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Ecologie des population dite aussi dynamique des population

La population concerne l’écologie des populations ou la dynamique de populations ;


c’est la science qui étudie les caractéristiques qualitatives et quantitatives des
populations ; elle analyse les variations d’abondance des diverses espèces pour en
rechercher les causes et si possible les prévoir.

La croissance des populations est prévisible

La consommation accrue des ressources et la production accrue des déchets, associées à la


croissance des populations, causent des stress spécifiques à la Terre.

Les développements technologiques peuvent contribuer à compenser l’empreinte


écologique résultant de la croissance des populations.

 modes de répartition des populations

1) Répartition contagieuse 
2) Répartition uniforme 
3) Répartition aléatoire

Il existe trois modèles de répartition spatiale des individus  :


a- La distribution uniforme dite aussi distribution régulière. Dans ce type de distribution
les individus ont tendance à se tenir à égal distance les uns des autres, elle est l’indice
d’une instance compétition entre distribution dans le désert de l’Arizona ou les buissons
de la créosote bush (divaricata ) qui secrètent des substances toxiques ont une distribution
quasi uniforme.
Le même cas est observé chez une espèce de lamellibranche (Tellinatenuisdans le sable
des plages de la manche.
La distribution uniforme dite aussi distribution régulière. Dans ce type de distribution les
individus ont tendance à se tenir à égal distance les un des autres.

b- La répartition au hasard ou aléatoire indique que le milieu est très homogène, et Que
les espèces présentes n’ont aucune tendance à se grouper, et pour lesquelles la
Position dans l’espace de chaque individu est indépendante de celle des autres.
c- La répartition en agrégatest la forme de répartition la plus fréquente.
Elle est due à des variations des caractéristiques du milieu ou bien au comportement des êtres
vivants qui ont tendance à ce groupé.
Ce dernier mode de répartition nous amène à étudier d’autres phénomènes observés
Lorsque les individus vivent en groupes, ces phénomènes sont l’effet de groupe et l’effet
De masse.
2. Interactions entre les organismes vivants :
► sont des interrelations biologiques désignant des processus
d’échanges réciproques entre plusieurs éléments biologique (espèces,
groupes, biocénoses) dans un écosystème.
► Ces interactions (coactions) engendrent des coévolutions, induites
directement (par exemple dans une relation prédateur- proie) ou
indirectement par ces échanges.
► Les coactions entre les êtres vivants sont liées au circuit général de la
chaine alimentaire (trophique)

3.1- Les types d’interactions biologiques/écologiques


► Ces coactions que mettent en jeu les espèces vivantes dans un
écosystème donné, jouent un rôle important dans la régulation des
densités, et la stabilité des fluctuations des effectifs des espèces. Elles
peuvent donc transformer les conditions dans lesquelles vivent d'autres
organismes.
► Elles représentent les facteurs écologiques de nature biotique qui
participent au fonctionnement des écosystèmes. On distingue 2
catégories d’interactions :
- Les interactions intra spécifiques (Homotypiques)
D’une manière générale l’étude des populations
- Le type de distribution spatiale des individus,
- - L’effectif ou l’abondance,
- - La structure d’âge,
- - La structure génétique (fréquences alléliques),
- - L’organisation sociale.
- Toutes ces variables sont affectées par des processus démographiques

Niche écologique:
- ● Place occupée par une espèce dans un écosystème,
- définie par son mode de vie et les relations avec les
- autres espèces.
- ● utilisation des facteurs biotiques et abiotiques du
- milieu (de l'espace, des ressources, gamme de
- température, conditions favorables à la
- reproduction...etc).
- Le modèle démographique le plus simple considère une population
théorique N dans laquelle entre deux dates, t et t + 1, chaque individu donne en
moyenne naissance à F individus et meurt avec une probabilité M.
L'environnement est donc considéré comme constant. Entre t et t + 1, il entre
donc en moyenne dans la population FN(t) individus et il en meurt en
moyenne MN(t). Le bilan des entrées et des sorties N(t + 1) = N(t) + F N(t)
– MN(t) conduit donc à : N(t + 1) = (1 + F – M) N(t) = AN(t). Si les naissances
l'emportent sur les décès (F > M), la population augmente. La même formule
s'applique au pas de temps suivant, mais à partir de N(t + 1), et l'excédent
précédant de croissance est donc capitalisé, comme dans un placement financier
à intérêts composés : la croissance est exponentielle, avec un taux de
multiplication A = 1 + F – M, selon N(t) = N(0) At. Le pas de temps dans une telle
représentation est souvent annuel, et A est alors le taux de multiplication annuel
de la population ainsi modélisée.
- Si les décès l'emportent sur les naissances (M > F), A est inférieur à 1 et l'effectif
de la population modélisée décroît exponentiellement.
- Des résultats analogues s'obtiennent en passant à une échelle de temps
continue : on écrit alors le nombre de naissances dans l'intervalle de temps
infinitésimal entre t et t + dt, FN(t) sous la forme f dt N(t) où f est un taux
instantané de fécondité. De même on écrit MN(t) = m dt N(t) où m est un taux
instantané de mortalité. On obtient alors l'équation dN/dt = (f – m) N, dont la
solution est l'équation de croissance ou décroissance exponentielle en temps
continu N(t) = N(0) ert, avec r = f – m.
- Mais ces modèles ne sont pas directement applicables à des populations
animales ou végétales in natura, car ils considèrent que tous les individus ont les
mêmes performances. L'expérience immédiate montre que ce n'est évidemment
pas le cas : le jeune faon qui suit sa mère, ou la plantule de chêne émergeant du
sol n'a bien sûr ni la même mortalité ni la même [...]

- l’approche démographique basée sur un bilan des flux de natalité et de mortalité


- ………….

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