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Le prélèvement

Comme tout prélèvement, le prélèvement pour l'INR doit être de qualité, en particulier :
- vous devez identifier le nom du patient, celui de la personne qui prélève, la date et l'heure du
prélèvement ;
- le délai de transmission au laboratoire doit être inférieur à deux heures :
- utilisez de préférence le deuxième tube pour l'INR en cas de prélèvements multiples.
Il faut de plus s'assurer que les renseignements nécessaires au suivi du traitement sont bien
notés sur l'ordonnance ou la fiche de transmission :
- le nom de l'AVK, le dosage et la posologie exacte

- l'indication pour laquelle l'AVK a été prescrit


- le traitement associé en cours ainsi que les éventuelles modifications récentes
- les maladies intercurrentes

Comment surveiller le traitement ?


La surveillance de routine repose sur le contrôle de l’INR, au moins une fois par mois.
En fonction des résultats de l’INR, on déterminera que le traitement est :
► équilibré. La posologie d’AVK devra être maintenue jusqu’au contrôle suivant ;
► déséquilibré. Ce déséquilibre peut résulter d’une modification de la posologie, de la
survenue d’une maladie intercurrente, de l’introduction ou du retrait d’un autre médicament,
d’une modification du régime alimentaire, en cas de vomissements, de diarrhées, ou lorsque
les résultats de l’INR sont instables (cause parfois non identifiée). La posologie devra être
réajustée jusqu’à obtention de l’INR cible.
• sous-dosage. Il expose à des complications thrombotiques et doit être rapidement corrigé
par la recherche et le contrôle de la cause du déséquilibre et/ou l’augmentation de la dose sous
couvert d’un contrôle rapproché de l’INR.
• surdosage. Des mesures de correction progressives, pour ne pas risquer une thrombose,
devront être mises en place en tenant compte de l’INR et des signes hémorragiques éventuels.
Un contrôle régulier de l’INR devra être réalisé jusqu’au retour à l’INR cible.

Les moyens de surveillance : - Pression artérielle et pouls : si le patient présente une chute
tensionnelle et un pouls filant ou accéléré ( dissociation pouls – pression artérielle ) , ces deux
paramètres permettent d’orienter vers une hémorragie interne - Urines et selles : l’observation de leur
couleur permet de constater la présence de saignement anormaux , signe d’un risque d’accidents
hémorragiques graves - ECG : réalisé sur prescription en cas d’infarctus du myocarde , il détecte les
complication cardiaques - Examens biologiques l’infirmier doit réaliser les prélèvements en vue des
tests biologiques de la coagulation et de la NFS puis assurer la transmission des résultats au médecin
en urgence en cas de résultats anormaux
Il faut vérifier les résultats biologiques et les transmettre au médecin surtout en cas de modifications Il
y a inefficacité de traitement en cas de sous dosage et risque hémorragique en cas de sur dosage .
Ces examens réguliers permettent le réajustement de la posologie , tout au long du traitement , afin
de parvenir à une dose thérapeutique optimale

Les moyens de surveillance : - Pression artérielle et pouls : si le patient présente une chute tensionnelle et un
pouls filant ou accéléré ( dissociation pouls – pression artérielle ) , ces deux paramètres permettent d’orienter
vers une hémorragie interne - Urines et selles : l’observation de leur couleur permet de constater la présence de
saignement anormaux , signe d’un risque d’accidents hémorragiques graves - ECG : réalisé sur prescription en
cas d’infarctus du myocarde , il détecte les complication cardiaques - Examens biologiques l’infirmier doit
réaliser les prélèvements en vue des tests biologiques de la coagulation et de la NFS puis assurer la transmission
des résultats au médecin en urgence en cas de résultats anormaux Il y a inefficacité de traitement en cas de sous
dosage et risque hémorragique en cas de sur dosage . Ces examens réguliers permettent le réajustement de la
posologie , tout au long du traitement , afin de parvenir à une dose thérapeutique optimale En fonction des
résultats de l’INR, on déterminera que le traitement est : ttéquilibré. La posologie d’AVK devra être maintenue
jusqu’au contrôle suivant ; tt déséquilibré. Ce déséquilibre peut résulter d’une modification de la posologie, de la
survenue d’une maladie intercurrente, de l’introduction ou du retrait d’un autre médicament, en cas de
vomissements, de diarrhées, ou lorsque les résultats de l’INR sont instables (cause parfois non identifiée). La
posologie devra être réajustée jusqu’à obtention de l’INR cible. • sous-dosage. Il expose à des complications
thrombotiques et doit être rapidement corrigé par la recherche et le contrôle de la cause du déséquilibre et/ou
l’augmentation de la dose sous couvert d’un contrôle rapproché de l’INR. • surdosage. Des mesures de
correction progressives, pour ne pas risquer une thrombose, devront être mises en place en tenant compte de
l’INR et des signes hémorragiques éventuels. Un contrôle régulier de l’INR devra être réalisé jusqu’au retour à
l’INR cible.
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moyens de surveillance : - Pression artérielle et pouls : si le patient présente une chute tensionnelle et
un pouls filant ou accéléré ( dissociation pouls – pression artérielle ) , ces deux paramètres permettent
d’orienter vers une hémorragie interne - Urines et selles : l’observation de leur couleur permet de
constater la présence de saignement anormaux , signe d’un risque d’accidents hémorragiques graves
- ECG : réalisé sur prescription en cas d’infarctus du myocarde , il détecte les complication cardiaques
- Examens biologiques : l’infirmier doit réaliser les prélèvements en vue des tests biologiques de la
coagulation (INR) puis assurer la transmission des résultats au médecin en urgence en cas de
résultats anormaux - Le prélèvement - Comme tout prélèvement, le prélèvement pour l'INR doit être
de qualité, en particulier : - - vous devez identifier le nom du patient, celui de la personne qui prélève,
la date et l'heure du - prélèvement ; - - le délai de transmission au laboratoire doit être inférieur à deux
heures : - - utilisez de préférence le deuxième tube pour l'INR en cas de prélèvements multiples. - Il
faut de plus s'assurer que les renseignements nécessaires au suivi du traitement sont bien notés sur -
l'ordonnance ou la fiche de transmission : - - le nom de l'AVK, le dosage et la posologie exacte - -
l'indication pour laquelle l'AVK a été prescrit - - le traitement associé en cours ainsi que les éventuelles
modifications récentes - - les maladies intercurrentes Il y a inefficacité de traitement en cas de sous
dosage et risque hémorragique en cas de sur dosage . Ces examens réguliers permettent le
réajustement de la posologie , tout au long du traitement , afin de parvenir à une dose thérapeutique
optimale En fonction des résultats de l’INR, on déterminera que le traitement est : ttéquilibré. La
posologie d’AVK devra être maintenue jusqu’au contrôle suivant ; tt déséquilibré. Ce déséquilibre peut
résulter d’une modification de la posologie, de la survenue d’une maladie intercurrente, de
l’introduction ou du retrait d’un autre médicament, en cas de vomissements, de diarrhées, ou lorsque
les résultats de l’INR sont instables (cause parfois non identifiée). La posologie devra être réajustée
jusqu’à obtention de l’INR cible. • sous-dosage. Il expose à des complications thrombotiques et doit
être rapidement corrigé par la recherche et le contrôle de la cause du déséquilibre et/ou
l’augmentation de la dose sous couvert d’un contrôle rapproché de l’INR. • surdosage. Des mesures
de correction progressives, pour ne pas risquer une thrombose, devront être mises en place en tenant
compte de l’INR et des signes hémorragiques éventuels. Un contrôle régulier de l’INR devra être
réalisé jusqu’au retour à l’INR cible

La surveillance du traitement ;  Constater l'efficacité du traitement: Le traitement par les


anticoagulants permet d'éviter les accidents thromboemboliques, qui peuvent néanmoins se produire
en cas de sous -dosage ou de traitement insuffisant dans la durée.  L'observation de l'état général:
L'amélioration ou la disparition des signes de la maladie sont les critères recherchés pour vérifier
l'efficacité du traitement. Il en est de même de l'observation et de la surveillance des troubles du
comportement. La vigilance est de rigueur en ce qui concerne l'apparition de complications révélatrice
de l'insuffisance ou de l'échec du traitement. o Les signes de phlébite: Ils se reconnaissent par : - Un
œdème des jambes et des chevilles; - Une douleur du mollet à la dorsi-flexion du pied (signe de
Homans); - L'abolition du ballottement du mollet; - Une jambe chaude, douloureuse et rouge ; - Une
légère augmentation de la température. o L'apparition d'une embolie pulmonaire: Elle se reconnait aux
signes suivants : - Respiration superficielle, accompagnée de dyspnée; - Sensation d'oppression ; -
Douleur en* point de côté * brutale ; - Angoisse majeure. o L'infarctus du myocarde : La crise d'angine
de poitrine est caractéristique. - Elle se manifeste par une douleur rétro- sternale, constrictive,
oppressante, irradiante au bras gauche, à la mâchoire ou au poignet. - Elle ne cède pas au repos ou à
une pulvérisation sublinguale de Natispray® (trinitrine). o L'AVC thrombotique : La présence d'un
thrombus au niveau cérébral s'exprime par : - Une paralysie unilatérale ou totale ; - Une obnubilation
avec confusion mentale; - Des céphalées.

Constater l'efficacité du traitement: Le traitement par les anticoagulants permet d'éviter les accidents
thromboemboliques, qui peuvent néanmoins se produire en cas de sous -dosage ou de traitement
insuffisant dans la durée. L'amélioration ou la disparition des signes de la maladie sont les critères
recherchés pour vérifier l'efficacité du traitement. Il en est de même de l'observation et de la
surveillance des troubles du comportement. La vigilance est de rigueur en ce qui concerne l'apparition
de complications révélatrice de l'insuffisance ou de l'échec du traitement. o Les signes de phlébite: Ils
se reconnaissent par : - Un œdème des jambes et des chevilles; - Une douleur du mollet à la dorsi-
flexion du pied (signe de Homans); - L'abolition du ballottement du mollet; - Une jambe chaude,
douloureuse et rouge ; - Une légère augmentation de la température. o L'apparition d'une embolie
pulmonaire: Elle se reconnait aux signes suivants : - Respiration superficielle, accompagnée de
dyspnée; - Sensation d'oppression ; - Douleur en* point de côté * brutale ; - Angoisse majeure. o
L'infarctus du myocarde : La crise d'angine de poitrine est caractéristique. - Elle se manifeste par une
douleur rétro- sternale, constrictive, oppressante, irradiante au bras gauche, à la mâchoire ou au
poignet. - Elle ne cède pas au repos ou à une pulvérisation sublinguale de Natispray® (trinitrine). o
L'AVC thrombotique : La présence d'un thrombus au niveau cérébral s'exprime par : - Une paralysie
unilatérale ou totale ; - Une obnubilation avec confusion mentale; - Des céphalées.

Dépister les effets secondaires : Une baisse trop importante des facteurs de la coagulation favorise
les hémorragies .il est donc indispensable de respecter les posologies et la répartition des prises, ainsi
que d'effectuer des examens biologiques de surdosage surveillance. o Repérer les signes
d'hémorragie : Le risque majeur encouru par le malade sous anticoagulant est le risque
hémorragique .En effet, si d'anticoagulant est en trop forte concentration, le saignement
extravasculaire n'est plus contrôlé. Il y a modification de l'état général : - Chute tensionnelle ; - Pouls
filant avec dissociation du pouls et de la pression artérielle : pour compenser la chute de pression intra
-artérielle due à l’hémorragie, le cœur se met en tachycardie pour tenter d'assurer une circulation
conforme (mesure de la PA et du pouls) ; - Troubles de la conscience : on constate de l’agitation, de la
pâleur, des sueurs .On recherchera les saignements suivants: *les hémorragies mineures,
considérées comme des signes annonciateurs: - Épistaxis (saignements de nez); - Gingivorragie lors
du brossage des dents ; - Ecchymoses au moindre choc ; - Hématomes aux points d'injection ; -
Présence de sang dans les pansements. *Les hémorragies majeures sont des saignements au niveau
viscéral pouvant entrainer des conséquences graves : - AVC hémorragique ; - Hématémèse
(vomissement de sang); - Méléna (selles noires), traduisant un saignement occulte et retardé ; -
Hématurie. S'il se produit un saignement en périphérie, dû à un surdosage, il peut aussi bien se
produire un saignement interne avec des conséquences beaucoup plus graves.  Les risques
d'allergies : Les allergies sont fréquentes avec les anti vitamine k .présence de fièvre et d'éruption
cutanée.  Les troubles digestifs : Diarrhée, nausées, vomissements ...
S'il se produit un saignement en périphérie, dû à un surdosage, il peut aussi bien se produire un
saignement interne avec des conséquences beaucoup plus graves. apparition de signes pouvant
évoquer un saignement interne, non visible : fatigue inhabituelle, essoufflement anormal, pâleur
inhabituelle, mal de tête ne cédant pas au traitement habituel, malaise inexpliqué. mal de tête ne
cédant pas au traitement habituel, malaise inexpliqué  Les risques d'allergies : Les allergies sont
fréquentes avec les anti vitamine k .présence de fièvre et d'éruption cutanée.  Les troubles digestifs :
Diarrhée, nausées, vomissements ..

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