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Oil extraction 26/07/08

Trou réalisé par rotation d'un outil ou trépan par l'intermédiaire de tiges creuses vissées
bout à bout et dont la manœuvre nécessite un chevalement (derrick) ou des « mâts » (2
poutres à treillis en forme de V renversé) pouvant être déplacés en quelques min par le
treuil de forage (hauteur 18 à 60 m). 3 mois au moins sont nécessaires pour forer un
puits ; en exploration, 3 puits sont « secs » pour un seul prometteur.

Techniques. Méthodes.   Classique (Rotary) : trépans à molettes et couronnes diamantaires


entraînés depuis la surface par le train de tiges. Turboforage : train de tiges fixe, une
turbine située au fond du puits entraîne le trépan ; évite la perte d'énergie due au
frottement (9/10 à 3 000 m) et le risque de torsion des tiges. Horizontal : une tête foreuse
installée au bout d'un train de tiges traverse verticalement différentes couches rocheuses.
A environ 200 m du gisement, combinée avec une conduite coudée, elle effectue un
virage pour atteindre la position horizontale et poursuivre sa progression sur plus d'une
dizaine de km. La surface de contact avec la roche imbibée de pétrole est maximale. Des
drains équipés de vannes sont installés et la pompe remonte le pétrole à la surface.
Permet d'atteindre indirectement un gisement. Multilatéral : multiplie les conduites pour
aller chercher le pétrole dans toutes les poches mêmes isolées.

Recherche : projet Deep Trek (mené par le gouvernement amér., coût : 10,4 M$), outils de
forage avec capteurs donnant des indications sur l'état de la roche interprétables en temps
réel pour optimiser le processus de forage.

Profondeur.   Maximale : 17 400 m (en cours) à Saatly (Azerbaïdjan) ; 11 000 m, presqu'île


de Kola (Russie) ; 9 583 m, Oklahoma (USA) ; 6 650 m (Ger 1, France). Moyenne : Hassi-
Messaoud (Algérie) 3 350 m ; Parentis (France) 2 350 m.

Taux de récupération (pétrole qui peut être ramené à la surface).   Primaire : production
naturelle du puits par décompression, environ 10 % du contenu. Secondaire : pompage ou
injection d'un fluide non miscible, comme de l'eau sous pression ou du gaz (balayage), 15
à 20 %. Tertiaire : procédés thermique [(injection de vapeur ou combustion souterraine),
par injection de solvants miscibles (hydrocarbures légers ou gaz carbonique)] et chimique
(injections de polymères organiques), 30 à 60 %. Aux USA, on pourrait extraire, par
récupération secondaire, 43 milliards de t supplémentaires ; assistée, 7.

Coût moyen.   Forage : à terre 5 à 20 millions de F, en mer 40 à 60. Le mètre foré au-delà de
5 000 m de profondeur coûte 8 fois plus cher qu'entre 500 et 800 m. Son prix en Alaska
est actuellement 100 fois plus élevé que dans les autres États américains.

Puits forés (forages d'exploration, d'extension et d'exploitation ; avant 1991, hors URSS et
pays d'Europe orientale).   Nombre de forages : 1950 : 47 365 ; 55 : 63 658 ; 60 : 55 616 ;
65 : 48 738 ; 70 : 35 187 ; 75 : 47 748 ; 80 : 85 291 ; 84 : 107 209 ; 90 : 50 517 ; 95 :
57 555 ; 99 : 51 376 ; 2000 : 68 181 ; 01 : 75 474 ; 02 : 70 053 ; 03 : 76 068 ; 04 : 89 478
(dont huile 20 043, gaz 41 490) ; 05 : 93 803 dont USA 41 189, Canada 23 790, Chine
12 635, Russie 4 540, Argentine 1 357, Venezuela 1 280, Indonésie 1 150, Mexique
729,Brésil 461, Oman 405, Arabie S. 373, Roumanie 275, G.-B. 290, Norvège 166.

Profondeur : moyenne (en m) 1985 : 1 430 ; 90 : 1 721 ; 93 : 1 910 ; 95 : 1 837 ; 2000 :
1 718 ; 01 : 1 738 ; 02 : 1 863 ; 03 : 1 818 ; 04 : 1 868 ; totale forée (en milliers de m) 1985 :
138 118 ; 90 : 86 929 ; 95 : 105 700 ; 2000 : 116 488 ; 01 : 132 634 ; 02 : 124 271 ; 03 :

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138 276 ; 04 : 167 141 dont Amér. du Nord 101 334 dont Canada 27 396, USA 73 938 ;
latine 8 326 dont Argentine 2 653, Bolivie 61, Brésil 787, Chili 3, Colombie 193, Cuba 55,
Équateur 363, Mexique 1 630, Pérou 75, Trinité-et-Tobago 175, Venezuela 2 253, autres
79 ; Afrique 2 934 dont Algérie 628, Angola 150, Congo 58, Égypte 830, Gabon 52, Libye
291, Nigéria 255, Soudan 467, Tunisie 41, autres 162 ; Europe 14 152 dont Allemagne 57,
Autriche 53, Croatie 27, Danemark 168, France 28, G.-B. 783, Hongrie 48, Italie 89,
Norvège 706, P.-Bas 80, Pologne 65, Roumanie 266, Tchéquie 12, Turquie 95, ex-URSS
11 618 (dont Russie 10 042), autres 56 ; Proche-Orient 4 091 dont Abû Dabî 276, Arabie
S. 840, Doubaï 25, Iraq 21, Iran 425, Koweït 198, Oman 1 240, Qatar 338, Syrie 373,
Yémen 273, Zone Neutre 54, autres 28 ; Extrême-Orient/Océanie 36 303 dont Australie
729, Brunei 54, Chine 30 889, Inde 1 462, Indonésie 1 221, Japon n.c., Malaisie 288,
Myanmar 89, Nlle-Zélande 83, Pakistan 168, Papouasie-Nlle-Guinée 12, Philippines 5,
Thaïlande 1 032, Viêt Nam 201, autres 71.

FORAGES EN MER (OFF SHORE)


Origines.   1897-98 Californie (à partir de jetées). 1911 Louisiane plate forme en bois. 1920
Venezuela lac de Maracaibo (en bois). 1947 pour 6 m d'eau golfe du Mexique à tuillis
tubulaire de Kerr Mc Gec (Ec.). 1948 pour 200 m à 17 km de la côte. Fonds, jusqu'à
2 292 m (le long du Mississippi), 1 740 m (Méditerranée, Espagne), 1 325 m (Congo).

Plates-formes.   TYPES : fixe sur pilotis (jacket) : depuis 1950, peu coûteuse mais
vulnérable aux vents et aux vagues ; « clouée » au fond en cas de tempête avec des
pieux (12 par jambe) qui pénètrent de plusieurs dizaines de m dans le sous-sol. Auto-
élévatrice (jackup) : depuis 1953 (329) : peut aller jusqu'à 100 m de fond, se déplace sur
les fonds une fois les piliers relevés par des vérins ou des crics ; sur l'emplacement du
forage, elle abaisse ses piles au fond de la mer et élève sa plate-forme au-dessus de la
surface de l'eau ; l'outil de forage est à l'extérieur sur un support en porte-à-faux. Semi-
submersible de type Pentagone : depuis 1962 ; maintenue en place par un système
d'ancrage (ballasts immergés au-dessous de la couche d'eau agitée par les vagues) ;
sensibilité au vent et aux courants de marée, ancrage difficile et long. A embase-poids : sur
base en béton d'un poids suffisant pour la stabilité sans ancrage par piles. En forme de
caisson, peut être utilisée comme réservoir.

Navires-usines : reconditionnés pour pomper, traiter et stocker le brut des gisements en se


déplaçant de puits en puits. Maintenus par des ancrages passifs (dépourvus de moteur)
ou par un système de positionnement dynamique (avec propulsion et guidage GPS), et
mobiles autour de leur proue par un roulement à billes. Origine : 1959 Suède, bouée pour
le ravitaillement en mer des bâtiments. 1970 Iran, 1re unité flottante de stockage et
déchargement en mer (FSO). 1976 Espagne (Castellon), 1re unité flottante de production,
stockage et déchargement en mer (FPSO). 1989 mer du Nord.

DIMENSIONS : jusqu'à 100 m de fond : exemples acier (3 000 à 8 000 t, 2 000 à 5 000 t
d'équipements, 100 à 500 MF), béton (200 000 t, 40 000 t d'équipements, 250 à 500 MF).
Plus de 200 m : acier (45 000 t, 1 500 M de F). Conçues pour résister à des vagues de
30 m de haut et des vents de 230 km/h. Plus grande plate-forme : golfe du Mexique à
160 km au sud de la Nlle-Orléans (Louisiane, USA), pylônes à 312 m de profondeur, haut.
totale 385,5 m ; coût : 1 500 millions de F. En mer du Nord Statfjord B (1977), 816 000 t,
béton, haut. 271 m. Troll, Norvège (1996), pour le gaz, 680 000 t, [soit 77 fois la tour Eiffel
(8 757 t)]. 472 m dont 330 immergés et 36 enfouis dans le sol ; coût : 10 MdF (Troll-Huile
flottante, 193 000 t, ancrée par des câbles à 323 m de fond. A partir d'avril 1995,
170 000 barils/j). Frigg (1975) 239 000. Ekofisk (1973) : 210 000 t et 160 000 t d'eau de
mer, fonds à 69,30 m, haut. 99 m, 2 ponts superposés (supérieur 2 ha), réservoir entouré

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d'un mur haut de 82 m à 19,40 m du réservoir ; le fond de la mer s'abaissant, on a, en
1987, rehaussé de 6 m les 47 jambes des 9 plates-formes et, en 1989, entouré le
réservoir d'un mur de 106 m en béton (coût 3,8 MdF). N'Kossa, Congo (flottante, 1996)
110 000 t, long. 220 m, larg. 46 m, surface utile 1 ha ; coût : 4,5 MdF. Hibernia à 315 km de
Terre-Neuve (à embase-poids 1997), 1 270 000 t, haut. 111 m, production 125 000 barils/j
pendant 19 ans ; coût : 21,5 MdF. NOMBRE : 6 612 sites dont 4 100 au large des USA.

Plates-formes disparues : de 1970 à 1994 : 800 ; 1995 : 150. Méthodes : récif artificiel : plate-
forme renversée dans un endroit approprié (coût : environ 50 millions de F pour moins de
1 500 t, 500 pour les plus importantes) ; enlèvement (en Europe) : si la profondeur d'eau est
inférieure à 55 m ; puits neutralisés par des bouchons d'acier et de ciment (entre 500 et
1 000 fermés/an) ; pieds des plates-formes coupés à l'explosif par l'intérieur, au niveau du
sol. Les pipelines sont laissés au fond et remplis de fluides ou sont remontés (coût 0,5 à
1 M$, aussi cher que de les installer).

Plate-forme transformée en base de lancement de satellites : Sea Launch (ex-Oddyssey) : voir


à l'Index.

Accidents.   [Abréviation : pl.-f. : plate-forme]. NOMBRE : de 1960 à 88, environ 30 ayant


fait 700 victimes. PRINCIPAUX :

Arabie :  1980-2-10 Ron Tappmeyer ; éruption gaz, pétrole : 19 †.

Brésil :  1984-16-8 Enchova PCE-1 » ; gaz, incendie, explosion : 37 †. 2001-20-3 P36 de
Petrobras : 32 000 t, haut. 120 m. Coût : 500 millions de $. Pompait 80 000 barils/j (8 % de
la production nationale) depuis mars 2000. Gît par 1 360 m de fond dans le bassin de
Campos (2 †, 8 disparus).

Chine :  1979-25-11 Pohai-2 ; effondrement au large de Tianjin : 72 †. 1983-26-10 Glomar


Java Sea ; chavirement : 81 †.

Égypte :  1974-8-10 Gemini ; auto-élévatrice, chavirement : 18 †.

Golfe du Mexique :  1976-16-4 Ocean Express ; naufrage : 13 †. 1989-mars incendie de 2 pl.-
f., 7 † ; -juillet écroulement d'une pl.-f., 11 †.

Louisiane :  1964-30-6 C.-P.-Baker, navire de forage ; incendie, chavirement : 22 †.

Mer du Nord :  1975-nov. Ekofisk, pl.-f. Alfa ; explosion : 3 †. 1976-mars échouage au large
de la Norvège : 6 noyés. 1977-22-4 Ekofisk, Bravo ; explosion : 12 000 t de pétrole
répandues. 1978-févr. Statfjord ; incendie : 5 †. 1980-27-3 Ekofisk, Alexander-Kielland ;
rupture d'un longeron, d'où rupture de 1 des 5 pieds et retournement : 123 †, 89 rescapés.
1981-24-11 Philipps-SS et Transworld-58 rompent leurs amarres et sont évacuées. -Déc.
Écosse, Borgland-Dolphin ; fissure, évacuation. 1988-6-7 Piper Alpha ; explosion : 167 †,
6 MdF de dégâts [mise en place 1976 (coût : 5,5 MdF), produisait 10 % du pétrole de mer
du Nord (perte annuelle pour G.-B. 3,3 MdF)]. 1989-18-4 Cormorant Alpha ; pas de victimes.

Nigéria :  1995-janv. explosion pl.-f. Mobil, 7 †.

Qatar :  1956-30-12 Qatar 1 effondrement : 20 †.

Terre-Neuve :  1982-15-2 Odeco Ocean Ranger coule (tempête) : 84 †.

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Ex-URSS :  1987 effondrement en mer Caspienne (Bakou).

Navires de forage.   Rapides (10 à 13 nœuds), capables de résister au mauvais temps ou de


le fuir. Certains sont à positionnement dynamique (maintenus à la verticale par des hélices,
l'influence du vent et de la houle étant corrigée par ordinateur). Forages jusqu'à 3 000 m
sans équipements particuliers.

Forage en eaux profondes.   Girassol (Total, 1 400 m de profondeur) à 150 km de l'Angola.


Une structure flottante [FPSO (Floating Production Storage Offloading)] 300 × 60 m,
amarré au fond par 16 ancres à succion de 160 t, traite et stocke le pétrole brut venant de
3 faisceaux de tuyaux, protégés par des cylindres, se déployant sur le fond et plongeant
par les puits dans la croûte terrestre.

Forage sous-marin automatique.   Permet la prospection jusqu'à 1 000 m ; têtes de puits


télécommandées avec connexion automatique et canalisations souples faisant remonter le
pétrole à une plate-forme flottante. Robot TIM (Télémanipulateur d'intervention et de
maintenance) : 12 t, mis en service par Elf à Grondin au Gabon (1 re mondiale). 5 caméras
permettent de le manœuvrer. Coût : 230 MF. Pompe multiphasique (projet Poséidon) :
lancé 1984 (Total-IFP-Statoil). Pompage et évacuation par pipeline sous-marin du pétrole
et du gaz bruts directement à la sortie du puits sans traitement préalable.

Marché mondial de l'offshore.   La France (2e après les USA) détient de 40 à 50 % du
marché de la plongée sous-marine industrielle (Comex) ; assure en mer du Nord 50 % des
commandes de plates-formes en béton, 25 % en acier, 10 % semi-submersibles.

Le gaz : Le gaz naturel est un mélange de combustible fossile de gaz d'hydrocarbure qui
se produit avec les gisements de pétrole. La majorité du temps, c'est du méthane avec un
peu d'éthane, de propane, de butane, et de d'autres gaz. On le trouve dans un état gazeux
et il est employé pour faire cuire et pour chauffer les maisons.

Le gaz naturel : Le gaz naturel est un mélange de combustible fossile de gaz


d'hydrocarbure qui se produit avec les gisements de pétrole. La majorité du temps, c'est
du méthane avec un peu d'éthane, de propane, de butane, et de d'autres gaz. On le
trouve dans un état gazeux et il est employé pour faire cuire et pour chauffer les maisons.

Le pétrole : Se rapporte à un éventail de substances composées principalement de


carbone et d'hydrogène qui sont trouvées dans la roche. Le mot dérive du mot Latin petra
pour la roche et du mot oléum pour le pétrole et qui signifie littéralement la « l’huile de
roche. » Bien que du pétrole puisse être trouvé sous une forme solide ou gazeuse, le
terme se rapporte habituellement aux formes liquides de pétrole brut et de gaz naturel.

Du pétrole : Un mélange de couleur jaune à noir épais, inflammable, d’hydrocarbures


gazeux, liquides et solides qui se produit naturellement sous la surface. Il peut être séparé
en différents éléments tels le gaz naturel, l'essence, le naphte, le kérosène, et le carburant
de moteur à réaction. Le pétrole est une ressource non-renouvelable, car elle ne peut pas
se renouveler dans une courte période.

Le pétrole brut : Le pétrole liquide non raffiné quand il sort de la terre. Le type de pétroles
bruts varie de très léger (haute concentration en essence) à très lourd (haute
concentration en huiles résiduelles).

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Les sables bitumeux : C'est une combinaison d'argile, de sable, d'eau et de bitume
(hydrocarbures), qui est alors raffiné en pétrole. Des gisements de sable bitumeux sont
extraits en utilisant des techniques d’extraction à ciel ouvert.

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Dans le cadre du projet pétrolier Sakhalin-1 situé à l’est de la Russie, Exxon Mobil
contribue à produire une plus grande quantité d’hydrocarbures tout en essayant de
réduire l’impact environnemental.

Le puits a été foré à l’aide d'une tour de forage terrestre la plus puissante au monde. A
environ 11 kilomètres des côtes, Exxon a employé une technologie à long déport jusqu’à
une zone sous-marine où est situé le gisement de pétrole.

"L’emploi de la technologie à long déport au large conçu pour forer le fond océanique
jusqu’aux gisements de pétrole et de gaz, élimine la nécessité de prévoir des structures,
des pipelines et d'autres services connexes au large des côtes" a déclaré Morris Foster, le
président d’ExxonMobil.

L’équipe du projet Sakhalin-1, exploité par la filiale d'ExxonMobil en Russie (Exxon


Neftegas Limited), a utilisé des technologies de pointe pour forer le puits Z-12 en un temps
record. Soit la moitié du temps requis par la technologie conventionnelle.

Le puits Z-12 est situé dans le champ 'Chayvo' qui contient 17 des 30 plus longs puits de
forage à long déport au monde. Exxon Neftegas établit donc un nouveau record en
atteignant une profondeur mesurée à 11 680 mètres (en biais). Celui-ci dépasse de 398
mètres le précédent record atteint en 2007 par le puits Z-11, toujours dans le cadre du
projet Sakhalin-1.

ExxonMobil indique avoir utiliser sa technologie « Integrated Hole Quality » afin de gérer
au mieux les nombreux paramètres du puits, comme la solidité, les contraintes de roche,
l’hydraulique des puits de forage, ou encore le processus d’optimisation appelé « Fast Drill
», qui analyse la quantité d’énergie utilisée pour rendre le processus de forage plus rapide
et plus efficace.Pendant toute la durée du projet, Sakhalin-1 devrait injecté dans
l’économie russe, plus de 50 milliards de dollars. Ce projet a permis à des entreprises
russes d'obtenir des contrats pour une valeur de 4,4 milliards de dollars. De même, la
proportion d’employés de nationalité russe participant aux opérations approchera à terme

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les 90%.Exxon Neftegas Limited avec 30% de participation est l’exploitant du projet
Sakhalin-1, qui inclut la société japonaise Sakhalin Oil and Gas Development (30%), les
filiales de Rosneft, la compagnie pétrolière nationale russe, RN-Astra (8,5%),
Sakhalinmorneftegas-Shelf (11,5%) et la compagnie pétrolière nationale indienne ONGC
Videsh (20%).

Parallèlement à la technologie IHQ, nous avons utilisé un processus d’optimisation


appelé Fast Drill (forage rapide), qui est un outil d’analyse et un processus de travail
unique à base d’énergie qui permet aux ingénieurs du site de sondage et aux ingénieurs
de forage d’optimiser les performances dans chaque perçage de trou.

La Russie prouve que le 'pic de pétrole' est un mythe sioniste fabriqué pour
embourber l'occident dans des guerres, dont les buts sont la création du grand
"Yisrael" et le controle de toutes les ressources energétiques du Moyen Orient.

La russie possederait une génération d'avance dans le forage et l'exploitation des


puits de pétrole en tres grande profondeur.

Dans les années 70, les Russes ont commencé à forer sur une plateforme spéciale, Kola
SG-3, des puits d'exploration qui ont finalement atteint une profondeur record de plusieurs
centaines de metres (40.230 pieds). Des lors, les compagnies pétrolieres russes, dont
Yukos ont tranquillement foré plus de 310 puits de pétrole en grands fonds, et les ont
rendu capables de produire. La Russie a ainsi rattrapé l'année dernière, l'Arabie Saoudite
en tant que plus grand producteur de pétrole au monde, et est maintenant placée pour
dominer complètement la production de pétrole et les ventes globales pour le siècle à
venir.

Afin de comprendre comment la Russie a laissé le reste du monde dans son sillage, il est
essentiel de savoir un peu où le petrole se trouve et comment il est extrait à partir de la
terre, pour ensuite etre raffiner pour l'usage commercial. C'est un sujet énormément
complexe, mais en comprenant comme le petrole est récupéré, il n'est pas difficile ensuite
de comprendre, comme, illustré dans le diagramme ci-dessous, comment les russes ont
mis au point de nouvelles techniques de forage en grande profondeur.

Les Russes ont émis dans les années soixante une théorie, suggérant que les reserves de
pétrole en grande profondeur, se régéneraient d'elles memes, selon le mécanisme décrit
dans le schéma, et ils ont aisni pu décrire comment le pétrole était formé dans les grandes
profondeurs du manteau terrestre. Les Russes n'ont fait que confirmer leur théorie en
forant plus de 300 fois des puits en grande profondeur et en réussissant à les exploiter.
Ceux qui sont intéressés à étudier les processus exacts devraient rechercher les archives,
où il y a plus de deux cents papiers russes sur le sujet. L'un d'eux étant un papier
décrivant "le rôle du méthane dans la formation des carburants minéraux", écrit près A.D.
Bondar en 1967. L'avantage des puits en grande profondeur, c'est que les découvertes de
petrole et les accomplissements technologiques Russes lui donnent une avance
considérable sur les nations occidentales, qui s'acharnent avec l'OTAN, sous la
domination des fanatiques sionistes de Washington à découper et morceler les anciens
états communistes, pour réduire au maximum l'influence et le controle des Russes sur les
voies d'exportation du brut vers l'Europe ou l'Asie. Les exemples les plus récents étant le
Kirgystan, l'Ukraine, l'Adjarie en Géorgie, l'Azerbaidjan, l'Afghanistan, l'Iraq, la Bosnie et le
Kosovo.

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Le premier avantage en terme de marchés d'exploitation est que meme si les voies
d'exportations ne sont pas entierement controlées par les russes, la production et le
raffinage en grande profondeur reste le monopole russe. De ce fait, les compagnies
russes subjuguent les compagnies occidentales en remportant de nombreux nouveaux
marchés au Moyen Orient, au Maghreb, en Inde, en Asie et en Amérique du Sud. Le
second avantage est que les russes ont un énorme moyen de pression sur les
occidentaux et notamment les alliés de l'entité sioniste au Moyen Orient, en premier lieu
desquels se trouvent la cabale sioniste de Londres/Washington/Tel Aviv/Paris qui a été
cpnduit à envahir illégalement l'Irak pour reduire la dépendance energetique de l'entité
sioniste dans le futur et redessiner de nouvelles frontieres au Moyen Orient, permettant
aux sionistes de controler directement l'exploitation du brut iraquien, seconde reserves
mondiales, dans la région et de les mettre sous controle sioniste. Les défaites militaires
américano-sionistes flagrantes en Afghanistan et en Iraq diminuent un peu plus chaque
jour les chance de survie de "l'Etat Juif", et la tension provoquée par les coup d'Etats
successifs, dont celui du Liban, met tous les belligérents mondiaux au bord d'une guerre
thermonucléaire, puisque sans pétrole, l'occident n'est plus. Le simple fait de penser que
des pays Musulmans s'allieraient avec des Chinois ou les Russes, et qu'à eux trois ils
feraient basculer l'équilibre économique mondiale vers l'Est donnent des nausées aux
alliés de européens de l'OTAN et les Etats sionistes d'Amérique.

Le pétrole peut etre produit pratiquement n'importe où sur la terre, si le pays d'accueil peut
avoir les moyens et se payer la technologie encore tres chère pour forer en grande
profondeur, et supporter le coût massif de forages ultra-profonds dans des formations
rocheuses extrêmement dures, alors ces pays diminueront leur dépendance énergétique
vis à vis du marché des pays producteurs tout en faisant diminuer leur dépendance
économique des occidentaux, qui menacent d'envahir les pays producteurs pour subtiliser
et prendre le controle à la source comme l'entité sioniste l'a fait en Iraq.

Un des exemples les plus classiques est celui du tout petit Viet Nam, qui a su investir dans
la technologie russe pour se "libérer" des contraintes du marché mondial, à la botte des
multinationales sionistes américaines.
Après plus de 60 ans d'asservissement, de pillage, de vols et de viols par les Français,
puis par les Américains, les pauvres Vietnamiens ont été leurrés par les multinationales
petrolieres americaines, qui ont affirmé que leur pays était stérile, que la technologie
occidentale ne pourrait pas les aider à forer en grands fonds, qu'il n'y avait pas de pétrole,
que les investissements conssentis ne pourraient etre récupérer financièrement. Les
américains ont laissé derrière eux que le chaos, les bombes, l'agent orange dévastateur,
et une foule d'autres cadeaux "made in" oncle SAM. C'est exactement ce que les
américains voulaient, que les Vietnamiens soient : désespérément pauvres, incapables
d'agir contre leurs anciens envahisseurs, pour mieux les assouvir et dominer totalement le
pays. Les Francais ont agit et continuent d'agir de la meme maniere en Algérie de nos
jours.

Les sovietiques ont eu une approche très différente, ils ont tout d'abord fourni l'armement
aux Vietnamiens pour qu'ils combattent. Ensuite, ils ont dit aux Vietnamiens que les
américains leur avaient menti. Des experts en matière de forage pétrolier ont été ainsi
envoyés par Moscou pour prouver les sovietiques possédaient et fourniraient tous les
équipement en expertise gratuitement pour forer en tres grande profondeur, qt qu'ils ne
prendraient seulement alors qu'un faible pourcentage des bénéfices si du pétrole était
trouvé et des puits mis réellement en état de produire. Le Vietnam n'a eu absolument rien
à perdre, et le gouvernement communiste Vietnamien a rapidement donné son feu vert à

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la Russie.

Les gisements offshore de pétrole vietnamien du "Tigre Blanc" sont tres vite devenus un
énorme succès, produisant actuellement du brut de tres haute qualité,provenant de roche
basaltiques tres profondes (plus de 17.000 pieds au-dessous de la surface de la terre).
Les stations d'exploitations produisent 6000 barils par jour par puits. Avec le "Tigre Blanc",
les sovietiques avaient aidé les Vietnamiens à regagner une partie de leur estime, tout en
rendant en même temps le pays moins dépendant économiquement des nations
occidentales lointaines et brutales en matiere d'aumônes et d'aide alimentaire.

Soudainement, le tout petit Vietnam a rejoint le club exclusif des nations productrices de
pétrole, et sionistes de Wall street pnt commencé à envoyer leur esclaves sénateurs et
membres du congrès américain pour faire le long pélerinage dans la ville de Ho Chi Minh
pour réparer les dégats et rétablir les ponts entre les eux pays.

Apres le succes Vietnamien, la Chine communiste s'est également engagée dans un


partenariat avec les sovietiques pour forer en chine mais aussi s'associer dans le
développement de trois installations de forage en Corée du Nord, où ils ont l'intention de
répéter l'expérience vietnamienne de production en forant dans le granite et le basalte,
dans des zones ou les géologues occidentaux affirment encore qu'il n'y aura jamais de
pétrole brut. La Corée du Nord, puissance nucléaire, appauvrie et affaiblie par un
embarguo international pourra bénéficier d'un excédent de production de pétrole, qui avec
les prix du marché lui permettront de se libérer de l'aide "humanitaire" imposée par les
sionistes américains qui ne veulent que détruire leur pays et en piller les ressources.

Le projet du "Tigre Blanc" était le premier succes sovietique à l'international, cela a permis
de développer et exploiter les technologie de production de pétrole en ultra-profondeurs
sur de la roche basaltique un peu partout dans le monde.
Ainsi, en 1983, une grande plate-forme de forage, dans le delta indien du Ganges, a été
montée pour forer en dessous des 22000 pieds dans le basalte. Le puit de petrole de
Bodra 3 a été directement dirigé par des équipes de forages russes expérimentées, et les
scientifiques de l'institut de Moscou du forage.

Si il avait été permis à la plateforme Bodra 3 de forer encore plus avant sans encombre, il
n'y a aucun doute que l'impact résultant de cette nouvelle réussite aurait envoyé des
ondes chocs dans le monde, et un énorme prestige international pour les Russes. Le
peuple désespérément pauvre du Bengale aurait pu accédé à leurs propres réserves
d'énergie. Malheureusement, on n'a pas permis à Bodra 3 de forer en avant sans
encombre. Les américains ont fait arrêter le projet, ils ont joué sur la crainte à New Delhi
du gouvernement communiste de l'état du Bengale. En corrompant une poignée de
fonctionnaires du gouvernement central indien, les services de la CIA ont introduit une
équipe de saboteurs américains professionnels, qui sont parvenus à détruire le projet de
forage.

L'une des raisons qui a poussé les fanatiques sionistes de Wall Street à envahir
illégalement l'Irak est que les nords américains dévorent une part trop importante de l'offre
globale de pétrole produit sur le marché. Le "pic de pétrole" n'est pas la fin des réserves
mondiales de pétrole ou l'incapacité à produire des quantités suffisantes pour prévoir les
divers besoins énergétiques des pays consommateurs. Le "pic de pétrole" est une
fabrication sioniste pour déguiser l'appétit croissant et egoiste d'une minorité de malades

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mentaux fanatiques et psychopates, qui depuis les Etats Unis, souhaitent préserver leurs
ressources de pétrole brut, controler le dévelloppement d'autres nations comme la Chine,
de façon à en tirer le maximum de bénéfices. Le "pic de pétrole" sert également à couvrir
et masquer l'incapacité des sociétés occidentales, dont les USA à payer en argent
comptant le produit qu'ils achetent aux pays producteurs. La faillite totale de l'économie
liberalo-capitaliste nord américaine et européene, qui a longtemps cru pouvoir se relancer
grace à des guerres coloniales, ne peut plus payer la note énergétique. Sans argent
comptant, et risquant de perdre toute crédibilité et puissance financiere dnas le monde, les
sionistes fou-alliés de Wall Street ont essayé de faire diversion un certain temps, les
résultats d ela guerre en Iraq sont catastrophiques pour Bush et ses maitres à Tel Aviv et
Washington. Pour la premiere fois, la banque européene a reconnu que les prix trop
élevés du brut nuisaient à la reprise économique, attendue depuis le début de la guerre en
Iraq en 2003. Hors, ces prix largement au dessus de la normal ne sont que le résultats des
politiques terroristes guerrieres de l'entité sioniste qui entraine dans sa chute finale son
esclave américain, et ses vassaux européens.

Cette situation de désolation économique est tres bien décrite par le professeur Victor
Poleo de l'université centrale du Venezuela, qui a décalré en avril 2004 que "le
mécanisme par lequel les prix du pétrole globaux sont fixés sont corrects, mais le
comportement normal de l'offre et la demande lui ne l'est pas." Selon Poleo, la racine
du problème vient du fait que les Etats-Unis "sont victimes de leurs métastases
énergetiques. Les USA n'ont ni le pétrole, ni le gaz naturel pour alimenter leur
modèle de vie. Avec juste six pour cent de la population mondiale, les USA
consomment presque 25 pour cent du pétrole et de gaz produit dans le monde.''

Le professeur Poleo explique que la voracité energétique des américains se serait


améloirée si la consommation d'essence aux Etats-Unis s'étaient stabilisés à environ 7.2
millions de barils par jour au milieu des années 90. ''Cela ne s'est pas produit'' . Au
contraire, ''la voracité des Etats-Unis pour l'essence a atteint neuf millions de barils
en 2003, un litre sur deux, dans le monde, sont brûlés aux Etats-Unis''. Et la
demande domestique de pétrole brut continuera à se développer. Les Etats-Unis
importent aujourd'hui six barils de brut sur 10 produits, et deux barils de gaz sur 10
produits dans le monde. D'ici 2020, ils importeront huit barils sur 10 de pétrole et quatre
barils de gaz sur 10 produits au niveau mondial, selon des rapports du gouvernement
etats-unien.

Au début de années 80, les services de renseignements américains connaissaient déjà les
accomplissements technologiques des russes avec la production de pétrole en tres
grande profondeur dans le manteau terrestre, il était évident que cette méthode lente et
chère ne pouvait s'adapter au mode de société des américains, ces methodes de forage
ne permettait pas de suivre l'appétit grandissant et vorace de la société nord américaine,
car la demande domestique s'était développée trop rapidement, et les réserves se sont
finalement épuisées. Les élites sionistes et sionisées des Etats-Unis auraient été obligés
de diviser par deux leur propre utilisation d'essence, ou d'aller voler le petrole de
quelqu'un d'autre par la force. La réduction de l'utilisation de l'essence était inadmissible
pour les élites politiques et elle l'est toujours. Ainsi, au lieu d'investir dans des centaines
de plates-formes de forage ultra-profondes, Wall Street a gaspillé l'argent comptant en
construisant plus de porte-avions, avec l'objectif désespéré d'attaquer et d'occuper de
manière permanente le Moyen-Orient...

Les ingénieurs russes ont découvert que leurs réserves existantes "s'étaient
reconstituées completement". Plus tard, ls russes ont constaté que le phenomene qu'ils

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observaient dan les puits de petrole en tres grands fonds était un processus naturel, de
vastes quantités de petrole venant du manteau terrestre remontaient vers les "gisements
de pétrole sédimentaires" par les fissures de la croute terrestre, placés relativement près
de la surface. Les russes ont constaté que la pression dans ces champs de reserves était
légèrement réduite, permettant de ce fait au petrole, situé plus profondement dans le
manteau terrestre de remonter vers le haut du manteau et de réapprovisionner les
gisements de petrole situés plus au dessous, et à partir desquels les plates formes de
forage pompaient l'or noir.

Les études russes sur leurs propres puits ultra-profonds et ceux du "Tigre Blanc" au
Vietnam, indiquaient en terme très approximatifs que la migration de petrole des
profondeurs vers la surface du manteau étaient probablement de 20 à 30% inferieurs à
ceux des puits du Moyen-Orient. Ce qui signifie plus clairement que si les débits de
pompage des puits Irakiens et Saoudiens étaient réduits d'environ 30%, l'offre et la
production de petrole continueront pour toujours, car la diminution de la pression dans les
gisements de reserves exploités, faciliterait la remontée du petrole depuis les grandes
profondeurs du manteau, pour remplir à nouveau les gisements de petrole sedimentaire
en surface du manteau terrestre. Il va s'en dire qu'une diminution de la production de brut
de 30% au Moyen Orient aurait des effets catastrophiques sur l'économie américaine et
mondiale, car cette reduction de la production ne convient pas du tout aux prévisions
croissantes de la consommation d'essence aux Etats-Unis pour le siècle à venir. C'est
l'une des raisons pourquoi des centaines d'américains meurent et continueront à mourir en
Iraq et partout ailleurs au Moyen-Orient.

Les théoriciens du "Peak Oil" (ndlr: pic de petrole) affirment que la production à partir des
puits de forage existants "ralenti", et donc que les gisements de pétrole sont " secs". Or,
quand le petrole est extrait à partir d'un gisement souterrain, le petrole sort au dehors par
des trous creusés dans la roche des gisements, puis il passe dans le tuyau de forage, d'où
il est transporté vers le systeme de tuyauterie destiné à la production. Ainsi, naturellement,
la section inférieure du puit est "le trou creusé dans la roche" qui permet au brut de couler
au dehors en premier lieu. Mais "ce trou" dans la roche est parfois instable, cette section
ouverte du trou de forage est sujette également à de la turbulence due à la pression et à la
souille. Par exemple, de tres faibles quantités de vase fine peuvent sortir par les pores
naturels de la roche mais ne pas continuer vers la surface avec le pétrole, retombant tout
autour du trou de forage, créant ainsi des turbulences à la place, jusqu'à ce que la vase
accumulée commence très lentement à bloquer les gorges productrices de pétrole et les
pores dans la roche. Le résultat inévitable de ceci est que le taux initial de production du
puit diminuera lentement, un fait connu de chaque expert pétrolier dans l'exploration
petroliere. Cependant, ce n'est certainement pas une indication que le gisement de pétrole
lui-même s'épuise, et cela a été prouvé par le forage de puits excentrés dans le même
gisement. Le nouveau puit commence la production au taux original de production de ses
cousins plus âgés, parce qu'il n'a pas encore eu le temps d'accumuler une couche mince
de souille à travers le trou de forage.

Prenons l'exemple d'un petit gisement de pétrole en Irak, avec dix puits, dont chacun
produit 10000 barils de brut par jour. Le gisement produit 100000 barils par jour à partir
d'un petit champ petrolifere, pendant un moment. Cinq ans après, du fait de la
contamination, la production a ralenti notre production globale de dix pour cent à 90000
barils par jour. Ainsi, nous sommes maintenant confrontés à un choix : "un changement de
forage" sur chacun des dix puits existants, qui coutera cher en dépenses, ou un simple
forage additionnel bien dans le même gisement, pour reconstituer la production
quotidienne à 100000 barils. c'est ce qui est en général appliqué dans les societé

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d'exploitation.

Il y a des periodes economiques et des endroits où ce processus simple n'est pas


applicable, par exemple sur une plate-forme en mer, grande et très chère, qui ne peut
avoir seulement 24 trous de forage, qui sont tous épuisés. Pour reconstituer la production
globale, après cinq ans, on peut construire une autre plateforme géante pour deux
milliards de dollars, ou "faire un changement de forage" sur chacun des 24 puits existants,
un par un et perdre beaucoup d'argent pour rien, car le temps de finir de forer 24
nouveaux trous, les premiers aurontt deja été bouché, ce n'est pas tres rentable.

D'ou l'utilisation de la technique de l'"underreamer". Un alésoir est directement mis en vis-


à-vis dans le trou de forage, la corde du foret est tournée vers la droite et des lames
sortent sous l'effet de la force centrifuge à une distance préréglée par les ingenieurs,
permettant de creuser avec l'outil dans le trou de forage du gisement. L'objectif est de
couper la vase qui souille le trou de forage à la surface du gisement à une profondeur qui
rendra à nouveau les puits de production au rendement initial. Pendant que l'underreamer
est en rotation, il est lentement abaissé pour agrandir la taille du trou de forage, souillé par
les débris, qui sont progressivement découpés et rejetés au loin. On a un "nouveau" puit
de petrole, avec une production maximum pour seulement un ou deux million de dollars de
restauration !

"L'underreamer" peut reconstituer un taux original de la production de puit de petrole, en


utilisant fondamentalement le même principe que le changement du filtre à essence dans
le moteur d'une automobile.

Ce processus est rarement employé en occident, mais l'industrie pétrolière russe est
parvenue à augmenter la production de ses puits existants par cette technologie de
"l'underreaming" et ceci dans des milliers de puits de brut anciens au moins de dix ans.
Lorsque sont arrivés les capitaux de Wall Street par l'intermediaire du sioniste Mikhail
Khodorkovsky, qui a frauduleusement racheté la société nationale Yukos pour une infime
fraction de sa valeur. Khordokovsky était sur le point de donner tout l'équipement et la
technologie russe entierement aux multinationales sionistes américaines, pour briser le
monopole russe, quand Poutine l'a fait intercepter dans son jet privé alors qu'il voyageait
quelque part en Sibérie. Les sionistes de Wall Street 'ont été finalement empeché' par
Poutine au dernier moment d'acceder à la technolgie de forage en tres grande profondeur
et au marché petrolier russe interieur.

Pour récapituler, les spécialistes du "pic de petrole" aujourd'hui affirment que le fait de ne
decouvrir qu'un seul baril de pétrole pour quatre consommés amenuise les reserves de
petrole dans le monde. Cette propagande sioniste est complètement fallacieuse. Les
russes, et la CIA savaient parfaitement bien que les réserves de brut dans le manteau
étaient infinies depuis le début des années 80. Les spécialistes "du pic de petrole"
déclarent également que nous ne pourrons plus pomper suffisamment de petrole hors de
la terre pour répondre à la demande des marchés. Propagande sioniste complètement
fausse encore. On pourrait forer plus de puits, mais les fanatiques sionistes de Wall Street
n'en ont plus les moyens, et ils n'ont jamais prévu de le faire, tant qu'ils croyaient que la
conquête et l'occupation éternelle du Moyen-Orient étaient une possibilité réaliste, la
défaite en Iraq aura vite fait de les faire changer de plan !

Le professeur Poleo explique bien la direction que l'occident prend sous la houlette des
fanatiques sionistes américains, la fin inévitable. Si les USA veulent survivre dans le long

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terme, ils doivent suivre l'exemple des russes, qui ont réduire brusquement leur
consommation domestique. Dans les années 90, les USA consommait autour de 6 millions
de barils par jour comparés au 8.4 millions pour la Russie, mais comment les choses ont
changé depuis lors. Treize ans après en 2003, la consommation américaine était de 9
millions de barils par jours, alors que la consommation russe avait été réduite à seulement
3.2 millions de barrils par jours. Quelques millions de gens en Amérique du nord devraient
repenser totalemnt leur mode de vie et leur approche de l'utilisation des ressources
energetiques tres rapidement, l'invasion du Moyen Orient pour des raisons stratégiques et
sous l'influence des fanatiques sionistes aux commandes du congres et du pentagone ne
suffira pas à regler le probleme de la surconsommation energetique des nords americains
et des occidentaux. Ils ne sont pas les seuls sur la planete, ils auraient dus s'en rendre
compte depuis bien longtemps...

La stratégie de prospection des hydrocarbures est basée sur le renforcement de la promotion des
bassins sédimentaires, le développement du partenariat, l’intégration et la maîtrise des nouvelles
technologies de prospection. Elle porte sur la réalisation d’études géologiques et analytiques et le
recours aux tests sismiques en trois dimensions.

(UBD, forage directionnel et horizontal, fishing et fraisage). Cette fusion entre l’ENTP et
Weatherford per

MAROC

La lourdeur des investissements constitue ainsi une contrainte significative pour


l’exploration. En moyenne, un forage en onshore coûte entre 100 et 150 MDH. Ce chiffre
est multiplié par 4 à 8 en offshore, en fonction de la zone et de la profondeur du puits.

Les spécialistes estiment qu’il faut en moyenne, pour un même emplacement, 10 forages
à partir du moment où l’on a des indices sérieux de présence de pétrole ou de gaz. Et ce
n’est pas tout. Un forage est précédé et suivi par d’autres étapes qui ont aussi un coût.
Par exemple, en amont, une reconnaissance en deux dimensions (2D) revient entre
60.000 et 100.000 DH par km2 alors qu’en 3D le coût est de 300.000 à 500.000 DH. Il faut
aussi comprendre que le processus d’exploration pétrolière est très long et se décompose
en plusieurs phases.

On compte d’abord près de deux années pour les seules études géologiques et
géochimiques, une ou deux pour le traitement des données, une à deux autres pour les
interprétations et l’évaluation d’un bassin. C’est seulement après que l’on peut décider
d’un forage. La durée des travaux est de 6 mois à une année. En cas de découverte, on
procède à une appréciation qui peut prendre de longs mois. Enfin, le développement du
site et la mise en place complète des infrastructures demanderont au moins huit ans,
selon le volume et la qualité du gisement.

Prendre le virage
Passons à l'action
L'air pur et l'énergie
L'air pur, les changements climatiques et l'appauvrissement de la couche d'ozone
La santé, l'environnement et l'économie

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Questions relatives à la qualité de l'air
Sources de pollution
Résidentielles et individuelles
Combustibles fossiles
Transport
Pétrole
Survol en amont de l'industrie pétrolière et gazière en amont
Raffinage du pétrole
Production d'électricité
Consommation énergétique de l'industrie
Fer et acier
Fonderie de métaux de base
Pâte et papier
Produits du bois d'oeuvre et produits connexes
Béton
Ciment
Asphalte
Agriculture
Produits de consommation et commerciaux
Polluants
Gaz à effet de serre
Surveillance de la pollution de l'air et inventaires des émissions
Ententes, législation, règlements et comités
Science et recherche
Branché sur l'air pur - Régions
Branché sur l'air pur - Local
À propos de Branché sur l'air pur
Rapports et publications
Carte du Site

Forage et extraction

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L’industrie pétr
olière et gazière en amont

Exploration pétrolière et gazière


Forage et extraction
Liens

www.condat.fr
Le groupe Condat propose une large gamme de produits chimiques adaptés aux métiers
de ses clients. Spécialiste de la chimie de contact, Condat conçoit, produit et
commercialise ainsi une offre technique complète répondant aux attentes les plus
exigeantes.
CONDAT LUBRIFIANTS DANS LES CATÉGORIES

Une fois découverts, les gisements de pétrole et de gaz restent à être exploités. Un trépan
au diamant et à l’acier trempé, monté au bout d’un train de tiges, perce la roche jusqu’au
gisement de pétrole et de gaz. En général, la profondeur d’un puits varie entre 1 et 5km,
mais certains peuvent aller jusqu’à 8km. Plus le puits est profond, plus il est difficile de
prévoir avec exactitude les résultats.

Parfois, le pétrole et le gaz peuvent remonter naturellement à la surface à cause de la


forte pression qui existe dans le gisement. C’est particulièrement vrai pour le gaz naturel,
qui est plus léger que l’air. Mais lorsque la pression est trop faible ou le pétrole est épais et
coule difficilement, il faut utiliser des pompes à balancier, aussi appelées «têtes de mule»
ou «têtes de cheval».

Pour faciliter le processus d’extraction, on peut injecter de l’eau ou un gaz comprimé par
un autre puits menant au même gisement, ce qui a pour effet de maintenir la pression
élevée. Cette technique a également été utilisée avec du CO 2 comprimé, ce qui offre
l’avantage supplémentaire de séquestrer et d’emmagasiner le CO 2 dans le gisement et de
réduire par le fait même les émissions de gaz à effet de serre qui contribuent au
changement climatique. Une fois foré et pleinement fonctionnel, le puits est fermé avec

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une tête de puits constituée d’une série de tiges et de soupapes servant à réguler le débit
et la pression du pétrole et du gaz avant leur acheminement aux raffineries par les
canalisations de transport.

Forage

Le puits est créé en forant un trou de 13 à 76 cm (de 5 à 30 pouces) de diamètre dans le


sol à l’aide d’une tour de forage qui actionne un trépan. Une fois le trou foré, des
éléments tubulaires en acier (tubage) légèrement plus petits que le trou de forage sont
installés dans le trou et fixés par cimentation. Le tubage assure l’intégrité structurale du
sondage nouvellement foré et isole les unes des autres et de la surface des zones de
haute pression qui pourraient être dangereuses.

Une fois ces zones isolées de façon sûre et la formation protégée par le tubage, on peut
forer le puits plus profondément (dans des formations potentiellement plus instables et
violentes) avec un trépan plus petit et en le revêtant d’un tubage également plus petit. Les
puits modernes comptent souvent de deux à cinq trous de plus en plus petits forés les uns
dans les autres, chacun étant revêtu de tubage fixé par cimentation.

Ce processus s’exécute grâce à une tour de forage qui contient tout l’équipement pour
faire circuler le fluide de forage, lever et tourner le tube, contrôler les pressions de fond,
retirer les déblais de forage du liquide de forage, et produire sur place l’énergie nécessaire
à ces opérations.

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Mais les grandes profondeurs posent tout de même des problèmes spécifiques, dus aux
conditions locales (pression, courants) et à la nécessité de remonter à la surface ce fluide
instable qu'est le pétrole brut. Autre souci, la masse des équipements à mettre en
opération, qui nécessite des moyens de levage en mer exceptionnels. Sous 2 000 m
d'eau, profondeur maximale de l'exploitation actuelle, la pression est de 200 bars (près de
200 fois la pression atmosphérique), soit autant qu'à l'intérieur des puits. Les
équipements, notamment tous les corps creux (tubes, vannes), doivent donc être conçus
pour résister à ces contraintes internes et externes. C'est particulièrement le cas du riser,
tube qui contient les tiges de forage et les tubes de descente et remontée des boues. Il est
comme un cheveu très long sous la barge de surface et doit résister aux efforts internes et
aux courants, tout en supportant son propre poids. Pour alléger une telle structure, on
emploie des mousses synthétiques spécifiques qui résistent à des pressions énormes.
L'acier arrive un peu en limite de performance et l'on commence à voir arriver des
matériaux composites pour le renforcer. La remontée du brut à la surface s'effectue par un
autre type de riser, sorte de tour verticale de 2 000 m, contenant un faisceau de tuyaux.
Au fond de la mer, il joue le rôle de collecteur auprès de puits de production satellites
auxquels il est relié par des lignes souples. Là, le défi est la lutte contre le froid. L'eau est
à 4 °C. Si le mélange pétrole et gaz est bien au chaud dans son réservoir (40 °C à 50 °C
pour les gisements peu enfouis) et s'écoule assez bien, il a une fâcheuse tendance à figer
s'il se refroidit trop. Un autre phénomène vient aggraver cette fluidité réduite : la formation
d'hydrates de gaz. En cas d'arrêt de l'extraction, cette combinaison solide peut obturer une
bonne longueur de canalisation, constituant un bouchon très difficile à éliminer. Il faut donc
prévoir des vidanges avec une huile adéquate et, souvent, chauffer l'intérieur du riser pour
protéger le brut contre le froid. Au moment de la mise en place des équipements, il faut
connecter entre eux tous ces tuyaux aux têtes de puits. Ces travaux sont dirigés depuis la
surface et constituent un véritable tour de force : savoir aligner deux tubes, déclencher
l'opération, visser des écrous ou enclencher un raccord baïonnette... Le champ de
Girassol (voir page 152) est de ce point de vue un chantier test pour le golfe de Guinée.
Forage horizontal. Pour s'affranchir en partie des lignes de fond, les pétroliers pensent à
utiliser beaucoup plus le forage horizontal, y compris en mer : les équipements restent sur
le rivage et les travaux progressent sous terre et vers le large. Le record est aujourd'hui de
onze kilomètres. Sur une telle distance, on peut se permettre de faire un tracé sinueux
pour collecter au passage plusieurs zones productives sur une même exploration. On sait
piloter l'outil foreur en temps réel grâce à des capteurs d'orientation et à d'autres mesures
en continu. Sur le gisement de Sincor (bassin de l'Orénoque, au Venezuela), TotalFinaElf
a pu accélérer le processus en transmettant les données de forage par satellite à Caracas,
la capitale, où géologues et géophysiciens les confrontaient à d'autres informations, par
exemple issues d'études sismiques, avant de retourner des indications pour diriger le
forage. Vu la difficulté à travailler par grande profondeur, seuls sont développés des
champs pétroliers importants (plusieurs centaines de millions de barils) et très productifs
(au moins 15 000 b/j par puits) et, si possible, d'huile de bonne qualité (fluide). Ce qui sort
du puits est un mélange complexe d'eau, d'huile, de gaz éventuellement, parfois de sable.
Dans de rares cas où la production est peu éloignée du rivage (jusqu'à 20 km), il est
possible d'expédier le brut directement vers l'installation de traitement par des pompes
polyphasiques, qui accceptent à la fois du liquide et du gaz. L'offshore profond étant loin
des côtes, il faut procéder sur place à la séparation de l'eau (réinjectée dans le puits) et du
gaz (souvent lui aussi réinjecté) pour obtenir le brut commercialisable. Cela implique des
installations de surface en rapport avec ces productions énormes. Le gisement de
N'Kossa, au large du Congo, a été, en 1995, la plus grande unité au monde de production
sur support flottant. Sur ce gisement, à 60 km des côtes par 170 m de fond, la barge de
production (vaste comme deux terrains de football, contenant 110 000 tonnes) traite l'huile
et le gaz (réinjection à 400 bars), sépare le GPL. La production est évacuée grâce à deux

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bateaux de stockage de 270 000 t de brut et 78 000 m3 de GPL. Ces installations de
surface subissent les conditions météorologiques et océaniques. Si le golfe de Guinée est
relativement calme, le golfe du Mexique est frappé par des cyclones, et la mer du Nord est
agitée par des vagues de 30 m de haut. Certaines zones sont brassées par des courants
sous-marins de plusieurs noeuds. La technologie des ancrages est donc décisive, tout
comme les moyens de positionnement sur le champ, au-dessus de la surface
d'exploitation. Ces grosses structures de traitement peuvent servir à exploiter des
gisements plus petits, raccordés par des lignes de fond, qui n'auraient pas été développés
autrement. Ce sera sans doute le cas sur le champ d'Astrid, au Gabon, où des forages
d'exploration par 2 800 m de fond sont en cours. Les réserves sont probablement
disséminées dans de nombreux réservoirs distants de 15 à 30 km. Il faudra donc imaginer
une stratégie de développement et une architecture qui maximise la récupération au
moindre coût. Enfin, ces moyens de production doivent résister dans le temps, sur
plusieurs années, voire des décennies. Si la production initiale est souvent récupérée
grâce à la pression interne du réservoir, il faut par la suite soutenir cette pression. D'où les
opérations de réinjection de gaz lorsqu'il y en a. Ce gaz peut être le gaz naturel qui sort du
puits, mais aussi du gaz carbonique ou de l'hydrogène sulfuré. De plus en plus, les
compagnies s'interdisent le développement d'un champ si le gaz ne peut pas être utilisé
en réinjection ou en production, et tendent à supprimer les torchères, sauf pour raison de
sécurité sur les plates-formes. Si du gaz n'est pas disponible, on le fabrique : on voit
apparaître des usines de séparation de l'azote de l'air à des fins d'injection pour soutenir la
pression. L'enjeu est aujourd'hui d'arriver à extraire le maximum d'huile d'un champ
pétrolier : accroître le taux de récupération moyen dans le monde de 1 % correspond en
moyenne à plus de trois ans de production. Chaque gisement a ses particularités :
certains contiennent une huile légère et seront récupérés à 70 % ; d'autres, plus
complexes, ne le seront qu'à 7 % ou 8 %. Plus la région est connue d'un point de vue
géologique, plus ces taux s'élèvent, rehaussant les prévisions de récupération. Après
plusieurs années d'extraction, les géologues opèrent une nouvelle étude sismique en 3D.
En superposant l'image avec celle qui a été obtenue lors de la précédente campagne,
apparaissent les zones affectées par l'extraction, celles où de l'huile a pu rester, celles où
un balayage par de l'eau ou d'autres produits pourrait la déloger. Ce travail, dit sismique
4D, la quatrième dimension étant le temps, contribue aujourd'hui à une profonde évolution
de la manière d'exploiter les gisements d'hydrocarbures.

Dans la prospection de pétrole et de gaz, le ciment est fréquemment utilisé dans le


processus de forage afin de maintenir en place le revêtement des puits une fois qu’un trou
a été percé. Les forages mesurent souvent plusieurs centaines voire milliers de mètres de
profondeur et il est important de surveiller la vitesse de prise du ciment afin de s’assurer
qu’il est bien solidifié avant de reprendre le forage. Un analyseur de ciment par ultrasons
(UCA) est utilisé dans les laboratoires de terrain et sur les sites de forage pour tester des
échantillons de lait de ciment en simulant les conditions de pression et de température afin
de déterminer la vitesse de prise initiale de l’échantillon.

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Processus de forage
Le forage à bord du JOIDES Resolution s'effectue à partir du plancher de forage, une plate-forme qui est localisée au
centre du navire. Dès que le navire est positionné sur le site, l'opération de forage commence et se poursuit 24 heures
sur 24. La tige de forage est stockée sur un support d'une largeur de 9,5 m appelé raccord long. L'équipage relie trois de
ces raccords longs ensemble pour former un trépied. Le trépan est mis en place et un système mécanique appelé aide-
foreur mécanique relie les trépieds ensemble pour former le train de forage. Le train de forage est abaissé doucement
vers le puits central, un orifice d'une largeur de 7  mètres qui court le long du fond du navire. Le train de forage est
abaissé jusqu'à ce qu'il atteigne le fond marin. Si la profondeur de l'eau est de 5 500 m, l'opération complète prendra
environ douze heures.
Une carotte est un bloc cylindrique de roche et/ou de sédiments prélevé au centre du puits de forage. Il contient toutes

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sortes de roches solides ou cassées, des conglomérats, du sable, du schiste et de l'argile que l'on retrouve dans le terrain
foré. Idéalement, la carotte est prélevée en un seul morceau, mais ce n'est pas toujours le cas.

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Forage en mer

De nos jours, le pétrole est extrait dans des endroits où les prospecteurs d'antan auraient
eu du mal à bondir de joie. Les nouveaux gisements se trouvent maintenant à 5 000
mètres sous les mers et leur exploitation exige des techniques de forage et de production
ultramodernes.

J.J. Traynor, chargé du secteur Recherche pétrolière et gazière à la Deutsche Bank,


confie que du point de vue des pays de l'opep, il n'est nullement besoin d'aller forer des
terrains encore inexplorés car leurs réserves sont suffisantes dans l'immédiat. De leur
côté, les compagnies pétrolières occidentales veulent s'assurer des sources
d'approvisionnement dans des régions politiquement fiables comme le golfe du Mexique,
en mer du Nord ou au large des côtes d'Afrique occidentale. «Les eaux profondes sont les
plus rentables, commente J.J. Traynor. Il n'existe aucun problème politique, rien que des
difficultés technologiques.»

Ces difficultés sont certes de taille, mais la technologie mise en œuvre est
impressionnante.

D'énormes navires de forage de 100 000 tonnes sillonnent les mers avec, à bord,
suffisamment d'équipements pour forer deux puits sans avoir à regagner leur port
d'attache. Maintenus en place grâce à un positionnement dynamique par propulseurs et
au guidage gps, ils envoient leurs trépans attaquer les fonds marins par 3 000 m de fond
et, de là, peuvent forer, avec une marge d'erreur de quelques centimètres, des puits
pouvant atteindre 6 000 m de profondeur. Les tiges peuvent même forer des puits déviés,
à partir du puits principal, afin d'atteindre d'autres gisements..

Trente mètres d'eau ne représentent guère qu'une petite distance supplémentaire entre le
pied de la tour de forage et le commencement du trou, mais 3 000 m d'eau - c'est tout
autre chose. Comme le faisait remarquer Ian Ball de la Shell dans son adresse à la

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conférence des Techniques Off-shore de mai 2000, les grandes profondeurs sont une
sorte «d'hydroespace... Elles sont aussi loin que la Lune.»

Comme la Lune, les eaux profondes (par définition, d'une profondeur d'au moins 1 500 m)
et les eaux ultraprofondes sont des environnements hostiles, mais pour des raisons
opposées. Sur la Lune, la corrosion est quasi inexistante et la pression atmosphérique
pratiquement nulle; en eaux profondes, la corrosion est massive et la pression énorme, ce
qui oblige à repenser la plupart des méthodes traditionnelles.

La boue de forage, par exemple, est un élément essentiel de tout forage. C'est un
mélange d'eau, d'argile et d'additifs, qui circule à l'intérieur des tiges de forage et remonte
dans l'espace resté libre entre ces tiges et la paroi du trou. Ce fluide lubrifie le trépan,
emporte les déblais à la surface où ils sont analysés, et soumet le trou de forage à une
pression hydrostatique qui l'empêche de s'effondrer.

Il faut sans cesser affiner la consistance de la boue pour l'adapter aux caractéristiques de
la formation géologique forée: si elle est trop fluide, le trou peut s'ébouler ou éclater; si elle
est trop dense, elle peut s'infiltrer et détruire les roches.

Les prospecteurs travaillant en offshore doivent faire parvenir la boue jusqu'au fond de la
mer. Pour ce faire, ils installent un tube métallique, dénommé «colonne montante», pour
prolonger le trou de forage du fond marin jusqu'à la plate-forme.

Quand ce tube est haut de 3 000 m, le poids de la boue complique sérieusement les
mesures effectuées au fond du puits. Le transport de la colonne est un lourd fardeau pour
la plate-forme. Les foreurs doivent aussi bien prévoir l'opération car il n'est guère aisé de
remonter d'urgence tout l'équipement quand un cyclone approche.

Tous les professionnels s'accordent à penser que le fluide de forage et les colonnes
montantes sont les deux plus grosses difficultés du forage en eaux profondes. L'un des
aspects de cette problématique tient notamment au poids des colonnes; des expériences
sont actuellement en cours avec des matériaux composites, comme un alliage d'acier et
de Kevlar, par exemple. Ainsi, une compagnie utilise des colonnes montantes dont la paroi
est plus épaisse au sommet et à la base qu'au milieu.

Même si l'on arrive à réduire le poids de la colonne montante, 3 000 mètres de boue
représentent tout de même une belle charge. Selon Scott Hoelscher, directeur du
marketing chez l'opérateur de plates-formes de forage r&b Falcon, «le poids initial est si
élevé que la différence relative au fond d'un trou très profond est, somme toute, assez
faible entre le poids requis pour prévenir l'éruption du puits et celui qui fera effondrer la
formation.»

C'est pourquoi toute l'industrie est à la recherche d'opération de forage qui se passerait de
colonne montante et où la boue ne circulerait que dans le trou de forage. Le fluide et les
déblais, qui doivent de toute manière être remontés à la surface pour examiner
l'exploitabilité du puits, pourraient être remontés par des canalisations souples. En fait,
seules les caractéristiques de la boue doivent être ajustées en fonction des valeurs
rencontrées dans le trou - comme si le puits était foré à terre.

«Le forage sans colonne a été envisagé au départ pour résoudre les problèmes de

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colonnes, mais il pourrait aussi résoudre des problèmes de puits», estime Scott
Hoelscher.

Comme l'écart de pression est supérieur, la boue de forage doit maintenir la paroi du trou
plus longtemps, avant qu'il ne soit renforcé par un tubage. Les tubes sont enfilés les uns
dans les autres, si bien que leur diamètre se rétrécit peu à peu. En conséquence, l'orifice
par lequel jaillera le pétrole se rapetisse au fil du creusement du puits.

Si le tubage du trou pouvait s'effectuer à intervalles plus espacés, les tubes pourraient
alors gagner en longueur, ce qui diminuerait les pertes de diamètre. «Le forage sans
colonne montante permettra de forer un trou de diamètre plus important, ce qui est plus
productif», souligne Scott Hoelscher.Théoriquement, en tout cas, car personne n'a encore
essayé le forage sans colonne montante. Bill Furlow, responsable de la rubrique
technologique du magazine professionnel Offshore, estime que les entreprises ne sont
pas encore prêtes à s'aventurer dans cette voie: «C'est très délicat parce que tout cela est
commandé à distance. S'il y a le moindre pépin en bas, c'est très difficile à réparer.»

Un autre défi consiste à accroître l'efficacité des plates-formes de forage.


Les nouveaux navires de type «Enterprise» de la société Transocean Sedco
Forex, leader mondial du forage, ont deux fonctions: à bord, un énorme
derrick en deux parties effectue d'autres tâches tout en forant.«Nous nous
occupons non seulement de forage, mais aussi du développement des
champs pétroliers», explique Earl Shanks, directeur du développement
technologique. Le tubage peut être mis en place, de même que des
canalisations souples, tout en poursuivant les opérations de forage. Cela
accélère le processus préparatoire et épargne jusqu'à 40 % du coût de
forage - une économie substantielle si l'on songe que le fonctionnement
d'un tel navire revient à un demi-million de dollars par jour.
Transocean Sedco Forex Label d'homologation
collabore aussi au nouveau
concept dtl (Drill the Limit: En 1999, l'agitateur submersible ITT
Forer à la limite) de la Flygt a été homologué par la société
Shell. On commence par de classification American Bureau of
créer virtuellement le «puits Shipping (ABS). Le Guide ABS pour
parfait». Puis, une équipe la certification des systèmes de forage
est chargée de concrétiser est établi à partir de normes propres à
l'idée. Le forage réel fait l'industrie pétrolière.
ensuite l'objet d'une
comparaison permanente Le processus de certification est
avec l'objectif. aussi long que complet. En premier
lieu, le client demande l'homologation
Grâce à ce concept, à fin de certification et soumet pour
l'opération de forage à partir cela les plans, le cahier de charge des
de la plate-forme semi- matériaux et les détails de la
submersible construite par

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Transocean Sedco Forex, la fabrication.
Transocean Marianas, a
accéléré de 30 à 40 %. Les ingénieurs de l'ABS examinent
ce dossier technique. S'ils le trouvent
Autrefois, la terre ne se satisfaisant, une lettre d'homologation
laissait pas facilement est envoyée au client. Dans le cas
arracher ses trésors; contraire, ils entrent en
aujourd'hui, leur conquête correspondance avec le client jusqu'à
exige des compétences ce que toutes les questions aient été
encore plus sophistiquées. convenablement traitées. Par ailleurs,
les inspecteurs de l'ABS se rendent sur
le site de fabrication pour examiner
l'équipement et assister aux derniers
essais.

Text Michael Lawton

© Tous droits réservés. © ITT Flygt AB - Solna - Suède - 2001.

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Exploration et production du pétrole [modifier]

Articles détaillés : Industrie pétrolière et pétrole non conventionnel.

plate-forme pétrolière : un des symboles de cette puissante industrie.


L’industrie pétrolière se subdivise schématiquement en « amont » (exploration, production)
et en « aval » (raffinage, distribution).

L’exploration, c’est-à-dire la recherche de gisements, et la production sont souvent


associées : les États accordent aux compagnies des concessions, pour lesquelles ces
dernières assument le coût de l’exploration, en échange de quoi elles exploitent (pour une
certaine durée) les gisements trouvés. Les mécanismes financiers sont variés : prêts à
long terme, participation au capital, financement via des emprunts faits auprès de banques
nationales, etc.

L’exploration commence par la connaissance géologique de la région, puis passe par


l’étude détaillée des structures géologiques (principalement par imagerie sismique, même
si la magnétométrie et la gravitométrie peuvent être utilisées) et la réalisation de puits. On
parle d’exploration « frontière » lorsque la région n’a pas encore de réserve mondiale
prouvée, le risque est alors très élevé mais le prix d’entrée est faible, et le retour peut être
important.

La production, ou plutôt l’extraction du pétrole, peut être une opération complexe : pour
maximiser la production finale, il faut gérer un réservoir composé de différents liquides aux
propriétés physico-chimiques très différentes (densité, fluidité, température de combustion
et toxicité, entre autres). Au cours de la vie d’un gisement, on ouvre de nouveaux puits
pour accéder aux poches restées inexploitées. En règle générale, on injecte de l’eau et/ou
du gaz dans le gisement, via des puits distincts de ceux qui extraient le pétrole. Une
mauvaise stratégie d’exploitation (mauvais emplacement des puits, injection inadaptée,
production trop rapide) peut diminuer de façon irréversible la quantité de pétrole
extractible. Par exemple, l'interface entre la nappe de pétrole et celle d’un liquide chargé
en soufre peut être brisée par simple brassage, polluant ainsi le pétrole.

Au cours des dernières décennies, l’exploration et la production se font en proportion


croissante en offshore : l’onshore, plus facile d’accès, a été exploité le premier. La loi de
Ricardo s’applique très bien au pétrole, et, en règle générale, le retour sur investissement
tend à diminuer : les gisements sont de plus en plus petits, dispersés, et difficiles à
exploiter. Il y a bien sûr des exceptions, comme dans des pays où l’exploration a
longtemps été paralysée pour des raisons politiques.

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Prospection Et Extraction Du Pétrole

Pour les pétroles conventionnels, relativement fluides, l'extraction s'effectue relativement


simplement, de manière naturelle ou assistée. L'évolution de la technologie permet
désormais de repousser la plupart des limites techniques d'autrefois.

Exploration et prospection de nouveaux gisements


pétrolifères
Pour trouver le pétrole, on cherche des bassins sédimentaires dans lesquels du gaz et du
pétrole ont pu se former. Gaz et pétrole ont ensuite dû avoir la possibilité de migrer à
travers des roches poreuses capables de contenir de grandes quantités.En dépit des
techniques de repérage modernes (imagerie satellite, études géophysiques, études
sismiques tridimensionnelles), la découverte d'un nouveau gisement reste incertaine
jusqu'à la mise en place du forage. Seul ce dernier pourra confirmer la présence du
précieux liquide.

Forage des puits de pétrole


Après le forage d'un puits d'exploration, destiné à confirmer la présence de pétrole,
d'autres puits sont creusés pour délimiter le gisement. La plupart des puits sont forés à
l'aide d'un trépan, un outil de coupe situé à l'extrémité d'un train de tige de forage supporté
par une tour métallique appelée derrick. Le trépan est entraîné en rotation. La vitesse de
forage varie fortement en fonction de la nature des roches traversées. De la "boue de
forage" (un mélange d'argile d'eau et de produits chimiques) est injectée en permanence à
l'intérieur des tiges. Elle remonte dans l'espace compris entre les tiges et les parois du
puits. La boue permet de refroidir le trépan et d'évacuer les débris de forage. De retour en
surface, la boue est filtrée et réinjectée dans le puits. L'analyse des débris permet de
qualifier les roches traversées.Les progrès dans les techniques de forage autorisent
désormais la réalisation de forages de petit diamètres, de forages déviés (obliques),
horizontaux, multidrains, etc... Ces progrès ont permis l'exploitation de gisements qui
n'étaient jusqu'alors pas rentables, pour des raisons techniques et/ou économiques.Pour
les gisements en mer (offshore), on a généralement recours à des plate-formes de
pompages autonomes. Des navires spéciaux peuvent être utilisés pour l'exploitation de
gisements de plus faibles capacité.

Récupération du pétrole
Suivant les caractéristiques du gisement, la récupération du pétrole peut s'effectuer de
manière totalement naturelle, ou, dans le cas contraire, elle doit être assistée.

Récupération naturelle du pétrole

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Si la pression du gisement est suffisante, le pétrole jaillit naturellement, à la manière d'un
puits artésien. Cependant, on a souvent recours à l'installation de pompes à balancier.
Après l'extraction de 20 à 30 % du pétrole présent dans le gisement, il est nécessaire de
procéder à une récupération assistée.

Récupération assistée du pétrole


Lorsque la pression du gisement est insuffisante, on procède à l'injection de fluide(s) pour
forcer le pétrole à remonter. Ces fluides peuvent être du gaz (celui du gisement, ou du gaz
de pétrole liquéfié), ou de l'eau.

Des techniques encore plus évoluées (et plus gourmandes en énergie), comme les
méthodes thermiques ou l'entraînement par fluide missible, permettent d'exploiter les
gisements délicats.

La méthode thermique consiste à chauffer le pétrole pour le fluidifier (c'est-à-dire diminuer


sa viscosité). La chaleur provient de l'injection de vapeur ou d'une combustion souterraine.

L'entraînement par fluide missible est effectué à l'aide de gaz carbonique ou de gaz de
pétrole liquéfié, plus léger. Enfin, des méthodes chimiques tente le limiter la capillarité qui
retient le pétrole dans les roches. On utilise pour cela des polymères ou des micros
émulsions à base d'huiles, d'eau, d'alcools et de tensioactifs.

Impact de l'évolution de la technologie


Sans entrer dans les détails, on peut dire que les progrès techniques ont permis :

d'identifier de nouveaux gisements pétroliers ;


d'exploiter de nouveaux gisements, là où d'anciennes technologies atteignaient leurs
limites ;
d'augmenter les rendements d'exploitation (gisement davantage exploités, prix de
revient diminué, etc).
La technologie a accompagné la hausse de la demande en pétrole, mais ces dernières
années le nombre de gisements découverts a connu une forte diminution, ce qui laisse
penser que le "Pic de Hubbert" est tout proche.

Economie russe: l'extraction du pétrole en baisse au premier semestre


2008 (Rosstat)
11:24
| 16

MOSCOU, 16 juillet - RIA Novosti.


L'extraction du pétrole en Russie
au premier semestre 2008 a
diminué de 0,6% par rapport à la
même période de 2007, à 242

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millions de tonnes, annonce
mercredi Rosstat (Service fédéral
des statistiques) dans un
communiqué.

La production du gaz a pour sa


part augmenté de 1,7%, avec 339
milliards de mètres de cube au
premier semestre 2008, tandis que
le raffinage du pétrole a chuté de
3,9% pour se situer à 116 millions
de tonnes. Le premier semestre de
2008 s'est soldé par la hausse de
0,2% de la production d'essence
(17,2 millions de tonnes). La
production de gasoil a augmenté
de 3,8% à 33,6 millions de tonnes
et la production de mazout a
connu une hausse de 3,6% pour
atteindre 31,8 millions de tonnes,
stipule le communiqué de Rosstat.

Une nouvelle
technologie d'extraction
du pétrole
Extrait du BE Russie N°11 -
Ambassade de France en Russie
Les scientifiques de
l'Institut de chimie des
corps solides et de
mécanochimie de
Novossibirsk et les
spécialistes de l'entreprise
UfaNIPINeft ont développé
une technologie qui
permettrait d'extraire du
pétrole additionnel de puits
déjà utilisés.

Les rendements d'extraction


du pétrole sont toujours
faibles. Compte tenu des
technologies actuelles, 30 à
40% du volume d'une poche

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de pétrole est extractible. Les
scientifiques russes auraient
établi que le traitement
mécanochimique de sable, de
tourbe, de débris de verre, ou
de déchets agricoles, permet
d'obtenir des réactifs
chimiques qui, après
activation dans le puits,
forment une composition
visqueuse, un gel qui remplit
les aspérités dans le sol et
augmente la capacité de la
couche à tenir l'eau sous
pression.

Des essais sur un champ


pétrolifère auraient montré que
l'utilisation de 300 kg de la
composition sur la base de sable
mécano-activé, d'un coût de 1
rouble/kg, permet l'extraction sur
un puit de 2000 tonnes de pétrole
additionnel.

Voici quelques termes dont la


signification peut paraître
nébuleuse et qui ont notamment été
sélectionnés en fonction de leur
emploi fréquent dans les articles ou
les ouvrages traitant de l’industrie
pétrolière.

PHYSIQUE-CHIMIE
Épuration en raffinerie : épuration des gaz de leurs éléments condensables.
Opérations de séparation : distillation par condensation des vapeurs du pétrole brut (ses
composants ayant un point d’ébullition différent, ils sont séparés par chauffage progressif) ;
extraction par solvant ; absorption par tamis moléculaires.
Produits de distillation du brut : gaz, fiouls (domestique et industriel), essence à 80 %,
naphta à 20 % (dont 90 % servent à fabriquer des carburants). Les mesures antipollution
impliquent que la part du naphta augmente dans la fabrication de l’essence. Autres
débouchés : matières plastiques, engrais.
Produits légers : produits dérivés (GPL ou gaz de pétrole liquéfié, naphta, essence, jet,
gazole et fioul domestique), en accroissement continu depuis les années 1960, au détriment
des produits lourds (fiouls lourds).

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Raffinage : le pétrole étant un mélange d’hydrocarbures inutilisables à l’état naturel (trop
inflammables et particulièrement riches en carbone), le raffinage consiste en une série
d’opérations de transformation en différents produits (carburant, combustible, solvant,
lubrifiant, bitume, paraffine).
Synthèses en raffinerie : craquage, qui vient de l’anglais cracking (casse les molécules
lourdes en molécules plus légères) ; hydrocracking (un flux d’hydrogène à haute
température et à haute pression découpe les molécules du fioul lourd) ; hydrogénation,
isomérisation, reformage catalytique, de l’anglais reforming (opérations transformant la
structure moléculaire des essences issues de la distillation) ; alkylation, polymérisation
(permettent de créer des hydrocarbures nouveaux).
Techniques d’amélioration : utilisées pour éliminer les particules indésirables afin de
mieux répondre à l’évolution des normes en matière de protection de l’environnement
(limitation de la teneur en benzène, abaissement de celle en soufre, pot catalytique et
essence sans plomb). Elles ont pour nom reformage, désulfuration, isomérisation, lavage à
la soude, alkylation.
GÉOLOGIE
Couverture : couche imperméable rencontrée par les hydrocarbures dans leur processus de
migration à partir de la roche-mère. En effet, plus légers que l’eau, ils ont tendance à
remonter vers la surface. Si la couverture est inexistante, ils s’échappent et suintent à la
surface ou bien se solidifient en bitume, perdant leurs constituants volatils.
Gravimétrie : mesure les variations de la pesanteur et donne des indications concernant la
nature et la profondeur des couches en fonction de leur densité.
Magnétométrie : mesure les variations du champ magnétique. On obtient ainsi une idée de
la répartition en profondeur des terrains cristallins qui n’ont aucune chance de contenir du
pétrole, appelé « huile » dans la profession.
Prospection acoustique : amélioration de la méthode sismique*. La mesure des variations
de l’impédance acoustique (intensité des sons renvoyés par le sol) permet de déterminer les
couches de sable ou de calcaire riches en pétrole, situées sous l’argile imperméable.
Prospection électrique : mesure de la résistance des roches au passage du courant, obtenue
aujourd’hui par diagraphie pratiquée dans le trou de sondage (le diagraphe est un instrument
qui permet de reproduire une image selon le principe de la chambre claire).
Prospection sismique : l’onde de choc de l’explosion d’une charge de dynamite se réfléchit
différemment sur des roches et permet d’en calculer les profondeurs approximatives.
Roche-mère : couches sédimentaires profondes, à fortes températures et pressions, où les
réactions chimiques éliminent les atomes d’azote et les restes d’oxygène pour ne laisser que
des molécules formées de carbone et d’hydrogène. Ces dernières constituent les
hydrocarbures liquides et gazeux.
Roche-réservoir : couche sédimentaire où les hydrocarbures sont piégés par la couverture*
et dont ils vont remplir les fissures et les cavités.
Taux de récupération : quantité de pétrole, exprimée en pourcentage, pouvant être extraite
du sous-sol. Elle dépend à la fois des conditions physiques, chimiques et géologiques des
gisements et de l’évolution des technologies.
EXPLOITATION ET TRANSPORT
Forage : trou de faible diamètre (20 à 50 centimètres) et plus ou moins profond (jusqu’à
11 000 mètres). Il fonctionne comme une énorme perceuse dont le derrick serait le corps, le
train de tiges, l’arbre, et le trépan (outil monobloc incrusté de diamants), la mèche. Il avance
de quelques mètres par heure. Un forage d’exploration dure de trois à six mois. Quatre

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forages sur cinq, voire six sur sept dans les zones encore inexplorées, ne débouchent sur
aucune découverte de gisements économiquement exploitables.
Forage dévié : forage initialement vertical et par la suite incliné, qui permet d’atteindre une
zone de production éloignée de l’emplacement du derrick, de contourner un obstacle
géologique (dôme de sel) ou, en mer, d’économiser un déplacement de la plate-forme.
Oléoduc ou pipeline : conduite terrestre ou maritime, composée de tubes soudés les uns
aux autres et permettant de transporter le pétrole grâce à des stations de pompage
régulièrement espacées. Relativement lourd en terme d’investissement, sa rentabilité exige
un débit régulier et important.
Tanker : vaste navire citerne spécialisé dans le transport du pétrole brut ou des produits
dérivés. Sa taille varie en fonction de la nature des produits transportés et du trajet à
effectuer. Les tankers appartiennent pour un quart aux compagnies pétrolières et pour les
trois quarts à des armateurs qui les affrètent pour des durées plus ou moins longues. Le prix
de location d’un navire s’appelle le « taux de fret ». Il varie selon les caractéristiques du
pétrolier, de sa route et de la disponibilité des navires. D’une façon générale, le coût du
transport ne constitue qu’une toute petite partie du prix d’un litre d’essence.
ÉCONOMIE
Baril : unité de mesure anglo-saxonne représentant 158,984 litres. Il y a 7,3 barils dans une
tonne de pétrole. Un million de barils par jour (b/j) représente 50 millions de tonnes par an.
Daisy Chain ou « guirlandes de marguerites » : ensemble des acheteurs et vendeurs
successifs d’une même cargaison (record : 56).
Marché pétrolier : les négociateurs du marché physique sont implantés partout dans le
monde alors que les marchés à terme* sont localisés sur les grandes places financières.
Les marchés du brut et des produits finis sont indépendants. Ainsi, dans une même
compagnie, les producteurs valorisent au mieux leurs cargaisons sur le marché mondial du
brut, tandis que les acheteurs recherchent le brut le mieux adapté à leurs raffineries et à leur
marché de produits finis.
Marché à terme ou marché spot : ensemble des ventes ne faisant pas l’objet de contrats à
moyen terme entre producteurs et compagnies. Les prix sont fixés instantanément ou
révisables à très court terme.
Trader : négociateur qui intervient sur les marchés pétroliers. Il a recours à des opérations
sur les marchés à terme*. Elles consistent à passer des ordres d’achat ou de vente d’une
certaine quantité de pétrole « papier » dont très peu (environ 5 %) se solderont par une
livraison effective de cargaison. Le principe est de compenser une opération réelle par une
opération « barils-papier » inverse, aux mêmes conditions : un négociateur achète une
cargaison de pétrole et, dans le même temps, vend l’équivalent de « barils-papier » sur le
marché à terme. Ainsi, si le prix du brut a chuté et que le négociateur perd de l’argent à la
revente du pétrole physique, il rachète le pétrole « papier » moins cher qu’il ne l’a vendu et
réalise un bénéfice qui compense la perte subie sur le marché réel.

OUTILS DE FORAGE
__________________________________________________________________

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Tours de forage
Derricks de puits de pétrole
Assises de fondation de derrick à pétrole et soutènement du moteur
Poulies de forage
Poulies roulantes pour puits de pétrole et de gaz
Treuils pour puits de pétrole
Eléments de treuils de puits de pétrole
Tables de rotation pour puits de pétrole et de gaz
Elévateurs pour tiges de forage et tubages
Contrôle des solides et matériel de manutention et de traitement des fluides de forage pour puits de pétr
Matériel à saumure pour puits
Séparateurs pétrole-eau souterrains
Obturateurs pour tours de forage pétrolier à terre
Matériel de contrôle des puits de pétrole et de gaz
Matériel de forage par vibrations acoustiques pour l'extraction du pétrole et du gaz
Pompes à boue pour puits de pétrole et de gaz
Vannes, pièces de rechange et accessoires de pompe à boue pour puits de pétrole
Matériel de manutention et gerbage de tubages pour champs de pétrole
Têtes de circulation pour puits de pétrole et de gaz
Tuyaux rotatifs tout acier pour puit de pétrole
Tête à injection et accessoires pour puits de pétrole

Tiges d'entraînement pour puits (kellys)


Eléments de trains de sonde et de garnitures de forage
Tête et trépans de rotary
Tête et trépans carottiers
Trépans diamantés pour puits de pétrole
Trépans de battage
Plaques de démantèlement pour trépans
Appareil de forage pour avant-trou
Equipements pour forage dirigé
Turbines et moteurs pour fond de puits de forage pétrolier
Cuiller de puits de pétrole
Matériel et outils de repêchage pour puits de pétrole
Matériel de carottage pour puits de pétrole et de gaz
Matériel et accessoires de tubage pour puits de pétrole et de gaz
Têtes de tubage, crochets de tubage pour champs de pétrole
Matériel de cimentation des puits de pétrole
Pinces Kelly et clés de tubage pour puit de forage
Essuie-tige, essuyeurs de tiges et câbles de forage
Matériel de contrôle de forage pour puits de pétrole
Equipement diagraphique pour puits de pétrole
Matériel d'essais pour rhéologie des fluides de forage
Indicateurs de profondeur de forage
Instrumentation pour forage pétrolier

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Indicateurs et enregistreurs de température pour les puits de pétrole
Télécommandes mécaniques pour vannes
Chapeau de palier pour matériel de tête de puits et arbres de noël
Systèmes d'achèvement des puits sous la mer
Etaux hydrauliques pour installations de forage
Ancres pour câbles de puits d'extraction
Matériel de stockage et manutention du pétrole pour gisements pétroliers
Systèmes de filtration du pétrole pour production offshore et à terre
Matériel de réfrigération pour puits
Redresseurs de tuyaux et de tiges d'entraînement Kelly pour puits

SELF-SHAPING DRILL CUTTING EDGE


Document Type and Number:
European Patent EP0548163
Kind Code:
B1

Abstract:
Abstract not available for EP0548163
Abstract of corresponding document: US5301762
PCT No. PCT/FR91/00720 Sec. 371 Date Mar. 12, 1993 Sec. 102(e) Date Mar. 12, 1993 PCT Filed
Sep. 12, 1991 PCT Pub. No. WO92/05335 PCT Pub. Date Apr. 2, 1992.Self-shaping disk-shaped
cutting edge of a drilling tool, comprising an outer diamond-impregnated polycrystalline layer (22)
applied onto a tungsten carbide layer (24), each cutting edge being mounted on a support (18)
which is integral with the body (12) of the drilling tool. The cutting edge and/or its support (18)
have areas (26) of least resistance, such as grooves, which are likely to cause successive fractures,
thereby forming an acute relief angle ((alpha)) with the rock to be drilled (28).

Oil & Gas Science and Technology - Rev. IFP, Vol. 30 (1975), No. 3, pp. 473-498
DOI: 10.2516/ogst:1975018

Contribution à l'étude de la "taille" des roches


Contribution to the Study of Rock Cutting
D. Nguyenminh

Laboratoire de Mécanique des Solides. Ecole Polytechnique


Résumé Une étude expérimentale détaillée du processus local de destruction des roches
par un outil de forage pétrolier a été faite par une méthode de similitude utilisant des
matériaux équivalents tendres. On examine l'influence de la forme de l'outil, de la
rugosité du contact et de la ductilité e globale » du matériau. Les résultats obtenus
sont ensuite comparés à ceux de l'analyse plastique par la théorie des charges limites.
Cette étude met en évidence l'existence de deux modes de rupture, l'action différente
du frottement superficiel selon le sens de l'écoulement relatif du matériau en contact,
le phénomène de la ductilité apparente qui dépend de la forme de l'outil ; elle précise
les paramètres mécaniques importants du forage.

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Abstract A detailed experimental investigation of the local process of rock cutting by a
drill bit was carried out on soft equivalent materials simulating rock under borehole
conditions. Different factors were analyzed : the shape of the bit tooth, the roughness
of ifs contact area, the average ductility of the materiat. The results obtained are then
compared with those from a plastic analysis based on the peak lood theory. This
investigation shows that there are two different modes of rock destruction, that the
Coulomb friction has a different effect depending on the relative direction of flow of
the materiat in contact with the bit, and that an apparent ductility of the materiat is
linked to the shape of the bit teeth. Finally, the basic mechanical variables for drilling
are described

© IFP 1975

Conditions d'apparition et formes de rebond d'un outil de forage


tricône
Conditions of Appearance and Forms of Lift-Off Dynamics (Bit
Bouncing) for a Roller Cone Drill Bit

C. Putot1 and C. Mabile2

  Institut Français du Pétrole


1

  Geoservices
2

Résumé Le mode de vibration longitudinal du train de tiges peut, dans certaines


conditions de forage, dégénérer en rebond avec séparation périodique à l'interface
outil tricône, roche; il va de soi que ce comportement doit être évité. En présence de
roches compactes, on a coutume d'associer le rebond à la présence d'un motif à
l'interface roche-outil, dit motif trilobé en raison de sa symétrie ternaire. Il se
matérialise par une ondulation périodique, sensiblement sinusoïdale, du front
d'abattage. En roches tendres , l'allure du phénomène de vibration longitudinale est
plus chaotique et fait l'objet d'investigations spécifiques liant dynamique et expulsion
de copeaux (programme Cutclean). En roches dures , l'expérience prouve que le motif
est repris à chaque passage d'outil par érosion différenciée des ondulations, sans qu'il
y ait nécessairement décollement. Il s'ensuit une rotation d'ensemble du motif
d'interface, de l'ordre de quelques degrés par tour, liée au décalage de phase entre
effort de coupe et ondulation. Le phénomène de rebond se manifeste
préférentiellement lorsqu'il y a accord entre la fréquence de défilement des cônes -
tributaire de la vitesse de rotation - et une fréquence propre du système de forage.
Mais le phénomène peut également se manifester loin des résonances prévues par
l'analyse linéaire. L'interprétation présentée dans cet article, issue du domaine d'étude
de l'usinage des métaux, est une étude de type formulation linéarisée. Le critère de
stabilité définit, pour un système donné, l'effort limite comme produit d'un terme
caractéristique de la formation par la raideur dynamique du mode de réponse de la
structure. Ce terme est analogue au coefficient d'Archard dans une loi d'usure. Le

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coefficient de proportionnalité entre effort normal et profondeur de passe n'a d'ailleurs
(la confusion est fréquente) aucun lien avec le module d'élasticité, mais davantage
avec la caractéristique de cohésion de la roche. Ainsi, et conformément à l'intuition, le
rebond se manifestera préférentiellement avec une roche très résistante et une
structure souple pour la fréquence envisagée. Des considérations d'efficacité de
coupe, liées à la compatibilité plus ou moins grande de la géométrie du cône et de la
courbure de l'interface du motif trilobé, sont dégagées et cadrent parfaitement avec
une dissymétrie observée sur les enregistrements (Trafor) du couple entre maxima et
minima ; les phases de décollement et de reprise de contact en cas de rebond sont
également compatibles avec les extrema de poids sur outil.

Abstract The longitudinal vibration mode of the drill string can, in certain drilling
conditions, degenerate into bit-bouncing wih periodic separation at the roller bit cone,
rock interface; it goes without saying that this behavior must be avoided. In the
presence of compact rocks, we are used to associating the lift-off dynamics to the
presence of a pattern at the rock-bit interface, known as a bottom hole pattern
because of its ternary symmetry. It emerges by a more or less sinusoidal, periodic
undulation of the cutting edge. On soft rocks , the speed of the longitudinal vibration
phenomenon is more chaotic and is the subject of specific investigations relating
dynamics and the expulsion of fragments (Cutclean programme). On hardrocks, the
experience proves that the pattern is repeated on each passage of the bit by
differentiated erosion of the undulations, without there necessarily being detachment.
A general rotation of the interface pattern then occurs, in the order of a few degrees
per turn, related the phase shift between cutting effort and undulation. The bounce
phenomenon appears especially when there is agreement between the running
frequency of the cones --dependent on the rotational speed- and a frequency which is
unique to the drilling system. However the phenomenon can also appear a long way
from the resonance predicted by the linear analysis. The interpretation presented in
this report, from the machining study field of the metals, is a linearised formulation
type study. The stability criteria defines, for a given system, the limit effort as a
product of a term which is characteristic of the formation, similar to the Archard
coefficient in a wear theory, by the dynamic rigidity of the response mode of the
structure, for the frequency which is likely to be induced. The proportionality
coefficient between normal force and depth of pass has, despite frequent confusion,
no link with the elasticity module, but more with the cohesion characteristic of the
rock. Thus, in compliance with intuition, the lift-off dynamics will preferentially appear
with a very resistant rock and a flexible structure for the frequency considered.
Factors of cutting efficiency related to the more or less large compatibility of the
geometry of the cone and the curvature of the interface of the bottom hole patterns
are cleared and correspond perfectly with a dissymmetry observed on the recordings
(Trafor) of the torque between maximum and minimum; the detachment and contact
repeat phases in case of bit-bouncing are also compatible with the extreme weight on
the bit.

EMPLOIS DANS LE FORAGE


__________________________________________________________________

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Possibilités d'emploi sur les
Plates-formes pétrolières en mer!
L'Offshore Oil industrie est responsable de milliers d'emplois chaque année,
Et permet à des personnes avec un minimum de scolarité et aucune expérience
antérieure de Acroître et Développer une carrière rentable.
Caledonian Offshore Ltd a mis au point un nouveau programme de
recrutement et uniques dans lesquels nous aidons le demandeur étape par
étape vers un nouvel emploi au sein de l'industrie pétrolière en mer.
À l'heure actuelle, de nouveaux personnels sont nécessaires pour de nombreux
projets pétroliers dans le monde.
POSTES DISPONIBLES
Il existe une variété de positions sur une plate-forme pétrolière offshore.
Certains postes ne sont disponibles que pour les candidats hautement qualifiés
tels que les ingénieurs, géologues... Toutefois, d'autres postions (Dits postes
de débutants) sont également disponibles pour les candidats sans expérience
antérieure ou d'éducation liée à l'Offshore Oil Industry. Certains de ces postes
sont; Rough neck, Roustabouts,
Restauration personnel etc.
Fondamentalement, le personnel de bord de la plate-forme pétrolière offshore
est réparti en deux catégories:
A) le forage du personnel
Il y a deux équipes de forage sur chaque plate-forme et chaque équipage est
composé d'huile de foreurs, rough necks, roustabouts,
Roustabout pousseurs, Derrick hommes, les voyagistes et les pousseurs et les
différents outils d'assistants. Il existe aussi des opérateurs, des électriciens,
des motormen, également des ingénieurs, des soudeurs etc. Lorsque
l'exploration sur la plate-forme est achevée le processus d'ingénierie du
personnel amorce le traitement de l'huile. Si vous êtes attirés par les travaux
de forage dans le secteur, vous pouvez normalement commencer à travailler
comme roustabout (assistant), et plus le temps passe et votre expérience de
travail augmente, vous pouvez être promu à un rough neck (perceuse
travailleuse pont), puis à une huile foreur.
B) Entretien du personnel de service
Une plate-forme et un floatel (séparé hôtel plate-forme) est une organisation
qui exige naturellement nourriture et le service.
Pour 500 personnes sont desservies 4 repas principaux sur différents quarts de
la journée. Les cabines (quartiers d'habitation) sont maintenues en état de
propreté,
Vêtements sont blanchis et les activités récréatives prévues. Naturellement,
cet immense besoin d'organisation de différents types de service et le
personnel de restauration, par exemple, Cuisiniers et le personnel de cuisine,
serveurs, nettoyeurs, etc. hélicoptère personnel Pour les personnes intéressées
à travailler dans le secteur des services, nous attendons une expansion des
possibilités d'emploi pour les expérimentés ainsi que pour le personnel
inexpérimenté.
Barge Capitaine:
La personne en charge d'une unité de forage flottante, tels que les semi-

Dentech SA Proprietary Document Page : 36/48


conducteurs submersibles et de son équipage.
Barge Engineer:
La personne en charge de l'équipement sur une unité de forage flottante tel
qu'un semi- submersibles.
Barge Master:
Le capitaine d'un juridique forage flottant.
Le Chaland capitaine est chargé du service maritime sur la plate-forme et est
Responsable de l'équipage, de la stabilité et de ballastage du navire, et
Supervision du chargement et à l'arrière du chargement.
Mécanicien en chef:
Il est responsable de la supervision et de la formation de mécanicien
d'équipage; Mécanicien Grade 1 et aider à l'entretien et la réparation
d'équipements mécaniques.
Equipe de Nettoyeur:
Un travail de l'équipage qui enlève le sable et la paraffine à partir de puits.
Control Room opérateur:
Un employé sur une semi-submersible, qui supervise la salle de contrôle de
ballast qui
Stabilise la plate-forme. L'opérateur surveille également le trafic maritime, la
plate-forme système d'alarme, et de la répartition du poids lors du chargement
et du déchargement.
Derrick homme:
C'est l'homme de l'équipe de forage qui grimpe à la tour de forage sur le stand
de singe
Mât de charge ou à bord de verrouillage et unlatch élévateur à pile forage
voyages. Le
Driller:
Il est directement responsable de la plate-forme et son équipage à son tour ou
de passage.
La foreuse est responsable des opérations de forage sur le plancher de forage
et
Exploite les équipements de levage et de rotation. Ceci est fait à partir de la
position de la foreuse sur le plancher de forage près de la foreuse de la console
du banc d'essai sur un terrain, et dans le contrôle
Floor Equipe:
Les travailleurs sur le plancher d'un travail de forage.
Floorman:
Un membre junior de l'équipe de forage, qui travaille sur le plancher du forage.
Gang Pusher:
Une personne chargée de superviser et de la formation de l'équipage de
roustabouts.
Le pousseur bande travaille sous la production de contremaître.
Motorman:
Le membre d'équipage sur un forage qui est responsable des opérations et de
la routine
L'entretien des principaux acteurs. Le motorman peut faire des réparations
mineures et

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Faire d'autres tâches si nécessaires.
Ingénieur de boue:
Un employé d'une société de service, le forage contractant ou de l'exploitant
d'un forage
Banc d'essai qui est en charge de la boue de forage. L'ingénieur prépare la
boue,
les tests, et ajuste tandis que les puits sont forés.
Un fluide de forage ingénieur travaille avec la boue de forage et d'autres
fluides de forage
Tels que l'air, le gaz naturel, et de la mousse. (Boue homme.
Rough neck: (floorman ou tournante assistant)
Un jeune membre d'une équipe de forage, un assistant du foreur, qui travaille
sur
L'étage d'un forage. Le rough neck fixe la glisse, manipule la pince,
Verrouille et le déverrouille les ascenseurs, et traite d'autres équipements de
forage sur le plancher.
Deux à quatre rough necks sont normalement utilisés sur chaque quart de
travail.
Roustabout:
Il travaille dans le primaire et dans le département de forage marin.
Le Roustabouts décharge des fournitures de la surface des bateaux, les puits
de production et des unités de service, utilisée sur un forage pour maintenir la
zone.
Il s'agit d'un poste.
Magasinier:
Un membre de l'équipe qui maintient des stocks et la distribution des
équipements et
pièces d'une Plate-forme off-shore.
Toolpusher:
Il est chargé des opérations de forage sur le site de forage. L'outil pousseur
supervise
L'équipage et des opérations. L'outil pousseur a souvent le pouvoir de
dépenser
de l'argent et garder des achats. Les foreurs sont sous l'outil pousseur, qui est
sous le surintendant de la production. L'outil est parfois appelé pousseur de la
plate-forme gérant ou directeur (chef de chantier de forage.
Mécanicien Sous la mer:
Un hydraulique et le contrôle du système ingénieur qui supervise l'installation,
l'entretien, et l'expérimentation de la sous-région mer et la prévention
d'éruption
et des contrôles sur une semi submersible, ou navire de forage.
Les postes supplémentaires nécessaires pour maintenir le fonctionnement de
travail
sont Le personnel de restauration (comme personnel d'hôtel, cuisiniers,
femmes de
chambres, nettoyeurs, etc. ...) et le personnel de service (comme les
techniciens,

Dentech SA Proprietary Document Page : 38/48


les plongeurs, les opérateurs de radio, etc.
Condition:

Afin d’extraire le pétrole ou le gaz naturel de la profondeur du gisement à la


surface de la terre, aussi bien le pétrole que le gaz doivent être compressés
en partie pour être ensuite acheminés de la profondeur à la surface de la
terre par pompage sous haute pression.

La matière est compressée et mise sous haute pression par l’utilisation d’un
turbo-compresseur dont l’arbre d’entraînement resp. de commande est
équipé de garnitures mécaniques. Ces garnitures mécaniques sont alimentés
d’azote afin d’éviter l’admission d’oxygène dans la partie intérieure du
compresseur. Un autre champ d’application de l’azote dans ce contexte est
de tenir l’installation en condition inerte, afin de prévenir des explosions.

La pratique quotidienne inclémente à bord de navires de forage ou de


plateformes off shore pose des exigences très poussées aux machines et
aux matériaux employés, car le travail en région off shore est effectué
sous les plus hautes exigences et dans le respect des mesures de sécurité
les plus strictes.

Les exigences spécifiques à l’égard des plateformes de forage de pétrole


ou du gaz conditionnent pour l’ingénierie, la fabrication et la certification
d’installations d’azote, la construction en acier inox de toutes les composantes,
et ce en commenVant par le boîtier de l’ensemble, qui est complété par un
vernissage protecteur.

Le romantisme qui entoure le forage est peut être lié au facteur de risque ou encore à
l'image fautive présentée par le cinéma et la télévision qui montrent des hommes
costauds manipulant de l'équipement lourd, des éruptions incontrôlées et des puits qui
explosent, alors que de nos jours, le forage est axé sur des technologies de pointe. Le
savoir-faire est plus important que la force musculaire. De plus, le perfectionnement
de l'équipement et des connaissances ont pratiquement éliminé les risques d'éruption
incontrôlée.
Au début de l'exploration pétrolière au Canada, les puits ne sont pas forés, ils sont
plutôt creusés à l'aide d'un système de forage au câble. L'installation de forage au
câble comporte un lourd trépan à l'extrémité affûtée qui est suspendu à une poulie ou
à un câble. C'est par le pilonnage constant du trépan sur le sol que l'on creuse le trou.
Vers la fin des années 20, la plupart des installations utilisent de l'équipement de
forage rotatif qui permet de creuser plus profondément et plus rapidement.
De nos jours, le forage s'effectue à l'aide d'un trépan fixé à l'extrémité de sections de
tubes d'acier. Chaque section d'environ 9 m est vissée à la section précédente. Le
trépan, la masse-tige (qui alourdit le trépan) et les sections de tubes forment le
« train de tiges », dont la rotation est assurée par une table de rotation. Le trépan en
rotation coupe et broie les formations rocheuses tout en étant lubrifié et refroidi par la
« boue de forage », un mélange d'eau ou d'huile, d'argile et de produits chimiques.
Les installations de forage conçues pour les puits très profonds (jusqu'à 5000 m) sont
beaucoup plus lourdes, plus imposantes et plus solides que celles utilisées pour forer à

Dentech SA Proprietary Document Page : 39/48


moins de 1000 m. Pour le forage en mer, les installations de forage sont
généralement fixées sur des barges ou des plates-formes qui sont remorquées d'un
puits à un autre. Certaines plates-formes de forage sont construites sur des navires
automoteurs spécialement conçus.

COMPLETION D’UN PUITS


Les foreurs surveillent constamment la progression du forage pour être en mesure de
décider rapidement d'abandonner ou d'achever un puits. Pendant le forage, on
analyse les débris de roche pour déceler des traces d'hydrocarbures. D'autres
évaluations et analyses sont également réalisées. Si les résultats indiquent qu'il s'agit
d'un puits sec, on lui injecte du ciment et on l'abandonne. Toutefois, si les résultats
semblent positifs, on procède à la complétion du puits.
La première étape de la complétion est l'installation d'une colonne de production,
c'est-à-dire qu'on fixe solidement un tube d'acier jusqu'au fond du puits. L'installation
de forage est ensuite remplacée par une plate-forme de maintenance montée sur
camion. La colonne de production est perforée pour permettre la circulation des
liquides et des gaz issus de la production dans le puits. Les perforations permettent
également d'accéder à la formation de production si des activités de complétion
supplémentaires sont entreprises.
Grâce aux techniques de complétion devenues rentables, en raison du prix du pétrole
et du gaz ou de l'amélioration de la technologie, on peut maintenant obtenir une
production intéressante en exploitant des formations dont le potentiel était considéré
comme étant minimal il y a quelques années. La fracturation est la technique de
complétion la plus courante. Selon ce procédé, on injecte des matières sous haute
pression dans le puits pour créer des fissures dans la roche-réservoir et permettre au
pétrole ou au gaz de circuler plus facilement.

Production
À mesure que la valeur du pétrole brut, du gaz naturel et des produits dérivés
augmente, il devient important d'optimiser les méthodes d'extraction. Seulement 25
p. 100 du pétrole contenu dans un gisement typique peut être extrait à l'aide des
moyens naturels ou des techniques de récupération primaires. Les techniques
d'extraction assistées permettent d'augmenter les quantités extraites de nombreux
réservoirs. La méthode par injection d'eau est la plus utilisée. Elle consiste à injecter
de l'eau dans la roche-réservoir pour pousser le pétrole vers le puits. Grâce à ces
techniques, le taux d'extraction peut dépasser 80 p. 100 de la réserve de pétrole.
Le gaz naturel monte en général à la surface sous l'effet de sa propre pression. C'est
pourquoi la tête d'un puits de gaz n'est en général qu'une série d'étrangleurs et de
vannes qui servent à régler le débit. Ce genre de tête de puits s'appelle « arbre de
Noël ». Le pétrole brut, qui contient généralement une certaine quantité de gaz
naturel ou de gaz associés, est parfois poussé à la surface par la pression naturelle
qu'il subit, mais dans la plupart des puits de pétrole brut au Canada, le pétrole doit
être poussé ou pompé jusqu'à la surface. Les appareils de pompage sont connus sous
plusieurs noms : chevalet de pompage, tête de cheval et balancier.

Dentech SA Proprietary Document Page : 40/48


Le forage
Seul le forage permet de savoir si le sous-sol contient des hydrocarbures en quantité suffisante pour
justifier l’exploitation.
Derrick : mât d’un appareil de forage
Un forage pétrolier est un puits de petit diamètre (inférieur à 0,5 m) dont la profondeur dépasse
rarement 3 000 m. Pour le réaliser, on utilise un trépan (sorte de perceuse) fixé à un derrick qui
descend dans le sous-sol en découpant la roche. Le forage se poursuit jour et nuit, progressant
lentement, au rythme moyen de quelques mètres à l’heure. La durée et le coût dépendent de la
localisation et de la profondeur du terrain.
A la fin du forage d’exploitation, le pétrole et le gaz sont parfois au rendez-vous. Dans le monde, on
compte en moyenne une découverte pour 10 forages effectués, mais il faut 100 forages pour
découvrir un seul gisement de 10 millions de tonnes/an.
Si le pétrole est là, trois ou quatre forages supplémentaires, appelés puits de confirmation sont
effectués à quelques kilomètres du trou, afin de délimiter la taille du gisement

FABRICANTS OUTILS DE FORAGE


__________________________________________________________________

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Pompe forage

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luide de forage
Les nombreuses fonctions des fluides de forage
L'environnement difficile des opérations de forage souterrain a encouragé les initiatives de
recherche et développement en vue de concevoir des fluides de forage pouvant jouer plusieurs rôles
importants : suspension, contrôle de la pression, stabilisation des formations, flottabilité,
lubrification et refroidissement.
SuspensionL'écoulement du fluide de forage dans la tige de forage est parfois interrompu suite
à un problème ou pour dégager la tige de forage afin de changer le trépan. A l'arrêt du forage, les
déblais en suspension dans le fluide risquent de couler au fond du trou, bloquant ainsi la foreuse.
Les fluides de forage ont une propriété très intéressante qui résout ce problème. En effet, l'épaisseur
ou la viscosité du fluide augmente au fur et à mesure que le fluide ralentit. Lorsque la circulation du

Dentech SA Proprietary Document Page : 45/48


fluide s'arrête, il se transforme en un gel épais qui retient les déblais rocheux et les empêche de
tomber au fond du puits. Lorsque le fluide recommence à circuler, il se fluidifie et retrouve sa forme
initiale, liquide et claire.
Contrôle de la pressionOn a tous en tête l'image populaire de pétrole jaillissant d'une
installation de forage, haut dans le ciel, pendant que les ouvriers se réjouissent d'avoir trouvé du
pétrole. De telles éruptions sont, en fait, assez rares et ne conduisent pas à des manifestations de joie
car les ouvriers se réjouissent d'avoir trouvé du pétrole. De telles éruptions sont, en fait, assez rares
et ne conduisent pas à des manifestations de joie car le but est d'extraire du pétrole d'une manière
contrôlée. La boue sert à empêcher les accidents en neutralisant la pression naturelle des fluides
dans la formation rocheuse. Il faut réussir à équilibrer la pression du fluide de forage qui doit être
suffisante pour contrecarrer la pression exercée par les formations rocheuses et par le pétrole ou le
gaz, mais pas trop forte pour ne pas endommager le puits. Si le poids du fluide de forage est trop
élevé, la roche risque de se fracturer et le fluide de forage se répandra dans le sol.
La pression d'un liquide dépend de sa densité. Des agents denses peuvent être ajoutés au fluide de
forage pour augmenter sa densité et, par conséquent, pour accroître la pression exercée sur les
parois du puits. La densité du liquide peut être ajustée pour satisfaire aux conditions du puits.

Stabilisation de la formation rocheuse exposéeLe processus de forage comprend deux


phases. Le forage commence d'abord dans des roches ne contenant pas de pétrole. Le
but est de se déplacer le plus rapidement possible et de parvenir à la roche contenant du
pétrole, appelée réservoir. La priorité consiste à assurer la stabilité de la formation
rocheuse mise à nu dans le puits tout en évitant de perdre le fluide de forage. En
maintenant la pression du fluide de forage au-dessus de la pression interstitielle de la
formation rocheuse, le fluide de forage a naturellement tendance à pénétrer la roche
perméable de la formation. Ceci peut être évité grâce à des additifs particuliers ajoutés
aux fluides de forage.

Le fluide de forage peut interagir avec la roche environnante de plusieurs manières. Par
exemple, si la roche renferme beaucoup de sel, l'eau dissoudra le sel et aura tendance à
rendre les parois du puits instables. Un fluide à base d'huile est plus approprié dans cette
situation. Les formations rocheuses à forte teneur en argile ont également tendance à être
évacuées avec l'eau. Ce type de formation nécessite un fluide inhibiteur pour maintenir la
stabilité du puits et empêcher l'élargissement du trou ou les fuites d'eau. Au fur et à
mesure que le forage avance, le puits est garni d'un tubage en acier qui est cimenté afin
de consolider le puits et d'offrir un passage pour remonter le pétrole à la surface lorsque le
réservoir est atteint. Une fois le réservoir atteint, il arrive que la composition du fluide de
forage doive être modifiée pour empêcher l'obturation des pores de la roche. Le maintien
des pores ouverts permet au pétrole de circuler plus librement dans le puits jusqu'à la
surface.
Flottabilité Un puits peut avoir plusieurs milliers de mètres de profondeur. Une tige de
forage en acier de cette longueur pèse plusieurs tonnes. L'immersion de la tige de forage
dans le fluide produit un effet de flottabilité, ce qui réduit son poids et limite la tension
appliquée sur le mécanisme de forage.
Lubrification et refroidissementLorsque le métal se déplace contre la roche, un
frottement et un échauffement se produisent. Les fluides de forage permettent de lubrifier
et de refroidir le trépan, ce qui assure un fonctionnement sans à-coups et prolonge la
durée de vie du trépan. La lubrification peut s'avérer particulièrement importante sur les
puits très profonds ou les puits horizontaux où le frottement entre la tige de forage, le
trépan et la surface rocheuse doit être réduit au minimum.

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nc des prises de postes de 12 heures, soit de jour ou soit de nuit. Nous étions deux dans
la cabine, le Mudlogger et le Data Engineer. Bien que les tâches soient différentes nous
travaillions en gardant toujours l'oeil l'un sur l'autre. Comme Data Engineer je m'occuppait
principalement de la maintenance du système d'acquisition ALS et de la supervision des
opérations.

La vie du rig (ce sont toutes les installations utilisées pour le forage) est itinérante. Le rig
se déplaçe en fonction des chantier, d'une

éoservices a toujours disposé d'un réservoir de personnes très expérimentées qui ont
acquis une excellente maîtrise du terrain et du forage. Ce potentiel humain permet d'assoir
le developpement de nouveaux services
Le geoNEXT , un nouveau service d'informations sur les paramètres de forage et les
couches traversées, fourni à partir de la cabine « mud logging », s'appuie sur le « smart
event detection », c'est-à-dire que chaque événement ne sera plus considéré simplement
par rapport à une certaine profondeur ou une certaine heure, mais le système informatique
le traitera intilligemment dans son contexte réel, pour une meilleure réactivité des
opérateurs et un suivi plus précis des processus de forage.
Le Pre vue , un service optionnel pour prédire les zones de surpression en cours de
forage, est géré par des opérateurs de grande expérience. Ils se servent d'une multitude
de de paramètres mesurés sur site, et d'un logiciel de pointe pour estimer les risques
potentiels liés à la pression de la formation.
La transmission des informations du chantier aux sites distants, en temps réel, est
disponible depuis de nombreuses années, mais est aujourd'hui disponible via le plus
répandu des média : l'Internet. gWEB est un système de communication hautement
sécurisé qui permet de recevoir toutes les informations d'un sîte de forage, en temps réel,
sur n'importe quel poste branché au réseau. Sa facilité d'exploitation est fort appreciée par
ses utilisateurs, qui ont tous leur propre clé de sécurité.
Géoservices a longtemps conservé la position de leader dans l'analyse de gaz
d'hydrocarbures en cours de forages et cette position vient de se renforcer avec
l'introduction de la dernière génération d'équipements: le service FLAIR . Ce service est
géré par des opérateurs de grande expérience spécialement formés dans la détection et la
caractérisation de l'interprétation des indices d'hydrocarbure en cours de forage.
La chaine gaz, qui comprend, pour la première fois, un spectromètre de masse
spécialement conçu pour le chantier, est capable de mesurer C 1 à C8 en 90 secondes et
d'autres gaz comme l'H2S, le benzène et le toluène. Grâce à une maîtrise complète des
processus thermodynamiques en jeu et une méthodologie spécifique, il est désormais
possible de donner la valeur réelle du gaz contenu dans la boue de forage et d'en déduire
les compositions et la nature des fluides en place. ce service a déjà connu un grans
succès dans le golfe du Mexique, en Inde et en Afrique de l'Ouest.

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