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Pr J THIEBOT
Pôle Imagerie CHU ROUEN
I. GENERALITES
II. PHYSIOPATHOLOGIE
III. CLINIQUE
V. TECHNIQUES D'IMAGERIE
VII. EN PRATIQUE…
I. GENERALITES
II. PHYSIOPATHOLOGIE
III. CLINIQUE
Simple "coup" :
Ö Traumatismes fermés :
Ö Traumatismes chroniques :
Ö Traumatismes ouverts :
Ö Chez l'enfant :
b) L'examen TDM
Technique :
- Centrage ligne OM
- Filtre standard
Cet examen standard est fait sans injection de contraste (toutes les
lésions hémorragiques se voient spontanément sont hyperdenses)
Avantages :
- Rapide
- Disponible
- Sûr
- Sans injection
- Peu agressif
- Résultats immédiats
Bien qu'analysant mieux le tissu cérébral que le scan c'est rarement l'examen
utilisé en première intention (peu adapté à l'urgence)
Technique :
T2* écho de gradient = (TE long 20-30 ms) très sensible aux effets de
susceptibilité magnétique : Permet la mise en évidence de "pétéchies
hémorragiques"
Des études sont en cours sur l'apport des nouvelles techniques : diffusion,
tenseur de diffusion, spectroscopie.
Limites :
- Agitation du malade
e) L'artériographie
Au total : en imagerie,
¾ TRAUMATISMES FERMES
(2) Déplacement
(2) Déplacement
Son volume total est très important et l'effet de masse souvent énorme.
Il est souvent associé à des contusions sous jacentes.
Variantes :
mais
aggravé secondairement.
mais
c) Contusions cérébrales :
- Diffuses
Embarrure :
Bien vue sur les clichés standards tangentiels. Le scan précise l'importance
de l'enfoncement
Ö fenêtre osseuse
Ö clichés standards
Plaie crânio-cérébrale :
surinfection).
1 – dégâts osseux
Plaie balistique :
1 – Point d'entrée (fracture – embarrure –
plaie)
- chez les polytraumas, le scan permet le bilan de toutes les lésions cranio-
thoraco-abdominale, tissulaires, osseuses et vasculaires (aorte)
- les patients sont surveillés grâce au scan (rejeté les premiers jours).