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Ga 203)AR2.
Certi cat diagnostic descriptif du syndrome d'Ehlers-Danlos
des douleurs articulaires, de localisations multiples (cou, bassin, épaules, poignets, hanches, genoux chevilles)
souvent Itenses, évoluant par crises sur un fond continu, aggravées de façon durable, parfois décalée, par
lactivité physique;
(2}une fatigue intense, avec des rises imprévisibles, présente dès le réveil, avec sensations de pesanteur du
cagps et accès de somnolences, souvent considérée comme le symptôme le plus handicapant ;
(3-des troubles du, contrôle de la motricité d'origine proprioceptive, avec maladresses, heurts dobstacles
Fsigne dela porte"), déviation de la marche, chutes;
4-une instabilité articulaire responsable de pseudo entorses, de blocages articulaires, de subluxations (incluant
Jes craquements articulaires) ou de luxations.
5-une peau ne, transparente (douce au toucher, pâle, laissant voir le réseau veinex sous cutané), ne
protégeant pas contre lélectrostatisme ce qui entraine des sensations de décharges électriques au contact
d'objets métalliques, une portière de voiture par exemple ("signe de la portière").
6-une hypermobilité articulaire. Test de Belghton : 19, hypermobilité de l'épaule avec une bascule de
Homoplate au delà des 90* d'abduction passive (test de Cypel) : OUI NON.
7-des rétractions des muscles postérieu's des membres inférieurs échisseurs des genoux (manceuvre de
Lasègue, imitée à 45 degrés ou plus), souvent dès lenfance, associée à cele des triceps et échisseurs de la
plante du pied. Ceci contrastant avec I'étirabilité importante des muscles antérieurs des membres inférieurs,
objectivée par la positivité de la manceuvre talon-fesse, en décubitus ventral. Ces rétractions font perdre un point
au test de Beighton du fait de l'impossibilité de mettre les mains à plat sur le sol janbes tendues;
8- des hémorragies cutanées (ecchymoses), survenant pour des traumatismes minimes, souvent passés
inagerçus;
fgdes vertiges, par hypersensorialité vestibutaire, survenant aux changements de position de la tête,
omprometant l'équilbrepostural.
La présence de dnq de ces 9 signes (ici-9)suf t pour poser le diagnostic d'Ehiers-Danlos (sensibilitė 98.0% et
spéci cité 99.6%). L'absence d'un critère (y, compris lhypermobilité) ne peut l'éliminer. ls varient depuis la
naissance usquà la n de la vie. Certaines peuvent disparatre, d'autres survenir, plus ou moins tardivement, à
l'occasion đévènements traumatiques (accident de oie publique par exemple) ou hormonaux (puberté,
grossesse).
Les signes suivants peuvent coexister, faisant partie Intégralement du tableau clinique du syndrome d'Ehlers-
Danlos, contribuant à son identi cation, devant faire partie de sa prise en charge thérapeutique: dysautonomie
(vasomoteurs des extrémités avec pieds froids, évoquant à tort un syndrome de Raynaud, palpitations, sueurs,
frilosité, èvres inexpliquées), une hyperacousie et d'autres hypersensorialités (cutanée, ofactive), une
constipation, des re x gastro esophagiens mais aussi : des douleurs extra articulatres. (abdomen, côtes,) des
troubles du sommel, de la dystonie tremblements, secousses musculalres, contractures, de la fragilité cutanée
(troubles de cdcatrisation, vergetures), une étirablté cutanée excesslve, une tendance hémorragique diffuse
(gingivale, génitale), des manifestations respiratoires (blocages, essouf ements), des troubles de la vision
binoculaire, des altérations bucco-dentaires, troubles vésico-sphinctériens, des troubles sexuels (dyspareune),
des accidents obstétricaux, des troubles cognitifs (mémoire, attention, concentration, orentation), affectivité,
comportement (anáété, émotivité, spectre autistique), des manifestations évocatrices dun syndrome
d'activation mastocytaire ou SAMA (urticalre super cielle et profonde, ush, exanthème non spéc que
particulièrement après une douche, prurits).
Ces arguments diniques suf sent au diagnostic, is sont renforcés par la constatation de cas famillaux
identiques, pouvant tre plus ou moins expresifs, preuve du caractère héréditalre de cette maladie du tissu
conjanctf, sans test génétique dans les formes communes, de loin les plus fréquentes. Les tests génétiques
utilisés dans les formes rares sont peu accessibles dans la pratique courante.
Date d'apparition:
Pour un enfant, indiquer la présence éventuelle d'un retard dans les acquisitions principales (développement
psychomoteur, langage.):
:
Permanents
Réguliers ponctuel
Description des signes cliníques invalidants et fréquence : >15jparmois <15 jparmois
Teoudes popiocops A
ynodaeie aticubuie
Doulous askcubues
a
Précisions:
t uo wloee
Perspective d'évolution globale:
Par exemple, bilan des Centres de Ressources Autisme, questionnaire sur Je handicap psychique, bilan UEROS, etc...
4. Dé ciences sensorielles
En cas de dé cience auditive avec un retentissement signi catif, joindre le compte rendu type pour un
bilan auditif rempli par un ORL (Volet 1 du cerfa n°1569501)
Observations :
En cas de dé cience visuelle avec un retentissement signi catif, joindre le compte-rendu type pour un
bilan ophtalınologique rempli par un ophtalmologiste (Volet 2 du cerfa n°15695*01)
Observations:
Autelgus
Cyuaa Ataajo
Effets secondaires du traitement:
Autres contraintes si connues (modalités d'adrninistration, nécessitédedéplacerment,recours à une tierce personne, répercussions sur la
vie sociale, familiale et/ou professionnelle.) :
Régime alimentaire:
CMPP (CentreMédico
Ergothérapeute Psycho-Pédagogique)
CMP
Infârmière (Centre Médico Psychologique)
CATTP (Centred'Accueil
Kinésithérapeute Thérapeutique à Temps Partiel)
Orthoptiste Autre
Psychologue
Psychomotricien
Autre
Projet thérapeutique
Type đ'appareillage
B D NSP
Marcher :
Se déplacer à l'intérieur:
Se déplacer à l'extérieur :
Motricité ne:
Précisions:
Conmunication NSP
Utiliserletéléphone:
Utiliser les autres appareils et techniques de
communication(téěléalarme, ordinateur.) XIOOIOO
Nécessité d'un recours à une aide humaine (interprète, interface ou codeur
LPC, etc.) avec appareillage Doui an
Précisions:
fi
fi
fi
Bilan orthophonique à joindre en cas de troubles du langage oral et écrit avec un retentisserment signi catif.
Maitrise du comportement:
2AS
Conduite émotionnelle et comportementale (Ex : relation avec autrui dans la conduite émotionnelle et comportementale) :
Auoiete
houle de eotteio
Retentissement sur la vie relationnelle, sociale
et farniliale (insuf sante gestiorn des situations à risque,
Lapersonnesait-elle:
mise en danger...) :
Faire sa toilette:
) (NSP
S'habiller, se déshabiller :
Préparer un repas:
Autre (préciser):
Précisions :
Queltype d'intervention?
Précisions:
Heoauual ue haudcapa
voLloL
AAH
ROTH
-Carl0 invaliie er aouweiuo
8. Coordonnées et signature
4 Av Gal De Gaulle
97215 RIVIERE SALEE
Tél: 0596 68 19 07
Tél
Fax: 0596 68 00 50
HR
20/04/2018 -CONSULTATION
MULTIDISCIPLINAIRE
ADULTES
Dr R.BELLANCE- Dr I.FOURMOND
|24/03/2022- CONSULTATION
Dr O. ALLARD-SAINT-LABIN
Patiente de 53 ans suivie pour une très probable SED.
Mme Bonheur souhaiterait un dossier MDPH avec une RQTH.
Ne travaille pas, à la recherche d'emploi (CAP esthétique): pas de revenu car
son mari a perdu son travail. Mariée, une lle de 20ans (à la recherche
demploi).
Co morbidités : migraines
Traitement en cours: INORIAL, IMPORTAL, arrêt du LAROXYL, ZOMIGORO,
CYMBALTA prescrit par le Dr Ursulet du CETD: LEXOMIL remplacé par
IATARAX.
Examen clinique :
Poids 70kg ( +5kg).
Marche stable, très précautionneuse.
Recurvatum des genoux.
Hyperlaxité des doigts.
Palpation articulaire sensible de façon diffuse, pas d'articulation gon ée.
Pas de signe de compression nerveuse au coude ou au poignet.
Pieds plats.
Arguments positifs pouvant con rmer le SED 6/9 : fatigue intense: douleurs
articulaires: troubles proprioceptifs ; instabilité articulaire : hyperlaxité
articulaire (Beighton 3/9) avec instabilité, peau nei pas d'hémorragie cutanée.
Aprévoir:
ALD 100% par le medecin traitant
Kiné libérale
Stages Carbet à prévoir
Cs assistante sociale de son choix pour RQTH
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