RÉPUBLIQUE DU CAMEROUN INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE FOTSO

REPUBLIC OF CAMEROON
VICTOR DE BANDJOUN
Peace – Work - Fatherland
FOTSO VICTOR UNIVERSITY OF TECHNOLOGY
UNIVERSITÉ DE DSCHANG INSTITUTE
UNIVERSITY OF DSCHANG Scholae Thesaurus Département Génie Mécanique et Productique
Dschangensis Ibi Cordum
Department of Mechanical Engineering and Computed
BP 96, Dschang (Cameroun) – Tél. /Fax (237) 233 45 13 81
Integrated Manufacturing
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Examen de Système Electrique et Electronique Automobile

Durée : 2 heures / 11-2018
Parcours DUT Mecatronik Automobile, Semestre 3 (2018/2019)
Enseignant : M. KAMDEM Cyriaque

QUESTIONNAIRE

Première Partie : CIRCUIT DE CHARGE

(9pts)
I.1. Soit le schéma de la FIGURE 1 représentant les éléments d’une batterie accumulateur, compléter le
tableau ci-contre.
(1,5pt)

Rep Nom
1 BARE DE COUPLAGE
2 Borne positive
3 BORNE NEGATIVE
4 COUVERCLE
5 BAC EN PLASTIQUE
6 LISTEAU
7 GRILLE OU PLAQUE NEGATIVE

I.2. L’identification correct des bornes d’une batterie d’accumulateurs est une opération très importante ceci
pour éliminer les risques d’erreur lors de leur raccordement. Compléter le tableau d’identification ci-
dessous. (1,5pt)

Borne positive Moyens d’identification Borne négative

ROUGE Couleur NOIRE

+ signe -

PLUS GROSSE Grosseur des bornes MOIN GROSSE

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I.3a. Expliquez le comportement de ce circuit de charge dans les deux cas ci-dessous :

Les deux transistors utilisés sont : un transistor de commande (T1) et un transistor de

puissance (T2).
Deux cas de fonctionnement relève de ce régulateur.

1ère cas : la tension de la batterie est trop faible (1pt)

La diode zener ne peut pas laisser passer le courant car la tension au point A est trop faible (le seuil
de l’effet zener n’est pas atteint) le courant de la base du transistor T 1 est nul, il est donc bloqué. Au
point C1 la tension est suffisante pour alimenter la base de T 2 et le rendre passant ; l’excitation est
maximale et l’alternateur charge la batterie.

2ème cas : la tension de la batterie est trop forte (1pt)

L’effet zener sera atteint et la diode zener laissera passer le courant arrivé au point A. la base du
transistor T1 sera positive et il sera passant. La base du transistor T 2 sera reliée à la masse et il sera
bloqué ainsi l’excitation se coupe et l’alternateur ne charge plus la batterie. Le cycle recommence.

I.3b. Caractéristiques des altérateurs : sur une plaque signalétique d’un alternateur on lit
K1(L) 14V 25/55A (0,25ptx3=0,75)
K : diamètre extérieure du stator 1 : alternateur à rotor à griffes
G : 100-109 mm 2 : alternateur à pôles saillants
K : 120-129 mm 3 : alternateur à rotor à pièce conductrice
N : 130-139 mm
T : 170-199 mm

 L: sens de rotation à gauche ou

14V : tension d’alternateur

25A : courant mesuré à 1500 tr/min

55A : courant nominal mesuré à 6000 tr/min

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Deuxième Partie : CIRCUIT D’ECLAIRAGE ET DE SIGNALISATION
II.1. Dans le tableau ci-dessous, sont représentés certaines lampes utilisées en automobile.
Nommez- les, donnez leurs puissances et leurs circuits d’utilisation.  (0,25ptx15=3,75)
MODÈLE TYPE ET CONSOMMATION CIRCUIT
PUISSANCE SOUS 12 Volts D’UTILISATION
CODE EUROPÉEN 3,3 – 3,75A 2 fonctions:
40 W - 45 W FEUX DE ROUTE
FEUX DE
CROISEMENT

TYPE H4 CODE 4,5 - 5 A 2 fonctions:

EUROPÉEN FEUX DE ROUTE
55 W - 60 W FEUX DE
CROISEMENT

TYPE H2 4,5 A 1 fonction:

55 W PROJECTEURS et
ADDITIONNELS
- ANTI-
BROUILLARD -
LONGUE-PORTÉE
TYPE GRAISSEUR 0,41 A VEILLEUSE
5W (LANTERNES)
PLAQUES DE
POLICE

TYPE POIRETTE 1,75 A AVANT:

21 W - 5 W VEILLEUSE
CLIGNOTANT
ARRIÈRE:
VEILLEUSE STOP

II.2. Dans l’espace ci-dessous, expliquez à l’aide des schémas le fonctionnement d’un cycle
halogène : (0,5ptx3=1,5pt)
En se combinant aux En se combinant aux
Sous l’action de la chaleur halogènes I2, les particules halogènes I2, les particules
(température du filament), de tungstène (W) forment de tungstène (W) forment
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 le filament se vaporise en de l’iodure de tungstène. de l’iodure de tungstène.
fines particules de WI2 : W + I2 = WI2 WI2 : W + I2 = WI2
tungstène (W).

II.3. Citez dans les lignes qui suivent, les deux grands types de centrales clignotantes qui existent
tout en donnant ce qui les particularisent : (1pt)
____les centrale clignotante électrothermique

___les central clignotante électronique

II.4. Le schéma ci-dessous représente un automate clignotant à fil chauffant et relais. On vous
demande de donner son principe de fonctionnement :
Fig. Automate a fil chauffant et relais
Troisième Partie : CIRCUIT ALLUMAGE
III. Le schéma ci-dessous est celui d’un système d’allumage. Apres l’avoir nommé, expliquez son
principe de fonctionnement :
(1pt)
Lorsque le conducteur positionne I en G par exemple,
le courant de la batterie traverse simultanément le fil
chauffant 3, l’électro-aimant 2 les lampes clignotantes
gauche LCG et se ferme à la masse. Cependant, les
lampes ne brillent pas car le courant qui les traverse a
chuté dans 3 et est devenu trop faible. Le champ
magnétique produit par 2 est insuffisant pour établir
les contacts en C1 et C2. La traversée du courant dans
le fil le chauffe ; il s’allonge et ferme le contact en C1 ;
au même moment, le champ produit par 2 est suffisant
pour fermer le contact en C2 et renforcer la fermeture
en C1. Le fil chauffant est court-circuité et les lampes
LCG et la lampe témoin LT sont alimentées par un
courant donc la tension est suffisante pour les faire
briller. Le fil se refroidi et en se rétractant ouvre C1.la
lampe LCG s’éteint, Le champ magnétique devient
faible, C2 s’ouvre la LT s’éteint et le cycle recommence.
(5pts)
(2,5pts)

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 7
1

4 5

III.1. Après avoir donné les noms des éléments repérés sur le croquis ci-dessus, donnez leurs
différentes fonctions :

Re Nom (0,25ptx6) Fonction (0,5ptx6)

p
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 1 Batterie

2 Contacteur d’allumage

3 Bobine haute tension

4 Rupteur

5 Générateur d’impulsion

6 L’allumeur

7 Bougie d’allumage Transforme le courant HT en étincelle

III.2. Après avoir donné le nom de ce type d’allumage, expliquez son principe de fonctionnement :
(2pt)

Le stator et le rotor comportent autant de griffes qu'il y a de cylindres. Le rotor à griffes ( 6 ) est
entraîné en rotation par l'arbre de l'allumeur. Cette rotation provoque la variation d'entrefer entre le
rotor et le disque polaire (stator ) et donc une variation de flux magnétique dans les enroulements ( 8
) fixés sur le disque polaire. Cette variation de flux produit dans les enroulements une tension
induite Eg variable.

Quand les griffes du stator et du rotor sont face à face, la tension Eg est nulle (flux magnétique
maximal, variation de flux nulle). Ce point de tension nulle est le point de référence correspondant à
l'instant d’étincelle. _

III.3. Donnez les inconvénients du système d’allumage classique : (1pt)

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III.4. Donnez les avantages du système d’allumage électronique :  (1pt)

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