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J'exprime mon respect et mes remerciements à tous les membres du jury, Je tiens
également à remercier mes amis Yassin, Ahmed, Fayed, Najd, Rafid, Aymen et
Elhasni de m'avoir encouragé et d'avoir été à mes côtés
Enfin les mots les plus simples sont les plus puissants, j'envoie tout mon amour à
ma famille et ma famille Surtout ma mère et mon père.
Dédicaces
Je dédie ce travail à :
Ma mère qui m’accompagne partout par ses prières qu’ALLAH me garde Mes amis
Toutes les personnes qui m’ont apporté leur soutien tant moral que physique et qui
Mots-clés :
Parmi les solutions, il s'avère que l'une des meilleures est la GMAO, en raison de la bonne
organisation offerte par cette dernière.
Outil puissant, la GMAO assure la gestion des achats et des approvisionnements de l'entreprise.
Il gère également le personnel, la planification et l'ordonnancement des travaux. D'où notre
travail qui consiste à développer une base de données pour la gestion des stocks Maintenance
et des approvisionnements.
Cette thèse est divisée en cinq six chapitres : Le premier chapitre est une introduction à
l'’institution dans laquelle il a travaillé et Le deuxième chapitre est une description générale de
la service maintenance et de ses différents types, ainsi que des causes de dysfonctionnements.
Dans le troisième chapitre nous parlerons principalement de la GMAO, où les points principaux
sont : les domaines à gérer par la GMAO, les objectifs de la GMAO, le choix de l'outil GMAO,
le processus informatique de maintenance, et enfin l'évaluation de la GMAO Logiciel.
Le quatrième chapitre sera consacré au module de gestion des stocks qui permet la gestion des
entrées et sorties de magasin ainsi que l'organisation des articles.
Le quatrième cinquième chapitre sera consacré à la mise en place d'une base de données de
gestion d'inventaire, dont les points principaux sont : dictionnaire de données, modèle
conceptuel de données, modèle logique de données et outil de programmation.
Le dernier chapitre sera consacré à la présentation des programmes développés ainsi que de
leurs différents modules.
Enfin, nous terminerons par une conclusion générale où nous synthétiserons ce qui a été
accompli dans cette thèse.
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Chapitre 1 : Présentation de l’Enterprise
I. Introduction
Le siège de REDEYEF usines est une entité à multiples activités dont principalement le
traitement du phosphate brut par lavage.
Le traitement du phosphate réalisé au sein de la laverie.
Les laveries dont on parle d’utilisent deux qualités de phosphate brut, la qualité normale et
la qualité spécifique qui sont traités dans deux chaines de lavage. Les deux chaines (laverie
1, laverie 2), utilisent le même principe de traitement le déroulement du traitement se fait
sur quatre étapes et dans quatre lots de la laverie.
1. Lot brut
C’est la première étape dans le traitement des phosphates et celle du fonctionnement de
laverie.
Le phosphate transporté des mines à la carrière par des camions versé dans des goulottes
pantalon (une entrée et deux sorties) dont des grilles séparant a un crible à trois niveau
séparent de plus le phosphate des pierres, phosphates transportés vers laverie passe par un
système de criblage broyage qui réduit la taille des grains de 0,5 à 0,1.
Le lot brut assure deux fonctions principales transport du phosphate et criblage broyage,
dontirage et préparations mécaniques.
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2. Lot lavage
Cette étape est la plus délicate et compliquée, elle consiste à laver le phosphate en
l’enrichissant de l’eau, cette préparation mécanique du phosphate sera versée dans un
débourbeur ou il subit l’opération du malaxage. Par des cribles ou il sépare les particules de
phosphate stérile. Les mélanges arrivent au bidon situé au-dessous de crible pour entraîne
l’opération de cyclonages, il s’appelle « pulpe », est refoulé par des pompes à force
centrifuge.
La pulpe passe à cinq cyclones on dit « coupure » à 90 microns, si le mélange passe à trois
cyclones on dit « coupure » à 50 microns. Dans un réservoir sera ensuite un traitement très
compliqué tout en lui association des quantités proportionnelles d’une matière enrichissante
appelé floculant.
Enfin, dans cette étape le phosphate subira des opérations de filtrage et décantation par un
tapis filtre.
3. Lot séchage
Cette opération consiste à sécher le produit ainsi obtenu de l’étape précédente.
Le sécheur est constitué de :
- Un foyer ou s’effectue l’allumage de la flamme (la combustion du fuel pour produire
l’énergie calorifique) servant au séchage du produit humide.
- Deux ventilateurs l’un pour la dilatation de la flamme et l’autre pour le refroidissement
des parois du sécheur.
- Un ventilateur pour aspirer les fumés et les gaz de combustion et les fines contenues dans
le filtrée.
- Six tubes rotation formants la partie ou s’effectue l’opération de séchage.
4. Lot stockage
Le phosphate ainsi préparé sera transporté du sécheur par un convoyeur à bande du filtre,
par pelles chargeuse (trax) ou il sera pesé puis stocké prés à l’expédition.
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* Métlaoui en 1899
* Redeyef en 1904
* Moularès en 1920
* Mdhilla en 1962
La compagnie de phosphate de Gafsa est une société anonyme à la capitale actuelle supérieure
à 271 millions dinars.
La CPG est presque le seul catalyseur économique dans la région.
Chef de
siége
adjoint
Ingénieur
Ingénieur Ingénieur de
Chef de production maintenance Section du sécurité
maintenace électric materiel
mécaniqe
Ingénieur adjoint
Ingénieur adjoint Ingénieur adjoint Ingénieur adjoint Ingénieur adjoint
du bureau
de production mécanique d'électrique du magasin
technique
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Protection des yeux : lunettes, sur lunettes, masques…
Protection auditive: bouchons d’oreilles …
Protection du visage : écrans faciaux, masques et cagoules (soudage), visières…
Protection respiratoire : masques jetables ou réutilisables, demi-masques et
masques à cartouches filtrantes, appareils respiratoires, d’épuration, de ventilation…
Protection des mains gants, manchettes, pour tous risques et en toutes matières
Protection des pieds : chaussures (femmes et hommes), bottes…
Protection du corps vêtements professionnels génériques et spécifiques, contre le
froid, la chaleur
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2. Sécurité collective
Les protections collectives sont spécifiques au type de risques encourus. Par Example:
Pour le risque de chute sur un sol glissant, l’utilisation de revêtements de sol
antidérapants
Pour le bruit l’encoffrement des machines avec des matériaux adaptés
Pour le risque d’exposition à des poussières, le captage à la source et la ventilation…
Atelier en ordre pour éviter le risque de trébuchement (élimination des déchets
désorganisée)
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Chapitre 2 : Présentation de Service maintenance dans
l’Enterprise
I. Maintenance Industrielle
1. Introduction
Le maintien des équipements de production est un enjeu clé pour la productivité des usines
aussi bien que pour la qualité des produits. C’est un défi industriel impliquant la remise en
cause des structures figées actuelles et la promotion de méthodes adaptées à la nature nouvelle
des matériels.
2. Définition de la maintenance
D’après l’AFNOR (NF X 60-010) : La maintenance est un ensemble des actions
permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d’assurer
un service déterminé. Bien maintenir, c’est assurer ces opérations au coût optimal.
Commentaires :
Maintenir : contient la notion de « prévention » sur un système en fonctionnement.
Rétablir : contient la notion de « correction » consécutive à une perte de fonction. État spécifié
ou service déterminé : implique la prédétermination d’objectif à atteindre, avec quantification
des niveaux caractéristiques.
Coût optimal qui conditionne l’ensemble des opérations dans un souci d’efficacité.
3. Le service maintenance
a. Situation dans l’entreprise
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• Rationalisation des moyens matériels et optimisation de leur usage (amortissement
plus rapide).
• Diminution des quantités de pièces de rechange disponibles.
• Communication simplifiée avec les autres services grâce à sa situation centralisée.
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— Les travaux concernant l’hygiène, la sécurité, l’environnement et la pollution, les
conditions de travail, la gestion de l’énergie...
— L’entretien général des bâtiments administratifs ou industriels, des espaces verts, des
véhicules...
DT : demande de travail
OT : ordre de travail
BT : bon de travail
DA : demande d’approvisionnement
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Ce graphe nous montre la position stratégique de la fonction ORDONNANCEMENT
pour la qualité de la communication.
Une défaillance peut être : - Partielle : s’il y a altération d’aptitude du bien à accomplir sa
fonction requise.
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- Complète : s’il y a cessation d’aptitude du bien à accomplir sa fonction requise. -
Intermittente : si le bien retrouve son aptitude au bout d’un temps limité sans avoir subi
d’action corrective externe.
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Cette réflexion terminologique et conceptuelle représente une base de référence pour :
- L’utilisation d’un langage commun pour toutes les parties (conception, production,
prestataires des services, etc.)
- La mise en place des systèmes informatisés de gestion de la maintenance.
a. La maintenance corrective
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Définition AFNOR (norme X 60-010) : « Opération de maintenance effectuée après
défaillance ».
- Elle peut être très importante (de 0,5 à plusieurs heures) dans le cas du changement de
plusieurs organes simultanément (moteur noyé par une inondation). - Elle peut être majeure
en cas de mort d’homme (plusieurs jours si enquête de police).
b. La maintenance préventive
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Objectifs de la maintenance préventive :
- Le comportement du matériel.
- Les modes de dégradation.
- Le temps moyen de bon fonctionnement entre 2 avaries.
Cas D’application :
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- Equipements dont les dépenses de fonctionnement deviennent anormalement élevées au
cours de leur temps de service : consommation excessive d’énergie, éclairage par lampes
usagées, allumage et carburation déréglés (moteurs thermiques), etc....
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- Visite : examen détaillé et prédéterminé de tout (visite générale) ou partie (visite limitée)
des différents éléments du bien et pouvant impliquer des opérations de maintenance du
premier et du deuxième niveau : il peut également déboucher sur la maintenance corrective.
- Test : comparaison des réponses d’un système par rapport à un système de référence ou à
un phénomène physique significatif d’une marche correcte.
- Echange standard : remplacement d’une pièce ou d’un sous-ensemble défectueux par une
pièce identique, neuve ou remise en état préalablement, conformément aux prescriptions du
constructeur.
- Révision : ensemble complet d’examens et d’actions réalisées afin de maintenir le niveau
de disponibilité et de sécurité d’un bien. Une révision est souvent conduite à des intervalles
prescrits du temps ou après un nombre déterminé d’opérations. Une révision demande un
démontage total ou partiel du bien. Le terme révision ne doit donc pas être confondu avec
surveillance. Une révision est une action de maintenance de niveau 4.
Les trois premières opérations sont encore appelées « opérations de surveillance ». Elles
caractérisent parfaitement la phase d’apprentissage et sont absolument nécessaires si on veut
maîtriser l’évolution de l’état réel d’un bien. On accepte donc de payer pour savoir puis pour
prévenir. Elles sont effectuées de manière continue ou à intervalles prédéterminés ou non,
calculés sur le temps ou sur le nombre d’unités d’usage.
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c. La maintenance améliorative
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pièces d’origine ou des pièces neuves équivalentes. La reconstruction peut être
assortie d’une modernisation ou de modifications. Les modifications peuvent apporter
un plus en termes de disponibilité (redondance), d’efficacité, de sécurité, etc....
Attention toutefois à une forme particulière de reconstruction : c’est la «
cannibalisation » qui consiste à récupérer, sur le matériel mis au rebut (casse), des
éléments en bon état, de durée de vie espérée inconnue, et de les utiliser en rechanges
ou en pièces de rénovation. Est-ce une bonne solution ?...
Modernisation C’est le remplacement d’équipements, d’accessoires, des logiciels par des sous-
ensembles apportant, grâce à des perfectionnements techniques n’existant pas sur le bien
d’origine, une amélioration de l’aptitude à l’emploi du bien. Une modernisation peut intervenir
dans les opérations de rénovation ou de reconstruction.
Réglages simples prévus par le constructeur au moyen d’éléments accessibles sans aucun
démontage ou ouverture de l’équipement, ou échanges d’éléments consommables accessibles
en toute sécurité, tels que voyants ou certains fusibles, etc....
Ce type d’intervention peut être effectué par l’exploitant du bien, sur place, sans outillage
et à l’aide des instructions d’utilisation. Le stock des pièces consommables nécessaires est
très faible.
b. 2ime niveau :
Dépannage par échange standard des éléments prévus à cet effet et opérations mineures
de maintenance préventive, telles que graissage ou contrôle de bon fonctionnement.
c. 3ime niveau :
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Ce type d’intervention peut être effectué par un technicien spécialisé, sur place ou dans le
local de maintenance, à l’aide de l’outillage prévu dans les instructions de maintenance ainsi
que des appareils de mesure et de réglage, et éventuellement des bancs d’essais et de contrôle
des équipements et en utilisant l’ensemble de la documentation nécessaire à la maintenance
du bien ainsi que les pièces approvisionnées par le magasin.
d. 4ime niveau :
Ce type d’intervention peut être effectué par une équipe comprenant un encadrement
technique très spécialisé, dans un atelier spécialisé.
e. 5ime niveau :
Par définition, ce type de travaux est donc effectué par le constructeur, ou par le
reconstructeur, avec des moyens définis par le constructeur et donc proches de la fabrication.
Par conséquent il doit être utilisé que lorsque d’autres méthodes préventives ne peuvent pas
être appliquées, c’est en particulier le cas pour la prévention de panne dite « aléatoire » à taux
de défaillance constant. Dans ce cas il est impératif de tout mettre en œuvre pour réduire la
conséquence de la défaillance, les règles de bonne maintenabilité doivent être utilisées.
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Figure 9 : Arbre de décision d’une politique de maintenance
Pour obtenir la meilleure organisation de l’équipe, les fonctions de maintenance peuvent être
classées comme suit :
4.le planning des services, notamment réparations d’urgence, service régulier, etc. La
structure d’organisation, dans toute entreprise, est un mélange de ces fonctions, de sorte qu’il
est rarement possible de recommander des solutions particulières. Les organigrammes des
figures suivantes illustrent les cas d’organisation le plus courants.
La réparation des appareils, des dispositifs de sécurité et de régulation exige des solutions
adaptées en fonction de la quantité de travail exigé.
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Figure 10 : Organisation de l’équipe de maintenance dans une petite entreprise
Figure 11 : Organisation de la section entretien dans une entreprise de fabrication de taille moyenne
Par ailleurs, différents moyens formels d’interaction entre ces opérateurs peuvent être
identifiés :
• Les demandes d’intervention, qui constituent sans doute le moyen essentiel par lequel
les opérateurs peuvent interagir (et le seul document écrit)
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• Les communications verbales de ces opérateurs, notamment lors de la transmission
des demandes d’intervention
• les réunions de production, puisque les responsables des différents secteurs de
production, ainsi que le responsable de maintenance, entre autres, y participent ces dernières
n’ont toutefois pas pour objectif principal la coordination de ces opérateurs la consultation
des comptes rendus de ces réunions révèle en effet que des sujets extrêmement divers y sont
évoqués des demandes d’intervention ou une information sur la réalisation des interventions
de maintenance peuvent néanmoins être effectuées à cette occasion.
1. Evocation des interactions entre opérateurs de maintenance et de production lors des
entretiens
Ces derniers permettent d’apporter des précisions sur les activités de ces opérateurs et
leurs interactions aux différentes étapes d’une intervention de maintenance corrective, sur
leurs modes d’interaction et leurs relations interpersonnelles et d’interdépendance. Ces
différents points seront examinés successivement.
• les opérateurs de production, selon 3 interlocuteurs c’est le cas en l’absence des chefs
d’équipe ou des responsables de production, mais aussi si ceux-ci ne sont pas disponibles ou
encore si cela peut représenter un gain de temps soulignons que les opérateurs de production,
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qui émettent des demandes d’intervention, sont ceux qui ont une expérience importante et
une connaissance approfondie des équipements (cas des analystes ou des régleurs, par
exemple)
• les chefs d’équipe de maintenance et de production (point évoqué lors d’un entretien)
Les éléments juste présentés tendent à montrer que les demandes d’intervention et les
échanges verbaux des opérateurs de maintenance et de production constituent leurs
principaux modes d’interaction, même s’ils ne sont pas systématiquement utilisés. Un
examen des entretiens tend à le confirmer. En effet, parmi les 15 interlocuteurs qui évoquent
les modes d’interaction des opérateurs de maintenance et de production :
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peuvent être l’occasion, pour les responsables de production, de demander une intervention
de maintenance et, pour les chefs d’équipe de maintenance, de solliciter un arrêt de
production pour intervention les interventions de maintenance ne constituent toutefois pas un
sujet majeur de ces réunions, comme cela a été souligné précédemment
- d’autres documents sont évoqués au cours de 5 entretiens, mais généralement pour signifier
qu’il n’existe pas, à la connaissance des différents interlocuteurs, de consignes ou de
procédures de maintenance un opérateur relate, toutefois, qu’un cahier de liaison
maintenance-production a été mis en place dans un des secteurs de production.
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également variables : arrêt de l’activité de production menée à l’aide de l’équipement
concerné, arrêt de l’activité de production du secteur auquel appartient l’équipement ("les
pannes à un endroit se répercutent sur les autres postes de ce secteur car les pièces suivent un
cycle et le travail se fait en flux tendu"), arrêt de l’activité de production d’autres secteurs
que celui auquel appartient l’équipement (un arrêt "peut éventuellement se répercuter sur les
chantiers qui sont alimentés") ou absence d’arrêt ("// y a plus ou moins de pannes qui
occasionnent des arrêts") en outre, les arrêts de travail occasionnés peuvent concerner un
nombre plus ou moins important de personnes selon les secteurs, et faire ou non l’objet de
régulations par les opérateurs de production ("ce chantier n’a pas de livraison journalière à
effectuer, la qualité est privilégiée par rapport à la production, par conséquent, il y a
possibilité de réguler les pannes").
Les relations de dépendance de la maintenance vis-à-vis de la production ont, pour leur part.
Elles sont relatives.
Par ailleurs, une personne souligne que l’indisponibilité des opérateurs de maintenance ou
l’absence de pièces de rechange nécessaires à la réalisation des interventions peuvent
conduire à des relations conflictuelles des opérateurs de maintenance et de production ("le
sentiment est que la maintenance n’est jamais là").
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5. Synthèse
Les entretiens mettent, en premier lieu, en évidence que les demandes d’intervention et
les échanges verbaux des opérateurs de maintenance et de production constituent les deux
modes essentiels d’interaction de ces opérateurs. Les moyens, dont ils disposent pour
interagir, apparaissent ainsi relativement peu importants, comparativement à d’autres
situations, où des réunions quotidiennes de coordination maintenance-production ou encore
des cahiers de liaison entre ces opérateurs sont mis en place (Déchez, 1991 Bourrier, 1996
Foot Petit, 1996 Grusenmeyer, 1998). En outre, les demandes d’intervention semblent
davantage constituer une trace des opérations de maintenance réalisées (traitement de ces
documents grâce au système de Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur) qu’un
moyen pour les opérateurs de production de solliciter la maintenance (leur émission n’est pas
systématique et souvent effectuée a posteriori).
Les interactions des opérateurs de maintenance et de production apparaissent, pour leur part,
caractérisées par une très forte variabilité : variabilité relative à leur contenu (par exemple,
les informations disponibles sur les demandes d’intervention transmises à la maintenance
peuvent être très différentes), aux personnes concernées (diversité des émetteurs des
demandes d’intervention contrôle et remise en marche de l’équipement effectués, selon les
cas, par la maintenance, la production ou en commun), à leur moment d’apparition dans le
déroulement des interventions (émission des demandes d’intervention avant ou à l’issue des
interventions échanges verbaux entre opérateurs de maintenance et de production avant,
pendant ou après l’intervention), mais surtout, variabilité associée au fait que ces interactions
ne sont pas systématiques.
• Les interventions de maintenance ne font pas toujours l’objet d’une demande d’intervention,
ce qui pose la question de la traçabilité de ces interventions
• Les phases de pré-diagnostic et de suivi des interventions ne sont pas systématiques
• Il n’y a pas non plus, de façon systématique, d’échanges verbaux entre opérateurs de
maintenance et de production, que cela soit avant l’intervention, pendant cette dernière ou à
son issue.
Les interactions de ces opérateurs sont ainsi relativement peu nombreuses, alors que leurs
relations d’interdépendance sont, si l’on s’en réfère aux déclarations recueillies, importantes.
Or, ceci n’est pas sans conséquences pour la sécurité des opérateurs et la fiabilité des systèmes
: • l’absence de préparation des interventions de maintenance ne permet pas de prendre
connaissance ou de se remémorer les procédures de sécurité à suivre, ni de préparer les
outillages, les pièces, la documentation, le mode opératoire ou le nombre d’intervenants
nécessaires (cf. Leplat S’avoyant, 1972 AFNOR, 1986 Chabaud et al., 1987)
• En l’absence d’échanges verbaux avant l’intervention, des consignations ou déposes des
équipements, non pertinentes, voire dangereuses, peuvent être réalisées, les opérateurs de
maintenance ne disposant pas des informations nécessaires des travaux inutiles risquent
également d’être effectués, si un matériel est jugé défectueux, alors que ce n’est pas le cas
(Abéla Mazeau, 1996)
• En l’absence de suivi des interventions de maintenance par la production, celle-ci n’est pas
en mesure de limiter les risques associés à des actions incompatibles avec ces dernières
(action sur un équipement qui fait l’objet d’une intervention ou qui permet un isolement), ou
ceux liés à la proximité de personnes d’équipements en cours de réparation ou dont les
sécurités ne fonctionnent plus (Bourrier, 1996 Abéla Mazeau, 1996)
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• en l’absence de communications à l’issue des interventions, les opérateurs de production
risquent de ne pas disposer des informations nécessaires à une reprise en main sûre de
l’installation par ailleurs, le retour d’information de la production à la maintenance sur
l’intervention menée est également important pour le maintien de l’expertise de ces derniers
opérateurs il peut en effet leur permettre de disposer d’éléments pour préparer des travaux
ultérieurs (AFNOR, 1986 Abéla Mazeau, 1996).
Pour résumer, il apparaît que l’urgence et l’absence d’échanges d’information entre
opérateurs de maintenance et de production ne sont pas favorables à la gestion des risques
associés aux situations de maintenance.
V. Conclusion :
Maintenance et performances sont étroitement liées. Leur principal lien réside dans le fait que
les procédures de maintenance viennent alimenter la démarche qualité. Et bien il en est de même
dans la mise en place d’une stratégie de maintenance. Voilà les différences entre les diverses
stratégies de maintenance en termes de coûts et de performances :
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Chapitre 03 : Introduction à la GMAO
I. Introduction :
Pour être efficace dans sa mission d'assurer l'entretien et l'amélioration des équipements de
production, la fonction maintenance doit se doter des outils fiables afin de gérer le flux
d'informations qui gravite autour de ses activités quotidiennes. On parle donc de la gestion
assistée par ordinateur, qui joue un rôle important pour automatiser un processus qui consiste à
remplacer une méthode de travail traditionnelle par un ou plusieurs programmes de traitement
des données. Ce chapitre sera consacré à la gestion de la maintenance assistée par ordinateur.
1. Définition :
La GMAO (Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur) est un système de management
de la maintenance organisée autour d’une base des données permettant de programmer et de
suivre sous trois aspects (technique, budgétaire, organisationnelle), toutes les activités d’un
service de maintenance à partir de terminaux dissémines dans les bureaux techniques, les
ateliers, les magasins et bureau d’approvisionnement. Il comprend des organes :
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a. Gestion du préventif :
Le système repose sur le fichier des articles en magasin comprenant les lots de maintenance par
équipement et sur les mouvements entrées/sorties du magasin.
- Le fichier des fournisseurs et des fabricants avec leurs tarifs liés aux quantités
- Le lancement d'appels d'offre aux fournisseurs
- L’édition de bon de commande standard ou personnalisés, et le suivi des autorisations
de dépenses
- Le contrôle des factures
- L’édition automatique des codifications internes et fournisseurs (transcodage)
- Le suivi des états de la commande
- Le suivi des réceptions totales, partielles et des refus
- L’estimation de la qualité des fournisseurs par les contrôles de réception et le suivi des
délais
- L’édition automatique de lettres de relance pour les retards.
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d. Analyse des défaillances :
La base de ce module est constituée des historiques automatiquement alimentés par chaque
saisie de BPT et d'OT mis en famille par ses codes d'imputation. A partir d'un équipement
donné, il doit permettre :
- L’établissement des analyses quantitatives par graphes de Pareto, avec plusieurs critères
(MTTR, TA durée d’arrêt) et plusieurs mises en familles (par cause, par localisation,
par nature de défaillance, etc.) et sur plusieurs périodes d'analyse (hier, la semaine
écoulée, les trois derniers mois, l'année, etc.)
- Puis l'analyse qualitative des défaillances sélectionnées comme prioritaires,
éventuellement mise sous forme AMDEC.
e. Budget et suivi des dépenses :
La gestion analytique ne permet que des micro-analyses des comptes. Un découpage plus fin
de la fonction maintenance doit donc pouvoir permettre des analyses détaillées grâce à la
GMAO, l'objectif étant le suivi de l'évolution des dépenses par activité dans un budget donné.
Quelques éléments du cahier des charges à préciser, c'est-à-dire le module permet-il :
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- La qualification, les habilitations, les diplômes, l'ancienneté dans son échelon actuel, les
différentes affectations, l'affectation actuelle, etc.
- Les formations suivies, demandées et le bilan de compétence
- Les congés pris, demandés et les récupérations (données nécessaires à la programmation
des travaux)
- Les temps de présence et d'absence (historique des arrêts de travail)
- Les coûts horaires pour chaque qualification (pour imputation des coûts d'intervention).
g. Tableaux de bord et statistiques :
Les tableaux de bord concernent la mise en forme de tous les indicateurs techniques,
économiques et sociaux sélectionnés pour assurer la gestion et le management du service
maintenance. Certains sont livrés en standard avec le logiciel. Il faut vérifier s'ils peuvent être
personnalises rapidement (courbes, graphiques et autres visuels), ou développés avec un
générateur d'état extérieur au logiciel.
4. Objectif de la GMAO :
La GMAO s'inscrit dans un projet d'amélioration de productivité grâce aux points principaux
suivants :
Pour l'exploitant, au niveau de l'entreprise, le choix du SGBD est difficilement réversible car
les logiciels applicatifs en comptabilité, finances, GPAO et GMAO ne communiquent que s'ils
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partagent la même base de données. D'où l'importance des critères de capacité d’évolution et
de pérennité de l'éditeur lors du choix d'un SGBD.
Information
Equipement Stocks
Intervenants Achats
Base de données
Budgets Travaux
Analyse
L’entreprise qui prend la décision d’investir dans un outil de GMAO doit remettre en question
les habitudes acquises par les différents services de l’entreprise qui utilisent pour des raisons
historiques des systèmes de codage différents pour même équipement en fonction de leur
domaine de spécificité propre (achats, méthodes, travaux neuf, maintenance, conduit). Il n’est
donc pas possible de mettre en œuvre une GMAO sans une implication forte de la direction qui
doit expliquer la démarche, participer à des réunions de type comité de pilotage, accompagner
l’équipe projet de manière active depuis le début de projet jusqu’à la mise en exploitation [8].
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doit être principalement de formation maintenance. Il doit pouvoir s’appuyer sur des compétences
informatiques internes ou externes [8].
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9. Démarche d’informatisation de la maintenance
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b. Démarche
1. Evaluer au préalable sur la grille les besoins par rapport à un logiciel de GMAO
NOM DU LOGICIEL :
Niveau de performance
Gérer les
Etablissement Elaboration plan de Mise en œuvre
travaux Recensement Suivi des
des fiches de Préventif De la
Préventifs et des travaux incidences du
Maintenance Systématique e Maintenance
Conditionnel préventifs préventif
préventive ajustable conditionnelle
s
Historique Suivi et analyse
Historique,
Assurer le suivi Historique, prenant en de la
calendaire Analyse des
Technique des calendaire Compte les Disponibilité
Par types de dysfonctionnements
Équipements des travaux unités des
maintenance
d’œuvre équipements
Des
Interne Activités,
Service Des Dépenses n du service
(Centres de Fonctions,
maintenance dépenses Par nature et par maintenance
frais) dépenses
équipement
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Inventaire Réservation
Gestion des
Gérer les stocks Tenue du permanent du Et
Gestion des stocks et suivi
de rechanges et stock en stock et liste Réapprovisionné
stocks des achats
les achats magasin pièces /
directs
machines Semiautomatique
Renseignements
et fonctions
diverses
% de satisfaction : Déviation :
Conclusion
Dans ce chapitre nous avons fait connaitre ce que c’est un logiciel GMAO, ces différents
modules et de les arrimer aux concepts présents dans les outils actuels de gestion de la
maintenance
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Chapitre 04 : Création Du logiciel
I. Introduction
Lorsque l’on décide de créer un logiciel qui répond aux besoins des utilisateurs, il faut surtout
définir clairement ses caractéristiques.
Les données du problème doivent être énoncées avec précision et décidées en amont selon les
besoins à traiter, la réalisation et l’installation de la base de données s’avérant alors beaucoup
plus souples. En effet, une erreur de conception pourrait en générer d’autres bien plus graves
lors de l’installation de la base, allant parfois même jusqu’à la perte de certaines données.
C’est pourquoi des méthodes de conception de bases de données ont été mises au point afin
d’éviter les erreurs majeures.
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D’informations, elle a été conçue pour couvrir les besoins des administrations ainsi que les
entreprises.
Elle a été conçue au début des années 1977 et à la fin des années 1978 à la suite d’une vaste
consultation du ministère de l’industrie en France.
Elle fait une conception basée sur une approche systémique et permet d’avoir un système
d’information évolutif, elle vise à la totalité des informations soient celles utilisées
manuellement ou de manière automatique qu’elle que soit les lieux de production ou de
consommation ou encore les impliqués.
Ainsi, même les informations dont la production ne fera l’objet d’aucune information devront
être décrites.
La méthode MERISE se caractérise par une modélisation du monde réel à travers une collection
d’outils jusqu’à aboutir à un SIA (système d’information automatisé). MERISE permet
l’analyse d’un système d’information de sorte à faire une séparation entre les données et les
traitements, ainsi pour la conception d’un système d’information
Pour crées un logiciel GMAO on doit avant tout satisfaire un certain degré de sécurité, Le
langage de programmation adéquat pour cette étude doit être forcément un langage qui traite
les bases de données et c'est de là que notre choix s'est porté sur
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Conçu en Java, NetBeans est disponible sous Windows, Linux, Solaris (sur x86 et SPARC),
Mac OS X ou sous une version indépendante des systèmes d'exploitation (requérant une
machine virtuelle Java). Un environnement Java Développent Kit JDK est requis pour les
développements en Java.
NetBeans constitue par ailleurs une plateforme qui permet le développement d'applications
spécifiques (bibliothèque Swing (Java)) [15].
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1. Elaboration un dictionnaire des données
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Figure 16 : MCD de la base de données
Les objectifs de celte modélisation sont la définition de l'organisation logique des données à
partir du modèle conceptuel valide et l'optimisation de cette description, compte tenu des
traitements a appliqué à l'information. [10]
1. Elaboration du MLD
• CREATE TABLE "Alarm" ( "Jour" TEXT, "mois" TEXT, "annee" TEXT, "heurs" TEXT, "minute"
TEXT, "message" TEXT )
• CREATE TABLE "Bon_Entre" ( "Code" TEXT, "Disgn" TEXT, "Qte_R" INTEGER, "Qte_A" INTEGER,
"Observation" TEXT, "JDate" TEXT, PRIMARY KEY("Code") )
• CREATE TABLE "Bon_Sortie" ( "Ref_P" TEXT, "Demande" TEXT, "Disgn" TEXT, "Qte" TEXT,
"Utilite" TEXT, "Date" TEXT, PRIMARY KEY("Ref_P") )
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• CREATE TABLE "DI" ( "N_DI" TEXT, "MachineID" TEXT, "Description" TEXT, "Demandeur" TEXT,
"Secteur" TEXT, "Date" TEXT, "Degre" TEXT, "Anomalie" TEXT, PRIMARY KEY("N_DI") )
• CREATE TABLE "Gestion" ( "Code" TEXT, "Disgn" TEXT, "Prix" TEXT, "Quantite" TEXT, "Val"
TEXT, "Quantite1" TEXT, "Empl" TEXT, "Unite1" TEXT, "Famille1" TEXT, "jDate1" TEXT, "Image"
BLOB, PRIMARY KEY("Code") )
• CREATE TABLE "Historique" ( "Date" TEXT, "Operation" TEXT, "Admin" TEXT )
• CREATE TABLE "Login" ( "Username" TEXT, "Password" TEXT , "Image" BLOB)
• CREATE TABLE "Machine" ( "CodeMachine" TEXT, "Description" TEXT, "Secteur" TEXT,
"Type_Machine" TEXT, "Fonction" TEXT, "Famille" TEXT, "Cout" TEXT, "Image" BLOB, PRIMARY
KEY("CodeMachine") )
• CREATE TABLE "OT" ( "N_DI" TEXT, "DateDI" TEXT, "CodeMachine" TEXT, "Description" TEXT,
"DateOT" TEXT, "N_OT" TEXT, "Intervenant" TEXT, "Nature" TEXT, "Travaux" TEXT, "Piece"
TEXT, "Date_Inter" TEXT, "Duree" TEXT, "Essais" TEXT, "Cout" TEXT, PRIMARY KEY("N_OT") )
• CREATE TABLE "Personnel" ( "Nom" TEXT, "Prenom" TEXT, "Matricule" TEXT, "Num" TEXT,
"Email" TEXT, "Taux" TEXT, "Fonction" TEXT, "Secteur" TEXT, PRIMARY KEY("Matricule") )
• CREATE TABLE "Piece" ( "Piece" TEXT , "Prix" TEXT)
• CREATE TABLE "Preventif" ( "N_op" TEXT, "MachineID" TEXT, "Description" TEXT,
"Responsable" TEXT, "Fre" TEXT, "Operation" TEXT, "Piece" TEXT, "Observation" TEXT, "Date"
TEXT, PRIMARY KEY("MachineID") )
• CREATE TABLE "Register" ( "name" TEXT, "Email" TEXT, "Username" TEXT, "Password" TEXT,
"Image" BLOB, PRIMARY KEY("Email","Username") )
Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons parlé de la méthode « MERISE » que nous allons utiliser dans notre projet,
et que la spécification détaillée retenues lors de cette phase de conception où on a décrit : le MCD, MLD,
ce qui va nous permettre d'aborder le côté technique de notre étude, en ce qui concerne les différents
aspects, données et codage de notre logiciel, Dans le chapitre suivant on va présenter l’application
de gestion de stock
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Chapitre 05 : Application Réal Dans le Logiciel
GMAO
Introduction
Après avoir conçu la base de données de notre programme, le moment est venu pour présenter
l’application de la gestion des stocks et d’approvisionnement. Dans ce chapitre on va voir les
démarches de logiciel et ses modules.
I. Présentation du logiciel
1. Fenêtre de l’utilisateur
Ici, dans cette fenêtre, comme nous le voyons, il y a d'abord deux zones.
Pour créer votre nouveau compte si vous n'en avez pas il faut choisir la première zone.
La deuxième zone ce la zone de connexion avec votre compte que vous avez créé auparavant.
Vous pouvez basculer entre les zones en cliquant sur n'importe quel endroit de la zone que vous
souhaitez ouvrir
2. Fenêtre d’accueil :
Dans la fenêtre d’accueil, nous avons 2 parties Menu et Panneau d’accueil.
Dans le menu nous avons Tous les modules de notre Programme.
Lorsque vous cliquez sur un module de votre choix, il s’affiche sur le panneau d’accueil.
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Figure 18 : Fenêtre d’accueil
3. Fenêtre Machine
Cette fenêtre pour créer la Fiche machine.
Comme nous le voyons, il y a 7 champs de texte et photo, vous écrivez toutes les informations
de votre machine
Ces informations doivent être Code machine, Description de la machine, Secteur, Type de
machine, Fonction, Famille, Prix et Ajouter la photo de votre machine.
Cliquez enfin sur Bouton Enregistre.
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4. Module Maintenance Corrective
Cette Fenêtre permet Créer Demande D’intervention (DI), Ordre de Travail (OT) et Voir tous
les Informations des opérations effecteurs :
a. Fenêtre de Demande d’intervention :
Cette fenêtre pour créer une demande d'intervention, vous devez renseigner toutes les
informations dans ces champs respectifs.
Après appuyer sur le bouton Enregistre
Cette fenêtre pour créer un bon de travail, vous devez remplir toutes les informations dans ces
champs respectifs.
Comme vous le verrez, certaines informations seront automatiquement créées.
Pour créer l'ordre de travail vous renseignerez Intervenant, Nature de l'intervention, Travail
effectué, choisis toutes les pièces détachées qui ont été utilisées, durée de l'intervention, essais
effectués ou non à la fin le Coût de panne sera calculé automatiquement
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Figure 21 : Ordre De Travail
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6. Fenêtre de Stock
En cliquant sur le bouton Stock, la fenêtre s’affiche et c’est l’utilisateur qui va ajouter des
nouvelles Articles.
7. Fenêtre de Personnel
La fenêtre suivante est la fenêtre de Personnel pour qu’il puisse faire entrer les nouveaux
employeurs
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8. Fenêtre d’historique et
Ce Fenêtre permet Voir toutes les opérations qui sont Effecteurs, et les noms des utilisateurs
qui ont fait l’opération.
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II. Exemple :
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Conclusion générale
La maintenance couvre un ensemble des fonctions (méthodes, ordonnancement…) et des
relations entre les différentes sections. Pour faciliter ces activités et éviter les
dysfonctionnements dus à la mauvaise gestion, cette fonction doit être informatisée pour assurer
une bonne maintenabilité des équipements et surtout réduire les couts de la maintenance.
La GMAO est devenue aujourd'hui un outil de gestion simple, performant et accessible à tous,
dans des budgets et des projets minimalisés. Ne pas s'en doter, c'est se priver d'un outil de
progrès opérationnel et organisationnel ainsi que d'un vecteur de réduction de coûts directs et
indirects.
Le module de gestion de stock La GMAO permet de gérer les articles disponibles dans
l'entreprise en vue de satisfaire les besoins à venir à l'aide d'outils logistiques et d'un système
d'information performant pour l'organisation. Dans ce travail, nous avons développé un
programme sous NetBeans avec une base des données MySQL, regroupant ce dernier les
principales fonctionnalités qu’un logiciel peut contenir.
Pour améliorer ce logiciel, il doit passer par une phase d’essai et vérifier ses performances et
son ergonomie. Cette utilisation permettra de trouver les lacunes et les erreurs de
programmation et les corriger, aussi, ce travail pourra être amélioré par élargir les modules
présents dans le logiciel.
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