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DROIT BUDGETAIRE
PLAN DU COURS
Introduction
FINANCES PUBLIQUES
DROIT FISCAL
DROIT BUDGETAIRE
Nourriture, Santé,
logement ;
Sécurité ;
etc
Justice…..
Mode de
Mode de
satisfaction :
satisfaction :
L’individu
État
Cet ensemble (des procédures et des techniques spécifiques.) est connu par les finances
publiques.
Les dépenses et les recettes relatives aux diverses activités publique (et donc les fonds soumis à
affection publique) et la science qui s’y rapporte »
« L’étude des aspects juridiques, politiques, économique des recettes et des dépense des budgets des
collectivités publiques » Raymond Muzellec.
(Les finances publiques correspondent alors à l’ensemble des aspects juridiques, politiques et
économiques.
Conséquence :
La conception de ces finances publiques change avec les évolutions de la conception de l’état et
de ses missions.
Classique et moderne.
Elle est intimement liée à l’état libéral et découle des écrits des auteurs libéraux (Adam Smith,
David Ricardo, Léon Say et Gaston Jeze).
L’état doit se contenter d’assurer la fonction régalienne de l’ordre public (police, justice et
défense) et laisser agir les libertés individuelles (philosophie de l’état gendarme)
22SEPT2014
-Les lois économiques sont fondées sur un ordre naturel qui peut s’autoréguler sans
l’intervention de l’état. Cette vision est consacrée par le slogan « laisser faire, laisser aller ».
-La neutralité
Résultats :
Les libéraux de la deuxième génération ( J-J. MILLE, Adolphe WAGNER et John Maynard
KEYNES) ont toléré l’intervention de l’état pour réguler le marché.
a) -la crise de 1929 a montré que l’initiative privée était incapable à elle seule d’assurer
l’équilibre du marché ;
b) - les rôles de l’état doivent changés, ce dernier est contraint de faire preuve de plus
d’interventionnisme.
Idée dominante :
Les recettes et les dépenses ne sont plus uniquement un moyen de l’état pour assumer ses
services publics mais également un efficace facteur pour agir sur l’économie.
-les recettes de l’état ne peuvent pas être uniquement fiscales et domaniales : peuvent provenir
de l’emprunt.
-L’impôt est considéré comme un moyen pour l’état afin d’agir sur l’économie.
-Le principe de l’équilibre est totalement bouleversé pour céder la place à l’administration des
déficits budgétaire ;
Il existe certaines ressemblances entre les finances publiques et les finances privées
(établissement d’un budget, limitation de charges, contrôle de gestion ; etc)
Les finances publiques présentent certaines singularités qui permettent de les distinguer des
finances privées.
-L’objet
- le moyen
- la méthode
Le droit budgétaire est cette partie des finances publiques qui ne s’intéresse qu’aux règles et
procédure concernant la loi de finances.
29SEP14
Telle qu’elle a été modifiée et complétée par la loi organique n°14-00 du 19 avril 2000.
3- Le décret du 26 avril 1999 précise quant à lui les conditions d’élaboration et d’exécution des
lois de finances.
SECTION 1 : L’ABSENCE D’UNE DEFINITION DU BUDGET EN DROIT MAROCAIN
La loi organique relative à la loi de finances du 26 novembre 1998 ; dépit du fait qu’elle évoque le terme
budget, ne lui donne aucune définition.
Ainsi l’article 9 d’alinéa 2 de la LOLF précise que « toutes les recettes et toutes les dépenses imputées
au budget général ».
-la deuxième partie arrêt, par chapitre, les dépenses du budget général (DBG), par services, les
dépenses des budgets des services de l’Etat gérés de manières autonome (SEGMA) ; et, par compte, les
dépenses des comptes spéciaux du trésor (CST).
Depuis 31 mai1862 le droit français se réfère à la notion du budget comme étant un acte ayant 2
fonctions :
-Une fonction de prévision : C’est un acte qui prévoie les données financières futur de l’état ;
-une fonction d’autorisation : Le parlement autorise par son moyen le gouvernement à assurer
Le décret du 19 juin 1956 va introduire certain précision .ainsi on ne parle plus de recettes et de
dépenses mais plutôt des ressources et des charges ; si ,en effet, les premières traces les rentrées et
sortis de l’argent immédiates les secondes évoquent les sorties et rentres de l’argent provisoire ou qui
dépassent le cadre de l’année, cadre PLURIANNUEL
Depuis l’ordonnance de 2 janvier 1959,le budget a été abandonnée au profit de la loi de finances. Cette
dernière est constituée par un acte de nature législative qui décrit les ressources et les charges de
l’état pour une année civile.
Les LOLF DE 1963 ,1970 ET 1972 précisaient que « si au 31 décembre, le budget n’est pas voté…. »
La LOLF de 1998 précise désormais que « si, à la fin de l’année budgétaire, la loi de finances n’est
pas votée… »
En vertu de l’article premier de LOLF du 26 novembre 1998 « la loi de finances prévoit ; énonce et
autorise, pour chaque année budgétaire, l’ensemble des ressources et des charges de l’état, dans
les limites d’un équilibre économique et financier qu’elle définit »
-la loi de finances a deux caractères :
-Acte de prévision
-Acte d’autorisation
13OCT14
Il s’agit du texte ordinaire qui prévoit les ressources et les charges de l’état pour une année
budgétaire.
-Elles peuvent intervenir au cours d’une année budgétaire pour modifier les dispositions de la loi de
finances de l’année.
1-changement de la conjoncture où
-Elles doivent obéir aux mêmes conditions d’élaboration, de discussions, de vote, d’exécution et de
contrôle que la loi de finances de l’année.
-Vise à s’assurer de la bonne exécution des dispositions prévues par la loi de finances initiale.
Prise par le Gouvernement et soumise au vote du Parlement au plus tard à la fin de la deuxième année
budgétaire qui suit l’année d’exécution de la loi de finances.
-La déclaration générale de conformité entre les comptes individuels des comptables et le compte
général du Royaume (Art 47 de LOLF)
Il s’agit du :
SECTON 1 :
LE PRINCIPE DE L’UNITE
PLAN
$1 - Contenu du principe,
Double manifestation :
Conclusion
Une présentation assez détaillée de l’ensemble des dépenses et des recettes de l’Etat dans un document
unique.
-Objectif technique :
Objectif politique :
Au sein de la loi de finances de l’année il existe, en plus du budget général de l’Etat, d’autres
documents, notamment :
Leur existence s’explique par la nature provisoire de certaines opérations ou encore le caractère
pluriannuel de certains investissement.
20OCT14
Il s’agit des comptes relatifs à la gestion de certains services de l’Etat qui ne sont pas dotés de
la personnalité morale,
Leurs dépenses, non imputées sur les crédits du budget général, sont couvertes par des
ressources propres.
-$1-Sa signification
$1-signification du principe :
Il signifie que l’ensemble des recettes couvre l’ensemble des dépenses sans compensation (pas
de contraction entre les deux).
Ce qui rend impossible, aussi bien de compenser recettes et dépenses, que d’affecter une
recette à une dépense.
Elle implique l’obligation d’inscrire dans le budget toutes les recettes et toutes les dépenses
pour leur montant brut sans possibilité de compensation (article 9 de LOLF)
Cette règle veut que l’ensemble des recettes doive servir à la couverture de l’ensemble des
dépenses.
Aucune recette déterminée ne peut être utilisée pour le financement d’une dépense précise
(article 9 de LOLF)
Elle permet aussi d’éviter de faire payer le contribuable, par des augmentations d’impôt,
l’affectation d’une recette à une dépense. (Source d’injustice)
De même, elle permet d’éviter, en cas de soldes positifs, l’exagération de certaines dépenses
(gaspillages inutiles).
Il s’agit de fonds offerts par des personnes morales ou physiques pour concourir avec l’Etat à la
réalisation des projets d’intérêt général.
Ces fonds sont en général utilisés conformément aux désirs des donateurs.
CE qui justifie leur affectation à des dépenses en fonction des désirs de la partie versante.
27OCT14
Sont exclut les CST au sein desquels existent les comptes affectation spéciale (CAS)
Sont également exclus de l’emprise du principe de non-affectation, les budgets des SEGMA.
Cette procédure est prévue part l’article 23 de la LOLF permet la restitution à l’Etat de
sommes payées indûment ou à titre provisoire.
-La procédure de rétablissement de crédit permet d’annuler une dépense déjà effectuée en
rétablissant le crédit consommé.
-Pour le faire, la somme en cause doit être égale ou 1supérieure à 1000dh et ne peut intervenir
que 2pendant la gestion qui a supportée la dépense correspondante. (Délai)
-Les sommes inférieures à 1000dhs reversées comme recette au chapitre des recettes
accidentelles.
Le principe de spécialité budgétaire est un principe qui plaide pour détailler d’avance les
autorisations (au maximum) budgétaire.
PLAN
a-La spécialité par nature : les crédits autorisés par la loi de finances sont affectés à une
dépense déterminée et précisée d’avance.
b-La spécialité par finalité : chaque crédit doit être utilisé par le gouvernement pour
satisfaire le besoin en vue duquel il a été voté.
Article 29 de LOLF : les dépenses du budget général sont regroupées sous trois titres :
-Dépenses de fonctionnement
-Dépense d’investissement ;
Ces trois types de dépenses sont regroupés à l’intérieur de chaque titre, par chapitre,
subdivisés en articles, paragraphes et lignes selon leur destination, leur objet ou leur nature.
Pour chaque département ministériel ou institution, il est prévu, en ce qui concerne les dépenses
de fonctionnement, un chapitre pour le personnel et un chapitre pour le matériel et les
dépenses diverses.
-L’un est relatif aux dépenses en intérêts et commissions se rapportant à la dette publique,
Ce sont les dépenses prévues par un chapitre spécial utilisable librement par le gouvernement pour les
dépenses imprévues au cours de l’année.
Les crédits prévues dans ce chapitre sont utilisable par le gouvernement (ordre par le chef de
gouvernement exécuter par le ministre de finance) pour répondre à un besoin urgent ou pour faire
face à des dépenses non prévues par la loi de finances. Sur le plan structurel, ce chapitre est inséré dans
le cadre du budget général de l’état.
Le ministère des finances dispose pour les dépenses de fonctionnement d’un chapitre spécial appelé
chapitre des charges communes (au lieu de 2).
-Le pouvoir de modification des ordonnateurs (les ministres ou membre de gouvernement) reste limité
-Puisque ils doivent être autorisés par le ministre de finances pour pouvoir le faire. Cette possibilité de
modification ne peut se faire que l’intérieur des lignes. La demande en question ; devrai être justifiée en
présentant en annexe les données chiffrés qui justifier la modification en lien avec l’intérêt général.
CHAPITRE II :
Il s’agit ici des principes liés soit à la période de la loi de finances soit au contenu de cette loi.
PLAN
SECTION 1 :
LE PRINCIPE DE L’ANNUALITE
Le principe est que l’autorisation parlementaire ne doit pas être trop longue ou top courte.
$1 la teneur du principe
Le principe de l’annualité consiste à fixer pour une année la durée de l’exercice budgétaire.
-Cadre pluriannuel
logique
Solution
10NOV14
Le principe de l’annualité : rattacher à l’année budgétaire toutes les opérations de dépenses et recette.
C’est le système dit de «l’exercice » qui permet d’exécuter le budget suivant la formule des « droits
acquis »
Le système de la gestion est celui en vertu duquel les encaissements et décaissements du trésor sont
imputés sur l’année budgétaire au cours de laquelle ils sont effectivement réalisés sans tenir en compte
la date de leur naissance juridique.
C’est possibilité de reconduire les soldes budgétaires non utilisés au-delà de l’exercice concerné (éviter
les gaspillages).
Les reports des crédits ne concernent que les crédits de paiement disponibles au titre des dépenses
d’investissement (pas les dépenses de fonctionnement).
Les reports de crédits concernent également le solde de chaque compte spécial du trésor (CST) et les
fonds de concours.
C’est une procédure qui permet de reconduire des contrats de marchés ou de leurs reliquats non
exécutés ou non payés, d’une année à une autre.
Les autorisations de programmes concernent les opérations d’investissement dont la durée est
supérieure à l’année.
Elle est accordée une seule fois pour la durée totale de l’opération et détermine le coût global et
maximum des projets des investissements retenus.
-Les crédits d’engagement : ils correspondent au coût total que devrait couter le programme ; qui
s’étale sur plusieurs années.
-Les crédits de paiement : il s’agit des sommes qui correspondent à la tranche à réalise durant
l’exercice budgétaire en question. Dans ce cas il ne s’agit que d’une partie de l’investissement en question
qui devrait s’achever en principe le 31 décembre de l’année en cours.
Il est admis qu’une loi de finances peut engager sur ses crédits une dépense qui ne sera payée que l’année
suivante.
La loi de finances peut donner une liste spéciale de certains « crédits d’engagement » qui sont accordés
par anticipation sur les crédits de l’année suivante.
B.LES ASSOUPLISSEMENTS EN DEÇA DU CADRE ANNUEL
17NOV14
C’est le cas du system des ‘’douzièmes provisoires’’, celui de la ‘’reconduction de crédits’’ et celui de
‘’l’ouverture des crédits par décret’’.
Ce système consiste à voté des budgets partiels, mois par mois, sur la base du douzième montant des
autorisations accordées au titre de l’année précédente.
La reconduction de crédits :
C’est le système qui permet au gouvernement de reprendre pour la nouvelle année les autorisations
budgétaires de l’année précédente en attendant le vote de la loi de finances.
Son inconvénient est qu’il réduit le rôle du parlement et renforce la position du gouvernement.
-Pour les dépenses le texte qui est appliquée est celui du projet de loi de finance présenté par
le Gouvernement ;
-S’agissant des recettes ils sont encaissé selon les lois et règlement en vigueur l’ancienne loi de
finances et autre loi en vigueur. Cette règle ne concerne pas les impôts dont le projet prévoie
soit la suppression soit la diminution des taux ; dans ces cas les dispositions du projet de loi de
finances en valeur obligatoire.
Permet de faire une loi de finances pour une durée inférieure à un an.
SECTION 2 :
Plan
Cette thèse (J-M.KEYNES) défend un équilibre du budgétaire mais qui doit se concevoir sur le
long terme.
Le déficit budgétaire, qui ne doit pas dépasser un certain seuil, est incontournable afin de
développer l’investissement public, relancer la consommation et combattre le chômage.
L’inconvénient de la thèse du ‘’budget cyclique’’ réside dans le caractère irrégulier des cycles
économique.
24NOV14
PARTIE II :
LA PROCEDURE BUDGETAIRE
Les règles de procédure font intervenir le gouvernement et le parlement.
TITRE I :
ELABORATION ET ADOPTION
DE LA LOI DE FINNACES
Plan :
Le pouvoir exécutif conserve une maîtrise complète en matière de préparation du projet de loi
de finances (article 32 de la LOLF : cette étape de préparation est conduite sous la direction
du chef du Gouvernement).
Au sein du gouvernement, c’est le ministre chargé des finances qui conduit toute l’étape de la
préparation de la loi de finances.
-Etape 1 :
-Etape 2 :
-Etape 3 :
SECTION 2.
Après son adoption au sein du Conseil du Gouvernement, le projet de loi de finances est déposé
au début sur le bureau de la chambre des représentants.
A l’instar de l’ensemble des projets de lois qui sont traité en premier lieu par la chambre de
représentant et ceux depuis la Constitution 29 juillet de 2011, le projet de lois de finances
suit le même raisonnement aux procédures art 75 de la constitution.
En dépit du faite que le parlement garde du pouvoir large s’agissant du vote de la loi de
finances, les pouvoirs de Gouvernement sont de plus en plus importants lui permettant parfois
d’imposer ses choix aux représentants de la nation.
Après son adoption au sein du conseil des ministres, le projet de loi de finances est déposé sur
le bureau de la chambre des représentants.
Article 33 de la LOLF le projet de finances doit être déposé sur le bureau de la première
chambre du parlement ; « au plus tard, 60 jours avant la fin de l’année budgétaire en
cours »
01DEC14
La première
-Les recettes du budget général de l’état font l objet d’un vote d’ensemble (vote de totalité et
pas catégorie).
-les recettes des comptes spéciaux des trésors (CST) font l’objet d’un vote par catégorie cad 6
fois.
-Pour le BGE, le vote se fait par titre il existe 3 titre consacre respectivement au
fonctionnement, à l investissement et à la dette public);
- Pour Les CST, ils font l’objet, au même titre que les recettes d’un vote par catégories.
-Ce qui signifie que le parlement peut diminuer une recette à la condition de la compenser par l
augmentation par une autre recette,
Pour les charges publiques, l’utilisation de l’expression au singulier laisse entendre une
interdiction absolue.
Le gouvernement peut refuser tout amendement comme il peut imposer le vote bloqué
(art 83C)
TITRE II :
EXECUTION ET CONTROLE
DE LA LOI DE FINANCES
La phase d’exécution de LF est très complexe faisant intervenir divers autorités différentes.
CHAPITRE I :
Plan du chapitre
SECTION 1
DE LA LOI DE FINANCES
-Les percepteurs
les régisseurs ; les payeurs délégués, les receveurs comptables des douanes et impôts indirectes
,les secrétaires-greffiers des tribunaux, les conservateurs de la propriété foncière, les agents
comptables de certains établissements publics
DE LA LOI DE FINANCES
Il existe une différence entre les procédures d’exécution des recettes et des dépenses.
Le principe :
L’engagement :
L’engagement est acte administratif et comptable par lequel l’ordonnateur décide d’effectuer
une dépense afin d’acquérir un bien ou un service.
-La liquidation
C’est l’opération par laquelle l’administration constate et atteste de l’exigibilité d’une dépense
engagée.
L’ordonnancement :
C’est ordre donné par l’ordonnateur au comptable pour que ce dernier verse une somme d’argent
à un créancier.
La phase comptable d’exécution des dépenses publiques est la phase du paiement (faite par les
comptables)
08DEC14
Cette procédure est réserves à certaines dépenses particulière et précisées par l’article 35 du
décret de 1967 (ex frais de justice)
Elles ont pour origine un ordre adressé par l’ordonnateur aux régisseurs des fonds permettant
à ces derniers de régler certaines dépenses de faible montant ou de caractère imprévisibles
sans respecter la procédure normale d’exécution.
C’est le cas des salaires journaliers, les frais de missions et déplacements, les frais postaux,
l’entretien des locaux, etc.
Cette procédure spécifique concerne les dépenses relatives aux marchés publics.
-les avances
-les acomptes.
Le principe
-La constatation
-La liquidation
L’opération de la liquidation est constituée par un certains nombre de calcul effectué pour
déterminer le montant de la recette.
-L’ordre de recette
Les exceptions
EX : recettes perçues au comptant par les régisseurs de l’administration des douanes et droit
indirects, les droits de timbres perçu par les receveurs de l’administration de l’enregistrement
et du timbre.
CHAPITRE II :
NATURE
Problématique :
Exercé par les mêmes autorités chargées d’exécuter la loi de finances (sous la direction du
ministre des finances).
Modalités :
Il s’agit d’un contrôle préalable qui porte sur l’ensemble des dépenses publique (en principe il est
exercé à l’égard de l’ordonnateur avant l’étape de l’engagement) il se traduit par un visa ou
parfois on refus accordé par l’ordonnateur.
Depuis 2008 un contrôle modelé de la dépense a été prévu afin de facilité les procédures
d’exécution des dépenses.
2-le contrôle des comptables sur les ordonnateurs : ce contrôle est préalable à la phase
comptable qui se traduit de la part du comptable par le fait d’effectuer un certain nombre
-l’inspection général des finances IGF : ce corps est composé de plusieurs inspecteurs disposant
de large pouvoir en matière de contrôle de l’ensemble des administrations publiques.
Le contrôle externe est celui qui s’exerce indépendamment, du point de vue organique, de
l’administration.