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1. INTRODUCTION .................................................................................................................................. 3
2. PLANIFICATION DES ACTIVITÉS DE COMMUNICATION............................................................... 3
3. STRATÉGIES ET PLANS DE COMMUNICATION ............................................................................. 4
4. RELATIONS DE PRESSE ................................................................................................................... 5
5. AFFAIRES PUBLIQUES ..................................................................................................................... 6
6. PRODUCTION ET DIFFUSION DE DOCUMENTS IMPRIMÉS ET AUDIOVISUELS ........................ 8
6.1 DOCUMENTS IMPRIMÉS .......................................................................................................................... 8
6.2 DOCUMENTS AUDIOVISUELS ................................................................................................................... 9
7. INFOROUTE ...................................................................................................................................... 10
7.1 INTRANET............................................................................................................................................ 10
7.2 INTERNET............................................................................................................................................ 11
8. VISIBILITÉ ......................................................................................................................................... 11
8.1 RESPONSABILITÉS DE LA DIRECTION DES COMMUNICATIONS ET DES DIRECTIONS RÉGIONALES............. 12
8.2 COMMANDITES .................................................................................................................................... 13
8.2.1 Processus de gestion d’une commandite ................................................................................. 13
8.2.2 Réception d’une demande et analyse préliminaire ................................................................... 13
8.2.3 Évaluation du projet et recommandations................................................................................. 14
8.2.4 Plan d’intervention..................................................................................................................... 14
8.2.5 Négociation d’une entente......................................................................................................... 14
8.2.6 Bilan........................................................................................................................................... 15
8.2.7 Recherche de commandites...................................................................................................... 15
1. Introduction
Le Cadre de gestion en matière de communication est un outil de soutien à la tâche qui
permettra de clarifier, de faciliter et d’optimiser les communications du ministère de l’Emploi et
de la Solidarité sociale (MESS).
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Afin de déterminer les activités à inscrire dans la planification, les conseillers en communication
jouent un rôle d’experts-conseils. Avec l’accord du chef de service et du directeur des
communications, ils doivent :
prendre contact avec les responsables de leurs directions clientes afin de déterminer les
dossiers prioritaires pour chaque unité ainsi que les objectifs poursuivis pour ceux-ci;
proposer aux secteurs les activités de communication permettant d’atteindre leurs
objectifs;
évaluer la pertinence de toute activité de communication en fonction de l’enveloppe
budgétaire disponible et des critères suivants :
o l’activité répond aux obligations légales ou administratives,
o l’activité touche l’une ou l’autre des clientèles du Ministère,
o l’activité touche un pourcentage substantiel de la clientèle,
o l’activité a des retombées importantes en matière d’emploi ou de solidarité sociale,
o l’activité assure un caractère promotionnel ou une visibilité au Ministère.
Toute activité non planifiée s’ajoutant en cours d’exercice financier et n’ayant pas été inscrite
dans la planification approuvée par la Direction des communications (en début d’exercice ou au
moment de la mise à jour) doit être autorisée par le directeur des communications et pourrait
être à la charge de l’unité cliente. Un bilan est prévu à la fin de chaque exercice financier.
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4. Relations de presse
Les principes directeurs en matière de relations de presse sont :
respecter le privilège du ministre en tant que premier porte-parole du Ministère et, s’il y a
lieu, la désignation du porte-parole par le cabinet. Ainsi, seules les personnes autorisées
peuvent échanger de l’information avec les représentants des médias;
développer et maintenir une image ministérielle de qualité auprès des médias et des
groupes de clientèle;
respecter les canaux de communication établis par ce cadre de référence;
assurer le suivi des demandes des médias rapidement (préférablement au cours de la
même journée) de façon concertée et dans le respect des valeurs du Ministère. Pour ce
faire, la collaboration de tous les acteurs du Ministère est requise;
partager les éléments de contenus et les lignes de presse avec les unités du Ministère
tout en distinguant les contenus de nature politique et administrative, et ce, dans le
respect des particularités régionales. Ainsi, il est nécessaire que l’unité responsable du
contenu transmette rapidement un état de situation à la Direction des communications
afin que celle-ci puisse rédiger une ligne de presse;
susciter une couverture favorable des actions du Ministère en alimentant les journalistes
de façon proactive, et ce, après avoir obtenu les autorisations nécessaires;
au moment d’une gestion de crise, évaluer les rebondissements possibles, saisir les
occasions et essayer de calmer rapidement le jeu;
entre le cabinet, la Direction des communications, les directions régionales et les unités
administratives concernées, faire preuve de solidarité à l’égard des stratégies, des
actions et des lignes de presse retenues afin que la position du Ministère soit forte,
homogène et sans ambiguïté;
être vigilant et proactif en matière de rectification des nouvelles erronées en
communiquant d’abord avec le journaliste et, au besoin, avec le directeur de
l’information. Ultimement, si les démarches sont infructueuses, il est possible d’adresser
une plainte au Conseil de presse du Québec ou à la Fédération professionnelle des
journalistes du Québec;
en vertu de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection
des renseignements personnels, ne jamais commenter une situation personnelle sans
avoir l’autorisation écrite de la personne concernée. Néanmoins, en l’absence de cette
autorisation, le porte-parole peut expliquer les lois, règlements et mesures du Ministère
sans faire référence au cas en question;
ne pas commenter une situation soumise à des procédures juridiques.
Les trois canaux par lesquels une demande des médias peut être reçue sont :
l’attaché de presse au cabinet du ministre :
o il est souhaitable que l’information circule du cabinet vers la Direction des
communications, et vers les communicateurs régionaux lorsque cela est pertinent,
afin que tous puissent échanger la même information sur la stratégie à adopter et,
ultimement, mettre en commun leurs lignes de presse;
la personne responsable des relations avec les médias à la Direction des
communications :
o le responsable des médias est tenu de suivre le canal d’information établi afin
d’informer le cabinet de toute demande à portée nationale, et ce, préalablement à
tout commentaire de la part de l’administration du Ministère;
les personnes responsables des communications au sein des directions régionales :
o le communicateur régional est tenu de suivre le canal d’information établi afin
d’informer le responsable des relations avec les médias à la Direction des
communications de toute demande à portée nationale, et ce, préalablement à tout
commentaire de la part de l’administration du Ministère;
o le communicateur régional peut répondre directement à toute demande à portée
régionale reçue dans une direction régionale, mais doit en informer au plus tôt la
personne responsable des relations avec les médias à la Direction des
communications.
o le responsable des relations médias de la Direction des communications qui répond
à une demande à incidence régionale doit en aviser le responsable régional en
communication.
Il est important de noter qu’une même demande peut être reçue simultanément par plus d’une
personne responsable.
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Si un journaliste se présente sans entente préalable et à l’improviste dans un centre local
d’emploi ou dans une direction régionale :
le gestionnaire peut, de façon respectueuse, refuser de lui donner une entrevue, lui
demander de quitter les lieux et l’adresser au communicateur régional ou à la personne
responsable des relations avec les médias à la Direction des communications. Dans de
tels cas, il faut agir avec prudence et sans oublier que tous les propos du gestionnaire
peuvent être enregistrés par le journaliste et devenir une nouvelle en soi;
le gestionnaire doit en aviser immédiatement le communicateur régional afin de lui
expliquer la situation et d’évaluer les actions à entreprendre pour la suite des
événements. Avant d’entrer en communication avec le journaliste, le communicateur
régional doit communiquer avec la personne responsable des relations avec les médias
à la Direction des communications, puisque cette dernière doit également obtenir une
validation auprès des autorités du Ministère.
La maxime « Les absents ont toujours tort » est souvent très pertinente en communication
publique. Ainsi, il vaut souvent mieux :
transmettre aux journalistes les informations factuelles en lien avec un dossier plutôt que
de s’abstenir et de lui laisser le soin d’interpréter la position du Ministère;
dire ouvertement au journaliste qu’on ne détient pas l’information demandée et qu’il faut
effectuer un traitement du contenu faisant en sorte que son délai ne pourra être
respecté, plutôt que de lui laisser croire que le Ministère ne souhaite pas lui parler ou
tend à lui cacher de l’information.
5. Affaires publiques
Les principes directeurs en matière d’affaires publiques sont :
respecter le privilège du ministre en tant que premier porte-parole du Ministère et, s’il y a
lieu, la désignation du porte-parole par le cabinet. Ainsi, il lui revient de décider de
prendre part à une annonce ou à un événement publics ou s’il souhaite plutôt être
représenté par un autre élu ou par une personne représentant le Ministère;
évaluer la pertinence de procéder à des activités de relations publiques;
respecter les canaux de communication privilégiés par cette politique et le processus de
validation et d’approbation;
maximiser la collaboration de la Direction des communications avec les unités du
Ministère;
planifier les activités publiques en détail;
préparer les outils nécessaires selon les rôles et les responsabilités établis;
dresser une liste de partenaires pouvant corroborer, lorsque cela est possible, le sujet
de chacune des sorties publiques;
déterminer un lieu approprié pour la tenue d’une annonce publique;
distinguer la finalité d’une allocution et de celle d’un état de situation.
La Direction des communications et les communicateurs régionaux jouent leur rôle de conseil
en proposant au ministre de participer à des activités publiques liées :
aux projets structurants instaurés par le Ministère qui impliquent divers partenaires ou à
forte contribution ministérielle;
aux nouveaux projets destinés à des groupes de clientèle particuliers et qui visent à
faciliter leur intégration ou leur réintégration à l’emploi;
aux conclusions d’ententes particulières dans divers secteurs grâce à l’engagement
financier du Ministère;
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à la tenue de congrès, de colloques, de séminaires ou de semaines thématiques liés
aux priorités ministérielles;
au dévoilement d’études ou d’enquêtes nationales ou régionales.
Pour ce faire :
les projets pertinents doivent être inscrits dans le document Propositions de participation
ministérielle et soumis au moins dix jours ouvrables avant la mise en œuvre de toute
action à la personne responsable des relations avec les régions à la Direction des
communications, avec copie conforme au sous-ministre associé responsable d’Emploi-
Québec, au sous-ministre adjoint aux opérations d’Emploi-Québec, au directeur général
adjoint des opérations de la métropole ou au directeur général adjoint aux opérations
des régions, selon le cas, et au responsable des affaires publiques;
le cabinet détermine les activités auxquelles le ministre désire participer ou valide le
choix des représentants à ces activités;
sur la base des initiatives ou des projets retenus par le cabinet, une fiche d’intervention
publique doit être remplie par la personne chargée du dossier à la Direction des
communications ou à la direction régionale, et la section de nature plus politique, par le
cabinet. Ces initiatives ou projets sont dès lors inscrits officiellement dans le document
Activités publiques ministérielles.
Dans l’optique de favoriser le succès d’une activité publique ministérielle, il est recommandé
de :
fusionner plusieurs dossiers à portée plus restreinte à d’autres, soit par secteur, soit par
champ d’action;
faire une annonce sentie en choisissant un lieu directement lié au sujet de l’annonce, en
appuyant la nouvelle par des tableaux ou des graphiques explicatifs simples et en
procédant à une visite officielle permettant de rencontrer un groupe de clientèle;
associer des partenaires pouvant corroborer la position ministérielle en les invitant à
prendre part à l’activité de presse;
À la demande expresse du cabinet ou du BSM, inviter, deux jours avant l’annonce et en
effectuant un rappel téléphonique le matin de l’annonce, les journalistes des médias
nationaux ou régionaux, selon le cas, des médias spécialisés et ceux qui ont déjà traité
du sujet de l’annonce dans le passé;
solliciter les stations de télévision d’information afin de les inciter à couvrir en direct une
activité de presse. En ce sens, il est préférable de tenir des activités de presse les plus
courtes possible;
décliner les annonces faites nationalement à une échelle régionale;
accorder une attention particulière à la Tribune de la presse de l’Assemblée nationale du
Québec;
lorsque le sujet de l’annonce est très pointu et technique, prévoir dans le scénario une
explication vulgarisée d’un spécialiste, soit au cours de la conférence de presse, soit
pendant une rencontre technique précédant celle-ci.
éviter les salles trop grandes qui peuvent donner l’impression qu’elles sont vides ou qu’il
y a peu d’intérêt envers l’objet des annonces;
détailler le plus possible les scénarios de déroulement des annonces en y indiquant le
personnel à l’accueil de même que les personnes-clés avec leur numéro de téléphone;
s’assurer de la conformité de l’identification gouvernementale (www.piv.gouv.qc.ca);
rédiger l’allocution du ministre de façon simple, concise et vulgarisée, tout en faisant
référence aux orientations gouvernementales et en utilisant des exemples concrets pour
illustrer des propos plus techniques;
rédiger un communiqué de presse qui soit le plus concis, court, favorable et attrayant
possible en ne soulevant que l’essentiel, car les détails plus techniques peuvent être
précisés sur demande, et procéder à une révision linguistique avant toute diffusion;
préparer au besoin un document « questions-réponses » lié au sujet de l’annonce et aux
problématiques régionales du Ministère.
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Après toute activité de communication :
la personne responsable du dossier, avec l’aide de l’équipe de rétroinformation de la
Direction des communications et de la revue de presse quotidienne du Ministère, doit :
o faire une synthèse des retombées médiatiques de l’annonce,
o lorsque cela est possible, tirer une conclusion de cette activité de communication
afin d’améliorer constamment les façons de faire;
les communicateurs régionaux peuvent contribuer à enrichir la rétroinformation en
faisant parvenir à la Direction des communications de l’information utile et
complémentaire à la synthèse précédemment mentionnée. Cette information peut
provenir de sites Internet de leaders d’opinion régionaux, de blogues, etc.
Une politique d’édition comprenant notamment des lignes directrices relatives à la révision
linguistique est produite en parallèle à ce document.
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6.2 Documents audiovisuels
Les principes directeurs en matière de documents audiovisuels sont :
offrir des services audiovisuels à la communauté gouvernementale afin de susciter des
économies liées au partage des services;
établir les priorités au regard des différentes demandes internes et des demandes
provenant des unités satellites et des ministères et organismes clients en fonction de
l’importance et de la portée des produits ainsi que des échéances de livraison.
À priorités égales, les projets internes du Ministère ont généralement préséance.
Toute demande de services audiovisuels doit être acheminée au chef du Service responsable
du secteur de la production audiovisuelle. Par la suite, si elle est acceptée, les étapes de
production d’une vidéo peuvent être enclenchées.
Première étape : l’évaluation des besoins du secteur par la personne chargée du dossier
au Service-conseil stratégique en communication. Cette étape permet d’établir la
pertinence d’une production vidéo en fonction des objectifs poursuivis et des groupes de
clientèle visés et de déterminer, le cas échéant, le style de produit à réaliser, le contenu,
la durée approximative et les solutions pour le diffuser.
Troisième étape : le démarrage du projet. Cette étape survient à la suite d’une entente
d’acceptation du devis. Elle comprend l’élaboration d’un scénario ou d’un synopsis, la
collecte de la documentation nécessaire, la rédaction de différents textes (dramatique,
questions d’entrevue, texte de narration, etc.) ou l’adaptation des textes fournis par le
client et la planification du tournage.
Cinquième étape : le prémontage. Pendant cette étape, toutes les épreuves de tournage
sont visionnées, les séquences sont sélectionnées et ordonnées, les directives de
montage sont établies, les textes nécessaires au montage (contenus des figures et des
tableaux, crédits, vignettes, etc.) sont préparés, et l’infographie est prévue.
Par ailleurs, la personne chargée du dossier veille à obtenir, auprès des clients et, si cela est
nécessaire, auprès des autorités du Ministère, les validations et les approbations requises aux
étapes importantes de production.
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7. Inforoute
Les principes directeurs en matière d’inforoute sont :
utiliser de façon planifiée et efficace l’inforoute afin d’augmenter l’accessibilité, la qualité
et la fiabilité de l’information diffusée auprès des groupes de clientèle;
favoriser les échanges entre le Ministère et ses groupes de clientèle;
maximiser l’utilisation du Web dans l’offre de service du Ministère auprès de ses
groupes de clientèle et de ses partenaires;
diffuser, dans un langage adapté à l’inforoute, des contenus valides, approuvés et
conformes aux orientations ministérielles et gouvernementales;
respecter le Processus de validation et d’approbation;
accroître la collaboration de la Direction des communications avec les unités
administratives du Ministère;
respecter les orientations liées au gouvernement en ligne et les normes
gouvernementales, comme le Programme d’identification visuelle, la politique
linguistique du Ministère et les règles de confidentialité en ce qui a trait à l’utilisation du
courriel.
7.1 Intranet
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7.2 Internet
8. Visibilité
Les principes directeurs en matière de visibilité résultant d’une commandite, d’une subvention
ou d’une aide financière sont :
contribuer, par des commandites, des subventions et de l’aide financière, à appuyer
financièrement divers groupes de clientèle, des causes, des activités publiques, etc.;
faire connaître l’engagement du Ministère envers une activité, une clientèle, une
organisation ou un objectif;
appuyer le développement de la notoriété de la mission, des orientations, des
programmes et des mesures du Ministère;
créer des liens tangibles avec les groupes de clientèle ciblés;
faire preuve de transparence dans le processus de sélection et d’équité et d’efficacité
dans la prise de décision;
accorder la priorité aux projets liés à la mission et aux objectifs du Ministère;
obtenir une visibilité gouvernementale appropriée et équitable au regard de l’importance
de la contribution apportée par rapport aux autres partenaires (s’il y a lieu);
diffuser, grâce à la visibilité attribuée au Ministère, des contenus validés, approuvés et
conformes aux orientations ministérielles et gouvernementales dans un langage adapté;
élaborer avec les bénéficiaires d’un appui ministériel un processus d’approbation des
éléments de visibilité permettant au Ministère de valider les contenus et la conformité de
l’identification visuelle gouvernementale;
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accroître la coordination entre les unités du Ministère et les autres ministères et les
organismes publics afin d’augmenter la visibilité des commandites, des subventions et
de l’aide financière.
Selon la définition gouvernementale, commanditer consiste à acquérir le droit d’association et
de visibilité en échange d’argent et de services. L’application de la commandite consiste à
utiliser ce droit d’association pour atteindre des objectifs de communication marketing par
l’exploitation publicitaire ou promotionnelle et à mettre en valeur le message, le service ou
l’image souhaités par le commanditaire.
La subvention ou l’aide financière sont octroyées principalement pour atteindre des objectifs
visant des retombées économiques ou sociales significatives pour la communauté. Même dans
le cas d’une subvention ou d’une aide financière, il est primordial de prévoir un plan de visibilité
ou des clauses contractuelles permettant de reconnaître clairement le Ministère comme étant
associé à la réalisation d’un projet.
La Direction des communications et les directions régionales ont les responsabilités suivantes :
établir des ententes de visibilité ou des clauses de visibilité qui reflètent la valeur de la
contribution accordée. La visibilité peut revêtir la forme d’une annonce, la présence du
ministre, de messages des autorités dans les imprimés, du positionnement du logo dans
différents outils promotionnels, imprimés ou électroniques, d’un stand, etc. Pour les
ententes de Concertations pour l’emploi et de Subventions salariales liées à des
événements ayant un potentiel de visibilité grand public élevé et dont la participation
financière d’Emploi-Québec excède 25 000 $, le conseiller aux entreprises avise le
responsable des communications de sa région qu’il négocie un contrat répondant à ces
paramètres. Le conseiller aux entreprises et le responsable des communications
déterminent alors conjointement la nécessité de négocier une entente de visibilité.
Le cas échéant, le responsable des communications conviendra avec le subventionné
de la nature des clauses de visibilité accordées à Emploi-Québec, et ce, à la hauteur du
soutien financier. Il pourrait aussi être appelé à en assurer le suivi, selon l’ampleur de
l’événement.
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8.2 Commandites
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8.2.3 Évaluation du projet et recommandations
Les principes directeurs en matière d’évaluation et de recommandations sont :
évaluer le projet en fonction des objectifs et des orientations stratégiques du
Ministère selon les critères suivants :
o le projet vise la clientèle cible,
o le projet permet de répondre aux priorités de communication en offrant la
possibilité d’intégrer plusieurs moyens de communication, dont l’information, la
publicité, les relations publiques, etc.,
o le projet permet de diffuser de l’information sur les programmes et les services
du Ministère,
o il existe un lien naturel entre l’activité commanditée et les objectifs et les
interventions du Ministère,
o le plan de visibilité peut être évalué et quantifié;
analyser le projet en collaboration avec les unités administratives concernées et
recommander son acceptation ou son refus.
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8.2.6 Bilan
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