Développent Historique du concept de l’atome

L3 Physique Fondamentale

Université de Bejaia – Faculté des Sciences Exactes – Département de Physique

2020-2021

Pr A. GHARBI (LPT) Physique Atomique 2020-2021 1 / 30

Introduction

L’atome est le constituant « ultime » de tout élément chimique présentant

les mêmes propriétés de cet élément. En e¤et, sur les environs 115 éléments
chimiques connus, chacun d’entre eux possède des propriétés physiques et
chimiques uniques directement lié à la structure de l’atome correspondant.
La branche de la physique qui traite de la structure des atomes, de leur
évolution dans le temps, de leurs interactions mutuelles ainsi de leurs com-
portements en présence de champs magnétique et électrique est la Physique
Atomique et qui fera l’objet de notre cours.

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Introduction

La physique atomique s’est développée en tant que discipline fondamentale

au début du 20ème siècle. De nos jours, elle est en outre une science es-
sentielle pour de nombreuses branches de la physique à savoir : la physique
moléculaire, la physique de l’état solide, la physique des lasers, la physique
des plasmas, l’astrophysique, la physique des plasmas, la physique médicale,
les réactions chimiques, l’électronique quantique, les technologies de com-
munications, etc.

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Introduction

Figure 1 : observations par microscope

à e¤et tunnel des Atomes de carbone
à la surface du graphite

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Introduction

Si l’on veut donner une description simple de ce qu’est un atome, on dira

qu’il est formé d’un noyau comprenant des protons et des neutrons au tour
du quel gravite des électrons avec une vitesse relativement élevée.
Le nombre de protons dans le noyau, noté Z , est dit nombre atomique et il
identi…e complètement l’élément chimique considéré, le nombre de neutrons
est noté N. La somme de Z et N nous donne le nombre de masse A et
on écrit A = Z + N. Chaque élément chimique possède des sous-espèces
dites Isotopes caractérisés par le même nombre atomique Z et di¤èrent
par le nombre de masse A, i.e. c’est le nombre de neutrons dans le noyau
qui change d’un isotope à un autres. A titre d’exemple l’Hydrogène dont
le symbole est H a plusieurs isotopes, stables et instable. Le plus répandu
dans la nature est le 1 H ayant une abondance de 99.98 % caractérisé par
Z = A = 1. Un autre isotope est le deutérium 2 H ayant Z = 1 et A = 2.
Un troisième isotope est le tritium avec Z = 1 et A = 3.

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Introduction

Un isotope d’un élément donné est représenté comme suit AZ X où X est

le symbole atomique de l’élément considéré. Par exemple, l’isotope stable
de l’oxygène 168 O, d’abondance de 99, 762%, est constitué de 8 protons, 8
neutrons et 8 électrons. En ce qui concerne la taille des atomes, on peut dire
qu’elle de l’ordre de 10 10 mètres tandis que celle du noyau, où se concentre
la quasi-totalité de la masse de l’atome, est de l’ordre 10 15 mètres.

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Chronologie historique des modèles atomiques

Dans ce qui suit nous allons présenter le développement du concept de

l’atome au …l des temps, partant de l’antiquité jusqu’aux temps modernes.

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Atomisme dans l’antiquité

L’idée que l’atome est le constituant élé-

mentaire de la matière remonte à l’époque
des philosophe grecs. Le plus célèbre d’entre
eux est Le philosophe Démocrite (460-362
avant JC) disciple de Leucippe.
Idée de Démocrite : Si l’on coupe en
deux un morceau de matière (le Fer par ex-
emple), on obtiendra alors deux morceaux de
la même matière (du Fer), et si l’on continu
à couper les morceaux encore et encore, le Figure 2 : Debat entre
résultat sera toujours des morceaux de Fer. Aristote et Democrite sur
Question : Ce processus peut-il continué la structure de la matiere
indé…niment ?

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Atomisme dans l’antiquité

Réponse de Démocrite : Non, ce processus devra se terminer lorsqu’on

aura atteint le plus petit morceau possible de fer et qui sera incassable !
Cet ultime morceau, Démocrite l’a appelé Atomos, qui veut dire en grec
indivisible.

Atomos = origine du mot atome.

Théorie Concurrente : D’autres philosophes Grecs dont les plus con-

nus avait une vision complètement di¤érente de la structure de la matière
Comme le célébrissime Aristote

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Atomisme dans l’antiquité

Théorie des quatre éléments (Aristote) :

La matière a un caractère continu (et non discret).
La matière est formée de quatre éléments essentiels qui sont le feu,
l’air, la terre et l’eau.
Au temps des grecs, trancher entre deux théories concurrentes se faisait par
débats, argumentations et rhétoriques. On ne faisait pas encore appel à
l’expérimentation (La méthode scienti…que actuelle).
La notoriété et l’in‡uence d’Aristote à l’époque ainsi que « la force de ces
arguments » ont pris le dessus sur la théorie atomiste de Démocrite. En
e¤et, la théorie des quatre éléments a gardé le statut « de l’ordre établit » ,
et surtout pour les Alchimistes, bien après le Moyen Age !

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Théorie Atomique de John Dalton (Angleterre 1803)

A…n d’expliquer les réactions Chimiques, Dalton a réintroduit le modèle

atomique de la matière.
Sa théorie repose sur les idées fondamentales suivante :
1 Toute matière est composée de minuscules particules indivisibles
(solides) dites atomes.
2 Les atomes d’un élément chimique sont identiques. Ils ont la même
mass, la même taille et les mêmes propriétés chimiques.
3 Un composé chimique (la molécule d’eau par exemple) est une
substance composée toujours des mêmes atomes avec les mêmes
proportions.
4 Les réactions chimiques sont une sorte de réarrangements des atomes
d’un ou plusieurs composés ou éléments pour former un ou plusieurs
nouveaux composés chimiques : O2 + 2H2 ! 2H2 O.

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Théorie Atomique de John Dalton (Angleterre 1803)
Dans sa théorie, Dalton consolide la loi des proportions dé…nies de Proust
et le principe de conservation de la masse de Lavoisier. Pour lui, l’atome
est indivisible et ne change pas d’identité lors des réactions chimiques

Figure 3 : Le maitre
d’ecole anglais John
Dalton (1766-1844)

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Le modèle « Plum pudding » de Thomson (1904)
Découverte de l’électron (1897) :
Un tube de Crookes ou Tube à rayonnements cathodiques est un tube à
décharge électriques, sous vide ou presque, où deux électrodes (anode et
cathode) sont placées aux extrémités du tube. Lorsque les électrodes sont
mises sous tension continue et au-delà d’un certain seuil, un rayonnement
cathodique est observé.

Figure 4: Tube de Crookes ou Tube

à rayonnements cathodiques

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Le modèle « Plum pudding » de Thomson (1904)
Le physicien britannique J. J. Thomson (1856–1940) s’intéressa dans son
expérience au comportement de ces rayonnement cathodiques en présence
d’un champ électrique ou d’un champ magnétique, en répétant l’expérience
pour di¤érent gazes dans le tube et di¤érents métaux pour les électrodes.

Figure 5: Le
physicien
britannique J.
J. Thomson

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Le modèle « Plum pudding » de Thomson (1904)
Il observe (Figure 4, 6 et 7) que lorsque les rayons cathodiques se déplacent
de la cathode vers l’anode, ils sont déviés vers l’électrode positive (+), ce
qui montre qu’ils sont chargés négativement. Cette déviation était propor-
tionnelle à la di¤érence de potentiel entre les plaques (électrodes) placées
parallèlement à la trajectoire initiale des rayons cathodiques. Aussi, la tra-
jectoire est déviée en présence d’un champ magnétique.

Figure 7:
deviation de la
trajectoire des
rayonnemnts
Figure: (6) Expérience de J.J. Thomson : cathodiques en
Découverte de l’électron moyennant un tube de presence d’un
Crookes
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Le modèle « Plum pudding » de Thomson (1904)
Thomson conclut alors que :
Les rayonnements cathodiques sont constitués de particules chargées négativement
Appelées électrons.

Il a pu calculer le rapport charge/masse de l’électron et il a trouvé la valeur

q
m = 1.7584 1011 C /Kg .
Il a pu monter que ces électrons étaient presque 2000 fois plus légers que l’atome
me
d’Hydrogène, i.e. m H
' 1/2000.
En Fait, J.J. Thompson vient juste de découvrir le premier composant de l’atome :
l’électron, une particule légère avec une charge électrique. Ainsi, contrairement à
la théorie de Dalton, l’atome n’est pas indivisible mais plutôt un système composé
formé de charge positives et négatives.

Résultats
Nécessité d’un nouveau modèle atomique qui va rendre compte de ces
nouvelles observations.
Après la découverte de la charge élémentaire par Millikan (1909) et qui a
pour valeur q = 1.6 10 19 C et en combinant avec le résultat de Thomson, la
masse de l’électron peut être évaluée a m = 9.11 1031 Kg .

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Le modèle « Plum pudding » de Thomson (1904)

Modèle atomique de Thomson (Plum Pudding Model)

Puisque Thomson n’a identi…é que des particules chargées négativement
(pas de particules positives), il propose alors en 1904 le modèle atomique
suivant :
L’atome est constitué d’une sphère de matière chargée positivement et uni-
formément répartie dans laquelle sont incrustées les électrons comme le
sont les prunes dans un Pudding (Figure 8 et 9) de sorte que la somme des
charges positives et négatives soit nulle.

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Le modèle « Plum pudding » de Thomson (1904)

Figure: (8) Gâteau Traditionnel Pudding aux Figure: (9) Modèle

prunes (Plum Puding) atomique de
Thomson

Ce modèle sera confronté à l’observation expérimentale Par Ernest

Rutherford en 1909.

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Le Modèle Planétaire de l’atome (1911)
Expériences de di¤usions de Rutherford (1909)
Dans le but de con…rmer le modèle atomique de Thomson, Geiger et
Marsden ont mené sous la Direction de Rutherford une série d’expériences
de di¤usion de particules α sur une mince feuille d’or (Figure 10).
Les particules α (ions He 2 + ) étaient massives et chargées avec une vitesse
de 1.53 107 m/s. La feuille d’or avait une épaisseur de 0.0004 mm
Selon le modèle de Thomson, Rutherford s’attendait à ce que les particules
α passent directement à travers la feuille d’or.

(10) L’exprience Rutherford-Geiger-Marsden

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Le Modèle Planétaire de l’atome (1911)
Les résultats de l’expériences étaient les suivants : la majorité des particules
passe sans être déviée, ou avec de petits angles de dé‡exion, à travers la
feuille d’or. Cependant, quelques-unes des particules sont déviées avec un
angle élevé et d’autres ont même rebondies vers l’arrière.
Ce dernier résultat ne peut en aucun cas être compris dans le cadre de du
modèle de Thomson comme l’explique ci-bien Rutherford dans sa fameuse
citation « C’était presque aussi incroyable que si vous tiriez un obus
de 15 pouces sur un morceau de papier de soie, et il rebondissait
pour vous frapper ! » .
Conclusion de l’expérience
La rétrodi¤usion devrait être le résultat d’une seule collision avec une
charge positive beaucoup plus massive que la particule α. Pour Rutherford,
la quasi-totalité de la masse ainsi que la charge positive de l’atome d’or
était concentrée dans une très petite région. Il l’a appelée le noyau.
Dans ce cas, le fait que la majorité des particules α ont traversé sans
déviation la feuille d’or indique que l’atome est presque vide
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Le Modèle Planétaire de l’atome (1911)

Rutherford propose alors le modèle planétaire de

l’atome (Plus au moins la vision moderne de
l’atome) :
L’atome est composé d’un noyau massif et posit-
ivement chargé autour duquel gravitent les élec-
trons comme gravitent les planètes autour du
soleil.
Figure: (11) Modèle
planétaire de Rutherford
Cependant, ce modèle sou¤re, selon les lois de la physique classique, de deux problèmes :
1-L’atome est instable.
2-L’atome rayonne de l’énergie sur une spectre continu de longueurs d’ondes (spectre
d’émission continu).
Car l’électron gravitant autour du noyau va rayonner en perdant de l’énergie continuelle-
ment, jusqu’à ce qu’il s’e¤ondre sur le noyau. Ce qui donne un atome instable ! Aussi,
en spectroscopie, il est bien établi que les spectres d’émission des atomes sont discrets,
i.e. ils sont formés d’un nombre discret de lignes spectrales (voir Figure 11 et 12).
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Spectre d’émission atomique

Lorsqu’un gaz (l’Hydrogène par exemple) à faible pression, placé dans un

tube à décharges, subit une décharge électrique, il émet alors un rayon-
nement. La séparation de ce rayonnement moyennant un prisme nous per-
met d’obtenir sur un écran un ensemble discret de raies (lignes) spectrales
lumineuses, à chacune est associée une longueur d’onde bien dé…nie. On
appelle l’ensemble de ces raies le spectre d’émission du gaz considéré.

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Spectre d’émission atomique

(12) Spectre d’mission de l’Hydrogène

(13) Spectres d’mission de : hydrogène, Hlium, Sodium,

Mercure
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Spectre d’émission atomique

L’étude des spectres émis par di¤érents types d’atomes montre que chaque
type d’atomes possède son propre spectre caractéristique (Figure 13).
Tout modèle atomique doit rendre compte de cette propriété.
A…n de surmonter ces insu¢ sances, Bohr proposa son fameux modèle pour
les atomes hydrogénoïdes.

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Modèle de Bohr (1913)
Le physicien Danois Niels Bohr propose un modèle semi-classique pour
décrire l’atome d’Hydrogène.
Dans sa théorie, il fait appel à trois idées : le modèle planétaire de Ruther-
ford, l’hypothèse quantique de Planck et le concept du Photon d’Einstein.
Partant des postulats suivants :

(14) Orbites stationnaires dans le

modèle de Bohr pour un atome
hydrognode
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Modèle de Bohr (1913)

1 A l’électron gravitant autour du noyau de l’atome d’hydrogène, seul

un ensemble discret d’orbites stables circulaires, appelées orbites
stationnaires, est permit. Les atomes ne peuvent exister que dans
certains états stables aux énergies dé…nies.
2 Le moment angulaire orbital de l’électron sur les orbites permises
(stationnaires) est un multiple entier de la constante de Planck h.
La règle d quanti…cation de Bohr s’écrit
L = mvr = n hn = 1, 2, 3, . . . ..
3 L’électron, sur une orbite stationnaire, ne rayonne pas. L’émission ou
l’absorption d’un photon est lieu lorsqu’un électron passe d’une orbite
permise à une autre.

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Modèle de Bohr (1913)

Le modèle de Bohr sera revu en détail dans le premier chapitre.

Le résultat spectaculaire du modèle de Bohr est la quanti…cation de l’énergie
de l’électron. Ce qui a permis de prédire avec précision le spectre d’émission
de l’atome d’hydrogène (Figure 13). Cependant, ce modèle reste inappro-
prié pour rendre compte des propriétés des atomes à plusieurs électron, à
prédire la structure …ne et hyper…ne des raies spectrales, à expliquer l’e¤et
Zeeman et l’e¤et Starck, etc. Cela est due au fait que Bohr utilise dans la
construction de sa théorie des concepts classiques tels que la trajectoire et le
principe fondamental de la dynamique. En fait, pour rendre compte des pro-
priétés des systèmes microscopiques tels les atomes, on est dans l’obligation
de faire appel à un modèle quantique basé sur les principes de la mécanique
quantique, sur la résolution de l’équation de Schrödinger

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Modèle quantique de L’atome (1926)

Le modèle quantique de l’atome repose essentiellement sur l’étude de

l’équation de Schrödinger décrivant le système atomique considéré. La
résolution de cette équation conduit à un spectre d’énergie quanti…é (dis-
cret) auquel est associé un ensemble de fonctions d’ondes propres décrivant
la probabilité de présence de l’électron dans une région d’espace donnée.
La dualité onde-corpuscule impose un comportement « ondulatoire » aux
électrons et le principe d’incertitude de Heisenberg requiert d’abandonner la
notion de trajectoire (orbite) pour les électrons.

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Modèle quantique de L’atome (1926)

Ainsi un atome est vu comme un noyau atomique de charge positive en-

touré de « nuages » électroniques qui sont des formes complexes d’orbitales
décrivant un certain volume spatial où il probable de trouver les élec-
trons. Les électrons ainsi que les orbitales associées sont décrites par quatre
nombres dit nombres quantiques :
Le nombre quantique principal n.
Le nombre quantique orbital l.
Le nombre quantique magnétique ml .
Le nombre quantique de spin ms .
Dans la suite de ce cours, nous allons considérer le traitement quantique de
l’atome d’hydrogène ainsi que les atomes à plusieurs électrons.

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 Modèle quantique de L’atome (1926)

Figure: (15) description quantique d’atome noyau

entouré d’un nuage électronique Figure: (16) Orbitales atomiques

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Références des …gures
1

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/76/Graphite_ambient_S
280px-Graphite_ambient_STM.jpg
2 http://i.calameoassets.com/140922221311-
5291c19fd786f42a97d67ee18fd9d78c/large.jpg
3 https://en.wikipedia.org/wiki/John_Dalton
4 http://physicsopenlab.org/wp-
content/uploads/2017/04/IMG_20170413_205337-768x461.jpg
5 https://en.wikipedia.org/wiki/File:J.J_Thomson.jpg
6 https://saylordotorg.github.io/text_general-chemistry-principles-patterns-and-
applications-v1.0
/section_05/e8a8b70bcf44592f012b972d23cde518.jpg
7 https://saylordotorg.github.io/text_general-chemistry-principles-patterns-and-
applications-v1.0
/section_05/7f494fbdcf4b8451293bf244e6a4c09f.jpg
8 https://saylordotorg.github.io/text_general-chemistry-principles-patterns-and-
applications-v1.0
/section_05/e8a8b70bcf44592f012b972d23cde518.jpg
Pr A. GHARBI (LPT) Physique Atomique 2020-2021 30 / 30
9 https://saylordotorg.github.io/text_general-chemistry-principles-patterns-and-
applications-v1.0
/section_05/d41b33cc1e9467db4e0ee8aedbbd7335.jpg
10 https://cdn.britannica.com/s:700x500/76/22476-050-3F3FF217/model-Diagram-
Rutherford-atom
-nucleus-space-electrons.jpg
11 https://saylordotorg.github.io/text_general-chemistry-principles-patterns-and-
applications-v1.0/
section_05/d41b33cc1e9467db4e0ee8aedbbd7335.jpg
12 https://saylordotorg.github.io/text_general-chemistry-principles-patterns-and-
applications-v1.0/
section_05/d41b33cc1e9467db4e0ee8aedbbd7335.jpg
13 https://www.studypage.in/images/chem/physical/hydrogen-spectrum.png
14 https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/93/
Bohr_atom_model.svg/220px-Bohr atom_model.svg.png
15 https://encrypted-
tbn0.gstatic.com/images?q=tbn%3AANd9GcSjuFkAPMMmveKU6CDL4ZTErn
XkZ9jmW1n7fExT-kKLTH1Pi_i&usqp=CAU
16

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/e7/Hydrogen_Density
Plots.png/330px-Hydrogen_Density_Plots.png

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