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Trou réalisé par rotation d'un outil ou trépan par l'intermédiaire de tiges creuses vissées
bout à bout et dont la manœuvre nécessite un chevalement (derrick) ou des « mâts » (2
poutres à treillis en forme de V renversé) pouvant être déplacés en quelques min par le
treuil de forage (hauteur 18 à 60 m). 3 mois au moins sont nécessaires pour forer un
puits ; en exploration, 3 puits sont « secs » pour un seul prometteur.
Recherche : projet Deep Trek (mené par le gouvernement amér., coût : 10,4 M$), outils de
forage avec capteurs donnant des indications sur l'état de la roche interprétables en temps
réel pour optimiser le processus de forage.
Taux de récupération (pétrole qui peut être ramené à la surface). Primaire : production
naturelle du puits par décompression, environ 10 % du contenu. Secondaire : pompage ou
injection d'un fluide non miscible, comme de l'eau sous pression ou du gaz (balayage), 15
à 20 %. Tertiaire : procédés thermique [(injection de vapeur ou combustion souterraine),
par injection de solvants miscibles (hydrocarbures légers ou gaz carbonique)] et chimique
(injections de polymères organiques), 30 à 60 %. Aux USA, on pourrait extraire, par
récupération secondaire, 43 milliards de t supplémentaires ; assistée, 7.
Coût moyen. Forage : à terre 5 à 20 millions de F, en mer 40 à 60. Le mètre foré au-delà de
5 000 m de profondeur coûte 8 fois plus cher qu'entre 500 et 800 m. Son prix en Alaska
est actuellement 100 fois plus élevé que dans les autres États américains.
Puits forés (forages d'exploration, d'extension et d'exploitation ; avant 1991, hors URSS et
pays d'Europe orientale). Nombre de forages : 1950 : 47 365 ; 55 : 63 658 ; 60 : 55 616 ;
65 : 48 738 ; 70 : 35 187 ; 75 : 47 748 ; 80 : 85 291 ; 84 : 107 209 ; 90 : 50 517 ; 95 :
57 555 ; 99 : 51 376 ; 2000 : 68 181 ; 01 : 75 474 ; 02 : 70 053 ; 03 : 76 068 ; 04 : 89 478
(dont huile 20 043, gaz 41 490) ; 05 : 93 803 dont USA 41 189, Canada 23 790, Chine
12 635, Russie 4 540, Argentine 1 357, Venezuela 1 280, Indonésie 1 150, Mexique
729,Brésil 461, Oman 405, Arabie S. 373, Roumanie 275, G.-B. 290, Norvège 166.
Profondeur : moyenne (en m) 1985 : 1 430 ; 90 : 1 721 ; 93 : 1 910 ; 95 : 1 837 ; 2000 :
1 718 ; 01 : 1 738 ; 02 : 1 863 ; 03 : 1 818 ; 04 : 1 868 ; totale forée (en milliers de m) 1985 :
138 118 ; 90 : 86 929 ; 95 : 105 700 ; 2000 : 116 488 ; 01 : 132 634 ; 02 : 124 271 ; 03 :
Plates-formes. TYPES : fixe sur pilotis (jacket) : depuis 1950, peu coûteuse mais
vulnérable aux vents et aux vagues ; « clouée » au fond en cas de tempête avec des
pieux (12 par jambe) qui pénètrent de plusieurs dizaines de m dans le sous-sol. Auto-
élévatrice (jackup) : depuis 1953 (329) : peut aller jusqu'à 100 m de fond, se déplace sur
les fonds une fois les piliers relevés par des vérins ou des crics ; sur l'emplacement du
forage, elle abaisse ses piles au fond de la mer et élève sa plate-forme au-dessus de la
surface de l'eau ; l'outil de forage est à l'extérieur sur un support en porte-à-faux. Semi-
submersible de type Pentagone : depuis 1962 ; maintenue en place par un système
d'ancrage (ballasts immergés au-dessous de la couche d'eau agitée par les vagues) ;
sensibilité au vent et aux courants de marée, ancrage difficile et long. A embase-poids : sur
base en béton d'un poids suffisant pour la stabilité sans ancrage par piles. En forme de
caisson, peut être utilisée comme réservoir.
DIMENSIONS : jusqu'à 100 m de fond : exemples acier (3 000 à 8 000 t, 2 000 à 5 000 t
d'équipements, 100 à 500 MF), béton (200 000 t, 40 000 t d'équipements, 250 à 500 MF).
Plus de 200 m : acier (45 000 t, 1 500 M de F). Conçues pour résister à des vagues de
30 m de haut et des vents de 230 km/h. Plus grande plate-forme : golfe du Mexique à
160 km au sud de la Nlle-Orléans (Louisiane, USA), pylônes à 312 m de profondeur, haut.
totale 385,5 m ; coût : 1 500 millions de F. En mer du Nord Statfjord B (1977), 816 000 t,
béton, haut. 271 m. Troll, Norvège (1996), pour le gaz, 680 000 t, [soit 77 fois la tour Eiffel
(8 757 t)]. 472 m dont 330 immergés et 36 enfouis dans le sol ; coût : 10 MdF (Troll-Huile
flottante, 193 000 t, ancrée par des câbles à 323 m de fond. A partir d'avril 1995,
170 000 barils/j). Frigg (1975) 239 000. Ekofisk (1973) : 210 000 t et 160 000 t d'eau de
mer, fonds à 69,30 m, haut. 99 m, 2 ponts superposés (supérieur 2 ha), réservoir entouré
Plates-formes disparues : de 1970 à 1994 : 800 ; 1995 : 150. Méthodes : récif artificiel : plate-
forme renversée dans un endroit approprié (coût : environ 50 millions de F pour moins de
1 500 t, 500 pour les plus importantes) ; enlèvement (en Europe) : si la profondeur d'eau est
inférieure à 55 m ; puits neutralisés par des bouchons d'acier et de ciment (entre 500 et
1 000 fermés/an) ; pieds des plates-formes coupés à l'explosif par l'intérieur, au niveau du
sol. Les pipelines sont laissés au fond et remplis de fluides ou sont remontés (coût 0,5 à
1 M$, aussi cher que de les installer).
Brésil : 1984-16-8 Enchova PCE-1 » ; gaz, incendie, explosion : 37 †. 2001-20-3 P36 de
Petrobras : 32 000 t, haut. 120 m. Coût : 500 millions de $. Pompait 80 000 barils/j (8 % de
la production nationale) depuis mars 2000. Gît par 1 360 m de fond dans le bassin de
Campos (2 †, 8 disparus).
Golfe du Mexique : 1976-16-4 Ocean Express ; naufrage : 13 †. 1989-mars incendie de 2 pl.-
f., 7 † ; -juillet écroulement d'une pl.-f., 11 †.
Mer du Nord : 1975-nov. Ekofisk, pl.-f. Alfa ; explosion : 3 †. 1976-mars échouage au large
de la Norvège : 6 noyés. 1977-22-4 Ekofisk, Bravo ; explosion : 12 000 t de pétrole
répandues. 1978-févr. Statfjord ; incendie : 5 †. 1980-27-3 Ekofisk, Alexander-Kielland ;
rupture d'un longeron, d'où rupture de 1 des 5 pieds et retournement : 123 †, 89 rescapés.
1981-24-11 Philipps-SS et Transworld-58 rompent leurs amarres et sont évacuées. -Déc.
Écosse, Borgland-Dolphin ; fissure, évacuation. 1988-6-7 Piper Alpha ; explosion : 167 †,
6 MdF de dégâts [mise en place 1976 (coût : 5,5 MdF), produisait 10 % du pétrole de mer
du Nord (perte annuelle pour G.-B. 3,3 MdF)]. 1989-18-4 Cormorant Alpha ; pas de victimes.
Marché mondial de l'offshore. La France (2e après les USA) détient de 40 à 50 % du
marché de la plongée sous-marine industrielle (Comex) ; assure en mer du Nord 50 % des
commandes de plates-formes en béton, 25 % en acier, 10 % semi-submersibles.
Le gaz : Le gaz naturel est un mélange de combustible fossile de gaz d'hydrocarbure qui
se produit avec les gisements de pétrole. La majorité du temps, c'est du méthane avec un
peu d'éthane, de propane, de butane, et de d'autres gaz. On le trouve dans un état gazeux
et il est employé pour faire cuire et pour chauffer les maisons.
Le pétrole brut : Le pétrole liquide non raffiné quand il sort de la terre. Le type de pétroles
bruts varie de très léger (haute concentration en essence) à très lourd (haute
concentration en huiles résiduelles).
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Dans le cadre du projet pétrolier Sakhalin-1 situé à l’est de la Russie, Exxon Mobil
contribue à produire une plus grande quantité d’hydrocarbures tout en essayant de
réduire l’impact environnemental.
Le puits a été foré à l’aide d'une tour de forage terrestre la plus puissante au monde. A
environ 11 kilomètres des côtes, Exxon a employé une technologie à long déport jusqu’à
une zone sous-marine où est situé le gisement de pétrole.
"L’emploi de la technologie à long déport au large conçu pour forer le fond océanique
jusqu’aux gisements de pétrole et de gaz, élimine la nécessité de prévoir des structures,
des pipelines et d'autres services connexes au large des côtes" a déclaré Morris Foster, le
président d’ExxonMobil.
Le puits Z-12 est situé dans le champ 'Chayvo' qui contient 17 des 30 plus longs puits de
forage à long déport au monde. Exxon Neftegas établit donc un nouveau record en
atteignant une profondeur mesurée à 11 680 mètres (en biais). Celui-ci dépasse de 398
mètres le précédent record atteint en 2007 par le puits Z-11, toujours dans le cadre du
projet Sakhalin-1.
ExxonMobil indique avoir utiliser sa technologie « Integrated Hole Quality » afin de gérer
au mieux les nombreux paramètres du puits, comme la solidité, les contraintes de roche,
l’hydraulique des puits de forage, ou encore le processus d’optimisation appelé « Fast Drill
», qui analyse la quantité d’énergie utilisée pour rendre le processus de forage plus rapide
et plus efficace.Pendant toute la durée du projet, Sakhalin-1 devrait injecté dans
l’économie russe, plus de 50 milliards de dollars. Ce projet a permis à des entreprises
russes d'obtenir des contrats pour une valeur de 4,4 milliards de dollars. De même, la
proportion d’employés de nationalité russe participant aux opérations approchera à terme
La Russie prouve que le 'pic de pétrole' est un mythe sioniste fabriqué pour
embourber l'occident dans des guerres, dont les buts sont la création du grand
"Yisrael" et le controle de toutes les ressources energétiques du Moyen Orient.
Dans les années 70, les Russes ont commencé à forer sur une plateforme spéciale, Kola
SG-3, des puits d'exploration qui ont finalement atteint une profondeur record de plusieurs
centaines de metres (40.230 pieds). Des lors, les compagnies pétrolieres russes, dont
Yukos ont tranquillement foré plus de 310 puits de pétrole en grands fonds, et les ont
rendu capables de produire. La Russie a ainsi rattrapé l'année dernière, l'Arabie Saoudite
en tant que plus grand producteur de pétrole au monde, et est maintenant placée pour
dominer complètement la production de pétrole et les ventes globales pour le siècle à
venir.
Afin de comprendre comment la Russie a laissé le reste du monde dans son sillage, il est
essentiel de savoir un peu où le petrole se trouve et comment il est extrait à partir de la
terre, pour ensuite etre raffiner pour l'usage commercial. C'est un sujet énormément
complexe, mais en comprenant comme le petrole est récupéré, il n'est pas difficile ensuite
de comprendre, comme, illustré dans le diagramme ci-dessous, comment les russes ont
mis au point de nouvelles techniques de forage en grande profondeur.
Les Russes ont émis dans les années soixante une théorie, suggérant que les reserves de
pétrole en grande profondeur, se régéneraient d'elles memes, selon le mécanisme décrit
dans le schéma, et ils ont aisni pu décrire comment le pétrole était formé dans les grandes
profondeurs du manteau terrestre. Les Russes n'ont fait que confirmer leur théorie en
forant plus de 300 fois des puits en grande profondeur et en réussissant à les exploiter.
Ceux qui sont intéressés à étudier les processus exacts devraient rechercher les archives,
où il y a plus de deux cents papiers russes sur le sujet. L'un d'eux étant un papier
décrivant "le rôle du méthane dans la formation des carburants minéraux", écrit près A.D.
Bondar en 1967. L'avantage des puits en grande profondeur, c'est que les découvertes de
petrole et les accomplissements technologiques Russes lui donnent une avance
considérable sur les nations occidentales, qui s'acharnent avec l'OTAN, sous la
domination des fanatiques sionistes de Washington à découper et morceler les anciens
états communistes, pour réduire au maximum l'influence et le controle des Russes sur les
voies d'exportation du brut vers l'Europe ou l'Asie. Les exemples les plus récents étant le
Kirgystan, l'Ukraine, l'Adjarie en Géorgie, l'Azerbaidjan, l'Afghanistan, l'Iraq, la Bosnie et le
Kosovo.
Le pétrole peut etre produit pratiquement n'importe où sur la terre, si le pays d'accueil peut
avoir les moyens et se payer la technologie encore tres chère pour forer en grande
profondeur, et supporter le coût massif de forages ultra-profonds dans des formations
rocheuses extrêmement dures, alors ces pays diminueront leur dépendance énergétique
vis à vis du marché des pays producteurs tout en faisant diminuer leur dépendance
économique des occidentaux, qui menacent d'envahir les pays producteurs pour subtiliser
et prendre le controle à la source comme l'entité sioniste l'a fait en Iraq.
Un des exemples les plus classiques est celui du tout petit Viet Nam, qui a su investir dans
la technologie russe pour se "libérer" des contraintes du marché mondial, à la botte des
multinationales sionistes américaines.
Après plus de 60 ans d'asservissement, de pillage, de vols et de viols par les Français,
puis par les Américains, les pauvres Vietnamiens ont été leurrés par les multinationales
petrolieres americaines, qui ont affirmé que leur pays était stérile, que la technologie
occidentale ne pourrait pas les aider à forer en grands fonds, qu'il n'y avait pas de pétrole,
que les investissements conssentis ne pourraient etre récupérer financièrement. Les
américains ont laissé derrière eux que le chaos, les bombes, l'agent orange dévastateur,
et une foule d'autres cadeaux "made in" oncle SAM. C'est exactement ce que les
américains voulaient, que les Vietnamiens soient : désespérément pauvres, incapables
d'agir contre leurs anciens envahisseurs, pour mieux les assouvir et dominer totalement le
pays. Les Francais ont agit et continuent d'agir de la meme maniere en Algérie de nos
jours.
Les sovietiques ont eu une approche très différente, ils ont tout d'abord fourni l'armement
aux Vietnamiens pour qu'ils combattent. Ensuite, ils ont dit aux Vietnamiens que les
américains leur avaient menti. Des experts en matière de forage pétrolier ont été ainsi
envoyés par Moscou pour prouver les sovietiques possédaient et fourniraient tous les
équipement en expertise gratuitement pour forer en tres grande profondeur, qt qu'ils ne
prendraient seulement alors qu'un faible pourcentage des bénéfices si du pétrole était
trouvé et des puits mis réellement en état de produire. Le Vietnam n'a eu absolument rien
à perdre, et le gouvernement communiste Vietnamien a rapidement donné son feu vert à
Les gisements offshore de pétrole vietnamien du "Tigre Blanc" sont tres vite devenus un
énorme succès, produisant actuellement du brut de tres haute qualité,provenant de roche
basaltiques tres profondes (plus de 17.000 pieds au-dessous de la surface de la terre).
Les stations d'exploitations produisent 6000 barils par jour par puits. Avec le "Tigre Blanc",
les sovietiques avaient aidé les Vietnamiens à regagner une partie de leur estime, tout en
rendant en même temps le pays moins dépendant économiquement des nations
occidentales lointaines et brutales en matiere d'aumônes et d'aide alimentaire.
Soudainement, le tout petit Vietnam a rejoint le club exclusif des nations productrices de
pétrole, et sionistes de Wall street pnt commencé à envoyer leur esclaves sénateurs et
membres du congrès américain pour faire le long pélerinage dans la ville de Ho Chi Minh
pour réparer les dégats et rétablir les ponts entre les eux pays.
Le projet du "Tigre Blanc" était le premier succes sovietique à l'international, cela a permis
de développer et exploiter les technologie de production de pétrole en ultra-profondeurs
sur de la roche basaltique un peu partout dans le monde.
Ainsi, en 1983, une grande plate-forme de forage, dans le delta indien du Ganges, a été
montée pour forer en dessous des 22000 pieds dans le basalte. Le puit de petrole de
Bodra 3 a été directement dirigé par des équipes de forages russes expérimentées, et les
scientifiques de l'institut de Moscou du forage.
Si il avait été permis à la plateforme Bodra 3 de forer encore plus avant sans encombre, il
n'y a aucun doute que l'impact résultant de cette nouvelle réussite aurait envoyé des
ondes chocs dans le monde, et un énorme prestige international pour les Russes. Le
peuple désespérément pauvre du Bengale aurait pu accédé à leurs propres réserves
d'énergie. Malheureusement, on n'a pas permis à Bodra 3 de forer en avant sans
encombre. Les américains ont fait arrêter le projet, ils ont joué sur la crainte à New Delhi
du gouvernement communiste de l'état du Bengale. En corrompant une poignée de
fonctionnaires du gouvernement central indien, les services de la CIA ont introduit une
équipe de saboteurs américains professionnels, qui sont parvenus à détruire le projet de
forage.
L'une des raisons qui a poussé les fanatiques sionistes de Wall Street à envahir
illégalement l'Irak est que les nords américains dévorent une part trop importante de l'offre
globale de pétrole produit sur le marché. Le "pic de pétrole" n'est pas la fin des réserves
mondiales de pétrole ou l'incapacité à produire des quantités suffisantes pour prévoir les
divers besoins énergétiques des pays consommateurs. Le "pic de pétrole" est une
fabrication sioniste pour déguiser l'appétit croissant et egoiste d'une minorité de malades
Cette situation de désolation économique est tres bien décrite par le professeur Victor
Poleo de l'université centrale du Venezuela, qui a décalré en avril 2004 que "le
mécanisme par lequel les prix du pétrole globaux sont fixés sont corrects, mais le
comportement normal de l'offre et la demande lui ne l'est pas." Selon Poleo, la racine
du problème vient du fait que les Etats-Unis "sont victimes de leurs métastases
énergetiques. Les USA n'ont ni le pétrole, ni le gaz naturel pour alimenter leur
modèle de vie. Avec juste six pour cent de la population mondiale, les USA
consomment presque 25 pour cent du pétrole et de gaz produit dans le monde.''
Au début de années 80, les services de renseignements américains connaissaient déjà les
accomplissements technologiques des russes avec la production de pétrole en tres
grande profondeur dans le manteau terrestre, il était évident que cette méthode lente et
chère ne pouvait s'adapter au mode de société des américains, ces methodes de forage
ne permettait pas de suivre l'appétit grandissant et vorace de la société nord américaine,
car la demande domestique s'était développée trop rapidement, et les réserves se sont
finalement épuisées. Les élites sionistes et sionisées des Etats-Unis auraient été obligés
de diviser par deux leur propre utilisation d'essence, ou d'aller voler le petrole de
quelqu'un d'autre par la force. La réduction de l'utilisation de l'essence était inadmissible
pour les élites politiques et elle l'est toujours. Ainsi, au lieu d'investir dans des centaines
de plates-formes de forage ultra-profondes, Wall Street a gaspillé l'argent comptant en
construisant plus de porte-avions, avec l'objectif désespéré d'attaquer et d'occuper de
manière permanente le Moyen-Orient...
Les ingénieurs russes ont découvert que leurs réserves existantes "s'étaient
reconstituées completement". Plus tard, ls russes ont constaté que le phenomene qu'ils
Les études russes sur leurs propres puits ultra-profonds et ceux du "Tigre Blanc" au
Vietnam, indiquaient en terme très approximatifs que la migration de petrole des
profondeurs vers la surface du manteau étaient probablement de 20 à 30% inferieurs à
ceux des puits du Moyen-Orient. Ce qui signifie plus clairement que si les débits de
pompage des puits Irakiens et Saoudiens étaient réduits d'environ 30%, l'offre et la
production de petrole continueront pour toujours, car la diminution de la pression dans les
gisements de reserves exploités, faciliterait la remontée du petrole depuis les grandes
profondeurs du manteau, pour remplir à nouveau les gisements de petrole sedimentaire
en surface du manteau terrestre. Il va s'en dire qu'une diminution de la production de brut
de 30% au Moyen Orient aurait des effets catastrophiques sur l'économie américaine et
mondiale, car cette reduction de la production ne convient pas du tout aux prévisions
croissantes de la consommation d'essence aux Etats-Unis pour le siècle à venir. C'est
l'une des raisons pourquoi des centaines d'américains meurent et continueront à mourir en
Iraq et partout ailleurs au Moyen-Orient.
Les théoriciens du "Peak Oil" (ndlr: pic de petrole) affirment que la production à partir des
puits de forage existants "ralenti", et donc que les gisements de pétrole sont " secs". Or,
quand le petrole est extrait à partir d'un gisement souterrain, le petrole sort au dehors par
des trous creusés dans la roche des gisements, puis il passe dans le tuyau de forage, d'où
il est transporté vers le systeme de tuyauterie destiné à la production. Ainsi, naturellement,
la section inférieure du puit est "le trou creusé dans la roche" qui permet au brut de couler
au dehors en premier lieu. Mais "ce trou" dans la roche est parfois instable, cette section
ouverte du trou de forage est sujette également à de la turbulence due à la pression et à la
souille. Par exemple, de tres faibles quantités de vase fine peuvent sortir par les pores
naturels de la roche mais ne pas continuer vers la surface avec le pétrole, retombant tout
autour du trou de forage, créant ainsi des turbulences à la place, jusqu'à ce que la vase
accumulée commence très lentement à bloquer les gorges productrices de pétrole et les
pores dans la roche. Le résultat inévitable de ceci est que le taux initial de production du
puit diminuera lentement, un fait connu de chaque expert pétrolier dans l'exploration
petroliere. Cependant, ce n'est certainement pas une indication que le gisement de pétrole
lui-même s'épuise, et cela a été prouvé par le forage de puits excentrés dans le même
gisement. Le nouveau puit commence la production au taux original de production de ses
cousins plus âgés, parce qu'il n'a pas encore eu le temps d'accumuler une couche mince
de souille à travers le trou de forage.
Prenons l'exemple d'un petit gisement de pétrole en Irak, avec dix puits, dont chacun
produit 10000 barils de brut par jour. Le gisement produit 100000 barils par jour à partir
d'un petit champ petrolifere, pendant un moment. Cinq ans après, du fait de la
contamination, la production a ralenti notre production globale de dix pour cent à 90000
barils par jour. Ainsi, nous sommes maintenant confrontés à un choix : "un changement de
forage" sur chacun des dix puits existants, qui coutera cher en dépenses, ou un simple
forage additionnel bien dans le même gisement, pour reconstituer la production
quotidienne à 100000 barils. c'est ce qui est en général appliqué dans les societé
Ce processus est rarement employé en occident, mais l'industrie pétrolière russe est
parvenue à augmenter la production de ses puits existants par cette technologie de
"l'underreaming" et ceci dans des milliers de puits de brut anciens au moins de dix ans.
Lorsque sont arrivés les capitaux de Wall Street par l'intermediaire du sioniste Mikhail
Khodorkovsky, qui a frauduleusement racheté la société nationale Yukos pour une infime
fraction de sa valeur. Khordokovsky était sur le point de donner tout l'équipement et la
technologie russe entierement aux multinationales sionistes américaines, pour briser le
monopole russe, quand Poutine l'a fait intercepter dans son jet privé alors qu'il voyageait
quelque part en Sibérie. Les sionistes de Wall Street 'ont été finalement empeché' par
Poutine au dernier moment d'acceder à la technolgie de forage en tres grande profondeur
et au marché petrolier russe interieur.
Pour récapituler, les spécialistes du "pic de petrole" aujourd'hui affirment que le fait de ne
decouvrir qu'un seul baril de pétrole pour quatre consommés amenuise les reserves de
petrole dans le monde. Cette propagande sioniste est complètement fallacieuse. Les
russes, et la CIA savaient parfaitement bien que les réserves de brut dans le manteau
étaient infinies depuis le début des années 80. Les spécialistes "du pic de petrole"
déclarent également que nous ne pourrons plus pomper suffisamment de petrole hors de
la terre pour répondre à la demande des marchés. Propagande sioniste complètement
fausse encore. On pourrait forer plus de puits, mais les fanatiques sionistes de Wall Street
n'en ont plus les moyens, et ils n'ont jamais prévu de le faire, tant qu'ils croyaient que la
conquête et l'occupation éternelle du Moyen-Orient étaient une possibilité réaliste, la
défaite en Iraq aura vite fait de les faire changer de plan !
Le professeur Poleo explique bien la direction que l'occident prend sous la houlette des
fanatiques sionistes américains, la fin inévitable. Si les USA veulent survivre dans le long
La stratégie de prospection des hydrocarbures est basée sur le renforcement de la promotion des
bassins sédimentaires, le développement du partenariat, l’intégration et la maîtrise des nouvelles
technologies de prospection. Elle porte sur la réalisation d’études géologiques et analytiques et le
recours aux tests sismiques en trois dimensions.
(UBD, forage directionnel et horizontal, fishing et fraisage). Cette fusion entre l’ENTP et
Weatherford per
MAROC
Les spécialistes estiment qu’il faut en moyenne, pour un même emplacement, 10 forages
à partir du moment où l’on a des indices sérieux de présence de pétrole ou de gaz. Et ce
n’est pas tout. Un forage est précédé et suivi par d’autres étapes qui ont aussi un coût.
Par exemple, en amont, une reconnaissance en deux dimensions (2D) revient entre
60.000 et 100.000 DH par km2 alors qu’en 3D le coût est de 300.000 à 500.000 DH. Il faut
aussi comprendre que le processus d’exploration pétrolière est très long et se décompose
en plusieurs phases.
On compte d’abord près de deux années pour les seules études géologiques et
géochimiques, une ou deux pour le traitement des données, une à deux autres pour les
interprétations et l’évaluation d’un bassin. C’est seulement après que l’on peut décider
d’un forage. La durée des travaux est de 6 mois à une année. En cas de découverte, on
procède à une appréciation qui peut prendre de longs mois. Enfin, le développement du
site et la mise en place complète des infrastructures demanderont au moins huit ans,
selon le volume et la qualité du gisement.
Prendre le virage
Passons à l'action
L'air pur et l'énergie
L'air pur, les changements climatiques et l'appauvrissement de la couche d'ozone
La santé, l'environnement et l'économie
Forage et extraction
www.condat.fr
Le groupe Condat propose une large gamme de produits chimiques adaptés aux métiers
de ses clients. Spécialiste de la chimie de contact, Condat conçoit, produit et
commercialise ainsi une offre technique complète répondant aux attentes les plus
exigeantes.
CONDAT LUBRIFIANTS DANS LES CATÉGORIES
Une fois découverts, les gisements de pétrole et de gaz restent à être exploités. Un trépan
au diamant et à l’acier trempé, monté au bout d’un train de tiges, perce la roche jusqu’au
gisement de pétrole et de gaz. En général, la profondeur d’un puits varie entre 1 et 5km,
mais certains peuvent aller jusqu’à 8km. Plus le puits est profond, plus il est difficile de
prévoir avec exactitude les résultats.
Pour faciliter le processus d’extraction, on peut injecter de l’eau ou un gaz comprimé par
un autre puits menant au même gisement, ce qui a pour effet de maintenir la pression
élevée. Cette technique a également été utilisée avec du CO 2 comprimé, ce qui offre
l’avantage supplémentaire de séquestrer et d’emmagasiner le CO 2 dans le gisement et de
réduire par le fait même les émissions de gaz à effet de serre qui contribuent au
changement climatique. Une fois foré et pleinement fonctionnel, le puits est fermé avec
Forage
Une fois ces zones isolées de façon sûre et la formation protégée par le tubage, on peut
forer le puits plus profondément (dans des formations potentiellement plus instables et
violentes) avec un trépan plus petit et en le revêtant d’un tubage également plus petit. Les
puits modernes comptent souvent de deux à cinq trous de plus en plus petits forés les uns
dans les autres, chacun étant revêtu de tubage fixé par cimentation.
Ce processus s’exécute grâce à une tour de forage qui contient tout l’équipement pour
faire circuler le fluide de forage, lever et tourner le tube, contrôler les pressions de fond,
retirer les déblais de forage du liquide de forage, et produire sur place l’énergie nécessaire
à ces opérations.
De nos jours, le pétrole est extrait dans des endroits où les prospecteurs d'antan auraient
eu du mal à bondir de joie. Les nouveaux gisements se trouvent maintenant à 5 000
mètres sous les mers et leur exploitation exige des techniques de forage et de production
ultramodernes.
Ces difficultés sont certes de taille, mais la technologie mise en œuvre est
impressionnante.
D'énormes navires de forage de 100 000 tonnes sillonnent les mers avec, à bord,
suffisamment d'équipements pour forer deux puits sans avoir à regagner leur port
d'attache. Maintenus en place grâce à un positionnement dynamique par propulseurs et
au guidage gps, ils envoient leurs trépans attaquer les fonds marins par 3 000 m de fond
et, de là, peuvent forer, avec une marge d'erreur de quelques centimètres, des puits
pouvant atteindre 6 000 m de profondeur. Les tiges peuvent même forer des puits déviés,
à partir du puits principal, afin d'atteindre d'autres gisements..
Trente mètres d'eau ne représentent guère qu'une petite distance supplémentaire entre le
pied de la tour de forage et le commencement du trou, mais 3 000 m d'eau - c'est tout
autre chose. Comme le faisait remarquer Ian Ball de la Shell dans son adresse à la
Comme la Lune, les eaux profondes (par définition, d'une profondeur d'au moins 1 500 m)
et les eaux ultraprofondes sont des environnements hostiles, mais pour des raisons
opposées. Sur la Lune, la corrosion est quasi inexistante et la pression atmosphérique
pratiquement nulle; en eaux profondes, la corrosion est massive et la pression énorme, ce
qui oblige à repenser la plupart des méthodes traditionnelles.
La boue de forage, par exemple, est un élément essentiel de tout forage. C'est un
mélange d'eau, d'argile et d'additifs, qui circule à l'intérieur des tiges de forage et remonte
dans l'espace resté libre entre ces tiges et la paroi du trou. Ce fluide lubrifie le trépan,
emporte les déblais à la surface où ils sont analysés, et soumet le trou de forage à une
pression hydrostatique qui l'empêche de s'effondrer.
Il faut sans cesser affiner la consistance de la boue pour l'adapter aux caractéristiques de
la formation géologique forée: si elle est trop fluide, le trou peut s'ébouler ou éclater; si elle
est trop dense, elle peut s'infiltrer et détruire les roches.
Les prospecteurs travaillant en offshore doivent faire parvenir la boue jusqu'au fond de la
mer. Pour ce faire, ils installent un tube métallique, dénommé «colonne montante», pour
prolonger le trou de forage du fond marin jusqu'à la plate-forme.
Quand ce tube est haut de 3 000 m, le poids de la boue complique sérieusement les
mesures effectuées au fond du puits. Le transport de la colonne est un lourd fardeau pour
la plate-forme. Les foreurs doivent aussi bien prévoir l'opération car il n'est guère aisé de
remonter d'urgence tout l'équipement quand un cyclone approche.
Tous les professionnels s'accordent à penser que le fluide de forage et les colonnes
montantes sont les deux plus grosses difficultés du forage en eaux profondes. L'un des
aspects de cette problématique tient notamment au poids des colonnes; des expériences
sont actuellement en cours avec des matériaux composites, comme un alliage d'acier et
de Kevlar, par exemple. Ainsi, une compagnie utilise des colonnes montantes dont la paroi
est plus épaisse au sommet et à la base qu'au milieu.
Même si l'on arrive à réduire le poids de la colonne montante, 3 000 mètres de boue
représentent tout de même une belle charge. Selon Scott Hoelscher, directeur du
marketing chez l'opérateur de plates-formes de forage r&b Falcon, «le poids initial est si
élevé que la différence relative au fond d'un trou très profond est, somme toute, assez
faible entre le poids requis pour prévenir l'éruption du puits et celui qui fera effondrer la
formation.»
C'est pourquoi toute l'industrie est à la recherche d'opération de forage qui se passerait de
colonne montante et où la boue ne circulerait que dans le trou de forage. Le fluide et les
déblais, qui doivent de toute manière être remontés à la surface pour examiner
l'exploitabilité du puits, pourraient être remontés par des canalisations souples. En fait,
seules les caractéristiques de la boue doivent être ajustées en fonction des valeurs
rencontrées dans le trou - comme si le puits était foré à terre.
«Le forage sans colonne a été envisagé au départ pour résoudre les problèmes de
Comme l'écart de pression est supérieur, la boue de forage doit maintenir la paroi du trou
plus longtemps, avant qu'il ne soit renforcé par un tubage. Les tubes sont enfilés les uns
dans les autres, si bien que leur diamètre se rétrécit peu à peu. En conséquence, l'orifice
par lequel jaillera le pétrole se rapetisse au fil du creusement du puits.
Si le tubage du trou pouvait s'effectuer à intervalles plus espacés, les tubes pourraient
alors gagner en longueur, ce qui diminuerait les pertes de diamètre. «Le forage sans
colonne montante permettra de forer un trou de diamètre plus important, ce qui est plus
productif», souligne Scott Hoelscher.Théoriquement, en tout cas, car personne n'a encore
essayé le forage sans colonne montante. Bill Furlow, responsable de la rubrique
technologique du magazine professionnel Offshore, estime que les entreprises ne sont
pas encore prêtes à s'aventurer dans cette voie: «C'est très délicat parce que tout cela est
commandé à distance. S'il y a le moindre pépin en bas, c'est très difficile à réparer.»
La production, ou plutôt l’extraction du pétrole, peut être une opération complexe : pour
maximiser la production finale, il faut gérer un réservoir composé de différents liquides aux
propriétés physico-chimiques très différentes (densité, fluidité, température de combustion
et toxicité, entre autres). Au cours de la vie d’un gisement, on ouvre de nouveaux puits
pour accéder aux poches restées inexploitées. En règle générale, on injecte de l’eau et/ou
du gaz dans le gisement, via des puits distincts de ceux qui extraient le pétrole. Une
mauvaise stratégie d’exploitation (mauvais emplacement des puits, injection inadaptée,
production trop rapide) peut diminuer de façon irréversible la quantité de pétrole
extractible. Par exemple, l'interface entre la nappe de pétrole et celle d’un liquide chargé
en soufre peut être brisée par simple brassage, polluant ainsi le pétrole.
Récupération du pétrole
Suivant les caractéristiques du gisement, la récupération du pétrole peut s'effectuer de
manière totalement naturelle, ou, dans le cas contraire, elle doit être assistée.
Des techniques encore plus évoluées (et plus gourmandes en énergie), comme les
méthodes thermiques ou l'entraînement par fluide missible, permettent d'exploiter les
gisements délicats.
L'entraînement par fluide missible est effectué à l'aide de gaz carbonique ou de gaz de
pétrole liquéfié, plus léger. Enfin, des méthodes chimiques tente le limiter la capillarité qui
retient le pétrole dans les roches. On utilise pour cela des polymères ou des micros
émulsions à base d'huiles, d'eau, d'alcools et de tensioactifs.
Une nouvelle
technologie d'extraction
du pétrole
Extrait du BE Russie N°11 -
Ambassade de France en Russie
Les scientifiques de
l'Institut de chimie des
corps solides et de
mécanochimie de
Novossibirsk et les
spécialistes de l'entreprise
UfaNIPINeft ont développé
une technologie qui
permettrait d'extraire du
pétrole additionnel de puits
déjà utilisés.
PHYSIQUE-CHIMIE
Épuration en raffinerie : épuration des gaz de leurs éléments condensables.
Opérations de séparation : distillation par condensation des vapeurs du pétrole brut (ses
composants ayant un point d’ébullition différent, ils sont séparés par chauffage progressif) ;
extraction par solvant ; absorption par tamis moléculaires.
Produits de distillation du brut : gaz, fiouls (domestique et industriel), essence à 80 %,
naphta à 20 % (dont 90 % servent à fabriquer des carburants). Les mesures antipollution
impliquent que la part du naphta augmente dans la fabrication de l’essence. Autres
débouchés : matières plastiques, engrais.
Produits légers : produits dérivés (GPL ou gaz de pétrole liquéfié, naphta, essence, jet,
gazole et fioul domestique), en accroissement continu depuis les années 1960, au détriment
des produits lourds (fiouls lourds).
OUTILS DE FORAGE
__________________________________________________________________
Abstract:
Abstract not available for EP0548163
Abstract of corresponding document: US5301762
PCT No. PCT/FR91/00720 Sec. 371 Date Mar. 12, 1993 Sec. 102(e) Date Mar. 12, 1993 PCT Filed
Sep. 12, 1991 PCT Pub. No. WO92/05335 PCT Pub. Date Apr. 2, 1992.Self-shaping disk-shaped
cutting edge of a drilling tool, comprising an outer diamond-impregnated polycrystalline layer (22)
applied onto a tungsten carbide layer (24), each cutting edge being mounted on a support (18)
which is integral with the body (12) of the drilling tool. The cutting edge and/or its support (18)
have areas (26) of least resistance, such as grooves, which are likely to cause successive fractures,
thereby forming an acute relief angle ((alpha)) with the rock to be drilled (28).
Oil & Gas Science and Technology - Rev. IFP, Vol. 30 (1975), No. 3, pp. 473-498
DOI: 10.2516/ogst:1975018
© IFP 1975
Geoservices
2
Abstract The longitudinal vibration mode of the drill string can, in certain drilling
conditions, degenerate into bit-bouncing wih periodic separation at the roller bit cone,
rock interface; it goes without saying that this behavior must be avoided. In the
presence of compact rocks, we are used to associating the lift-off dynamics to the
presence of a pattern at the rock-bit interface, known as a bottom hole pattern
because of its ternary symmetry. It emerges by a more or less sinusoidal, periodic
undulation of the cutting edge. On soft rocks , the speed of the longitudinal vibration
phenomenon is more chaotic and is the subject of specific investigations relating
dynamics and the expulsion of fragments (Cutclean programme). On hardrocks, the
experience proves that the pattern is repeated on each passage of the bit by
differentiated erosion of the undulations, without there necessarily being detachment.
A general rotation of the interface pattern then occurs, in the order of a few degrees
per turn, related the phase shift between cutting effort and undulation. The bounce
phenomenon appears especially when there is agreement between the running
frequency of the cones --dependent on the rotational speed- and a frequency which is
unique to the drilling system. However the phenomenon can also appear a long way
from the resonance predicted by the linear analysis. The interpretation presented in
this report, from the machining study field of the metals, is a linearised formulation
type study. The stability criteria defines, for a given system, the limit effort as a
product of a term which is characteristic of the formation, similar to the Archard
coefficient in a wear theory, by the dynamic rigidity of the response mode of the
structure, for the frequency which is likely to be induced. The proportionality
coefficient between normal force and depth of pass has, despite frequent confusion,
no link with the elasticity module, but more with the cohesion characteristic of the
rock. Thus, in compliance with intuition, the lift-off dynamics will preferentially appear
with a very resistant rock and a flexible structure for the frequency considered.
Factors of cutting efficiency related to the more or less large compatibility of the
geometry of the cone and the curvature of the interface of the bottom hole patterns
are cleared and correspond perfectly with a dissymmetry observed on the recordings
(Trafor) of the torque between maximum and minimum; the detachment and contact
repeat phases in case of bit-bouncing are also compatible with the extreme weight on
the bit.
La matière est compressée et mise sous haute pression par l’utilisation d’un
turbo-compresseur dont l’arbre d’entraînement resp. de commande est
équipé de garnitures mécaniques. Ces garnitures mécaniques sont alimentés
d’azote afin d’éviter l’admission d’oxygène dans la partie intérieure du
compresseur. Un autre champ d’application de l’azote dans ce contexte est
de tenir l’installation en condition inerte, afin de prévenir des explosions.
Le romantisme qui entoure le forage est peut être lié au facteur de risque ou encore à
l'image fautive présentée par le cinéma et la télévision qui montrent des hommes
costauds manipulant de l'équipement lourd, des éruptions incontrôlées et des puits qui
explosent, alors que de nos jours, le forage est axé sur des technologies de pointe. Le
savoir-faire est plus important que la force musculaire. De plus, le perfectionnement
de l'équipement et des connaissances ont pratiquement éliminé les risques d'éruption
incontrôlée.
Au début de l'exploration pétrolière au Canada, les puits ne sont pas forés, ils sont
plutôt creusés à l'aide d'un système de forage au câble. L'installation de forage au
câble comporte un lourd trépan à l'extrémité affûtée qui est suspendu à une poulie ou
à un câble. C'est par le pilonnage constant du trépan sur le sol que l'on creuse le trou.
Vers la fin des années 20, la plupart des installations utilisent de l'équipement de
forage rotatif qui permet de creuser plus profondément et plus rapidement.
De nos jours, le forage s'effectue à l'aide d'un trépan fixé à l'extrémité de sections de
tubes d'acier. Chaque section d'environ 9 m est vissée à la section précédente. Le
trépan, la masse-tige (qui alourdit le trépan) et les sections de tubes forment le
« train de tiges », dont la rotation est assurée par une table de rotation. Le trépan en
rotation coupe et broie les formations rocheuses tout en étant lubrifié et refroidi par la
« boue de forage », un mélange d'eau ou d'huile, d'argile et de produits chimiques.
Les installations de forage conçues pour les puits très profonds (jusqu'à 5000 m) sont
beaucoup plus lourdes, plus imposantes et plus solides que celles utilisées pour forer à
Production
À mesure que la valeur du pétrole brut, du gaz naturel et des produits dérivés
augmente, il devient important d'optimiser les méthodes d'extraction. Seulement 25
p. 100 du pétrole contenu dans un gisement typique peut être extrait à l'aide des
moyens naturels ou des techniques de récupération primaires. Les techniques
d'extraction assistées permettent d'augmenter les quantités extraites de nombreux
réservoirs. La méthode par injection d'eau est la plus utilisée. Elle consiste à injecter
de l'eau dans la roche-réservoir pour pousser le pétrole vers le puits. Grâce à ces
techniques, le taux d'extraction peut dépasser 80 p. 100 de la réserve de pétrole.
Le gaz naturel monte en général à la surface sous l'effet de sa propre pression. C'est
pourquoi la tête d'un puits de gaz n'est en général qu'une série d'étrangleurs et de
vannes qui servent à régler le débit. Ce genre de tête de puits s'appelle « arbre de
Noël ». Le pétrole brut, qui contient généralement une certaine quantité de gaz
naturel ou de gaz associés, est parfois poussé à la surface par la pression naturelle
qu'il subit, mais dans la plupart des puits de pétrole brut au Canada, le pétrole doit
être poussé ou pompé jusqu'à la surface. Les appareils de pompage sont connus sous
plusieurs noms : chevalet de pompage, tête de cheval et balancier.
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luide de forage
Les nombreuses fonctions des fluides de forage
L'environnement difficile des opérations de forage souterrain a encouragé les initiatives de
recherche et développement en vue de concevoir des fluides de forage pouvant jouer plusieurs rôles
importants : suspension, contrôle de la pression, stabilisation des formations, flottabilité,
lubrification et refroidissement.
SuspensionL'écoulement du fluide de forage dans la tige de forage est parfois interrompu suite
à un problème ou pour dégager la tige de forage afin de changer le trépan. A l'arrêt du forage, les
déblais en suspension dans le fluide risquent de couler au fond du trou, bloquant ainsi la foreuse.
Les fluides de forage ont une propriété très intéressante qui résout ce problème. En effet, l'épaisseur
ou la viscosité du fluide augmente au fur et à mesure que le fluide ralentit. Lorsque la circulation du
Le fluide de forage peut interagir avec la roche environnante de plusieurs manières. Par
exemple, si la roche renferme beaucoup de sel, l'eau dissoudra le sel et aura tendance à
rendre les parois du puits instables. Un fluide à base d'huile est plus approprié dans cette
situation. Les formations rocheuses à forte teneur en argile ont également tendance à être
évacuées avec l'eau. Ce type de formation nécessite un fluide inhibiteur pour maintenir la
stabilité du puits et empêcher l'élargissement du trou ou les fuites d'eau. Au fur et à
mesure que le forage avance, le puits est garni d'un tubage en acier qui est cimenté afin
de consolider le puits et d'offrir un passage pour remonter le pétrole à la surface lorsque le
réservoir est atteint. Une fois le réservoir atteint, il arrive que la composition du fluide de
forage doive être modifiée pour empêcher l'obturation des pores de la roche. Le maintien
des pores ouverts permet au pétrole de circuler plus librement dans le puits jusqu'à la
surface.
Flottabilité Un puits peut avoir plusieurs milliers de mètres de profondeur. Une tige de
forage en acier de cette longueur pèse plusieurs tonnes. L'immersion de la tige de forage
dans le fluide produit un effet de flottabilité, ce qui réduit son poids et limite la tension
appliquée sur le mécanisme de forage.
Lubrification et refroidissementLorsque le métal se déplace contre la roche, un
frottement et un échauffement se produisent. Les fluides de forage permettent de lubrifier
et de refroidir le trépan, ce qui assure un fonctionnement sans à-coups et prolonge la
durée de vie du trépan. La lubrification peut s'avérer particulièrement importante sur les
puits très profonds ou les puits horizontaux où le frottement entre la tige de forage, le
trépan et la surface rocheuse doit être réduit au minimum.
La vie du rig (ce sont toutes les installations utilisées pour le forage) est itinérante. Le rig
se déplaçe en fonction des chantier, d'une
éoservices a toujours disposé d'un réservoir de personnes très expérimentées qui ont
acquis une excellente maîtrise du terrain et du forage. Ce potentiel humain permet d'assoir
le developpement de nouveaux services
Le geoNEXT , un nouveau service d'informations sur les paramètres de forage et les
couches traversées, fourni à partir de la cabine « mud logging », s'appuie sur le « smart
event detection », c'est-à-dire que chaque événement ne sera plus considéré simplement
par rapport à une certaine profondeur ou une certaine heure, mais le système informatique
le traitera intilligemment dans son contexte réel, pour une meilleure réactivité des
opérateurs et un suivi plus précis des processus de forage.
Le Pre vue , un service optionnel pour prédire les zones de surpression en cours de
forage, est géré par des opérateurs de grande expérience. Ils se servent d'une multitude
de de paramètres mesurés sur site, et d'un logiciel de pointe pour estimer les risques
potentiels liés à la pression de la formation.
La transmission des informations du chantier aux sites distants, en temps réel, est
disponible depuis de nombreuses années, mais est aujourd'hui disponible via le plus
répandu des média : l'Internet. gWEB est un système de communication hautement
sécurisé qui permet de recevoir toutes les informations d'un sîte de forage, en temps réel,
sur n'importe quel poste branché au réseau. Sa facilité d'exploitation est fort appreciée par
ses utilisateurs, qui ont tous leur propre clé de sécurité.
Géoservices a longtemps conservé la position de leader dans l'analyse de gaz
d'hydrocarbures en cours de forages et cette position vient de se renforcer avec
l'introduction de la dernière génération d'équipements: le service FLAIR . Ce service est
géré par des opérateurs de grande expérience spécialement formés dans la détection et la
caractérisation de l'interprétation des indices d'hydrocarbure en cours de forage.
La chaine gaz, qui comprend, pour la première fois, un spectromètre de masse
spécialement conçu pour le chantier, est capable de mesurer C 1 à C8 en 90 secondes et
d'autres gaz comme l'H2S, le benzène et le toluène. Grâce à une maîtrise complète des
processus thermodynamiques en jeu et une méthodologie spécifique, il est désormais
possible de donner la valeur réelle du gaz contenu dans la boue de forage et d'en déduire
les compositions et la nature des fluides en place. ce service a déjà connu un grans
succès dans le golfe du Mexique, en Inde et en Afrique de l'Ouest.
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