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SOMMAIRE
1. Préface
2. Anthologie
Préface
La poésie de nos jours, est un moyen d'expression presque désuet mais pourtant plus que jamais nécessaire. C'est un don, être poète, donner la poésie. La poésie est un
art qui est mal compris ou ignorée par beaucoup. la poésie, c'est l'émotion de l'auteur qui écrit, c'est l'émotion du lecteur qui interprète. Parfois le poète envoie un
message pour que l'on se mette à sa place et imagine son état mental, psychique. La poésie repose sur l'imagination et les sens multiples du poète.
Dans ce recueil de poèmes, le thème que j'ai choisi est le mal-être humain. Par définition, le mal-être est un sentiment général de malaise, qui peut s'exprimer de
différentes façons en fonction de chacun. Plus globalement, on peut définir le mal-être comme un vécu douloureux,ponctuel ou durable qui empêche de conduire ou
même de comprendre sa vie à sa façon. Quand je lisais les différents poèmes, je faisais particulièrement attention au ressenti et à quoi me faisait penser chacun d'entre
eux. Je les tout choisi non pas uniquement pour leurs beautés, mais pour le rapport que les poèmes avaient avec ma vie, et les réflexions que j'en dégageais. Une fois
tous les poèmes lus, l'idée d'écrire sur le mal-être humain m'est parvenu naturellement. Certains poèmes me faisaient ressentir de la compassion pour le personnage, par
exemple dans le poème "plus ne suit-ce que j'ai été" de Clément Marot, en raison du désespoir et du malaise très profond de l'homme. Ou encore, "mon beau printemps
et mon été, ont fais le saut par la fenêtre" le printemps et l'été ici faisant référence au moment de joie et le saut par la fenêtre à la mort. Ce qui m'a inspiré est la
puissance de la poésie et les images des oeuvres de peinture comme expression de la santé mentale des artistes. Certains des poèmes m'ont aussi permis de me rendre
compte immenses opportunités que la vie m'offrait ainsi que sa beauté, par contraste avec l'expression de la douleur de Rutebeuf, "la grièche d'hiver" où un homme au
plus profond de la miséricorde souffre de mal être matériel sur ses besoins élémentaires. Cette antologie à une double ambition, mobiliser les émotions du lecteurs face
à des êtres en souffrance pour ne pas oublier la fragilité et l'adversité de la vie et ne pas oublié sa beauté. Le mal -être est au centre l'antologie : Mal être matériel,
existentiel, émotionel, de la perte et amoureux.
j'ai choisi de mettre ces deux oeuvres en parrallèles pour plusieurs raisons.
La première raison, commune au deux oeuvres est la demonstration du mal être
matériel :
en effet sur la toile, les arbres plient sous la puissance du vent et sont, notamment pour celui au premier plan, sur le point de fendre. Le ciel y est gris, nuageux et le
climat a un aspect sombre. Notamment, l'état d'adversité ( le vent plie l'arbre de la peinture, la pauvrté affecte l'homme du poème) est illustré dans les deux oeuvres, et
place dans les deux cas les personnages dans un état de précarité et d'extrémité(l'arbre va plier, l'homme est desepéré)
les allusions au vent sont très fréquentes, notamment le parralèlisme présent dans le vers soulignés mets en avant la dépendance et la soumission aux aléas et à la force
du vent. De plus, les verbes "venir et revenir" font allusion au mouvement perpétuel du va-et-viens du vent.
Egalement, dans ce texte beaucoup de vers font allusion à l'hiver, au froid et plus généralement à la condition climatique et météorologique hostile et dur.
Dans les deux oeuvres, il est question de la force adversse de l'hiver : le poète projette sur l'homme les effets hostiles de l'hiver sur la nature et le tableau révèle par sa
noirceur la meme hostilité illlustrée par l'arbre qui ploit et l'obscurité du ciel.
j'ai choisi de mettre ces deux oeuvres en parrallèle par rapport à leur sujet commun qui
est le mal être existentiel
En effet, sur ce tableau de Manet, on voit un homme sur son lit, mort, s'etant donné
sucidé avec un pistolet encore entre ses mains. Sa chemise degorge de sang, il est pale et
sur le point de tomber de son lit. Les couleurs du tableau sont très fades et contraste
particulièrement avec le rouge du sang. Ce tableau pourrait représenter l'expression " sur
son lit de mort"
Dans le poème de Clément Marot, l'auteur utilise des métaphores tels que le vers ci
dessous qui insinue que le beau printemps et l'été, symbolisant la joie de l'auteur, se sont
donnés la mort en se precipitant dans le vide
j'ai choisis de mettre ses deux oeuvres en parralèlle par rapport a leur sujet
commun : le mal être emotionel
en effet, sur le tableau de Paul Gauguin nous pouvons appercevoir une jeune
femme, assise sur une chaise, elle est pale et parait figée, sans émotion. Le fond
de la peinture est séparé en deux, le haut bleu foncé avec des fleurs de couleurs
tres fades. Le bas de la peinture est rose avec des fleurs plus gaies. On peut
interpreter ce fond comme une illustration de la variation des émotions de la
femme. La limite entre les deux émotions tristes ou gaies étant exprimé par le
contour irrégulier du passage des couleurs trsites à gaies, on peut penser que
l'artiste a voulu montrer comment les emotions sont irrégulière en va-et-vien sans
que l'on puisse les controler.
comme dans le poème de Louise Labé, la poète fait souvent allusion a ses
emotions en les confrontant les unes au autres
le premier vers souligné, montre bien le sentiment de variation des emotions tout
comme dans le tableau, comme si l'emotion ressentie pouvait evoluer en vent
contraire de la précédante. Tout comme l'indique le vers souligné suivant, il
decrit le passage entre les deux poles extreme des emotions : le rire et les larmes.
Ces deux expressions émotionels sont donc mises en valeur l'un par l'autre en se
"Portrait d'une jeune femme " par Paul Gauguin
faisant face et qinsi se révelant dans une même phrase.
Ces vers ci-dessus montrent la puissance émotionel du sentiments amoureux pour un être humain. Au moment où on se sent à son plus haut et où on pense que rien ne
peux nous atteindre ( la force de la joie et de l'amour). La vie s’abat sur nous et nous faire comprendre qu’être vivant, c’est cela, être heureux et souffrir.
la jeune fille du tableau a l'air entre ses deux emotions représentées par le fond du tableau. Mi hereuse, Mi triste.
or ce tableau ayant été peint pendant la periode impressionniste, qui a pour but de capter l'instant présent et de restituer "l'impression" (comme perception) du peintre
sur la toile, on peut imaginer que le peintre a ressentit toutes les emotions controversées de la jeune fille au moment de sa peinture.
Ainsi ces deux oeuvres montre bien la complexité des emotions humaines.
j'ai choisis de mettre ces deux oeuvres en parralèlle par rapport a leur sujet
commun : le mal être de la perte
sur ce tableau de van gogh ,nous pouvons voir un homme, le regard vide, triste.
Les couleurs sont morose. Le fond s'illustre d'une tonalité sombre. Ce tableau a
été peint durant le mouvement de l'impressionisme, mouvement qui consistait a
peindre ce que le peintre ressentait. L'ensemble du tableau (l'aire du personnage
et la tonalité triste)expriment néssécairement le ressentit de mélancolie du
peintre. En effet cela represente un medcin peu de temps après avoir perdu sa
femme, il est penché vers l'avant signifiant l'affaiblisment du chagrin.
La mort est également centrale dans le poème, s'adressant à un père dévasté par la
mort de sa fille.
Les superlatifs plus et pire accentuent les deux antithèses "Les plus belles choses" et "le pire destin". Dans le tableau, on peut imaginer que l'homme considerait sa
femme comme l'un des meilleurs composant de sa vie, sa plus belle réussite.
Les deux oeuvres se rejoignent sur la perte d'un être cher, devenu une partie de soi en raison de leur dispiration.
j'ai choisis de mettre ses deux oeuvres en parralèlle par rapport a leur sujet commun : le mal
être amoureux
sur ce tableau de Edvard Munch, nous pouvons voir un jeune homme vêtu de noir, au 1er
plan à gauche, qui serre sa main contre son coeur qui saigne. Munch peint l'expression de
souffrance intense. De l'autre côté, une femme blonde, vétu de blanc, part dans une
direction opposée, la main droite montrant la route. Les couleurs de ces deux personnages
créent un contraste :
On peux imaginer que le chagrin d'amour du poète a profondement bléssé son coeur. Sur le
tableau, une allégorie imagée à lieu, la blessure etant représentéz par le sang s'ecoulant du
coeur, organe de la vie. On peux aussi penser que la trainée amont et aval de la femme
symbolise la continiuté de la vie et relie ainsi la peinture au poème avec le vers souligné. La
femme amoureuse continue sa vie alors que l'homme laissé est à l'arret
On peut pratiquement parler de gémellité entre les deux oeuvres, elle raconte la même
histoire.
"la séparation " par Edvard Munch
DIMENSIONS: 96x127 cm
huile sur toile