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Aujourd'hui, pour innover, les entreprises doivent développer des partenariats ou des
stratégies de coopération afin d'obtenir les ressources et les compétences nécessaires.
LES STRATÉGIES
Cependant, DE COOPERATION
les entreprises doivent ENTRE
posséder des ressources LES GRANDES
et des compétences rares et
ENTREPRISES
inimitables. Dans le cas où ces compétences sont insuffisantes, les entreprises vont
développer des partenariats ou des stratégies de coopération.
AABAS
Alors Asmae (MFE)
vue l’importance du sujet nous nous fixons comme problématique la réponse à
l’interrogation suivante : Pour quels motifs une entreprise tend elle vers la décision de
BAKAL Cheima (SO-EFP)
coopérer avec une ou plusieurs entreprises ?
Pour qu’on puisse répondre a cette problématique on a choisi de traiter les points
suivantes :
Année Universitaire : 2020 - 2021
I. Introduction
� Etat de l’art
� Les théories mobilisées
� Les avantages et les inconvénients
III. Partie empirique:
� Renault et Nissan
� OCP et la SFI
IV. Conclusion
� État de l’art :
Une alliance stratégique est un accord conclu entre deux ou plusieurs entreprises
concurrentes qui choisissent de mener à bien un projet, un programme ou une activité
spécifique en coordonnant les compétences, les moyens et les ressources nécessaires.
Elles permettent aux partenaires de rester indépendants et autonomes sur toutes les
activités qui échappent au périmètre de l’accord.
Pour renforcez notre étude théorique, nous avons choisis de traiter deux cas. L’alliance
entre Renault, Nissan et Mitsubishi en premier lieu, l’OCP et la SFI en deuxième lieu.
Renault et classée le 2eme en Europe, avait crée une alliance avec Nissan en 1999 après ils ont
ajouté Mitsubishi en 2016. En 2011, Mitsubishi Motors était le sixième plus grand constructeur
automobile japonais et le dix-neuvième plus grand mondial par sa production, sachant que en
2016, Renault devenue le neuvième constructeur automobile mondial en termes de volume de
production, et en avril 2018, Nissan était le plus grand fabricant de véhicules électriques (VE)
au monde, avec des ventes mondiales de plus de 320 000 véhicules entièrement électriques.
on note également que d’après l’ancienne alliance et depuis 2013, Renault détient une
participation avec droit de vote de 43,4 % dans Nissan, tandis que Nissan détient une
participation sans droit de vote de 15 % dans Renault et avec l’ajoute de l’autre constructeur
automobile (Mitsubishi) depuis octobre 2016, Nissan détient une participation de contrôle de
34 % dans Mitsubishi Motors.
� Description de l’alliance :
Ces dernières années ont été difficiles pour le groupe automobile Renault. Entre le départ
mouvementé de Carlos Gohsn, les tensions avec la direction de Nissan et la direction de
Mitsubishi ainsi la crise sanitaire du Covid-19 raison pour laquelle, Luca De Meo le nouveau
CEO du groupe a révélé une nouvelle stratégie commerciale appelée Renaulution, qui prévoit
des changements majeurs dans les gammes Renault, Dacia et Alpine à partir de 2025, ainsi que
des modèles entièrement nouveaux dans de nouveaux segments pour chaque marque.
Ainsi en termes d’alliance Les trois constructeurs, à savoir Renault, Mitsubishi et Nissan ont
dévoilé un nouveau plan dont les maîtres-mots sont coopération et standardisation pour
améliorer la compétitivité et la rentabilité.
Ce plan d’alliance repose sur les objectifs suivants :
⮚ 50% des modèles produits en commun
En effet, même si l’Alliance a atteint la première place mondiale des ventes automobiles en
2017 en écoulant plus de 10,6 millions d’unités, les trois entreprises souffrent aujourd’hui de
surcapacités de production, qui se traduisent par des coûts élevés.
Pour y remédier, le trio prévoit donc de développer et produire en commun « près de 50% » de
ses modèles à l’horizon 2025, ce qui permettra de réduire jusqu’à 40% les coûts et les dépenses
d’investissements par modèle.
Même chose pour les modèles. A titre d’exemple, le renouvellement des SUV compacts
(Renault Kadjar, Nissan Qashqai…) après 2025 « sera mené par Nissan », tandis que le
renouvellement des petits SUV en Europe (Renault Captur, Nissan Juke…) « sera mené par
Renault ».
Idem pour les technologies. Nissan prendra les commandes de la conduite autonome et des
motorisations des futurs modèles électriques développés sur des plateformes dédiées.
Renault sera lui en charge des technologies des voitures connectées, basées sur le système
d’exploitation Android (sauf en Chine où Nissan sera chef de file), et de l’architecture
électrique-électronique des véhicules. Le groupe au losange aura également la responsabilité
des motorisations pour les véhicules électriques dérivés de plateformes thermiques.
Enfin, Mitsubishi sera responsable des technologies hybrides rechargeables des véhicules de
moyenne et grande taille.
Le nouveau business model permettra à l’Alliance de tirer le meilleur parti des atouts et des
capacités de performance de chaque entreprise, tout en s’appuyant sur leur culture et leur
héritage respectifs. Les trois entreprises couvriront tous les segments et technologies de
véhicule, dans toutes les zones géographiques, pour le bénéfice de chaque client, tout en
améliorant leur compétitivité respective, leur rentabilité durable et leur responsabilité sociale
et environnementale.
� L’OCP et la SFI
III.CONCLUSION
La confiance apparaît ainsi comme un moyen de faire face à l’incertitude liée aux processus de
décision. Elle contribue à renforcer l’apprentissage et à améliorer la qualité relationnelle. Il est
donc important que la coopération mutuellement confiante demeure gagnante pour tous les
participants pour continuer à fonctionner.
IV. Bibliographie :