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PRÉSENTÉ PAR 

:
 Khilal Oumayma
 Kouatly Chaimae
 Raghib Oumaima

Encadré par :
Mr. Abderrahim Zaoua

La digitalisation
de la Supply
Chain
Table des Matières :

Introduction..........................................................................................................................................1
1. Définition de la digitalisation :.....................................................................................................2
2. Enjeux de la digitalisation............................................................................................................3
3. Industrie 4.0 et supply chain 4.0..................................................................................................3
4. L’automatisation/robotisation des opérations logistiques.........................................................5
5. La numérisation/digitalisation de la supply chain :...................................................................7
5.1. Internet des objets (IOT : Internet of Things) :....................................................................7
5.2. Intelligence Artificielle :............................................................................................................7
5.3. Blockchain :...............................................................................................................................8
6. Impact de la digitalisation sur la supply chain...........................................................................8
6.1. Accélération des flux............................................................................................................8
6.2. Traçabilité en temps réel......................................................................................................9
6.3. Dématérialisation des documents........................................................................................9
6.4. Un fonctionnement en réseau...............................................................................................9
CONCLUSION...................................................................................................................................10
BILBLIOGRAPHIE..........................................................................................................................11

Table des figures


Figure 1: les 4 révolutions industrielles..................................................................................................3
Figure 2: Drone DPD.............................................................................................................................6
Figure 3: Les exosquelettes....................................................................................................................6

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Introduction
A l’ère du numérique et du digital, le secteur de la logistique ne fuit pas lui aussi de cette
mode et doit faire confronter les enjeux de cette transformation digitale. Un sujet d’actualité et
dont les évolutions bouleverseront les organisations et leur fonctionnement, les business
model, les métiers et les modes de travail. Le monde des affaires est en train de vivre une
révolution profonde et les business models qui ne font pas de réaction ou d’intégration des
nouvelles technologies connaitront certainement des difficultés ou risque même de disparaitre,
à l’instar de la fameuse Kodak avec son appareil photo ou le groupe Uber des taxis. La
digitalisation n’est pas momentanée ou passagère, mais elle touche la chaine logistique dans
son ensemble et concerne tous ses niveaux.il est devenu comme un phénomène imposé, les
entreprises ont plus le choix si elles veulent toujours existés et être compétitives et
performantes.

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1. Définition de la digitalisation :
La digitalisation, terme très répandu ses derniers temps, elle touche la supply chain. Ce
phénomène a vu le jour au début des années 2000 avec la démocratisation d’internet. Cela
consiste à dématérialiser les supports, et exploiter facilement les données.

La digitalisation aide à collecter massivement les informations ce qui permet une amélioration
des services rendus et une proposition de nouveaux services soit aux clients internes et/ou
externes.

Elle est considérée comme un axe de différenciation clé puisqu’il améliore la compétitivité
des entreprises. Et ceux qui ne digitalisent pas leur supply chain connaissent un déficit de
compétitivité. La digitalisation reste un enjeu majeur pour toutes les entreprises puisqu’elle
intègre le client au cœur de la supply chain.

Le cabinet de conseil IDC met en évidence les tendances des quatre années à venir dans la
supply chain:

• d’ici fin 2021, 50 % des relations avec les fournisseurs seront gérées grâce aux solutions
intelligentes de gestion du cycle de vie des fournisseurs ;

• d’ici 2022, l’exécution des tâches répétitives seront automatiser, par les technologies
digitales .la qualité du service après-vente (sav) sera améliorée de 60 % ; grâce à l’intégration
des données qui émanent des applications de suivi du cycle de vie des produits dans la supply
chain de 40% des industriels.

• d’ici 2023, l’impact de la pénurie des compétences pour 75% des plus gros industriels sera
atténuer ; en utilisant des assistants supply chain digitaux.

• d’ici 2024, le tiers des industriels vont basculer vers les chiffres de la demande réelle et
délaisseront ainsi les prévisions à CT. Cela permet d’améliorer de 2 % l’OTIF (livraisons
complètes et à temps) ; plus que la moitiés des deux milles principaux industriels vont
recourir à des plateformes d’Intelligence Artificielle (IA) afin de booster la transformation
digitale au sein de leur supply chain,.

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2. Enjeux de la digitalisation

Tout d’abord elle permet aux entreprises d’être plus réactives et de mieux répondre aux
exigences et besoins des clients finaux. Car l’accès rapide et fluide à l’information constitue
un levier majeur qui permet un gain en compétitivité et une adaptation à la concurrence.
Deuxièmement elle apporte plus de services aux industriels et aussi aux consommateurs.
Troisièmement, les prises de décisions sont plus performante grâce aux big data et à
l’intelligence artificielle. Cela rend les industriels plus efficaces sur leur variation d’activité et
limite l’augmentation des coûts. Les outils numériques transversaux mises en place
permettront un décloisonnement des entités et l’adaptabilité et la réactivité des entreprises
seront mieux favorisés. Enfin, une digitalisation menée efficacement, constitue un axe
d’amélioration de la performance globale des entreprises. Elle aide à la génération des
opportunités d’amélioration du fonctionnement des organisations.

3. Industrie 4.0 et supply chain 4.0

L’industrie 4.0 renvoi à la 4éme révolution industrielle, démarquée par le développement du


monde numérique et digital. Rioux (1989) montre comment cette notion s’est principalement
diffusée sur l’évolution des techniques. Il évoque : « la première révolution industrielle, celle
du charbon et de la vapeur, succédé par une seconde, celle de l’électricité, du pétrole et du
moteur à explosion. Puis une troisième révolution industrielle, celle de l’énergie nucléaire et
de l’informatique.

Figure 1: les 4 révolutions industrielles

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Dans l’industrie 4.0, les produits, les acteurs, et les prestations, sont tous liées à travers des
réseaux de télécommunications, essentiellement Internet. La notion d’industrie 4.0 est né en
Allemagne. Elle est nommée autrement dans d’autres pays européens comme (smart factory)
ou bien (smart industry). L’industrie 4.0 favorise un environnement où les machines
communiquent entre elles afin d’automatiser des lignes de production, et permet aussi la
collecte, le traitement et l’analyse des données ce qui facilite la prise de décision adéquate
avec un minimum d’intervention humaine qui ne se dissocie d’une logistique elle aussi
digitalisée (logistique 4.0). Margaret Rouse, définit la supply chain digitale comme une chaîne
qui repose sur des technologies Internet. La plupart des chaînes logistiques amalgame les
processus sur papier et ceux informatisés. Une véritable chaîne logistique numérique ne suit
pas ce modèle hybride afin de tirer profit de la connectivité, de l’intégration des systèmes et
de l’ensemble des capacités de production d’informations de composants dites intelligents.
Dans l’industrie 4.0, la collaboration et les technologies innovantes sont misent en lumière,
cela permet la réduction des coûts, accoisement de flexibilité et la personnalisation de
produits. Selon l’étude réalisée par Cap Gemini, la digitalisation dans la chaîne logistique est
le fait d’utiliser des outils digitaux afin de réaliser efficacement les processus ou bien les
activités qui sont actuellement réalisés de façon manuelle, en outre ces outils seront utilisés
pour répondre au mieux aux exigences des clients. Pour renforcer ces perspectives, les
concepts utilisés sont ceux liés à la donnée comme le Big Data, la Blockchain, Internet of
Things (IoT) et Intelligence Artificielle (l’IA). Ces concepts s’associent à des moyens
mécanisés et à des technologies diverses tel que (les robots, les Véhicule à guidage
automatique AGV, les cobots, les drones, les exosquelettes, les imprimantes 3D …). Cette
étude, menée auprès de 1 000 entreprises autour du monde, affirme que pour la moitié des
répondants la digitalisation de la supply chain est une priorité de l’entreprise, quel que soit le
secteur (industrie, ou commerce de détail, ou produits de grande consommation). Toujours
selon cette étude, les technologies le plus souvent déployées sont L’Internet des objets (IoT),
et l’automatisation, suivies par l’Intelligence Artificielle et la Blockchain.

Les enjeux de la supply chain 4.0 :

La supply chain 4.0 demande aux entreprises :

• La concentration sur l’amélioration des marges. L’évolution des systèmes et des processus
doit permettre gestion meilleure en amont et aval, la relation fournisseur la politique
approvisionnement la gestion des stocks, l et des flux de transport sont tous optimisés.

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• La non suffisance de la traçabilité des produits, oblige les entreprises à intégrer de plus en
plus les conditions de fabrication, de vérifier pratiques éthiques et durables, jusqu’à une
livraison à temps et complète soit assurée ;

• L’explosion des SKU (Stock Keeping unit), articles personnalisés. Le client veut toujours
les plus grandes options à choisir ;

• L’amélioration des processus amont c’est à dire la gestion des commandes et des stocks) en
répondant aux nouveaux besoins ;

• Les approvisionnements agiles et les prévisions fiables permettront de redéfinir et la relation


avec les fournisseurs et la politique approvisionnement.

• L’exactitude dans les livraisons. En d’autres termes pouvoir livrer au client le produit voulu
dans la quantité voulue et au moment attendu montre une différenciation forte. C’est à travers
l’indicateur clé de la performance OTIF (On Time In Full)

• L’automatisation des entrepôts... Ces entrepôts 4.0 entièrement automatisés, permettent une
meilleure agilité, un contrôle accru des coûts et ainsi la satisfaction des clients finaux.

4. L’automatisation/robotisation des opérations logistiques

L’automatisation est un concept qui désigne l’exécution total ou partiel des tâches technique
en utilisant des machines et sans intervention humaine. En effet l’automatisation des
opérations logistique se présente dans l’utilisation des machines à emballer, à filmer, machine
à trier les colis… etc. Pourtant la robotisation est l’utilisation des robots qui substitut les
opérateurs humains afin d’accomplir des tâches industrielles. Cette technique offre des
solutions plus flexibles en interaction avec les opérateurs par rapport à l’automatisation.

Exemples des robots en logistique :

 Drone livreur de DPD :


La filiale de La Poste (DPD) est la première qui a annoncé en décembre 2016
l’ouverture d’une ligne commerciale, d’une quinzaine de kilomètres, desservie par
drone. Dans la même année Amazon a effectué une première livraison commerciale en
utilisant le drone. En fait, l’utilisation de drones a pour fonction la livraison des colis
mais également il peut se déplacer sous le contrôle d’un opérateur au sein de l’entrepôt
en utilisant une caméra embarquée, qui permet d’identifier et de capturer les données
d’inventaires, qui sont transmises au WMS.

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Figure 2: Drone DPD

 Les exosquelettes :
Les exosquelettes sont des structures mécaniques positionner sur l’opérateur et qui
transmet de l’énergie au corps de ce dernier afin de l’aider dans les efforts physiques
et/ou répétitifs par exemple quand il dépose des objets dans la préparation de
commandes et l’emballage.

Figure 3: Les exosquelettes

 L’impression 3D :
L’impression 3D est une technique de production qui utilise les pièces disponibles qui
permet de réduire le niveau des stocks également les coûts de stockage et
l’immobilisation financière sans toucher la satisfaction du client.

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5. La numérisation/digitalisation de la supply chain :

La digitalisation de la supply chain se fait en utilisant des nouvelles technologies à savoir


Internet des objets, Intelligence Artificielle, Blockchain… etc.

5.1. Internet des objets (IOT : Internet of Things) :

IOT est « un réseau qui permet via des systèmes d’identification électronique normalisés et
unifiés et des dispositifs mobiles sans fil, d’identifier directement et sans ambiguïté des entités
numériques et des objets physiques et ainsi pouvoir récupérer, stocker, transférer et traiter,
sans discontinuité entre les mondes physiques et virtuels, les données s’y rattachant » selon
Benghozi et al. (2008).

Autrement dit IOT s’agit est des objets équipés de capteurs qui interagir avec leurs
environnements identifiés, et qui transmettre et recevoir des données via un réseau de
télécommunication. Il s’agit également d’un serveur qui permet de stocker et analyser les
données.

Cette technologie permet au supply chain de :

 De piloter et optimiser en localisant les supports


 Maintenir les équipements industriels en collectant les informations
 De visualiser l’état réel du stock
 Contrôler la chaîne transport de bout en bout
 Localiser les produits et les palettes dans les entrepôts de grande taille
 Renforcer sa sécurité en utilisant les scellés connectés sur les conteneurs

En gros, L’IOT est un outil qui permet de réduire le temps entre la collecte des données et la
prise de décision afin d’adapter au changement et réagir plus rapidement.

5.2. Intelligence Artificielle :

Selon la CNIL désigne la notion intelligence artificielle est associé au « big data » qui veut
dire : « non seulement d’immenses quantités de données diverses mais également les
techniques qui permettent de les traiter, de les faire parler, d’y repérer des corrélations
inattendues, voire de leur conférer des capacités prédictives ».
En effet, l’intelligence artificielle s’agit de l’utilisation des technologies qui permet en
automatisant les taches d’optimiser les processus et la gestion de stock en réduisant la rupture
de stock et les gaspillages.

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5.3. Blockchain :

Blockchain « une technologie de stockage et de transmission d’informations, transparente,


sécurisée et fonctionnant sans organe central de contrôle » selon BLOCKCHAIN France.
Autrement dit, Blockchain est une base de données des différents transactions effectuées en
sorte de grand livre où chacun peut inscrire sa transaction donc les données stocker sont en
libre accès. Cette technique permet au supply chain :
 Sécuriser les échanges
 Augmenter la traçabilité
 Diminuer les couts par rapport aux formes de transaction traditionnelle

6. Impact de la digitalisation sur la supply chain

On peut définir la supply chain comme la gestion des flux circulant aussi bien dans
l’entreprise qu’entre l’entreprise et son environnement, allant de l’approvisionnement jusqu’à
la transaction financière, bien entendu en passant par plusieurs maillons : stockage, livraison,
information.

En d’autres termes, la supply chain gère l’ensemble des ressources, moyens, méthodes, outils
et techniques pour assurer en fin de processus la livraison du bon produit/service au
consommateur final.

A l'instar d'autres fonctions fortement impactées par la transformation digitale, la supply


chain, maillon essentiel de la chaîne de valeur des entreprises, a également été impactée par la
digitalisation. Il est vrai que la digitalisation a plusieurs enjeux en elle-même, mais dans le but
de rester rentables et compétitives, les entreprises n’ont pas d’autres solutions que la
digitalisation. Elles doivent en tirer le maximum des bénéfices en terme du service client,
qualité, dématérialisation, fluidification de l’information, traçabilité, accélération des flux
financiers, etc

6.1. Accélération des flux

Les délais de livraison et la qualité de produit, deux indicateurs qu’on peut les qualifier de
critiques pour qu’on puisse parler d’une bonne expérience client. Le consommateur
d’aujourd’hui ne tolère pas les retards ni de recevoir le produit non conforme à ce qui est
prévu et attendu ou au pire des cas, ne le jamais recevoir faute de mauvaise gestion des flux
d’information ou gestion de stock. D’où la digitalisation qui va permettre d’accélérer les flux

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soit d’information ou de marchandises pour pouvoir répondre aux attentes-consommateurs qui
deviennent de plus en plus exigeantes.

6.2. Traçabilité en temps réel

Fournisseurs, entrepôts, transporteurs, distributeurs, toute partie prenante doit être en mesure
de fournir l’information à l’ensemble des acteurs sur l’acheminement de la marchandise. La
traçabilité des marchandises doit s’envisager dans tout le processus de la supply chain de
manière à ce que le consommateur final ait l’information fiable sur la vie du produit jusqu’à
sa réception.

6.3. Dématérialisation des documents

Pour garantir la traçabilité, il est primordial, par la force des choses, de générer une quantité
exponentielle de documents. Ainsi, les risques de perdre des documents ou encore les risques
d’erreurs sont élevés. Pour remédier à ce problème, la digitalisation vient pour dématérialiser
plus de 80% de ces documents. De ce fait, la digitalisation permet de limiter les différents
dysfonctionnements probables, gagner du temps, avoir l’accès à l’information en temps réel
tout en garantissant la sécurité. Sans oublier l’apport de la dématérialisation en termes
d’archivage qui sera plus confortable.

6.4. Un fonctionnement en réseau

La digitalisation laisse les acteurs de la supply chain devant l’obligation de repenser leur
approche. Il n'est plus possible d’agir seul, et il n'est plus possible de penser que la clé du
succès réside dans la maîtrise de son périmètre d'action. Nous devons traiter la supply chain
comme un écosystème dans lequel tous les intermédiaires sont connectés les uns aux autres, et
chaque opération, chaque information et chaque donnée doit être partagée afin d’arriver à une
certaine performance du processus et, en fin de compte, de satisfaire le client final. Ouverture
à l'environnement et recherche de coopération sont les maîtres mots pour que les entreprises
de la supply chain mènent avec succès leur transformation digitale.

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CONCLUSION
Il découle de ce qui précède que la digitalisation aujourd’hui a touché plusieurs domaines,
dont la logistique et la supply chain ne fait pas l’exception.

Dans un premier temps, le digital avait essentiellement comme objectif de mettre


l’information à la disposition du consommateur final. Et c’est ensuite que la supply chain qu’a
pris conscience de l’intérêt et le profit qu’elle peut en tirer, surtout en matière de rendre
digitales, à l’égard des informations en relation avec le consommateur final, les opérations
transport et logistique.

De ce fait, la supply chain sera capable d’accélérer la mise à disposition d’informations qu’on
obtenait auparavant via les canaux traditionnels (téléphone…). Donc les entreprises seront
capables de traiter un grand nombre de données en temps réel qui seront directement mises à
disposition des différents collaborateurs qui en ont besoin où qu’ils se trouvent.

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BILBLIOGRAPHIE

 Supply Chain Management Author: Lyonnet, Barbara,Senkel, Marie-Pascale,Clamens,


Sylvie (scholar vox)
 Enjeux et impacts de la digitalisation sur la supply chain logismed :
https://logismed.ma/conference.php
 Gestion digitale de la chaîne logistique : Une vue d’ensemble (MOUNAIM
L’Houssaine)

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