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L’épidémie de coronavirus s’est abattue sur l’Europe, il y a quelques semaines avec son
cortège de malades et de morts.
De nombreux cancéreux sont sous bleu de méthylène pour son action anti tumorale.
Nous avons interrogé une base de données de plus de 30 000 personnes pour la plupart sous
traitement métabolique (acide lipoique/hydroxycitrate) par le biais des sites internet suivants:
(https://guerir-du-cancer.fr/, https://www.helloasso.com/associations/association-l-espoir-
metabolique, https://www.youtube.com/results?search_query=guy+tenenbaum). De cette
cohorte informelle nous avons extrait un sous-groupe de 3000 personnes, dont plus de 500
dans le Grand- Est. Il s’agit de patients qui en sus du traitement métabolique ont pris du bleu
de Méthylène à la dose de 75 mg trois fois par jour. Ces patients ont été contactés par internet
(vidéo et e- mail). Nous avons eu une seule réponse quant à une possible contamination par le
Covid-19 (un syndrome grippal modéré). Les limites de ce type d’enquête rétrospective sont
évidentes. Mais cela suggère tout de même fortement que le bleu de méthylène puisse
protéger contre cette infection-là.
Le Bleu de Méthylène a été utilisé avec succès pour le traitement des chocs infectieux (8,9).
La toxicité du bleu de méthylène est faible. Ce médicament inscrit à la liste des médicaments
essentiels de l’OMS n’a que peu d’effets secondaires :
Le bleu de méthylène sous forme injectable fait partie des traitements de base dans les
services des urgences.
Dans le dictionnaire Vidal le seul effet secondaire noté pour la forme intra veineuse vendu par
la société pharmaceutique marseillaise Provepharm est : Son utilisation en chirurgie de la
parathyroïde (non indiquée) a induit des effets indésirables sur le système nerveux central,
lorsque l’administration était concomitante à celle de médicaments sérotoninergiques.
Une équipe française vient de publier très récemment une étude très encourageante montrant
que l’on pouvait lutter de manière efficace contre le virus SARS-Cov-2 en combinant un
médicament anti-paludisme, l’hydroxychloroquine (HCQ), et un antibiotique l’azithromycine
(figure 1).
L’antibiotique est juste là pour lutter contre une éventuelle surinfection bactérienne des
poumons qui ont été fortement affaiblis par l’attaque virale. Le médicament anti-paludisme
HCQ est quant-à-lui le principe actif dont le mécanisme d’action a été étudié [13].
Le bleu de méthylène (figure 3) est une molécule synthétisée pour la première fois en
1876 par le chimiste allemand Heinrich Caro, par oxydation du diméthyl-4-phenylène-
diamine par le chlorure ferrique en présence d’H2S. Sa structure chimique sera établie en
1884. En 1887, le pathologiste polonais Czeslaw Checinski, appliqua une combinaison de
bleu de méthylène et d’éosine sur des frottis sanguins et découvrit ainsi l’existence des
parasites Plasmodium malariae en forme de pâquerette et Plasmodium falciparum en forme
de faucille [14].
Suite à cette découverte, le médecin Paul Ehrlich (1854-1915) développa un mélange de bleu
de méthylène et de fuschsine pour distinguer entre les différents types de globules blancs. Il
constata alors que certains colorants pouvaient être des médicaments redoutablement efficaces
aptes à tuer de manière spécifique certains organismes tout en laissant d’autres tissus intacts.
C’est ainsi que le bleu de méthylène fut surnommé dès 1891, « le boulet magique » dans
la lutte contre la malaria, en remplacement de la quinine, substance naturelle dont la
production était très limitée. Puis ce fut le tour de la quinacrine en 1931, suivie de la
chloroquine en 1934 afin d’éviter la coloration bleue de la peau et du blanc de l’œil. Il existe
donc une filiation chimique et biologique évidente en le bleu de méthylène et la
chloroquine ou l’hydroxychloroquine. Le tableau 1, montre d’ailleurs un classement par
ordre d’efficacité de différents médicaments anti-malaria [15]. On voit que le bleu de
méthylène y figure en très bonne place.
https://patents.google.com/patent/US6346529B1/en?q=methylene+blue+virus+treatment&oq
=methylene+blue+virus+treatment. On notera aussi qu’une publication récente démontre que
les parasites responsables de la malaria peuvent aussi transmettre des virus à ARN [16], ce qui
vient renforcer l’idée que les médicaments anti-paludisme puissent être d’un précieux secours
dans la lutte contre les coronavirus qui font partie de la famille des virus à ARN. Le fait, que
le bleu de méthylène purifié soit plus actif que la chloroquine dans la lutte contre la
malaria, et ce avec beaucoup moins d’effets secondaires, démontre a priori tout l’intérêt
de tester cette molécule très peu onéreuse dans la lutte contre le COVID-19. Mais,
l’intérêt pour le bleu de méthylène se trouve aussi renforcé pour bien d’autres raisons.
i) Cette molécule est connue depuis 1876 et a donc été étudiée sous toutes les coutures au
niveau de ses propriétés acido-basiques ou oxydo-réductrices. La figure 4 montre ainsi toutes
les espèces chimiques susceptibles d’exister en solution aqueuse. Donc, lorsqu’on administre
du bleu de méthylène, ce n’est pas une molécule que l’on administre mais tout un ensemble de
molécules, ce qui explique l’extrême polyvalence de ce médicament, actif dans beaucoup de
pathologies allant de la microbiologie à la psychiatrie. Ainsi, le bleu de méthylène est actif
dans la thérapie de la méthémoglobinémie, du choc septique, de l’encéphalopathie et de
l’ischémie. Comme indiqué plus haut, le bleu de méthylène peut être considéré comme un
précurseur des agents anti-malaria comme la quinacrine et la chloroquine, des
antihistaminiques de type phénothiazine inhibiteur des récepteurs H1 sous forme de
prométhazine. C’est aussi la première drogue antipsychotique sous la forme de
chlorpromazine (lobotomie chimique) et il pourrait s’avérer être un médicament majeur dans
la lutte contre le cancer. Concernant plus particulièrement les infections virales, on notera que
bleu de méthylène lorsqu’il capte un électron forme un radical MB relativement stable
puisque susceptible d’être délocalisé sur plusieurs formes mésomères. Surtout ce radical
possède un pKa voisin de 9, ce qui le rend sur le plan acido-basique très proche de la
chloroquine. On devrait donc avoir la même inhibition de la fusion membranaire par
alcalinisation des endosomes qu’avec la chloroquine.
ii) Pour de faibles concentrations in vivo, le bleu de méthylène et sa forme leuco réduite et
incolore sont en équilibre. Par conséquent, le bleu de méthylène, en plus d’être l’ancêtre de
la chloroquine, forme un couple d’oxydo-réduction réversible qui peut servir de donneur
d’électrons artificiel à la chaine de transport des électrons présente dans les mitochondries
[19]. On rappelle ici que plusieurs protéines enchâssées dans la membrane interne des
mitochondries sont aptes à transférer des électrons et pomper des protons contre un gradient
de concentration dans l’espace intermembranaire (pour générer un gradient de protons
nécessaire à la synthèse d’ATP).
Ces complexes peuvent recevoir des électrons depuis des espèces réduites comme NADH ou
FADH2 pour les amener au dioxygène afin de le réduire, via des transporteurs CoQ
(complexes I, II et III) ou cytochromes-c (complexes III et IV). Le bleu de méthylène peut
donner ses électrons soit à CoQ, soit à Cyt-c, ce qui permet d’augmenter la l’activité du
complexe IV (figure 5). Le bleu de méthylène a aussi une action hormétique puisqu’à faible
dose il peut interagir directement avec le dioxygène et réduire la quantité de radicaux
superoxyde produits de manière secondaire par la phosphorylation oxydative et protéger ainsi
la mitochondrie de l’oxydation. Pour des doses plus élevées, il peut capter les électrons de la
chaîne respiratoire et ainsi réduire l’activité de ces complexes. Des études in vitro ont montré
que l’activité maximale du complexe IV était atteinte pour une dose de 0,5 µM de bleu de
méthylène, tandis qu’au-delà de 5 µM, l’activité du complexe IV commence à être inhibée et
ce d’autant plus que la concentration augmente. Des études in vivo sur des rats ont montré une
activité locomotrice maximale à une dose de 4 mg/kg tandis qu’aucun effet n’est observé en
dessous de 1 mg/kg ou au-dessus de 10 mg/kg. Enfin au-delà d’une dose de 50 mg/kg on
observe une diminution de l’activité locomotrice au lieu d’une activation.
iii) En plus d’être utile dans tous les cas d’insuffisance respiratoire, en forçant la réduction du
dioxygène en eau dans les mitochondries, le bleu de méthylène est aussi un agent facilitant
l’oxydation du NADPH avec formation d’eau oxygénée (figure 6).
Par cette génération d’eau oxygénée, le bleu de méthylène est aussi un agent modulateur du
système immunitaire, ce qui peut s’avérer très utile en cas d’emballement de ce dernier
comme on le voit avec les avalanches de cytokines chez les cas graves de COV-19.
iv) On sait enfin que le bleu de méthylène, pour des raisons qui restent encore à élucider, aide
à lutter contre le vieillissement cellulaire et les maladies neurodégénératives. Or, on a pu
constater que les enfants qui ont un organisme et un système nerveux en plein développement
semblent être des porteurs sains. On pourrait donc penser que les personnes deviennent
sensibles au SARS-CoV-2 dès que leur croissance corporelle ou neuronale ralentit de manière
conséquente, ce qui expliquerait que les enfants soient naturellement « immunisés ». Ici aussi,
le bleu de méthylène a probablement un rôle à jouer.
Pour toutes ces raisons, il semble impératif que la piste du bleu de méthylène soit
sérieusement étudiée dans la lutte contre l’épidémie de COVID-19, surtout afin d’éviter aux
personnes gravement atteintes, le passage par le respirateur artificiel, dont le nombre est
forcément très restreint sur le territoire en raison du coût et de la très haute technicité de
l’appareillage et les conséquences de fibrose pulmonaire séquellaire à moyen terme. Le bleu
de méthylène, lui ne coûte quasiment rien, n’est pas toxique à faible dose et possède comme
seul inconvénient de colorer en vert ou en bleu les urines des malades.
Critères d’inclusion
Critères d’exclusion
• Karnovsky inférieur à 70
• Prise de médicaments anti sérotoninergique
Voici une liste de descripteurs que nous suggérons pour le suivi d’un patient qui est en contact
avec l’hôpital,
Il s’agit de mesures pour la plupart faciles à faire qui donnent des informations indirectes sur
la charge virale du malade. Ces mesures n’incluent pas celle de la charge virale qui serait
certes pertinente mais il n’y pas à ce jour suffisamment de tests disponibles et l’on a donc
proposé des variables de substitution pour suivre l’évolution de la virulence de la maladie.
Variables signalétiques
• sexe
• âge
• tabagisme (nombre de cigarettes par jour)
• consommation d’alcool
• prise de thiazolidinediones (antidiabétiques)
• prise d’ibuprofène
• prise d’ inhibiteurs de ACE
• antécédents maladies du parenchyme pulmonaire et d’infarctus
• un indicateur auto renseigné par le patient quant à l’évolution de son état aux
différentes dates,
• la température au matin et soir
• la Tension Artérielle
• Dyspnée à quantifier si possible
• pH urinaire matin et soir
• État général selon échelle de Karnovsky
Références
1. Coulibaly, B., Zoungrana, A., Mockenhaupt, F. P., Schirmer, R. H., Klose, C.,
Mansmann, U., Müller, O. (2009). Strong gametocytocidal effect of methylene blue-
based combination therapy against falciparum malaria: a randomised controlled trial.
PloS one, 4(5).
2. DE ALMEIDA, A. O. (1938). Treatment of leprosy by oxygen under high pressure
associated with methylene blue.
3. Yang, S. H., Li, W., Sumien, N., Forster, M., Simpkins, J. W., & Liu, R. (2017).
Alternative mitochondrial electron transfer for the treatment of neurodegenerative
diseases and cancers: Methylene blue connects the dots. Progress in neurobiology,
157, 273-291.
4. Brent, J., Burkhart, K., Dargan, P., Hatten, B., Megarbane, B., Palmer, R., & White, J.
(Eds.). (2017). Critical care toxicology: diagnosis and management of the critically
poisoned patient.
5. Hanzlik, P. J. (4 February 1933). “Methylene Blue As Antidote for Cyanide
Poisoning”. 100 (5): 357.
6. Helfritz, F. A., Bojkova, D., Wanders, V., Kuklinski, N., Westhaus, S., von Horn, C.,
Swoboda, S. (2018). Methylene blue treatment of grafts during cold ischemia time
reduces the risk of hepatitis c virus transmission. The Journal of infectious diseases,
218(11), 1711-1721.
7. Friedman, L. I., Stromberg, R. R. (1993). Viral inactivation and reduction in cellular
blood products. Revue française de transfusion et d’hémobiologie, 36(1), 83-91.
8. Preiser, J. C., Lejeune, P., Roman, A., Carlier, E., De Backer, D., Leeman, M., … &
Vincent, J. L. (1995). Methylene blue administration in septic shock: a clinical
trial. Critical care medicine, 23(2), 259-264
9. Kanter, M., Sahin, S. H., Basaran, U. N., Ayvaz, S., Aksu, B., Erboga, M., & Colak,
A. (2015). The effect of methylene blue treatment on aspiration pneumonia. journal of
surgical research, 193(2), 909-919.
10. Kwok, E. S., & Howes, D. (2006). Use of methylene blue in sepsis: a systematic
review. Journal of intensive care medicine, 21(6), 359-363.
11. Ramsay, R. R., Dunford, C., & Gillman, P. K. (2007). Methylene blue and serotonin
toxicity: inhibition of monoamine oxidase A (MAO A) confirms a theoretical
prediction. British journal of pharmacology, 152(6), 946-951.
12. Gillman, P. K. (2006). Methylene blue implicated in potentially fatal serotonin
toxicity. Anaesthesia, 61(10), 1013-1014.
13. Liu et al., « Hydroxychloroquine, a less toxic derivative of chloroquine, is effective in
inhibiting SRAS-CoV-2 infection in vitro », Cell Discovery (2020), 6 : 16. DOI :
https://doi.org/10.1038/s41421-020-0156-0.
14. Krafts, E. Hempelmann, A. Skorska-Stania, « From methylene blue to chloroquine : a
breif review of the development of an antimalarial therapy ». Parasitol. Res. (2012)
111 : 1-6.
15. [3] B. Fall et al., « Plasmodium falciparum susceptibility to standard and potential
anti-malarial drugs in Dakar, Senegal, during the 2013-2014 malaria season »,
Malaria Journal (2015) 14 (60), 10.1186/s12936-015- 0589-3 . hal-01220028.
16. Charon., « Novel RNA viruses associated with Plasmodium vivax in human malaria
and Leucocytozoon parasites in avian disease », PLoS Pathog. (2019),
15(12) :e1008216, https://doi.org/10.1371/journal.ppat.1008216
17. Impert, A. Katafias, P. Kita, A. Mills, A. Pietkiewicz-Graczyk, G. Wrzeszcz,
« Kinetics and mechanism of a fast leuco-Methylene Blue oxidation by copper(II)–
halide species in acidic aqueous media », Dalton Trans. (2003) 348-353.
18. Contineanu, C. Bercu, I. Contineanu, A. Neacsu, « A chemical and photochemical
study of radical species formes in methylene blue acidic and basic aqueous solutions,
Analele Universităţii din Bucureşti – Chimie (serie nouă), (2009), vol 18 no. 2, 29 –
37.
19. K. Bruchey and F. Gonzalez-Lima, « Behavioral, Physiological and Biochemical
Hormetic Responses to the Autoxidizable Dye Methylene Blue », Am J Pharmacol
Toxicol. 2008 January 1; 3(1): 72–79.
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Chers tous, Une épidémie de Covid-19 frappe actuellement la France. Pouvez-vous nous dire
si il y a des malades sous Bleu de Méthylène qui ont développé l'infection et/ou un syndrome
grippal apparenté? Merci de votre réponse rapide, par mail appel@guerir-du-cancer.fr ou en
commentaire sur cet article. Laurent Schwartz
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Laurent Schwartz est dans un service d’urgence en Lorraine où la situation est extrêmement
chaotique Chers tous, Un premier sondage suggère que les patients sous traitement
métabolique/ bleu de méthylène n'ai pas rapporté de cas de Coronavirus. Pouvez vous nous
envoyer des informations... En particulier ceux qui sont dans le…
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Chers tous, Nous avons choisi de partager avec vous les résultats de nos hypothèses et les
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Guérir du Cancer
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31 mars 2020
28 mars 2020
40 commentaires
1. ALAIN BOISSON sur 1 avril 2020 à 8 h 03 min
Bonjour,je cherche sans succés pour le moment une pharmacie une pharmacie sur le
57 ou 54 qui produit du BM.Les réticences sont fortes.
Cordialement
Alain Boisson
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LAQUELLE?? IL Y EN A 10!!!
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Bonjour Laurent
Bravo et merci pour tant de travail, tant de clarté, de soins utiles et non toxiques pour
les gens….
Suis disponiblle pour participer à l’étude, si elle est toujours en période d’inclusion.
Nous ne pouvons pas tester facilement nos patients mais cela devrait raidement
s’arranger.
Amitiés
Dr Geneviève Barbier-Farrachi
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Il est inutile de tester le PH urinaire quand on prend les gélules de BdM car les
languettes du papier testeur du PH seront imprégnées par la coloration bleue des urines
et il sera donc impossible de lire le résultat
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Merci
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Donc Daniel mon compagnon qui était avant sous bleu de méthylène sans aucun effet
secondaire contre son cancer et qui maintenant (à cause de l’immunothérapie) se
retrouve avec une maladie auto immune appelée myasthénie ne pourra plus prendre de
bleu ?
car : sont formellement interdits car ils peuvent induire une nouvelle crise grave de
myasthénie avec insuffisance respiratoire, la liste des médicaments suivant :
Contre-indications absolues :
• Aminosides, colimycine, polymyxine, telithromycine, cyclines
injectables, macrolides,
fluoroquinolones
• Quinines, quinidine, hydroxychloroquine, procaïnamide
• Béta-bloquants (même en collyre)
• Diphenyl-hydantoïne, trimethadione
• Dantrolène
• D-penicillamine
• Magnésium
donc je ne sais pas si le BDM entre dans une de ces variétés de médicaments…. mais
là en voyant sur un schéma de l’étude qu’il permet une augmentation de
l’acétylcholine et que de toutes les façons son dérivé la chloroquine est une contre
indication absolue dans la myasthénie, j’en déduis que…. mais je ne suis ni chimiste,
ni biologiste, bref je n’y connais rien donc s’il passe par ici un spécialiste en
neurologie qui connaisse cette pathologie et qui pourrait me renseigner ce serait
sympa.
grand merci d’avance
Bonne journée à tous en espérant vaincre un jour le cancer et cette saleté de virus !
Coco
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car : sont formellement interdits car ils peuvent induire une nouvelle crise grave de
myasthénie avec insuffisance respiratoire, la liste des médicaments suivant :
Contre-indications absolues :
• Aminosides, colimycine, polymyxine, telithromycine, cyclines
injectables, macrolides,
fluoroquinolones
• Quinines, quinidine, hydroxychloroquine, procaïnamide
• Béta-bloquants (même en collyre)
• Diphenyl-hydantoïne, trimethadione
• Dantrolène
• D-penicillamine
• Magnésium
donc je ne sais pas si le BDM entre dans une de ces variétés de médicaments…. mais
là en voyant sur un schéma de l’étude qu’il permet une augmentation de
l’acétylcholine et que de toutes les façons son dérivé la chloroquine est une contre
indication absolue dans la myasthénie, j’en déduis que…. mais je ne suis ni chimiste,
ni biologiste, bref je n’y connais rien donc s’il passe par ici un spécialiste en
neurologie qui connaisse cette pathologie et qui pourrait me renseigner ce serait
sympa.
grand merci d’avance
Bonne soirée à tous en espérant vaincre un jour le cancer et cette saleté de virus !
Coco
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Pour les gelules on peu facilement trouver sur internet : capsule machine
pour le bleu soit une pharmacie vous le vendra sur internet . Sinon :medecine
de guerre avec du bleu moins pur pour aquariophile il n’est pas pur mais on ne
mourra pas avec 10 gelules
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J’ai trouvé une pharmacie qui vous expédie : Pharmacie de Maubeuge à Paris,
58 rue de Maubeuge vous demandez Nuletha qui est au courant : vous
demandez des gélules de 75 mg le nombre que vous désirez (mais il faut rester
raisonnable).
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Bonjour, Si nous tombons malades du covid-19 (cas possible dans l’entourage, mais
refus de test par sos médecins) que faut-il faire pour entrer dans votre essai, sachant
que nous sommes dans un désert médical ? Impossible de se procurer du bleu de
méthylène (j’avais demandé pour un cancer). Quel antibiotique comparable à
l’azithromycine (action anti virale ) faudrait-il associer, sachant qu’on est allergique à
la josacyne et le Pr Raoult dit que c’est une contre indication ? Que faut-il faire ?
attendre d’être en réanimation sachant que l’on est asthmatique avec un cancer en
rémission ? Merci.
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Bonjour.
Merci pour cet article qui participe à diminuer l’entropie ambiante due au coronavirus.
Il est fait mention du récepteur récepteurs ACE2 (Angiotensin Converting Enzyme 2),
point d’entrée et d’ancrage cellulaire du SARS Cov2.
De mon coté, j’ai trouvé 2 publications basées sur cette stratégie thérapeutique de
blocage ou de modification par des principes actifs de plantes.
Tout d’abord, “Structural basis of SARS-CoV-2 3CLpro and anti-COVID-19 drug
discovery from medicinal plants”
(https://www.researchgate.net/publication/339282799_Structural_basis_of_SARS-
CoV-2_3CLpro_and_anti-COVID-19_drug_discovery_from_medicinal_plants). Dans
ce papier, il est mentionné une plante dénommée MYRICA CERIFERA. Elle est
disponible en remède homéopathique en basses dilutions comme 5 CH. Ceci est
important (produits dilués) car un microbiologiste de ma connaissance m’a indiqué
que bien souvent, un remède est plus actif (biodisponible) légèrement dilué.
Bonne lecture
Yann OLIVAUX
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Bravo! Pourriez-vous vous rapprocher du Dr Raoult pour induire des tests à l IHM ?
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Très instructif
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Bonjour,
Dans l’état d’urgence absolue dans laquelle nous sommes, il ne faut pas oublier
d’être stratégique
La situation n’est pas à prendre à la légère car au delà d’une crise sanitaire, il
s’agit également de contenir une crise économique dévastatrice du fait du
confinement généralisé
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Bonjour,
Depuis septembre 2017, je suis le traitement métabolique du Dr Schwartz – (acide
lipoïdique/hydroxycitrate + Naltrexone 4,5 + régime cétogène strict) – et je suis suivie
par le Dr Avetyan. Chimio légère, suivie d’une opération en avril 2018 – ablation du
lobe supérieur du poumon gauche, 3 côtes et un bout d’omoplate + qques ganglions -,
je me porte jusqu’à présent aussi bien que possible. Je n’ai jamais eu recours au bleu
de méthylène depuis l’âge adulte (dans mon enfance, tout mal de gorge était traité par
mon père par un badigeon de la gorge de bleu de méthylène – j’adorais ça, ma langue
bleue me ravissait).
Question : étant en rémission et vu la situation actuelle, dois-je envisager un traitement
préventif au bleu de méthylène ? Je n’ai apparemment aucun symptôme, mais j’ai
l’âge et des poumons (avec emphysèmes) qui font de moi une personne à haut risque.
Si oui, à qui puis-je m’adresser, sans encombrer des services surchargés ? Médecin de
ville ? Oncologue ?
Puis-je être utile dans vos tests ?
Cordialement
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Dans cer article du Dr Schwartz sur le bleu de méthylène,il y a une grosse erreur
quand il évoque le protocole du Pr Raoult :
“L’antibiotique est juste là pour lutter contre une éventuelle surinfection bactérienne
des poumons qui ont été fortement affaiblis par l’attaque virale.”
Non,le Pr Raoult explique qu’il prescrit de l’azithromycine parce que c’est un
antibiotique qui a une action sur les virus. Cela est d’ailleurs démontré par le
graphique au dessus de la phrase que j’ai recopiée : il indique le pourcentage de
patients avec une PCR positive suivant qu’ils sont sans traitement, avec
hydroxychloroquine seule ou avec hydroxychloroquine associée à l’azithromycine. On
voit donc que l’azithromycine a un effet sur la charge virale. Depuis que j’ai compris
cela je prescrit du Zithromax à tous les patients avec un syndrome viral (en attendant
de pouvoir prescrire l’hydroxychloroquine…).
J’espère que vous pourrez corriger cette erreur car elle jette un gros doute sur le reste
de l’article.
Docteur Corinne Tilloy,médecin généraliste.
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Bonsoir Dr Tilloy.
Les mesures effectuées en BEV récemment sur l’hydroxychloroquine et
l’azithromycine confirment vos propos sur le rôle prépondérant de cette
molécule dans l’association avec l’antipaludéen.
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Bonsoir.
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Je suis vos travaux depuis quelques années, votre approche sur le covid 19 me semble
cohérente,tout comme dans le traitement du cancer d’ailleurs(je ne suis pas médecin)
Je vais prendre ma petite part en diffusant au prés de mon cercle relationnel (médecins
compris)la publication ci dessus.
Je sais que les réfractaires seront nombreux(dû peut être à un certain formatage).
En tous cas, dans ces circonstances exceptionnelles, je pense que nous nous devons
d’avoir des réactions et actions exceptionnelles.
Courage et prenez soin de vous Alain Boisson
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