partie d’un ensemble indiquant
une négation, ou une restriction (ne…pas, ne…peu, ne…jamais, ne…
guère, ne…plus…).
On n’entend pas le bruit du vent. On n’ira jamais. On n’ouvre plus
cette porte. Nous n’allumons guère la lumière.
Petit conseil…
Je vous propose un petit conseil littéraire, qui aura le double mérite
d’améliorer la qualité de vos écrits, tout en supprimant totalement le
doute qui s’installe à propos de la présence, ou non, d’un « n
apostrophe » après « on ».
Ce conseil est simple : supprimez le « on » !
Comme son nom l’indique, « on » est indéfini, autrement dit flou,
vague…
Et quand celui qui écrit en abuse, il produit des textes qui, eux aussi,
risquent fort d’être flous, vagues…
Dans la plupart des cas, il est possible de le remplacer par le véritable
sujet…
Le promeneur entend le bruit du vent. Toute la famille ira très
bientôt chez le docteur. Le client ouvre la porte. Le guide allume
la lumière.
Évidemment, dans l’exemple ci-dessus, nous avons pris des sujets au
hasard. À vous d’indiquer celui que vous voulez précisément désigner,
pour le mettre à la place de ce « on » si peu précis !
Pas de règle ?
En fait, quand on regarde le nombre de terminaisons possibles pour
les mots finissant par le son -o , on se dit qu’il n’y a pas de règle
générale sur ce point. Et c’est vrai !
À partir de là, on peut se demander pourquoi consacrer un article à ce
sujet dans la série « 40 règles de base de l’orthographe », si l’on
indique, dès le départ, qu’il n’y a pas de règle. C’est vrai aussi !
indique, dès le départ, qu’il n’y a pas de règle. C’est vrai aussi !
Mais c’est un sujet qui entraîne tellement de fautes que cela vaut la
peine d’essayer d’y voir un peu clair, ne serait-ce que pour indiquer,
quand même, quelques pistes intéressantes…
Les mots finissant par le son -o constituent un ensemble confus,
opaque, diversifié, mais ce n’est pas une raison pour abandonner !
Armons-nous d’une boussole, d’une lampe torche, et de beaucoup de
patience, et allons-y !
Quelques pistes…
-eau
Déjà, pour commencer, on peut dire qu’un grand nombre de mots
finissant par le son -o se terminent par -eau. C’est le cas pour plus de
280 mots !
Un oiseau, perché sur un rameau chante au-dessus du ruisseau
sur lequel aucun radeau ne peut passer. Un taureau, un petit veau
et un perdreau viennent y boire.
Dans cette série, on trouve aussi des mots courants comme bandeau,
bateau, berceau, drapeau, écriteau, jumeau, maquereau, marteau,
panneau, réseau, terreau, troupeau…
-yau
Là, ce ne sont plus exactement des mots finissants par le son -o mais
par un son assez proche : « io ». Dans ce cas, pas d’hésitation, on
écrit « yau ». Il s’agit d’une petite catégorie, puisqu’il n’y en n’a que
huit !
Ce boyau est gros comme un tuyau. Ce joyau est gros comme un
noyau.
En voici déjà quatre, les plus courants !
-ot
Maintenant, une catégorie beaucoup plus importante, celle des mots
avec « ot » à la fin. Il y en a un peu moins de 300.
Comment les repérer ?
Il n’y a pas de règle absolue, mais une petite astuce (qui ne marche
pas à tous les coups !) consiste, soit à essayer de mettre le mot au
féminin (idiot, idiote… dévot, dévote… vieillot, vieillotte), soit à
vérifier s’il n’y a pas un verbe en « oter » qui irait avec le mot (asticot,
asticoter… bachot, bachoter… clapot, clapoter… complot,
comploter… massicot, massicoter… tricot, tricoter…), l’un
justifiant le « ot » de l’autre !
Mais cela n’explique pas tout ! D’où l’intérêt de se construire quelques
petites phrases pour mémoriser au mieux, même si ces phrases sont
un peu bizarres car, en réalité, plus elles sont biscornues et farfelues,
et plus on s’en souvient !
Le haricot, l’escargot, et l’abricot constituaient le plus clair de ses
productions, qu’il livrait par pleins cageots, en chariot, en dépit
des cahots, il n’hésitait pas non plus à prendre un canot pour
livrer aux matelots qui regardaient par les hublots du paquebot !
Quelques autres…
Bien sûr, il y a d’autres terminaisons, qui ne peuvent que demander
attention et mémoire…
Ce badaud au cœur d’artichaut fonce au galop sous le préau car
il a vu un crapaud qui voulait faire un saut sur son dos…
maintenant, il va prendre du repos en faisant cuire son repas sur
un réchaud, protégé par les murs au fort taux de chaux… Oh, oh !
Le sujet : rappel !
Nous sommes là à la base de la base ! Mais bon, il n’est pas inutile,
parfois, de rappeler ce que tout le monde sait, mais oublie de temps
en temps : le verbe s’accorde avec son sujet. Toujours. Et, pour le
trouver, voici la fameuse question « qui est-ce qui ? ».
1 + 1 égal 2
Ceci pour dire que deux sujets singuliers entraînent un verbe au
pluriel. C’est vrai aussi pour trois, quatre, ou plus !
Après « je ».
Après « je ».
Je vole, je vieillis, je mange, je cours…
Aucune question à se poser : après « je », le verbe se termine par un
« E » ou par un « S ». Rien d’autre ! C’est tout ! C’est comme ça !
(sauf, évidemment, pour les fameux verbes valoir, vouloir, pouvoir : je
vaux cher car si je veux, je peux !)
Après « tu ».
Tu voles, tu vieillis, tu manges, tu cours…
Encore moins de questions à se poser : après « tu », le verbe se
termine toujours par « S » (sauf, évidemment, de nouveau, pour les
fameux verbes valoir, vouloir, pouvoir : tu vaux cher car si tu veux, tu
peux !)
Après « il » ou « elle ».
Elle vole, il vieillit, elle mange, il court…
Il y a une lettre qui ne se trouve jamais à la fin d’un verbe à la
troisième personne suivant les sujets « il » ou « elle » (ou n’importe
quel sujet pouvant être remplacé par « il » ou « elle »), c’est « T »
(quelle que soit l’envie que l’on puisse avoir de le mettre,
quelquefois… !)
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique ».
Le « Blog Orthographique » propose une dizaine de chansons et de
fables concernant la conjugaison…
Vous en trouverez les présentations en suivant les liens ci-dessous.
Chanson. Les accords du participe passé.« Le tango des accordés
»…
Chanson. Confusion entre « é », ou « er ». « La valse hésitation »,
Chanson. Le participe passé. « Prenons la route »…
Fable. Trois exceptions aux accords du participe passé « Les pépés
diaboliques »…
Fable. Participes passés : terminaison déterminée « à l’oreille »
« Écoute un peu »…
Chanson. Confusion entre futur et conditionnel. « Alouette »…
Fable. Modification orthographique selon les temps. «Oyez, oyez »
Fable. Particularités de certains verbes. « J’attends ! »…
Fable. Le verbe pronominal. « Drôle d’animal ! »…
Fable. Choisir entre infinitif, impératif et participe passé. « Bon appétit
! »
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de
cet ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson :“La valse hésitation”
Chanson : “Le tango désaccordé”
Chanson : “Prenons la route”
Les 25 chansons
et les 75 fables orthographiques :
listes, sujets, liens.
Présentation générale
Chaque chanson et chaque fable concerne une règle d’orthographe,
soit 100 en tout..
Chaque chanson et chaque fable comprend :
– La chanson ou la fable elle-même, soutenue par une animation sur
fond musical.
– Un « karaoké orthographique ».
– Un résumé de la règle par un schéma synthétique en un écran.
– Une dictée spécifiquement écrite en fonction de la règle.
– Le corrigé de la dictée.
Liste des 75 fables orthographiques.
Vous trouverez ci-dessous la liste complète des 75 fables
orthographiques, traitant, en rimes et sourires, de 75 règles
d’orthographe.
Chaque ligne indique en quelques mots le sujet de la fable
concernée, et comprend son titre avec un lien vers sa page de
présentation dans le « Blog Orthographique ».
Cette page décrit la fable et son sujet, et propose une vidéo de
présentation sous forme d’extraits.
(Si votre liseuse ne permet pas la connexion Internet, voir ailleurs
https://www.blog-orthographique.fr , onglet « La boutique
orthographique » section « Les fables »)
« À l’œil » La différence entre « euil » et « ueil »
« à la bonne heure » Accord de leur : singulier ou pluriel
« abracadabra » Les consonnes doubles
« Aïe ». Les mots se terminant en ail
« Annie nie ». Les homophones de ni
« Aucuns soucis ». Accord de plus d’un… moins de… aucun…
« Avec ou sans ». a ou à ? Avec ou sans accent ?
« Avec un toit ». Notre ou nôtre, votre ou vôtre ?
« C’est bien entendu ? ». La négation.
« C’est comme ça ». Sa ou ça ?
« C’est pas juste ». Pluriel des mots en –ail.
« Cancan ». Quand, quant, qu’en ?
« Clac ! ». Une série de pièges orthographiques à éviter.
« Coa Coa ». Quoique ou quoi que ?
« Des points dans tous les coins ». La ponctuation.
« Do ré mi fa sol la siiiiiiiiii ». Les homophones de si.
« Drôle d’animal ». Le verbe pronominal.
« Drôles de gens ». Les accents graves, aigus ou circonflexes.
« Dudule le canard dodu ». De pas confondre du, dû, dus, due, etc…
« Ecoute un peu ». À l’oreille, terminaison du participe passé.
« Fleur et frimeur ». Terminaison des mots en –eur.
« Gentil toutou ». Choisir entre tout et tous, tout est là !
« Hé, ho, grenouille ! ». Accord de demi, nu, etc.…
« Hou, hou ! ». Choisir entre où et ou.
« J’attends ». Les verbes en -dre, pour comprendre et apprendre !
« Juste un peu ! ». Les homophones de peu.
« L’assassin est parmi nous ! ». Parmi ou parmis ?
« La baleine amoureuse ». Participe passé de faire et laisser.
« La baleine et le cachalot ». Les homophones de c’est et s’est.
« La brebis et la souris ». Les mots finissant par -s.
« La confiture ». Sans s’en faire, cent, sang, sans erreur !
« La mouche tsé-tsé ». Ne pas confondre c’est et s’est.
« La poule et le furet las ». Les homophones de la.
« La, là, l’a, l’as… ». Donnez le la !
« Le chemisier ». Tache ou tâche ?
« Le gâteau, le chien et le biquet ». Le féminin des noms.
« Le gâteau ». Sitôt, si tôt, aussitôt…
« Le lion déçu ». Peu, peux, peut…
« Le temps des cerises ». Les homophones de quand.
« Les biscuits ». Plein ou pleins ?
« Les cerises ». Le pluriel des nombres.
« Les éléphants roses ». Le pluriel des adjectifs.
« Les jolis messieurs ». Le pluriel des nombres.
« Les pépés diaboliques ». Accord du participe passé : exceptions
« Les petites fautes ». Série de fautes très courantes.
« Mémé vient déjeuner ». Les homophones de mais.
« Merci Papa ! ». La cédille.
« Mon garçon ». Terminaison des mots en-scion, -tion…
« Mon trésor ». Les homophones de hors.
« Na ! ». On a ou on n’a ?
« Non mais alors ! ». Les homophones de mes.
« Oui, mais non… ! ». 16 pièges concernant les homophones.
« Oyez, Oyez ! ». Terminaison des verbes en –oyer et –uyer.
« Par ceci, par cela… ». Singulier ou pluriel après par ?
« Parbleu ! ». Terminaison des mots en –i ou –u.
« Pauvres lutins… ». Quelquefois, quelque fois, qu’elles que… et
quelques autres !
« Photo, diplômes et bananes ». Accord de ci-joint.
« Pluto ». Plutôt, plus tôt ?
« Quand un… ». Le pluriel des mots composés.
« Quelle histoire ! ». Les sons –é et è… mais sans accent !
« Quelle jolie robe ! ». Quel, quelle, qu’elles, et tous les autres !
« Quoi, quoi, quoi ? ».Quoique, quoi que ?
« Rantanplan ». Les adverbes en -ment : un « m », ou deux ?
« Saucisson ». Les homophones de son.
« Savamment ». Les adverbes en –ment.
« Sens dessus dessous ». Les homophones de sens.
« Sur la plage ». Demi ou demie ?
« Tant qu’il y aura des poissons ». Les homophones de tant.
« Taratata ».Ta ou t’a, ton ou t’ont, sont ou son, mon ou m’ont…
« Thé dansant » . Les homophones de dans .
« Tu es puni ». Les homophones de ni.
« Tu m’aimes ! ». Les homophones de même.
« Va, petit bonhomme ». Les homophones de voix.
« Bon appétit ! ». Infinitif, impératif, ou participe passé ?
« Le ver vert va vers le verre ». Les homophones de ver.