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II- TRAITEMENTS PARTICULIERS DE L’HUILE

II-1-LES EMULSIONS :
1- Définitions : une émulsion est un mélange stable de deux liquide non miscible,
elle se présente comme une disparation on très fines gouttelette, de l’un de liquide
dans l’autre, la phase ( le liquide ) dispersé (interne) et le liquide dispersant
enveloppent (extérieur).
2- Condition de formation d’une émulsion :
➢ Deux liquides non miscibles présents.
➢ Forte agitation.
➢ Existence d’agent émulsifiant.
Exemple : agent émulsifiant se sont des minéraux de même composition que la roche
mère, matière organique (résines, asphaltées, acide mopht-eniques), des électrolytes
de la saumures et des fines particules solides telle que les argiles.
Le degré de solubilité ou de mouillabilité détermine la phase dispersante, dès
l’exploitation d’hydrocarbure la phase continue est l’huile.
Une émulsion est dite stable quand elle ne se détruit qu’après un temps très long.

3- Prévention d’émulsion :
Pour prévenir les émulsions on agit sur un sel paramétré pratique, c’est l’effet de
brassage de l’effluent qui est provoqué par la libération du gaz dissout, par des
turbulences, et agitation dû à des changements de direction d’écoulement, donc
l’effluent produit, provoquant ainsi des chutes de pression au niveau des conduites et
accessoire telle que les vannes, les orifices de comptage et des têtes de puit dusse de
surface .
• Comment réduire ou éliminer l’émulsion ?
Pose d’une dusse de fond, dans la partie base du tubing, l’attente va avoir licous ou
malien chaude donc plus fluide et le train de tubing chi ligne offre on volume de
tranquillisation plus volumineux.
Produire le puits par intermittence, maintenir la vanne en tète ouverte (totalement)
durant tous la phase de temps puis fermé (cette opération nécessite a inter miter).
Pour un puis non éruptif avec problème d’émulsion on injecte le gaz lift intermittent
et diminuer la cadence de pompage et augmenté la force.
A la tête de puit et entre de séparation profité le changement de section en évitant les
foudres à petite rayon, et éliminer tous les accessoire non indispensable.

3- Rupture des émulsions :


Le rupteur des émulsions consiste à briser les films interraciaux, pour que fusionnant
les gouttelettes dispersé plusieurs méthode utilisé.
a- Les utilisations des produits chimiques :
Sur un point qui présente des problèmes d’exploitation en plus de l’émulsion
(corrosion). Ont procédé en fête à l’injection d’uneémulsion ou des inhibiteurs, on
utilisant des pompes doseuses.
b- Action de chaleur :
Les gouttelettes de liquides maintenues suspensions sont soumises à un mouvement
buronnier. Le haleur accéléré ce mouvement, elle augmente la force et la fréquence
suffisantes, les enveloppes cèdent et l’émulsion se réduit (diminution de la viscosité
de l’huile).
c- Action électrique :
Le film interfaciez porte des changes électriques, ces changes s’ordonnent autour des
gouttelettes d’eau et forme une paroi résistante un champ électrique détruis cet
équilibre et supprime la cause d’émulsion, et les ordonne sous les particules en
suspension dans l’émulsion et les ordonne sous les lignes de forces électrostatiques.
Certains appareils de traitement placent l’émulsion dans un champ électrique
alternatif à haut voltage. Les gouttes de liquides prennent des charges proportionnelles
à leur volume, dont le signe s’inverse deux fois par période, soumises à des forces
d’attraction et de répulsion successives, les masses se heurtent avec une puissance
suffisante pour détruire les enveloppes isolantes.
d- Utilisation de F.W.K.O ( Free . Water .Knock .Out )

4- Processus prédiques de traitement des émulsions :


On distingue deux types d’action pour le traitement des émulsions :
➢ Action qui provoque la rupture effective de l’émulsion.
( produits chimiques, chauffage, champ électrique ).
➢ Action auxiliaires qui interviennent après rupture d’émulsion pour accélérer la
séparation en réduisant la viscosité de la phase continue ou en accroissant la
dentiste différentielle des deux liquides (réchauffage, levage ou bien d’eau douce,
injecte de diluant).
I. Appareil de traitement :
A. Pompes doseuses et injecteurs :
Ellessont de type à position plongeur, alimentées par un bac placé en charge.
Elles permettent un ajustement précis de débit.
Les pompes doseuses exigent une surveillance et un bon entretien, des nettoyages
fréquents s’imposent surtout quand le produit manipulé et corrosif, un filtre sur
l’alimentation est toujours très utiles.
Les injections sont des capacités sous pression placées est chargées sur une conduite
et équilibrée avec elle .ce sont des appareils bon marché, facile à construire et
d’entretien amiler par contre le réglage précis du débit d’injection est pratiquement
impossible.
Le choix de l’emplacement est très important, car de lui dépend toute la qualité de
traitement, en générale le point d’injection se situe à proximité du manifold de
séparation ( la turbulence ce favorise le mélange du produit à émulsion).

Pompe doseuse à piston plongeur


Injecteur (lubricator)

B. Le séparateur d’eau libre : ( Free Water Knock Out, F..K. ) :


Ces appareils sont utilisés pour éviter le réchauffage inutile de quantité importante
d’eau libre au cours du traitement.
Les séparateurs d’eau libre ne doivent pas être places n’ importe où, le choix est fait
tel que :
➢ L’émulsion ne durcit pas, par le fait de retirer de l’eau en amont d’une zone de
turbulence.
➢ Si le produit de traitement est soluble dans l’eau, il ne doit pas être injecté en
amont du séparateur d’eau libre car un grand porté serait éliminé sans aucun
profit.
A la gauche séparateur d’eau libre (schéma de principe) et au droit schéma
de séparateur d’eau libre construction de chantier en tube.

C. Réchauffeurs :
C – 1 – Réchauffeurs directs :
C – 1 – 1 - Réchauffeurs directs à faisceaux tubulaires :
Les réchauffeurs sont directs quand l’enceinte contenant le fluide à réchauffeur est en
contact avec la flamme du bruleur.
Les réchauffeurs directs à faisceaux tubulaire s’apparentent aux fours de raffinerie.
Des cartes canalisent la flamme bruleur sur les tubes, ces appareils conviennent pour
les débits réguliers et des pressions peu élevées. Leur capacité moyenne et de l’ordre
de 800 m3 / j pour une élévation de température de 60° C .
Ces appareils présentent des risques d’incendies graves en cas de rupture de paroi, des
contrôles fréquents de l’état de l’appareil sont indispensables.

1- Réchauffeur direct à chemise de circulation :


Ces appareils simplifiés des capacités de l’ordre de 80 m 3 / J pour 60°C de gain de
température. Ils existent en version vert colle et horizontale. Mêmes remarques pour
leur utilisation que pour les réchauffeurs tubulaires.
Réchauffeur direct à chemise de circulation

2- Réchauffeur direct à tube à feu :


Généralement horizontaux, étudiés pour des pressions moyennes de 10020 bars.
L’émulsion entre du côté opposé au bruleur et posse par un diffuseur.
Le tube à feu et prolongé par un tube de retour qui porte la cheminée.
La sortie de l’émulsion est placée sur la face supérieure du corps cylindrique.

Réchauffeur direct à tube à feu

3- Réchauffeur semi – direct à faisceau tubulaire :


Dans ce type d’appareil, le faisceau n’est pas placé dans la flamme même, mais dans
un courant d’air chaud pulsé par une soufflerie, on écrite aussi le chauffage direct sur
le faisceau tubulaire, les avantage d’une faible inertie thermique sont conservées.

Réchauffeur semi – direct

- C – 2 – Réchauffeurs indirects :
Les réchauffeurs sont dits indirects quand un bain d’eau est interposé entre le tube à
feu et le faisceau tubulaire parcouru par le fluide à réchauffer. Ils présentant des
garantes de sécurité bien meilleure.
Les émulsions peuvent être traitées soit par barbotage dans un bain d’eau salée
chaude, soit par passage dans un faisceau tubulaire inexercé dans les bains chauds.
Le barbotage est utilisé pour la faible pression mais les faisceaux tubulaires pour la
pression élevée.
Réchauffeurs indirects
D) Bacs de levage :
Ce sont des réservoirs cylindrique verticaux ils travaillent à des pressions faibles
voisines de la pression atmosphérique, le effluent diffuse à la base d’un bain d’eau ou
il subit un barbotage, le bain est réchauffé par un serpentin à circulation de vapeur
alimenté par un générateur.
On utilise les bais de lavage comme unité de prétraitement des émulsions ou pour
extraire l’eau à partir des émulsion de faible stabilité.
Ils trouvent surtout leur emploi dans le traitement des murisses et dans celui des
bruts salés.
Leur volume relativement important, pouvant atteindre plusieurs milliers de m 3 , ils
jouent le rôle de capacité tampon quand le régime de production est irrégulier.
Bacs de levage

Réservoir de décantation
✓ Fosses de décantation :
Ces fosses sont surtout utilisées pour récupérer les égouttures prévenant des divers
purges et éviter que l’eau rejetée ne transporte des résidus d’hydrocarbures les
liquides circulent dans des construction en maçonnerie en franchissant des cloisons
formant un siphon.
L’eau franchit les closions par le bas. L’huile est écremée en sarface, canalisée vers
une fosse, séparée et renvoyée vers le centre de traitement par une pompe.
Fosses de décantation
E) Traiteur réchauffeurs
E-1- Description géniale :
Ces appareils groupent en une seule unité :
- Un séparateur gaz liquide
- Un bac de lavage
- Un séparateur d’eau libre
- Un réchauffeur
Ils comportent :
- Un conduit d’amenée des effluents.
- Un diffuseur de chauffage
- Un contrôleur de niveau d’eau
- Un thermostat
- Un contrôleur de pression
- Thermomètre ,manomètre.
E-2- Traiteur vertical : L’effluentest reçu dans séparateur
• Séparation gaz liquide
Gaz liquide place sur traiteur, le gaz froid séparé est recyclé dans la chambre de
tranquillisation du traiteur ou il refroidie les vapeurs dégagées de l’huile chaude
(condition des fractions moyennes)
Traiteur réchauffeur atmosphérique verticale
• Séparation de l’eau libre (F.W.K.O) :
Les liquide dégagés tombent au bacs de la cuve par un conduit de large section. L’eau
libre se dépose grâce au diffuseur.
• Bain de lavage (Wash tank) et de réchauffage :
Il est constituée par un volume d’eau d’environ 40 % de le capacité en liquide de
traiteur , l’émulsion très finement diffusée s’échauffe rapidement dans le bain d’eau
(lavage) le bain est chauffé à une température convenable par une tube à feu immergé.
Un grande partie de l’eau est abandonnée et le produit ainssi allégé s’élève la section
de filtration.
Le niveau de l’eau est maintenue constante parun tube. Siphon ou vanne avec pilote
qui purge l’excès d’eau.
• Section de filtration :
Traiteur horizontale : les traiteurs horizontaux montés sur châssis sont plus
spécialement adaptés aux emplacement d’accès difficiles tels que , pf en mer, région
maricageuses été ou les commodités d’installation sont particulièrement recherchées.
Les caractéristique partialiéres de ce type de traiteur sont ,
- Fonctionnement sous pression (1.5 à 1.7 bars)
- L’eau est detoursée de section de chauffage (gain d’énergie)
- L’effluent à traité travers un léger préchauffage
- Un séparation d’eau libre (F.K.W.O)
- L’huile anhydre est recueille dans le haut du compartiment
Puis traverse successivement des chicanes, une zone de tranquillisation et une section
de filtration
N.B : l’injection en amont d’un produit désénaulsifant améliore le rendement de
traiteurs.

II-2- LES BRUTS SALES

1-Généralité: dans les bruts salés, les sels pris en considération sont
essentiellement des chlorures dans la répartition est approximativement : Na Cl 70%,
Mg Cl 20%, Ca Cl 10%, la salinité d’une brute implique une venue d’eau visible ou
non on surface. La venue de l’eau est un phénomène irréversible qui peut évoluer
rapidement.
Le dessalage consiste dans les premier cas à éliminer au maximum la phase aqueuse
par un traitement convenable, et dans le second cas a dissoudre les cristaux de sels
dans une eau d’apport puis a séparer cette eau.
2- Traitement des bruts salés

Il faut tout d'abord savoir que le sel n'est pas soluble dans l'huile et donc, si le brut est
sale, c'est généralement parce qu'il contient de l'eau salée en émulsion (ou
éventuellement des cristaux de sel). Pour situer le problème, considérons un brut dont
le BSW (Basic sediment and water) est de 2%, la salinité de l'eau en émulsion étant de
150 g/l : dans ce cas, la salinité du brut est de 3 000 mg/l, ce qui est très nettement
supérieur aux 40 a 80 mg/l habituellement admis. On voit donc que pour résoudre ce
problème il faut :
• D'une part réduire au maximum le BSW, mais même avec un BSW extrêmement
faible, de l'ordre de 0,1 %, on ne peut pas respecter la spécification des que l'eau est
un tant soit peu salée.
• D'autre part diminuer la salinité de l'eau contenue en émulsion dans l'huile. Pour cela
on injecte dans le brut une eau "douce" (souvent, en particulier pour les installations
en mer, on est amène a utiliser l'eau de mer comme eau de dilution) en dispersant
cette eau au maximum pour qu'elle vienne contacter l'eau salée en émulsion ; puis on
traite l'émulsion ainsi crée afin d'enlever le maximum d'eau, l'eau résiduelle ayant une
salinité intermédiaire entre celle de l'eau en émulsion au départ et celle de l'eau de
dilution.
Le traitement d'un brut sale utilise donc le même équipement que celui retenu pour le
traitement d'une émulsion. On injecte seulement en plus de l'eau de dilution.
L'injection se fait généralement juste en amont du réchauffeur ou du traiteur
réchauffeur avec ajout de désémulsifiant.
On peut aussi remplacer les appareils traditionnels (réchauffeur, bac de lavage,
traiteur) aux performances médiocres a moyennes (BSW de sortie de 1 a 0,5 %) par
un dessaleur électrique qui permet d'obtenir un BSW de sortie de 0,3 a 0,1 % avec un
temps de séjour de seulement 5 a 10 min (d'ou un bien meilleur rapport capacité de
traitement / volume ou poids) et sans tube a feu (moins de problème de sécurité). Il
convient donc bien mieux que les appareils traditionnels pour les installations en mer.
Le principe du dessaleur électrique est de favoriser grâce a un champ électrique
intense (de l'ordre de 1 000 a 1 500 volt/cm) la coalescence des gouttelettes d'eau ; la
séparation gravitaire s'effectue alors bien plus facilement.

3-Dessaleur électrostatique
Le principe
Apres le séparateur triphasique le brut contient de l eau et des sels sous forme dissoute
ou des cristaux. L’eau se trouve souvent sous forme d’une émulsion stable qui
nécessite des temps des stockages très longs, le dessaleur électrostatique contribue
d’une manière efficace à détruire ses émulsions.
Pour cela on crée une nouvelle émulsion environ 3 à 5 % d eau moins sales que l
eau de gisement. Cette eau ne dépasse pas 50 gr /l .cette nouvelle émulsion ainsi crée
et détruite dans le dessaleur, l’eau sale résiduelle de bruit traiter présente une salinité
plus faible que celle de départ.
Trois opérations fondamentales ont lieu dans un dessaleur électrique

II-3-LES MOUSSES
1-Généralité:
Le liquide mousse quand les bulles de gaz qui sortent de solution ne peuvent se libérer
(baisse de la pression) car la viscosité ou la tension superficielle de l’huile les
empêchent.
En l’absence d’un agent moussant, la mousse de l’huile n’est pas stable, mais le
temps de résorption est assez long.
En conséquence ce phénomène réduit la capacité des séparateurs, le temps de
rétention nécessaire pouvant être décuple.
Généralement le traitement des mousses se fait au bac des stockages et ne fait pas
toujours.

2-Traitement des mousses:


2-1-Tranquillisation :
Le gaz se dégage spontanément de l’huile si on laisse un temps de repos suffisant
.cette méthode conduit à surdimensionné les séparateurs ou à multiplier, n’est pas
toujours rentable.

2-2-Brassage :
Favorise le rassemblement des bulles de gaz qui se libèrent plus vite surtout si
l’huile est traitée en couche mince .le diffuseur d’entre dirige l’huile sur des plans
inclines étagés. L’huile cascade de plateau en plateau.

2-3-Lavage en bain chaud :


Le réchauffage, en accroissant le volume des bulles et en abaissant la viscosité et
tension superficielle de l’huile, favorise la libération du gaz. L’huile est diffuse en
filets, ce procédé est plus efficace.

2-4-Traitement chimique :
Certains produits chimique, agissant sur la tension superficielle de l’huile, réduisant
la tendance au moussage et accroissement la capacité de traitement des separateur.par
exemple une simple injection en amont augmente la capacité d’un séparateur de 600à
1550 M3 /Jour.
III-TRAITEMENTS DES GAZ A CONDENSAT
1)généralité : origine de gaz :
- gaz associé à l’huile (libre, dissous)
- gaz prevonent du’ un gisement de gaz naturel
Le gaz peutaprtédes hydrocarbures condensable intervisantàrécupéré et de l’eau
dont on doit de brassée, deux procédé utilisé :
• Physique : avec la condensation à base température de produit liquéfiable.
• Chimique : avec l’adsorption des condensats et vapeur d’eau sur des corps
solides (silicagel ou charbon activé).

2) traitement à base température : en fait pour :


- la condensation des compositions lourdes liquéfiables contenues dans le gaz.
- récupération des liquides condensat et eau, est d’autantmeilleure que le
refroidissement est plus important.
- dans le pratique la température de 0°c à -30°c.
• L’inconvénient principale et la formation des hydrates.
3) Les hydrates :
Leur aspect physique et celui d’une glace blanche opaque se format dans des zones de
turbulence quand les condition pratique sont réalisées.
- Présence de l’eau liquide avec du gaz
- La température inférieur à la température critique de formation des hydrates.
Pour un gaz naturel de densité 0.6.la température critique sera :
Pression absolue Température critiques en c°
7 bars + 0°
35 bars + 7°
70 bars + 16°
105 bars + 19°

Les hydrates obture les conduites et créent une diminution de section de passage deux
méthodes utilisé contre les hydrates :
A) Réchauffage : efficace, mais souvent dangereux.
B) Décompression : en utilisant quand il n y a pas intervention immédiate par
l’injection d’inhibiteur, se fait par la décompression à pression atmosphérique
de l’enceinte.
L’hydrate se détruit spontanément.
2-2 traitement à base température sans inhibiteur d’hydrate
Les LTS (loue température) a une capacité recevent un effluant suffisant chaud
(arrivée de l’effluant) elle comporte :
- 03 sorties (gaz condensat eau)
- Une Duse de détente
La seul condition nécessaire au fonctionnement conduit de l’appareil est que la
température amont dues(repérétempérature) soit légèrement supérieur à la température
critique dans tel cas considéré (fonction de la pression et de la nature de gaz).
• Le fluide pénètre dans le séparation LTS et transit par une Duse de détente,
en aval de la Duse. Les hydrates se forme est tombé vers la partie basse et
subissent une ségrégation par différence de densité.
• Si la température du fluide est trop basse le gaz est réchauffé
préalablement.
L’appareil est contrôle par deux thermostat, un premier thermostat placé sur la cure du
réchauffeur réglé la température amont Duse. Un second thermostat mesure la
température du bain liquide dans le L.T.S et augmente le réchauffage si cette dernière
est insuffisante pour réduire les hydrates. L’inconvénient est que la température su
fluide amont Duse se trouve relevée du mémé coup, ce qui nuit rendement du
séparateur.

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