Vous êtes sur la page 1sur 29

MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE

SCIENTIFIQUE

INSTITUT SUPERIEUR DE
TECHNOLOGIE D’ANTANANARIVO
--oOo--
Premier Etablissement Public d’Enseignement Supérieur
et de Recherche Habilité et Accrédité à Madagascar par le MESUPRES

Département : GENIE CIVIL


Mention : GENIE
DU BATIMENT ET DES
INFRASTRUCTURES
Parcours : CONSTRUCTION CIVILE ET INFRASTUCTURES
XXVème/ Xème / Vème / Ière Promotion

« LA COMMUNICATION EN
ENTREPRENEURIAT »
(MODULE-3)

Enseignant : Dr RAJOMA Bernard

Présenté par :
 Stenny n°18
 RAVALASON Tahiana Aldo n°23
 RATSIMBA Hasina n°28
 Tsiory n°29

1992 - 2017 :
Vingt-cinq ans de maturité,
clé de développement et prospérité
SOMMAIRE

INTRODUCTION.......................................................................................1
PARTIE 1 :CONCEPTS ET GENERALITES.....................................................2
I. DÉFINITION DE LA « COMMUNICATION » :..................................................2
II. TYPES DE COMMUNICATION :...................................................................3
III. ETHIQUE EN COMMUNICATION :...............................................................9
IV. RELATION INTERPROFESSIONNELLE :.........................................................10
V. DOMAINE DE COMMUNICATION :............................................................11
PARTIE 2 :NEGOCIATION........................................................................13
I. DÉFINITION.........................................................................................13
II. TECHNIQUES DE NÉGOCIATION................................................................13
III. APPROCHE DE LA NÉGOCIATION..............................................................14
IV. LES DIVERS PROCESSUS..........................................................................15
V. LES POINTS FORTS D’UN BON NÉGOCIATEUR :............................................15
VI. COMMENT CONCLURE LA NÉGOCIATION ?.................................................16
PARTIE 3 :PRISE DE PAROLE EN PUBLIC..................................................17
I. PRISE DE PAROLE EN PUBLIC...................................................................17
II. POUR LA PRISE DE PAROLE :...................................................................17
III. PRÉSENTATION D’UN PRODUIT :..............................................................18
IV. FORMATION :......................................................................................20
PARTIE 4 :TRAVAUX EN EQUIPE.............................................................22
I. INTRODUCTION...............................................................................22
II. DÉFINITION :.......................................................................................22
III. IMPORTANCE DU TRAVAIL EN ÉQUIPE :.....................................................22
IV. COMMENT FORMER UNE ÉQUIPE ?..........................................................23
V. LES FACTEURS CLÉS DU TRAVAIL EN ÉQUIPE...............................................24
CONCLUSION.........................................................................................27
INTRODUCTION

Les livres, les médias, les conversations, les conférences, et bien d’autres encore sont englobés
dans un sujet de tous les jours : La Communication. Mais qu’est-ce que la communication ?
Communiquer, c’est, dans sa définition la plus simple et la plus essentielle, se parler et essayer
de se comprendre. Nous pourrions aussi ajouter : c’est s’écrire. Néanmoins, la matrice reste « se
parler » et « parler ».
La communication est aussi éminente dans toute entreprise dont le principe est de se mettre
d’accord sur quelque chose à faire et réussir en commun. Toutefois, nous remarquons que la majeure
partie des difficultés, des soucis, ou bien des complications sont dus au manque de communication, or,
pas de vie professionnelle sans paroles ni échanges. Ainsi, une bonne communication en
entrepreneuriat reste en vigueur.
Dans ce présent ouvrage, nous parlerons donc de cette « Communication Entrepreneuriale » en
insistant sur les parties suivantes :
 Les concepts et Généralités
 Les stratégies de communication où nous allons le repartir en 3 parties distinctes :
o La négociation
o La prise de parole en public
o Le travail en équipe

Page | 1
1) CONCEPTS et GENERALITES
Dans cette première partie, nous allons développer en ce qui concerne la « communication en
Entrepreneuriat », en passant par :
o La définition
o Les types de communications
o L’éthique en communication
o La relation interprofessionnelle
o Le domaine de communication

2) DÉFINITION DE LA « COMMUNICATION » :

Etymologiquement parlant, le mot « communication » vient du latin « communicare », cela


signifie mettre en commun, faire part de, partage, dérivé de communis, commun.
C’est l'ensemble des interactions avec autrui qui transmettent une quelconque information. Il
s'agit donc aussi de l'ensemble des moyens et techniques permettant la diffusion d'un message auprès
d'une certaine audience.
Assimiler par un système, la communication se présente comme un instrument de communiquer
un message par le canal de l’émetteur vers le récepteur comme présente la figure ci-dessous.

SUPPORT

OUTILS

EMETTEUR MESSAGE RECEPTEUR

CODE

CANAL

Néanmoins, cela nécessite des moyens de communication comme présenter sur la figure
FEED-BACK
précédente afin de transmettre le message ou l’information, les voici :

Page | 2
 Outil : un moyen matériel qui permet de transmettre des informations (exemple :
téléphone)
 Support : un moyen de communication qui exige la création d’une structure, son
organisation et sa gestion aboutissent à un cadre qui permet de transmettre ou
d’échanger des informations (Exemples : réunions, publicité, …)
 Canal : un moyen de communication qui sollicite l’un des 5 sens pour recevoir des
informations : oral, écrit, visuel, toucher, olfactif, gustatif (Exemple : canal visuel :
photo, image, geste, …)
 Code : un ensemble de signe ou de symboles ou signaux conventionnels qui permette de
transmettre ou d’échanger des informations ;
 Le « feed-back » ou l’effet retour : ensemble des réactions du ou des récepteurs après
avoir reçu un message (Exemples : sourire, le fait de rigoler, dormir, …)
Autre définition :
 C’est l’action de communiquer, d’établir une relation avec autrui, de transmettre
quelques choses à quelqu’un. Elle peut désigner aussi l’ensemble des moyens et
techniques.

3) TYPES DE COMMUNICATION :

On distingue principalement trois (3) types de communication, avec :


 La communication écrite
 La communication non verbale
 La communication verbale

4) La communication écrite :

La communication écrite consiste à


transmettre un message à son interlocuteur non
pas de façon verbale, mais sur un support
physique. La communication écrite exige donc
d'être complète, lisible et compréhensible. Le
vocabulaire utilisé est plus élaboré que dans une
communication orale classique.

5) La communication
non verbale :

C'est le fait d'envoyer et de recevoir des messages sans passer par la parole mais au moyen des
expressions du visage, des postures, des gestes, de bruits divers. Les choix vestimentaires, la coiffure,
la position du corps, le maquillage, les mimiques sont tous des éléments de communication non
verbale.
Toutefois, ces signes peuvent être interprétés de différentes manières pour chaque individu.

Page | 3
La communication non-verbale englobe différents éléments : les expressions du visage, la
façon de se tenir, les mouvements de tête, des yeux, des mains, etc.

6) Le regard :

Il permet de maintenir l’attention de l’auditoire et de vous appuyer sur lui. Il vous permet de
percevoir les réactions du public et de les utiliser, oblige à faire des poses et à se détacher de ses notes.
D’autant plus que :
« Les yeux sont les miroirs de l’âme »
En guise d’exemple, lors d’une prise de parole en public, il faut regarder tout le monde et ne pas
se limiter à « balayer » du regard.

Page | 4
7) La posture du corps :

L’importance de la posture ou le langage du corps est le fait d’échanger sans avoir recours à la
parole mais en se fiant aux attitudes, aux tenues vestimentaires, …

Elle a un fort impact sur la communication et peut accentuer ou décrédibiliser un message. De


plus, corps et esprit sont intimement liés et aujourd'hui nul ne peut prétendre soigner l'un en ignorant
l'autre. De ce fait, la posture du corps reflète l'état psychologique et les états émotionnels (joie, peur,
angoisse, anxiété, colère...) qui a chacun correspond une tension musculaire.

Exemple : Lorsque nous avons peur, la mâchoire se crispe, les dents et les poings sont serrés.
Il est donc déterminant de bien adapter sa posture autant dans sa vie personnelle que dans sa vie
professionnelle (lors d’un entretien ou d’une négociation) afin d’éviter tous confusions ou aberrations.

Page | 5
8) Les gestes :

Attention ! Mouvements des yeux, gestes tics, direction du regard, mouvements des mains,
pieds très bavards, mimiques, … tous ces petits gestes qui paraissent anodins peuvent nous aider à
transmettre un message.
En effet, nous ne communiquons pas uniquement par la parole. Nous faisons naturellement
beaucoup de gestes. Ces derniers pourraient paraître superflus mais ils ne le sont pas : ils nous aident à

Page | 6
mieux nous faire comprendre, ils véhiculent des informations impossibles ou difficiles à transmettre
via la parole, ils appuient nos paroles. Et ils permettent également à certaines personnes n’ayant pas
accès à la parole de pouvoir communiquer (Le langage des signes).

Page | 7
9) Les expressions faciales :

L’influence du visage dans la communication est significative car il permet dès le premier
contact, d’exprimer ses émotions et de peser ses mots. Le visage et ses expressions jouent donc un rôle
primordial dans l’établissement d’un lien, puisqu’ils sont les premiers éléments observés chez une
personne (première impression).

10) La communication verbale :

La communication verbale est un mode de communication utilisant le verbe. ... Le langage


articulé est une forme de la communication orale ; la communication verbale est sans doute aussi une
forme de langage mais elle ne se réduit pas, ni ne s'assimile au langage.

Page | 8
11) Remarque :

La communication non verbale représente 93% de la communication tandis que le sens littéral
des mots ne compte que pour 7%.
 Gestuelle (regards, mimiques, postures, mouvements…)  : 55%
 Voix (phrasé, couleur, timbre, hauteur…)  : 38%
 Strict contenu des mots  : 7%

pourcentage

7%

38% 55%

non verbale para verbale verbale pure

12)ETHIQUE EN COMMUNICATION :

Etymologiquement, le mot « Ethique » est un synonyme d’origine grecque d « morale ». C’est


une discipline philosophique sur les jugements de valeur et la réflexion des comportements relatifs à
adopter.
C’est l’application de l’honnêteté professionnelle mais également le respect de la discipline et
des ensembles de règles régissant un domaine ou le respect de le « Déontologie ».

Exemple :
- Pour un Chrétien, la Bible est une référence dans sa façon de vivre. Par contre, celui d’un
Musulman est le Coran.
- Pour tous les citoyens, la constitution et les textes existant dans le pays sont la déontologie à
respecter
En effet, avant de prendre une quelconque décision sur ses activités, il faut agir à partir d’une
conscience exemplaire. Ceci étant un comportement individuel nécessitant un autocontrôle.

Page | 9
13)RELATION INTERPROFESSIONNELLE :

1) Communication interne :

Ce type de communication englobe l'ensemble des actions de communication mis en œuvre au


sein d’une entreprise à destination de ses salariés : communication employeurs – employés.
Dans certaines organisations, elle est la responsabilité du directeur des ressources humaines,
parce que la politique de communication interne est considérée comme étant liée à la gestion du
personnel tandis que dans d'autres, elle est du ressort du directeur de la communication. Mais
généralement, la communication interne concerne tous ceux qui transmettent et reçoivent les
informations.
Et entant qu’outil de motivation des salariés, elle remplit de multiples fonctions :

 Exposer des résultats (grâce aux affichages, tableau, …)


 Transmettre des informations (communiqués, journal interne, appareils audiovisuels …)
 Expliquer une nouvelle orientation
 Rassembler les acteurs autour d'un projet d'entreprise (réunions, séminaires, …)

Ainsi, une bonne stratégie de communication interne permet de rapprocher dirigeants et salariés
pour une meilleure écoute bilatérale et de répondre aux attentes des collaborateurs en matière
d’information.

La communication interne comprend trois types de communication à savoir :


 La « communication descendante » ou « hiérarchique » s'adresse à l'ensemble des
salariés. Elle part du haut de la pyramide hiérarchique vers l’ensemble des employés. C'est la
communication du «haut vers le bas». Elle a pour objectif de diffuser les informations réglementaires,
résoudre les conflits internes et informer et expliquer un projet à l'ensemble du personnel.

Page | 10
 La « communication ascendante » ou « salariale » part des salariés pour remonter vers la
hiérarchie ou la direction. C'est la communication dite du « bas vers le haut ». Elle peut être provoquée
et organisée comme elle peut être spontanée.

Cette « communication ascendante » permet de vérifier et de déceler d'éventuelles anomalies,


des réclamations et les attentes des salariés qui peuvent être résolues par la Direction Générale.
 La « communication transversale » favorise l’échange de l’information entre les différents
acteurs de l'organisation.

Elle a pour objectif d'intégrer les acteurs de l’entreprise à la prise de décision et surtout aux
partages des connaissances.

2) Communication externe :

Le rôle de la communication externe est fondamental pour la notoriété et l'image d'une


entreprise, c'est grâce à ses actions que ses partenaires extérieurs forgent leurs opinions et leurs
attitudes à son égard. Il est essentiel qu'elle donne une image positive.
En général, c’est le premier responsable, tel que le PDG ou le chef d’entreprise, qui se charge de
cette communication externe.

3) DOMAINE DE COMMUNICATION :

La pratique de communication entre humaine est indissociable de la vie en société. La science


de la communication englobe un champ très vaste divisé en plusieurs niveaux.

1) Communication interpersonnelle :

« Emetteur-message-récepteur » est fondée


sur l’échange de personne en personne, chacune
étant à tour de rôle émetteur et/ou récepteur dans
une relation face à face.
« On ne peut pas ne pas communiquer ».

Page | 11
La communication est aussi une forme de manipulation. Quand bien même notre intention
première voire délibérée n'est pas de manipuler, nous communiquons souvent dans l'intention
d'influencer ou de modifier l'environnement ou le comportement d'autrui.

2) Communication de groupe :

La communication de groupe part de plus d'un


émetteur s'adressant à une catégorie d'individus bien
définis, par un message ciblé sur leur compréhension
et leur culture propre.
C'est celle qui est apparue avec les formes
modernes de culture, souvent axées sur la culture de
masse (société de consommation), dont la publicité
ciblée est la plus récente et la plus manifeste.
Les effets de la communication de groupe se
situent entre ceux de la communication
interpersonnelle et ceux de la communication de
masse.

La communication de groupe est aussi


complexe et multiple car elle est liée à la taille du
groupe, la fonction du groupe et la personnalité des membres qui le composent.
On peut également intégrer cette notion dans la communication interne à une entité. Les groupes
peuvent alors être des catégories de personnels, des individus au sein d'un même service, etc.
On peut aussi intégrer cette notion à une communication externe ciblée vers certains partenaires
ou parties prenantes de l'entité.

3) Communication de masse :

Dans la communication de masse, un


émetteur (ou un ensemble d'émetteurs liés entre eux)
s'adresse à un ensemble de récepteurs disponibles
plus ou moins ciblés. Là, la compréhension est
considérée comme la moins bonne, car le bruit est
fort, mais les récepteurs bien plus nombreux. Elle
dispose rarement d'une rétroaction, ou alors très
lente (on a vu des campagnes jugées agaçantes par
des consommateurs, couches pour bébé par
exemple, conduire à des baisses de ventes du
produit vanté).

Page | 12
Dans cette deuxième partie, on consacrera sur les stratégies d’une bonne communication surtout
la « communication en entrepreneuriat », ainsi nous allons voir successivement trois stratégies
nécessaires et indispensables avec :
o La négociation
o La prise de parole en public
o Le travail en équipe

4) NEGOCIATION
La négociation, qu’est-ce que c’est ?

I. DÉFINITION

La négociation peut être définie de diverses manières. En effet, on peut la définir en tant que
démarche d’accord, d’arrangement, d’échange ou encore d’entente. La négociation est la recherche
d’un accord, centrée sur des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables entre deux ou plusieurs
interlocuteurs, dans un temps limité. Cette recherche d’accord implique la confrontation d’intérêts
incompatibles sur divers points (de négociation) que chaque interlocuteur va tenter de rendre
compatibles par un jeu de concessions mutuelles. La communication occupe une place centrale dans la
négociation puisqu’elle se diffuse entre deux personnes qui jouent réciproquement le rôle d’émetteur
et de récepteur. De même, les émotions sont au cœur de la négociation.

DEMARCHE
INTERETS
INCOMPATIBL ACCORD/
RECHERCHE ENTENTE
ES
Page | 13
CONSENSUS

2) TECHNIQUES DE NÉGOCIATION

Conduire une négociation ne s’improvise pas. Savoir conduire une négociation demande de la
réactivité, de la diplomatie, de l’adaptation et beaucoup de créativité et de talent. Pour réussir une
négociation, il est pertinent :
 D’établir un climat de confiance pour mieux comprendre l’autre partie,
 De se mettre dans la peau de l’autre pour interpréter les points qu’il juge important - Être
préparé et comprendre l’autre partie
 Savoir écouter
 Contrôler ses émotions
 Savoir s’exprimer et s’affirmer en fonction d’un objectif
 Être animé d’un désir de collaboration
 Savoir influencer

COMPREHENSION
DIPLOMATIE
COLLABORATION
SELF-CONTROL
INTERLOCUTEU INFLUENCE INTERLOCUTEU
R1 ECOUTE
EXPRESSION R2
CONFIANCE

3) APPROCHE DE LA NÉGOCIATION

Il y a trois approches de négociation :


- Gagnant/perdant : vous gagnez la négociation et l’autre a perdu,

Page | 14
- Perdant/perdant : aucune des deux parties ne veut céder, la négociation est dans une
impasse, les objectifs ne seront pas atteints,
- Gagnant/gagnant : chacun obtient à peu près ce qu’il souhaite, les deux parties sont
satisfaites du résultat des négociations. L’approche Gagnant/Gagnant est donc la plus judicieuse.

NEGOCIATION

GAGNANT/GAGNANT GAGNANT/PERDANT

PERDANT/
4) LES DIVERS PROCESSUS
PERDANT
La négociation passe par plusieurs processus :
- La préparation : fixer des objectifs précis, anticiper les demandes de l’autre et mettre en
œuvre une stratégie ;
- Les discussions concernant le projet : comprendre ce que l’autre attend, savoir « écouter et
poser les bonnes questions ;
- Les propositions et les solutions : analyser les conséquences afin de proposer des solutions
innovantes - La négociation d’un compromis : réfléchir vite pour savoir faire des concessions dans des
limites acceptables tout en conservant ses principaux objectifs ;
- La finalisation des accords : formuler l’accord et préparer la mise en œuvre du projet (date,
programme, définition des termes), prendre du recul pour la réflexion.

PREPARATIO PROPOSITION FINALISATIO


DISCUSSIONS
N ET SOLUTIONS N

5) LES POINTS FORTS D’UN BON NÉGOCIATEUR :

Tout d’abord, l’apparence du négociateur est capitale : tenue vestimentaire, sourire


chaleureux, poignée de main ferme ainsi que beaucoup de courtoisie. Il faut maitriser l’image que l’on
souhaite donner aux autres. Une fin et talentueux négociateur dispose des points forts suivants :
o Savoir écouter,
o Etre patient et persistant
o Savoir s’exprimer de façon claire et concise
o Etre ferme et déterminé

Page | 15
o Etre plein de ressources
o Avoir un bon esprit de synthèse
o Avoir une bonne capacité de concentration
o Etre clairvoyant,
o Etre diplomate
o Savoir gérer son stress
o Un bon négociateur est apte à gérer les conflits

6) COMMENT CONCLURE LA NÉGOCIATION ?

Vous avez exposé vos arguments, fait des propositions constructives, cependant des
concessions auraient été faites.

L’autre partie est donc intéressée par votre offre car :


- Vous avez été crédible
- Vos arguments ont été pertinents
- Ce que vous proposez est réalisable,
L’accord va être conclu maintenant. Il est toujours préférable de conclure une
négociation par un document écrit qui sera signé par les deux parties. Une fois l’accord signé,
- Ne revenez pas dessus,
- Fuyez les questions après le closing afin de ne rien remettre en question.
Il est vivement conseillé d’analyser les résultats des négociations (points forts et points faibles)
en discutant avec ses équipes. Cette analyse sera utile lors d’une prochaine négociation.

Page | 16
7) PRISE DE PAROLE EN PUBLIC
I. PRISE DE PAROLE EN PUBLIC

Si la prise de parole est le plus souvent associée à un orateur face à un public important, nous
savons que les enjeux de nos communications orales ne dépendent pas du nombre de spectateurs, de la
taille de la salle ou de la hauteur de la tribune !
A la recherche de la baguette magique, nous avons tous voulu posséder des « trucs » pour
renforcer l’impact de notre communication orale et de nos prises de paroles. Savoir parler en public est
une nécessité dans l’entreprise aujourd’hui.

2) POUR LA PRISE DE PAROLE :

► Préparer une bonne phrase d’accroche.


► Vérifier que le public est disponible et à l’écoute.
► Vérifier son degré de connaissance du sujet (du parcours).
► Proposer un plan et valider qu’il est accepté.
► Accepter de modifier ce plan.
► Utiliser un vocabulaire adapter et compréhensible.
► Connaître son sujet.
► Avoir des fiches, des notes (faire un plan du parcours).
► Valider la compréhension.
► Faire des pauses.
► S’assurer que le public est à l’aise.

3) PRÉSENTATION D’UN PRODUIT :

Page | 17
Au milieu de la foule de produits, il faut savoir se faire remarquer, pour espérer séduire des
clients et vendre. Au lieu de faire ce que tous font et se noyer dans la masse, il vaut mieux s’éloigner
des tactiques de vente traditionnelles : c’est en optant pour des stratégies fortes, comme
l’utilisation de la vidéo ou du storytelling, que vous pourrez scotcher vos clients lors de
la présentation de vos produits.

1) OFFRIR DE L’INFORMATION :

Il est tentant de faire la promotion de son produit en disant qu’il est le moins cher ou le plus
efficace – c’est ce que font de très nombreux publicitaires. Au lieu de commencer votre présentation
par ce type de tactique, offrez à vos prospects des informations utiles et pertinentes sous forme
d’exemples, de statistiques et de preuves. Lorsque vous glisserez ensuite vers la présentation de votre
produit, celui-ci semblera tout naturellement comme la solution logique au problème soulevé en
introduction.
 

2) SE METTRE A LA PLACE DES PROSPECTS.

La clé d’une présentation réussie, c’est la clarté. Avant de vous mettre à rédiger, mettez-vous
ainsi à la place de votre public cible. Etablissez une courte de liste de questions, trois ou quatre, que

Page | 18
les personnes ne sachant rien du tout de votre produit seraient susceptibles de se poser. Ensuite, il vous
suffira d’articuler votre présentation autour de ces éléments essentiels. De la même façon, gardez-vous
d’utiliser un langage trop compliqué ou spécialisez ; bannissez le jargon et préférez des termes simples
et clairs.
 

3) RACONTER UNE HISTOIRE.

Au lieu de présenter des chiffres et de statistiques, des données et des listes d’arguments,
racontez une histoire. Par exemple, racontez comment vous est venue l’idée de votre produit, ou
racontez une anecdote sur votre produit ou sa conception. En utilisant les techniques du storytelling,
très en vogue en ce moment, vous aurez plus de chance de convaincre les prospects d’acheter votre
produit.

« Une histoire est plus facile à comprendre et à retenir


qu’un argumentaire de vente classique. »
En plus d’être plus mémorable, elle permet de mobiliser les émotions des prospects, ce qui est
une puissante arme de persuasion.
 

4) ETRE VISUEL.

 La vidéo prend de plus en plus d’importance sur le net ; au lieu d’un texte classique,
réalisez une vidéo de vente où vous vous mettrez en scène ainsi que votre produit. La vue prime sur les
autres sens, comme l’ont démontré de nombreuses études scientifiques, et il ne tient qu’à vous
d’exploiter le caractère visuel de l’être humain. Selon vos aptitudes, vos ressources et votre
produit, votre vidéo pourra par exemple prendre la forme d’une interview à la Steve Jobs, ou d’un
montage récapitulant la création de votre société, son évolution et la conception de votre produit.
Soyez créatif et n’ayez pas peur d’apparaitre à l’écran. Si toutefois passer devant la caméra vous
rebute, une présentation PowerPoint peut être tout à fait efficace ; faites en sorte de bien soigner vos
visuels, et d’être clair et élégant.
 
En mettant au point une présentation de vos produits qui soit claire, visuelle et, surtout, qui
raconte une histoire, vous pourrez vous faire remarquer et convaincre des prospects de passer à la
caisse. L’exercice n’est pas facile, mais n’ayez pas peur de sortir des sentiers battus.

Page | 19
5) FORMATION :

La formation, est un moyen de vous aider à comprendre, vous pousser à vous investir, à
réfléchir sur ce que vous avez fait, ce que vous faites, ce que vous allez faire, et pourquoi vous le
faites.
Agir sans comprendre ce que l’on est en train de réaliser, ni comprendre pourquoi, c’est une
perte de temps et vous n’aurez rien appris au final.
La formation est donc un élément pour vous aider, et non pas pour faire le travail à votre place. Il vous
appartient d’être là, attentif, de poser des questions, de vous poser aussi des questions. En aucun cas le
travail d’un formateur n’est de vous apporter des solutions complètes clés en main car cela n’existe
pas sauf chez les « faux malins ».
Il existe plusieurs types de formation :

1) Formation diplômante et qualifiante

Toute formation est par définition qualifiante, puisqu'elle permet d'initier ou d'accroître une
qualification.
Elle est diplômante si elle est validée par un diplôme défini par arrêté ministériel et reconnu sur
le marché du travail local ou national.
Les formations qualifiantes peuvent être de courte durée, s'effectuer en auto-formation en
interne, en réseau ou au sein d'organismes comme l'INFA. Elles permettent d'obtenir une attestation de
stage en fin de formation ou à un « certificat d'aptitude » lié au milieu professionnel et en général
reconnu par l'ANPE ou par les employeurs dans le cadre d'une convention collective.

2) Formation en apprentissage

L'apprentissage est une formation dispensée en alternance dans une entreprise et un CFA,
(Centre de Formation des Apprentis). En associant étroitement l'entreprise à la formation,

Page | 20
l'apprentissage permet aux jeunes de découvrir le monde du travail tout en se forgeant une première
expérience professionnelle avec un diplôme à la clé.
Durant cette formation en alternance, l'apprenti reçoit un salaire.

3) Formation en contrat de professionnalisation

Le contrat de professionnalisation qui alterne formation théorique et travail en entreprise,


remplace les contrats de qualification, d'adaptation et d'orientation. Son objectif est l'insertion ou la
réinsertion des bénéficiaires grâce à l'acquisition d'une qualification professionnelle reconnue. Ce
dispositif favorise l'insertion de jeunes révolus et des demandeurs d'emploi en leur permettant
d'acquérir une qualification professionnelle, les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA), de
l'allocation spécifique de solidarité (ASS), l'allocation adulte handicapé (AAH) ou d'un contrat unique
d'insertion (CUI).

Page | 21
4) TRAVAUX EN EQUIPE
I. INTRODUCTION

S’il est toujours possible de travailler seul, on est très rapidement freiné par ses propres limites.
Il est naturellement impossible de tout savoir, de tout savoir-faire, et le temps n’est pas extensible.
Aussi, le travail pouvant être accompli par une personne seule, même s’il peut être conséquent, reste
limité.
Il nécessite un effort personnel et une compétence qui s'acquiert peu à peu à partir d'une volonté de
cohésion et d'organisation en équipe.
Une équipe est avant tout un groupe de personne réunies pour porter triomphe à une cause, pour avoir
recours à des compétences variées, des savoir-faire instructifs. Et tout ça dans le but de réaliser avec
succès leur projet.

2) DÉFINITION :

Une équipe est un groupe de professionnels, réunis pour travailler ensemble sur un projet
commun. Mais il ne suffit pas de regrouper quelques personnes pour former une équipe efficace. Les
membres du groupe doivent partager des idées et des valeurs qui créent un lien entre eux. C’est ce lien
qui va les motiver et les amener à coopérer afin de réaliser avec succès le projet qui leur sera confié.

3) IMPORTANCE DU TRAVAIL EN ÉQUIPE :

« Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ».

Cette citation met en avant une chose : pour atteindre un objectif à court terme et bien précis, on ira
plus vite en travaillant seul ; mais lorsque on souhaite atteindre un objectif sur le long terme et
potentiellement le dépasser, mieux vaut s’entourer d’autres personnes. 

Le travail d’équipe est important pour d’autres raisons :


 Apprendre la collaboration ;

Page | 22
 Se sociabiliser ;
 Rester motivé sur la durée ;
 Avoir un avis critique objectif sur votre travail ;
 Pour avoir du soutient dans les moments difficiles ;
 Pour partager les risques ;
 Pour partager vos connaissances et apprendre de celles des autres.

4) COMMENT FORMER UNE ÉQUIPE ?

Pour que l'équipe ait un fonctionnement optimal, il


faut en effet que l'on y trouve un certain nombre
d'ingrédients essentiels : du dynamisme, de l'imagination,
de l'esprit critique, etc. Pour avoir ces qualités, il faut
s’assurer, lors de la formation du groupe, qu'elles sont
chacune "portées" par l'un des participants.

Il faudra en fait que sept rôles clés soient assurés au sein


de l'équipe :
-Le responsable : L'équipe a besoin de sentir que l'un de ses membres assure la direction des
opérations. La première de ses qualités doit donc être de savoir juger les autres, tant du point de vue de
la compétence que de celui de la personnalité et du caractère. Il doit évidemment avoir le goût du
travail collectif et savoir entretenir l'esprit d'équipe, surtout dans les périodes difficiles, lorsque le
travail patine.

- Le penseur : C'est le créatif du groupe, celui qui amène sans cesse des idées nouvelles.
Forcément curieux, bien informé de ce qui se fait ailleurs, il sait écouter les autres. Non seulement il
n'a pas peur des problèmes, mais il les considère comme des occasions de progresser et d'innover. Il
brille avant tout par son dynamisme et son appétit intellectuel.

-Le critique : Si l'équipe a besoin d'un créatif, elle réclame aussi un esprit critique. Il est
également là pour mettre en évidence les défauts cachés des solutions proposées. Toujours en alerte, il
exige sans cesse que l'on apporte des corrections et des améliorations aux différents documents
produits par l'équipe. Mais il ne faut pas non plus qu'il soit perçu comme un empêcheur.
-Le pilote :  Il faut que l'un des membres de l'équipe incarne le besoin d'organisation et pousse
les autres à avancer contre vents et marées. Désigné par le responsable de mettre le projet en œuvre, il
tient le planning du groupe et rappelle sans cesse les échéances à respecter.

Page | 23
-Le coordinateur : Garant de la cohésion du groupe, il doit favoriser autant que possible les
contacts au sein de l'équipe. Et désactiver les éventuelles sources de conflit. Comme le pilote, il est là
pour fixer les priorités, mais il le fait, pour sa part, en cherchant à créer un consensus aussi large que
possible.

-Le vérificateur : Ce rôle, qui consiste à focaliser les efforts de l'équipe sur le but fixé, est
difficile à tenir. Le vérificateur devra prendre soin de souligner devant ses collègues chacune des
avancées du projet.

-Le communicateur : chargé des relations extérieures qui pourra faire circuler les idées sans
que cela engage l'équipe et son responsable officiel. Ce communicateur devra être largement connu
dans l'entreprise et être respecté de tous. Il devra enfin avoir des talents de diplomate et savoir parler
d'abondance sans pour autant trop en dire.

5) LES FACTEURS CLÉS DU TRAVAIL EN ÉQUIPE

1) Définir des objectifs clairs


Chaque membre d’une équipe doit connaître son rôle et ce qu’il peut apporter. Les objectifs à
atteindre doivent donc être définis clairement, précisément, et doivent bien entendu être réalisables. Ils
doivent de plus apporter de la valeur ajoutée au projet, et les membres d’une équipe doivent pouvoir se
rendre compte que leur travail est essentiel et que le temps qu’ils y consacrent est utile.
Avoir des objectifs communs énoncés clairement et compris va accroitre la motivation de
chacun et contribuer à forger un fort esprit d’équipe. Mais l’objectif final du projet vers lequel doit
tendre le travail d’équipe peut parfois sembler lointain et moins concret. Dans ce cas, il est important
de définir des jalons à atteindre, avec des objectifs clairs à chaque fois, de façon à ce que la motivation
de l’équipe reste intacte jusqu’à la fin du projet.
D’autre part, pour améliorer encore la motivation de chacun, il peut être intéressant de fixer
également des objectifs individuels (allant dans le sens de l’objectif commun naturellement), comme
l’amélioration d’une compétence, de sa productivité, ou encore la prise de responsabilités.

2) S’assurer d’une bonne communication

Communication et travail d’équipe sont indissociables. Une bonne communication interne est
l’une des règles de base du travail en équipe. Il est important que chacun sache sur quoi les autres
travaillent. Il est ainsi plus facile d’apporter son aide pour la résolution d’un problème, ou de savoir à
qui demander de l’aide lorsque l’on en a besoin.
Il est important d’être à l’écoute des autres et de ne pas porter de jugement. Chacun travaille et
pense différemment, même si l’équipe utilise des outils et des références communes. En sachant
écouter, il est possible d’apprendre des autres et de trouver ensemble la meilleure solution pour
atteindre l’objectif fixé. Il ne faut donc pas se focaliser uniquement sur la façon dont on aurait fait telle
ou telle chose et prendre en considération toutes les idées, même parfois les plus folles.

Page | 24
Des réunions internes hebdomadaires peuvent permettre de faire le point sur l’avancement de
chacun. Des réunions quotidiennes, comme le « daily meeting »  par exemple, permettent de suivre la
progression de chacun et d’identifier au plus vite les problèmes rencontrés afin de mettre en place des
solutions adéquates.
Une communication transparente est une règle de fonctionnement d’une équipe. Elle est
également un gage de confiance. Dès qu’une information arrive à l’un des membres du groupe, elle
doit être transmise à tous. Chacun est alors en mesure d’apporter son interprétation permettant ainsi
une prise de décision réfléchie et adaptée à la situation.

3) Regrouper des habiletés complémentaires

Les avantages du travail en équipe en entreprise sont nombreux. Travailler en équipe permet de
mettre en valeur et de développer les qualités de chacun tout en compensant les points faibles. Là où
une personne seule est capable d’accomplir un travail dans un domaine qu’elle maîtrise, il lui faudra
du temps (de formation notamment) pour acquérir des compétences dans un domaine qu’elle ne
connaît pas. Le travail de groupe va permettre de rassembler des compétences différentes,
complémentaires. Vous serez efficace dans votre domaine de prédilection et en mesure d’aider les
autres à progresser.
En travaillant en équipe, vous apprendrez donc à vous connaître, à identifier vos points forts et
vos faiblesses. Vous pourrez vous améliorer et apprendre des compétences qui vous manquent.
Connaissant ainsi les forces et les faiblesses de chacun, il sera plus facile de partager les
responsabilités et de distribuer les tâches de façon à optimiser la productivité de l’équipe.
Chacun pouvant apporter sa pierre à l’édifice et pouvant trouver de l’aide auprès de ses
coéquipiers, l’esprit d’équipe et la coopération s’en trouvent encore renforcés.

4) Développer le respect et la confiance

Il faut que chacun fasse preuve de confiance et de respect envers les autres. Il y a naturellement
les règles de base de savoir-vivre et de politesse.

Page | 25
Il faut que les tâches soient réparties de façon équitable et que chacun respecte le travail des
autres. Il faut également savoir assumer ses erreurs et les problèmes en général. Tout problème doit
être évoqué ouvertement de façon à être réglé en groupe. Qu’il s’agisse d’un problème de personne, de
travail, de qualité, toute l’équipe doit être au courant de façon à pouvoir débattre de la meilleure
solution à apporter. Toutes les idées sont les bienvenues. Ce n’est qu’avec une communication
transparente que la confiance pourra s’établir.
Enfin, chacun doit vouloir donner l’exemple tant en termes de comportement que de travail.
Cela encourage les autres à faire de même et crée un environnement amenant tout le monde à aimer le
travail en équipe. Tout le monde sera tiré vers le haut et l’équipe n’en sera que plus efficace.

5) Établir une organisation claire

Une organisation claire permet de donner un sens au travail en équipe. Il faut que chacun
connaisse sa place, son rôle, et les tâches qu’il doit accomplir. Chaque membre doit se voir définir et
attribuer un périmètre d’activité et une mission bien précise. Tout malentendu sera ainsi évité et ne
verrez pas apparaître de conflits d’intérêts ou de redondance dans les responsabilités. Si chacun sait
exactement ce qu’il a à faire, les objectifs du travail en équipe sont clairs et le groupe beaucoup plus
efficace.

Page | 26
CONCLUSION

Pour conclure, par définition, la communication est l'ensemble des interactions avec autrui qui
transmettent une quelconque information. Il s'agit donc aussi de l'ensemble des moyens
et techniques permettant la diffusion d'un message auprès d'une certaine audience.

Comme nous l’avons vu à travers cet ouvrage, la psychologie a beaucoup approfondi l’étude
des multiples formes des communications. A travers cet important bilan de la psychologie de la
communication, il apparait clairement que la « communication » n’est plus à distinguer radicalement
de la conduite. La communication est un outil de l’action humaine. Les hommes s’en servent pour agir
sur leurs semblables et sur les situations.
En entrepreneuriat, La communication tient un rôle prépondérant dans le fonctionnement
d’une entreprise et permet de faire le lien entre les différents employés mais aussi, elle consiste
également à faire adhérer les salariés à une vision, à un projet collectif et permet de conforter chacun
dans les fonctions qu’il occupe.
Enfin, Les objectifs de la communication sont multiples : elle sert tout d’abord à véhiculer les
valeurs fondatrices de l’entreprise et joue le rôle de « socle commun » pour chaque service et chaque
employé, peu importe leurs fonctions. Créer un sentiment d’appartenance à une équipe et
véhiculer les valeurs de la société sont aussi d’autres objectifs et renforcent son aspect
incontournable.

Page | 27

Vous aimerez peut-être aussi