Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
1) Répartition contagieuse
2) Répartition uniforme
3) Répartition aléatoire
b- La répartition au hasard ou aléatoire indique que le milieu est très homogène, et Que
les espèces présentes n’ont aucune tendance à se grouper, et pour lesquelles la
Position dans l’espace de chaque individu est indépendante de celle des autres.
c- La répartition en agrégatest la forme de répartition la plus fréquente.
Elle est due à des variations des caractéristiques du milieu ou bien au comportement des êtres
vivants qui ont tendance à ce groupé.
Ce dernier mode de répartition nous amène à étudier d’autres phénomènes observés
Lorsque les individus vivent en groupes, ces phénomènes sont l’effet de groupe et l’effet
De masse.
2. Interactions entre les organismes vivants :
► sont des interrelations biologiques désignant des processus
d’échanges réciproques entre plusieurs éléments biologique (espèces,
groupes, biocénoses) dans un écosystème.
► Ces interactions (coactions) engendrent des coévolutions, induites
directement (par exemple dans une relation prédateur- proie) ou
indirectement par ces échanges.
► Les coactions entre les êtres vivants sont liées au circuit général de la
chaine alimentaire (trophique)
Niche écologique:
- ● Place occupée par une espèce dans un écosystème,
- définie par son mode de vie et les relations avec les
- autres espèces.
- ● utilisation des facteurs biotiques et abiotiques du
- milieu (de l'espace, des ressources, gamme de
- température, conditions favorables à la
- reproduction...etc).
- Le modèle démographique le plus simple considère une population
théorique N dans laquelle entre deux dates, t et t + 1, chaque individu donne en
moyenne naissance à F individus et meurt avec une probabilité M.
L'environnement est donc considéré comme constant. Entre t et t + 1, il entre
donc en moyenne dans la population FN(t) individus et il en meurt en
moyenne MN(t). Le bilan des entrées et des sorties N(t + 1) = N(t) + F N(t)
– MN(t) conduit donc à : N(t + 1) = (1 + F – M) N(t) = AN(t). Si les naissances
l'emportent sur les décès (F > M), la population augmente. La même formule
s'applique au pas de temps suivant, mais à partir de N(t + 1), et l'excédent
précédant de croissance est donc capitalisé, comme dans un placement financier
à intérêts composés : la croissance est exponentielle, avec un taux de
multiplication A = 1 + F – M, selon N(t) = N(0) At. Le pas de temps dans une telle
représentation est souvent annuel, et A est alors le taux de multiplication annuel
de la population ainsi modélisée.
- Si les décès l'emportent sur les naissances (M > F), A est inférieur à 1 et l'effectif
de la population modélisée décroît exponentiellement.
- Des résultats analogues s'obtiennent en passant à une échelle de temps
continue : on écrit alors le nombre de naissances dans l'intervalle de temps
infinitésimal entre t et t + dt, FN(t) sous la forme f dt N(t) où f est un taux
instantané de fécondité. De même on écrit MN(t) = m dt N(t) où m est un taux
instantané de mortalité. On obtient alors l'équation dN/dt = (f – m) N, dont la
solution est l'équation de croissance ou décroissance exponentielle en temps
continu N(t) = N(0) ert, avec r = f – m.
- Mais ces modèles ne sont pas directement applicables à des populations
animales ou végétales in natura, car ils considèrent que tous les individus ont les
mêmes performances. L'expérience immédiate montre que ce n'est évidemment
pas le cas : le jeune faon qui suit sa mère, ou la plantule de chêne émergeant du
sol n'a bien sûr ni la même mortalité ni la même [...]